Ce week-end y'a Fakili !
27/04 07:05
Passé par l'ASSE (de 2013 à 2019), l'ailier gauche du Clermont Foot Ilhan Fakili (17 ans) est mis à l'honneur aujourd'hui par Le Progrès avant de défier Monaco après-demain en finale de Coupe Gambardella. Extraits.
"Ce U17 joue un rôle majeur dans le parcours clermontois avec 4 buts en 5 tours, dont celui de l’égalisation en fin de match contre Rennes en demi-finale. Dernier buteur lors de la séance des tirs au but, c’est lui qui a délivré les siens, cliniques dans l’exercice comme lors de leur entrée en lice à Saint-Étienne au premier tour fédéral.
"Quand on est tombé face à l’ASSE au premier tirage, on était un peu dégoûté. C’est un gros centre de formation et les Verts ont remporté la Gambardella plusieurs fois. Mais on a réussi à passer" se remémore son coéquipier Théo Ramousse, gardien de 18 ans né à Saint-Etienne et ayant fait ses classes à l'US Monistrol."
🔥 Quel but du jeune Ilhan Fakili pour le @ClermontFoot, qui arrache le match nul avant de se qualifier aux tirs au but ✅
— FFF (@FFF) April 11, 2023
Finale de la 𝗖𝗼𝘂𝗽𝗲 𝗚𝗮𝗺𝗯𝗮𝗿𝗱𝗲𝗹𝗹𝗮-𝗖𝗿𝗲́𝗱𝗶𝘁 𝗔𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲 prévue le 29 avril au Stade de France, face à l'AS Monaco ! pic.twitter.com/bsvghEP6yF
Mortel heureux à Sainté comme à Montpellier
26/04 20:56
Sur le point d'être promu en D1 avec ses Amazones, Laurent Mortel s'est confié à Midi Libre. Extraits.
"Je suis très heureux dans le projet stéphanois. A partir du moment où je me retrouve dans une logique de performance et autour d’un projet ambitieux, je ne peux que m’épanouir. C’est cette adrénaline que nous recherchons toujours en tant qu’entraîneur. Surtout ici, à Saint-Etienne, qui est un club vraiment à part. Je me souviens encore, quand j’étais jeune et que j’allais voir les matches à Lens. Ce sont des clubs qui se ressemblent, deux peuples de passionnés qui sont dans l’humilité et la chaleur. C’est un vrai bonheur de construire un projet dans ce club.
Avec mon expérience, est-ce que je suis confiant pour le football féminin ? Je suis mesuré. Il y a les effets d’annonce, mais aussi la vérité du terrain. Il serait intéressant que ceux qui décident en haut lieu prennent le temps de sonder les acteurs de terrain et aillent chercher un peu plus loin que le seul réseau fédéral. Le foot féminin a pu compter sur les locomotives de Lyon et du PSG pour se développer, mais derrière, que se passe-t-il réellement ?
Même si on a tendance à penser que l'écart se resserre, je crois qu’il y a encore trois ou quatre niveaux en D1 et presqu’autant en D2. Aujourd’hui, nous devons penser un football différent et ne pas se calquer sur le modèle masculin sur lequel nous avons 30 ou 40 années de retard. Il y a un vrai potentiel, à condition que l’avance que nous avions il y a quelques années nous permette d’avancer et nous développer.
Je suis très investi au sein de l’université de Montpellier, je suis vraiment heureux de continuer à faire partie de ce projet. La qualité du football universitaire montpelliérain n’est plus à démontrer, que ce soit sur les terrains, mais aussi en dehors. Plusieurs diplômes universitaires ont notamment été créés ces dernières années pour devenir analyste vidéo ou encore responsable de la performance.
Mes activités à l’université de Montpellier me permettent de connaître la plupart des clubs et d’avoir tissé de vrais liens avec le tissu associatif de la ville. J’habite d’ailleurs toujours au Crès [commune située à 6 km de Montpellier à mi-chemin entre la mer Méditerranée et les premiers reliefs du Pic Saint-Loup, ndp2]. La région montpelliéraine n’est jamais trop loin de moi."
Ralliez-vous à mon panache vert et blanc !
26/04 17:11
Comme il l'a expliqué avant-hier à Sud-Ouest, François Cérésa a mis à l'honneur les Verts dans son excellent Dictionnaire égoïste du panache français paru il y a deux semaines aux éditions Le Cherche Midi.
"Le panache, c’est un mélange de courage, d’audace, de vaillance, d’honneur et d’élégance, mais dans lequel on trouve aussi parfois de la suffisance, de l’orgueil mal placé ou de l’indiscipline, vertu tellement française. Le panache, c’est aussi le goût du beau geste, souvent inutile, une façon de sublimer l’échec. C’est un comportement désintéressé. Et puis, surtout, il n’appartient ni à la gauche ni à la droite. Le panache, c’est un mot intraduisible dans une autre langue. Je n’affirme évidemment pas que le courage et l’élégance n’existent pas chez les Anglais, les Allemands ou les Italiens, pour ne citer qu’eux. Mais le panache, c’est quelque chose en plus qu’on retrouve chez le Cyrano d’Edmond Rostand : « Déplaire est mon plaisir. »
Le panache est d’abord un toupet de plumes accroché à un chapeau. C’est à lui que fait allusion Henri IV quand il harangue ses soldats à la bataille d’Ivry en mars 1950. « Ralliez-vous à mon panache blanc ! » Cela dit, je ne suis pas un grand admirateur d’Henri IV et je ne lui trouve aucun panache. Ce roi a certes fait de bonnes choses pour le pays, mais il a mis son royaume en danger juste pour assouvir ses pulsions sexuelles. Le premier à faire preuve de panache, c’est Vercingétorix, qui rend ses armes à César pour épargner la vie des femmes et des enfants tout en sachant qu’il sacrifie la sienne.
