Khazri, numéro 10 !

19/02 07:20
Image

Comme le souligne Le Progrès du jour, le numéro 10 des Verts a mangé avant-hier sa 10e biscotte de la saison toutes compétitions confondues. "Wahbi, c’est un gagneur, il n’aime pas perdre ! Dans ce genre de match, tu cours beaucoup après l’équipe adverse, c’est frustrant" explique Yann M'Vila. "Il était nerveux, c’est normal. Il n’avait pas le ballon, c’est un joueur qui aime faire la différence" ajoute Jean-Louis Gasset.

Sans Vada au Vélodrome ?

19/02 07:08
Image

"Touché au genou contre Strasbourg, Valentin Vada se disait prêt à jouer contre le PSG. Mais pour éviter d’aggraver sa blessure, le staff médical a décidé de le laisser au repos au moins trois semaines pour consolider son articulation" nous apprend la dernière édition du Progrès. Le milieu de terrain des Verts devrait donc rater les déplacement à Dijon (ce vendredi à 19h00) et à Marseille (le dimanche 3 mars à 21h00).

Roro contre un troisième actionnaire ?

19/02 00:38
Image

Selon la dernière édition de la Pravda, Roro ne veut pas d'un troisième actionnaire à l'ASSE. Extraits.

"La bonne santé sportive retrouvée des Verts suffit-elle à expliquer le retour de Romeyer, décidé à vendre le club l'été dernier ? Elle s'additionnerait au fait que Caïazzo serait sur le point de trouver, enfin, un troisième investisseur. Il entrerait pour un tiers au conseil d'administration du club, via une augmentation de capital. La venue d'un troisième larron rendrait Romeyer furax. Le risque s'avérerait alors réel pour lui de se retrouver à un contre deux.

Les discussions, en cours, se concentrent autour de trois candidats : un Américain, dont l'inexpérience en matière de foot inquiète ; un Anglais, qui aimerait peser dans l'exécutif ; et un Émirien, comme en septembre, mais ce dossier s'avère complexe en raison du nombre d'intermédiaires. Son arrivée, si arrivée il y a, est espérée en mai. Dans le cas contraire, et à moins d'une qualification directe pour la Ligue Europa qui ferait rentrer 15 M€ dans les caisses, l'ASSE devra vendre des joueurs en 2020 afin de rembourser les 25 M€ empruntés l'été dernier."

Un paquet de dissensions à la direction

19/02 00:23
Image
 
La Pravda de ce mardi raconte les pathétiques dissensions au sein de la direction de l'ASSE. Extraits.

"En voulant adresser un message à Jean-Marc Barsotti, président de l'association des Verts, dans lequel il lui expliquait la nécessité de contester l'action du directeur général Frédéric Paquet, à l'occasion du conseil de surveillance du 17 janvier, qu'il préside, Caïazzo s'est trompé de destinataire. Il l'a envoyé à... Paquet. Ce dernier est tombé du haut de son double mètre. C'est en effet Caïazzo qui est allé le chercher. Mais leurs noces vertes ont vite été consumées par les premières décisions fortes de l'ancien dirigeant du LOSC, placé à la tête de l'exécutif de l'AS Saint-Étienne en raison du burn-out que traversait alors Roland Romeyer, le président du directoire.

Alors qu'il l'avait fait recruter en septembre 2015, Caïazzo a obtenu de Paquet le départ de Matthieu Malkani-Giraud de son poste de directeur du développement marketing. Mais le timing, six mois, et son remplacement par Béatrice Salen, devenue proche de Paquet, ont déplu. Tout comme le renvoi d'Éric Blondel de son poste de team manager. Homme de confiance de Caïazzo pendant huit ans, notamment au conseil de surveillance, avant d'intégrer le staff en juin 2016 à la demande de Christophe Galtier, alors entraîneur, Blondel lui avait soufflé le nom de Jean-Louis Gasset. Caïazzo ne l'a pas oublié.

C'est dans l'ombre, au niveau du développement marketing et digital du club, que Paquet est attendu. Il doit trouver 10 millions d'euros d'ici à 2021. Puis 20 millions à partir de cette date. Or, le compte n'y est pas. Les recettes, hors vente de joueurs, que Caïazzo désespère de ne pas voir optimisées, n'ont pas augmenté depuis 2010. Malgré la puissance de la marque stéphanoise, elles resteraient inférieures à celles de Bordeaux et Rennes. Contesté par Caïazzo, Frédéric Paquet s'est tourné vers Roland Romeyer pour sauver sa peau.

Depuis "l'affaire du SMS", Paquet se retrouve sous la tutelle de Romeyer. La victoire devant Dijon (3-0, le 22 décembre) aurait convaincu ce dernier de revenir aux affaires. À 73 ans et jusqu'en 2024, date de la renégociation des droits télé. Caïazzo aurait été mis devant le fait accompli de ce retour, officialisé avec l'interview de Romeyer dans L'Équipe du 11 février. La veille de rompre son silence d'un an, alors qu'il regardait Rennes - Saint-Étienne au bar du club le Chaudron vert, Romeyer avait envoyé un SMS à Dominique Rocheteau, son directeur sportif, et à Paquet, leur ordonnant de fustiger l'arbitrage.

