Bafodé ne veut plus de faux départ

27/04 10:31
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Apparu à huit reprises cette saison en L1, le défenseur central toulousain Bafodé Diakité s'est confié au site Goal avant de défier Sainté cet après-midi en finale de Coupe Gambardella. Extraits.

"On ne peut pas dire qu'il y a un favori. On prend ce match comme une revanche de la finale U17 perdue la saison dernière contre Rennes. Les joueurs qui étaient présents en finale l'année dernière ne peuvent qu'espérer être dans un meilleur état d'esprit encore. On ne peut pas perdre deux finales d'affilée. Je ne dis pas que c'est impossible, mais on ne peut pas se le permettre.

On veut gagner, c'est tout, et pour ça on veut garder ce qu'il y a eu de bon sur la finale de l'an passé tout en faisant ce qu'il faut pour espérer faire mieux cette fois-ci. il faudra mieux rentrer dans le match. On avait encaissé un but dès la troisième minute qui nous a empêché de prendre confiance. Si on aborde le match de la bonne manière, on pourra se lâcher un peu plus au fil de la rencontre en espérant marquer ce but si important."

Faudra pas déconner face à Taoui, Adli et Koné !

27/04 09:48
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Malgré l'absence de William Saliba, l'ASSE alignera cinq joueurs professionnels cet après-midi au Stade de France (Stefan Bajic, Wesley Fofana, Kenny Rocha Santos, Bilal Benkhedim, Charles Abi) en attendant les très probables signatures de Marvin Tshibuabua, Abdoulaye Sidibé et Tyrone Tormin.

De son côté, le TFC compte déjà huit U19 passés pros : les défenseurs Bafodé Diakité (2000), Moussa Diarra (2000), Mathieu Goncalves (2001), les milieux de terrain Amine Adli (2000), Nathan N'Goumou (2000), Manu Koné (2000) et les attaquants Adil Taoui (2001), Stéphane Zobo (2000).

Trois ce ces Pitchouns sont mis à l'honneur dans la Pravda du jour.

Adil Taoui, l'artiste

Depuis son étincelant tournoi du Val-de-Marne avec l'équipe de France des moins de 16 ans en octobre 2016 - dont il a élu meilleur joueur -, son statut a changé. Adil Taoui est devenu un « prospect » très regardé sur la scène européenne. Son ascension a été ralentie en 2017 par une rupture des ligaments croisés du genou. Le Limougeaud a réussi son come-back. Ce milieu offensif, dribbleur, rapide, véloce, a participé activement, avec 7 buts et 5 passes décisives, au parcours du TFC en Gambardella. Son triplé face au Havre en huitièmes de finale (6-0), ponctué d'une réalisation splendide - dribble derrière la jambe d'appui, frappe lucarne - a marqué les esprits. Arrivé du TFC en 2017, Taoui a signé pro - trois ans - dès juin 2018, devenant le plus jeune Toulousain à parapher ce type de bail. Il intégrera la rotation de l'équipe professionnelle à court terme.

Amine Adli, le clairvoyant

Le prototype du beau joueur. Après deux ans au pôle de Castelmaurou, Amine Adli , originaire de Béziers, s'est engagé à Toulouse en 2015. Depuis, ce meneur de jeu gaucher, capable de jouer en numéro 8, étire sa progression au TFC. Ce qui marque avec lui, c'est cette clairvoyance, cette capacité à faire les bons choix dans le dernier geste. Efficace dans le un contre un, Adli, doté d'une première touche intéressante, est surtout très à l'aise dans le jeu combiné. En dépit d'un physique encore un peu léger - 1,78 m, 64 kg -, il est amené à intégrer rapidement la rotation de l'équipe première en L 1. Il a signé pro trois ans en novembre.

Manu Koné, le distributeur

Originaire de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine) - et passé par le Paris FC et l'ACBB, ce milieu très à l'aise techniquement s'est révélé pleinement cette saison. En club, où il est devenu un cadre essentiel du groupe de Jean-Christophe Debu, et en équipe de France des moins de 18 ans qu'il a intégrée et plus quittée depuis l'automne. Très à l'aise dans le jeu sous pression et performant dans les orientations de jeu, Koné peut occuper tous les postes du milieu. Il a signé en décembre un contrat jusqu'en 2021 avec le TFC. À terme, il sera le successeur au milieu d'Ibrahim Sangaré en équipe première.

C'est dit, Zanko !

27/04 09:04
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La FFF a recueilli les propos des directeurs de centre de formation du TFC et de l'ASSE avant la finale de Coupe Gambardella programmée ce samedi à 17h15. Extraits.

Denis Zanko : "La formation fait partie intégrante de l’ADN du TFC depuis toujours. La Coupe Gambardella, par son rayonnement et son exposition médiatique, permet de mettre en lumière le travail de l’ombre effectué depuis de nombreuses années. C’est une juste récompense pour cette génération, pour nous les formateurs, ainsi que pour tous ceux qui m’ont précédé. C’est une joie immense de retourner au Stade de France. Je ne suis au club que depuis 2017, et pourtant je sais tout de la finale remportée en 2005, tout le monde en parle encore du 6-2 contre l'OL.  Cela marque les esprits, les supporters savent ce que ce titre représente : quand une génération va loin dans la compétition, on a la quasi-certitude de voir certains poursuivre en professionnels. C’est un petit clin d’œil de retrouver Philippe Guillemet en face. Nous nous sommes connus très jeunes joueurs à Laval, avant de retravailler ensemble à Valence. Pour ce match, on sera dans la même tribune à regarder les jeunes pousses de nos clubs."

