
Le Brésil élimine Marvin
15/11 07:10

Pays hôte de la Coupe du Monde U17, le Brésil a battu la France 3-2 la nuit dernière à Brasilia. Pour la cinquième fois depuis le début du tournoi, le Stéphanois Marvin Tshibuabua est resté sur le banc. Le défenseur central stéphanois, qui avait joué le match pour du beurre contre Haïti, devrait avoir du temps de jeu après-demain pour la petite finale contre les Pays-Bas, éliminés aux tirs au but par le Mexique.
Jorginho buteur et leader (2)
14/11 22:34
Solide leader du championnat bulgare avec Ludogorets, l'ancien flop offensif stéphanois Jorginho (24 ans) a marqué hier son premier but avec la slection de Guinée-Bissau, qui a battu 3-0 l'Eswatini (ex-Swaziland) lors des éliminatoires de la CAN 2021.
Bouanga avec les Panthères contre les Léopards (2)
14/11 22:06

Les Léopards de la République Démocratique du Congo ont été tenus en échec 0-0 par les Panthères du Gabon ce soir lors des éliminatoires de la CAN 2021. Moins en vue au Stade des Martyrs de Kinshasa qu'à la Beaujoire, Denis Bouanga a joué l'intégralité de la rencontre aux côtés de Pierre-Emerick Aubameyang, qui a raté la balle de match à la 87e. Les deux hommes tenteront de trouver le chemin des filets contre les Palancas Negras de l'Angola le 17 novembre à Franceville.
Ruffier a égalé Curko
14/11 21:28
Comme prévu, Stéphane Ruffier a égalé dimanche dernier Ivan Curkovic au nombre de matches disputés sous le maillot vert en L1/D1. Merci au potonaute Sam42 pour ce récapitulatif très complet !
303 matchs : Curkovic et Ruffier
259 matchs : Abbes
252 matchs : Janot
233 matchs : Castaneda
138 matchs : Bernard
130 matchs : Carnus
125 matchs : Jacquin
99 matchs : Bell
66 matchs : Coupet
58 matchs : Beaufreton
55 matchs : Davin
46 matchs : Ceccarelli
43 matchs : Ferrière
32 matchs : Viviani
30 matchs : Alonzo et Llense
29 matchs : Finek, Migeon et Philippe
23 matchs : Castel
20 matchs : Huc
17 matchs : Donoyan
16 matchs : Moulin
15 matchs : Levytsky
14 matchs : Paszko
9 matchs : Cayrouze
8 matchs : Helies
7 matchs : Creteur
5 matchs : Lemasson
4 matchs : Montanier, Solignac et Tricon
3 matchs : Adamiak
2 matchs : Maisonnial et Verbrugghe
1 match : Bajic, Blin, Coulibaly et Dugalic
Zéro loin de l'Hérault
14/11 14:05
Dans 10 jours, les Verts défieront Montpellier à GG. Un Montpellier qui présente seulement le 17ème bilan de Ligue 1 à l'extérieur.
En 6 matchs disputés loin de chez lui, le Poubelles FC présente un maigre bilan pour l'instant en Ligue 1 : 3 nuls (à Bordeaux, Marseille et Metz) et 3 défaites (à Nantes, Strasbourg et Reims).
L'attaque héraultaise, seulement 4 buts, a du mal, et sans surprise, la défense à cinq de Michel Der Zakarian reste solide (7 buts encaissés en 6 matchs).
Face à des Verts à la peine à GG (2 victoires seulement), on se gardera bien d'en tirer des conclusions définitives.
Un Bouanga peut en cacher un autre (2)
14/11 08:00

Dans un entretien accordé à France Bleu Saint-Etienne Loire, Denis Bouanga (25 ans) avait parlé de son petit frère Didier (23 ans) en août dernier. Jouant à La Flèche (Sarthe) en N3, ce dernier lui a rendu hier la pareille sur la même radio.
"On jouait tout le temps ensemble quand on était petits. On aimait bien Thierry Henry. On regardait ses vidéos de buts, de matchs. Je suis tous les matchs de Denis. Je suis content de lui. Il faut qu'il continue. La, il passe un cap, il est en train de monter. Dans son jeu, physiquement, il a progressé. Avant, il n'était pas comme ça. Il allait moins vite. Il explose. Parce qu'il a la confiance du coach, il joue. Il ne se la pète pas. Il ne se la raconte pas. Il est humble. Il écoute beaucoup les consignes du coach. Il n'oublie pas ses amis, ses parents. Je l'appelle tous les jours et on s'envoie des messages."
La Tunisie prend soin de Khazri
14/11 07:48

