
Gourvennec a les Verts en tête (2)
08/01 21:00

C'était déjà le cas juste avant Noël, ça l'est évidemment à quatre jours du match qui opposera l'EAG à l'ASSE au Roudourou : Jocelyn Gourvennec a les Verts en tête. Mais l'entraîneur de l'actuelle lanterne rouge de L1 ne compte pas pour autant faire l'impasse sur le quart de finale de Coupe de France programmé demain au Parc des Princes, comme il l'explique aujourd'hui dans Le Télégramme.
"On a beaucoup travaillé pour se qualifier à Nice et on va jouer ce match avec beaucoup d’envie. Après, on sait qu’il y a des matchs importants qui arrivent derrière en championnat : Saint-Etienne puis Rennes, Paris et Reims. Mais c’est un match de coupe et ce genre de matchs, il faut les aborder avec beaucoup d’envie, en sachant que c’est Paris et que c’est toujours difficile. Ils sont très durs à jouer mais dans un coin de notre tête, il y aura l’ambition de les pousser le plus loin possible, de les embêter, de réussir à les gêner le plus longtemps possible. Le rapport de force est largement défavorable mais il faut que l’on fasse, nous, un bon match. Je veux que l’on respecte ce que l’on aura décidé avant, qu’on ne fasse pas de fautes bêtes qui, contre Paris, ont souvent des conséquences importantes.
On aura une équipe compétitive. Je suis évidemment obligé de tenir compte des échéances qui suivront mais pas dans l’esprit de faire tourner ou de relancer tel ou tel. Je le redis parce que la question va se poser avant les matchs suivants : moi, je ne donne pas de temps de jeu, ce sont les joueurs qui vont en chercher. Quand je vais faire une opposition le dimanche matin avec le staff pour les joueurs qui ont peu ou pas joué, des choses apparaissent. On voit que certains peuvent prétendre à du temps de jeu et que d’autres ont besoin d’en faire plus pour aller en chercher. In fine, il y a les choix du coach mais ces choix sont dictés par le comportement, l’investissement et la forme du moment des uns et des autres."
Dans le groupe guingampais retenu pour défier le QSG, on notera les absences de Jérémy Sorbon (touché aux quadriceps) Nicolas Benezet (pourtant remis de blessure), Guessouma Fofana (préservé pour affronter Sainté) ainsi que des recrues Papy Djilobodji et Didier Ndong (toujours pas qualifiés).
Le quadruplé de Bafé
08/01 19:33

Bafé Gomis a réalisé un quadruplé samedi soir lors de l'écrasante victoire (9-0) d'Al Hilal contre Al Drae lors de la Coupe des Champions. Une fois n'est pas coutume, l'ancien attaquant stéphanois n'a pas fait la panthère tant l'adversaire (D3 d'Arabie Saoudite) était faible.
Avec Beric et Subotic, petite alerte pour Loïc
08/01 18:13
Envoyé spécial à L'Etrat, le potonaute Thomas a assisté à l'entraînement du jour. Un grand merci à lui pour ce compte rendu !
Devant une très faible affluence (seulement 15 spectateurs), la séance a débuté à 15h sous un temps gris et faiblement pluvieux, avec 4 petit degrés au thermomètre.
Le groupe : Ruffier, Moulin, Bajic, Vermot, Cremillieux - Perrin, Subotic, Saliba, Gabriel Silva, Polomat Mbengue - M'Vila, Selnaes, Diousse, Camara, Benkhedim, Kenny - Salibur, Hamouma, Khazri, Gueye, Nordin, Beric.
Diony, Cabella et Monnet-Paquet ont fait un footing à part, Debuchy et Kolodziejczak étaient absents.
Échauffement :
Petit échauffement musculaire de 5 minutes. Petite course tranquille.
Puis deux groupes de 9 pour des toros bien engagés surtout pour le groupe : Selnaes, Beric, M'Vila, Perrin, Salibur, M'Bengue, Hamouma, Khazri, Subotic.
Printant anime et donne de la voix. Il balance quelques piques bien placées. Notamment à Cabella, Khazri et Selnaes.
Premier exercice :
Deux groupes de neuf (les mêmes que pour le toro). Chaque groupe sur un demi terrain. Même atelier pour les deux équipes.
Principe du jeu : Un ailier remet le ballon au milieu défensif qui lui-même remet à sa défense. La défenseur doit ressortir le ballon en écartant sur le côté et en cherchant la profondeur. Chaque situation doit se terminer par un centre devant le but.. Le jeu s'effectue en deux touches de balle maximum.
Printant est toujours chambreur notamment avec Dieu et son plat du pied trop mou qu'il compare à "un chou sans crème"
Les trois jeunes gardiens ont participé à cet atelier. Pendant ce temps, Ruffier et Moulin continuaient un échauffement intense sous la houlette de Fabrice Grange toujours très aboyeur.
Loïc Perrin est rentré au vestiaire à la fin de cet exercice. Le kiné lui a demandé s'il a arrêté. Dieu a acquiescé en montrant son adducteur. Simple principe de précaution me semble t'il. A noter que les terrains sont très gras.