Le panache est une vertu de bretteurs et de mousquetaires. D’Artagnan a de la fougue et de la générosité mais il lui manque la profondeur et la réflexion. Je préfère Athos et sa mélancolie presque dépressive, qui préfigure des personnages de Drieu La Rochelle. « La mélancolie, c’est le bonheur d’être triste » disait l’immense Victor Hugo. Avec Athos apparaît une dimension essentielle du panache, c’est l’échec. On en revient à Cyrano qui, derrière son tempérament bravache et querelleur, est tout de même un vaincu. Au moins de l’amour.
Cyrano reste l’incarnation du panache français, notamment par son goût de se faire détester ou de se créer des ennemis. « Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul » lui fait dire Edmond Rostand qui, dans son discours de réception à l’Académie française, définit le panache comme « la pudeur de l’héroïsme ». « Plaisanter en face du danger, c’est la suprême politesse, un délicat refus de se prendre au tragique. » Il y a aussi chez Cyrano ce côté gascon de la fanfaronnade mais, sauf au moment de mourir, il ne prononce pas le mot de panache. Ceux qui en ont ne se l’attribuent pas eux-mêmes.
Je consacre un chapitre aux Verts de Saint-Etienne et à leur cruelle défaite de 1976 contre le Bayern en finale de Coupe d’Europe. Je citais Athos ou Cyrano à propos de l’échec, ils ne sont pas les seuls. Peut-être les Verts ne seraient-ils pas rentrés dans la légende s’ils avaient remporté cette finale. Pas la même légende en tout cas. Il y a du panache dans la défaite et les exemples ne manquent pas. Mais il n’est pas absent de la victoire. En France, nous avons le syndrome Poulidor mais je lui préfère Anquetil. Il faisait de la bicyclette comme Mozart jouait du piano. Un cycliste magnifique et auteur de superbes réparties."
Appiah est là
26/04 14:00
Après Kader Bamba le week end dernier, c'est Dennis Appiah qui pourrait faire son retour dans le groupe pour le déplacement à Rodez (samedi, 19h).
Comme en attestent les photos du site officiel, notre défenseur central droit a en effet participé à l'entraînement collectif ce matin.
On pourrait bien voir se reformer samedi la charnière centrale alignée à Paris et à Grenoble (Appiah -Sow - Pétrot).
Rodez enfin rodé à Lignon
26/04 11:47
Samedi soir, les Verts vont découvrir le champêtre - quoique partiellement refait - stade Paul Lignon à Rodez, et ses quelques 3 400 supporters.
Un stade qui toute cette saison a très peu vibré puique les Ruthénois ne s'y sont imposés que 4 fois en 16 matchs, soit le plus petit total de victoires à domicile de la Ligue 2. Les attaquant du RAF n'y ont marqué que 15 buts pour l'instant, soit à peine 1 par match (seul Pau a fait moins bien avec 14 buts marqués à domicile).
On se gardera de trop fanfaronner cependant, car si la première victoire de Rodez chez lui n'a été obtenue que le 30/12 soit 5 mois après le début du championnat, les hommes de Didier Santini ont gagné leurs trois derniers matchs à la maison, contre Caen (3-2), Quevilly (1-0) et Laval (1-0).
Aux Verts, qui restent sur 5 matchs sans défaite en déplacement de briser la série aveyronnaise pour poursuivre la leur !
On Refait le Mastre jeudi soir à 20h45
26/04 10:48
On Refait le Mastre, l'émission de radio de Poteaux Carrés, c'est en direct jeudi soir à 20h45 sur la chaine Youtube du site.
Rejoignez-nous pour débattre de l'actualité des verts, ça se passe ici:
Nanard préfère le Parc à Geoffroy
26/04 08:24
S'il n'a plus foutu les pieds à Geoffroy depuis une éternité, Bernard Caïazzo était au Parc le 15 avril dernier, comme l'a rapporté hier la Pravda.
"Bernard Caïazzo a quitté Dubaï, où il réside désormais, pour revenir momentanément en France. Le président du conseil de surveillance des Verts a profité de sa présence au Parc des Princes, pour le match PSG-Lens, pour joindre l'utile à l'agréable. En marge de la rencontre, il s'est entretenu avec Joseph Oughourlian, le richissime président du RC Lens. Avec, en filigrane, toujours le même voeu pieux, depuis le 14 avril 2021, date de la (re) mise en vente officielle de l'ASSE : dénicher le pendant du propriétaire des Sang et Or pour les Verts."
Dans Le Progrès du jour, notre inénarrable Nanard évoque la teneur de ses échanges avec le ch'ti boss.
"À Lens, avec le président, nous n’avons pas évoqué la vente. Nous avons parlé de l’époque où l’ASSE était derrière Lens puis quand l’ASSE était en Ligue 1 dans le top 5 et Lens en Ligue 2. Joseph Oughourlian m’a répondu que les Lensois espéraient le retour des Verts parmi l’élite car les grands clubs ne meurent jamais. Les bons résultats actuels ont relancé l’intérêt pour le club."