Philippe Guillemet : "La formation a toujours été prépondérante à l’ASSE. Dans ses plus belles années, une grande partie de l’effectif était formée au club (Dominique Rocheteau, Jean-Michel Larqué, etc.). Cette saison, Jean-Louis Gasset a souhaité faire de la place pour les jeunes du centre, en match ou aux entraînements, et cela profite à tout le monde. L'ASSE va jouer sa dixième finale de Gambardella, c’est une grande satisfaction, c’est une coupe magnifique. Même si l’objectif principal reste de former de futurs pros pour l’équipe première, notre parcours nous rend fiers. Et j’ai la chance de retrouver un ami de longue date en face ! C’est anecdotique, mais c’est un plaisir pour nous. Nos joueurs sont issus de trois générations différentes. Une grande partie est issue de la préformation ou est originaire de la région. En moyenne, cela fait six ans qu’ils évoluent sous nos couleurs, ils se connaissent et s’apprécient. Cette finale récompense ce formidable esprit qui les anime ainsi que le travail de longue haleine réalisé au fil du temps."

Du Debu à la fin

27/04 08:41
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Dans Le Progrès, l'entraîneur des U19 toulousains Jean-Christophe Debu évoque la finale de Coupe Gambardella que ses Pitchouns joueront cet après-midi contre les Verts.

"Depuis quatre saisons, on rencontre les Verts et c’est toujours compliqué. Faire un résultat contre l’ASSE reste une référence par rapport à la valeur du centre de formation, du travail effectué et des joueurs qui composent l’équipe. Ce sera un match différent car il y a un enjeu important. Mais on s’en sert dans le programme de formation : les joueurs ont besoin de s’évaluer sur ce genre de gros match.

Les deux équipes auront pratiquement la même moyenne d’âge. Le rapport de force se fera sur la gestion émotionnelle, l’aspect mental et athlétique. Les saisons sont longues et les épreuves du Bac approchent pour certains. Psychologiquement, c’est une période délicate. Razik Nedder, je l’ai découvert cette année. Quand on a affronté l’ASSE en championnat, j’ai vu une organisation tactique respectée et une vraie discipline."

On est tous des enfants verts

27/04 08:27
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Razik Nedder s'est confié au Progrès avant de défier le TFC en finale de Coupe Gambardella aujourd'hui à 17h15 (match à suivre en direct sur France 4 et Eurosport 2). Extraits.

"Je sens les garçons concernés. On n’est pas un staff qui a l’habitude d’avoir la pression. On est plutôt des mecs cool, qui ont tendance à ne pas trop se prendre au sérieux. C’est ce qui fait notre force depuis le début de cette aventure. On est rigoureux dans notre travail au quotidien, dans la préparation des matches, mais dans la vie de tous les jours, on est plutôt cool.

Toulouse est une belle équipe, très complète et mature, avec beaucoup de qualités techniques. Elle joue avec beaucoup de joueurs nés en 2000. On a des qualités aussi. Il faudra faire un grand match pour remporter ce titre. Il faut qu’on garde notre football et qu’on ait la volonté d’avoir le ballon, de le récupérer le plus rapidement possible. C’est ce qui a fait notre force. On a la chance de n'avoir joué que des grands centres de formation tout au long de notre parcours. On va continuer à faire ce qu’on sait faire de mieux.

Pas mal de jeunes sont apparus cette saison avec les pros. Bien sûr qu’en s’entraînant avec eux, on a vu des garçons grandir. Sans parler de William qui peut être considéré comme une exception, que ce soit Bilal, Kenny, Charles ou d’autres, on se rend compte qu’ils grandissent plus vite. William ne jouera pas la finale mais notre projet, c’est quelque chose de collectif. En plus, on a la chance d’être fourni au poste de défenseur central : Wesley Fofana et Marvin Tshibuabua seront des grands joueurs.

On veut rester focus sur le match. Moins on va parler de ce qu'il y a autour, moins ils vont y penser. On survole le sujet. Ils rêvent tous de jouer à Geoffroy-Guichard devant 40 000 personnes qui font beaucoup de bruit, il n'y a rien de mieux pour se former que cette finale. Les joueurs savent qu’on joue pour un club. Ils ont vu la foule se déplacer lors des tours précédents. On est conscient que l’AS Saint-Etienne veut des titres, à tous les niveaux. On a l’occasion de leur en offrir un. On est tous des enfants verts. On a à cœur de remporter le titre pour le club. Ramener cette Coupe Gambardella à 32 ans, chez moi, dans ma ville, mon club, ça serait un régal."

Lacroix parti pour rester au HSV ?

26/04 22:48
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Léo Lacroix, qui avait publiquement déploré son faible temps de jeu en Allemagne il y a trois mois, avait envisagé un retour au FC Sion dans les derniers jour du mercato hivernal. Mais le géant vert, actuellement sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2020, vient d'enchaîner trois titularisations avec le HSV, deuxième de L2 allemande. Selon Bild, Hambourg envisage de lever l'option d'achat de l'international suisse, légèrement inférieure à 2 M€. "J'ai toujours travaillé dur parce que je savais que j'aurais ma chance" savoure le natif de Lausanne, complimenté par son coach Hannes Wolf suite à son excellente prestation contre le leader Cologne. "Il joue très bien."