"Wahbi Khazri a rejoint l’équipe nationale de Tunisie à l’occasion de la quatrième séance d’entraînement mercredi des Aigles de Carthage, désormais au grand complet, en prévision du match de vendredi soir à Radès face au onze libyen comptant pour la 1re journée des qualifications pour la Coupe d’Afrique des Nations 2021" rapporte le site African Manager. "Après avoir bénéficié d’un programme spécifique de préparation lui permettant d’éviter les complications d’une blessure ancienne, l’équipe médicale a donné le feu vert à Khazri pour retrouver ses coéquipiers et effectuer une séance complète."
Poupou dans la Roux des Verts ?
14/11 07:38

"L’historien Alfred Wahl a comparé le destin de Poulidor à celui de l’AS Saint-Étienne : la mémoire collective retient un échec, une défaite en finale, et oublie les nombreuses autres victoires ? On peut le voir ainsi. Cependant, finalement, qui ne sait pas, en tout cas parmi ceux qui s’intéressent un peu au vélo comme moi, qu’il fut un très grand cycliste et à quel point il a compté ? Avec un peu de recul, n'est-ce pas là l'essentiel ?" a déclaré hier Guy Roux dans un entretien accordé à So Foot.
Emile Robert, 98 ans et toujours vert ! (2)
14/11 07:25

A 98 ans, Emile Robert évoque à nouveau ses vertes années dans la dernière édition du Progrès.
"J’ai eu ma licence amateur en 1938 et j’ai joué à l’ASSE jusqu’en 1943. L’entraîneur d’alors était un écossais : Duckworth. J’étais un bon dribbleur, je jouais au poste qu’on appelait alors inter droit, mais je suis aussi passé inter gauche et même ailier. Quand on dribble, on sait que ce sont les chevilles qui vont souffrir ; ça a été le cas. Mais je n’ai jamais eu d’accident grave ! À l’époque, il y avait Snella, Llense un gardien de but international, Hesse, Spechtl, Cabanes, Pasquini… A l’époque, on voyageait en car et on ne couchait pas dans des hôtels 4 étoiles, mais c’était bien. Mes meilleurs souvenirs ? Mon premier match joué avec l’équipe 1, mon premier match avec les pros contre Nice, puis Alès. Et ma sélection pour participer au concours du jeune footballeur en 1939."
L'hommage de Roro à Poupou
13/11 23:25
Sur France Bleu Saint-Etienne Loire, Roland Romeyer a rendu hommage sur France à Raymond Poulidor, décédé ce matin à l'âge de 83 ans.
"En juillet dernier encore, j'échangeais avec lui. C'était une personne très attachante. D'une grande simplicité. C'est comme ça que j'aime les hommes. C'est un homme du terroir. Le paysan du Limousin, une force de la nature. Le symbole d'une certaine France, laborieuse et dure au mal. Et ça correspondait aussi à nos valeurs de Saint-Étienne. C'est quelqu'un de très chaleureux, d'avenant, de sympa et les Français se reconnaissaient en lui. Il avait une grande popularité et une cote d'amour incroyable auprès du public. Ça je le constatais chaque fois que je le voyais sur le Tour. Dans le cœur des Français il restera toujours le premier, c'est sûr".
Crédit photo : Radio France
Trauco privé de Chili
13/11 23:05

Compte tenu de la crise politique et sociale que traverse leur pays, les joueurs de l'équipe du Chili ont décidé officiellement de ne pas jouer le match amical programmé le 19 novembre à Lima contre le Pérou de Miguel Trauco. Le latéral gauche des Verts devra donc se contenter du match contre la Colombie qui se déroulera au Hard Rock Stadium de Miami la nuit du vendredi 15 au samedi 16 novembre.
Youssouf ne souffle pas
13/11 22:30

Zaydou Youssouf, qui espère honorer sa première sélection avec les Espoirs ce vendredi à Nancy contre la Géorgie, est le joueur auquel Claude Puel a donné le plus de temps de jeu comme l'atteste ce classement éffectué par le potonaute Antoine1708 :
1. Youssouf : 630
2. Bouanga : 547
3. Ruffier : 540
4. Kolodziejczak : 495
5. Boudebouz : 454
6. Saliba : 450
7. M’Vila et Fofana : 360
9. Debuchy : 352
10. Perrin : 315
11. Khazri : 297
12. Abi : 281
13. Hamouma : 245
14. Nordin : 204
15. Silva : 198
16.Trauco, Aholou : 194
18. Palencia : 162
19. Beric : 139
20. Camara : 125
21. Moukoudi, Honorat, Moulin : 90
24. Diony : 65
25. Cabaye 45
26. Diousse 9
Moukoudi privé de Requins Bleus
13/11 22:08

