Plus proches du podium que de la relégation !

07/03 20:07

N'en déplaise aux Cassandre qui noircissent un tableau certes très contrasté, l'ASSE est plus proche du podium que de la relégation malgré ses quatre défaites consécutives ! Selon les stats du chercheur Fabien Torre, maître de conférence à l'Université de Lille, Sainté à 1,42% de chance de se qualifier pour la Ligue des Champions contre 1,18% de risque de descendre en L2 : http://www.grappa.univ-lille3.fr/~torre/Football/L1/2010-2011/SaintEtienne.php. Hélas, les prédictions de Nanardamus* n'ont plus que 0,08% de chance de se réaliser...

 

* http://www.poteaux-carres.com/potin-B3920101220180016-In-Nanardamus-we-trust-!.html

Guirane a fait le N'Daw rond

07/03 13:28

Mais ça n'a pas suffi...

Samedi soir, N'Daw était de nouveau titulaire avec Saragosse pour un voyage de prestige au Nou Camp. Face à un Barça plus concerné par son prochain match de Ligue des Champions contre Arsenal que par son adversaire du soir, les coéquipiers de notre buteur en Coupe de la Ligue contre Bordeaux ont fait de la résistance et n'ont pas beaucoup vu le ballon (18% de possession !!!).

Mais hélas, un but de Keita a permis au Barça de l'emporter (1-0) et si la défaite n'a rien de déshonorant, elle renvoit Saragosse à la 17ème place, seulement 1 point devant le premier relégable.

Le printemps sera chaud pour N'Daw !!

Laurent président !

07/03 12:26

Agacé par la mauvaise passe de l'ASSE, Laurent Batlles se console (sans Playstation) sur le site Foot31 grâce aux bons résultats du club qu'il préside, le Toulouse Lalande Futsal.

 

"Je félicite tous les joueurs pour la qualification en quart de finale de la coupe de France qui va permettre au club de continuer à grandir, aux joueurs d'acquérir de l'expérience supplémentaire et qui récompense le travail des dirigeants.

 

Je suis un des présidents du club avec Nadine Aïgouin qui s'en occupe au quotidien. Depuis Saint-Etienne, je m'intéresse quand même à ce qui s'y passe. D'autant plus que j'ai investi financièrement à titre personnel dans le club, par amitié pour Nadine, qui est une amie de ma famille, et parce que je suis intéressé par le développement du futsal. Cet apport permet notamment aux joueurs de voyager et de se préparer dans de meilleures conditions. Je leur ai également obtenu quelques équipements, des maillots... et dès que le reviens sur Toulouse, je vais les voir, je joue même parfois avec eux.

 

J'aimerais aider le club à monter en D1 et à devenir un des clubs phares de futsal dans la région toulousain, à l'exemple de ce que réalise Bruguières [ndp2 : club parrainé par Albin Ebondo*] par exemple. Je vois que dans la région parisienne des clubs se structurent et recrutent même des joueurs brésiliens à qui ils donnent pas mal d'argent. D'ici quelques années, le futsal peut prendre de l'ampleur. Une fois que j'aurais arrêté ma carrière professionnelle, ça peut être un bon moyen, en réunissant quelques amis, de poursuivre l'activité. Pourquoi pas."

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B3920100809083619-Ebondo-juge-Bruguieres.html

Les U19 au stade des Alpes !

07/03 11:35

Comme nous l'a confié aujourd'hui Abdel Bouhazama, le huitième de finale de coupe Gambardella Grenoble/Sainté a été avancé au mercredi 16 mars à 15h00. "Grenoble souhaite faire de ce match un événement en invitant ses clubs partenaires. Même si le GF 38 recevra Laval deux jours plus tard en L2, notre match se déroulera au Stade des Alpes. On a quand même prévu une solution de repli au Stade du Clos d'Or au cas où de mauvaises conditions météorologiques nécessiteraient de préserver la pelouse de l'équipe première." 

Mirallas des as

07/03 06:28

D'une frappe croisée du gauche, Kevin Mirallas a claqué ce week-end contre Ergotelis Heraklion son douzième pion de la saison : https://www.youtube.com/watch?v=QiM4O_eFapU. Comme dans le même temps un Tavla impérial (!) a muselé et battu Cissé et Govou, l'Olympiakos compte désormais treize points d'avance sur sur le Pana à cinq journées de la fin du championnat grec.

Sauget brille, Tiéné vrille

07/03 06:00

Deux anciens latéraux de l'ASSE se sont illustrés ce week-end. Auteur d'un excellent match, David Sauget a adressé une jolie passe décisive à Maïga, permettant ainsi à Sochaux de dépasser Sainté au classement : http://minilien.fr/a0kr98. A sa façon, Siaka Tiéné a également été décisif contre Auxerre : http://minilien.fr/a0kr99

CFA : Le Pontet bon

06/03 18:38

Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum grâce à notre envoyé spécial Yacine : l'équipe réserve de l'ASSE s'est inclinée 3-1 face au Pontet cet après-midi à l'Etrat lors de la 22ème journée de CFA.