Neyou aimerait rester à Leganés
26/04 07:52
Remplacé dès la mi-temps il y a 3 jours lors de la défaite de Leganés (15e de L2 espagnole avec 7 points d'avance sur le premier relégable à 5 journées de la fin), Yvan Neyou (sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2024) s'est confié hier à Somos Lega. Extraits.
"J'avais d'autres options en première division au Portugal, en Turquie ou aux Pays-Bas, mais j'aime beaucoup le style de jeu de l'Espagne, car on y touche le ballon. J'ai vu que j'avais une bonne opportunité à Leganés. Sergi Palencia m'a donné de très bonnes références et si ça se passe bien pour moi, je pourrais rester ici. Je me suis senti un peu blessé par le peu de temps de jeu que j'ai eu sous les ordres d'Imanol Idiakez même si je peux comprendre qu'il souhaitait un autre profil.
Quand je suis revenu de blessure en janvier, il m'a expliqué pourquoi il ne me faisait pas jouer. À ce moment-là, l'équipe allait bien et il ne voulait pas changer quelque chose qui allait bien parce que s'il le changeait et que ça tournait mal, ce serait de sa faute. Depuis qu'il a repris l'équipe, Carlos Martinez me met sur le terrain [Neyou est sur une série de 4 titularisations alors qu'il n'avait été qu'une seule fois dans le 11 de départ cette saison, le 6 décembre dernier contre Mirandes, ndp2].
Nous avons une équipe très capable de jouer davantage. On a un esprit au top et cette année c'est un peu décevant de ne pas pouvoir jouer plus haut. Je ne regrette pas d'être venu à Leganés, j'ai beaucoup appris pour comprendre le jeu espagnol. Je suis prêté jusqu'à la fin de la saison et il n'y a pas d'option pour une saison de plus. Mais j'aimerais continuer à Leganés, je vais bien, il y a de bonnes personnes au club et ils vous disent la vérité ici..."
Alonzo tient à son bon vieux Parc des Princes
26/04 07:14
Dans une tribune parue dans Le Monde de ce mercredi, l'ancien gardien stéphanois Jérôme Alonzo raconte le lien très particulier qui l’unit au Parc, alors que les propriétaires du QSG menacent de déménager au Stade de France. Extraits.
"Mon papa a créé le centre de formation du Paris Saint-Germain en 1975, et quand j’avais 3 ou 4 ans, j’étais la mascotte du club, avant les matchs au Parc des Princes, je déboulais devant les joueurs avec le ballon du match. On peut dire que le Parc des Princes a bouleversé ma vie. J’ai construit mon histoire plus autour du Parc que du PSG, j’ai avec ce stade une attache vraiment particulière qu’aucun joueur passé ou présent du club ne peut avoir. Mon transfert de Saint-Etienne au PSG, en 2001, était l’occasion de reprendre le fil de mon histoire.
Quand je viens à Paris pour mon travail [il est notamment consultant pour la chaîne de la Pravda, ndp2], ma chambre d’hôtel, à Boulogne-Billancourt, donne sur le Parc. Il n’a pas changé du tout, à part l’apparition de quelques bureaux côté façade. Il s’est modernisé à l’intérieur, il y a des loges sublimes, c’est comme un hôtel cinq étoiles, avec une conciergerie. Mon bon vieux Parc des Princes est resté le même. Alors qu’à Saint-Etienne, le stade Geoffroy-Guichard a changé, à Marseille, le Vélodrome a changé.
Le Stade de France, il n’y a pas un stade en Europe à la conception aussi antinomique pour un club résident. Il n’y a rien qui va. Il est impersonnel, froid, sans âme. C’est compliqué pour y aller et pour en revenir. Et il y a une piste d’athlétisme… J’y ai joué une vingtaine de fois et c’est le stade de tous mes malheurs : je me suis cassé la jambe lors d’un Red Star-Saint-Etienne et j’ai perdu là-bas deux finales de Coupe de France. Donc je ne suis pas du tout attaché à ce stade, malgré Zizou, malgré les concerts de Johnny. Le PSG, c’est le Parc, partons de cette base-là !
Mais les Qataris ne peuvent pas faire une offre au prix d’une villa, et la Mairie ne peut pas réclamer un prix de vente équivalant à la moitié de la ville ! Et si les propriétaires qataris doivent compter leurs sous, qu’ils arrêtent plutôt d’acheter des joueurs pourris à 50 millions d’euros… Les dirigeants actuels se foutent du passé du club et ça me fait beaucoup souffrir. Je n’ai jamais été invité. Le Parc est mon dernier lien avec le club. Et si ce lien se brise… C’est un peu comme une histoire d’amour, on se sépare en bons termes, les fils sont distendus mais pas rompus, on reste bienveillants envers l’autre, puis survient l’acte de trop qui fait qu’on coupe les ponts."
Guy Roux s'amuse du duo Nanard et Roro
25/04 23:49
Guy Roux a glissé quelques mots sur l'ASSE ce soir à l'antenne d'Europe 1.