Alors qu'il avait été appelé en renfort par Antonio Conceiçao, Harold Moukoudi n'était pas sur la feuille du match nul et vierge concédé à domicile par les Lions Indomptables ce soir face aux Requins Bleus du Cap Vert lors des lors des éliminatoires de la CAN 2021.
Féfé zouke ferme
13/11 19:44

L'artiste guinéen Pascal Feindouno s'est brièvement confié avant-hier sur TL7.
"Je suis stéphanois d’adoption, je vis toujours sur Saint-Etienne. Saint-Etienne c’est une ville calme. Après, c’est vrai que j’ai fait des grandes villes. Mais Saint-Eienne, c’est pépère, à part. Parfois j’entends dire que suis le Zidane Black avec mes gestes techniques, ça fait toujours plaisir ! Pour moi le foot, c’est le jeu, le plaisir. Normalement, au football, on ne devrait pas être méchant sur un terrain. Je pense que mes années en vert ont marqué le public stéphanois. Même maintenant quand je marche où que je vais regarder des matches à Saint-Etienne, certaines personnes me parlent et e disent de revenir à l’ASSE. Je leur « non, c’est fini maintenant, je suis vieux ! » Ils me disent « non, tu n’es pas vieux, tu peux encore donner du plaisir aux supporters. » Mais bon, on vieillit, c’est la vie, c’est comme ça !
Je resterai dans le football car je ne sais faire que ça, c’est déjà bien ! J’ai un eu commencé mais je suis un peu discret là-dessus. Déjà je suis président d’un club, le FC Feindouno, ça fait un moment et ça me tient à cœur. Déjà parce que c’est dans mon pays. Et toute ma famille c’est football, c’est des sportifs donc il faut garder ce nom. Je veux rester dans le foot mais il n’y a que moi qui sais quel sera mon rôle. On verra plus tard. J’ai beaucoup d’idées, ça n’en finit pas. Je pense tous les jours. J’emmagasine. Comme quand j’étais footballeur. Tous les soirs, je pensais à l’entraînement du lendemain matin. Je pensais à ce que j’allais faire, tout était prêt déjà.
Les joueurs me disaient que j’étais leur grand frère. Quand j’étais à l’ASSE, les jeunes venaient à la maison pour être conseillés. Après, parfois ça rentre et parfois ça ne rentre pas. Bafé Gomis a écouté mes conseils de grand frère. D’ailleurs on l’a vu, derrière il a évolué, il a grandi, il a muri donc moi j’étais content. J’aime bien Bob Marley et le zouk. Le zouk, c’est magnifique, c’est la classe. Tu danses et tu bouges sur le terrain en même temps, les artistes c’est ça !"
Un jour Féroé pour Bajic
13/11 19:03

