Lacroix marque mais ne monte pas

20/05 09:55
Image

Encore sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2020 et titularisé pour la 12e fois de la saison, Léo Lacroix a marqué hier de la tête sur corner le premier but de la victoire (3-0) de Hambourg contre Duisbourg lors de la dernière journée de L2 allemande.

Un succès insuffisant pour monter en Bundesliga, le HSV finissant quatrième à un petit point du barragiste (Union Berlin) qui a arraché le nul à Bochum malgré l'ouverture du score de l'ancien milieu de terrain stéphanois Anthony Losilla d'un tir excentré du gauche.

 

Jérémie est Razik fan

20/05 09:08
Image

Dans la dernière édition du Progrès, Jérémie Janot encense l'entraîneur des U19 stéphanois qui ont remporté la Coupe Gambardella.

"Retravailler un jour avec Zoumana Camara et Julien Sablé ? J’ai tellement vécu des choses fortes en tant que joueur, en formation, en pro, et si en plus on peut revivre ça dans un staff, l’histoire serait trop belle. C’est tout con, mais je me dirais que j’aurais passé une vie avec eux, ce serait magique. Collaborer à nouveau avec Razik Nedder me titille également. Aujourd’hui, tout le monde parle de Razik. Moi, il y a trois ans, alors qu’il était entraîneur des U16, je disais déjà que c’était le coach le plus fort du club. Il a 31 ans, ça fait onze ans qu’il entraîne, il a déjà une expérience énorme. Il est doué à la base et c’est un bosseur. Vous avez vu ses gamins comment ils s’arrachent pour lui ? On ne peut pas non plus se projeter mais je les vois tous un jour numéro un quelque part."

Malang se délie

20/05 08:52
Image

Promu capitaine des Aiglons avant-hier soir à Geoffroy-Guichard, le jeune Malang Sarr (20 ans) revient sur la défaite de son équipe dans la dernière édition de Nice-Matin.

"C'est une grande fierté de porter le brassard de mon club formateur, dommage que cette première se soit soldée par une défaite. Etre capitaine, ce n'est pas un rôle qu'il faut prendre à, la légère. Je n'ai rien changé avant le match, j'ai toujours pris l'habitude de parler avant les matches. La défaite à Saint-Etienne est très sévère, on méritait mieux ! L'écart au score ne reflète pas du tout la différence entre les deux équipes. On a fait des erreurs, certes, mais ils ont été très efficaces. On a les opportunités de marquer. Même sans attaquant, on se crée des occasions et on peut faire de belles choses. On a péché à la finition, c'est une constante depuis le début de saison. Sur le deuxième but de Beric, on doit mieux défendre au départ sur le centre. Ensuite, on n'est pas bien aligné avec Olivier Boscagli. Le ballon passe, Beric surgit devant moi et il la met au fond. Les automatismes avec son partenaire en défense, ça se travaille à l'entraînement chaque jour. C'est une belle leçon, il faut relever la tête et avancer. "

Le culot de Janot

20/05 07:59
Image

En pleine promo de son autobiographie "Sans filet" à paraître après-demain aux éditions Marabout, Jérémie Janot revient avec amusement sur les derbys dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Déjà, quand j’arrive, il y a un match U16, Sainté-Lyon qui se joue en Haute-Loire. Le stade était plein. Je me suis dit : "Mais je suis tombé où ? Je suis chez les fous." Personnellement, la malchance que j’ai eue, c’est d’être tombé sur la période la plus forte de l’OL. Un peu comme le gardien lyonnais des années 1970 qui se faisaient matraquer par les Verts de la grande époque. Au centre de formation, on m’a toujours inculqué l’importance de ce match spécial. On avait la haine de ce maillot blanc avec les traits rouge et bleu.

Lors d'un derby avec la réserve, il y avait au moins 1 000 personnes. Je tire un six mètres et il y a un supporter lyonnais qui crie : “Janot, il te manque 10 cm”. Je me retourne, et là c’était plus fort que moi et je dis : “Ils sont dans ma culotte, demande à ta femme !” Je prends jaune et il a voulu sauter la barrière. On fait 0-0 ce jour-là. Le coach, Christian Larièpe, m’avait tué. Il m’avait dit que j’aurais pu tout faire dégénérer. Mais c’était trop tentant.

À chaque fois que je vois Dimitri Payet, je lui dis : “Merci, tu m’as fait gagner le 100e ”. On doit le perdre. C’est peut-être le plus mauvais qu’on fait mais on le gagne. Et là, je dégoupille complet. Je voulais sauter sur la mascotte de l’OL parce qu’à chaque fois, elle me chambrait. C’est Loïc (Perrin) qui me rentre aux vestiaires. Je n’avais jamais gagné un derby. J’étais dans un état second. Jamais je n’oublierai."