"Est-ce que l’ASSE trouvera un acquéreur ? Il le trouvera le jour où les deux présidents seront d’accord vraiment, accepteront de céder leurs actions, accepteront que quelqu’un d’autre possède Saint-Etienne. Ils ont fait semblant pendant X années de vouloir s’en séparer tout en faisant tout pour le garder. En acceptant des défaites, en acceptant la descente, en acceptant tout ça, avec l’idée de le garder. Moi, Monsieur Romeyer, je le connais depuis très longtemps, je l’ai vu descendre d’un autobus avec l’équipe des cadets nationaux de Saint-Etienne il y a 30 ans. Son collègue, Bernard Caïazzo, il est un peu plus récent mais il a quitté Saint-Etienne car il n’est plus dans un bonheur complet chez les Verts (rires)."
France Bleu Zéro
25/04 22:18
France Bleu Hérault s'est payé vendredi dernier les supporters stéphanois en questionnant la sous-préfète de l'Hérault Elisa Basso.
"Madame la sous-préfète, est-ce que vous vous considérez plutôt chanceuse dans l'exercice de votre fonction en rapport avec les supporters par rapport à certains de vos collègues en France ? Vous vous estimez chanceuse de gérer la Butte Paillade, l'Armata et le Club Central ? Ce que je veux dire, c'est que vous n'avez pas à gérer les plus méchants, les plus fous qui existent dans le foot français. Vous n'êtes pas à Saint-Etienne ou à Marseille..."
La réponse de la sous-préfète : "Je ne me permettrai pas de porter un jugement sur les autres clubs. Je constate que depuis que je suis en poste, il y a un peu plus de deux ans, il n'y a pas eu d'évènements très graves. Il y a eu quelques troubles, je pense notamment à un déplacement des Girondins et à une rixe aux abords de Montpellier."
Le management descendant ne marche plus
25/04 21:45
S'il s'est incliné hier chez le nouveau leader martégal, l'entraîneur dunkerquois Mathieu Chabert restait sur une série de 7 victoires en National alors que son prédécesseur Romain Revelli avait achevé son aventure par 3 défaites. Dans La Voix des Sports, l'ancien gardien de la réserve de l'ASSE a expliqué hier en quoi il se distinguait de l'ex-adjoint de Christophe Galtier.
"J’ai une manière de fonctionner différente de celle de Romain, peut-être que c’est celle-là qui convient mieux aux joueurs. Aujourd’hui, avec la nouvelle génération, il faut donner de l’importance aux joueurs. Ils consomment vite et zappent vite les choses. Le management descendant ne marche plus. Je gère les joueurs avec beaucoup de bienveillance, parce que je pense que quand on est bien dans la vie de tous les jours, ça se voit sur le terrain. C’est important qu’ils se sentent bien ce qui ne veut pas dire que c’est la guinguette, loin de là ! On gagne en autorité parce que, quand on tape du poing sur la table, on est plus impactant que quand on ne fait que gueuler. Je pense que c’est comme ça qu’on peut tirer le maximum avec la jeune génération. J’ai toujours fonctionné comme ça dans mes clubs précédents."
Bergessio, un vétéran renversant
25/04 21:08
Gonzalo Bergessio, qui fêtera dans 3 mois ses 39 ans, s'est illustré avant-hier lors de la 11e journée de D2 argentine. Alors que son équipe (Tristan Suarez) était menée 2-0 par le Racing Cordoba, l'ancien attaquant stéphanois a réduit le score sur penalty à la 45e minute avant d'inscrire le but victorieux à la 90e. Un vrai pion d'attaquant.
Espectacular remontada de Tristán Suárez vs Racing (C). De 0-2 a 3-2 pasó el Lechero. Una muestra de caracter clave para salir de la zona roja del #NacionalenTyCSports. El gol agónico fue de Bergessio y así lo vivimos junto a @alelordeme en @TyCSportsPlay pic.twitter.com/x2c296eCKQ
— Nicolás Funes (@NicolasIFunes) April 24, 2023
Hasek fan de Kretinsky
25/04 20:53
Après avoir évoqué hier un intérêt de Daniel Kretinsky pour l'ASSE, Le Progrès a recueilli l'avis de l'ancien entraîneur stéphanois Ivan Hasek sur ce milliardaire tchèque, qu'il a côtoyé au Sparta Prague.
"C’est quelqu’un de très brillant, polyglotte et qui adore le football. Ce n’est pas un expert mais il regarde tous les matches de son équipe souvent en replay. Je pense que compte tenu de ses nombreuses affaires, le foot le détend. Le Sparta Prague est très bien géré et dispose de gros moyens. S’il investit à l’ASSE, ce sera pour jouer à nouveau la coupe d’Europe. Quand il s’occupe d’un club, il le fait dans la durée. C’est un entrepreneur très sérieux et apprécié ici en Tchéquie."
Comment Rodez est devenu balèze
25/04 12:44
Alors qu'ils étaient lanterne rouge à l'issue de la 25e journée, les Ruthénois sont la meilleure équipe de L2 depuis le mois de mars. Avant de recevoir des Verts qu'il pourrait dépasser en cas de victoire samedi soir, le défenseur Éric Vandenabeele explique dans Centre Presse Aveyron les raisons du spectaculaire redressement de son équipe.
"On a gagné 6 de nos 7 derniers matches. Ce qui nous arrive est extraordinaire. Je suis très heureux qu’on poursuive cette belle série, on n’est pas rassasiés. On a 40 points, il nous en manque encore 4 ou 5 pour être assurés de nous maintenir. Avant cette série, certains voulaient repartir de derrière, d’autres jouer plus direct. Nos attaquants ne savaient pas s’il fallait décrocher ou appeler en profondeur. Il y a eu des incompréhensions.