Comme il en avait pris trop souvent l'habitude, Paquet est monté, seul, au créneau. Pas suffisant, aux yeux de son président. Désavoué et désabusé, Paquet réfléchirait à partir en fin de saison. De retour, Romeyer brûle toutes les décisions de Paquet. Il avait acté le départ, libre, de Beric, en juin ? Romeyer a convoqué Amir Ruznic, son agent, la semaine passée. L'ASSE se montre désormais disposée à lui offrir 100 000 des 180 000 euros de salaire brut mensuel réclamé (contre 75 000 euros aujourd'hui) et un nouveau contrat de trois ans. Romeyer gère en solitaire le dossier de son chouchou, tandis que le retour de Blondel, pour épauler Gasset dans sa relation difficile avec Romeyer, est d'actualité."

Landrin reste sur sa faim

18/02 22:33
Image

Ancien milieu de terrain stéphanois et actuel directeur du service des sports de la ville de Veauche (Loire), Christophe Landrin a assisté hier dans le Chaudron à la défaite des Verts dans le QSG. Déçu par le contenu comme par le résultat de ce match, Robocop a livré hier ses impressions lors du debrief de France Bleu Saint-Etienne. Extraits.

"Je suis déçu de cette défaite, on attendait un peu plus de pressing de la part de Saint-Etienne même si on connaît la maîtrise technique de Paris. J'ai remarqué que lorsque cette équipe parisienne a le ballon, elle n'a pas besoin de courir après. Ils peuvent reproduire ce genre de match tous les trois jours. Le petit regret, c'est de ne pas être allé les chercher un peu plus haut un peu et plus tôt dans le match. Mais on se serait exposé davantage aux contres, de Mbappé notamment, qui nous a malheureusement privés du match nul. Je pense que Jean-Louis a surtout voulu éviter qu'on prenne une raclée. Les Stéphanois étaient bien regroupés, jouaient à cinq derrière. Cela fait partie des matches bonus pour beaucoup de clubs car on sait que Paris est intouchable. L'idée c'était de prendre au moins un point et pourquoi pas sur un contre de pouvoir marquer un but de plus. Mais ça ne s'est pas déroulé du tout comme ça. On a beaucoup défendu malheureusement, on avait peut-être moins de jus pour attaquer.

On a vu peut-être aussi les limites de Khazri et Cabella, quand ils avaient le ballon, il n'y avait pas forcément de solution supplémentaire vers l'avant, en tout cas pas de rapidité suffisante pour déséquilibrer le bloc parisien. Je pense que Khazri s'attendait à une autre physionomie de match, ça traduit aussi une grosse motivation. Il a été un peu maladroit, avec la fatigue et l'ouverture du score de Mbappé, il a montré aussi de la colère. C'est compliqué quand il n'y pas de solution dans la profondeur. Porter le ballon sur 30 ou 40 mètres, ça épuise et ensuite on n'a plus toute sa tête sur certaines réactions. Quuand Khazri est un peu moins bien, c'est toute l'équipe qui est un peu moins bien. J'ai vu de la frustration chez Khazri.

Le Chaudron ne s'est pas emballé, le match n'a pas été très emballant. Est-ce qu'il ne fallait pas lors du premier quart d'heure faire un pressing sur tout le terrain pour pouvoir les étouffer, les faire douter ? Je n'ai pas senti les Parisiens douter, à aucun moment. Sur un pressing, quelques bons ballons, on a eu des situations mais rien de suffisant pour les faire douter. Cela s'est ressenti dans les tribunes, tout le monde attendait autre chose. C'est difficile de mettre le feu dans les tribunes si le feu n'est pas mis sur le terrain. Les Verts sont cinquièmes, ils sont à leur place. Le match au Vélodrome dans deux semaines sera plus important que celui contre Paris. L'OM a le même nombre de points que nous, c'est plus une équipe dans nos cordes que peut l'être le PSG."

Bafé voit double en Ligue des Champions

18/02 18:51
Image

Meilleur buteur du championnat saoudien (16 pions en 20 matches), Bafé Gomis a réalisé un joli doublé avant-hier en quart de finale aller de la Ligue des champions arabe lors de la victoire (3-0) d'Al-Hilal contre les Egyptiens d'Al-Ittihad.

Saison terminée pour KMP !

18/02 17:17
Image

Selon le site officiel de l'ASSE, l'IRM passée ce jour par Kévin Monnet-Paquet a confirmé les craintes exprimées par Jean-Louis Gasset. Sur son tir de la 85e minute, lors de son 26e match de la saison, le numéro 22 des Verts s'est rompu le ligament croisé antérieur du genou gauche hier soir et sera donc indisponible 6 mois. Courage Kévin, tes supporters sont là !

Abed arbitrera les débats

18/02 15:11
Image

Alors que Ruddy Buquet et Lionel Jaffredo visionneront les images dans le camion, Karim Abed sera au sifflet ce vendredi soir dès 19h00 au stade Gaston-Gérard pour le match d'ouverture de la 26e journée qui opposera le barragiste dijonnais aux Verts. Ce Brignolais de 30 ans, qui avait officié le 12 janvier dernier lors de la victoire de Sainté à Guingamp, a déjà arbitré un match entre l'ASSE et le DFCO mais à Geoffroy-Guichard. Le 16 octobre 2016, les Stéphanois avaient arraché le nul à la 94e minute sur un penalty obtenu par Loïc Perrin et transformé par Nolan Roux au grand dam d'un Cédric Varrault expulsé.

