A 5 jours de la clôture du marché d'hiver, l'attaquant du Zamalek, Mostafa Mohamed ne connaît toujours pas sa future destination. Alors que son club affirme haut et fort ne plus vouloir négocier avec Saint-Etienne, l'égyptien a pris la parole pour la première fois sur Twitter

كل ما يقال عني غير صحيح حتي الان لا اعلم لماذا يقف بعض الاشخاص في طريقي لتحقيق رغبتي خاصآ انني لبيت كل طلبات نادي الزمالك ؟!

— Mostafa Mohamed (@mmostafa_11) January 27, 2021

La traduction de ce tweet : "Tout ce que l’on dit de moi n’est pas vrai jusqu’à présent. Je ne sais pas pourquoi certaines personnes se mettent en travers de mon chemin pour réaliser mon désir, d’autant que j’ai répondu à toutes les demandes du club Zamalek?!"

Un appel du pied pour crier son amour du Forez ?

Renaud Cohade, qui avait interrompu pour nous son très long silence médiatique le 15 janvier dernier, s'est confié hier à Denis Balbir sur les ondes de France Bleu Lorraine Nord. Extraits.

"Je continue de suivre tous les clubs par où je suis passé. Bon, moins Lyon où j'ai été formé, car je suis plus attaché à Saint-Etienne. Dimanche, je n’ai pas passé une bonne soirée. C'est comme ça, ça peut arriver. J’avais eu la chance de marquer le 3^e but quand on avait gagné le derby 3-0 à la maison. C’est avec la victoire en Coupe de la Ligue le meilleur souvenir de ma carrière. J’ai vécu de belles années à Sainté, on était européen. Je souhaite au FC Metz de vivre ça.

Les rumeurs comme quoi il y aurait eu presque une bagarre dans le vestiaire stéphanois entre les jeunes et les anciens ? Quand les résultats ne sont pas là et que la saison est difficile, il peut y avoir de tels faits. Cela m’est arrivé à Metz une année où on a fini avec très peu de points. Il y a eu des clashs dans le vestiaire. Mais en même temps, quand tu n’as pas les résultats, c’est un peu normal. Ça peut arriver qu’il y ait des mésententes. Il faut que ça sorte parfois pour repartir du bon pied, il ne faut pas que ça laisse de traces. Quand ça en laisse, on en paye parfois les conséquences.

La stabilité d’un club, la philosophie des dirigeants, c’est important. Il faut qu’il y ait de la continuité. Quand il y a trop de changements, ça devient compliqué. Parfois il y a des fins de cycle et il faut repartir. C’est ce qui arrive à Saint-Etienne en ce moment. L’après Galtier a été compliqué, il y a eu beaucoup de mouvements dans l’équipe, on voit que c’est compliqué. Quand il y a une continuité et qu’on garde à peu près le même groupe, souvent les résultats suivent."

 

Assisté de Johan Hamel et Lionel Jaffredo à la vidéo, Frank Schneider sera au sifflet ce dimanche dès 13h00 à l'Allianz Riviera pour le match de la 22e journée qui opposera Nice (12e, 26 points) à Sainté (16e, 19 points). Les Verts n'ont gagné qu'un seul match dirigé par cet Alsacien de 41 ans, le 23 août 2015 à Lorient (1-0, but de Romain Hamouma).

En sa présence, les Stéphanois ont concédé 5 nuls et 8 défaites dont 2 contre Nice, sur le plus petit des scores  : à Geoffroy le 20 novembre 2016 (but de... l'ex-Aiglon Valentin Eysseric !) et le 21 janvier 2018 à l'Allianz Rivera (but de Wylan Cyprien). 

Les Ultras stéphanois n'ont que peu goûté au second 0-5 en moins de 4 ans contre la banlieue. Ils l'ont fait savoir ce matin au centre d'entraînement avec cette banderole.