Pour Gasset, Toulouse sera coriace

26/04 21:43

En conférence de presse, Jean-Louis Gasset a été invité à s'exprimer sur Toulouse, son adversaire du week-end : "J'ai dit aux joueurs que la saison était bonne mais qu’elle pourrait être très bonne ou exceptionnelle en fonction de nos derniers résultats. Toulouse sera un adversaire coriace, qui obtient beaucoup de penalties. Ils sont bons aussi sur les coups de pied arrêtés. Personne ne nous donnera rien. On va tout faire pour arriver le plus haut possible. Les joueurs ont tellement envie d’être à 100 % chaque jour, à l'entraînement, qu’il faut que je les freine afin qu'ils gardent leur énergie pour le jour du match. La volonté de finir en beauté est là."

L'expérience a fait la différence

26/04 21:34
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Comme le rapporte France Bleu Marne, l'entraîneur rémois David Guion est revenu aujourd'hui en conférence de presse sur la victoire des Verts à Auguste-Delaune.

"On s'était préparé à ce match là pour continuer à avoir l'ambition d'aller le plus haut possible. Mais on s'est vite aperçu de la différence entre cette équipe très mure, très expérimentée et le Stade de Reims. On a vu la différence entre une équipe européenne et une équipe promue. C'est quelque chose que l'on a un peu vite oublié car il y a 10 mois on était encore en Ligue 2. Mais cette rencontre face à Saint-Etienne me permet de voir les garçons face à un enjeu, leur comportement, leur attitude, ça c'est important pour moi pour l’avenir car c'est la première fois que certains sont confrontés à ce genre de match. Je rappelle, quand on regarde notre attaque, entre deux joueurs qui jouaient en Nationale 2 l'année dernière qui ont 0 match en pro et qu'en face vous avez Khazri, Hamouma, Cabella, vous imaginez que l'on part avec un déficit d'expérience et on l'a très bien vu à travers ce match là de par l'enjeu qu'il y avait."

Motivé comme Cornet

26/04 19:22

 

En conférence de presse, le vilain Maxwel Cornet a déclaré être motivé à l'idée de terminer devant Sainté : "Tant que le championnat n'est pas fini tout est jouable. Il y a Saint-Etienne qui nous talonne. A nous de faire ce qu'il faut pour maintenir notre place, pour aller chercher plus haut. Saint-Etienne derrière nous ? C'est une source de motivation supplémentaire, ce n'est pas la plus importante. A nous de rester professionnels, d'être performant durant les matchs."

Alain numéro un !

26/04 18:35

Le site actufoot nous informe qu'Alain Bénédet, ancien milieu de terrain de Saint-Etienne (1986-1987), sera l'entraineur du FC Blagnac (N3) dès la saison prochaine. Alain Bénédet était sans poste depuis son départ d'Auxerre en décembre 2017 ou il officiait en tant qu'adjoint de Francis Gillot. 

Un dimanche princier ! (2)

26/04 15:49

Suite à la programmation du match Monaco-Sainté le 5 mai, le groupe des Magic Fans vient de communiquer via son compte Twitter la décision de boycotter ce déplacement si le match est maintenu à cette triste date du football français.

Himeur à la fin

26/04 08:26
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Ayant arrêté un péno en quart contre Tours et deux tirs au but en demi contre Montpellier, le gardien U19 toulousain Thomas Himeur évoque la finale de Coupe Gambardella dans la dernière édition de La Dépêche du Midi.

"C'est un rêve de jouer un match au Stade de France, encore plus quand c'est une finale de coupe. Je pense que je réaliserai seulement le jour de la finale, quand on y sera. C'est un stade mythique… Là où joue l'équipe de France, où elle a gagné la finale de la Coupe du monde 98. Il y a eu tellement de grands matchs là-bas… On entend parler de la finale remportée par le TFC en 2005, parce que c'est le plus grand exploit du centre de formation. Gagner 6-2 contre l'OL de la génération Benzema, Ben Arfa, c'est quand même quelque chose. En plus de ça on a un préparateur qui y était déjà, Stéphane Lasbatx. Donc forcément il y a des comparaisons, mais ce sera un match différent. C'est à nous d'écrire notre propre histoire.

La Gambardella, ce n'est pas une finalité. L'objectif, pour tout le monde, c'est de finir pro. La Gambardella est très importante, c'est notre petit plaisir de groupe, et faire un bon parcours, ça aide. Mais ça ne conditionne en rien notre futur. On sait que Saint-Etienne est une très bonne équipe, avec des joueurs de qualité, dont certains ont joué en pros. Mais on ne change pas notre façon de travailler, ça a marché jusqu'à présent. Jouer au foot, les deux équipes savent le faire. Ce qui fera la différence, c'est l'aspect mental."

Gégé marqué à vie

26/04 07:25
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Responsable du recrutement au centre de formation de l'ASSE et entraîneur de la dernière équipe stéphanoise à avoir remporté la Gambardella (en 1998), Gérard Fernandez revient sur cette finale remportée aux dépens du PSG dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Je me souviens de notre premier match à Sorbiers où nous gagnons 10-0. Nous avions dû disputer neuf matchs avant la finale en marquant plus de cinquante buts. J’avais une équipe qui, pour la moitié, avait été championne de France U17 l’année d’avant. Les joueurs avaient déjà connu une finale contre l’OL, qui est un vrai événement, mais, malgré tout, se retrouver dans le stade de France, avec autant de spectateurs, c’était assez extraordinaire.

La séance de tirs au but, je l’avais préparée, je savais qu’il y avait cette éventualité, en mettant dans un coin de ma tête les garçons les plus froids. Ce n’est plus une question de technique mais d’émotivité. Le but, dans la préparation, était de dédramatiser la chose pour leur enlever la pression. Les joueurs y pensent tous les jours et ça ne sert à rien de le leur rappeler. Ça s’est avéré encore payant puisque tout le monde a marqué.