Second exercice
Le principe est le suivant. Un tiers de terrain, quatre cages (deux de chaque côté). Deux équipes de huit. Les blancs (Silva, Nordin, Diousse, Camara, Saliba, Gueye et Benkhedim) et les Verts (les autres sauf Rocha qui joue avec une chasuble orange un rôle de jocker. Il peut aider chaque équipe.) Les gardiens Moulin, Cremillieux, Vermot et Bajic gardent chacun une cage. Ruffier poursuivra pendant 10 minutes un entraînement solitaire avec Grange. Puis il regagnera les vestiaires.
Le but du jeu est simple, jouer en triangle, se démarquer, trouver la profondeur. Pour l'anecdote, victoire des Verts (5/2). Romain Hamouma a inscrit un triplé et ses compères Robert Beric et Neven Subotic sur un magnifique raid solitaire ont également scoré pour les verts. Doublé coup sur coup du jeune Mahdi Camara pour les blancs.
Printant est le principal animateur des séances. Gasset est là pour superviser.
Il d'ailleurs eu une discussion avec l'Ange vert sur l'état de la pelouse Aimé Jacquet. Il est d'ailleurs aller l'inspecter pendant le dernière exercice de l'entraînement.
Initialement ouverte au public, la séance de demain se déroulera à huis clos.
La Ruff' espère la LdC
08/01 15:58
Ami de Manu Lonjon, Stéphane Ruffier, pourtant pas le plus loquace dans les médias, s'est livré pour le site Yahoo Sport. Extraits.
Sur sa fidélité aux deux clubs de sa carrière : "Il y a beaucoup de paramètres : le nombre d’années de contrat qu’il te reste, le montant de ton transfert, ton salaire et aussi la situation d’autres gardiens. Il y a trois parties à convaincre : le club vendeur, le club acheteur et le joueur. Par exemple, alors que j’étais devenu le gardien titulaire de Monaco depuis seulement un mois, j’ai reçu une offre de Lille. Ricardo, l’entraîneur, venait de me désigner titulaire et je trouvais que c’était trop tôt, que je devais faire une saison pleine, que ma place était à Monaco, dans mon club formateur. Lille avait pourtant un beau projet et l’offre était bonne. J’ai préféré rester. Évidemment que j’y ai repensé quand Lille a été champion de France (rires). On ne saura jamais ce qu’il se serait passé pour moi si j’avais signé. Autre exemple, il y a quelques années, j’ai été très proche de signer à l’AS Rome. Rudi Garcia, qui était déjà le coach quand Lille me voulait d’ailleurs, m’avait appelé. On avait échangé, j’étais intéressé. Je pensais vraiment signer là-bas, je m’étais renseigné mais finalement je crois que je coutais trop cher en transfert. Ça ne s’est pas fait. Et enfin, d’autres fois, je pouvais partir mais je ne voulais pas partir pour partir. J’ai eu pas mal d’offres pour signer dans le ventre mou du championnat Anglais mais quel intérêt ?
Le contrat, bien sûr, mais ce n’est pas un critère décisif pour moi car j’ai un bon contrat à Sainté. Je ne me plains surtout pas. Je suis dans le top 5 français, dans mon pays, ça ne m’intéresse pas d’aller jouer le milieu de tableau ailleurs même si c’est encore mieux payé. Je suis un compétiteur, ambitieux, donc mon critère principal est sportif. Beaucoup de gens pensent que l’argent est toujours le premier choix mais ce n’est pas mon cas. Je suis très heureux de ce que j’ai. Pour partir, il me fallait quelque chose de supérieur sportivement. Avec Saint-Étienne, j’ai dû jouer une quarantaine de matches de Coupe d’Europe (32, en fait, ndp²), on est réguliers dans le top 5/6 de Ligue 1. Le seul truc qu’il me manque ici, c’est d’avoir connu la Ligue des Champions. Mais je n’ai pas fini d’espérer ! C’est encore faisable. On ne sait jamais.
Sur le début de saison et l'équipe actuelle : "On est dans les temps. On a une trentaine de points, on aurait pu en avoir plus sans certaines décisions contraires. Le VAR ne nous a pas aidés. On monte en puissance, on joue mieux depuis quelques temps, si on continue cette progression dans le jeu, qu’on continue à être très difficile à battre chez nous, alors on peut espérer de belles choses.
Individuellement, c'est la meilleure équipe de Saint-Étienne que j'ai connu. J’ai connu de belles équipes à l’ASSE avec Faouzi (Ghoulam), Aubame (Aubameyang), Kurt (Zouma). On avait moins de qualités individuelles – car ils étaient en train de devenir des gros joueurs, d’emmagasiner de l’expérience mais pas encore ce qu’ils sont devenus – mais par contre, cette équipe a marqué son passage en gagnant un titre, en se qualifiant pour l’UEFA. Cette saison, nous avons des joueurs qui ont plus d’expérience. A cette équipe-là d’écrire sa propre histoire."
L'Olympique Strasbourg a imité Mandelieu
08/01 13:39


Comme nous le rappellent les potoanutes sam42 et Danish le Survivant, les Verts s'étaient déjà imposés 6-0 en Coupe de France. Le 10 mars 1991, les protégés de Christian Sarramagna avaient balayé sur ce score la modeste équipe de district de Mandelieu (Alpes-Maritimes) grâce à un doublé de Sylvain Kastendeuch et à des buts de Lubomir Moravcik, Thierry Laurey, Dominique Corroyer et Etienne Mendy.