ASSE : après la défaite face à l'OL, les supporters déploient des banderoles à l'Etrat #Loire #Football #ligue1 #ASSEOL https://t.co/VITVgSIyTe pic.twitter.com/QP8NVgwytR

— Le Progrès - ASSE (@leprogres_asse) January 27, 2021

 

Selon la dernière édition de Het Laatste Nieuws, l'ASSE s'intéresse au défenseur central du Club Bruges Simon Deli (29 ans). Le quotidien belge néerlandophone affirme que Fenerbahce est aussi sur le coup mais a vu son offre de 2,5 M€ refusée par le champion de Belgique en titre, qui aurait fixé la barre à 3 M€. Apparu à 13 reprises cette saison, le grand international ivoirien (1m92) n'a pas pris part aux 5 derniers matches de son équipe qui écrase le championnat belge (11 points d'avance sur son plus proche poursuivant). 

 

Comme le souligne aujourd'hui France Football, l'ancien défenseur central stéphanois Wesley Fofana subjugue en Angleterre. Extraits.

"«Wesley Fofana a évolué à un niveau remarquable lors de la victoire 2-0 des Foxes», notait le Daily Mail. Leaders du Championnat après ce succès contre les Blues, les Foxes ont vu leur défenseur français couvert de lauriers par la presse. The Mirror se lâchant déjà sur la valeur future du bonhomme : «Fofana est une révélation pour les Foxes. Sa superbe prestation lors de la victoire 2-0 contre Chelsea a émerveillé Jamie Redknapp pour qui Fofana, 20 ans, sera le futur défenseur le plus cher au monde.»

«Il est devenu si courant de faire l'éloge de Fofana que l'on pourrait s'étonner que le jeune français arrive dans une nouvelle ligue et un nouveau pays à l'âge de 19 ans et joue comme le plus expérimentés des défenseurs de Premier League, apprécie le Guardian. Il n'a pas manqué une seule minute de Championnat et n'a pas commis la moindre erreur depuis ses débuts contre Aston Villa à la mi-octobre.» Pour la BBC, l'«incroyable Fofana» est tout simplement «la meilleure acquisition de Leicester cette saison». Si les Foxes sont un prétendant sérieux au titre, c'est aussi grâce au Français selon le média national.

Désormais, l'ancien Vert fait de l'ombre, notamment à la révélation turque de la saison passée. «L'impact de Fofana a limité Söyüncü à une poignée d'apparitions en Premier League depuis son retour de blessure en décembre», souligne The Mirror. Un constat que partage le FourFourTwo : «Il est devenu l'assurance tous risques nécessaire en l'absence de Söyüncü. On comprend mieux le classement de Leicester quand on voit le niveau de celui qui devait être leur troisième défenseur central.»

Pour le Guardian, "non seulement Fofana compte plus de dégagements et d'interceptions par match de Championnat que Harry Maguire, mais il réalise deux fois plus de tacles en moyenne et - mettant en valeur son aisance technique - réussit plus de passes et trois fois plus de dribbles que Maguire. Il joue avec une combinaison si rare d'efficacité et d'audace qu'il faut féliciter Leicester de l'avoir attiré en Premier League avant tout le monde.»"

Venant de lancer à Genève sa société Easy4bed (drap breveté qui s’adapte à toutes les literies, son procédé technique réunissant le drap-housse et le drap de dessus), Jérôme Four (47 ans) avait fait un four à l'ASSE (1 but marqué en 8 matches - 5 défaites et 3 nuls - avec l'équipe première de 1994 à 1997). L'ancien attaquant stéphanois évoque ses vertes années dans Le Progrès du jour.

« Il ne regrette rien mais pointe du doigt les entraîneurs qui au nom de leurs intérêts personnels ont sacrifié toute une génération de jeunes du centre de formation. "Quand on va chercher de jeunes russes alors que tu as un potentiel identique dans ton vivier, c’est que tu veux faire de l’argent sur le dos des jeunes. J’ai joué avec Jean-François Soucasse et j'avais gardé le contact avec lui après le football. Je conserve un bon souvenir de lui. Il possède une forte expérience dans la gestion d’un club et va apporter son expertise à l’ASSE. Je trouve que c’est un bon choix des dirigeants."»

 

Meilleurs buteurs de leur équipe la saison dernière, le numéro 9 de l'OGC Nice et le numéro 20 de l'ASSE, qui s'affronteront ce dimanche à 13h00 à l'Allianz Rivera, sont à la peine cette saison, comme le souligne aujourd'hui Eurosport.