 

Mal entrés dans le match, les Stéphanois ont concédé l'ouverture du score à la 16ème minute suite à une perte de balle au milieu de terrain. Bien servi par Pierre-Emerick Aubameyang, Idriss Saadi a égalisé en piquant son ballon à la demi-heure de jeu.  Les Verts se sont procurés plusieurs balles de break en fin de première mi-temps et en début de seconde période par Yoric Ravet et Idriss Saadi mais les visiteurs ont égalisé à la 57ème minute suite à un coup franc dévié sur le poteau puis repris par un attaquant à l'affût. Bien servi par Yoric Ravet, Idriss Saadi a failli égaliser mais l'international U19 n'a pas réussi à cadrer sa tête. Auteur par ailleurs d'un bon match, Faouzi Ghoulam a mal exploité un trois contre deux en oubliant de centrer. Le Pontet a profité d'une grosse boulette de Jessy Moulin sur un coup franc anodin et excentré pour tuer le match à la 74ème minute.

 

La compo : Moulin - Andreu, Zouma, Cros, Ghoulam - Sagna, Mansaly, Diomandé (Salabiakou, 76')- Aubameyang, Saadi, Ravet.

 

La réaction de Jean-Philippe Primard : "On a perdu face à une belle équipe du Pontet, qui restait sur quatre victoires consécutives. On a bu le bouillon dans le premier quart d'heure. Ensuite il y a eu du mieux. La deuxième mi-temps a été équilibrée, je regrette qu'on ait mal négocié plusieurs situations favorables et qu'on ait pris deux pions sur coups de pied arrêtés. Jessy Moulin m'a expliqué après le match qu'il pensait déjà à la relance après avoir arrêté le tir sur le troisième but, c'est pour ça qu'il a relâché le ballon. Yoann Andreu a fait un match satisfaisant pour une rentrée. Il a tenu les 90 minutes sans problème, a fait son boulot défensivement. Il ne s'est pas trop livré offensivement, même s'il a ponctuellement apporté du soutien aux joueurs offensifs. Je suis déçu du résultat, on paie cash nos erreurs et on gère mal nos temps forts. Contre une équipe en pleine confiance et expérimentée, un nul n'aurait pas été un si mauvais résultat. A défaut de pouvoir gagner ce genre de matches, il faudrait qu'on apprenne à ne pas les perdre. On est dans le dur et il va falloir se ressaisir. Mais ça ne va pas être évident car on va enchaîner deux matches à l'extérieur, à Anglets et à Toulon. Il nous faudra grapiller des points car notre marge au classement s'est réduite."

U19 : Mayi n'a pas failli

06/03 17:42

Les U19 de l'ASSE ont été tenus en échec par l'AS Cannes cet après-midi à l'Etivallière lors de la 20ème journée du championnat.

 

Auteurs d'un début de match plein d'entrain et d'envie, les Verts ont logiquement été récompensés de leurs efforts à la 20ème minute : sur un centre en retrait d'Elian Tack, Kevin Mayi n'a laissé aucune chance au portier cannois. Malgré plusieurs situations favorables, les Stéphnois n'ont pas réussi à faire le break avant la pause.

 

Sur l'engagement de la seconde période, les visiteurs ont profité du manque de concentration de l'ASSE (notamment du laxisme de Maxence Chapuis) pour égaliser. Les Verts ont baissé de pied après la sortie de Kevin Mayi à l'heure de jeu. Combatifs et enthousiastes, les Cannois ont failli prendre l'avantage à la 70ème minute mais Germain Sanou a sorti une parade décisive. Malgré la bonne prestation de leur capitaine David Douline et plusieurs situations favorables dans le dernier quart d'heure (tir au dessus de Bilel Aouacheria, tête de Maxence Chapuis, frappe de Kader Nassuf),  les Verts n'ont pas réussi à arracher la victoire.

 

La compo : Sanou - Djeridi, Chapuis, Russier, Polomat - Douline (capitaine), Nyemeck (Elmoudane, 66'), Aouacheria, Bulut (Nassuf, 63') - Tack, Mayi (Maouche, 59').

 

La réaction d'Abdel Bouhazama : "Ce match nul laisse des regrets au regard de notre première mi-temps. Mais on a remis à flots cette équipe cannoise dès la 46ème minute. Dans le jeu, on a rarement été mis en danger mais on est tombé sur une équipe coriace, agressive dans le bon sens du terme. Ce n'est pas un mauvais match nul, dans le jeu on a vu des choses intéressantes. Ce résultat nous permet de prolonger notre série d'invincibilité. On a retrouvé une certaine solidité défensive, on marque à chaque match, on vient d'enchaîner cinq matches sans défaite. Mais on manque encore de justesse dans le dernier geste."