Roby derrière Jean-Louis

20/05 07:39
Image

Dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin affiche à son tour son souhait de voir Jean-Louis Gasset poursuivre son aventure à Sainté.

"S’il fallait le noter, je lui mettrais un 9/10. Le coach a su construire un groupe qui s’est parfaitement comporté. Cette qualification pour l’Europa League est méritée sur l’ensemble de la saison. Le problème désormais, c’est l’avenir de Jean-Louis Gasset. Ce serait dommage qu’il choisisse de s’en aller. La direction devra faire ce qu’il faut pour le garder. Le coach attend quelque chose d’essentiel et important. Le travail qu’il a fait a été payant. Un lien très solide s’est créé entre les joueurs et leur entraîneur. On le ressent. Il faut garder Jean-Louis Gasset. Mais ça ne m’appartient pas de trancher. C’est un coach expérimenté. Sur les deux saisons, il a été très efficace et déterminé pour réussir ses missions."

Beric entre Pépé et Mbappé

20/05 01:28
Image

Comme Le Figaro et WhoScored, la Pravda met l'avant-centre slovène des Verts dans l'équipe type de la 37e journée de L1.

Koubek (Rennes) - Sakai (OM, Da Silva (Rennes), Kehrer (QSG), Koné (LOSC) - Sanson (OM), Golovine (Monaco), Depay (vilains) - Pépé (LOSC), Beric (ASSE), Mbappé (QSG).

Ciao Polo, Neven, Youssef, Valentin, Yannis et Loïs ?

20/05 01:17
Image

La dernière édition de la Pravda annonce les départs de Pierre-Yves Polomat et Neven Subotic (en fin de contrat et sans proposition de prolongation), des prêtés Youssef Aït Bennasser, Valentin Vada et Yannis Salibur ainsi que de Loïs Diony, actuellement sous contrat jusqu'en 2021 mais poussé vers la sortie car plus en odeur de Sainté.

Le quotidien sportif assure que Jessy Moulin, Loïc Perrin, Gabriel Silva, Kévin Monnet-Paquet, Arnaud Nordin et Romain Hamouma sont assurés de rester au club la saison prochaine. Stéphane Ruffier souhaiterait que son contrat, actuellement en vigueur jusqu'en 2021, soit prolongé d'une année, Robert Beric ayant déjà prolongé jusqu'en 2022.

Quel que soit l'entraîneur des Verts la saison prochaine, l'ASSE devrait lever l'option d'achat (estimée à 5 M€) de Timothée Kolodziejczak. Une vente de William Saliba est envisagée sous réserve que son acquéreur le prête aux Verts la saison prochaine, faute de quoi Jean-Louis Gasset s'y opposera.

Gasset prêt à rester ? (3)

20/05 00:55
Image

La Pravda de ce lundi publie un nouvel épisode du feuilleton sur l'avenir incertain de Jean-Louis Gasset. Extraits.

Les témoignages d'amour des Stéphanois ont touché en plein coeur cet homme qui marche à l'affect. Suffisamment pour le pousser à changer d'avis ? Possible. Si ses dirigeants parviennent à le convaincre, arguments financiers à l'appui. Mais ce sera pour l'instant sans Caïazzo qui s'est envolé hier après-midi pour Washington avec une délégation de la LFP, "pour promouvoir l'image de l'ASSE aux États-Unis et concrétiser des partenariats financiers, explique-t-il. Ma volonté suprême est que Jean-Louis continue le plus longtemps possible à l'ASSE. Nous nous verrons à mon retour, avec de bonnes nouvelles, j'espère. En attendant, comme je lui ai dit, il a besoin de se ressourcer avec quelques bonnes nuits de repos. Tout le monde en a d'ailleurs besoin pour avoir toute la lucidité et savourer le retour à l'Europe."

Gasset s'est usé dans ses relations avec son président. Sans personne pour faire le tampon, il ne restera pas. Surtout si l'ASSE ne délie plus les cordons de sa bourse. Pour se renforcer, notamment en attaque, et satisfaire les désirs de Gasset, Saint-Étienne aura besoin d'argent frais. Le problème, c'est qu'il vit en autofinancement. Et à moins que Caïazzo ne revienne des États-Unis avec un providentiel et nouvel investisseur, - ce que Romeyer craindrait -, le club devra vendre son espoir William Saliba. Il en espérerait 30 M€. Si on ajoute les cessions de Habib Maïga (pour 1 M€ à Metz), de Loïs Diony (4 M€), de Vagner Dias (3 M€) et la plus-value sur la revente de Neal Maupay (3 M€), l'ASSE pourrait récolter dans les 40 M€. Et peut-être plus, en cas de départ de Yann M'vila, dont la valeur marchande est estimée à 10 M€. Sans parler de l'économie de son (gros) salaire.