Le club de foot Sucs et Lignon (Yssingeaux/Saint-Maurice-de-Lignon) a monté un club entreprises que Roro aurait dû inaugurer le 19 novembre dernier. Repoussée une première fois au 28 janvier en raison du contexte sanitaire, la venue du boss de l'ASSE est désormais calée au 8 avril à 19h00 selon la dernière édition altiligérienne du Progrès.

 

Dans la Pravda de ce mercredi, Jessy Moulin relève le gant.

"Les gants, c'est comme pour les pneus de moto, il faut faire attention quand ils sont neufs à cause de la paraffine. J'aime bien, la veille des matches, m'entraîner avec des gants très vieux, pour avoir le plaisir d'enfiler le lendemain des gants tout neufs. Je mets les gants à la machine à laver pour des raisons pratiques car quand on les lave à la main, le lendemain, ils sont encore mouillés et je n'aime pas cette sensation. J'adore les gants, quand je réceptionne les colis avec les nouveaux modèles, je suis heureux. Je les range et les stocke bien, dans leur petite pochette, pas en vrac dans le sac. Je les respecte !

Les gants, c'est assez personnel. Ma mère m'achetait souvent des gants dans les magasins à Montélimar. J'avais eu une paire neuve à l'occasion du tournoi où j'avais été repéré par Saint-Étienne, des blancs ! Je pense que ma mère les a gardés à la maison. J'apprécie aujourd'hui le confort d'une coupe droite, plate (coutures extérieures), qui n'épouse pas la forme de la main. C'est vraiment une question de sensation, de confort. À l'échauffement, je me suis retrouvé avec un gant usé et un gant neuf, comme si je roulais avec un pneu comptant 150 bornes et un autre avec 150 000 km. C'était horrible. On fait style de rien mais ce n'est pas professionnel. Cela forge, on ne le fait pas deux fois. "

Même le pondéré Fousseni Diawara, qui a commenté cet épouvantable 122e derby de l'histoire sur Canal + Sport Afrique, commence à se poser des questions sur Claude Puel dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Le milieu de terrain en losange, ça a peut-être été la première erreur du derby. Dans ce système, il est très difficile de défendre dans la largeur. Il est toujours difficile de se réadapter pendant un match quand l’adversaire a deux buts d’avance et un ascendant psychologique. Cette claque va laisser des traces. Là, on parle de sauver le club. Qu’on ne me dise pas que c’est le Covid - tout le monde a été touché -, ou parce que le groupe est trop jeune. Il y a des jeunes partout aujourd’hui. Ces excuses ne sont pas valables.

On avait un gardien comme Ruffier qui a ramené des points. M’Vila, on a beau dire ce que l’on veut, il me semble que ça jouait beaucoup mieux quand il était là. Il amenait un peu plus de sécurité. On sent que ça manque. On ne va pas refaire le tour de tous ceux qui sont partis : Cabaye, Perrin dont je suis persuadé qu’il aurait pu encore apporter à l’ASSE, sur le terrain et dans le vestiaire. En fait, on voit les limites d’un projet qui consiste à mettre de la jeunesse. C’est bien, cela part d’un bon sentiment. Mais est-ce que le club et l’effectif actuel sont capables d’assumer cette adversité ?"

Alors qu'il était encore privé de 8 joueurs dont 5 titulaires habituels comme Habib Maïga (positif au Covid 19) et Vincent Pajot (pas encore remis de sa blessure au tendon d'achille) le FC Metz a facilement dominé Nantes avant-hier et compte désormais 12 points d'avance sur les Verts après 21 journées.

Entraîneur de Grenats remontés à la 8e place à un petit point du 6e marseillais, Frédéric Antonetti s'est confié au  Républicain Lorrain.

"Ça marche alors que nous avons beaucoup de blessés majeurs, c’est ça qui est surprenant. J’ai beaucoup changé, malheureusement. Je suis sorti de ma situation parce que j’avais besoin d’être occupé. Beaucoup de joueurs m’ont dit que ce serait bien que je reprenne. Alors j’essaie d’amener un peu ce que j’ai appris pendant 40 ans. On nous a proposé des joueurs de 30 ans très connus dans ce mercato, mais je ne veux pas, parce qu’on a une politique sportive.  Je suis dans ma bulle. Je travaille énormément. Je vis à l’hôtel, je reste douze heures au stade, je ne lis aucun article et je ne regarde aucune émission. Je travaille comme si j’allais rester 10 ans. Je me sens très bien ici. Mais ce n’est pas un appel du pied, hein !"