Nous avons eu deux générations de suite très fortes, avec le mental de haut niveau. Si nous prenons des Julien Sablé, Fred Mendy ou encore David Grondin qui est parti à Arsenal, ce sont des mecs qui avaient ça. En tant que coach, cela laisse des souvenirs sur le plan humain avec les joueurs qui marquent à vie. Disputer une finale de Gambardella est un bon test pour le mental des joueurs car, dans ces moments-là, on s’aperçoit que certains ont les jambes coupées par l’enjeu, et c’est aussi révélateur pour la suite."

KMP déterminé

26/04 07:09
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Poursuivant sereinement sa convalescence, Kévin Monnet-Paquet évoque la passionnante fin  de saison des Verts dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"C’est la dernière ligne droite, il ne faut pas lâcher. En ce moment, on est bien, on peut surfer dessus jusqu’à la fin de saison. Il y a une dynamique, on est bien revenu au goal-average, ça peut jouer parce que les écarts ne sont pas encore faits. Il ne faut pas s’emballer, même si notre calendrier est abordable. Ça va se jouer à rien, jusqu’à la dernière seconde. En Ligue 1, tu ne prévois rien. À Monaco, à Angers, on n’a jamais fait les malins. J’espère qu’on ne loupera pas la marche. Il ne faut pas rêver, mais être déterminés, comme on l’est actuellement. On a un peu ronronné parfois, c’est passé ric-rac, mais on a un groupe de qualité, de talent et des jeunes qui commencent à pointer le bout de leur nez. C’est un bon mélange, on est sur une bonne série.

La troisième place n’est pas loin. Est-ce que ça me paraît raisonnable d’y penser ? Quand on peut passer une marche, on fait quoi, on n’y va pas ? Dans ce cas-là, le club ne grandit jamais. Si on peut y aller, il faut le faire. Mais il ne faut pas croire qu’on va gagner nos cinq matches comme ça. Ça va être très difficile. Même si on a un accroc, on sera dans les clous jusqu’au bout. Garder la quatrième place, ce serait bien. On serait là où on doit être. Le reste serait du bonus. On a été régulier contre les équipes de valeurs égales. On a été efficace, clinique, très propre à Reims. Quand on est techniquement à ce niveau, on est dur à jouer. J’espère que ça va le faire. Les mecs ont la dalle !"

Kolo parti pour rester ?

26/04 00:45
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La Pravda de ce vendredi se penche sur le prochain mercato estival stéphanois. Extraits.

"Une qualification en Coupe d'Europe ne garantit pas que Gasset va rester. Pour continuer sa mission, il voudra obtenir des garanties. En termes de fonctionnement - l'interventionnisme de Roland Romeyer, le président du directoire revenu aux affaires depuis la trêve, lui déplaît - comme d'effectif. La vente de M'vila, arrivé libre, permettrait une plus-value estimée à 10 M€. S'il part. Car l'ancien Rennais, qui se sent bien dans le Forez, a calqué sa décision sur celle de... Gasset.

Si la colonne vertébrale de l'équipe devrait demeurer en l'état (Ruffier-Perrin-Cabella-Khazri), le groupe devra être repensé. La priorité se nomme Timothée Kolodziejczak. Saint-Étienne a jusqu'à fin mai pour lever l'option d'achat de son défenseur axial gauche polyvalent prêté par les Tigres UANL. Il existe une volonté commune de le voir signer un contrat de quatre ans. Étant donné que sa ligne défensive a déjà été reconstruite à moindres frais, l'ASSE pourra payer les 5 M€ au club mexicain. Côté ventes, après l'avoir payé 7,25 M€ à Dijon, l'ASSE ne bradera pas Loïs Diony, sur lequel Gasset, lassé de sa faiblesse mentale, ne compte plus guère depuis cet hiver. L'attaquant souhaiterait également partir.

Au niveau des droits de suite, l'ASSE espère toucher 4 M€ sur la plus-value à la revente de Neal Maupay par Brentford, avec lequel il a déjà marqué vingt-six buts cette saison (plus huit passes décisives, en quarante-sept matches toutes compétitions confondues). Il n'en manque qu'une poignée au milieu défensif Habib Maïga pour que son option d'achat de 1 M€ soit levée par le FC Metz (L2 mais en passe d'être promu en L1). Enfin, si Fabien Lemoine monte en L1 avec Lorient, les Verts empocheront un bonus estimé à 500 000 €."

 

Le quotidien sportif évoque par ailleurs le très probable départ de Nice d'Allan Saint-Maximin.

"Une douzaine de clubs, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne et en Italie, ont manifesté leur intérêt. L'OGC Nice a déjà reçu des offres importantes, jugées insuffisantes. Les actionnaires espèrent pouvoir vendre leur joueur, acheté 10 M€ à Monaco en 2017, autour de 35 M€. Il leur faudra reverser 20 % de la plus-value réalisée sur son transfert à l'ASM. Le joueur s'est récemment attaché les services de la société allemande Rogon, qui défend les intérêts des Parisiens Thilo Kehrer et Éric Choupo-Moting. En dépit des affirmations de nos confrères italiens, « Saint-Max » n'a rien signé avec l'AC Milan, l'un des clubs les plus pressants. Ses performances de fin de saison auront une influence sur son prix, or, pour l'instant, ses statistiques stagnent (6 buts, 3 passes en L1)."