Gourna et Lhery tapent le Brésil

18/02 14:42
ImageImage

L'équipe de France U16 a battu son homologie brésilienne 3-1 hier soir à Saint-George's Park (Angleterre) lors d'un tournoi de développement organisé par l'UEFA. Entré en jeu à la 40e minute en même temps que son coéquipier stéphanois Lucas Gourna, Yanis Lhery a marqué à la 46e minute le dernier but de la rencontre. Les deux protégés de Christophe Chaintreuil joueront contre le pays hôte demain à 19h00.

La fièvre du dimanche soir

18/02 09:15
Image

Sur son compte twitter, France Bleu Saint-Etienne Loire explique pourquoi le défenseur serbe des Verts a dû déclarer forfait hier soir. "Neven Subotic souffre d'un syndrome infectieux fébrile."

Tuchel loue le mental et les Verts

18/02 07:56
Image

En conférence de presse, l'entraîneur du QSG Thomas Tuchel a loué hier soir en conférence de presse le mental de ses protégés et la valeur de leurs adversaires.

"Je suis très heureux car c’est très difficile de jouer à Saint-Etienne, c'est une bonne équipe. J'étais confiant mais à 0-0, c'était possible que l'ASSE marque un but. Cette saison, seul Lyon avait gagné ici à la dernière minute. Le terrain était super difficile. C’est une belle victoire car l'équipe a montré un mental exceptionnel. C'est une victoire du mental. On est resté dans le match, on a défendu avec beaucoup d'intensité. On a été patient."

Rémy contredit Loïc

18/02 07:23

Image Image

En zone mixte, Dieu et RC7 ont commenté différemment la défaite d'hier soir, comme l'attestent ces déclarations parues dans Le Progrès du jour.

Loïc Perrin : "On a fait le match qu’il fallait. On a eu les situations, ils n’en ont pas eu énormément mais ils ont su faire la différence sur un but un peu venu d’ailleurs. Tactiquement, on a été pas mal. On savait qu’on n’aurait pas des millions d’occasions mais on les a eues. On les a embêtés en fin de match en jouant un peu plus haut. Ça se joue sur un détail comme souvent dans les gros matches et face aux grandes équipes. Sur un match, on peut rivaliser, pas sur un championnat. Ce soir, on n’a pas à rougir. C’est la qualité individuelle des joueurs qui fait la différence."

Rémy Cabella : "On n’a pas fait le match qu'il fallait sinon on aurait gagné. Mais si on n’a pas marqué, c’est qu’il nous a manqué quelque chose, sans doute dans la finition. On est frustré et déçu, aussi par rapport à la blessure de Kevin Monnet Paquet. Le résultat fait un peu de mal mais c’est face à une grande équipe de Paris. On aurait aimé prendre un point mais face à une équipe comme ça qui a une ou deux occases, ça ne pardonne pas, ils la mettent au fond."

Gasset agacé par les critiques sur Ruffier

18/02 00:49
Image

Invité à commenter le dégagement raté de Stéphane Ruffier à l'origine du but victorieux de Kylian Mbappé, Jean-Louis Gasset a répondu d'un ton sec et agacé en conférence de presse.

"C'est impossible de regretter d'avoir pris ce but à la suite de la relance de Stéphane. On est obligés dans des matches comme celui-ci, où l'équipe adverse a la maîtrise et vous étouffe, de perdre des ballons. Le jeu demande des fautes. Je n'ai aucun reproche à lui faire. Tout le monde était abattu car tout le monde avait l'impression d'avoir tout donné, d'avoir bien respecté ce qu'on avait dit. Personne n'était plus déçu qu'un autre. Cette saison, on a seulement perdu à domicile face à Lyon et le PSG. Ça doit vouloir dire quelque chose. Vous me dites que c'est suite à une relance de Stéphane qu'on a perdu le derby ? Ruffier est l'un des meilleurs gardiens français, voilà mon avis !"

KMP ? Gasset craint les croisés !

17/02 23:54
Image

Kévin Monnet-Paquet s'est blessé tout seul sur une frappe ce soir à la 85e du match perdu contre le QSG. "Je crois que sa blessure risque d'être très grave. Je pense aux ligaments du genou" a déclaré ce soir la mine sombre Jean-Louis Gasset en conférence de presse.

Kylian en killer

17/02 23:06
Image

Les Verts, qui ont longtemps tenu la dragée haute à de moyens Parisiens, se sont inclinés ce soir à Geoffroy-Guichard en match de clôture de la 25e journée de L1 marqué par les sorties sur blessure de Romain Hamouma puis Kévin Monnet-Paquet. Suite à mauvais dégagement de Stéphane Ruffier, Kylian Mbappé a marqué l'unique but de la rencontre (son 24e de la saison, le 19 en L1 !) à la 73e minute sur une reprise de volée à la Damien Bridonneau.