Les U17 ont tenu tête

06/03 16:50

Largement en tête du championnat U17, l'OM a concédé cet après-midi un match nul et vierge à domicile face à de jeunes et vaillants joueurs stéphanois.

 

Mis sous pression en début de match sur de nombreux coups de pied arrêtés, les Verts ont résisté grâce à leur capitaine Louis Beccu, impérial dans ses buts. Au fil des minutes d'une rencontre intense mais pauvre en occasions, le match s'est équilibré.

 

Convaincants au milieu de terrain à l'image d'un Florian Milla inspiré, les Stéphanois ont dominé la seconde période. Si Valentin Peillon a sauvé sur sa ligne à la 75ème minute, Kevin Lebon a failli infliger aux Phocéens leur première défaite de la saison.  Mais la frappe croisée de l'attaquant réunionnais est passée de peu à côté.

 

La compo : Beccu - Chausse, Sigot, Thalamy, Peillon - Kayaci, Vandamme, Milla - Ejenavi (Bouillon, 80'), Valente (Lebon, 65').

 

La réaction de Romain Revelli : "On a fait un bon match, contre une équipe qui n'avait concédé qu'une défaite et trois matches nuls depuis le début du championnat. Marseille jouait au complet avec une équipe plus âgée que la nôtre mais on a réussi à les contenir et même à les inquiéter. C'était une partie très rythmée, très intense, les garçons ont fait un gros mach."

Perrin + 1

06/03 13:00

Julien Perrin a marqué hier soir le but de la victoire de Besançon contre Belfort lors de la 22ème journée du groupe B de CFA. C'est le quatrième pion en quatre semaines pour l'ancien attaquant de l'ASSE.

Du Canada Dry dans le Calva !

06/03 12:50

La défaite d'hier est la goutte de Calva qui fait déborder l'ancien Vert Jean-Michel Larqué : "Ce sont aujourd’hui des joueurs « Canada Dry » : ils ont le même maillot, ils évoluent sur le même terrain, Geoffroy-Guichard, ils ont le même public, mais ils n’ont pas le même goût. Et il n’y a rien de pire que de se considérer pour ce que l’on n’est pas. Mais heureusement, en sport, il n’y a qu’une vérité avec un grand « V », celle du tableau d’affichage. Et pour l’instant de ce côté là, pour les pseudos-Verts, tous les clignotants sont au rouge." (RMC)

Anfield et frissons

06/03 08:23

Liverpool-Manchester : les deux clubs les plus titré d'Angleterre s'affrontent cet après-midi lors de la 29ème journée de Premier League. Comme le rappelle The Guardian, Alex Ferguson revient dans un stade où il a connu sa plus grosse émotion de spectateur lors du mythique quart de finale de coupe d'Europe des Clubs champions Liverpool/Saint-Etienne.

 

"En quittant le stade ce soir-là, je ne marchais pas. Je flottais. C'est comme si j'avais reçu une injection d'une de ces drogues stimulantes. Ce qui s'est passé, en fait, c'est que je venais d'être happé par l'ambiance de football la plus excitante que j'aie jamais connue" a écrit le manager des Red Devils dans "A Light in the North", son premier livre paru en 1985.

 

On comprend ce qu'a pu ressentir Sir Alex Ferguson en regardant cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=R9B26fXTj4c. Le long résumé de ce match exceptionnel : https://www.youtube.com/watch?v=WfJlpzKosc0

Very bad trip à Caen

05/03 21:09

Les Verts ont concédé ce soir au stade Michel d'Ornano leur quatrième défaite consécutive. Youssef El Arabi a marqué l'unique but de la rencontre lors des dernières secondes : http://minilien.fr/a0kr4v.

Augusto avec brio mais Santiago

05/03 14:28

Ce n'est pas trop tôt pour Augusto ! L'éphémère milieu offensif de l'ASSE (12 matches de ligue 1 en 2009-2010) a enfin claqué son premier pion sous le maillot de Vélez Sarsfield. Titularisé à 16 reprises depuis le début de saison, le Gaucho a inscrit du droit le deuxième but de son équipe contre l'Universidad Catolica (Santiago du Chili) lors de la 2ème journée du groupe 4 de la Copa Libertadores: https://www.youtube.com/watch?v=Pa1ycU8pIeU

Recadrés, recadreront-ils ?

05/03 09:39

Recadrés par Galette et Roro suite à leurs trois défaites d'affilée (plus mauvaise série depuis octobre 2009), les Verts n'ont cadré que deux tirs lors de leurs deux derniers matches. Même si l'un d'eux s'est transformé en but au Vélodrome, c'est le plus faible total parmi les vingt formations de L1 selon les statistiques de l'agence d'informations sportives Opta.