On voulait peut-être faire du beau jeu en permanence, alors qu’il ne faut pas avoir honte de mettre des longs ballons. Cela convient à nos attaquants, qui peuvent demander des ballons en profondeur. Depuis qu’on fait ça, on prend des points. Depuis qu’on a adhéré au projet de jeu tous ensemble, cela va beaucoup mieux. On joue l’avenir d’un club, tout le monde l’a bien compris, même ceux qui jouent moins. Avant le match à Niort de la 26e journée, nous étions derniers.
On a effectué une réunion entre joueurs, entraîneur, staff et dirigeants, on s’est dit de quelle manière on allait jouer pour s’en sortir. A partir du moment où tout le monde a adhéré, ça a fonctionné. On n’a pris qu’1 but lors des 4 derniers matches. La stabilité derrière est importante à tous les niveaux, au Bayern comme à Rodez. Avec Bradley Danger et Serge Raux-Yao, on se connaît mieux, on a plus de certitudes, plus d’automatismes. Cela ne peut-être que bénéfique."
Les buts contre Thonon en vidéo
25/04 11:06
Les 2 buts des stéphanoises Faustine Bataillard et Tanya Romanenko contre Thonon dimanche dernier (2-2).
Kretinsky fait ses courses
25/04 10:48
Si, contrairement au Progrès, il n'évoque pas d'intérêt éventuel pour l'ASSE, le Libé du jour décrit en détails l'appétit du milliardaire tchèque :
Omniprésent dans le monde des affaires français, Daniel Kretinsky a maintenant des vues sur Casino. Déjà actionnaire à hauteur de 10% du septième groupe français de distribution, l’homme d’affaires tchèque apparaît comme la solution numéro 1 aux soucis financiers de cet ensemble jusqu’ici contrôlé par Jean-Charles Naouri, mais lesté d’une dette tenace de 6,4 milliards d’euros. Dans un courrier envoyé au boss de Casino la semaine dernière, Daniel Kretinsky propose une augmentation de capital de 1,1 milliard d’euros afin de sécuriser l’avenir du groupe (…) Kretinsky s’est notamment fait connaître en France en investissant dans les médias : actionnaire du Monde et propriétaire des magazines Marianne et Elle, il a par ailleurs prêté 14 millions d’euros à Libération. Ce francophile est devenu actionnaire à 25% de Fnac-Darty (…). Mais si l’entrepreneur tchèque propose de venir en aide à Casino, ce ne sera évidemment pas gratuit en termes de partage de pouvoir. Jean Charles Naouri perdrait la majorité et se retrouverait avec environ 40% du capital. Ce qui veut dire que Kretinsky aurait les commandes. Reste que cette opération est loin d’être acquise. Elle passe par l’agrément des actionnaires et surtout des créanciers : les banques et investisseurs auxquels Casino doit plus de 6 milliards d’euros (…)
Kretinsky n’est pas le seul à convoiter Casino. Intermarché, troisième acteur dans le classement français de la grande distribution, propose lui aussi un plan de sauvetage (…) Il s’est dit prêt lundi à racheter un grand nombre de magasins à Casino, représentant 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires. Une centaine de supermarchés changeraient de propriétaire. En échange, Casino retirerait de cette vente plusieurs centaines de millions d’euros : du cash bienvenu pour alléger sa lourde dette.
Boudebouz buteur et leader
25/04 07:48
Ryad Boudebouz a marqué hier sur penalty le deuxième but de la victoire (3-1) du leader Al Ahli contre Al Sahel lors de la 29e journée de la D2 saoudienne. L'ancien flop stéphanois est impliqué dans 15 des pions claqués par son équipe cette saison.
هدف الأهلي الثاني عن طريق رياض بودبوز. pic.twitter.com/dhS092nyhU
— دياريو الأهلي (@GifDAFC) April 24, 2023
9e but et 10e place pour Gradel
25/04 07:25
Sur un penalty transformé d'un parfait contrepied, Max Gradel (35 ans) a marqué hier son 9e pion de la saison toutes compétitions confondues. Vainqueur 2-1 sur le terrain d'Antalyaspor, l'ancien attaquant des Verts a permis à son équipe de remonter à la 10e place de Süper Lig (L1 turque).
Un milliardaire tchèque prêt à faire à gros chèque ?
25/04 07:15
Le Progrès du jour évoque un intérêt du milliardaire Daniel Kretinsky (47 ans) pour l'ASSE.
"Après avoir fait fortune dans l'énergie, le magnat tchèque a bâti un empire médiatique qui s'étend jusqu'à l'Hexagone. Francophile et passionné de football, Daniel Kretinsky compte désormais devenir le premier actionnaire du groupe Casino et racheter Editis. Sa fortune s'élèverait aujourd'hui à 9,4 milliards de dollars (8,54 milliards d'euros), soit presque cinq fois plus qu'il y a cinq ans, selon le magazine Forbes.
Coïncidence ou pas, il se murmure qu'il serait aussi intéressé par un rachat de l'AS Saint-Étienne (ASSE), dont le partenaire historique n'est autre que... Casino. Le milliardaire a déjà un pied dans le milieu du ballon rond : il est le propriétaire du Sparta Prague depuis 2004 et est devenu l'an passé le deuxième actionnaire du club anglais de West Ham. Une chose est sûre : Daniel Kretinsky est train de faire de la France son nouveau terrain de jeu."