“Mon but? Dani Alves me la met bien, je la joue à l’instinct et je la mets dans la lucarne. On a joué une bonne équipe surtout à domicile. Ils jouent à fond le match et avec le coeur devant leurs supporters. Ils essayent de jouer au ballon aussi. Il n’y a pas beaucoup d’équipes qui vont venir gagner ici, nous on l’a fait. On est contents" a déclaré le champion du monde sur Canal + au micro de Laurent Paganelli

 

U17N : Aux Alouettes, les Verts ont plumé Montceau

17/02 17:27
Image

Les U17 nationaux de l'ASSE se sont facilement imposés 3-0 au stade des Alouettes sur le terrain de l'avant-dernier (Montceau).

Dominateurs, les Verts ont logiquement ouvert le score à la 20e sur un centre de Marie-Gaël Mukanya repris d'une frappe croisée par Mathys Saban. Juste avant la mi-temps, Jordan Morel (photo) a profité d'un ballon mal dégagé par la défense locale pour inscrire le but du break d'une belle frappe de 20 mètres sous la barre. Sur une nouvelle passe décisive de Marie-Gaël Mukanya, Yanik Venus a corsé l'addition à la 70e d'un intérieur du pied imparable.

La compo : Bourbia - Koutri, Sow, Vernet, Calodat (Sidibe, 71') - Fethiddine, Saban (Fatah), Morel - Mukanya, Bonnemain, Venus (Mongelli, 71').

La réaction de Christophe Chaintreuil : "On l'a emporté logiquement, le score aurait pu être beaucoup plus sévère si leur gardien n'avait pas sorti un gros match. On n'a jamais été mis en danger, Montceau n'a tiré qu'une seule fois au but. On a bien maîtrisé cette rencontre, on a été sérieux. Et termes de possession et de qualité, c'était pas mal. C'était intéressant dans le contenu face à une équipe qui n'est pas sortie même quand elle a été menée. Les garçons ont su être patients. Tout n'a pas été parfait, on a raté quelques face à face mais dans l'esprit c'était bien. C'était notre cinquième succès consécutif. A nous de rester sur cette bonne dynamique après les vacances, le 10 mars à domicile contre Dijon. On a toujours quatre points de retard sur le FC Lyon mais on revient à deux points de l'OL, qui a été tenu en échec par Montferrand."

U19 : des Verts bien en Cannes

17/02 17:13

Les U19 stéphanois ont dominé leurs homologues cannois ce midi sur le score de 4 buts à 2.

Les Verts ont fait une première fois la différence au sortir du premier quart d'heure en scorant deux fois en deux minutes. C'est d'abord Kelian Mersel qui après avoir récupéré un ballon à la médiane, a servi dans la profondeur Maxence Rivera (photo) qui a ouvert son compteur buts dès sa première apparition en U19, en lobant le gardien azuréen (1-0, 20e). Les Stéphanois ont rapidement enfoncé le clou à la suite d'un pressing haut permettant à Zakaria Bengueddoudj d'obtenir un pénalty après avoir récupéré le ballon. Baptiste Gabard s'est alors chargé de doubler la mise (2-0, 22e). Peu dangereux, les Cannois ont malgré tout profité d'un coup-franc généreux pour réduire la marque avant la pause (2-1, 40e).

Les Verts se sont à nouveau fait secouer sur coup de pied arrêté après la pause, puisque les Cannois ont égalisé sur corner à l'heure de jeu (2-2, 60e). Pas le temps de gamberger néanmoins dans la mesure où une percée de Maxence Rivera a permis de décaler Zakaria Bengueddoudj pour le troisième but (3-2, 62e). Les Stéphanois se sont définitivement mis à l'abri en fin de rencontre sur un service de Victor Petit pour Maxence Rivera qui après une très bonne prise de balle, a idéalement servi Samy Messili (4-2, 85e).

Ne comptant qu'une unique défaite toutes compétitions confondues cette saison, les Verts de Razik Nedder confortent leur deuxième place du Groupe D à 4 points du leader montpelliérain.

 

La composition : Crémillieux - Durivaux, Halaimia, Leleux (Roubat, 60e), Mezaber - Mersel, Petit (Gago, 85e), Gabard - Sidibé (Messili, 60e), Bengueddoudj, Rivera.

 

La réaction de Razik Nedder : "C'est un match qu'on aurait dû se rendre plus facile en étant plus tueurs tôt dans le match. Mais on a manqué de rigueur, de rigueur défensive en particulier, et on s'est fait peur. Ce n'était pas un super match. On a joué une équipe qui se bat pour le maintien, un adversaire agressif et bien organisé, et le match a été un peu fermé. La satisfaction prédomine malgré tout car c'est important de savoir gagner ce type de rencontres. Aujourd'hui c'est surtout le talent de certains de nos joueurs qui a fait la différence. Et puis on entretient notre dynamique de matchs sans défaite, c'est positif."

On ne verra pas Verratti

17/02 16:01
Image

Laissé au repos après son match à Manchester, Marco Verratti n'est pas dans le groupe parisien qui affrontera les Verts ce soir à Geoffroy-Guichard selon Le Parisien. Pour rappel, le QSG sera également privé de Neymar, Cavani, Meunier et Choupo-Moting. Aux Verts d'en profiter pour faire tomber le leader et revenir à trois points des vilains !

Veretout se paie la SPAL

17/02 15:48
Image

La Fiorentina s'est imposée 4-1 sur le terrain de la SPAL en début d'après-midi grâce à un penalty (signalé par la VAR) de Jordan Veretout (son 4e transformé cette saison en Série A). Averti à la 25e minute et passeur décisif à la 80e, l'ancien Canari a joué l'intégralité de la rencontre contrairement à son coéquipier Bryan Dabo, entré en jeu à la 82e.