Ancien défenseur central de l'ASSE et ex-coach des U17 régionaux stéphanois, Mickaël Pontal a donné son avis sur les Verts ce soir sur le plateau de TL7.

"Ce qui m’inquiète, ce n’est pas tant la compo d’équipe de Puel avec beaucoup de jeunes, c’est surtout l’état d’esprit d’un groupe qui a affiché tout ce qu’il ne faut pas faire dans le football surtout lors d’un derby. Sur les coups de pied arrêtés, on n’attaque pas le ballon, on manque d’agressivité dans les zones de vérité. Marcelo, il était comme à l’entraînement. C’est ça qui est rageant. Sur ses phases-là on doit être beaucoup plus méchant, beaucoup plus agressif. On ne peut pas incriminer que Kolo. Il manque de leaders dans cette équipe. Au-delà de cette défaite qui fait mal, je suis inquiet par ce que dégage l’équipe. On ne sent pas une âme pour vraiment se battre. Heureusement qu’il n’y avait pas 42 000 spectateurs dans le stade car je pense que ça aurait été encore beaucoup plus compliqué…

Chez nos rivaux lyonnais, il y a une ligne de conduite qu’on n’a pas à l’ASSE. C’est ça qui est rageant. On a un centre de formation qui travaille plutôt bien, qui fait sortir des jeunes, mais il manque une ligne de conduite. Quant au silence des dirigeants… Je pense qu’il va falloir se réveiller ! Gabard avait bien joué à Strasbourg dans un 4-3-3 mais là il s’est retrouvé dans un 4-4-2 en losange. Le problème de ce schéma, c’est qu’on met beaucoup de densité dans l’axe mais qu’on libère les côtés. Jouer comme ça contre Lyon… Jessy a un pris un 2 dans L’Equipe mais on ne peut pas lui reprocher grand-chose sur les buts. L’équipe stéphanoise défendait en reculant, quand il y en a qui y allait, l’autre n’y allait pas… A ce niveau, tu le payes cash !

Aujourd’hui, on a un projet « jeunes », on a un projet avec un grand coach qui a une grosse expérience, mais on est à quatre points de la relégation. Vu ce qu’on propose et ce qu’on montre, je suis très inquiet. Pour moi le patron c’est Claude Puel. Il est arrivé à Sainté avec beaucoup d’intentions de faire les choses, beaucoup de liberté. L’effectif, aujourd’hui, c’est lui qui l’a construit. C’est lui qui a voulu se séparer de Ruffier, c’est lui qui a voulu ne pas garder certains joueurs. Aujourd’hui quand on a deux ou trois joueurs cadres absent comme Debuchy, on se rend compte qu’on est très limité. J'ai un peu peur qu’il y ait des clans. Il y a des garçons qui sont au club depuis très longtemps, qui ont vécu des hauts et des bas, qui ont vu partir des garçons qu’ils appréciaient énormément. L’arrivée de la jeunesse fait du bien mais j’ai quand même peur."

 

Avant de recevoir le barragiste dijonnais (15 points) demain en match en retard de la 20e journée de L1, l'entraîneur de la lanterne rouge lorientaise (12 points) Christophe Pélissier a cité trois fois Sainté (19 points) aujourd'hui en conférence de presse. Extraits.

"Je regrette que les instances n’aient pas pris la mesure. On n’est pas le seul club impacté. Il y a aussi Saint-Étienne, qui a été très diminué lors de ses deux derniers matches. Il faut qu’il y ait une règle, c’est sûr. Mais on nous demande d’enchaîner neuf matchs en un mois, soit un match tous les trois jours jusqu’au 28 février, alors que l’on ne sait pas quel impact a cette maladie… Le championnat est en partie faussé par des reprogrammations comme celles-là !