Stefan Bajic, qui a honoré cet après-midi à Koge (Danemark) sa 9e sélection en équipe de France U19, n'a eu aucun travail à faire face à la faible équipe des Iles Féroé, écrasée 5-0 lors des éliminatoires de l'Euro 2020.
Le protégé de Razik Nedder et Jean-Luc Vannuchi affrontera la Finlande (le samedi 16 novembre à 13h00) et le pays hôte (le mardi 19 novembre à 14h00).
Puel dégaine de plus en plus vite
13/11 15:11
Avant l'enchaînement monstrueux de 9 matchs en moins d'un mois qui attend les Verts entre le 24 novembre (réception de Montpellier) et le 21 décembre (déplacement à Strasbourg), jetons un oeil rapide sur la spectaculaire arrivée de Claude Puel à Sainté.
Ayant signé 48 heures avant le derby, Puel a coaché 7 fois les Verts pour 4 victoires (en championnat) et 3 nuls (1 en championnat, 2 en coupe d'Europe).
Le moins qu'on puisse écrire est qu'il a réussi ses débuts.
Est-ce une habitude chez lui ?
De plus en plus. Ainsi arrivé en octobre 2017 à Leicester il démarre par 4 victoires, 2 nuls et 1 défaite.
Un an auparavant, à Southampton, ses 7 premiers matchs s'étaient soldés par 3 victoires, 2 nuls et 2 défaites.
Plus loin, en 2012, avec Nice il avait démarré le championnat avec un bilan mitigé d'1 victoire, 5 nuls et 1 défaite.
On notera donc qu'avec le temps, il semble de plus en plus rapide pour faire performer ses équipes, et que ses deux plus beaux démarrages coïncident avec les deux fois où il a dû jouer les pompiers de service et remplacer en début de saison un coach démis de ses fonctions.
Sainté en finale en 2023 ? (2)
13/11 14:35
La mairie de Saint-Etienne a sans doute communiqué un peu vite hier :
Geoffroy Guichard est bien candidat à l'organisation d'une finale européenne, mais il s'agira de la finale de l'Europa Conference League pour les années 2022 et 2023.
Cette nouvelle compétition européenne verra le jour lors de la saison 2021-2022, et concernera 32 équipes dans sa phase de groupe. Elle regroupera des clubs éliminés des tours de qualification de la Ligue des champions et de la Ligue Europa, et des clubs de petites fédérations.
La démarche prônée par l'UEFA pour cette compétition étant de "donner la chance à davantage de clubs et de pays de disputer une compétition européenne".
L’UEFA retient pour cette finale de "Ligue Europa 2" des stades avec une capacité comprise entre 25 000 et 45 000 places, classés quatre étoiles selon son règlement.
Le dossier complet doit être déposé avant le 20 février et le vote d’attribution est prévu en décembre 2020.
Jean-Guy au Niger
13/11 14:02
La sélection nigérienne a un nouveau sélectionneur, et c'est Jean-Guy Wallemme qui vient d'être désigné.
Il va, en parallèle, continuer à exercer son rôle d'entraineur au C' Chartres Football (N2), poste auquel il avait été reconduit en mai dernier.
Le Niger occupe le 104ème rang modial au classement FIFA, et va débuter les éliminatoires de la CAN 2021 ce samedi en Côte-d'Ivoire, avant de recevoir Madagascar le mercredi 20 novembre.
Wallemme avait déjà cumulé 2 postes en 2012, celui d'entraîneur de l'AJ Auxerre et de sélectionneur du Congo.
Djouahra marque contre Salamanque
13/11 07:19

Ancien pensionnaire du centre de formation de l'ASSE (de 2012 à 2018), Naïs Djouahra (19 ans) a réalisé samedi dernier un doublé victorieux pour la Real Sociedad contre Salamanque lors de la 12e journée du groupe 2 de Segunda B (3e division espagnole).
Cartoche fait ses valoches
13/11 07:03

Comme le rapporte Le Télégramme, le Raja Casablanca a limogé hier Patrice Carteron (49 ans). Nommé entraîneur de ce club marocain le 30 janvier dernier, l'ancien latéral stéphanois avait remporté deux mois plus tard la Supercoupe d'Afrique avec le Raja Casablanca aux dépens de l'Espérance de Tunis.
Alors que Cartoche avait prolongé son contrat en mai, sa première défaite en championnat, samedi sur le terrain du club Youssoufia de Berrechid, a précipité son départ. L'agence de presse marocaine précise qu’il était sur la sellette depuis l’élimination surprise en seizièmes de finale de la Coupe du Trône fin août.
Xuereb aurait pu être vert (2)
13/11 06:48

Champion Olympique en 1984 aux côtés de Patrice Garande et Albert Rust, l'ancien attaquant des vilains, des Sang et Or, du PSG et de l'OM Daniel Xuereb rappelle dans Le Progrès du jour que Sainté l'avait recalé.
"Comme tout natif de Gardanne, j’admirais les frères Revelli et voulais aller à Saint-Etienne, où j’ai fait deux essais. Lors d’un amical, où on me fait jouer défenseur contre Mazargues, le premier responsable du centre de formation de l’OL, Canzio Capaldini, me voit et m’écrit lorsqu’il apprend que l’ASSE ne me garde pas.
Merveilleux éducateur devenu à force d’expériences un grand entraîneur, Aimé Jacquet m'a fait débuter dans l'élite lors d'un déplacement de l'OL à Nancy. Le seul truc que j’ai retenu de ce match, c’est d’avoir mis un petit pont à Michel Platini, qui, bien évidemment, a toujours dit que c’était un mensonge.
Comme match marquant avec l’OL, il y a évidemment ce derby à Gerland en 1980 (1-1), où je marque. Mais c’est tout ce monde sur le toit, les pylônes électriques qui m’avait marqué… Il n’y avait pas de billet pour tous mais le passage a été forcé. Ça avait beaucoup fait jaser dans la presse, et ça aurait pu mal finir…"
La revanche chez les Crocos
12/11 23:06