Rémy et Wahbi les ont ravis
08/01 11:41
Comme l'atteste ce sympathique reportage diffusé hier sur la chaîne STRAS TV, Rémy Cabella et Wahbi Khazri ont communié à La Meinau avec les supporters de l'Olympique Strasbourg à l'issue du 32e de finale de Coupe de France. Classe !
Cap vers Nancy pour Vagner ! (3)
08/01 07:24

Dans la dernière édition de L'Est Républicain, l'attaquant stéphanois Vagner commente son arrivée en prêt (sans option d'achat) à l'ASNL.
"J'ai quitté mon Cap-Vert natal pour le Portugal, à l’essai pendant quatre mois au Benfica Lisbonne avant de devenir pro à Gil Vicente. Les soucis financiers de ce club et quelques problèmes familiaux m'avaient incité à rentrer au pays, en 2016. J’avais arrêté le football pendant cinq mois, j’étais un peu dégoûté. Le petit club suisse du FC Azzurri 90 m'a aidé à me remettre à niveau athlétiquement et ensuite j'ai signé chez les Verts.
Ça s’est tout de suite bien passé pour moi à Saint-Etienne. J’ai rapidement intégré le groupe des pro. J'ai fait quatre apparitions en L1 la saison passée. Cette saison, j'ai marqué cinq buts en douze matches de National 2. J’ai réussi une bonne première partie de saison mais ça n’a pas été suffisant pour gagner du temps de jeu en L1. Il y avait une forte concurrence. Alors, j’ai compris que c’était le moment pour moi d’être prêté pour continuer ma progression.
J’en ai parlé avec Arnaud Nordin qui a été prêté ici la saison dernière. Il m’a dit beaucoup de bien de l’ASNL. Je vais faire le maximum pour bien m’intégrer. Je veux aider l’équipe à se maintenir en L2. Je suis un joueur rapide et dribbleur. J’ai l’habitude d’être utilisé sur le côté, à droite ou à gauche peu importe même si je suis droitier. Je peux aussi évoluer dans l’axe, ça m’est arrivé cette saison avec la réserve de Saint-Etienne."
Un Paquet de remerciements pour Nanard et Roro
08/01 07:06

Sur France Bleu Saint-Etienne Loire, le DG de l'ASSE a tenu hier soir à rendre hommage à Nanard et Roro.
"On a fait une bonne première partie de saison. Ce n'est jamais simple dans ce championnat d'être dans les objectifs qu'on s'était fixés. Cela a été un combat, chaque match a été difficile. On a perdu à l'extérieur que contre des équipes qui sont devant nous et Bordeaux. On a été très performants à domicile. Je suis content même si on pourrait avoir quelques points de plus et être un petit peu plus haut. Des points qui nous ont été retirés par défaut. Ce qui est fait est fait. On peut être content du comportement de l'équipe. On doit reconnaître au coach et au staff la qualité qu'ils apportent à maintenir un groupe concentré, sérieux, qui ne lâche jamais rien et qui se défonce sur chaque match, qui a la capacité de se remettre en question. Il est aussi à mettre à l'actif de l'entraîneur le fait que dans ce groupe restreint choisi dès le début de saison, il n'a pas hésité à faire jouer des jeunes qui ont tenu leur rang.
Je rappelle que l'objectif est à la fois ambitieux et mesuré. Ambitieux car on souhaite être compétitif pour une place qualificative à l'Europe. Après, on n'a jamais donné de place car c'est un championnat qui est très compliqué et très serré. En trois matches, vous pouvez gagner trois places ou en perdre cinq. Après Paris, il y peu d'écart entre les cinq ou six équipes suivantes. On prend les matches les uns après les autres, on les joue, on les gagne si possible. On n'imagine pas à quel point la Ligue 1 est difficile. le match qu'on va avoir à Guingamp par exemple va être tout sauf facile. Je pense qu'il va être très difficile. Lorsqu'on se rapprochera de la fin de la saison, il sera temps de se fixer des objectifs un peu plus précis. Soyons sérieux, professionnels et efficaces et ça devrait bien se passer. L'objectif est de prendre le plus de points possible.
Le club a depuis longtemps un centre de formation qui est performant. La seule chose qui manquait peut-être ces dernières années, c'était de faire joueur un peu plus les jeunes pour qu'ils acquièrent de l'expérience. cela fait partie de l'ADN du club, on veut valoriser ça et on s'y emploie actuellement. Le coach joue parfaitement le jeu sur ce projet-là. L'ASSE a une aura, une notoriété, représente quelque chose de fort dans le football français. C'est un atout pour le club dans le recrutement. Il faut que le club plaise au joueur mais il faut aussi que le joueur plaise au club. Il est important pour nous de recruteur un bon joueur qui soit aussi une bonne personne, en accord avec les valeurs du club.
Piocher dans le vivier local est pour nous primordial. Il n'est pas concevable que les meilleurs jeunes du 42, du 43 voire d'un peu plus loin ne soient pas à l'ASSE. Il y a un travail qui est fait dans ce domaine, l'objectif est d'attirer les plus petits à fort potentiel dans le club, de grandir avec, et au fur et à mesure que l'âge passe, d'avoir une zone géographique un peu plus large.