On n’a pas entrepris de différer ce match. La règle - avoir 20 joueurs disponibles -, elle est simple et pour tout le monde. Saint-Etienne en a également fait les frais. Mais je trouve qu’il y a l’esprit et la lettre. Dimanche, nous avions 12 joueurs indisponibles à cause de la covid-19, ce qui a entraîné le report de Nîmes - FCL. Deux joueurs ne rentrent plus dans ce quota-là. On a, en revanche, demandé des dérogations pour que certains joueurs reprennent avec nous dans le groupe…

Cela aurait été bien de laisser à cette équipe le temps de se préparer, une semaine, pour affronter les 9-10 matchs qu’elle va devoir jouer en un mois. Pour moi, on met la sécurité, la santé des joueurs en danger. Dans que état sera-t-il demain ? J’espère que sur le plan athlétique ils seront au mieux et qu’ils seront là sur le plan mental… Jeudi dernier, on avait huit joueurs pros sur le terrain… C’est la préparation d’un match hyper important pour nous qui est compliquée.

C’est comme ça. On vit une situation difficile. Il faut faire avec. Ce ne sera pas une excuse… Maintenant, on va s’adapter. Des jeunes vont prendre le relais mais on a vu, comme lors de Saint-Étienne - Lyon, que, parfois, la marche est haute. Demain, on a un match à gagner. C’est presque l’avenir du club en Ligue 1 qui se joue. Dijon est un concurrent. Nous sommes quatre ou cinq équipes à jouer le maintien. Ces confrontations directes sont capitales."

Grâce à un doublé de Hamidou Keyta (26 ans), Botosani a écrasé 4-0 avant-hier le Dinamo Bucarest (ex-club de Boubacar Mansaly, lui-même porté disparu au Kazakhstan).

Auteur d'un but (contre Croix en Coupe de France) en six matches disputés sous le maillot vert lors de l'hiver 2017, le natif de Montivilliers (près du Havre) a scoré 11 fois en 15 rencontres disputées cette saison.

Il est le 3e meilleur buteur du championnat roumain derrière les attaquants internationaux du Steaua Bucarest Dennis Man (14 réalisations) et Florin Tanase (13 pions).

Proche, puis finalement non, puis re-proche, puis finalement non ... On se perd un peu dans le dossier Mostafa Mohamed. Et ce n'est pas le récent communiqué officiel du Zamalek qui va inciter à l'optimisme. Intitulé selon la traduction "La diginité de Zamalek est plus importante que les millions de Saint-Etienne", voici ce qu'il dit :

"Le conseiller Hisham Ibrahim, chef adjoint de la commission en charge de la gestion du club Zamalek, a confirmé qu'il n'y avait rien de nouveau dans les négociations avec le club français de Saint-Etienne concernant le professionnalisme de Mostafa Mohamed, le footballeur de la première équipe du club.

Ibrahim a déclaré dans ses déclarations sur le site officiel du club que malgré les tentatives de la partie française d'ouvrir à nouveau la porte, Zamalek a insisté pour fermer le dossier et adhérer à la décision qu'il avait précédemment rendue de fermer complètement ce dossier, notamment à la lumière des déclarations précédentes des officiels du club français qui ont offensé le club.

Le vice-président du club a souligné que Zamalek adhère à sa position et qu'il n'y a plus de place pour la négociation avec le club français, d'autant plus que cela contredirait les valeurs et les principes de l'ancien club, notant que la dignité de Zamalek est plus importante que les millions de Français de Saint-Etienne. Ibrahim a conclu ses propos, soulignant que le club Zamalek prend actuellement les mesures juridiques nécessaires concernant cette question, à travers lesquelles il préserve ses droits moraux et moraux, qui sont représentés dans la diffamation et les abus de certains responsables du club"

Malgré leur très vilaine déroute d'avant-hier soir, les Verts ont encore 4 équipes dans le rétro et comptent 4 points d'avance sur le barragiste Dijon. Mais le club à la chouette n'aura plus qu'une longueur de retard sur Sainté s'il s'impose demain au Moustoir lors de son match en retard de la 20e journée. Le DFCO reviendrait alors à hauteur de Canaris qui n'ont toujours pas gagné depuis l'arrivée de Raymond Domenech.

Attendu à GG le 3 février prochain, le FC Nantes reste en effet sur une prestation qui a entraîné trois papiers acerbes dans Presse-Océan. Extraits.