Willkommen in der grünen Hölle ! (4)

17/02 14:30
Image

11 Freunde publie dans son édition de février un reportage sur l'ASSE, "mythe français qui fête ses vieux poteaux carrés", "club français le plus riche en émotions." Vous n'avez pas pu vous procurer le numéro de ce réputé mensuel allemand ? Vous ne maîtrisez pas la langue de Roland Wohlfarth ? Pas de panique, le potonaute Ellestin vous propose une excellente traduction. Willkommen in der Grüne Hölle ! Bienvenue dans l'enfer vert ! Quatrième et dernier extrait.

Le contraste avec ce qui nous attend le jour suivant ne saurait être plus brutal. Ce vendredi soir, Saint-Etienne affronte en effet une équipe qui n’a que faire de la mélancolie et des temps anciens. Cet adversaire, c’est Paris, le surpuissant champion en série, un effectif bâti à coups de millions d’euros par le Qatar, dont pas moins de 222 dépensés pour un seul joueur. Le musée du Paris-Saint-Germain ne devrait mettre en valeur que les années à compter de 2011, date d’entrée du fonds souverain qatari dans le club. Pour les actuels propriétaires, toutes les saisons antérieures ne sont qu’une encombrante remorque à traîner.

Une atmosphère électrique plane sur Saint-Etienne à l’heure de cette lutte des classes. C’est un jour où le sang des romantiques les plus tendres se met subitement à bouillir. Dans le bar du club, on s’échauffe les cordes vocales plusieurs heures avant le coup d’envoi. Dans le stade à guichets fermés de Saint-Etienne, les fans sont debout sur les sièges. A Geoffroy-Guichard, il existe deux tribunes debout qui se font face : le Kop Sud et le Kop Nord, chacune avec son groupe ultra spécifique. Des deux côtés, on entame des chorégraphies et on allume des fumigènes. « Battez-vous pour votre club, mouillez le maillot et respectez vos couleurs », peut-on lire sur une large banderole. Des chants s’élancent des deux extrémités du stade et se percutent sur la ligne médiane. On se croirait un soir de coupe, sous les feux des projecteurs.

Jeff Vernet, l’homme des derniers petits verres au bar, agite consciencieusement son écharpe comme une hache de guerre. Lui et sa bande ont pris place dans le Kop Nord. Monnet-Paquet, le héros du derby, s’aiguise les crampons sur l’aile gauche – comment les choses pourraient-elles mal tourner ? Et en effet, Saint-Etienne joue ce soir-là comme si le maintien ou le titre étaient en jeu. Ils font pleuvoir attaque sur attaque, que Paris a toutes les peines du monde à contenir. « Le PSG n’a jamais été autant mis à l’épreuve de toute la saison », écrira L’Equipe le lendemain. Saint-Etienne ouvre la marque à la 17e minute, et obtient un penalty à la 31e – raté. Le champion désigné Paris parvient à tenir le choc jusqu’à la mi-temps. Jeff et les autres secouent la tête, les yeux écarquillés. Incroyable* ! A Saint-Etienne, tout semble effectivement possible.

Au coup d’envoi de la seconde période, les Ultras brandissent une bannière : C’est combien le prix à l’unité ?*Un message à destination de la Ligue de football française. Puis ils déroulent sur toute la longueur de la tribune un gigantesque ruban de mesure. Au-dessus de chaque graduation brille un feu de Bengale. Une vingtaine au final. L’enfer vert est littéralement en flammes. Ils entonnent leur chant, d’abord à voix basse, puis à l’unisson, assourdissant : Schalalala oh Saint-Etienne, SCHALALALALALALA OH SAINT-ETIENNE !

Paris monte en puissance, les jambes des locaux se mettent à faiblir. Pourtant, Saint-Etienne tient jusqu’au temps additionnel. Les joueurs parviennent à défendre ce 1-0, synonyme de victoire. En tribune, Jeff chante de plus en plus fort, comme s’il pouvait par sa voix maintenir le ballon loin du but. On joue alors la troisième minute du temps additionnel. Un centre parisien arrive de la droite dans la surface de réparation, la star Kylian Mbappé met la tête, mais ne peut qu’effleurer le cuir, qui file devant le but. Sans danger. Ou presque. Car Mathieu Debuchy, le défenseur de Saint-Etienne, se trouve pile sur la trajectoire. Il n’a pas le temps de s’esquiver. La balle lui rebondit sur la cuisse, et termine sa course dans les filets. Dans ses propres filets. A la dernière minute.

Les joueurs de Saint-Etienne s’écroulent à terre, se prennent le visage dans les mains. L’arbitre siffle la fin du match dans la foulée. Un total de 34 fans parisiens (on les a comptés) jubilent, même si personne ne les entend. Jeff a les mains croisées derrière la tête. Cela dure une demi-minute. Pas un bruit. Puis il secoue son voisin et lui désigne le cœur de la tribune. « Regarde ». Un chant suivi d’applaudissements s’élève d’un premier groupe. Puis de tout le bloc, avant de gagner le stade. DEBUCHY ! DEBUCHY ! DEBUCHY ! Tous scandent le nom du malheureux buteur contre son camp. Puis c’est toute l’équipe qui est célébrée.