Les deux actionnaires ont fait geste très fort cet été. De concert, ils ont pris de grands risques financiers, en tout cas ils ont fait de gros efforts, pour pouvoir construire une équipe qui soit solide et compétitive pour l'Europe. On est à un niveau important, je ne pense pas que les actionnaires désirent aller plus loin en termes d'investissement. Il faut être bien conscient de l'effort qui a été fait et remercier les actionnaires, qui ne sont pas aussi fortunés que ce qu'on peut trouver dans les clubs beaucoup plus riches. Ils prennent des risques personnels sur leur fortune personnelle, sur leurs biens à eux, ce n'est pas rien et c'est assez courageux ! Dans la construction capitalistique actuelle, on est au maximum de ce que peut être l'ASSE."
Chérot, lala !
08/01 06:57

Pisté par l'ASSE, le défenseur le plus prolifique des cinq grands championnats européens (3 buts et 6 passes décisives) Kenny Lala (27 ans) évoque son avenir dans la Pravda du jour.
Vous dites que le club aurait fixé ma valeur à 12 M€ ? Ça me surprend et ça m'a fait rire car je ne pensais pas valoir cette somme à dix-huit mois de la fin de mon contrat ! Mais c'est valorisant. Je suis entré dans une tranche d'âge où je dois atteindre le maximum de mon potentiel. Je suis en pleine force de l'âge. Dans ma carrière, je n'ai pas sauté d'étapes mais j'ai bien avancé. J'espère continuer à franchir les paliers pour aller encore plus haut.
Je ne me fixe aucune limite dans ma progression, tout comme je ne me fixe pas de moment pour partir. Je ne suis fermé à rien. Au regard de mon ambition, je sais que je peux partir à tout moment. Mais même une prolongation est envisageable. Je suis épanoui à Strasbourg, où j'ai passé un cap. Prolonger serait une récompense et cela ne m'empêcherait pas d'avoir certaines ambitions pour le prochain mercato d'été.
Il y a forcément des Championnats que je regarde plus que d'autres. Comme l'Angleterre ou l'Espagne, où des clubs font rêver. Mais en France aussi, des clubs permettent de rêver. Je ne suis fermé à aucun Championnat et j'irai dans un club qui peut m'aider à franchir des étapes supplémentaires. J'aimerais bien titiller le niveau international. Ce serait un honneur d'évoluer en bleu, aux côtés des champions du monde. Je m'en sens capable."
Le petit poucet a kiffé les plus forts
08/01 06:38

Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, le défenseur central strasbourgeois Bakari N'Diaye revient sur la victoire des Verts en 32e de finale de Coupe de France.
"On savait qu’ils étaient largement au-dessus de nous. Khazri a fait la Coupe du monde quand même ! J’espèrais qu’ils seraient décontractés, qu’ils nous prendraient de haut. C’est un pur bonheur ! Le score, je n’y fais même pas attention, c’était un kif total. On a joué à notre niveau et on a fait plaisir aux supporters, c’est l’essentiel. Voir tous ces gens derrière nous dès l’échauffement, ça nous a vraiment fait chaud au cœur.
L’euphorie a fait qu’on a eu du mal au début. En arrivant, on voyait les Stéphanois les bras ballants, qui se disaient qu’ils allaient nous en mettre trois ou quatre. Nous, pendant ce temps, on sympathisait avec les supporters… Pendant le match, il y avait des gens qui criaient mon prénom, mais je n’y ai pas prêté attention. C’est des moments où il faut être sérieux, comme si j’étais au travail.
J’ai eu la chance de faire une interception face à Khazri, mais il était vraiment au-dessus du lot. Pour lui et Cabella, c’était vraiment un jeu d’enfants. C’est leur métier, on n’y peut rien. Après le match on a pu les voir au buffet, on a fait les groupies. Ils étaient vraiment sympas, modestes, on a fait des photos. Je les remercie, l’échange était parfait. C’est comme si on était allé dormir il y a trois semaines et qu’on se réveillait seulement maintenant après un long rêve. "
Paquet a découvert le peuple vert
07/01 23:34

Sur les ondes de France Bleu Saint-Etienne Loire, Frédéric Paquet a parlé ce soir des supporters stéphanois.
"J'ai découvert en venant ici que les supporters sont une part très importante autour de la vie de l'ASSE voire de la vie de l'ASSE. Moi je venais d'un autre club, on est à des années lumières en termes d'implication, de vie, de ce que représente le club pour les supporters, du nombre de supporters touchés par ce club-là. C'est vraiment un élément important à prendre en compte et il faut variment être sur place pour s'en rendre compte. Il y a des choses qui nous sont interdites par la loi, les fumigènes par exemple. Il est quasiment impossible pour qui ce soit d'empêcher de faire entrer des fumigènes dans un stade. On a essayé avec nos moyens, Paris aussi. Tous les clubs ont essayé, ce n'est pas possible. On rappelle à tout le monde qu'il y a un risque car les fumigènes peuvent brûler et ça peut être dangereux. On rappelle aussi que contrairement à ce qu'on peut laisser passer comme image, les supporters ne sont pas tous débiles et ne font pas n'importe quoi. Il y a malgré tout peu de risques, peu d'incidents sur l'utilisation des fumigènes. C'est une bataille qu'on mène en expliquant, en réexpliquant et en subissant parce qu'on n'a pas les moyens de la mener.
