
Puel aime changer
26/11 08:00

Si sur bien des points il reste inflexible, Claude Puel aime changer. Pas seulement son onze de départ d'un match à l'autre mais aussi les joueurs en cours de jeu. Selon Opta, il est l'entraîneur de l'élite qui a effectué le plus de changements (54) cette saison devant Stéphane Moulin (52) et Christophe Galtier (51). Le coach des Verts a systématiquement procédé aux 5 remplacements autorisés hormis en banlieue où seuls 4 joueurs sont entrés en jeu (Hamouma, Khazri, Moueffek, Rivera).
La tuile pour Maçon (7)
26/11 07:39

Opéré le 15 octobre dernier d’une rupture du ligament antérieur du genou droit contractée lors d'un match gagné par les Bleuets contre la Slovaquie, Yvann Maçon donne de ses nouvelles dans Le Progrès du jour. Extraits.
"Je viens de terminer la première phase qui consistait à plier la jambe et retrouver l’extension que j’avais perdue. La deuxième consistera à réapprendre à marcher, d’abord avec des béquilles. Après 45 jours sans poser le pied, c’est bizarre de remarcher… Ensuite, j’irai à Clairefontaine pour la phase trois afin de me remuscler. Enfin, je reviendrai au club. Je sais que ça prendra du temps mais je vais retrouver mon niveau. Je vais revenir avec tellement d’envie que ça le fera.
Chaque jour, j’ai un membre du staff ou des joueurs au téléphone, cela me remonte le moral. Le peuple vert m’encourage aussi beaucoup, je ne m’attendais pas à tout cela. Je sais que j’ai une grave blessure et que je suis obligé de passer par là. J’essaye de penser positivement sinon, je vais flancher.
C’est frustrant de ne pas pouvoir aider mes coéquipiers et me battre avec eux. Je sais qu’ils donnent le maximum à chaque match. Même si je ne suis pas là physiquement, je suis avec eux tous les week-ends et je me sens impliqué. C’est une mauvaise passe, j’espère qu’on va se relever. Et on va se relever."
Une énorme erreur pour Le Tallec
26/11 07:24

Evoluant cette saison aux côtés des anciens réservistes stéphanois Maxence Chapuis et Romain Spano à Annecy (National 1), Anthony Le Tallec (36 ans) évoque aujourd'hui dans La Pravda son peu concluant passage chez les Verts (1 pion claqué en 10 matches dont 5 en tant que titulaire lors de la saison 2004-2005).
"Quand Rafael Benitez avait remplacé Houllier sur le banc des Reds, il avait débarqué avec une armada d'Espagnols. Je me suis dit qu'il n'allait pas me faire jouer. Je suis allé le voir pour lui demander de partir en prêt... C'était une énorme erreur. Je suis parti six mois à Saint-Étienne, où ça ne s'est pas bien passé. Quand je me retourne sur ma carrière, je suis heureux d'avoir remporté des titres, mais surtout je suis fier d'avoir côtoyé des joueurs extraordinaires comme Gerrard ou Owen. C'était magique, la perfection au quotidie."
Sarra tacle Ruffier et les cadres
25/11 21:44

Sur les ondes de France Bleu, Christian Sarramagna a apporté ce soir son soutien à Claude Puel.
"Les plus belles années, malheureusement, on les a vécues. Aujourd’hui ce n’est plus le monde que j’ai connu. Aujourd’hui on a l’impression que dès qu’il y a quelque chose qui ne va pas, tout doit être remis en cause. Un joueur dès qu’il ne joue pas il faut qu’il fasse une déclaration contre l’entraîneur. Je peux prendre l’exemple de notre ami Ruffier à Saint-Etienne. Ça m’attriste car ce n’est pas ça le professionnalisme. Les déclarations de l’agent de Ruffier, bien sûr que c’est choquant ! Après il ne faut pas s’étonner des répercussions que ça peut avoir sur le club, sur l’entraîneur, sur le vestiaire, sur les performances des joueurs.
La situation actuelle de l’ASSE est préoccupante mais pas dramatique. Je peux vous assurer qu’on ne descendra pas, j’en suis formel ! Il faut faire confiance à Claude Puel, il faut croire en l’avenir. De toute façon, il y aura des recrues qui vont arriver. La force de l’équipe qui était la nôtre, nous on était des jeunes, on mouillait le maillot forcément parce qu’on était éduqué. Aujourd’hui on ne leur donne même pas le temps d’être éduqués pour le football professionnel de haut niveau. Mais je pense sincèrement que cette équipe va mûrir et que ça portera ses fruits. Il faut avoir confiance.
Quand on voit les deux plus grands espoirs de cette équipe de jeunes, Saliba et Fofana, qui sont partis, alors que Claude Puel voulait se reposer sur cet axe central, mettez-vous à sa place ! Le métier d’entraîneur, c’est très difficile. Il faut gérer au quotidien les problèmes, les états d’âme, les blessés. C’est un effectif très restreint, avec peut-être beaucoup trop de jeunes. Mais pour moi les joueurs cadres ne sont pas à la hauteur. Nous, on avait une assise, une épine dorsale de très haut niveau. Aujourd’hui, l’ASSE ne l’a pas."
Osvaldo a entraîné Diego
25/11 20:32