Comme l'an dernier, les Verts affronteront les Crocodiles aux Costières en 8e de finale de la Coupe de la Ligue, le mercredi 18 décembre (trois jours après la réception du QSG). Pour rappel, Nîmes avait éliminé Sainté aux tirs au but malgré l'ouverture du score de Robert Beric à la 80e car un certain Denis Bouanga avait égalisé à la 90e...
Boudebouz impressionné par Puel
12/11 22:21
A l'antenne de RMC, le numéro 7 des Verts s'est dit ce soir impressionné par son entraîneur.
"On a une équipe qui a du caractère, qui ne lâche rien. Depuis quelques temps, on s’accroche et on travaille beaucoup pour remonter au classement. Depuis l’arrivée du coach ça se passe assez bien et franchement on est content car on a subi beaucoup de critiques et on a galéré depuis le début de saison. Ça fait du bien de gagner pour la confiance.
Tout le monde est concerné dans l’équipe, le coach a relancé beaucoup de joueurs, il fait jouer la concurrence et les cartes ont été redistribuées. Quand tout le monde se sent concerné et personne ne sent sa place acquise, ça devient plus compétitif, sur le terrain on doit faire plus d’efforts pour gagner sa place et rester en place.
Ça change beaucoup et j’espère que ça restera comme ça et que tous les joueurs concernés dans le groupe vont pouvoir rentrer dans l’équipe et apporter un plus comme l’ont fait ce week-end Trauco et Honorat par exemple. Claude Puel est sérieux, travailleur, il nous fait passer ce message : il faut continuer de travailler tous les jours, même si on gagne des matches il y a des choses à améliorer.
C’est vrai qu’il y a beaucoup d’exigences techniquement et tactiquement, on a beaucoup travaillé là-dessus depuis son arrivée. C’est là où on a fait le plus d’efforts, le plus de progrès. Claude Puel est dur mais dans le bon sens, il ne va jamais pourrir un joueur, il va toujours essayer de le faire progresser et de l’emmener là où il veut qu’il aille.
Avec ce genre de coach, c’est pour moi la manière dont on progresse. Parfois t’as des coaches sans scrupules qui te défoncent un joueur et c’est difficile. Claude Puel n’est pas comme ça. Franchement il m’impressionne. Je ne le connaissais pas mais j’avais entendu des choses positives sur lui. Je sais qu’il arrive de faire de belles choses avec ses équipes et il aime le beau football.
Depuis qu’il est arrivé je suis très content car déjà il m’a remis sur le terrain et après on gagne des matches. Quand tu joues et que tu gagnes, qu’est-ce que tu veux de plus ? Le lendemain de son arrivée, pour le match contre Lyon, il me met à mon poste et dans la causerie il dit « donnez les ballons à Ryad, il va nous organiser le jeu. » C’est quelque chose qui pour moi est fort. Il me redonne les clés du jeu et tout bascule pour moi et même dans la tête je prends confiance."
Guillemet s'est ouvert (4)
12/11 20:58