KTC vers le doublé

25/04 21:29

 

Kevin Théophile-Catherine, parti de l'ASSE, en fin de contrat, l'été dernier, vit une remarquable saison en Croatie, au Dinamo Zagreb. Leader du championnat avec 23 points d'avance sur Rijeka, il va retrouver cette même équipe de Rijeka en finale de la Coupe de Croatie, pour laquelle le Dinamo vient de se qualifier face à Osijek (victoire par 2 à 0). KTC a disputé toute la rencontre comme défenseur central. 

 

RIP André Castel

25/04 14:42

Le site des Canaris nous apprend que l'ancien gardien de but Stéphanois André Castel (1971- janvier 1973) est décédé le 4 avril dernier à l'âge de 75 ans. Retour sur son passage à l'ASSE grâce au site Sur la route des Verts :

Après son transfert à l'ASSE, André Castel ne revenait toujours pas de son arrivée dans le Forez : "Lorsqu’on est venu me dire à Nantes que M. Garonnaire souhaitait me voir pour me faire signer à Saint-Etienne, j’ai d’abord cru à une mauvaise plaisanterie. Pensez, il était plus de 23 heures ! J’avais joué un match l’après-midi avec Laval contre Le Mans et j’étais couché. Je ne pouvais croire qu’un club comme Saint-Etienne puisse s’intéresser à moi. Enfin, je me suis levé et j’ai rejoint M. Garonnaire à son hôtel. Là, il m’a effectivement confirmé la nouvelle. J’ai mis un certain temps, je l’avoue, à réaliser. Pour moi, c’était tellement inespéré, inattendu, un rêve."

Désireux de posséder deux bons gardiens de but, Roger Rocher demande à Pierre Garonnaire, le recruteur attitré des Verts, de prendre contact avec plusieurs gardiens. Sur les trois noms que lui présente ce dernier, Roger Rocher jette son dévolu sur André Castel. "Notre préférence va à Castel, actuellement à Laval qui est désireux de venir chez nous. Il nous reste à nous mettre d’accord avec lui." dit le président Stéphanois. Rachid Mekloufi, de passage à Saint-Etienne conforte le président stéphanois dans son choix : "Vous pouvez le prendre. D’abord parce que c’est un excellent gardien. Ensuite parce qu’il a la baraka." Il se souvient encore d’un Saint-Etienne-Nantes (3-3) au stade Geoffroy-Guichard le 9 octobre 1966. Ce jour-là, André Castel avait effectué un grand match malgré ses trois buts encaissés.

Alors qu’il a débuté la saison en National avec Laval, André Castel fait un voyage éclair à Saint-Etienne. L’entrevue avec les dirigeants stéphanois se passe bien et les deux parties se mettent d’accord sur les modalités du futur contrat. Pourtant, il repart à Laval sans donner son accord. Il ne souhaite pas quitter la Mayenne sans que son club lui ait trouvé un remplaçant. Ce qui sera fait avec la signature de Jacques Rose. Il part l’esprit libéré et paraphe, à 28 ans, un contrat de 2 ans avec l’AS Saint-Etienne. Remplaçant de Gérard Migeon, André Castel profite de la blessure du titulaire pour disputer 26 matchs sous le maillot vert. Lors de l’intersaison, Gérard Migeon demande à quitter le club. André Castel a enfin l’opportunité d’être le numéro 1 en Division 1. C’est sans compter sur l’arrivée d’un grand gardien en provenance de Yougoslavie : un certain Ivan Curkovic. Déçu, il accepte malgré tout de repartir pour une saison comme remplaçant. Mais las de cirer le banc de touche, il quitte définitivement le club en janvier 1973.

 

Saliba, le talent à l'état pur !

25/04 14:17

Deux jours après sa prolongation de contrat, 20 minutes consacre un article à William Saliba qui a préféré rejoindre l'ASSE au lieu de Troyes en 2016 ! Extraits :

"Rester à Saint-Etienne pour vivre une saison complète en Ligue 1 est un super choix, souligne Jean-Luc Vannuchi, le sélectionneur de l’équipe de France U18. Il n’a pas cédé aux sirènes de clubs étrangers comme ont pu le faire tant d’autres jeunes joueurs avant lui."

"William était le chouchou de tout le monde au club. Au collège, il était le premier à faire des bêtises car il aimait bien faire rigoler les autres. Dans notre équipe, c’était à la fois le plus grand et 'le plus bébé dans la tête'' se souvient Fabio Frasconi qui l'a entraîné deux saison à l'AS Bondy. Avant de continuer : "Il a toujours eu une telle envie de gagner que quand on était menés, j’avais l’impression qu’il se transformait en ''Super Saiyan'' comme dans Dragon Ball Z, se marre Fabio Frasconi. C’est simple, au futsal, il récupérait le ballon derrière puis il dribblait tout le monde avant d’aller marquer. Mais les clubs pros ne croyaient pas encore en lui." Et de continuer : "Une fois stabilisé en défense centrale, il est devenu monstrueux. Même quand il était pressé par trois joueurs, il n’avait jamais peur. Et puis si ça tournait mal pour son équipe, il passait en attaque où il mettait une pagaille énorme, en marquant ou en provoquant un penalty."

Jean-Luc Vannuchi qui n’a pu s’appuyer sur William Saliba que lors du tournoi de Limoges en septembre avec les U18 tricolores ne tarit pas d'éloges à son égard : "Il dégageait une telle force et un tel charisme que j’en avais tout de suite fait mon capitaine. Il avait été le seul à faire jeu égal avec les Anglais et dans les deux autres matchs, il donnait l’impression déjà d'être un senior au milieu des juniors. Dans l’impact et les accélérations avec ou sans ballon, c’est une machine de guerre, une force de la nature, un monstre. Quand il démarre une action, on sent qu’il va aller au bout. Il est capable de parcourir 40 mètres avec le ballon sans que personne n’ose se mettre sur son chemin. Son double surclassement en équipe de France ne m’étonne pas du tout. J’ai peur de ne jamais le revoir."