En janvier dernier, dans le 7e numéro de Dessous de Verts, Osvaldo Piazza (73 ans) avait rendu hommage à Diego Maradona, décédé aujourd'hui à l'âge de 60 ans.
"J’ai eu l’occasion de côtoyer Diego. J’étais entraîneur de Velez, on s’est retrouvé dans un programme de télévision. Déjà on se connaissait joueur quand je jouais à Velez et que lui jouait à Argentina Juniors, au début de sa carrière. Quand il était en Italie, moi j’étais entraîneur de Santa Fé. Pour présenter l’effectif, Diego avait été invité, il a joué un peu donc j’étais son entraîneur ! (rires) Mais Diego, c’est un joueur qu’on ne peut pas diriger ! Pour nous c’est Dieu, on est connu dans le monde grâce à lui.
Je crois qu’en France on ne se rend pas compte ce qu’il représente en Argentine. Vous savez d’où il vient ? Normalement l’éducation ça sert à quelque chose. Il n’était pas préparé à devoir répondre aux questions de 250 journalistes à l’âge de 15 ans. Quand il va en Italie, c’est le Dieu et commence cette idolâtrie. Il tombe dans quelque chose qu’il ne connaît pas. Jamais ils ne l’ont préparé pour faire ça, pour arriver à ça !
Nous Argentins on lui dit « merci Diego pour tout ce que tu nous as donné. » On va toujours le défendre car il nous a fait rêver, vibrer à travers son football. L’Argentine est connue par Maradona, pas par autre chose. Avant on était connu par les militaires. Maintenant on est connu par Diego Maradona même s’il a commis des fautes et des erreurs dans sa vie. Mais pour nous c’est un Dieu.
Messi est un joueur de foot de grande classe. Diego c’est un Dieu. Il nous a donné tout. Il a gagné tout. Messi n’a pas gagné la Coupe du Monde. Mais Diego a bénéficié de coéquipiers qui jouaient pour lui comme en 1986 : Burruchaga, Enrique, Valdano…"
Lille enchaîne mal C3 et L1
25/11 19:09
Prochain adversaire des Verts, le LOSC se signale par une difficulté à enchaîner la Ligue 1 et l'Europa League. En effet, ils n'ont pas gagné un seul match après avoir joué le jeudi en Coupe d'Europe. Après leur victoire 4-1 à Prague, ils ont concédé le match nul (1-1) sur la pelouse de Nice. Même score contre Lyon après leur match nul contre le Celtic (2-2). Enfin, ils ont perdu à Brest (3-2) après leur belle victoire 3-0 à San Siro.
L'occasion de se replonger dans le parcours européen des Verts sous Christophe Galtier.Sur 36 matchs de C3 disputés (qualifications, barrages et phase finale), les Verts ont joué 32 matchs de L1 le week-end suivant. Ils en ont remporté 14 pour 6 nuls et 12 défaites.
Dans le détail :
En 2013-2014, 2 victoires (à Ajaccio et contre Bordeaux) et 1 défaite (à Lille) après les matchs contre Milsami et Esbjerb.
En 2014-2015, 3 victoires (à Lens, contre Metz et Lyon), 3 nuls (contre Rennes, Monaco et à Nice) et 2 défaites (à Paris et contre Toulouse) lors des matchs suivant le parcours européen des Verts (qualification en barrages contre Karabukspor et élimination en groupe face à l'Inter Milan, Qarabag et le Dnipro)
En 2015-2016, 4 victoires (à Lorient, contre Bastia, Nantes et Guingamp), 1 nul (à Marseille) et 6 défaites (à Toulouse, à Caen, à Paris, à Lyon, à Monaco, contre Caen) lors des matchs suivant le parcours européen des Verts (élimination de Targu Mures et Milsami, qualification dans un groupe face à Rosenborg, la Lazio et le Dnipro, élimination en 16e de finale contre Bâle)
En 2016-2017, 5 victoires (contre Montpellier, Bastia, à Caen, à Angers, contre Guingamp), 2 nuls (contre Toulouse et à Metz) et 3 défaites (à Lyon, à Montpellier, contre Caen) lors des matchs suivant le parcours européen des Verts (élimination de l'AEK Athènes et du Beitar Jérusalem, qualification dans un groupe contre Mayence, Qabala et Anderlecht, élimination en 16e de finale contre Manchester United)
Diego ne s'en est jamais remis
25/11 19:08
Percuté puis éliminé par Pascal Despeyroux en 1986, Diego Maradona s'est éteint aujourd'hui à l'âge de 60 ans. L'ancien milieu défensif des Verts nous a livré sa réaction.
"Le monde du football perd une légende. Toute une génération perd un mythe avec son génie, ses excès, ses fragilités. J'ai eu la chance de l'affronter en Coupe d'Europe à Naples avec Toulouse. C'est le charme de la vie. J'avais 20 ans, j'avais le poster. D'entrée il me dribble super bien et je fais faute. Je tiens à préciser qu'il n'y avait aucune méchanceté de faire faute de ma part. Dans la ville de Naples, c'était un Dieu vivant. J'ai eu la chance de jouer au TFC avec Tarantini et Marcico qui ont joué avec lui sous le maillot argentin. Je recommande à tous les supporters des Verts s'ils ne l'ont pas déjà fait de voir le film sorti sur lui il y a un an. C'est un documentaire extraordinaire, on comprend mieux le personnage. Il fait partie des monstres sacrés. Il y avait déjà Cruyff qui était parti. Diego vient de le rejoindre et bientôt - le plus tard possible j'espère - il y aura Pelé. Dans le panthéon je mets aussi Platini et Zidane et deux joueurs encore en activité, Messi et Ronaldo. Messi était un Dieu vivant en Argentine, il y a trois jours de deuil. Diego est mort mais Saint-Etienne est toujours vivant. Courage aux Verts, il faut s'accrocher !"
Mounié a baisé les Verts
25/11 17:56