Pour empêcher les fumigènes, il faudrait faire des fouilles au corps de tout le monde, or ça ne peut être fait que par la police et il n'y a pas assez de forces de police. On est un peu entre le marteau et l'enclume. On se fait taper sur les doigts par la ligue et par le supporters qui disent qu'on n'en fait pas assez. C'est un peu compliqué. Il y a un autre sujet qui est vital et sur lequel on ne veut pas négocier : la violence. On veut que le football soit une fête, on ne peut pas tolérer que des personnes puissent se retrouver en danger en venant assister à un match de l'ASSE. On est intransigeant là-dessus. On est un club qui est fortement représenté dans toutes les commissions de la ligue, de la fédé par notre directeur des opérations et Stadium manager Samuel Rustem. On est très présent car on un des clubs emblématiques en France liés à ses supporters, il y en a très peu en France. On a la volonté de défendre nos supporters qui sont de vrais fans, certains faisant des centaines de kilomètres pour venir nous voir. Notre seule arme, c'est le dialogue. On a mis nos groupes de supporters en relation avec la fédé, avec la Ligue, avec les forces de police de manière à ce qu'il y ait un dialogue pour trouver un compromis."
Gasset derrière Galtier
07/01 23:19
Attribué par un grand jury composé par les précédents lauréats, le titre d'entraîneur français de l'année 2018 a été attribué au sélectionneur de l'équipe de France selon France Football à paraître demain. L'actuel coach des Verts est sixième, derrière deux autres entraîneurs stéphanois.
1. Didier Deschamps, 112 points
2. Zinédine Zidane, 84 pts
3. Bruno Genesio, 33pts.
4. Rudi Garcia, 20 pts
5. Christophe Galtier, 17pts
6. Jean-Louis Gasset, 13 pts
7. Reynald Pedros, 11pts
8. Bernard Blaquart, Thierry Laurey, 10pts
10. Michel Der Zakarian, 8 pts.
11. David Guion, 7 pts
12. Sylvain Ripoll, 4pts
13. Claude Puel et Arsène Wenger, 3pts
16. Sabri Lamouchi, Stéphane Moulin et Christophe Pelissier, 1pt.
Oublié par son ancien coéquipier montpelliérain Jacques Santini mais aussi par Elie Baup et Rudi Garcia, Jean-Louis Gasset a recueilli 3 points de Robert Herbin, 2 points de Laurent Blanc et 1 point de Henryk Kasperczak. Mais c'est un autre ancien entraîneur pailladin, en l'occurrence René Girard, qui lui attribue le plus de points (4). Selon ce dernier, seul Zinedine Zidane a été meilleur que JLG l'an dernier !
Saliba parti pour rester, Selnaes et Gasset pour prolonger ?
07/01 22:20

Sur France Bleu Saint-Etienne Loire, le DG de l'ASSE Frédéric Paquet a évoqué ce soir le mercato hivernal. Vous avez raté son intervention ? On vous l'a retranscrite !
"Vous me demandez si Saliba sera toujours stéphanois cet hiver ? Aujourd'hui, faire des déclarations définitives du style "jamais", "toujours"... Oui, jusqu'au jour où il y a un chiffre qui soit complètement démesuré. Si on reste dans la normalité, William sera là cet hiver sans aucun problème comme 99% de l'effectif. Hors proposition complètement irrefusable, si un jour quelqu'un a décidé de faire exploser le marché de façon à multiplier par deux, trois, quatre ou cinq la valeur... Il faut être réaliste, aujourd'hui ce n'est pas le cas.
La prolongation d'Ole Selnaes ? Il lui reste un an de contrat, on enclenche les discussions. On est en discussion avec les joueurs qui sont en fin de contrat ou pour lesquels il reste un an ou un an et demi de contrat. On discute. Ce que sera l'issue de ces discussions, je ne peux pas le dire. Il y a une volonté. Le fait qu'on discute montre que la volonté est là de part et d'autre. On a fait le choix d'avoir des gens qui ont des valeurs, qui sont structurés, qui ont un cerveau et qui savent s'en servir et qui sont bien entourés. Ce n'est pas une décision unilatérale.
Robert Beric est en fin de contrat, il joue un peu moins. S'il trouve un projet intéressant au mois de janvier et que tout le monde s'y retrouve, il pourra partir. Et et même temps, s'il reste, on sera ravi de le garder. On discute ensemble. Il fait partie des très rares joueurs qu'on n'empêchera pas de partir. Cheik Mbengue aussi, cela fait longtemps qu'il ne joue plus du tout. S'il trouve un projet qui lui va, on le laissera partir sans aucun problème. C'est acté depuis un bon moment.
Jean-Louis Gasset vous a dit qu'il resterait bien un an de plus ? Ça ne sera pas un problème pour nous. C'est quelqu'un avec qui il est facile de travailler parce que les choses sont claires, sont transparentes. S'il a envie et qu'on a envie, on va continuer. Cela se passe très bien et ce n'est pas qu'une question de résultats. Sauf catastrophe, sauf imprévu il n'y aura pas d'arrivée lors de ce mercato. On est plutôt dans cette logique où l'effectif restera stable pour garder cette pérennité."