Bergessio voit double puis rouge

25/04 07:43
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Grâce à un doublé de Gonzalo Bergessio, le Nacional a arraché à la 94e minute un spectaculaire match nul 4-4 le week-end dernier lors de la 10e journée de D1 urugayenne. Le potonaute osvaldopiazzolla nous explique pourquoi Lavandina a été expulsé dans la foulée. "L'entraineur adverse a dribblé un des joueurs avec la semelle  pour gagner du temps, ce type de dribble se dit "pisar" en espagnol (ce qui veut dire marcher dessus). Bergessio le chambre juste après avoir égalisé, en lui disant "vas-y, refais ton dribble maintenant, bouffon".

Le Bouquet final

25/04 07:17
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Actuel directeur sportif de Blois, qui lutte avec Le Puy et Andrézieux pour monter en National 1, l'ancien milieu de terrain stéphanois Maurice Bouquet revient aujourd'hui dans Le Progrès sur son fameux but victorieux contre Toulouse marqué deux minutes après son entrée en jeu le 22 août 1992.

"Je m’en souviens très bien, c’était une frappe sans calcul, sans contrôle avec un brin de chance aussi. J’avais la sensation d’avoir répondu au coach. Tiens, je t’amène la réponse. J’ai encore des frissons lorsque j’évoque cette action. Je ne m’entendais pas avec le coach [ndp2 : Jacques Santini], je sortais d’une saison compliquée. Alors ce but, ce but une bouffée d’oxygène. Maintenant, on marque de moins en moins sur des frappes de loin. Moi, c’était ma marque de fabrique."

Avec Martigues, Momo avait en effet marqué un but similaire à son ancien coéquipier brestois Bernard Lama au Parc des Princes.

Juju la juge meilleure

25/04 07:01
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Dans la dernièrev édition du Progrès, Julien Sablé estime que la génération actuelle des U19 est meilleure que celle qui avait remporté avec lui la dernière Coupe Gambardella en 1998.

"Mentalement et athlétiquement, on était redoutable. On défendait tous comme des chiens. On avait une équipe de guerriers, avec aussi du talent, des principes de jeu qu’on répétait depuis trois ans avec notre entraîneur, Gérard Fernandez. On pratiquait un football pragmatique qui reposait sur des individualités très fortes et du jeu de transition avec deux flèches sur les côtés (Mendy et Lafleuriel) et un finisseur qui s’appelait Pape Thiaw. Au milieu, avec N’Dour, Tagherset et moi, on faisait partie des meilleurs de notre génération. Et derrière, on avait des battants : Pontal, Meslien, Mauro, Grondin qui est ensuite parti à Arsenal.

Je trouve que la génération actuelle est plus talentueuse que la nôtre dans la qualité et la variété de jeu. Là, on a une équipe capable d’avoir des temps de possession, avec de la technicité, de la maîtrise, des attaques placées. Dans ce groupe, il n’y a pas de faiblesse. Le moins bon des joueurs est un très bon joueur. L’équipe change sans s’affaiblir. C’est une génération homogène. Il n’y a pas de hasard, c’est un projet qui a été construit. La Gambardella met en lumière le travail de tout un club sur plusieurs années, avec un recrutement de qualité fait par Gérard Fernandez et ses équipes et un entraîneur, Razik Nedder qui a bâti cette génération depuis les U12."

Il faudra ouvrir le score

24/04 22:58

Le site de supporters toulousains, lesviolets.com, publie une statistique qui va inciter les Verts à ouvrir le score contre Toulouse, dimanche en championnat de L1.

Les Toulousains ont en effet, depuis le début de saison, ouvert la marque à l'extérieur à trois reprises et, à chaque fois, ils l'ont emporté.

Par contre, ils ont encaissé le premier but à l'extérieur, à 12 reprises, et, dans ce cas-là, ils ont perdu à 8 reprises, l'emporté une fois et fait trois nuls.

Plus globalement, les Violets ont ouvert le score à 8 reprises et n’ont jamais perdu (7 victoires et 1 nul). En revanche, les hommes d’Alain Casanova ont concédé le premier but 22 fois (pour une seule victoire)

Mayi derrière les Verts

24/04 22:41
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L'attaquant brestois Kévin Mayi revient pour nous sur ses finales malheureuses en Gambardella (en 2011 et 2012) avant de réitérer son attachement au maillot vert.

"J'ai joué les deux finales de Gambardella mais je les ai vécues différemment. La première fois, c'était une découverte, j'étais très content d'être à Paris. J'avais mis un doublé en demi-finale. On a perdu cette finale aux tirs au but mais on n'avait pas grand chose à se reprocher. Bien sûr, on était très déçus d'échouer aux tirs au but mais j'étais quand même satisfait du parcours qu'on avait fait dans cette compétition. Il y avait des phénomènes côté monégasque comme Carrasco, Nampalys Mendy, Kurzawa... Le seconde finale m'a davantage déçu. Je voulais vraiment aller au bout, ça fait mal de perdre deux finales de suite. Mais ça reste les plus belles aventures de mon parcours chez les jeunes. La première finale contre Monaco, j'étais un peu insouciant. La seconde contre Nice me laisse le plus de regrets. On n'a pas réussi à évacuer vite la pression. Quand on a vu que les Niçois jouaient de façon libérée, on a été en réaction mais on était déjà mené 1-0. On a eu une espèce de peur de gagner, personne ne voulait trop prendre de risques. Franchement c'est dommage car dans cette compétition, il faut se dire qu'on n'a rien à perdre. Autant lâcher les chevaux, tenter des choses quitte à rater. Même si tu rates, au moins tu n'as rien à te reprocher. T'es quand même en finale de Gambardella, ce n'est pas un hasard, personne ne va dire que t'es pas bon si tu rates.