Pisté en vain par l'ASSE l'été dernier, Steve Mounié a achevé les Verts samedi dernier à Francis-Le Blé. En duplex depuis Brest, son coéquipier Paul Lasne a expliqué aujourd'hui à la chaîne Téléfoot à quel point il appréciait ce joueur.
"C'est un vrai plaisir de marquer quatre buts en une mi-temps, ça donne des ailes. C'est agréable de jouer dans une équipe qui se procure autant de situations offensives et qui marque des buts. Je félicite d'ailleurs nos attaquants qui sont très efficaces. Cette saison, on est l'équipe qui a marqué le plus de buts - 8 - à la suite d'un centre dans le jeu. On a certains principes qui nous font passer par les côtés et on a aussi, surtout, recruté un sacré bonhomme qui est très bon de la tête, on l'a encore vu contre Saint-Etienne : Steve Mounié. Je le connaissais car on a joué ensemble à Montpellier. Il était déjà très efficace de la tête.
Avec sa patte gauche, Ryad Boudebouz lui filait à l'époque les ballons et à chaque fois de la tête il faisait mouche. Quand il est arrivé à Brest, j'ai prévenu tous les défenseurs centraux. Je leur avait dit : "Vous allez voir, à l'entraînement vous n'allez pas en toucher une de la tête." Steve a un très bon timing et il a aussi de la force dans la nuque. C'est un point majeur pour nous et c'est aussi un point d'appui, ça nous permet de varier notre jeu.Tantôt on relance court, tantôt on joue un peu plus long pour trouver Steve en appui ou pour son jeu de déviation pour des joueurs comme Irvin Cardona ou Franck Honorat qui peuvent prendre la profondeur grâce à leur vitesse."
Coupet positive
25/11 14:46

Entraîneur des gardiens du DFCO (lanterne rouge avec 4 points en 11 journées) dont Anthony Racioppi (auteur d'une grosse boulette il y a trois jours contre Lens), Grégory Coupet s'efforce de positiver hier dans Le Bien Public avant de recevoir les Verts le dimanche 6 décembre à 15h00 (Dijon ira entretemps à Nice).
"Ce n’est pas banal de perdre ses deux gardiens en dix jours. C’est préjudiciable de faire une préparation avec deux garçons et de les voir partir derrière. Le départ d’Alfred Gomis était encore plus compliqué, car c’était un leader dans le groupe. Mais c’était difficile de le retenir alors qu’il y avait une Ligue des champions qui l’attendait à Rennes. Comment j'explique ce début de championnat ? Il y a un groupe qui s’est constitué sur le tard. On fait une grande préparation de deux mois et, au bout du compte, ton effectif est changé à 50 %. Tu accumules du retard.
On cherche le déclic, cette première victoire. On y travaille. On essaye d’activer tous les leviers pour faire prendre conscience de la situation, et faire émerger quelques leaders. C’est clairement ce qu’il nous manque. On a perdu des joueurs importants dans le leadership, comme Julio Tavares ou Alfred Gomis. On a besoin d’en retrouver et de retrouver un noyau dur, parce que ce n’est pas un joueur qui fera la différence. Je reste optimiste car on n’est pas irrémédiablement lâché.
Contre Lens, on se demande qui était le promu. Et ça me dérange parce que je n’ai pas ressenti de rage. On joue à domicile, contre un promu, et ça ne se voit pas. La situation est grave et je n’ai pas l’impression qu’on en soit hyper conscient. Il faut mettre les joueurs devant leur responsabilité. J'ai souvent été amené à jouer le haut du tableau durant ma carrière mais j'ai également connu une relégation avec Saint-Etienne.
Je connais cette atmosphère, mais ça ne m’était jamais arrivé de jouer onze matches sans en gagner. Si en fin de saison, le DFCO devait descendre en Ligue 2 ? Aucun problème. J’ai un contrat à honorer jusqu’en 2022 et très sincèrement, je n’ai absolument pas envie de partir de Dijon. Je suis très heureux ici. J’adore le staff, si on descend, je me sentirais aussi responsable et donc j’assumerai."
Duverne a bouffé du Vert
25/11 11:19