Et après une soirée d’ivresse, les lumières s’éteignent sur la ville noire à l’enfer vert. D’abord la mélancolie. Puis les encouragements. Et enfin un CSC pour un final on ne peut plus dramatique. Mais nous avions été prévenus : à la fin, ce sont les larmes qui coulent. Pour la deuxième fois à Saint-Etienne.

 

* en français dans le texte

Dijon mal en point(s)

17/02 14:23
Image Image

N'ayant pris que 4 petits points lors des 8 dernières journées de L1, plusieurs membres du DFCO tirent la sonnette d'alarme dans la dernière édition du Bien Public avant de recevoir les Verts vendredi à 19h00 en match d'ouverture de la 26e journée de L1.

Antoine Kombouaré : "On le sait qu’on va devoir lutter et batailler jusqu’à la 38e journée. Je reste persuadé qu’il y a la place pour se maintenir et grappiller des points dans les matches qui vont venir."

Mehdi Abeid : "Il va nous falloir des points, sinon ça va être chaud pour nous. Si on perd, c’est qu’on lâche trop vite. Et si on continue comme ça, on y va tout droit."

Wesley Lautoa (suspendu contre Sainté comme Ousmane Haddadi) : "On s’est mis dans cette situation tout seul, il va falloir assumer. Maintenant, il ne faut plus regarder les adversaires. C’est à nous de faire les choses. À nous de nous bouger pour aller chercher des points, parce qu’on en a grand besoin. On n’a que 20 points. À un moment donné, il va falloir gagner des matches et arrêter de regarder les autres."

Amavi, moins belle la vie

17/02 10:18
Image

S'il a réalisé hier contre Amiens "son meilleur match depuis un an" dixit La Provence, Jordan Amavi a mangé une biscotte lors de la victoire de l'OM qui lui permet de repasser provisoirement devant l'ASSE (à la différence de buts). Comme il avait déjà été averti contre Andrézieux et Caen, le latéral gauche phocéen manquera la réception du plus grand club français programmée le dimanche 3 mars à 21h00 en clôture de la 27e journée de L1.

Nasser encense les Verts

17/02 09:24
Image

Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, le président du QSG Nasser Al-Khelaïfi encense les dirigeants, l'entraîneur et les supporters des Verts.

"Mes relations avec les dirigeants stéphanois sont excellentes. Bernard et Roland accomplissent un travail extraordinaire, à la fois pour leur club et pour défendre, à nos côtés et avec d’autres dirigeants de clubs français, les intérêts du football français. J’échange d’ailleurs régulièrement avec Bernard, qui est un excellent président de Première Ligue et que j’ai eu aussi le plaisir de voir à Doha, début janvier, pour l’Open masculin de tennis. Depuis 2011, année de notre arrivée à Paris, je constate que les Verts sont bien installés dans le premier tiers du Championnat et, à force de travail et de persévérance, je suis convaincu qu’ils finiront par revenir sur le podium et retrouver la Ligue des champions. Ce club le mérite car il compte toujours énormément de supporters et il s’appuie sur une grande histoire.

Je suis extrêmement heureux pour Jean-Louis. Je sais le rôle très important qu’il a tenu au Paris Saint-Germain du temps de Laurent Blanc. Il était très apprécié de tous, pour sa personnalité et son expertise du football. Il a toutes les compétences et l’expérience pour manager une équipe comme Saint-Etienne. On sent qu’il a transmis à ses joueurs son exigence et ses ambitions. Je lui souhaite le meilleur pour la suite de son aventure chez les Verts. Saint-Etienne a marqué l’histoire du football français en ce sens qu’il a été le premier club à déclencher un véritable engouement national dans les années 1970. Cette flamme existe encore, et tant mieux pour ce grand club qu’est l’AS Saint-Etienne. Plusieurs années après, nous sommes fiers, au PSG, de voir que nous sommes devenus à notre tour le club le plus populaire de France et celui qui soulève le plus de passions."

Wahbi habile sauf de la boule selon Maâloul

17/02 09:04
Image

Ancien sélectionneur de l'équipe de Tunisie (d'avril 2017 à juillet 2018), Nabil Maâloul souligne sur Eurosport les nombreuses qualités du numéro 10 des Verts avant d'évoquer son point faible.

"A Sunderland c’était son premier exil, dans un championnat qu’il découvrait, et dans un club qui n’allait pas bien. Cela ne s’est pas passé comme il l’imaginait, il a traversé des moments difficiles, s’est sans doute endurci, mais il a su rebondir. Revenir en France, à Rennes, fut une excellente décision. Comme c’est un joueur capable d’être performant sur tous les fronts de l’attaque, car il sent le jeu, je ne suis pas étonné qu’il se soit très vite affirmé comme un buteur. Il a une bonne technique, il va vite, et il sait faire les bons choix. C’est un attaquant qui peut marquer et faire marquer car il est adroit, son registre est complet. Sa vitesse lui permet souvent de faire la différence sur les petits espaces, ou sur dix mètres. Il a aussi cette qualité d’avoir un bon sens du placement et de faire de bons appels. Wahbi, c’est un affectif, il a besoin de se sentir aimé. Saint-Etienne a fait de gros efforts pour le recruter, et Wahbi y a été sensible. Comme c’est un garçon qui ne triche pas, il donne beaucoup en retour. Il n’aime pas spécialement le jeu aérien, ce n’est pas trop son truc. Mais je pense qu’il pourrait s’améliorer et en profiter pour marquer davantage de buts."