La masse salariale se retrouvera également allégée avec le départ d'autres joueurs (Aït-Bennasser, Salibur, Polomat, Vada et surtout Subotic). David Wantier, le responsable de la cellule de recrutement, bénéficiera ainsi d'une marge de manoeuvre. S'il reste. Proche de Gasset mais décrié par Caïazzo et Romeyer, il est sollicité par d'autres clubs. S'il s'en va, son départ ne ferait que conforter Gasset dans sa décision de s'en aller aussi."

Galtier encore sacré

19/05 23:25
Image

Christophe Galtier, qui avait déjà remporté ce trophée UNFP avec Carlo Ancelotti il y a six ans jour pour jour, a été élu ce soir meilleur entraîneur de la saison de L1. Pour rappel, Jean-Louis Gasset ne faisait pas partie des nommés contrairement aux anciens Verts Thierry Laurey et David Guion.

"J'ai vécu des moments très forts à Saint-Etienne avec des trophées, des participations à la Coupe d'Europe... Mais cette saison avec Lille est la plus belle de ma carrière" a commenté le lauréat. "Automatiquement, oui, parce que personne ne nous attendait là. On partait de tellement loin. Être deuxièmes sur tout un Championnat, c'est beau.... On est un beau deuxième. A plus de deux points par match en moyenne. Si on gagne à Rennes, on battra le record de points qui date du titre de 2011. On n'a pas eu de trous d'air... La régularité, c'est lié à la qualité du travail."

Les U15 ramènent le nul de la banlieue

19/05 22:26

Les U15 de Jean-Philippe Primard se déplaçaient en banlieue pour affronter leur homologues de l'excellent club formateur qu'est le FC Lyon. Après un très bon match, plein d'intensité, ils ont ramené un match nul (2-2).

Les Verts ouvraient le score à la fin du premier quart d'heure : un centre, côté gauche, arrivait au deuxième poteau et était récupéré par Beni Seda Mfukumoko, qui centrait , en retrait, au sol, pour Jibril Othman dont la reprise au ras du poteau faisait mouche. (0-1, 18ème).
Le FC Lyon se montrait dangereux sur les pertes de balle stéphanoises, en se portant vite cers l'avant. C'est ce qui allait se passer à la demi-heure. Un une-deux mal ajusté était immédiatement exploité dans la profondeur par un attaquant lyonnais qui, d'un tir croisé au sol, égalisait. (1-1, 31ème).
La deuxième mi-temps allait être, elle aussi, très rythmée, mettant le gardien stéphanois, Alexandre Jammes, à contribution. Les Verts se créaient cependant quelques belles situations, souvent mal finies. Ils allaient prendre l'avantage à la suite d'une récupération en milieu de terrain de Keryann Merat, lequel transmettait à Jibril Othman qui lobait des trente mètres le gardien adverse. (1-2, 57ème).
le FC Lyon se retrouvait à dix à la 70ème sur une sévère expulsion. Les Verts avaient plusieurs fois l'opportunité de tuer le match mais ne le faisaient pas par manque de précision dans les derniers mètres. Ils s'exposaient aux rapides contres lyonnais, dont l'un était conclu victorieusement par un attaquant, décalé côté droit, qui marquait d'une frappe croisée. (2-2, 75ème). Le score en restait là malgré quelques poussées vertes en fin de rencontre. Au classement, les Verts restent à la 3ème place, devancés par les vilains et Chambéry.

La réaction de Jean-Philippe Primard :"Ca a été vraiment un très bon match de la part des deux équipes : beaucoup d'intensité, de rythme, beaucoup d'attaques dès la récupération, beaucoup d'occasions. Notre adversaire avait un gros potentiel offensif, un milieu costaud, avec cependant quelques failles en défense. Nous, nous avons fait un match convenable. Nous nous sommes exposés aux contres de l'adversaire qui se portait très rapidement vers l'avant sur nos pertes de balle. Nous nous sommes créé de belles situations mais avons manqué de justesse dans la finition. En conclusion, le nul est logique."

La composition : Jammes - Zarzour (Hospital 70ème), N'Gongar Christ, Fenkrouz (Abdelaoui 70ème), N'Gongar Alpha - Marmorat, Jetishi, Gauthier (Seda Mfukumoko 77ème) - Seda Mfukumoko (N'Joya N'Gapout 52ème), Othman, Merat.

   

U17R : au ralenti chez les Viriatis

19/05 21:42



Franck Boli, auteur du but (Photo de Thomas99)

Ce match opposant les les U17 régionaux de Sylvain Gibert au Viriat CS, club de la banlieue de Bourg en Bresse, n'avait aucun enjeu particulier, les Verts étant assurés de rester leaders et les Viriatis, classés en milieu de tableau n'avaient, eux aussi, aucune pression particulière. Les deux équipes se sont quittées sur un score nul (1-1) après une rencontre à deux visages.