Auteur du deuxième but de l'écrasante victoire de Brest contre Sainté samedi dernier à Francis-Le Blé, Jean-Kévin Duverne est revenu hier sur ce match de la 11e journée de L1 sur la chaîne bretonne Tébéo.
"On dit que c’est difficile pour une équipe qui joue deux fois de suite à domicile de gagner deux fois mais après notre victoire contre Lille on ne redoutait pas spécialement ce match contre les Verts. On sait qu’on est une équipe solide à Francis-Le Blé. On se devait d’enchaîner contre Saint-Etienne, cette équipe n’était pas bien alors que nous on était en confiance.
Je suis content d’avoir marqué mon premier but en Ligue 1. Sur le corner, Abi est sur moi et Moukoudi est sur Steve Mounié. Abi et Moukoudi se percutent un peu, à ce moment-là je vois qu’un espace se libère. J’en profite. J’ai l’espace pour attaquer la balle, je n’ai même pas besoin de sauter, j’ai juste à bien ajuster ma tête. Je la mets très puissante pour que les réflexes du gardien ne soient pas précis."
Ruffier et les procéduriers (5)
25/11 10:41

Suite à l'article publié hier soir par la Pravda, l'ASSE a confirmé ce matin dans un communiqué lapidaire la nouvelle mise à pied de son meilleur gardien.
"Stéphane Ruffier a été mis à pied à titre conservatoire pour un acte d'insubordination. Il est convoqué à un entretien le 2 décembre prochain. L’AS Saint-Etienne ne fera aucun autre commentaire concernant cette procédure disciplinaire."
Aholou garde la tête haute
25/11 08:10

L'ancien milieu de terrain stéphanois Jean-Eudes Aholou s'est exprimé hier dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.
"Notre situation n’est pas terrible, mais on sait que tout peut se jouer sur deux ou trois matches, ça nous donne de la motivation pour continuer à nous battre. Il faut garder la tête haute, rester positif, s’appuyer sur les choses que l’on fait bien et rectifier celles qui nous coûtent cher. On est tous sur le même bateau qui va dans la même direction. On est conscient de la situation mais on n’est pas plus inquiet que ça. Il faut travailler intelligemment pour sortir de cette mauvaise passe. Quand on voit le classement et l’écart des points avec ceux qui nous précèdent, on se dit que l’on a toutes nos chances de revenir."
Avant-dernier de L1, le Racing Club de Strasbourg compte deux points de retard sur le barragiste lorientais, trois sur le 17e Reims et quatre sur le 16e Saint-Etienne. Le calendrier des hommes de Thierry Laurey d'ici la trêve : réception de Rennes, déplacement à Nantes, réception de Metz, déplacement à Angers, réception de Bordeaux, déplacement à Paris.
L'analyste vidéo du Stade Brestois avait recruté Gourna
25/11 07:49

Le quotidien Ouest-France a publié aujourd'hui le troisième volet de sa passionnante série sur le phénomène du jeu vidéo Football Manager et ses liens avec le football réel. Extraits.
"Football Manager n’est pas qu’une affaire de footeux-geek, qui cherchent à tuer le temps lors de mises au vert ennuyantes. Toujours plus précis et complet, le jeu a également débarqué dans le quotidien de certains staffs de clubs professionnels. Au Stade Brestois, par exemple, avec Maxime Flaman, analyste vidéo. Le jeune homme de 32 ans a commencé à jouer lorsqu’il était adolescent. Lorsqu’il a débarqué à Dijon, en 2011, il a de suite senti les effets bénéfiques. « La base de données du jeu m’a donné une culture des joueurs très importante. »
Elle lui permet de gagner en légitimité au DFCO. Maxime Flaman est rapidement réputé pour connaître tous les U17 du monde. « C’est vrai que c’est un jeu intéressant pour la connaissance des jeunes joueurs. Les championnats de réserve, U19 ou U17 ne sont pas diffusés à la TV et je n’ai pas le temps d’aller les voir de mes propres yeux. Mais grâce à FM, tu peux connaître les futures pépites de Ligue 1. » Ce pouvoir omniscient aide aussi parfois son travail vidéo, besogne fastidieuse, où les analystes doivent condenser, en quelques minutes, le visionnage des profils de dizaines de joueurs sur plusieurs matches.
Maxime Flaman prend un exemple concret, appuyé sur la confrontation de dimanche entre Brest et Saint-Étienne (4-1 pour les Bretons). « Dans ma partie FM de l’année dernière, j’avais recruté Lucas Gourna, un jeune milieu de terrain prometteur de l’ASSE. Le jeu l’estime comme un futur bon joueur de L1. » Depuis le début de la saison, Gourna fait ses premiers pas en équipe première. Il était titulaire à Le-Blé, ce week-end. « Je connaissais déjà son profil grâce à FM. Ça m’a donné des pistes sur ce que je devais observer de son jeu. Je l’ai vérifié à la vidéo, et ça m’a fait gagner du temps."
Le péno de Gomis
25/11 07:31