Roro prêt à céder la Ferrari ?
24/04 23:28
Roland Romeyer s'est confié à RCF. Extraits.
"Moi je voudrais quelqu’un qui puisse pérenniser le club, investir au capital, pour conserver tous les bons joueurs, renforcer l’équipe et remonter en Ligue 1. Pour les gars qui reprendront le club, il faut pouvoir faire de meilleures choses que ce qu'on a fait. Par exemple, quand il y aura des pépites, et il y en a qui arrivent au centre de formation, il faudra pouvoir les garder plusieurs années pour avoir la meilleure équipe possible et puis là on pourra jouer les premiers rôles. Ici, le centre de formation c’est notre richesse, ce n’est pas le robinet de pétrole de Paris.
On a été obligé de vendre trop tôt les jeunes joueurs pour équilibrer. On a été le seul club à avoir présenté un bilan positif à la DNCG, mais pour faire cela on a été obligé de vendre des joueurs où il aurait fallu attendre un an ou deux pour qu’ils soient costauds. Je suis sûr que nous verrons bientôt le tandem Saliba et Fofana en défense centrale de l’équipe de France. Mais quand on a vendu Fofana, il s’est vendu deux fois et demi plus cher deux ans après. Donc aujourd’hui le gars qui est capable de diriger ce club, il faut qu’il ait de l’argent pour pouvoir rivaliser.
Il y en a plein des milliardaires ! Le problème c’est que je ne sais pas si ce seront des français, des étrangers… je ne sais pas qui achètera. Pour le moment, ce que j’essaie de faire comprendre aux gens, c’est que là il y a une Ferrari super belle, elle est en réparation, elle va mieux, et puis après on verra ce qu’il se passera. Le 29 mai j’ai vécu quelque chose qui m’a profondément bouleversé. Après je pensais vivre une saison de transition plus tranquille pour monter l’année prochaine.
Et finalement, j’ai cru qu’on allait en National. C’est la raison pour laquelle il y a eu du changement au niveau de la cellule de recrutement, et qu’on a vu des renforts arriver. Malheureusement, ces joueurs, s' ils avaient été pris en début de saison on aurait peut-être pu jouer la montée. Donc maintenant on va essayer de bien finir, de terminer sur le podium des matchs retour, ce qui sera déjà plus conforme à ce que j’espérais. Et puis après on verra.
Une bonne fin de saison peut aussi être un argument pour la vente du club ? Bien sûr ! Il y en avait qui étaient intéressés. Il y en avait même qui étaient là le 29 mai, mais il sont partis en courant après. Pour le moment ce que tout le monde attendait c’est qu’on se maintienne. Après je sais qu’il y aura des possibilités, mais est-ce qu’on trouvera la perle rare comme je le souhaite ? Si on veut jouer les premiers rôles, il faut trouver quelqu’un qui a de l’argent pour capitaliser dans le club.
Certains m'ont déjà approché ? Non. En ce moment non. Pour l’instant le projet c’est de se maintenir en Ligue 2, et si ça va pas il faut voir ce qu’on peut changer. On a pris un gardien de but, on a pris des défenseurs, on a pris des attaquants… On a fait une vraie équipe, et il faudra simplement la renforcer pour qu’elle puisse remonter en première division. Mais maintenant si on veut franchir les paliers, il faut de l’argent. Il faut que les gens le comprennent. Ce qui était vrai dans les années 70 ou 80 n’est plus vrai maintenant.”
Krasso bientôt de retour en Allemagne ?
24/04 22:55
Impliqué dans la moitié (25/50) des buts marqués par les Verts cette saison (16 pions et 9 passes décisives), l'international ivoirien de l'ASSE pourrait rejouer dans son pays natal la saison prochaine selon 90 Football.
"Krasso est proche d'un accord avec le Borussia Mönchengladbach. Habitué à recruter en France (M. Thuram, R. Bensebaini, M. Koné, M. Doucouré, A. Plea, N. Ngoumou, J. Omlin...), le club allemand a pris l'habitude d'y faire son marché. M'Gladbach a ciblé l'attaquant des Verts et semble sur le point de le convaincre malgré la concurrence. Natif de Stuttgart où il a débuté le football, Krasso pourrait ainsi découvrir la Bundesliga à 25 ans dans un contexte favorable et francophone."
Pour rappel, trois anciens Verts ont déjà porté le maillot de l'actuel 10e de l'élite allemande : Vladimir Durkovic, Marek Heintz et Timothée Kolodziejczak.
Metz a ravivé le cauchemar de Gladbach
24/04 22:20
A la 26e minute de jeu, les Grenats menaient déjà 3-0 avant-hier dans le Chaudron. Jusqu'ici une seule équipe avait réussi ce tour de force à Geoffroy-Guichard, il y a 43 ans en quart de finale aller de la Coupe UEFA.
Il avait même fallu 4 minutes de moins à Mönchengladbach pour avoir un tel avantage (doublé de Nielsen aux 14e et 22e minutes entrecoupé d'un pion de Nickel à la 18e). Curko avait pris un 4e pion à la 38e et Michel Platini avait sauvé l'honneur sur penalty à la 56e (1-4).