La première mi-temps fut difficile pour des Verts manquant d'envie et qui allaient se faire punir sur un contre amorcé à la suite d'une perte de balle. Une mésentente entre le gardien Nabil Ouennas (de retour après une longue blessure) et Maher Bouyadel, le défenseur central, permettait aux locaux d'ouvrir le score, ce dernier marquant contre son camp alors que le danger n'était pas pressant. (1-0, 35ème).
En seconde mi-temps, sermonnés durant le repos, les Verts allaient se créer de belles situations, souvent gâchées par une maladresse dans le geste final. Ils n'étaient cependant pas à l'abri d'un contre des Viriatis qui jouaient très bas et se contentaient d'attaques rapides dont l'une fut bien prête d'aboutir, mais Nabil Ouennas sortait vainqueur d'un face-à-face. Les Stéphanois allaient trouver l'ouverture en fin de match à la suite d'un beau mouvement collectif : Mayer Bouyadel relançait sur Rossi Bozi qui remettait de la poitrine pour Marwan Ouroui. Ce dernier alertait, par dessus la défense, Franck Boli dont le contrôle-frappe sous la barre faisait mouche. (1-1, 85ème). Le score en restait là jusqu'au coup de sifflet final

La réaction de Sylvain Gibert : "La première mi-temps a été compliquée face à un adversaire bien organisé défensivement et qui nous attendait assez bas. Il a procédé par contres et a montré beaucoup plus d'envie que nous durant cette première période où nous avons montré très peu de choses intéressantes et encaissé un but suite à une mésentente au sein de notre défense. A la mi-temps, j'ai dû rectifier le tir et changer notre organisation, passant du 3-5-2 à un 4-3-3. Nous avons mis plus d'intensité et récupéré les ballons beaucoup plus haut. Mais nous n'étions pas à l'abri d'un contre. Sur ce que nous avons montré en deuxième mi-temps, le nul est logique. On a le mérite d'avoir réagi pour arracher le match nul qui nous permet de conserver l'invincibilité sur les matchs reour."

 La composition : Ouennas - Bouyadel (Diallo 46ème), Boli, Bendriss (cap) - Yahiaoui, Grillet (Mouad Ouroui 46ème), M.Moueffek (Ressicaud 65ème), Marwan Ouroui, E.Mouton (Bouyadel 80ème) - Bozi, Ressicaud (Hilaire 40ème).

Piazza veut voir Gasset rester

19/05 20:10
Image

Après Loïc Perrin, Mathieu Debuchy et Yann M'Vila, c'est au tour du mythique Osvaldo Piazza d'afficher son soutien à Jean-Louis Gasset dans la Pravda à paraître demain. Extraits.

"Je suis surpris d'apprendre que Jean-Louis Gasset envisage d'arrêter en fin de saison car il ne faut pas oublier d'où il nous a sorti : de la merde ! Il a repris une équipe 16e à la trêve, avec des joueurs en perte de confiance et il a été l'homme de la situation. Parce qu'il a eu le calme qu'il fallait et surtout, cette capacité à arriver à trouver le plus vite possible des nouveaux joueurs. Parce qu'il a également eu l'intelligence de savoir choisir les bons, alors que l'ASSE n'avait pas de gros moyens. Mais il connaissait ces joueurs et il savait ce qu'ils pouvaient apporter.

J'espère que la qualification en Ligue Europa et l'affection que lui ont témoignée les Stéphanois le pousseront à changer d'avis. Parce que Gasset n'est pas n'importe qui et que c'est lui qui a créé tout ça. On ne peut que le féliciter car il nous a fait vibrer aussi, en nous laissant penser qu'on pouvait se qualifier pour la Ligue des champions. La question est la suivante : a-t-on les moyens de lui donner ce qui lui manque ? Le problème c'est qu'à mes yeux, seul Saliba possède une valeur marchande. Pas sûr que cela se révèle suffisant pour affronter la saison prochaine. 

S'il reste, je le sens capable de renforcer le groupe qu'il a créé et de l'amener encore plus haut. Mais s'il part, on va le payer très cher. Car le club repartira dans l'inconnu. Le nouvel entraîneur devra connaître les joueurs en place, ceux du centre de formation, pour se montrer juste dans ses choix. Comme Gasset l'a fait en se construisant une colonne vertébrale en faisant venir Subotic, M'vila, Khazri et gardé Cabella. S'il ne reste pas, il faudra tout recommencer et attendre de nouveau quelques années pour redevenir compétitif."

Saliba chez PEA ?