"Quelle calamité. Comment décrire autrement le FC Nantes que par ce mot, à Metz ? Les têtes nantaises étaient restées à l’Ouest, tant les Jaune et Vert ont été insipides, affligeants, sans idées… Les Canaris ont tiré huit fois au but… sans cadrer une seule fois. C’est simple, offensivement, c’était le néant à Nantes. Quand, en plus, la défense se met à faire des erreurs grossières, il est difficile d’espérer mieux qu’une défaite. Durant toute la rencontre, les joueurs ont renvoyé l’image d’un groupe qui n’avait pas envie, qui ne voulait pas faire les efforts ensemble.

Avec ce non-match à Metz, les Nantais en sont désormais à douze matches de suite sans victoire. Une première dans l’histoire du club. Et dire que la suite du calendrier va les opposer coup sur coup à Monaco, Saint-Étienne puis Lille… Il n’est pas impossible de voir une telle série s’étirer encore un peu plus. Les Canaris ont fait un pas de plus dans le néant, sont-ils vraiment prêts à lutter pour le maintien ? Les Nantais cèdent à la moindre contrariété, c'est inquiétant."

Ancien entraîneur des Verts et des Canaris, Elie Baup vole au secours de Raymond Domenech dans la Pravda du jour.

"Les idées, il les a. C'est un entraîneur de haut niveau. Il fait du mieux possible avec ce qu'il a. Il faut arrêter de penser le football à la semaine. Il faut penser au fond, en travaillant à tous les niveaux. Mais il y a une manière de faire passer tout ça, en douceur. Gourcuff était peut-être brutal et pouvait passer pour un donneur de leçons. Raymond est capable de faire le cinoche pour faire passer son message, avec une autre approche."

Prévues le 11 février prochain à Bonal, les retrouvailles entre Florentin Pogba et les Verts sont incertaines depuis hier soir.
En effet lors de la défaite de Sochaux face à Toulouse (0-1), le défenseur central est sorti prématurément en se tenant la cuisse.
L'Est Républicain indique que le joueur doit passer des examens pour préciser la nature de sa blessure.
Titulaire à 18 reprises en championnat, Pogba est un pilier du FC Sochaux, désormais 7ème du championnat, à 8 points du 5ème, Auxerre.

 

Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, Claude Puel reconnaît que son entrejeu a pris le bouillon contre les vilains.

"Nos jeunes au milieu, Moueffek et Gabard, ont beaucoup couru, beaucoup travaillé, mais un peu dans le vide, comme toute l’équipe. Dans la récupération, il faut être bien coordonné sur le porteur du ballon et on n’a pas su le faire. Les Lyonnais ont pu facilement nous contourner, il faudra comprendre pourquoi."

Crédit photo : Philippe Desmazes (AFP)

Selon Eurosport, "Galatasaray tente de finaliser le transfert de Mostafa Mohamed pour 5 M$ mais le dossier est complexe avec de nombreux intermédiaires." Roro l'avait remarqué ! Reste à savoir si l'ASSE remportera son duel avec le club turc pour faire venir le Pharaon dans le Forez.

Claude Puel répète à l'envi que la situation financière du club est critique. Difficile de lui donner tort ! Le trou en fin de saison est actuellement estimé en interne à 30 M€, et le club aurait prévu de ne compenser aucune vente. Roro et Nanard, qui ont déjà plusieurs prêts à rembourser, n'auront probablement pas les moyens de renflouer les caisses. La vente du club à un fonds semble donc se profiler. Actuellement sous contrat jusqu'en 2022, Claude Puel ne sera très probablement plus stéphanois la saison prochaine en cas de relégation car il disposerait d'une clause de sortie qu'il peut activer si le club descend en L2.

C'est le premier adjoint à la ville de Saint-Etienne qui l'annonce sur Twitter. Gilles Artigues dévoile que la ville vient de valider la création d'une esplanade Robert Herbin devant le Musée des Verts. "Une sculpture évoquera sa carrière exceptionnelle" précise l'élu.

 

Dans un entretien accordé à Dessous de Verts à écouter intégralement ici, Franck Tabanou revient sur son expérience stéphanoise. Extraits.