Grâce à un penalty de Bafé Gomis tiré plein axe sous la barre avant-hier contre Al Nasr Riyadh, Al Hilal a pris avant-hier la tête du championnat d'Arabie Saoudite.
Ruffier et les procéduriers (4)
24/11 22:47

Selon la Pravda, l'ASSE a décidé d'entamer une nouvelle procédure à l'enconte de Stéphane Ruffier. Extraits.
"L'ASSE l'a de nouveau mis à pied à titre conservatoire, jeudi dernier. Cette fois, "l'acte d'insubordination" consisterait selon ses dirigeants, à "avoir quitté prématurément la séance d'entraînement", selon les termes de la lettre recommandée avec accusé de réception que lui a adressée Xavier Thuilot, son signataire. Selon le directeur général de l'ASSE et proche de Puel, Ruffier serait coupable d'avoir regagné le vestiaire juste avant la fin d'une séance individuelle avec André Biancarelli. Ce dernier aurait pourtant confié au gardien qu'il avait déjà entraîné à Monaco son étonnement de le voir rester aussi en forme, alors qu'il se retrouve privé de compétition depuis plus de neuf mois. Ruffier est à nouveau interdit de s'entraîner au moins jusqu'au 2 décembre, date de sa convocation pour un entretien préalable à une éventuelle sanction.
La sanction peut aller jusqu'à un licenciement pour faute grave. Si la procédure allait jusque-là, cela permettrait au club d'économiser son salaire d'ici au 30 juin, date de la fin de son contrat à 2,8 M€ bruts par an (4,2 M€ avec les charges patronales). En attendant un inévitable procès aux prud'hommes. Le côté procédurier de l'ASSE ressemble à la constitution d'un dossier allant dans ce sens. Au début de la préparation, Ruffier avait reçu un avertissement pour s'être rendu à un rendez-vous à l'école de ses filles, alors qu'il était tenu de rester dans sa chambre à L'Étrat, entre deux entraînements. Puis, comme d'autres "multirécidivistes", selon un dirigeant, une autre lettre recommandée fin août, pour avoir été aperçu en train d'enlever son masque sur le parking des joueurs en montant dans sa voiture."
Saint-Louis n'est pas dégueulasse
24/11 19:37

Ayant pris part à tous les matches de Troyes cette saison (7 titularisations et 3 entrées en jeu sous les ordres de Laurent Batlles), Dylan Saint-Louis, 4e de L2 avec un match de moins que le trio de tête, s'est confié à L'Est-Eclair. Extraits.
"Je suis très content d’avoir été élu meilleur joueur troyen du mois d’octobre. Je monte en puissance. Je revenais d’une expérience compliquée en Belgique, j’avais besoin de retrouver mes jambes, du rythme. Cela passe par du temps de jeu, de bonnes performances. Aujourd’hui, j’ai retrouvé du coffre plus rapidement que prévu.
Depuis mon arrivée à Troyes, mon approche est totalement différente. L’objectif collectif dépasse mes ambitions personnelles. Au Paris FC, je voyais les choses différemment, le club arrivait de National, les ambitions du club étaient tout autres. À cette époque, je pensais beaucoup plus à mes objectifs personnels. J’en ai encore, car ils permettent d’arriver là où on veut, mais je suis vraiment content de participer à cette aventure collective à l’Estac.
Dès mon arrivée, je pense avoir apporté quelque chose de différent dans le style de l’équipe. J’aime bien la profondeur, répéter les appels pour faire craquer les défenses, même si j’ai certaines qualités techniques, je ne suis pas dégueulasse non plus ! Mais au début, je sentais bien que je n’arrivais pas à faire les différences habituelles. Il fallait que je retrouve mon volume athlétique pour être efficace.
Depuis quelques matches, je fais partie des attaquants qui ont un rôle de piston… C’est un schéma que l’on cherche à maîtriser de plus en plus. On nous demande de rester très haut, de jouer normalement, d’étirer la défense adverse, d’apporter du surnombre sur les côtés. Car si le jeu bascule, on se retrouve en un contre un et on tombe dans nos qualités."
Il y a deux semaines, Saint-Louis a fait une sympathique "pause Canap'" avec son coéquipier Chambost, autre Dylan de l'Estac formé à l'ASSE.
Galette rend hommage au Sphinx (2)
24/11 18:23