Un Paquet de compliments

17/02 08:48
Image

Deux anciens dirigeants du LOSC encensent le DG de l'ASSE Frédéric Paquet dans la dernière édition du Parisien.

Luc Dayan (ex-président) :  "C’est quelqu’un de droit, de fidèle, d’honnête et de bosseur, énumère Luc Dayan, l’ancien président de Lille. Je pense que l’expérience acquise au Losc l’a énormément aidé à appréhender ce qu’il avait à faire à SaintEtienne.  Fred a les épaules. Vu le fonctionnement de Saint-Etienne, c’était indispensable. Son arrivée a coïncidé avec un bon parcours à tout point de vue. On a toujours pensé lui et moi que ce qui se déroule sur le terrain, c’est le reflet de ce qu’il se passe dans l’environnement. Si l’environnement est bien structuré, normalement, ça fonctionne bien."

François Vitali (ex-directeur de la cellule de recrutement) : "Il aime diriger, manager des projets et les développer. Il pousse les gens à être meilleurs. C’est quelqu’un d’exigeant, de pas toujours facile. Il peut être autoritaire, dur, conflictuel. Ce serait mentir que de dire le contraire. Mais il est organisé et structuré. Je suis persuadé que, si le LOSC a été champion de France, c’est parce qu’il a donné les moyens à tout le monde. Il a pris des risques, c’est vrai, mais pour gagner il faut aussi en prendre."

Un grand défi pour Tuchel !

17/02 08:48

Lors de la conférence de presse d'hier, l'entraineur Parisien Thomas Tuchel s'est exprimé sur notre équipe :

"C'est une équipe très forte, et qui réussit plutôt bien contre les grosses cylindrées du championnat, et contre le top 5 de Ligue 1. C'est une équipe qui a de l'expérience, et beaucoup de qualité. On sait que l'ambiance à Saint-Etienne est aussi très forte, ce sera un grand défi pour nous de les jouer à ce moment là de la saison. Quand on est au Paris Saint-Germain, il faut s'attendre à jouer ce genre de matches, il faut être prêt et bien préparer pour chaque rencontre parce que nous sommes très attendus. On a eu deux jours de repos, et deux pour bien se préparer. Il est nécessaire de jouer à notre meilleur niveau si nous voulons gagner à Saint-Etienne."

Roro et Nanard ouverts aux billets verts ?

17/02 08:35
Image

Le Parisien rappelle aujourd'hui que Nanard et Roro sont toujours ouverts à l'arrivée de nouveaux actionnaires (un investisseur amériacin serait intéressé selon But !). Le quotidien francilien précise que "les discussions tournent sur une participation à hauteur de 20 à 30 %."

Roussey donne la recette

17/02 08:12

Image

Dernier entraîneur des Verts à avoir vaincu le QSG dans le Chaudron en Ligue 1, Laurent Roussey s'est confié au Progrès avant le choc de ce soir. Extraits.

"Trois jours avant, on avait gagné à Tel Aviv contre Hapoël Tel Aviv en Ligue Europa sous une grosse chaleur. On avait eu 6 heures de vol. Du match lui-même, j’ai le souvenir du but de Dabo, magnifique, d’une frappe de 25 mètres qui était allée dans la lucarne opposée, alors qu’il jouait arrière latéral. C’était un but d’un autre monde pour lui qui n’en inscrivait pas beaucoup. Et puis, rencontrer Paris, c’était un gros match. C’était une belle équipe déjà. Nous, on avait une problématique : Pascal n’avait pas joué car il était en instance de départ.

Le championnat français s’est affaibli mais Saint-Etienne reste à son niveau. Ce que fait le club est plutôt cohérent. Il y a eu peu de changements par rapport à des équipes comme Monaco, l’OM, Bordeaux, Nantes. Saint-Etienne a fait un bon recrutement la saison dernière lors du mercato d’hiver car il y avait un gros danger. ll est logique que les Verts postulent à la 4e place. Aujourd’hui, il est plutôt agréable de regarder Saint-Etienne. L’ASSE s’appuie sur une défense solide, et Khazri apporte quelque chose en plus sur le plan offensif même si on aimerait qu’il y ait un peu plus de fluidité dans le mouvement, des situations offensives collectives.

Pour tenir tête à Paris, l’élément numéro 1, c’est d’essayer de rivaliser techniquement. C’est avoir un jeu collectif de passes qui te permet d’avoir une maîtrise et une utilisation du ballon dans la moitié de terrain adverse. Mais c’est compliqué. La problématique, c’est qu’en Ligue 1, Paris n’a pas besoin de se fatiguer pour récupérer les ballons. Comme ils ne perdent pas d’énergie dans ce domaine, ils peuvent la concentrer sur les attaques. Et comme ils ont du talent… Quand ils te percutent, ça fait mal !