A l'aise Blaise le jour JJ

05/03 09:02

Libération a proposé à Jérémie Janot et Blaise Matuidi de dérouler leur carrière en leur imposant des points de passage communs, le but étant d'obtenir un développement parallèle à la manière du générique en split screen de la série britannique Amicalement Vôtre. Et d'entendre les dissonances. Les Verts, la honte, l'éveil au monde professionnel : regards croisés.

Le jour de septembre 2010 où Saint-Etienne a pris la tête de la L1

 

JJ : "On savait tous que ce serait éphémère : les gros commencent à tourner en octobre-novembre, c'est pareil chaque année. Après, on était très, très heureux pour les gens."


Blaise : "Les supporters, la presse… On n'est pas vu pareil. Quand les médias s'intéressent à nous, c'est sympa. Nos proches lisent les journaux."

Le jour où j'ai compris le mythe vert


JJ : "J'étais au centre de formation du club, je devais avoir quinze ans : j'ai vu des supporters pleurer après une défaite. Ça m'a marqué. On dit "les Verts" : c'est le seul club de France qu'on désigne par une couleur. Lors des déplacements, il y a plusieurs dizaines de mecs devant ton hôtel. Ils ont l'écharpe du club, le maillot, des vignettes Panini vieilles de vingt ans. Tu te retrouves à dédicacer des photos de toi que tu n'as vues nulle part."


Blaise : "Je me rappelle les premiers matches amicaux pendant l'été 2007 : 1500 spectateurs, 2000, 3000… A Troyes, ils étaient combien ? 100 ?"

Le jour où j'ai eu honte


JJ : "J'ai toujours sué et fait mon maximum : ça permet de regarder les supporters dans les yeux après les matches. Mais je me rappelle un truc. A 23 ans, j'ai acheté une voiture allemande. Je suis rentré à Valenciennes pour un repas de famille et quand j'ai vu cette bagnole à côté de celle de mes oncles ou cousins, j'ai eu honte. Je me suis dit : "C'est pas toi." Je l'ai vendue dans la foulée."


Blaise : "Le 1-4 devant Lyon, le 12 février. Quand il y a une ambiance pareille et que tu perds… J'ai fait de mon mieux, OK, et alors ? Ce n'est pas la question. Seule la victoire compte. On est conditionné pour gagner les matches. La beauté du foot est là."

Le jour où j'ai compris qu'un joueur doit s'ouvrir pour progresser

JJ : "Disons plutôt qu'un joueur "devrait" s'ouvrir sur l'extérieur. C'est difficile : le sportif de haut niveau a peur de l'extérieur. Une paranoïa s'installe. Un conseiller fiscal vous parle d'un truc ? Vous avez peur, ça cache peut-être quelque chose. A force, le joueur a l'impression d'être largué, perdu. J'ai connu des mecs qui ne savaient pas remplir une feuille de sécu. La grève du bus de Knysna, je ne cautionne pas, mais je comprends comment on arrive à cette situation."


Blaise : "J'ai vite compris que si tu ne t'échappes jamais, c'est compliqué. Le foot est un jeu, il faut retrouver la fraîcheur par rapport à ça et le meilleur moyen, c'est de prendre de la distance. Quand je passe du temps avec ma petite fille ou que je vais au cinéma, je suis sûr que ça m'améliore en tant que joueur."

Le jour où j'ai touché mon premier gros salaire


JJ : "Quand tu passes de rien du tout à une fortune, c'est compliqué. Moi, ça a été progressif. Sinon je suis fils d'ouvrier, petit-fils d'ouvrier… J'ai acheté une maison. Comme on dit dans le Nord : "Une fois que t'as un toit sur le tête, tu trouveras toujours des patates à manger."


Blaise : "Là, il faut qu'on se comprenne : c'est quoi un gros salaire ? A 16 ans, on me donnait 600 euros par mois : je vous jure que c'était un chiffre ! Premier contrat élite à 18 ans : 1 900 euros, un chiffre aussi ! Disons que mes proches ont joué leur rôle : "Blaise, le foot, ça ne dure qu'un temps." De toutes façons, j'avais la tête au foot, alors… Dès mon entrée à l'INF, à 13 ans, je suis encadré, il y a une discipline dans la vie de tous les jours, les repas diététiques, tout ça…"

Le jour où un entraîneur m'a marqué


JJ : "Frédéric Antonetti, sans hésiter. On est en 2001, je me suis claqué au triceps, je viens d'avoir un enfant, je suis en fin de contrat et il y a David Casagrande devant moi dans la hiérarchie du poste. J'ai tendu la main. Si Antonetti ne la prend pas, je suis mort. Il la prend : "Ce n'est pas un cadeau que je te fais, tu le mérites." Six mois après, je suis titulaire et c'est parti… J'aurais une reconnaissance à vie."