Comme il l'avait fait plus brièvement sur twitter au lendemain du décès de Robert Herbin, Christophe Galtier rend hommage au Sphinx dans le joli Hors-Série que Le Progrès lui a consacré le mois dernier. Extraits.
"Je tenais compte de ses remarques. Je les acceptais car elles étaient toujours justes, même s'il ne connaissait pas tous les tenants et les aboutissants de notre semaine de travail. Je n'ai jamais pris ses critiques de manière négative. S'il y a un point commun entre nous, c'est l'exigence qu'impose notre métier au quotidien. Je ne sais pas si un jour un entraîneur français l'égalera, mais nos discussions on se retrouvait toujours sur l'exigence, l'engagement total, le fait de jouer pour l'équipe, l'idée de respecter le partenaire, le public. Il était obnubilé par l'exigence mais en même temps, il était persuadé qu'il pouvait être dangereux de rechercher la perfection. "On peut se perdre dans cette quête" m'avait-il fait remarquer."
C'est Sainté, BB !
24/11 12:12

Benoît Bastien sera au sifflet le 29 novembre à 21h00 pour le match de clôture de la 12e journée de L1 qui opposera l'ASSE au LOSC. Si les Verts n'ont pas réussi à l'emporter les quatre dernières fois où le Spinalien de 37 ans a officié dans le Chaudron, c'est lui qui était au sifflet lorsqu'ils s'étaient imposés 2-0 (buts de Tabanou et Brandao) dans le Chaudron contre les Dogues le 17 janvier 2014. De quoi espérer enfin une victoire pour ce dimanche ?
Diousse au 36e dessous à Ankaragücü
24/11 07:17

Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2022, Assane Diousse envie le classement actuel des Verts. C'est dire à quel point le milieu de terrain sénégalais de 23 ans est mal barré en Turquie. Malgré son entrée en jeu en seconde période avant-hier sur le terrain de Goztepe, il n'a pas pu empêcher la nouvelle défaite d'Ankaragücü, lanterne rouge de Super Lig, qui n'a pris que deux points depuis le début de saison... Le Lion de la Teranga peut néanmoins se targuer d'avoir joué 364 minutes dans l'élite du championnat turc, soit 364 de plus qu'Alexandros Katranis, abonné au banc d'Hatayspor.
Obraniak soutient Puel (3)
24/11 06:47

Ludovic Obraniak a réitéré son soutien à son ancien entraîneur lillois Claude Puel hier soir sur le plateau de la chaîne de la Pravda.
"Vous me demandez si on peut jouer le maintien avec des gamins en majorité ? Il faut comprendre une chose. Déjà, la fin de saison dernière, les cadres étaient là et ils n’ont pas fait bien mieux. Les cadres commencent à revenir. Sur les deux derniers matches, Khazri a joué [ndp2 : il était suspendu à Brest], Kolo est là, Bouanga a joué, Boudebouz est revenu contre Brest. Excusez-moi mais je n’ai pas vu de différence flagrante avec les jeunes ! Moi je connais bien l’environnement sportif et du coup un peu administratif du club parce que c’est l’ancienne équipe de Lille quand moi j’y étais en 2006. Il y a Claude-Puel, Xaxier Thuilot et Jean-Luc Buisine. Je connais leur façon de fonctionner.
Claude Puel, il faut savoir que ce n’est pas un entraîneur. Ce n’est pas Jean-Louis Gasset quand il récupère l’équipe et qu’on lui demande de sauver le club. Lui, ce qui l’intéresse, c’est juste de sauver le club. Il prend des joueurs expérimentés, ils détruisent le modèle économique qu’ils avaient, c’est-à-dire la régulation de la masse salariale. Ils explosent ça car ils sont dans une telle mouise qu’il leur faut absolument prendre des joueurs pour sauver la mise. Ils prennent des mecs qui ont une durée de vie d’un an, un an et demi, deux ans pas plus. Qu’est-ce que ça a donné ? Est-ce qu’il y a eu satisfaction sur la durée avec Boudebouz, Khazri, M’Vila ? Non.
Claude Puel, c’est l’école Arsène Wenger. Lui il est là comme manager du club, il n’est pas qu’entraîneur. Son rôle, c’est aussi d’assainir les comptes car Saint-Etienne est en grave difficulté financière. Il y aura des comptes à rendre et Puel, on peut lui reprocher plein de choses, ce n’est pas un homme qui ne pense qu’à sa gueule. Lui, il s’inscrit dans un projet, comme il l’a fait à Lille. Il est là pour bâtir sur plusieurs années. Peut-être que Saint-Etienne finira 15e cette année et pourra passer tranquillement la DNCG pour pouvoir construire les années suivantes. Il vaut mieux ça que de finir 8e et de se mettre complètement dans le rouge. Avec Puel, les fondations sont solides. À Lille, Rudi Garcia en a profité et à Nice Lucien Favre s’est appuyé aussi sur ce qu’il avait fait."
Hamouma, numéro 21 !
23/11 22:25