A l'extérieur, l'ASSE a déjà été menée 3 fois 3-0 dès la 19e minute :
- Le 22 mars 1959 à Lens avec des buts de Chiarelli 9', Oudjani 10' et Lafranceschina 19'. Les Lensois marqueront même un 4e but à la 31'. N'Jo Léa reduira le score en fin de match (79') qui se terminera sur le score de 4-1.
- Le 17 septembre 1994 à Nantes avec des buts de Loko 2', Ouedec 4' et Makelele 19'. Le score n'évoluera plus jusqu'à la fin.
- Le 11 décembre 1996 à Strasbourg avec des buts de Nouma 5', Baticle 10' et Nouma 19'. Le match se finira sur ce score de 3-0.
Merci au potonaute sam42 pour ce rappel historique !
Le club vendu avant l'été ?
24/04 21:03
La Pravda évoque ce soir une possible vente de l'ASSE avant l'été. Extraits.
"Si le club devrait boucler sans souci cette saison, et même présenter des comptes légèrement excédentaires à la DNCG en juin, il a dû procéder à un nouveau recrutement massif lors du dernier mercato d'hiver. Entre les indemnités de transfert (3 M€), les salaires de 7 nouveaux joueurs, plus leurs primes de maintien non prévues dans le budget prévisionnel, le bas de laine stéphanois a fondu comme neige au soleil. En parallèle, son actif de 27 joueurs ne vaut guère plus de 38 M€, selon le site spécialisé Transfermarkt.
Jean-Philippe Krasso, sa plus forte valeur marchande (4 M€), arrive en fin de contrat. Des cessions sont tout de même espérées : celles de Saïdou Sow, qui vient de refuser de prolonger, de Benjamin Bouchouari, ainsi que l'achat et la revente immédiate de Niels Nkounkou (prêté par Everton). Ces opérations permettront de faire rentrer quelques millions d'euros. Les dirigeants stéphanois devront trouver de l'argent frais autrement que par le seul trading de joueurs. Deux possibilités s'offrent à eux : contracter un nouvel emprunt ou vendre, enfin, le club. Caïazzo et Romeyer privilégieraient la seconde solution.
À cet effet, le premier, accompagné de représentants de KPMG, s'est retrouvé attablé avec des investisseurs anglo-saxons, le mercredi 19 avril. Ce candidat à la reprise, dont le nom n'a pas encore filtré, se propose de racheter les parts sociales du club pour 32 M€. Puis, samedi, pendant que Saint-Étienne recevait Metz, Caïazzo est monté dans un jet privé pour aller assister à Crystal Palace - Everton. Il se trouvait accompagné d'Axel Lablatinière, ancien responsable de la cellule de recrutement d'Angers SCO, redevenu agent de joueurs.
Les deux hommes ont déjeuné à une table dans les salons d'honneur du Selhurst Park, juste à côté de celle de John Textor. Nouveau propriétaire de l'OL depuis décembre, l'homme d'affaires américain est également l'un des quatre copropriétaires des Eagles avec son compatriote David Blitzer, candidat éconduit au rachat des Verts en juin 2022. Blitzer serait-il le repreneur anglo-saxon mystère ?
À ce stade, rien ne permet de l'affirmer. En revanche, ce qui semble acquis, c'est que Caïazzo et Romeyer attendent de pouvoir vérifier l'existence véritable des fonds afin d'aller plus loin dans les négociations. Surtout qu'un autre repreneur, d'origine française et gravitant dans la galaxie de Caïazzo, se serait manifesté, en proposant une offre supérieure. Elle s'élèverait à 35 M€, au moins.
Dans le même laps de temps, un éventuel repreneur a été prévenu que sa candidature n'avait plus aucune chance d'aboutir au motif que le club était vendu. Il s'agit d'ailleurs du bruit que Caïazzo laisserait courir dans la coulisse. De son côté, Romeyer se montrerait moins affirmatif. Si vente il y a effectivement, elle ne devrait pas intervenir avant la fin du Championnat, c'est-à-dire pas avant le début du mois de juin."
Rendez-vous au Paradis
24/04 20:50
Pour la 5e fois de la saison, Guillaume Paradis aura rendez-vous avec les Verts ce samedi soir à Rodez lors de la 28e journée de L2.
Pour rappel, celui qui avait eu la chance d'être au sifflet à Geoffroy à 24 ans (1-0 contre Caen), a officié le 27 août dernier quand Valenciennes avait arraché le nul à la 90e sur un penalty concédé par Saïdou Sow, mis à la cave pendant quatre mois après ce match-là... Le Sarthois de 29 ans avait expulsé Jean-Philippe Krasso dans le temps additionnel du match perdu le 10 octobre par Sainté à Sochaux.
Le 11 février, il a dirigé la rencontre remportée par l'ASSE dans le Chaudron contre Dijon (2-0, buts de Jean-Philippe Krasso et Benjamin Bouchouari) malgré la grave blessure au genou de Gaëtan Charbonnier. Le 18 mars, c'est lui qui a expulsé Léo Pétrot au Havre alors que les Verts étaient menés 2-1. Mais les Verts ont su arracher le nul en infériorité numérique chez le leader sur un contre rondement mené ponctué par un pion de Jean-Philippe Krasso.
Moukoudi, le meilleur au Pirée !