19/05 19:00
Image

Selon le site goal, Arsenal a encore supervisé William Saliba hier soir à Geoffroy-Guichard et serait prêt à débourser 25 M£ (28,4 M€) pour s'attacher les services de l'international U20 des Verts. Le club de Pierre-Emerick Aubameyang, qui a terminé 5e en Premier League avec la 9e défense (51 pions encaissés), jouera le 29 mai la finale de l'Europa League contre Chelsea.

U19 : les Verts bon teint dominent les Ajacciens

19/05 16:56

 

Les U19 ont dominé l'AC Ajaccio ce midi à l'Etrat lors de l'ultime journée de championnat.

Les Verts ont ouvert la marque à la demi-heure de jeu à la suite d'une frappe de 30 mètres de Josué Gago repoussée par le gardien corse et reprise victorieusement par Mathys Saban (1-0, 30e). Une erreur de relance à l'entrée de la surface de réparation a permis aux Ajacciens d'égaliser juste avant la pause (1-1, 45e).

Plus en maîtrise en deuxième période, les Stéphanois ont pris l'avantage sur un centre d'Abdoulaye Sidibé repris en une touche par Marie-Gaël Mukania (2-1, 60e). A noter une magnifique parade d'Etienne Green en fin de rencontre, qui a permis aux Verts de conserver leur avantage.

Les troupes de Razik Nedder, brillants vainqueurs de la Coupe Gambardella, finissent deuxièmes du Groupe D derrière Montpellier.

La composition : Green - Durivaux, Sow, Petit, Gabard (Gourna-Douath, 75e) - Bernocolo, Gago, Aymar, Saban - Mukania (Moueffek, 60e), Sidibé (Urie, 80e)

La réaction de Razik Nedder : "Dans le contenu c'était plutôt un bon match. Je nous ai trouvés bons dans la qualité technique mais on aurait pu être plus efficaces et ainsi se mettre à l'abri. C'est un match positif avec de bonnes choses, avec une vraie volonté de bien faire. C'était par ailleurs le dernier match avec nous pour certains garçons et il y avait un vrai objectif du groupe qu'ils puissent finir leur histoire avec l'ASSE sur une bonne note."

Merci à Razik pour sa disponibilité et pour le magnifique trophée qui est venu orner la vitrine du club.

Janot obnubilé par le boulot

19/05 13:43
Image

Poursuivant l'intense promotion de son autobiographie "Sans filet" à paraître le 22 mai aux éditions Marabout, Jérémie Janot est à l'honneur dans la dernière édition de la Pravda. Extraits.

"Janot a quinze ans et emménage à Montreynaud, qui surplombe Geoffroy-Guichard. "Je quitte un quartier populaire pour un autre quartier populaire." Le quotidien n'est pas bouleversé, surtout en passant entre ces "deux villes voisines séparées par sept cents kilomètres". Il débarque le 10 juillet 1993. Le 11, il fait un basket avec Samir Ghoulam, le frère de Faouzi, dont il sera le premier capitaine, dix-sept ans plus tard, pour les grands débuts professionnels de l'international algérien chez les Verts... à Valenciennes.

Malgré les réticences, le Nordiste parvient à intégrer l'ASSE grâce à la lettre de recommandation envoyée par le Valenciennois Raymond Wojtko à Alain Blachon, le directeur du centre de formation des Verts. Mais la lutte des classes n'est pas terminée. Janot est d'abord dans l'ombre de Salvatore Caputo, alors référence régionale de sa génération. Plus grand, évidemment, et avec le bon équipement quand le petit nouveau se pointe dans son sweat à capuche. "C'est la première fois que je me rends compte qu'on ne vient pas du même monde. Mais le fait d'être moqué, ça m'a galvanisé."

Débute alors sa grande carrière de "chasseur", dans le sens cycliste du terme. Il dépassera la concurrence, une fois, deux fois, trois fois. Mais dès que le gardien finit une saison dans la peau d'un titulaire, on lui met une recrue dans les pattes. "Ça donnait l'impression que j'avais gagné ma place par accident, que je ne donnais pas les gages." On le renvoie à sa condition de petit gardien, comme un entrepreneur parti de rien à qui le grand monde ne cesse de rappeler qu'il n'est pas du sérail.

"On a réussi à briser la barrière qu'on nous avait mise, mais on finit par se la remettre soi-même. Ce qui m'a manqué, c'est de la distanciation. J'étais tellement obnubilé par le boulot... En vacances, je courais, je faisais de la muscu. Quand tu as peur de ne pas réussir, le moindre pet de moustique devient une merde de mammouth." Ce manque de lucidité lui a coûté ces plages de repos qui lui auraient fait du bien à la fin de sa carrière. Il a aussi parfois biaisé son analyse. "Être constamment jugé sur ma taille, j'en ai fait une force, mais aussi une obsession malsaine. Quand Stéphane Ruffier arrive, ce n'est pas parce que je suis trop petit, c'est parce que je suis sur la fin et qu'il est meilleur."