Directeur du centre de formation de l'ASSE, Philippe Guillemet s'est confié ce soir sur France Bleu Saint-Etienne Loire.
"Parfois des parents nous contactent pour nous signaler leur enfant mais le réseau logique c’est que l’enfant montre ce qu’il sait faire, après on a des recruteurs dans trois régions importantes de France, Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes Côte d’Azur et Ile de France. Le système fédéral aussi engendre des détections à partir des U13. Forcément nos observateurs y assistent et supervisent les bons joueurs. Il faut avoir l’œil, c’est un métier. Le joueur qui est vraiment au-dessus, tout le monde le voit, ce n’est pas forcément lui qu’il faut avoir à l’oeil. Tous nos observateurs ont été entraîneurs, c’est important. Parfois il y a des joueurs qui ont une qualité forte, c’est important. Le reste, c’est normal, ils sont jeunes, ça demande à être développé.
Quand on retrouve un joueur passé par le centre de formation de l’ASSE, il y a une fierté. Que ce soit ceux qui deviennent des top joueurs, même ceux qui font des centaines de matches en Ligue 1, c’est magnifique. On a quelques jeunes comme ça qui nous avaient marqué dès les premières observations, que ce soit Allan Saint-Maximin, qui joue à Newcastle et Kurt Zouma qui est à Chelsea. On a aussi des garçons qui comptent des sélections en équipe de France. Actuellement Marvin Tshibuabua dispute la Coupe du monde U17 avec l’équipe de France U18. C’est déjà remarquable d’être dans le groupe France. C’est un garçon qui s’accroche, qui progresse. On souhaite qu’il gagne la Coupe du Monde d’autant plus qu’on apprécie bien son sélectionneur, Jean-Claude Guintini.
Il arrive qu’un joueur recruté à un poste soit repositionné à un autre. Chez les plus petits c’est fréquent. Même chez des adultes, ça peut arriver. Des joueurs comme Di Méco et Lizarazu ont été reconvertis défenseurs. Laurent Blanc aussi jouait plus haut à ses débuts. L’ASSE a fait signer à l’intersaison tous les joueurs à potentiel, on a réussi à les garder avec nous. Cela prouve déjà que les joueurs apprécient le club et que les gens qui ont œuvré pour ça ont bien fait le travail.
Nous on accueille des jeunes Stéphanois dès l’école de foot comme n’importe quel club amateur aux alentours. A sept ans, huit ans ou neuf ans, il y a de la place à l’ASSE, même si ça nécessite toujours une petite détection. Après les jeunes sont en préformation, des U12 jusqu’aux U15. Ce sont essentiellement des joueurs locaux et il y a quelques joueurs de l’Auvergne Rhône-Alpes en fonction de ce que nous permet la réglementation. Après il y a le centre de formation en lui-même, à partir des U16. Ils partent pour un cycle scolaire de trois ans.
On voit parfois des papas qui vivent à travers leur enfant, ils visent une carrière qu’eux même n’ont pas pu faire. Ce n’est pas une légende, on peut le voir chez les plus petits. On sensibilise les jeunes sur le fait qu’ils ne réussiront pas tous à passer professionnel. Ils le savent dès le départ dès qu’ils signent. Le taux de réussite est faible même si le pourcentage est assez important ces dernières saisons. On a fait signer pro trois 2000, six 2001, deux 2002 ont déjà signé.
Mais signer c’est une chose, jouer et faire carrière c’en est une autre. Faire quelques apparitions en L1 et en L2 ce n’est pas faire carrière. Faire des centaines de matches, oui. On sait que tout le monde ne va pas jouer dans le top 5 Ligue 1 ou à l’ASSE, on forme aussi des joueurs qui feront des carrières très honorables en Ligue 2 voire en National. Ils vivent du football donc c’est déjà très bien. Comme dans tous les clubs, il arrive que des joueurs qui n’ont pas signé pro chez nous fassent une belle carrière ailleurs. El il arrive également que des joueurs qu’on voulait et qu’on ratés ne fassent pas carrière.
L’équipe réserve connaît un début de saison difficile. On a eu un pic de blessures à un moment entre le groupe professionnel et le groupe de National 2. Il y a aussi quelques joueurs qui sont arrivés plus tard, ils n’étaient pas qualifiés tout de suite. On joue très jeune. Dans le cursus de formation c’est bien de pouvoir prêter des joueurs, on voit que ça se passe plutôt bien pour les joueurs prêtés cette saison. Ce sera tout bénef pour l’ASSE dès la saison prochaine. On a confiance en notre staff, en notre équipe. On sait qu’on va rebondir. On a fait des petits nuls sur des matches qu’on aurait pu gagner. La roue va tourner. On a d’autres joueurs à potentiel dans les 2002 et les 2003. Le National 2 est un championnat très difficile, notamment au niveau athlétique. La moindre erreur peut se payer. Il y a une énorme différence avec le National 3."
Moukoudi contre les Requins Bleus et les Guêpes
12/11 14:24
Le défenseur de Getafe Allan Nyom s'étant blessé avant-hier lors de la 13e journée de Liga contre Osasuna, le sélectionneur du Cameroun Antonio Conceiçao a annoncé hier en conférence de presse qu'il avait décidé d'appeler en renfort Harold Moukoudi pour affronter les Requins Bleus du Cap Vert (demain à Yaoundé) et les Guêpes du Rwanda (dimanche à Kigali) lors des élimnatoires de la CAN 2021. Titularisé à la Beaujoire par Claude Puel dimanche dernier, le numéro 2 de l'ASSE avait fait ses débuts avec les Lions Indomptables il y a un mois pile-poil en amical contre la Tunisie.
Sainté en finale en 2023 ?
12/11 13:20
La ville de Saint-Etienne vient de l'annoncer via son compte twitter, la FFF a retenu sa candidature pour l'organisation de la finale de l'Europa League en 2023 à Geoffroy Guichard.
C'est maintenant auprès de l'UEFA, que le maire Gaël Perdiau et la FFF vont défendre la candidature stéphanoise.
Ce serait bien évidemment une première pour le Chaudron que d'accueillir une finale européenne.
Pour rappel, la finale 2020 aura lieu à Gdansk en Pologne et la finale 2021 à Séville.
Guillou revient sur ses vertes années (2)
12/11 11:15