Blaise : "Je me souviens d'une matinée, juste avant mon premier entraînement avec les pros de l'équipe de Troyes. J'avais 17 ans. La nuit précédente, j'avais dormi… en y pensant. El là, je vois Jean-Marc Furlan, l'entraîneur de l'équipe première, qui vient me chercher en voiture. Je m'assois sur le siège passager, il me parle et je me rends compte qu'il connaît tout de moi, qu'il me suit depuis longtemps. Aujourd'hui, je pense qu'il est venu me chercher pour se rendre compte par lui-même. Il m'est arrivé ensuite de retourner m'entraîner avec la réserve : ça ne m'a pas posé de problème, j'avais confiance en Furlan."

Le jour où j'ai compris mon poste


JJ : "J'ai compris vers 15 ans. Le poste de gardien est ingrat : si une équipe gagne grâce à ses attaquants, elle perd forcément par la faute du gardien. Toutes les nouvelles règles sont là pour nous compliquer la vie : obligation de négocier les passes en retrait au pied, ballons allégés… Après, je me suis enrichi au contact des autres : Grégory Coupet, Joseph-Antoine Bell… Bell était vraiment un génie. Tout ce qu'il faisait était limpide, sans mouvement parasite. Et il fallait voir son corps à 42 ans ! Quand je lui ai fait la remarque, il m'a répondu : "J'ai la carrosserie, mais je n'ai plus le moteur." Cette phrase là m'a marqué."


Blaise : "Il y a eu un déclic à 15 ans. J'étais ailier gauche et j'ai eu une conversation avec un entraîneur de l'INF, Jean-Claude Lafargue. Il me dit : "Voilà, tu aimes courir et faire des efforts, tu as une bonne technique, joue milieu défensif." J'ai tout de suite adoré. Tout passe par toi. Personne ne touche plus le ballon qu'un demi-défensif. C'est une bagarre permanente. Tu as le ballon, tu ne l'as plus, tu le gagnes, on te le reprend…"

Le jour où j'ai basculé dans le foot pro


JJ : "Mon premier match avec Saint-Etienne, en amical face à Monaco. Je suis dans le couloir qui mène au terrain. A côté : Marco Simone, Grassi, Anderson, Emmanuel Petit, Fabien Barthez. J'ai 19 ans, j'en fais 15. Je me souviens du regard de Petit et de celui de Barthez. Ils voulaient dire : "C'est un gamin." Moi, à cet instant, je pense : "Au moins, tu auras vu ça." On perd 1-0. Après un contact, Anderson me tape dans les mains et me fait une bise sur le front. A la fin, Barthez m'a donné ses gants."


Blaise : "Dès l'INF, tu es dans le truc. En matière d'éducateur, tu as le top : Francisco Filho, Jean-Claude Lafargue… Mais le vrai basculement, c'est le premier contrat pro. J'ai choisi de terminer ma formation à Troyes. Ce n'est pas l'OM ou le PSG, mais un jeune joueur ne réfléchit pas comme ça, il compte les places disponibles pour les jeunes du centre en équipe première."

Garande et vous avec nous

05/03 08:49

Avant son rendez-vous de ce soir avec son ancien club, l'entarîneur adjoint du Stade Malherbe de Caen Patrice Garande s'est confié au quotidien Ouest France.

 

"Je suis arrivé à l'ASSE en 1974, j'avais 14 ans. J'ai eu la chance de vivre toute l'épopée européenne de 76, de découvrir une ambiance très particulière. On m'a clairement fait comprendre que je ne deviendrais jamais pro alors je suis parti. J'ai tracé ma route et les dirigeants stéphanois m'ont racheté en 1987. L'ambiance qui règne à Geoffroy-Guichard est exceptionnelle, je n'ai jamais retrouvé ça ailleurs. À l'époque, il y avait 2 à 3 000 personnes aux entraînements... Jean-Michel Larqué avait tourné un reportage sur le duo qu'on formait avec Philippe Tibeuf en faisant un parallèle avec les frères Dupont. Ce surnom est resté (...) Saint-Etienne est une équipe qui joue vers l'avant, qui dispose d'éléments forts sur les côtés avec Payet* et Sako. Ce sera un match ouvert, spectaculaire."

 

* Selon la Pravda du jour, Payet pourtant annoncé dans le groupe est resté à Sainté en raison d'une douleur à la cuisse droite.

Alexandre le bienheureux

04/03 20:03

Arbitre fédéral 3 de la Ligue Bourgogne, Alexandre Perreau Niel (28 ans) aurait dû diriger demain la rencontre de CFA Toulon-Colomiers. Mais ce prof d'EPS natif de Nantes fera ses grands débuts en L1 demain au Stade Michel d'Ornano pour le match de la 26ème journée Caen-Sainté !