WhoScored ? Beric & Hamouma !

19/05 13:12
Image

A l'instar de leur gardien et de leur ancien coéquipier parti retrouver Galette au LOSC, les deux buteurs stéphanois d'hier soir figurent dans la très offensive équipe type de la 37e journée de L1 selon le site de statistiques footballistiques WhoScored.

Ruffier - Sakai, Glik, Gabriel, Ballo-Touré - Pépé, Hamouma, Depay, Bamba - Beric, Ikoné.

Le Figaro dit bravo à Ruffier et Beric

19/05 12:17

Sans surprise, les deux principaux artisans de la victoire des Verts contre les Aiglons sont dans l'équipe type de la 37e journée de L1 selon Le Figaro. Stéphane Ruffier est récompensé pour ses cinq arrêts et Robert Beric pour son doublé.

Image

 

Les Verts plus forts que les stats !

19/05 11:23

Comme le souignent les chiffres d'Opta, toutes les stats du match d'hier sont favorables aux Niçois. Sauf une, l'essentielle : le nombre de buts marqués !

Image

Le public est magique, l'ambiance est fantastique !

19/05 10:44
Image

Copieusement garni (36759 spectateurs), le Chaudron a encore joué pleinement son rôle de 12e homme hier soir !

Le beau samedi des Guilavogui

19/05 10:25
Image

Capitaine de Wolfsbourg, Josuha Guilavogui a prolongé hier jusqu'en 2023 son contrat avec Wolfsbourg, qui s'est qualifié pour les tours préliminaires de l'Europa League après avoir atomisé Augsbourg (8-1) lors de la dernière journée de Bundesliga au grand dam de l'Eintracht Franfort de son ancien coéquipier Gelson Fernandes, écrasé 5-1 par un Bayern Munich sacré champion pour la 29e fois de son histoire.

Quelques heures plus tard, son petit frère Morgan Guilavogui a marqué le premier but de la victoire de Toulon à Monaco (3-1). Grâce à son 8e pion de la saison, l'ancien U17 de l'ASSE est bien parti pour monter en National 1 : leader avec deux points d'avance sur Fréjus-Saint-Raphaël, le Sporting recevra un Monts d'Or Azergues n'ayant plus rien à craindre ou à espérer le week-end prochain lors de la dernière journée.

Doukansy passe pro

19/05 09:59

Brahima Doukansy, pensionnaire durant six mois du centre de formation de l'ASSE (janvier-juin 2018), passé auparavant au FC Solitaires, à Amiens et à l'OM jouait cette saison dans les rangs des Chamois Niortais. Entré en jeu avec les pros de L2 à quatre reprises (première à Châteauroux le 19 avril), il vient de signer un contrat professionnel de trois ans avec le club des Deux-Sèvres. 

Wahbi le dauphin

19/05 09:46
Image

Sans surprise, Nicolas Pépé a remporté hier le prix Marc-Vivien Foé du meilleur joueur africain de la saison. L'attaquant lillois (379 points) devance Wahbi Khazri (140) et le Rennais Ismaïla Sarr (68). RFI souligne que l'actuel numéro 10 des Verts avait déjà été le dauphin de l'ex-angevin Karl Toko-Ekambi la saison passée. Pour rappel, Pierre-Emerick Aubameyang avait remporté ce trophée en 2013 lors de sa dernière saison stéphanoise.

De Furania à Furiani

19/05 09:03
Image

Comme le rapporte la dernière édition de Corse-Matin, l'ASSE a remis un chèque de 13 000 euros au Collectif de Furiani hier soir à Geoffroy-Guichard en présence des natifs d'Ajaccio Rémy Cabella et Wahbi Khazri et de l'ancien entraîneur bastias Ghislain Printant. Ces fonds sont issus de la vente aux enchères des maillots portés par les Verts à l'échauffement de leur dernier match à Monaco.

"Le Collectif du 5 mai 1992 a tenu à remercier le club de l'AS Saint-Etienne, mais également les groupes de supporters qui ont refusé le 5 mai de faire le déplacement à Monaco pour encourager leur équipe, et qui, chaque année, prennent position pour que plus aucun match ne soit jouer le 5 mai en hommage aux 19 victimes et aux 2357 blessés de la plus grande catastrophe que le sport français ait connu."

La frustration des Aiglons

19/05 08:32
Image

En conférence de presse, Patrick Vieira a commenté hier soir la lourde défaite de son équipe dans le Chaudron.