Si j'avais un conseil à donner aux Verts qui joueront samedi contre Toulouse, je leur dirais de jouer avec leur coeur, sans penser à ce qu'il y a derrière la Gambardella. C'est ce qui leur permettra de jouer libérés. Certes c'est un match à enjeu mais déjà il faut avoir en tête qu'ils jouent dans un grand club. Je ne suis pas bien rentré dans ma deuxième finale, j'ai eu du mal à gérer les attentes qu'il y avait sur moi. J'étais le leader, le capitaine, on avait perdu la finale précédente et on avait une nouvelle chance. Je me suis dit "il faut absolument que tu fasses quelques chose, il faut que je fasse gagner l'équipe." Du coup j'ai un peu déjoué. J'ai voulu trop en faire. Pour le reste, je n'ai pas été perturbé par le fait qu'on jouait au Stade de France, j'ai fait abstraction de ce contexte-là. Mais j'ai eu mal à gérer ce statut de leader. J'espère de tout coeur que les Verts vont soulever samedi la Coupe, je suis à fond derrière eux ! J'ai porté le maillot vert et j'en suis fier, ça ne s'oublie pas ! En tout cas le club est vraiment performant cette saison, que ce soit chez les jeunes comme chez les pros. En L1, je pense que les Verts seront en course pour le podium jusqu'à la fin, je pense qu'ils finiront troisièmes ou quatrièmes. Franchement, les Verts me surprennent, c'est solide ! On pouvait avoir des doutes après leur derby perdu et leur défaite logique au Vélodrome. Mais ils sont dans une super dynamique, on sent un esprit d'équipe. Sainté en Ligue des Champions, ce serait magnifique !

De mon côté je poursuis mon petit bonhomme de chemin avec le Stade Brestois. Nous aussi on est sur une bonne dynamique, on est bien parti pour monter en Ligue 1 mais rien n'est fait. J'étais titulaire lors du dernier match mais le plus souvent le coach Furlan me fait entrer en jeu. On a un bon groupe, avec sur le banc des joueurs qui seraient titulaires dans pas mal d'autres clubs, je pense que ça fait la différence par rapport à d'autres formations de L2. Ma saison a été un peu perturbée par une blessure mal soignée, une fibrose à la cuisse, qui m'a tenu éloigné des terrains pendant deux mois. Je suis parti me soigner à Clairefontaine et j'ai récupéré maintenant la plénitude des mes moyens physiques. Comme l'équipe tourne bien, c'est difficile de revenir dans le onze et de regagner une place de titulaire. Mais je n'ai pas à me plaindre, j'ai quand même du temps de jeu et on vit une belle aventure collective cette saison. On est dans le sprint final, on va tout faire pour que Stade Brestois retrouve l'élite."

Gambardella, la coupe bien nommée

24/04 22:27

 

Tout le monde du football connaît la coupe Gambardella. Les Verts vont participer samedi contre Toulouse à leur 10ème finale. Mais qui connaît Emmanuel Gambardella, celui qui a donné son nom à cette coupe ?

Le Midi Libre, dans son édition d'aujourd'hui, nous présente ce Sétois, né d'un père italien et d'une mère sétoise, qui a fait des études de droit avant ses premiers pas dans le football et le journalisme. Une ascension qui le poussera jusqu’à la présidence de la Fédération française de football. Pour un premier mandat en 1949 puis un deuxième, débuté le 29 juillet 1953 quelques jours seulement avant sa mort, à 65 ans, des suites d'une intervention chirurgicale. Il donnera, dès 1955, son nom à cette coupe si enviée des jeunes.

"Né à Sète, Emmanuel Gambardella est un touche-à-tout de génie. Journaliste, il fut l’un des fondateurs de Midi Libre, écrivain, notamment pour des opérettes, homme de radio, il est aussi très impliqué dans le milieu du football. En 1929, il est nommé au sein d’une commission pour étudier le statut du joueur rétribué par la fédération.

En d’autres mots, le passage au professionnalisme. "Il voyait des joueurs de foot de l’époque qui finissaient sans retraite comme tenanciers de bar, au mieux, mais souvent très mal. Mon oncle ne le supportait pas, dit sa nièce, Mireille Leroux-Dupeyron. Il a dit : Il faut qu’ils aient une retraite pour leurs vieux jours et finir leur vie de façon décente. Il pensait simplement à sauvegarder les joueurs, leurs familles. C’est ce qui le préoccupait.

Une contribution décisive puisqu’en 1932 le professionnalisme sera adopté en France. Pas sûr toutefois qu’Emmanuel Gambardella aurait vraiment apprécié la façon dont le professionnalisme a évolué depuis. "Je crois que ce trop d’argent ne l’aurait pas enchanté du tout. Mais il aurait fait comme tout le monde. C’est pour ça que la coupe Gambardella est vraiment bien nommée, ce sont des jeunes qui arrivent là plein d’espoirs et d’ambitions… Après c’est de la folie."

Emmanuel Gambardella est un un homme qui aura laissé une trace indélébile dans le football français. Encore honorée chaque année par tous ces gamins qui rêvent de la coupe… Gambardella.