"Quand j’ai rencontré Galette, il m’avait posé beaucoup de questions. Je me souviens d’une question qui m’avait choqué, il m’avait demandé ce que j’avais comme voiture. Je lui ai répondu et après j’ai su qu’il voulait des joueurs un peu humbles, pas trop dans l’extravagance. Pour moi c’était bizarre comme question mais Galette accorde vachement d’importance à l’humain. Je ne suis pas étonné de ce qui lui arrive aujourd’hui, il arrive à tirer le meilleur de chacun partout où il passe. Tactiquement il est très fort, sur le plan humain aussi. Il sait trouver les mots justes. Que tu joues ou que tu ne joues pas, il est là.

Je suis resté proche de Loïc Perrin, Ben Corgnet et je suis aussi resté en contact avec Brison. Geoffroy-Guichard, c’est un stade incroyable. C’est l’ambiance qui m’a le plus marqué. Le public stéphanois, bien sûr que ça aide, quand il faut préserver ou aller chercher un résultat. C’est magnifique, j’ai la chair de poule quand j’en reparle. Je me souviens notamment du derby gagné 3-0. Incroyable ! Incroyable ! Je pense que dans tout Sainté ils entendaient le stade. J’ai tout en tête. La victoire aux tirs au but contre les Turcs, l’ambiance était magnifique aussi.

Il m’arrivait de revenir le week-end à Sainté quand je ne jouais pas à Swansea. Ce que j’aime ici, c’est l’engouement, la ferveur, le fait d’avoir été supporté comme ça. Il n’y a jamais eu de problème avec aucun supporter, c’est ce qui m’a fait aimer Sainté. Et dans le club, je suis tombé sur des gens formidables aussi. Le feeling est venu instantanément. J’étais tellement attaché à Sainté que peut-être que je n’ai pas réussi à couper le cordon pour pouvoir vraiment m’investir à Swansea.

L’élimination c’est de mes pires souvenirs. De ouf ! C’était un ascenseur émotionnel dans le mauvais sens, un truc de malade ! Franchement, je n’ai pas les mots. Dégoûté, de la merde ! Je revois l’action de leur but, un centre, l’autre il veut mettre une tête, il la dévisse, ça va sur son joueur. Pfff, incroyable. Dans le vestiaire, quand on est rentré, on aurait pu entendre une mouche voler. J’aurais préféré me faire gifler, perdre 3-0. Mais se faire éliminer comme ça, franchement, pouah !

Mais je ne retiens que du pur bonheur de mes deux années et demi à Sainté. J’ai connu des gens magnifiques, des supporters les meilleurs de France, le meilleur stade de France. J’aurais aimé ramener quelque chose comme une Coupe avec cette équipe, malheureusement ça ne s’est pas fait. Si je devais tout résumer en un mot, c’est « exceptionnel ». Bon, maintenant il n’y a plus grand monde à part Jessy, Romain et Kévin. Je suis super content d’avoir vécu des moments magnifiques là-bas. Le derby, le match à San Siro. Plein de souvenirs !"

Alors que le silence des dirigeants stéphanois est assourdissant, Jean-Michel Aulas plastronne sans surprise après l'écrasante victoire des banlieusards à Geoffroy-Guichard.

"Que c’est bon de gagner ce 122 ème derby qui nous permet de virer en tête avec 45 victoires : la 1ère fois depuis 1957. L'institution OL est au top" a écrit le président des vilains sur son compte twitter. Il en remet une couche aujourd'hui dans l'édition rhodanienne du Progrès. "On a fait un grand match. Si Saint-Etienne, qui avait une équipe très proche de celle des titulaires, avait marqué sur sa première occasion, le match aurait été différent. Mais notre équipe était très bien préparée, et peut-être que Saint-Etienne était dans un mauvais jour. Rudi et toute l’équipe sont à féliciter."

Si les Girondins de Bordeaux ont obtenu selon Sud-Ouest un rabais de 1,46 M€ sur la facture du Matmut Atlantique de la part du Bordeaux Métropole qui détient l'enceinte, l'ASSE n'aura pas de ristourne sur le loyer de Geoffroy-Guichard. Président de Saint-Etienne Métropole, Gaël Perdriau explique sur Radio Scoop pourquoi il n'a pas accédé à la demande de Nanard et Roro.