Seul joueur stéphanois du top 50 de l'élite selon France Football à paraître demain, Romain Hamouma (5,71) occupe la 21e place au classement des Etoiles dominé par Kylian Mbappé (6,67), qui devance les Dogues Renato Sanches (6,57) et Jonathan Bamba (6,36), Ruben Aguilar (5,8) occupant une très honorable 13e place. Au classement des gardiens de l'autoproclamée "bible du football", Jessy Moulin (5) rétrograde à l'avant-dernière place (ex aequo avec le Strasbourgeois Bingourou Kamara), ne devançant que le Rémois Predrag Rajkovic (4,9).
Cabella se sentait moins utile
23/11 18:18

Auteur de 7 pions cette saison avec Krasnodar, Rémy Cabella explique à France Football pourquoi il a quitté Sainté.
"Les commentaires sur mon départ, il y en a eu, mais c'était : pourquoi part-il de Saint-Étienne alors qu'il y était bien ? Je comprends énormément cette phrase. Car, à la base, ce n'était pas prévu. Je voulais faire ma saison avec Saint-Étienne, on était en Ligue Europa. Je m'étais fixé l'objectif d'aller en Ligue des champions. Se qualifier pour la C3, c'était monstrueux. Mais je voulais tellement jouer la Ligue des champions... On avait une grosse équipe, il y avait Wahbi, Yann, avec Denis Bouanga qui venait de signer : ça allait être monstrueux. Krasnodar jouait la qualification pour la Ligue des champions. J'ai demandé quelques jours de réflexion. Mais il faut aussi savoir une chose : à Saint-Étienne, la première année, lorsque Jean-Louis Gasset est arrivé, j'ai évolué à un poste où j'étais libre, où le jeu passait beaucoup par moi.
La deuxième année, on a eu des nouveaux joueurs, mais le jeu avait un peu changé. En préparation, je le ressentais, je trouvais que le jeu allait passer moins par moi. C'était différent. Dans ma tête, ça ne m'avait pas trop plu. Ce n'était pas que j'étais triste, mais je sentais que je n'allais pas m'épanouir, moins jouer mon jeu. Cela m'avait mis un coup. Et j'ai eu cette proposition qui a fait que le choix s'est fait comme ça. Ç'a fait tilt. Si le jeu n'avait pas changé, je n'aurais jamais pensé à partir. Tu aurais pu m'amener n'importe quelle proposition, je serai resté. Mais le fait de se sentir moins utile, de faire moins ce que je voulais dans le jeu, je n'étais pas bien dans ma tête."
El Zhar royal contre Umm Salal
23/11 13:27

Nabil El Zhar (34 ans) a marqué avant-hier un doublé victorieux pour Al Ahli sur le terrain d'Umm Salal. L'ancien réserviste stéphanois est désormais en tête du classement des buteurs du championnat qatari (5 pions claqués en 6 matches).
Le 11 de Onze
23/11 12:53

Le magazine Onze Mondial a concocté le 11 des Verts des dix dernières années :
Ruffier - Debuchy, Bayal, Perrin, Ghoulam - M'Vila, Guilavogui, Matuidi - Aubameyang, Hamouma, Gradel.
Néry prêt à retrouver Nancy
23/11 11:59
Espérant faire son premier match officiel avec le GF38 (5e de L2) demain contre l'ASNL (15e), Loris Néry se confie dans la dernière édition du Dauphiné Libéré. Extraits.
"C’est un joli clin d’œil d'avoir joué mon premier match avec Grenoble en amical contre l'ASSE à L'Etrat le 13 novembre dernier. J’ai fait toute ma formation là-bas, j’y ai évolué deux ans en pro, ça m’a rappelé de jolis souvenirs. Ça a été une intersaison compliquée. J’étais en fin de contrat avec Nancy et ce n’était pas l’année pour l’être.
J’ai beaucoup d’amis qui sont restés sur le carreau ; moi, ça s’est fait à la dernière minute. À la base, je cherchais plutôt quelque chose à l’étranger. Je n’ai pas eu trop de sollicitations. Et quand Grenoble m’a appelé, c’était une bonne opportunité. À moi de me faire une place dans cet effectif.
Je manque encore de temps de jeu, ça s’est vu sur mes 45 minutes à Saint-Étienne. C’était difficile dans l’enchaînement des courses, mais ça va venir avec le temps. Dans ma carrière, j’ai joué autant à gauche qu’à droite. Je pense que j’ai été recruté pour ça, je suis polyvalent."
Laurey grave
23/11 09:28