Aimé Jacquet à guichets ouverts

24/04 22:07

Le site officiel nous apprend que l'entraînement de demain des finalistes de la Coupe Gambardella, le dernier à Saint-Etienne, sera ouvert au public à partir de 16 heures, sur le terrain Aimé Jacquet du centre de formation de l'Etrat. Les jeunes de Razik Nedder prendront ensuite la direction de la capitale. Ce sera donc l'occasion pour les supporters d'adresser leurs encouragements aux jeunes stéphanois avant ce moment exceptionnel qui s'offrira à eux samedi à 17h15.     

La LFP a calé Montpellier

24/04 20:23

La Ligue qu'on adule a programmé la réception des poubelles boys au vendredi 10 mai à 20h45. Il s'agira de l'avant-dernier match de la saison à Geoffroy-Guichard avant la réception des Niçois le week-end suivant. 

Un Chaudron bouillant contre les Aiglons

24/04 14:33
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Comme l'a rapporté à la mi-journée Activ Radio, 20 000 billets ont déjà été vendus pour le dernier match de la saison à Geoffroy-Guichard qui opposera les Verts aux Aiglons lors de l'avant-dernière journée de L1, le 18 mai prochain. Nul doute que le Chaudron sera à guichets fermés pour cette rencontre probablement décisive pour l'Europe !

Aguilar de retour à Geoffroy-Guichard ?

24/04 14:14
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Seule équipe caressant encore le mince espoir de déloger l'ASSE (4e, 56 points) du top 5, le MHSC (6e, 51 points) devra se passer de Ruben Aguilar pour la réception du QSG programmée mardi prochain. Sorti sur blessure (à la cuisse) lors de la victoire de son équipe samedi dernier à Strasbourg, celui qui avait neutralisé Kylian Mbappé la saison passée est également incertain le 5 mai prochain pour la réception d'Amiens. Mais "Michel Der Zakarian espère plus sûrement son retour pour le déplacement à Saint-Etienne du 11 mai" selon la dernière édition du Midi Libre.

Le bonheur est dans le prêt ? (6)

24/04 14:05

Que ce soit en Ligue 2, en National ou à l'étranger, ce week-end nos prêtés ont connu fortunes diverses !

La 34ème journée de Ligue 2 avait lieu hier soir. Remplacé à la 90ème minute, Vagner et Nancy se sont imposés contre Orléans (1-0). Ces trois points permettent aux hommes d'Alain Perrin de se classer à la 16ème place avec 2 points d'avance sur le barragiste.

Entré à la 66ème minute, Honorat a délivré une passe décisive à la 86ème minute ce qui a permis à Clermont de prendre un point à Béziers (1-1). Il s'agit de sa 8ème passe décisive en Ligue 2 cette saison. A noter que Sissoko est entré en jeu à la 79ème minute. Au classement Clermont est toujours 9ème.

Titularisé par Antonetti, Maïga et les Messins ont concédé le match nul à domicile contre Grenoble (1-1). S'ils gagnent le weekend prochain, Metz validera son billet direct pour le retour en Ligue 1.

Moukoudi n'était toujours pas sur la feuille de match lors de la victoire du Havre à Auxerre (1-0).

En National 1, Guendouz est allé cherché le ballon trois fois dans ses filets lors de la défaite à Lyon-Duchère (2-3). Pau est 9ème.
Victoire pour Camara, titulaire contre Villefranche. Laval conserve 2 points d'avance sur Le Mans et reste barragiste pour la montée en Ligue 2.

En Italie, Dioussé a enfin gagné avec le Chievo Verone. Après deux titularisation, Dioussé était remplaçant et le score de 2-1 n'a plus évolué après son entrée en jeu. Diousse a quand même pris un carton jaune dans un match marqué par l'indiscipline (4 cartons jaunes pour Chievo, 2 cartons rouges pour la Lazio).

En Allemagne, seconde titularisation consécutive pour Lacroix avec Hambourg qui a été tenu en échec à domicile par le FC Erzgebirge AUE (1-1). Hambourg reste deuxième et candidat à la montée en Bundesliga. Titulaire hier en demi-finale de Coupe d'Allemagne, le géant suisse a été battu à domicile par Leipzig, solide troisième de Bundesliga.

En Grèce, seconde titularisation aussi pour Katranis, positionné à droite de la défense lors de victoire de l'Atromios contre le Panathinaikos (2-0). Atromios, 4ème disputera la League Europa l'année prochaine.

En Bulgarie, Jorginho et le CSKA Sofia ont fait match nul contre le Levski Sofia lors de la phase de "playoffs" (0-0).

Aux Pays-Bas, Oussama Tannane n'était évidemment pas sur la feuille de match ce week-end lors de la défaite d'Utrecht contre Emmen (2-0). Pour rappel, notre Marocain a officiellement été écarté par Dick Advocaat. Utrecht est 6ème d'Eredivisie.

Merci au potonaute Lindeni pour son résumé sur le forum !

Dembélé, derby laid

24/04 11:05
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Dans Le Quotidien du Foot, l'ancien joueur du Celtic Moussa Dembélé revient sur le vilain derby du 20 janvier dernier.

"Le but victorieux que j'ai marqué à Saint-Etienne a changé le regard qu'on a sur moi. Un derby, ça se gagne et un but dans les dernières secondes marque les esprits. C'est sûr, c'était un but important, mais je fais abstraction de ça car il faut toujours se remettre en question et et rester concentré. Il n'y a pas vraiment de différence entre un ASSE-OL et le derby de Glasgow. Ce sont deux villes ou deux quartiers qui ne s'aiment pas, c'est le même impact. Marquer dans un derby, c'est bien pour entrer dans l'histoire et dans le cœur des supporters."

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