 

Sur son site, la FFF explique ce changement : "Face à la décision du Syndicat des Arbitres de Football Elite (SAFE) de retarder d'un quart d'heure le coup d'envoi des rencontres de la 26ème journée de Ligue 1 disputées ce week-end, la Fédération Française de Football, en accord avec la Ligue de Football Professionnel, a décidé de procéder à la désignation de nouveaux arbitres, qui respecteront les règlements de la Fédération."

 

Alexandre Perreau Niel a déjà arbitré l'équipe réserve de l'ASSE lors de saison 2008-2009. A domicile, les Verts avaient concédé le nul (3-3) face à Martigues malgré un doublé de Manu Rivière et un pion d'Amine Linganzi.

Un déplacement tripant

04/03 17:38

Galette a divulgué la liste des 17 joueurs qui se déplaceront à Caen demain soir.

Janot, Moulin - Bayal, Bocanegra, Ghoulam, Monsoreau - Alonso, Batlles, Guilavogui, Matuidi, Perrin, Payet, Sagna, Sako - Aubameyang, Ravet, Rivière.

 

Suspendu : Ebondo

Soins : Bojang, Landrin, Marchal, Néry, Sanogo.

CFA : Andreu, Coulibaly, Cros, Saadi

Juju réagit

04/03 12:41

Critiqué par les supporters niçois et relégué sur le banc en début d'année, Julien Sablé a retrouvé une place de titu depuis deux matches. Mine de rien, le retour de Juju coïncide avec l'envol des Aiglons, victorieux dans le Chaudron et qualifiés en demi-finale de la coupe de France. Après avoir réagi sur le terrain, l'ancien capitaine stéphanois se confie aujourd'hui dans Nice Matin. Extraits.

 

"Ça ne fait jamais plaisir mais je sais la chance que j’ai de faire ce métier. J’ai vraiment eu peur que ça s’arrête à Lens, puis quand Ollé-Nicolle est arrivé. L’expérience lensoise, que j’ai trouvée injuste par moments, m’a appris à mettre mon ego de côté. En plus, j’ai un rôle de leader. Certains attendent peut-être que je sois décisif mais la dernière fois que j’ai marqué c’était avec Saint-Etienne [ndp2 : le 13 mai 2006, à Ajaccio]. Je suis un joueur de l’ombre mais je le vis très bien. Quand ça va moins bien, on se demande qu’est-ce qu’il fait là. A contrario, quand je ne suis pas là et que ça ne va pas bien, on se dit qu’il manque peut-être un mec pour trouver le juste équilibre.

 

J’oublie parfois qu’à Nice on ne comptait pas vraiment sur moi en début de saison. Les choses étaient claires. Je pensais qu’après la première partie de saison, j’avais quelques acquis. Sauf qu’au football, cela n’existe pas. ça fait rire les joueurs quand je dis que je suis une courroie de transmission mais c’est ce que je ressens. Emerse (Faé), Didier (Digard) ou Kafu (Coulibaly) ont des qualités que je n’aurai jamais. Je suis là pour faire les efforts pour eux. J’ai la tête du coupable idéal mais je l’accepte.

 

Le problème, c’est que je suis quelqu’un à fleur de peau. J’ai fait une grosse préparation, un bon début de championnat. Et puis, j’ai eu un petit pépin physique. Je ne supporte pas l’arrêt donc je suis allé sur le terrain. En plus, le staff et les joueurs me donnent envie, même sur une jambe, d’aller me battre pour eux. Il faut parfois s’arrêter, ce que je ne sais pas faire."

Bafé fan de Féfé

04/03 09:03

Elu meilleur joueur des vilains pour le deuxième mois consécutif, Bafé Gomis se livre aujourd'hui dans France Football. Il évoque sa période stéphanoise et sa relation avec Pascal Feindouno.

"J'ai parfois douté dans ma carrière, c'est humain. Quand je jouais à Saint-Etienne et que nous étions derniers, ce n'était pas facile. Des accusations non fondées de certains dirigeants m'avaient profondément déçu. Après, avec l'âge et le vécu, on comprend que ça fait partie du foot. Aujourd'hui, j'ai tourné la page. Je suis à l'OL, où j'ai pu compter sur le soutien du président et du coach à chaque fois que j'ai traversé des périodes difficiles. Ils se contentaient parfois d'une tape amicale, mais pour moi, c'était déjà beaucoup.

Je suis issu d'une grande famille où le quotidien n'a pas toujours été facile. Mon père m'a inculqué certaines valeurs. Il m'a notamment dit que seul le travail ferait de moi un homme. Il m'emmenait avec lui à la ville pour me familiariser avec les réalités de la vie. Je me souviens de visites à la banque où il me faisait prendre conscience qu'il lui était impossible de m'acheter certaines choses. Du coup, quand je suis arrivé au centre de formation de Saint-Etienne, à quatorze ans, j'étais beaucoup plus mûr que les autres. Je savais exactement ce que je voulais.