"On repart avec beaucoup de frustration. Je pense que mon équipe méritait mieux. La différence, c’est l’expérience qu’il y a entre les deux équipes. Ils ont eu cette occcase et Beric l’a mise au fond. En première période, on a des situations où Ruffier fait des arrêts. Ça résume bien notre saison, où l’on a fait du beau football mais on ne la met pas au fond, on rate la dernière passe. On a été un peu naïfs. Mais au niveau de l’état d’esprit, je n’ai pas grand-chose à reprocher aux joueurs. Ça ne sert à rien de revenir sur les hésitations de l’arbitre. C’est passé. Ce qui est dommage, c’est de ne pas avoir réussi à marquer ce premier but qui nous aurait sans doute donné encore plus de confiance. Avec Jean-Louis, on a parlé de Nice et de Saint-Étienne, du futur. C’est toujours bien de discuter avec un entraîneur d’expérience même si ça n’a duré que cinq minutes. Mon avenir ? Il s’inscrira évidemment à Nice où je suis sous contrat."

M'Vila met la pression sur la direction

19/05 08:07
Image

Dans la dernière édition du Progrès, Yann M'Vila réitère son soutien à Jean-Louis Gasset et met la pression sur la direction.

"Le coach ne nous a pas parlé de son avenir. On ne sait pas. Ce sera entre lui et la direction. On est dans l’attente. Il faut déjà lui dire merci pour tout. À la fin, les supporters ont scandé son nom. Il le mérite, c’est un très grand coach. On lui doit énormément de respect. Comme je l’ai déjà dit, si le coach est amené à partir, il y a de grandes chances que je parte aussi. On se comprend, il sait pourquoi je dis ça. Il m’a fait venir et m’a relancé. J’ai une affinité particulière avec lui. On verra après Angers ce qu’il va faire. Je pense que c’est la direction qui devra faire les efforts pour le convaincre de rester."

Dans le même quotidien régional, Arnaud Nordin affiche lui aussi sa reconnaissance envers JLG.

"Le coach nous apprend beaucoup, notamment sur des petits détails qui, à la fin, font la différence. Il m’a fait grandir techniquement et tactiquement. Ça me ferait du mal qu’il parte mais il verra."

Landrin revient sur ses vertes années

19/05 01:47
Image

Désormais responsable du service des sports et de la gestion des salles de la ville de Veauche (Loire), Christophe Landrin revient sur ses vertes années dans la Pravda de ce dimanche. Extraits.

"Pascal Feindouno est le joueur le plus fort avec lequel j'ai joué dans ma carrière. Un magicien, un génie presque, et un régal de jouer avec lui à Saint-Étienne. Il avait une approche du football opposée de la mienne, cartésienne, qui interpelle, remet des choses en question et justifie l'individualisation. Il existait des règles pour tout le monde, et lui à côté. Je dis ça avec admiration. Parce que c'était un joueur moteur, qui t'amenait à tenter des choses.

La veille de notre dernier match de la saison avec Saint-Étienne, Feindouno sort un saucisson, son couteau et du citron de son sac de randonneur, dans le car. Il me lance : "J'aime en manger en prenant l'apéro." Je l'ai suivi dans sa chambre avec un autre joueur, dont je tairai le nom car il joue encore, et on s'est mis une cuite. Le lendemain, on était tous les trois titulaires et Pascal a mis le dernier but face à Monaco. Le plus dingue, c'est qu'il fallait un concours de circonstances phénoménal pour finir européens. Et on l'a été !

Geoffrey Dernis prenait tout à la rigolade, surtout avant les matches. Pour décompresser. Très croyant, Tavlaridis mettait ses petites statuettes sur son casier, limite crèche. Et lui, il venait y mettre le bordel dedans. Le plus fou, c'est Jessy Moulin, dit "Looping", en rapport à la série américaine l'Agence tous risques. Il était capable de simuler une crise sur le terrain comme de se balader avec un cartable d'enfant sur le dos dans un centre commercial.

Ma plus grosse engueulade a eu lieu avec Laurent Roussey, que j'apprécie pourtant énormément. Il a voulu me voir avec tout son staff. Je lui ai tenu des mots très durs car je ne jouais plus alors que j'étais en train de renégocier mon contrat. Mais cela avait permis de crever l'abcès. Alain Perrin m'a demandé à l'entraînement de rester sur la ligne quand ça jouait à l'opposé. Quand le jeu est revenu de mon côté, c'était trop tard pour rentrer et on a pris un but. Lors de l'action suivante, je suis donc rentré. Et je me suis fait engueuler ! Malgré cela, on a reproduit cette tactique en match.

Les gens me parlent aussi encore de ma papinade sur un centre de Feindouno lors de ASSE- Valenciennes. Quand je l'ai montrée à Bastien, mon petit de six ans, il était tout gêné, avec des frissons."

Nous aussi on a encore des frissons, Christophe !