"Je comprends que les clubs soient dans une équation très difficile à résoudre. Les problèmes des droits TV et l'absence de recettes billetterie ont un impact pour le compte des clubs. Néanmoins, je note que certains clubs ont demandé des efforts financiers à leurs joueurs. Symboliquement, c'est très important. Quand on voit le montant des salaires de certains joueurs et nos difficultés à nous dans nos maisons de retraites, nos écoles ou pour soutenir nos étudiants, on se doit de fixer des priorités. Et les miennes sont celles des Stéphanois qui souffrent".

 

Sans surprise, l'ancien vilain Sydney Govou se paye les Verts dans la dernière édition rhodanienne du Progrès.

"Lyon a surclassé ce derby. Il y avait trois classes d’écart. J’ai rarement vu un derby autant survolé. Bien sûr, l’ASSE a eu des malades, mais un derby, ça se joue sur un terrain. Les Lyonnais ont joué un derby, les Stéphanois un match. L’OL a imposé un style de jeu. Les Lyonnais ont été aidés par les Stéphanois : leur marquage de zone était ridicule. Je veux bien qu’ils soient jeunes, mais là…"

 

On pouvait s'en douter, le derby d'avant-hier soir a donné l'occasion à Patrick Guillou de glisser dans Le Progrès un nouveau tacle à Claude Puel et aux Verts. Extraits.

"Le professeur du football, un géant de papier, n’a pas anticipé cette nouvelle humiliation. Pourtant, il se veut toujours aussi rassurant. 5 buts encaissés dimanche. 5 victoires sur les 33 derniers matches ! A quelques jours d’intervalles, nous apprenons que des joueurs signent pour avoir l’honneur d’être entraînés par notre éducateur sportif. Puis on apprend que notre club n’est plus attractif. Si le projet sportif était de transformer nos joueurs en quenelles, force est de constater que cela a plutôt bien fonctionné dans le derby. Aucune progression individuelle et collective depuis des semaines malgré quelques résultats en trompe l’œil. Notre ASSE a perdu son âme."

 

L'attaquant de Al Hilal Bafé Gomis, qui a marqué ce lundi de la tête contre Al Faysaly Al Majmaah son 8e pion de la saison de première division saoudienne, reste en tête du championnat saoudien malgré le péno égalisateur de l'ancien dijonnais Julio Tavares.

FilGoal rapporte ce soir que les négociations ont repris entre Saint-Etienne et Zamalek au sujet de l'avant-centre Mostafa Mohamed, suspendu pour quatre matches en Ligue des Champions d'Afrique. L'ASSE satisferait désormais aux exigences financières des Chevaliers Blancs. Démarré il y a un mois pile poil, le long feuilleton du mercato hivernal est-il sur le point de connaître son dénouement ?

 

La Pravda rappelle que Claude Puel est indéboulonnable malgré ses mauvais résultats à l'ASSE et l'humiliation d'hier soir. Extraits.

"Les Verts, c'est SOS fantômes. Y compris au niveau de la direction, qui vient de voir partir une vingtaine de ses salariés. Tandis que Bernard Caïazzo, président du conseil de surveillance, peaufine son confinement entre Dubaï et les Maldives, Roland Romeyer, à la tête du directoire, s'est mis en huitaine. Déclaré positif au Covid-19 vendredi, il n'a pu assister au derby. Mais il a participé au conseil de surveillance (CS) par visioconférence.

Il s'est tenu dimanche à 13 heures, pour valider, en la présence de Puel, la nomination de Jean-François Soucasse au poste de directeur général des services. Il succède à Xavier Thuilot, arrivé dans les bagages du Castrais, et limogé à l'unanimité des 13 membres du CS, le 10 janvier. Puel se retrouve désormais isolé en interne et sous cloche. Après quinze mois et six jours, le système Puel a vécu.

Mais ses dirigeants ne peuvent le virer. D'une part parce qu'il émarge à 225 000€ bruts par mois, jusqu'au 30 juin 2022. L'ASSE n'a pas les moyens de le licencier. D'autre part parce qu'il n'existe plus de solution de rechange en interne. Fin 2009, un tour de passe-passe avait sauvé les Verts, alors en aussi mauvaise posture au classement. Christophe Galtier, second d'Alain Perrin, lui avait succédé en gardant son salaire d'adjoint, aidant ainsi le club à payer le licenciement de Perrin."