A Lyon le coach est confronté à de grands joueurs, à des hommes. Non pas qu'il y ait eu des petits joueurs à Sainté, mais on était beaucoup plus jeunes et on avait davantage besoin de cette proximité avec l'entraîneur. Moi, je sortais de la formation et Roussey m'a pris sous son aile. Une fois, alors que je n'avais pas plus de trois buts en L1, je me souviens lui avoir dit : "Coach Roussey, je veux être un grand joueur". Il m'a alors répondu qu'il pouvait m'aider à le devenir à condition de beaucoup travailler.

Avec Pascal Feindouno, on a une relation qui dépasse le cadre du football. D'abord parce qu'il m'a donné beaucoup de conseils lorsque j'étais à l'ASSE et, ensuite, parce qu'il a été mon idole. Quand il a marqué le but du titre des Girondins en 1999, au Parc des Princes, j'étais encore chez mes parents et il m'a fait rêver. Je voulais être lui, marquer un but décisif en L1 à 17 ans. Je lui ai toujours dit que c'était son premier fan, mais il ne m'a jamais cru, ça le faisait marrer. Pascal, c'est le joueur le plus doué avec qui j'ai joué. On se verra lors du dernier match de la saison à Monaco. Si on doit jouer le titre sur ce match-là, j'espère que Pascal sera dans un mauvais jour (rires) ! Mais je ne lui souhaite que du bonheur. Pascal m'aimait tellement que même sa femme m'aimait à travers lui. Quand j'avais des moments difficiles à Saint-Etienne, elle allait brûler des cierges pour moi, et ça m'a vraiment touché.

Un jour, Pascal m'a dit : "Si le gardien adverse foire son dégagement, tu dois être prêt à récupérer le ballon. Donc, ne quitte jamais des yeux ses relances au pied ou à la main." J'ai marqué deux fois grâce à ce conseil. Une fois face à Coupet, quand j'étais à l'ASSE, et récemment face à Edel."

Grenoble se fait du sushi

03/03 21:17

Malgré les efforts désespérés de son entraîneur Yvon Pouliquen, de son gardien Jody Viviani et de son attaquant Helton Dos Reis, Grenoble est toujours lanterne rouge de L2. Dans sa dernière édition, Ouest France revient sur les déboires du club détenu par le groupe japonais Index Corporation. On apprend notamment que Daisuke Matsui a prétexté une blessure pour s'épargner le déplacement en car à Troyes vendredi dernier. Le quotidien évoque également l'invalidation du prêt de Yoric Ravet par la DNCG. "Pour la petite histoire, ce n'est pas un représentant de l'actionnaire majoritaire mais un dirigeant de l'association accompagné d'un conseiller municipal grenoblois qui est allé négocier le contrat avec les caciques foréziens !"

Sainté HS selon l'IFFHS

03/03 21:00

L'IFFHS (International Federation of Football History & Statistics) a mis à jour hier un classement mondial des clubs établi selon les résultats continentaux et nationaux obtenus lors des douze derniers mois (http://minilien.fr/a0kreh). L'ASSE n'est que 279ème ex aequo avec Lens, Bilbao (Espagne), Bologne (Italie), Fribourg (Allemagne), Malines (Belgique), Arsenal de Sarandi (Argentine), Ceara Fortaleza (Brésil) et Montevideo (Uruguay)...

 

Le classement complet : http://minilien.fr/a0krei.

Guirane gagne

03/03 20:30

Entré en jeu à la dernière minute, Guirane N'Daw a gagné hier contre l'Athletic Bilbao son premier match sous ses nouvelles couleurs. Grâce à ce court mais précieux succès (2-1), le Real Saragosse n'est plus relégable.

Gambardella : les Verts en Isère

03/03 18:11

Ancien entraîneur de l'ASSE, Jean Djorkaeff n'a pas eu la main heureuse pour les Verts ce midi lors du tirage au sort des huitèmes de finale de la coupe Gambardella : Sainté se déplacera à Grenoble le dimanche 20 mars.  Si Sainté a assassiné Seyssinet en 32ème, le GF38 est unnouvel adversaire isérois d'un tout autre calibre, comme nous l'explique Abdel Bouhazama, entraîneur des U19 stéphanois.