 

 

 

Gasset sur le point de se casser ? (2)

19/05 01:11
Image

A l'instar de Canal Plus, la Pravda de ce dimanche assure que Jean-Louis Gasset a décidé de quitter l'ASSE. Extraits.

"Comme annoncé par Canal+ avant le match, Gasset a décidé de quitter le club en fin de saison. Derrière leurs déclarations de façade, ses dirigeants n'ont d'ailleurs rien fait pour le garder. Gasset voulait obtenir des garanties quant à la compétitivité de la future équipe. Au lieu de cela, il aurait appris de la bouche de ses deux présidents qu'ils comptaient vendre William Saliba dès cet été et que la levée de l'option d'achat de Timothée Kolodziejczak (5 M€) n'était plus acquise. Dans ces conditions, Gasset refuse de rester un an de plus. Sauf si ses présidents font volte-face au sujet de la prochaine politique sportive lundi, lors d'une nouvelle réunion extraordinaire entre les deux parties.

Après lui avoir tout accordé à sa prise de pouvoir pour sauver les Verts de la relégation, Romeyer a tout d'abord refusé à Gasset un stage en Espagne, estimé à 75 000€. Puis, le club a refusé d'enrôler une doublure à Debuchy. Gasset se trouvait alors convaincu qu'avec cette recrue, il pourrait jouer la troisième place. Durant le même mercato d'hiver, l'ASSE a vendu Selnaes pour 10 M€ en Chine. Enfin, après avoir tout tenté pour s'en débarrasser, Romeyer a prolongé Robert Beric de trois ans. Il a soumis publiquement cette décision à l'approbation de Gasset, mis devant le fait accompli.

Rare homme au club à oser s'opposer à Romeyer, Gasset s'est également heurté ces derniers mois à Frédéric Paquet, le directeur général en perte de vitesse. Le départ de l'entraîneur des Verts risquerait d'en provoquer d'autres. Venu et resté pour Gasset, M'Vila voudra, lui aussi, partir. Tout comme Cabella et Debuchy."

Gasset prêt à rester ? (2)

19/05 00:52
Image

En conférence de presse relayée par la Pravda, Jean-Louis Gasset a laissé planer le doute sur son avenir.

"Est-ce que je serai entraîneur de Saint-Etienne l'an prochain ? Je ne sais pas. Franchement. J'ai vu les présidents lundi. On faisait du virtuel. On a mais les choses à plat. Ils avaient des choses à nous dire. J'avais des choses à leur dire. On a décidé de se revoir en début de semaine prochaine. Jouer la Coupe d'Europe, c'est difficile de le faire avec un effectif réduit. On voit des équipes qui manquent leur saison. Je connais des clubs qui ratent leur saison. Si on trouve un accord, pourquoi pas...

Je veux des garanties, évidemment. Je m'étais déjà la saison passée posé la question. J'ai hésité l'an dernier de repartir. Mais il y a des gens qui nous aiment. Il faut du repos, de la lucidité et une bonne discussion. Je vais voir avec les dirigeants. Ils ont parlé de finance. J'ai parlé de santé car je commence à être un peu vieux. On va donc se revoir.

Je ne sais pas pourquoi Canal Plus a annoncé mon départ. Et j'espère qu'ils ont ajouté peut-être. Si je savais, je le dirais maintenant. Quand vous vivez des soirées comme ça, des saisons comme ça, c'est grandiose d'être devant 36 000 personnes... Quand vous voyez tout ça, ça vous fait réfléchir. J'ai besoin de dormir. Est-ce que j'ai envie d'entraîner à Saint-Etienne ou ailleurs ? C'est pas dit. C'est pas dit..."

Gradel claque, Toulouse craque

19/05 00:40
Image

Malgré sa lourde défaite concédée à domicile face à l'OM (2-5), le TFC est désormais sûr d'évoluer encore dans l'élite la saison prochaine. Les Violets ont ouvert le score grâce à une offrande de Max Gradel, qui a ensuite égalisé. Fort de ses 11 pions et de ses 5 passes décisives, le petit poulet d'Abidjan est impliqué dans 47% des buts de son équipe !

Gasset prêt à rester ?

18/05 23:56
Image

Alors que Canal Plus assurait en début de soirée que Jean-Louis Gasset allait quitter Sainté, l'intéressé a laissé entendre en conférence de presse qu'il pourrait prolonger son aventure stéphanoise. "Mon avenir ? Si on arrive à trouver un accord on dira pourquoi pas ! Ces gens qui vous aiment. J’ai besoin de repos. On a fait du virtuel lundi. Les dirigeants ont parlé finances, moi de santé. On se reverra la semaine prochaine" a déclaré l'entraîneur des Verts selon France Bleu Saint-Etienne Loire.

Touché par les acclamations du Chaudron, JLG n'a pas caché son émotion au coup de sifflet final au micro de Paga.

Partager