Selon Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Thierry Laurey jouera son maintien sur le banc strasbourgeois le week-end prochain lors de la réception d'un Stade Rennais mal en point(s) depuis sa nette victoire à GG.
Malgré sa 9e défaite concédée (hier à Montpellier) cette saison en 11 journées, l'ancien milieu et recruteur stéphanois s'est voulu pugnace au sortir de la Mosson.
"Je suis très content de l'état d’esprit des joueurs, ils font tout pour s’en sortir. On va préparer le match de Rennes comme on prépare chaque match, en travaillant sérieusement, avec beaucoup d’ambition et d’abnégation, sans négliger quoi que ce soit, martèle-t-il. On a marqué trois buts ici à Montpellier, c’est quand même une performance. Mais on en a pris quatre… Voilà, j’en suis désolé. J’espère que l’on aura de la réussite contre Rennes. On va essayer de la provoquer, sans faire n’importe quoi. Si ce n’est pas le cas, que voulez-vous que je vous dise ? Tout le monde est dans le même bateau et tout le monde s’accroche. Vous pouvez voir des changements où vous voulez, moi je suis payé pour être entraîneur et préparer l’équipe du mieux possible pour que les joueurs donnent le maximum sur le terrain."
Le Racing Club de Strasbourg est actuellement avant-dernier de L1 et compte 4 points de retard sur l'ASSE, 16e.
Charles, décolle !
23/11 08:20

Nous l'avions surnommé "Charles deux goals" pendant la préparation estivale, marquée par ses doublés contre Rumilly, Nice et Bordeaux. Las, Abi n'arrive toujours pas à décoller en Ligue 1 : aucun but et aucune passe décisive en 23 matches dans l'élite (dont 9 en tant que titulaire), soit 898 minutes de disette !
S'il a claqué pas mal de pions avec les U19 (dont 5 lors du parcours victorieux en Gambardella), force est de constater que le natif de Clermont a plus de mal à scorer en match officiel chez les seniors.
Auteur d'un seul but en 30 matches disputés en pro (contre le Paris FC en Coupe de France), il n'avait auparavant trouvé le chemin des filets qu'à 4 reprises avec la réserve en 25 matches dont 14 en tant que titulaire (soit 1 390 minutes).
Gageons que notre grand Charles va résister à ces stats et aura davantage d'occasions de la mettre au fond lors de ses prochains matches !
Galette en tête
23/11 07:21

Au classement des entraîneurs de la saison actuelle de Ligue 1 établi par la Pravda, le maître-chien Christophe Galtier (5,91/10) est en tête ex aequo avec le coach monégasque Nico Kovac. Ex aequo avec Jean-Louis Gasset et Rudi Garcia, Claude Puel (5,09) ne devance que David Guion (5), Christophe Pélissier (4,91) et Thierry Laurey (4,82).
En ce qui concerne les joueurs de champ, on aura noté que Romain Hamouma (5,86) est 18e (ex aequo avec le Lensois Jonathan Clauss), Kylan M'Bappé (6,83) dominant ce classement devant Jordan Amavi (6,33) et Jonathan Bamba (6,27).
Jessy Moulin (4,82) est quant à lui l'antépénultième gardien de l'élite, seuls le relégable trasbourgeois Bingourou Kamara (4,75) et le barragiste lorientais Paul Nardi (4,73) sont moins bien notés que l'ultime rempart des Verts.
Galtier déterminé à gagner à GG
22/11 23:43

Après avoir écrasé 4-0 les Merlus grâce à la 5e passe décisive d'un Jonathan Bamba excellent depuis le début de saison, Christophe Galtier a évoqué ce soir son retour à Geoffroy-Guichard programmé dimanche prochain en clôture de la 12e journée.
"On va d'abord se concentrer sur le match contre le Milan AC, en espérant qu'on puisse obtenir une qualification dès jeudi soir. Ensuite on sera dans l'obligation de faire un résultat à Saint-Etienne si on veut toujours se battre pour le podium. Je vais aller dans le Chaudron avec beaucoup de détermination, faire abstraction des sentiments que l'on peut avoir quand on revient dans un club où on a passé sept ou huit saisons avec de belles réussites. Le contexte est particulier avec un stade vide, avec un Saint-Etienne qui ne va pas bien.
Mais je ne vais pas m'endormir là-dessus, je sais que Claude Puel va monter une équipe très compétitive. J'ai vu un Saint-Etienne très compétitif dans le derby, j'ai vu un Saint-Etienne en dfficulté à Brest mais comme nous. On verra ce qui se passera jeudi soir, j'espère que tout le monde sera en forme pour le match de dimanche car dans cette série prendre des points est important pour basculer à la trêve. Après, ce qui se passe à Saint-Etienne... En fait ça se passe dans beaucoup de clubs. Il y a des équipes qui gagnent, il y a des équipes qui perdent. On verra bien."
Hasek a kiffé le Chaudron
22/11 22:24

L'ancien entraîneur stéphanois Ivan Hasek (57 ans) est revenu aujourd'hui sur sa verte saison (2006-2007) pour la radio tchèque Cesky Rozhlas.
"Je dois dire que ce fut l'une des plus belles années de ma carrière. J'étais enthousiasmé par l'atmosphère et la façon dont la ville vit par le football. Lorsque tu entres sur le terrain à Saint-Étienne et que le stade est plein, tu as la chair de poule."