24/04 14:17
Hier dans le choc de la 5e journée des playoffs du championnat grec opposant l’Olympiakos Pirée de Cissé et M’Vila (titulaires) et l’AEK Athènes de Moukoudi (titulaire également, pour la 21è fois en championnat), ce sont les équipiers de Moukoudi qui l’ont emporté 3-1, reléguant ainsi l’Olympiakos, 3è, à 9pts.
L’AEK Athènes, reste 2è à égalité de points avec le Panathinaikos dans ces playoffs entre les 6 premiers du classement.
Le match s’est terminé dans une ambiance qui a dû rappeler à Harold la fin du mois de mai dernier…
#OlympiacosFC #olyaek pic.twitter.com/zftI7Bp2jK
— ArKan_lefk (@ArKan_lefk) April 23, 2023
Rodez est la meilleure équipe de L2 depuis mars
24/04 13:46
Rodez, qui était encore lanterne rouge il y a 2 mois à l'issue de la 25e journée de L2, est la meilleure équipe depuis le mois de mars, devant Metz et Saint-Etienne. Revenu à 2 petits points des Verts avant de les recevoir ce samedi à 19h00, les Ruthénois ont en effet remporté 6 de leurs 7 derniers matches aux dépens de Niort, Caen, QRM, Amiens, Laval et Annecy. Les Verts, qui ont été incapables de marquer le moindre but face à cette équipe en 180 minutes jouées dans le Chaudron l'automne dernier, parviendront-ils à battre enfin les Aveyronnais, vaincus 1-0 par les Dijonnais de Pascal Dupraz il y a 15 jours ?
Hognon reconnaît la supériorité de Sainté
24/04 13:23
Avant de défier l'équipe de David Guion ce soir à Bordeaux, Vincent Hognon s'est confié à Sud-Ouest. Extraits.
"Il est toujours difficile d'accepter de perdre mais Saint-Etienne a fait un très bon match. C'est une grosse équipe qui s'est renforcée de manière assez incroyable en janvier. Parfois l'adversaire est plus fort. Si on l'avait emporté au Stade des Alpes contre les Verts, on aurait pu avoir un match très excitant comptablement ce lundi. Cela pouvait nous donner un peu de rêve, la possibilité d'y croire un peu, en tout cas de maintenir le groupe sous pression.
On n'a pas réussi à battre Sainté et on n'a battu qu'une seule équipe du top 5 cette saison. Mais on a accroché deux fois Le Havre, on a fait match nul contre Bordeaux, on battu Sochaux chez nous et on perdu 1-0 chez eux à la 90e. Offensivement il nous manque quelque chose. On est l'équipe qui tire le moins. On prend trop peu notre chance. Après, on a le 16e budget alors que Bordeaux et Saint-Etienne ont les deux premiers. Il faut savoir qui on est.
On joue avec nos armes et on présente une forme de solidité. On ne marque pas assez mais chez nous tout le monde fait beaucoup d'efforts pour protéger notre but. Je ne veux pas désacraliser ce match à Bordeaux contre les Girondins. C'est un stade d'une grande capacité, un club historique qui est tombé en Ligue 2. Ça arrive, regardez Saint-Etienne... Cette fois on affronte un adversaire qui joue la montée, on verra si on est capable d'élever notre niveau."
Le sursis de Saïdou saute
24/04 11:25
N'ayant pas pris de carton samedi contre Metz, Saïdou Sow n'est désormais plus en sursis, son total de biscottes sur les 10 derniers matchs étant redescendu à 1. Une bonne nouvelle compte tenu des absences (Briançon, Appiah) en défense centrale.
En revanche, Victor Lobry, averti samedi, rejoint Pétrot, Krasso, Fomba et Cafaro : ce sont donc 5 joueurs qui, en cas de jaune samedi à Rodez, rateront la réception de Guingamp (6 mai).
Traoré dénonce un bordel à GG
24/04 07:18
Dans la dernière édition du Républicain Lorrain, le défenseur messin Ismaël Traoré revient sur la victoire des Grenats chez les Verts.
"C’est une victoire méritée. On a fait une très belle entame de match et on a été récompensé assez vite. Sur l’ensemble du match, on peut avoir un peu de déception. On a quand même beaucoup subi mais sans que Saint-Etienne ne se montre vraiment dangereux. Je pense qu’on aurait pu mettre un peu plus le pied sur le ballon parce qu’on avait fait le plus gros du travail.
Je crois qu'on a été freinés par la petite coupure qui les a remis dedans. Je pense qu’on aurait vraiment pu tuer le match s’il n’y avait pas eu cette interruption. Maintenant, c’est comme ça ici, ils ont l’habitude de mettre le bordel dès qu’ils sont en difficulté… On a quand même réussi à tenir le score et c’est ce qu’il faut retenir.
On a dû rentrer aux vestiaires, on n’avait pas le choix. L’année dernière, avec Angers, j’avais vécu à peu près la même chose. Il y avait eu des fumigènes, les filets coupés avec des ciseaux… C’est énervant. Nous, quand on prend des scores, on assume sur le terrain et on ne fait pas le bordel, ce serait bien que ce soit partout pareil.
On a eu peur que cette interruption soit un tournant, bien sûr parce qu’on avait fait une très bonne entame de match. À 3-0, on était en confiance et on pouvait continuer sur notre élan. C’est le côté rageant. Après, ce sont des faits de jeu, on ne doit retenir que la victoire, c’est le plus important."