Milla y a cru
07/01 21:40
Dans France Football, l'ancien Vert, Florian Milla, auteur du deuxième but d'Andrézieux contre l'OM, en 32èmes de la Coupe de France, revient sur la rencontre d'hier. Extraits.
"C'était un moment vraiment particulier de revenir ici, et de gagner contre Marseille, c'était super ! C'est aussi spécial de revenir de cette manière-là, de jouer dans ce stade où j'aurais aimé évoluer quand j'étais à Saint-Etienne. Y jouer avec un autre club, c'était assez bizarre. Mais ma plus grande joie, c'était de représenter Dieu grâce à mon tee-shirt."
"C'était quand même l'Olympique de Marseille, donc on sentait que techniquement c'était assez propre. Mais c'est vrai qu'il leur manquait quelque chose. Cette équipe-là, ce n'est pas comme si elle était un peu "morte" mais presque. On ne sentait pas une équipe unie, et je pense que c'est simplement ça qu'ils doivent bosser. Payet était un peu moins bon que d'habitude, mais je pense que c'est toute l'équipe, pas seulement un ou deux joueurs."
"Un coéquipier est bien lancé sur le côté gauche, il réussit une super prise de balle, et moi je suis un peu loin mais je me dis qu'il faut y aller. Et je commence tout de suite à partir au second poteau. Je vois Mandanda qui la retouche. Le ballon vient un peu vers moi, je dis à mon coéquipier de me la laisser, je la reprends comme elle vient et grâce à Dieu elle va au fond. On souffrait et si on prenait un but ça aurait été difficile pour nous. Mais le fait de mettre ce deuxième but, c'était une délivrance."
"Quand le coup de sifflet final arrive, c'est là que l'on se rend compte de l'exploit. Même quand il reste quelques minutes, on ne voit pas la fin. Dans le vestiaire, c'était un peu fou, on a fait des cris de guerre et j'ai personnellement mis des musiques religieuses, on a bien célébré la victoire."
Un chouette tirage
07/01 20:21

L'ASSE recevra le DFCO le mercredi 23 janvier 2019 en 16e de finale de Coupe de France. Si le club à la chouette n'a jamais battu les Verts en sept matches de championnat, il avait éliminé Sainté aux tirs au but en 32e de finale de Coupe de France à Gaston-Gérard lors de la belle saison 2003-2004. Après avoir mangé les sardines, Andrézieux (N2) accueillera de son côté Lyon Duchère (N1) lors d'un derby qui s'annonce équilibré, les banlieusards ayant balayé eux aussi une équipe sudiste de l'élite (Nîmes) ce week-end.
Un Brignolais au sifflet
07/01 19:28
Alors que Johan Hamel et Yohann Rouinsart visionneront les images dans le camion, Karim Abed sera au sifflet ce samedi soir au Roudourou pour le match de la 20e journée qui opposera la lanterne rouge aux Verts. Sainté n'a jamais connu la victoire lorsqu'il a croisé ce Brignolais de 30 ans, qui était l'un des assistants vidéo de Clément Turpin lors du dernier vol girondin. La première fois, les Stéphanois avaient arraché le nul à la 94e minute sur un penalty obtenu par Loïc Perrin et transformé... par l'actuel avant-centre guingampais Nolan Roux au grand dam d'un Cédric Varrault expulsé. Le Varois officiait également lorsque l'ASSE avait sombré trois mois plus tard en prolongation à l'Abbé Deschamps lors d'un 16e de finale de Coupe de France de sinistre mémoire. La saison passée, cet arbitre de la Ligue Méditerranée avait expulsé Vincent Pajot puis Enzo Crivelli lors de l'heureux match nul concédé à GG face à Angers.
6 mois et puis Cétout !
07/01 17:14
Arrivé l'été dernier en Israël à l'Hapoël Beer Sheva, Julien Cetout n'y aura pas fait de vieux os.
Il vient 6 mois plus tard, pour fêter son 30ème anniversaire de s'offrir un nouveau contrat, en s'engageant avec Béziers (promu et actuel 17ème en Ligue 2). Ce sera son troisième club de Ligue 2 après Tours (2008-2014) et Nancy (2014-2018).
Pogba à l'essai à Elche
07/01 15:12
Sans club depuis sa peu concluante expérience en Turquie, Florentin Pogba est cette semaine à l'essai à Elche, 17e de L2 espagnole. Pour rappel, l'ancien défenseur central stéphanois n'avait pas réussi à transformer son essai à Ferencvaros (Hongrie) en novembre dernier.
Ajinça, un 42 en banlieue !
07/01 14:52
S'il ne jouera pas en vert, Alexis Ajinça explique au Progrès pourquoi il portera le numéro 42 dans son nouveau club situé dans la banlieue de la banlieue.