La plupart des équipes de Ligue 1, lorsqu’elles ont récupéré le ballon contre Paris, veulent à tout prix aller vite pour tenter de les mettre en difficulté. C’est une solution. Mais il en faut une deuxième. À savoir avoir suffisamment de maîtrise technique pour les faire courir. C’est ce qu’a su faire Lyon. Quand ils sont bien, les Lyonnais sont capables d’aller chez l’adversaire. Paris n’est pas forcément habitué à cela. Ça les contrarie. Sinon, il faut avoir une grosse défense pour ne pas prendre de but. Et puis profiter d’un contre. Mais c'est très aléatoire.

Paris risque d’être dans l’euphorie. Ça peut tourner de deux manières. Il peut y avoir un peu de relâchement et à partir de là, Saint-Etienne peut espérer beaucoup. Ou alors, tout leur réussit et ils seront difficilement arrêtables. L’ASSE a souvent fait de bons matches contre Paris, parce que c’est quand même LE match de l’année. J’ai tendance à penser que le contexte est plutôt favorable."

 

U15 : un match nul débridé à Grenoble

16/02 22:40


Un doublé pour Jibril Othman

 

Les U15 de Jean-Philippe Primard, après leur belle victoire à Thonon Evian (0-5) la semaine dernière, se déplaçaient aujourd'hui à Grenoble pour une rencontre en retard comptant pour la 13ème journée du championnat. Le match s'est terminé, comme à l'aller (1-1), sur un score nul (3-3) après bien des péripéties.

Les Stéphanois entraient rapidement dans le vif du sujet. Youssef N'Joya N'Gapout, pénétrait dans la surface côté gauche et adressait un centre rentrant que Jibril Othman effleurait suffisamment pour tromper le gardien. (0-1, 5ème).
Quelques minutes plus tard, Yanis Zarzour trouvait, dans la surface, Jibril Othman lequel dribblait et adressait une frappe croisée, au sol, qui faisait mouche. (0-2, 11ème). C'était bien parti !
Sur une longue transversale stéphanoise perdue, un Grenoblois récupérait le ballon au milieu, à une trentaine de mètres, s'avançait et devant la passivité de la défense, frappait victorieusement, de vingt mètres au sol, au ras du poteau. (1-2, 14ème).
Deux minutes plus tard, Beni Seda Mfukumoko, bien servi par Yanis Zarzour, pénétrait dans la surface, profitait d'un contre favorable pour décocher, du point de penalty, un extérieur pied droit, au sol, qui terminait au fond des filets isérois. (1-3, 16ème).
  Quasiment sur l'engagement, Elias Herek, près de la touche côté gauche, manquait sa remise vers l'intérieur, ce dont profitait l'attaquant grenoblois pour filer au but. Djibril Fenkrouz le poussait légèrement et était sanctionné d'un penalty. (2-3, 18ème). La fin de mi-temps était difficile pour les Verts mais le score en restait là avec ce petit avantage. 
Après le repos les Verts privilégiaient la solution individuelle au détriment du collectif. Ils se faisaient rejoindre, suite à un centre côté droit, repris dans l'axe d'une frappe lobée qui terminait dans la lucarne. (3-3, 61ème). Par la suite, les attaques se succédaient de part et d'autre mais le score n'évoluait plus. Les Verts s'installent à la deuxième place du classement et comptent encore un match en retard qui sera disputé à Annecy le 3 mars.

La composition : Jammes - Zarzour (Hospital 57ème), Abdellaoui (N'Gongar Christ 55ème), Fenkrouz, Herek (Zarzour 64ème) - Jetishi, Besson (Gauthier 36ème), Seda Mfukumoko, Merat - N'Joya N'Gapout, Othman.

La réaction de Jean-Philippe Primard : "Ce match a été incroyable. En première mi-temps, on a été dangereux sur le plan offensif.mais on s'est compliqué la tâche avec ces deux buts consécutifs à deux grosses erreurs. C'est sûr qu'à 0-3 ce n'était pas pareil. Il nous aurait fallu pouvoir conserver un peu plus longtemps notre avantage à 3-1. le match aurait été presque dans la poche.  Au lieu de ça, on les remet tout de suite en confiance. On a fini difficilement la première mi-temps et eux étaient reboostés d'être revenus très vite au score après nos buts. En seconde période, nous n'avons pas été très bons collectivement. Nos attaquants ont fait preuve d'excès d'individualisme et n'ont pas joué collectivement. Chacun voulait essayer de faire la différence tout seul. Ce serait acceptable quand l'action est bien préparée et que c'est le moment opportun de choisir la solution individuelle, mais là, cela a été trop systématique. Nous avons manqué de jeu simple et collectif. Après l'égalisation, ça a attaqué de toutes parts. On aurait pu gagner, comme Grenoble aurait pu gagner. Il y a eu de belles situations de chaque côté. 3-3, c'est un moindre mal. C'est un résultat logique sur la prestation que nous avons faite. Je suis décu de notre deuxième mi-temps, dans les intentions, dans le jeu que nous avons proposé. Ce n'était pas ce que j'attendais."    

Des Verts bien mûrs

16/02 22:21
Image

Comme le souligne l'agence de statistiques sportives Opta, l'ASSE a aligné en 2019 les 3 onze de départ les plus vieux de la saison en Ligue 1 (contre les vilains, les Nantais et les Rennais). C'est chez les Canaris que Jean-Louis Gasset a aligné son équipe la plus mure (29 ans et 195 jours de moyenne d'âge).

Partager