 

"Après Nîmes, on va encore jouer une équipe de haut de tableau de notre groupe. Mais c'est un tirage encore plus difficile car cette fois on se déplace. Grenoble n'est pas leader de notre groupe par hasard. Je connais très bien ce club, je m'y intéresse car j'ai été stagiaire et j'ai joué pro là-bas. J'ai encore de la famille à Grenoble. Cette équipe a beaucoup de qualités, sur un plan offensif notamment. On s'en est rendu compte car ils nous ont battus deux fois cette saison. A l'aller, on a perdu 1-0 chez eux mais on méritait le nul. Leurs 93 Thauvin et Simon sont de bons attaquants qui jouent régulièrement dans l'équipe réserve de Grenoble, classée dans la première moitié de tableau en CFA2. Même si la priorité du GF38 reste le maintien en L2, peut-être que leurs 92 redescendront en Gambardella : Atila Turan est un excellent latéral et Saphir Taïder un milieu de terrain prometteur. Grenoble est leader de notre groupe en U19 et à l'avantage de recevoir, ils seront donc favoris. Mais on ira là-bas avec beaucoup de détermination, c'est le message que je vais transmettre à mes joueurs. Ils nous ont battus deux fois en championnat mais là il s'agit d'un match de coupe, le contexte est différent. On alignera l'équipe la plus compétitive possible, avec des joueurs comme Sanou, Zouma et Saadi."

Loïc penche à droite

03/03 14:32

Pour pallier les absences conjuguées d'Albin Ebondo et de Loris Néry, Christophe Galtier a déjà révélé sa stratégie : faire jouer Loïc Perrin comme latéral droit face au Stade Malherbe de Caen. Le coach des Verts, qui devra en outre se passer de Sylvain Marchal (blessé), l'a d'ailleurs confirmé lors du dernier point presse d'avant match.

Postigooooooooooal !

03/03 06:23

Helder Postiga (Sporting) a ouvert le score de la tête à la 21ème minute hier soir au stade la Luz en demi-finale de la Coupe de la Ligue portugaise : http://videos.sapo.pt/9qzz3sgdSESFPMSLrC3Z. Mais après avoir égalisé àla 34ème, le Benfica s'est qualifié en marquant le but de la victoire à la dernière minute de la rencontre !

Idriss surclasse Dallas

03/03 06:10

A Phoenix, Idriss Ech Chergui renaît de ses cendres. L'Impact de Montréal a en effet conclu hier son stage dans l'Arizona par une victoire 3-0 contre Dallas, formation de la Major League Soccer. Selon le site officiel du site club canadien, l'ancien attaquant de l'ASSE "a marqué le but d'assurance à la 76e minute. Ech Chergui a accepté la passe du milieu de terrain Anthony Le Gall, puis à l’entrée des six mètres, a battu le gardien d'un tir bas en croisé."

Sanou fait du bien

02/03 20:46

Entraîneur des U19, Abdel Bouhazama nous présente le jeune international burkinabé Germain Sanou, auteur de deux parades décisives ce dimanche contre Nîmes en coupe Gambardella.

 

"C'est un grand garçon pétri de qualités. Mesurant plus d'1m85, il est athlétique et a une grande présence dans le but. Il est très à l'aise dans le domaine aérien. Germain a de bonnes prises de balles. Il est par ailleurs doté d'un excellent jeu au pied. Il a une bonne lecture du jeu, il gère bien la profondeur. Il doit encore progresser dans le commandement de sa défense et dans la communication. Germain est invaincu avec les U19, il prend peu de buts et ce week-end il a fait des arrêts décisifs. Il nous a montré l'étendue de son talent.

 

On ne peut que se féliciter que la cellule de recrutement de la formation dirigée par Gérard Fernandez ait dégoté un  garçon comme ça. C'est un joueur très intéressant car il semble avoir encore une belle marge de progression. Au Burkina Faso, il ne faisait quasiment pas de spécifique. Chez nous il en fait beaucoup sous la houlette de Gilbert Ceccarelli, qui entraîne les gardiens du centre, des U17 à la CFA. On voit qu'il a progressé depuis le début de saison. Il a même fait quelques entraînements avec les pros. Dimanche, Albert Rust a apprécié la prestation de Germain. Il pense beaucoup de bien du gamin.

 

Au-delà du footballeur, Germain est un gamin très attachant. Il est à l'écoute et très respectueux. Il est très doux, très agréble alors que c'est une vraie force de la nature, une armoire à glace qui remplit son but. Quand tu l'as en face de toi, ça ne doit pas être évident pour un attaquant... Sur le terrain, il a du tempérament, il sait se révolter et s'imposer mais il est humble, il ne se prend pas pour un autre. J'espère qu'il conservera cet état d'esprit."

Ça passe pour Roussey, ça casse pour Guion

02/03 20:19

Quatre jours après avoir étrenné ses nouvelles fonctions d'entraîneur du FC Sion par une victoire à domicile contre les Grasshoppers en championnat,  Laurent Roussey s'est qualifié ce soir aux dépens de la même équipe pour les demi-finales de la Coupe de Suisse en s'imposant 2-1 sur le terrain des Sauterelles. Fin de parcours en revanche pour son ancien adjoint David Guion. Avec avoir éliminé Brest, Monaco et Sochaux, le SO Chambéry s'est incliné 3-0 à Grenoble devant Angers (L2) en quart de finale de coupe de France. Si Malick Faye était suspendu, Stéphane Hernandez a joué l'intégralité de la rencontre.

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