"Honnêtement, ça m’est égal que l'Asvel joue en vert ou en noir et blanc. Dans ma tête, une équipe verte, c’est Saint-Etienne. C’est vrai que c’était bizarre d’avoir une équipe verte, à Lyon, mais j’ai toujours compris pourquoi ils jouaient également en vert. J’aime bien le noir et blanc mais je sais que pas mal de personnes ont été énervées par ce changement de couleur. C’est un numéro que je porte depuis huit ans, sachant que je n’ai pas pu l’avoir lors de mes deux premières saisons en NBA. C’est quelque chose que je voulais absolument avoir pour représenter ma région, ma ville, dont je suis très fier. Je n’allais pas changer de numéro juste parce que j’arrive à Lyon ! Et ce n’est pas une pique que j’envoie aux supporters de l’OL ! Je serai à Geoffroy-Guichard le 20 janvier pour le derby, c’est normal. Comme je pense qu’il y aura d’autres joueurs de l’Asvel dans le stade, mais pour supporter l’OL."
Baky fait gagner les Baggies
07/01 14:41

De la tête, Bakary Sako a marqué avant-hier contre Wigan l'unique but de la victoire de West Bromwich Albion contre Wigan en FA Cup.
L'après-midi des zéros
07/01 12:43
C’est le titre du papier de La Provence commentant la prestation des joueurs de l’OM, humiliés par Andrézieux hier en Coupe de France et attendus à nouveau dans le Chaudron le 16 janvier prochain. Extraits.
"Une sortie cauchemardesque devant Ngwabije, une intervention façon main molle qui offre le second but à Florian Milla. Qu’es-tu devenu, Il Fenomeno ? « Caletocar » a signé une nouvelle prestation pathétique, se signalant par un festival d’imprécisions techniques. Il était à l’agonie et Ngwabije l’a bien senti. Il confirme match après match tout le mal que l’on pense de lui. A 19 M€, ça fait cher l’erreur de casting. Amavi s’est fait humilier par Djebour et Vacheron et par tous les Andréziens qui ont eu l’idée de passer sur son côté. Il a même perdu un rein lors d’un duel avec Vacheron lorsque celui-ci l’a fumé par un contrôle qui lui a ouvert le chemin vers le but de Mandanda. Payet veut relever la tête ? Ce n’est pas avec ce type de prestations qu’il y parviendra. Au contraire, il continue de s’enfoncer. Hier, il a tout fait à l’envers, n’a jamais pesé. Germain ? Dans la panade. Il a longtemps attendu pour avoir des balles de but. Quand elles sont arrivées, il les a vendangées avec des talonnades aussi malvenues que stupides. L’entrée de Strootman s’est révélée inodore, sans relief. A 25 M€, plus un salaire de ministre, ça doit faire mal à Frank McCourt."
Après la guitare, Dabo au Basse-Saxe ?
07/01 10:46
Bryan Dabo est plus habitué aux backstages qu’à la scène depuis le début de la tournée 2018/2019 de sa formation Fiorentina (seulement 93 minutes de live en 19 journées), actuellement 10ème de série A. Le site Kicker nous informe que le joueur intéresse le club de Hanovre 96 (où sont passés les anciens verts Mevlüt Erding et Allan Saint-Maximin). Si l’entraineur André Breitenreiter recherche avant tout des éléments offensifs pour sortir le club de la zone de relégation, le profil du joueur est envisagé pour solidifier le milieu de terrain voire dépanner en défense centrale.
Reste à savoir si le joueur, dont le contrat avec la Fio court jusqu’en juin 2021, sera tenté par l’aventure.
Les Verts ont tout donné
07/01 08:57

Le sympathique président de l'Olympique Strasbourg met en exergue la générosité des Verts dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.
"Je suis très fier de mes joueurs, de ce que mon club a montré. Et puis, Saint-Étienne, ce n’est pas Dijon ou Troyes, c’est une légende du football français, un palmarès immense, qui nous laisse la recette. Et puis, les Stéphanois nous ont ouvert leur vestiaire. Ils nous ont tout donné, leurs maillots, leurs shorts, leurs chaussettes. Notre aventure se finit de la plus belle des manières, dans le respect."
Le plus beau cadeau, c'est de n'en faire aucun !
07/01 07:08
Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, les entraîneurs stéphanois et strasbourgeois reviennent sur l'écrasante victoire des Verts contre le petit poucet.
Jean-Louis Gasset : "On voulait commencer très fort. On voulait respecter cette équipe de l’Olympique, on voulait lui montrer ce qu’est une équipe de Ligue 1. C’est le plus beau cadeau que nous voulions lui faire. Je viens de la Paillade Montpellier, alors un club de quartier de DH. J’ai retrouvé avec l’Olympique ce que j’ai vécu là-bas. On a été accueilli magnifiquement, avec un super état d’esprit sur le terrain. C’est la vraie Coupe de France. C’était une très belle journée pour tout le monde. On leur a donné des souvenirs pour la vie."
Mohamed Khettab : "Tout était trop grand pour nous aujourd’hui. Mes joueurs étaient encore en train d’applaudir leurs supporters quand on encaisse les deux premiers buts. Ils auraient pu attendre la fin du match pour le faire. On va dire qu’on a commis une erreur de jeunesse. Nous avons été trop naïfs, trop timides, mais je suis très fier de mes joueurs. Ils ont fait ce qu’ils ont pu, ils ont réalisé ce que j’attendais d’eux. Notre plus cadeau, c’est de voir que les Stéphanois ont aligné leur plus belle équipe possible. Voir Khazri, M’Vila, Cabella, Diony et Ruffier en face de soi, c’est quelque chose !"