Dans un long et intéressant entretien à écouter dans son intégralité sur Dessous de Verts, Patrick Guillou revient sur ses vertes années. Extraits.
"La saison 1999-2000, j’ai moins joué que les saisons précédentes. Rétrospectivement, on pourrait dire que j’étais un joueur de D2 et que j’aurais dû partir. Mais j’avais tellement envie de connaître la Ligue 1 avec Saint-Etienne, ce qui a été le cas les trois premiers matches… Quand ils recrutent Bjorn Kvarme, sachant qu’il y a déjà Lionel Potillon et Romarin Billong… Je n’avais pas forcément le talent des autres.
Avec le recul, je pense que j’ai tiré le maximum de ma carrière. Jouer au foot au très haut niveau, ça demande autre chose que du cœur et de l’engagement. Cela demande aussi une culture tactique, cela demande d’avoir de l’intelligence dans le placement. Quand tu vis l’histoire en temps réel, t’as un sentiment d’injustice. Tu te dis que tu as contribué à la remontée et tu ne comprends pas pourquoi tu ne joues pas. Tu te renfermes, tu es peut-être colérique. Mais je pense que j’ai tiré la quintessence de mes moyens footballistiques.
J’ai participé à ce fameux 5-4 remporté contre Montpellier. C’était un match d’anthologie, on s’en rappellera toujours. Par rapport à tous les énormes matches qu’il y a eu à Saint-Etienne, ça reste un flash. Mais le fait d’avoir pris part à ce match et à cette aventure-là… Il n’y a pas tout à jeter dans ma troisième année à Saint-Etienne. J’ai gardé encore des potes. On a passé des bons voire des très bons moments. Mais c’est sûr qu’un joueur de foot n’a de valeur que quand il joue. Après, même quand tu ne joues pas, il y a une dynamique à créer dans le vestiaire. Quand t’es plus ancien, tu restes vigilant à être le garant de certaines valeurs dans un vestiaire. J’ai apporté ma modeste contribution.
Alex est certainement le meilleur joueur que j’ai côtoyé à Saint-Etienne. Il fallait le prendre comme un artiste, avec ses forces et ses faiblesses. Ce n’était pas quelqu’un qui était forcément très assidu aux entrainements. C’était quelqu’un de très particulier mais il te décantait un match quand il le voulait et quand il était mis dans de bonnes dispositions. C’était un joueur « fuoriclasse » comme on dit en Italie. Il avait la capacité de faire la différence à lui tout seul. Après, je n’ai pas eu la chance de jouer avec lui, mais le plus beau footballeur après Moravcik qu’on ait eu à Saint-Etienne, c’est Pascal Feindouno, incontestablement.
Après être allé à Sochaux, je suis retourné à l’ASSE en août 2001. Entre-temps le club était descendu, il y avait encore forcément les stigmates de l’affaire des faux passeports. C’est dur de repartir en Ligue 2, quand d’entrée en plus il n’y a pas les résultats, tu te dis «purée, ça va être à nouveau une saison de reconstruction, une saison galère. » J’avais envie de participer à cette aventure de reconstruction. Mais je suis parti en 2003 à Rouen, juste avant ce qui aurait pu être ma quatrième montée en Ligue 1.
J’ai été con. J’ai été con dans mon comportement. Avec le recul, je reconnais que j’ai un vrai problème avec l’autorité. J’avais en face un entraîneur qui était plus que très autoritaire. Je n’ai jamais eu de problèmes avec les Alain Michel, Jean Fernandez, Pierre Repellini, Michel Le Milinaire. J’ai plutôt eu des problèmes relationnels avec Victoz Zvunka et Frédéric Antonetti. Dans mon comportement j’ai été con, provocateur, jusqu’au-boutiste.
Le fait de ne pas avoir fait de centre de formation, d’avoir fait des études universitaires même quand j’étais joueur de foot, le fait d’avoir ma liberté de parole, ma liberté de ton… Certaines choses qui m’avaient été dites n’avaient pas forcément été respectées. Après je me suis braqué. Je m’en suis expliqué des années après avec Frédéric Antonetti. On se rencontrait dans les mêmes hôtels à Paris lors de matches ou de préparation d’émissions. Un matin il m’a tendu la main. Il m’a invité à prendre le petit déjeuner avec lui. J’ai fait amende honorable. On a eu une explication d’hommes, à la Antonetti et à la Guillou. Ce n’est que du foot. Il a compris aussi pourquoi j’avais eu certaines réactions."
2020 < 2019
12/11 10:45
Si la série entamée sous Printant à Nîmes et joliment prolongée par Puel (16pts en 6 matchs) a remis Sainté dans le sens de la marche en championnat, nous restons, au tiers de la saison, légèrement en retrait par rapport à l'an dernier.
L'an dernier, les troupes de JLG, 5èmes, comptaient en effet 23pts après 13 journées (6 victoires, 5 nuls, 2 défaites) contre 21 cette saison (6 victoires, 3 nuls, 4 défaites).
La bible sacre Maisonnial et Paye
12/11 10:30