Le bonheur de Bouhnouf
07/01 06:52

Malgré la lourde défaite défaite de son équipe, le milieu de terrain de l'Olympique Strasbourg Samir Bouhnouf n'oubliera pas le match d'hier, comme il l'explique dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace.
"C’est magnifique de jouer à la Meinau, c’est un autre monde. Ça change, d’habitude on joue à peine devant trente spectateurs. Il y a trois ans, personne ne parlait en bien de l’Olympique. On a réussi à ramener plus de six mille personnes à la Meinau.J’ai essayé de contenir les multiples assauts des stéphanois, mais en face, ça allait beaucoup trop vite. Une fois je devais marquer Cabella, une autre fois Khazri. À la télé, ça ne se voit pas tellement mais sur le terrain, tu sens que la différence de niveau est énorme.
Malgré tout l’engouement qu’il y avait, je ne me suis pas mis de pression. Après, c’est vrai qu’au moment où tu rentres pour t’échauffer, ça commence doucement à monter. Tu vois ce stade, tous nos supporteurs qui commencent à arriver. Et puis bizarrement, au coup d’envoi, c’est redescendu. C’était le moment, il fallait y aller. Ce n’est que du bonheur. Tu es là, à te retrouver face à des joueurs comme Ruffier, M’Vila ou Cabella. C’est grandiose. On est vraiment fier de ce qu’on a réalisé. C’est un jour que je n’oublierai jamais."
Auf Wiedersehen Mbengue ?
06/01 23:30

À six mois de la fin de son contrat, le lofteur stéphanois Cheikh Mbengue dispose de deux pistes concrètes à l'étranger selon la Pravda. La première mène au FC Bâle de Ricky Van Wolfswinkel (deuxième de L1 suisse) et la seconde au FC Cologne, deuxième de L2 allemande où évoluent deux anciens joueurs pistés par Sainté : le chouchou de Nanard Vincent Koziello et Anthony Modeste, fils du regretté Guy.
Pour rappel, le latéral gauche sénégalais des Verts n'a pas été retenu une seule fois dans le groupe pro cette saison et n'a plus joué depuis janvier 2018, où il s'était illustré par des boulettes à Metz en championnat puis à Troyes en Coupe de France. Pour rappel, il a refusé l'été dernier de suivre Kévin Théophile-Catherine au Dinamo Zagreb d'après le quotidien sportif.
Les Amazones se préparent
06/01 21:11
Une semaine avant le choc de son groupe de Division 2 contre le leader Yzeure (match prévu le dimanche 13 janvier à 14h30), les Amazones ont battu Orléans (équipe évoluant dans l'autre groupe de Division 2) sur le score de 2 à 0. Les buts ont été marqué par la nouvelle recrue Laury Jesus et par l'inarrêtable Kelly Gago.
Perrin, enfin !
06/01 20:23
665 jours après son dernier but, le capitaine stéphanois a profité de ce 32e de finale de Coupe de France contre le petit poucet pour retrouver enfin le chemin des filets d'un divin coup de tête. Pour rappel, son précédent but avait permis aux Verts d'arraccher à la 95e minute le nul face aux Grenats.
Le petit poulet a pesé lourd
06/01 19:59
Le petit poulet a volé dans les plumes des Aiglons aujourd'hui au stadium : auteur de deux passes décisives et d'un but, l'ancien attaquant stéphanois Max Gradel a été le grand artisan du large succès de son équipe.
Avant ce 32e de finale de Coupe de France, dans la Pravda, Alain Casanova avait souligné comme le site violets.com l'énorme apport de son capitaine.
"L'apport de Max est indéniable. C'est un très, très grand compétiteur qui tire vraiment le groupe vers le haut et joue son rôle de capitaine de manière absolue. Il est très exigeant avec lui-même et avec tout le monde, toujours pour le bien de l'équipe. Ce n'est pas un joueur qui fanfaronne. Il se met en avant par l'entraînement, par le match. C'est un Robocop ! Il s'entraîne comme une bête, il a une super mentalité. C'est un vrai leader par l'exemple."
Et dire que David Wantier l'estimait cramé lors du mercato estival 2017...
Le petit poucet n'a pas pesé lourd
06/01 19:15
Si les 32es de finale de Coupe de France ont été riches en surprises, l'ASSE a facilement fait respecter la hiérarchie aujourd'hui à La Meinau en écrasant l'Olympique Strasbourg 6-0.
Rémy Cabella a profité d'un tir d'Arnaud Nordin repoussé par le poteau pour ouvrir le score dès la 3e minute. 5 minutes plus tard, Loïc Perrin a inscrit le but du break de la tête sur corner. Grâce à un centre de Pierre-Yves Polomat, Wahbi Khazri a tué le match dès le retour des vestiaires avant d'offrir dix minutes plus tard un caviar à Loïs Diony, qui a enfin converti une de ses très nombreuses occasions. Kenny Rocha Santos a enfoncé le clou à la 83e. Deux minutes plus tard, le portier local a enfin fait honneur à son surnom de Karius, pour le plus grand bonheur de Rémy Cabella.
Les six buts sont à voir ici.
Les Verts connaîtront leurs adversaires des 16es de finale demain soir lors du tirage au sort qui sera effectué à 19h50 (à suivre en direct sur Eurosport 2). Le match aura lieu le mercredi 23 janvier, trois jours après le derby.