Deux anciens pensionnaires du centre de formation de l'ASSE sont dans l'équipe type de la 14e journée de L2 selon l'autoproclamée "bible du football" : le gardien du Paris FC Anthony Maisonnial (auteur de plusieurs parades décisives lors du succès 1-0 de son équipe à Orléans) et le latéral droit sochalien Papou Paye (victorieux 2-0 contre Le Havre).
Maisonnial (Paris FC) - Paye (Sochaux), Ogier (Clermont), Hountoundji (Clermont), Le Goff (Lorient) - Tardieu (Troyes), Demoncy (Orléans), Pambou (Grenoble) - Semedo (Grenoble), Hamel (Lorient), Wissa (Lorient).
Guillou revient sur ses vertes années
12/11 09:41
Ancien latéral de l'ASSE et actuel consutant sur beIN Sports, Patrick Guillou replonge dans ses années stéphanoises dans une longue interview accordée à Dessous de Verts. Extraits.
"Quand Pierre Repellini a repris l’équipe avec Monsieur Herbin, il m’a demandé si je voulais venir à Saint-Etienne. Je serais venu à vélo, en brouette, à pied. J’avais envie de porter ce maillot après avoir supporté cette équipe pendant de longues années. Même quand j’étais à Bochum ou à Rennes, j’ai toujours été supporter. D’Allemagne, je venais voir des matches de l’ASSE à Geoffroy-Guichard. J’ai tout de suite saisi cette opportunité de signer à Sainté.
La première année a été compliquée, il a fallu attendre la 13e journée pour remporter le premier match. Moi j’avais des problèmes avec l’une de mes filles, elle était malade. Il fallait que je m’en occupe et les dirigeants avaient été royaux avec moi. Je leur ai dit que je devais mettre ma carrière entre parenthèses, que je jouerai quand on aurait besoin de moi avec la réserve ou avec les pros.
On s’est sauvé cahin-caha grâce à un but de Reginald Ray lors d’un match entre Le Mans et Cuiseaux-Louhans. On perd à Lille mais on se sauve. On ne descend pas en National, c’est tiré par les cheveux. On fait une chouille monumentale car c’est un soulagement pour tout le monde. On reste entre joueurs, c’est un moment magique à Lille. Le triumvirat Bompard-Soler-Nouzaret se met ensuite en place.
Le recrutement est alors excellent, typique pour faire une montée de D2 en D1. Je crois qu’on a dû attendre la 20e journée à Guingamp pour connaître notre première défaite. Une vague de sympathie se met en place, on joue un football attractif. Pourtant les quatre premières journées on ne gagne pas un match mais derrière on fait une superbe série. Des supporters s’identifient à Fayolle et Ponsard, des gars du cru.
Il y a des gars qui sortent d’une saison galère et qui sont revanchards comme Claude Fichaux, Romarin Billong et moi. Il y a l’éclosion de Julien Sablé, l’éclosion du centre de formation avec des joueurs comme Lucien Mettomo et Pape Sarr. Il y a les recrutements de Gilles Leclerc, Nestor Subiat, Kader Ferhaoui, ça avait été bien pensé. Cette dynamique nous porte, on sait que rien ne peut nous arriver.
Le staff technique de l’époque - Robert Nouzaret, Yves Brécheteau, Rudi Garcia, Jeannot Dées – casse tout ce qu’on avait mis en place la saison d’avant. Au niveau du vestiaire, on remet des valeurs en place, une dynamique collective. On met des règles en place, de l’autogestion car on était aussi pour beaucoup des joueurs d’un certain âge. Avant que Robert Nouzaret prenne la parole, on savait faire notre auto-critique, notre ménage dans le vestiaire.
Il y a eu cet engouement, notamment cette semaine au mois d’octobre où il y a eu 100 000 supporters en trois matches à Geoffroy-Guichard. On se sentait invincible sur le terrain, on était porté par la dynamique, par le public, par l’engouement dans la ville. Geoffroy-Guichard c’est , la fois le poumon et le cœur de la ville. Tout tourne autour du club. Cet engouement, il faut en être digne."