Un nouveau sponsor sur le short
28/10 14:50
Vous l'avez peut-être remarqué dimanche soir au Parc des Princes, les joueurs de l'ASSE avaient un nouveau sponsor sur l'avant gauche du short. Il s'agit d'Investing Area, créée en 2009, qui accompagne les traders dans leurs opérations et conseille de nombreux cabinets d’affaires dans le monde. La société sera également présente sur les panneaux LED (autour du terrain) dès samedi face à Reims. Elle s'est engagée pour deux saisons comme partenaire officiel du club.
Dans un communiqué, Tamar Schoppik, directrice générale de Capital Media, agence marketing d’Investing Area, a commenté ce nouveau partenariat : « Nous avons choisi l’AS St-Etienne pour notre premier investissement dans le sport. C’est un club historique du football français mais aussi un club ambitieux. Partager la ferveur des supporters dans cette nouvelle expérience de marque est unique ».
Mouss a les adducteurs qui sifflent
28/10 07:11
Dans le journal sénégalais Le Quotidien, Moustapha Bayal Sall est revenu hier sur sa blessure aux adducteurs avant d'évoquer son avenir en club et en sélection. Extraits.
"Nous n’avons pas démérité contre Paris. Nous avons réussi à avoir des occasions. On avait cette envie de faire un bon résultat au Parc. Mais bon, ce n’est pas facile de venir prendre des points chez eux. Je suis sorti par précaution pour une douleur aux adducteurs. Au cours d’une action de jeu où je devais couvrir sur le côté, j’ai ressenti une douleur. Au début, j’ai senti qu’au niveau des adducteurs, c’était un peu tendu. Mais j’ai pensé que ça allait passer, car il faisait un peu froid. J’ai fait des accélérations et sur la dernière, j’ai senti que ça n’allait pas. Je n’ai pas voulu prendre de risques. Alors, j’ai demandé à sortir.
C’est un peu inquiétant, parce que je n’arrivais pas à lever ma jambe et courir plus vite. Il fallait sortir pour ne pas pénaliser mes coéquipiers. Je ne voulais pas prendre trop de risques et j’ai demandé un changement. Je ne voulais pas que ce qui s’est passé la saison dernière se répète. Je ne voulais pas aggraver les choses et avoir une blessure qui m’empêcherait de jouer le reste de la saison. La saison dernière, j’avais forcé à tel point que ça m’a grillé une partie de ma saison.
J’avais des douleurs au niveau des adducteurs avant le match contre Paris. En milieu de semaine, c’était plus compliqué. J’ai revu le médecin, car j’avais toujours mal. J’ai fait un examen radio, après je me suis rendu compte que ce n’était pas une blessure grave. J’ai pensé que j’avais un claquage. Je viens de voir le médecin dans les vestiaires, il m’a dit qu’on va suivre l’évolution. Pour l’instant, ça va. Je n’ai plus de douleurs. On verra comment ça va évoluer dans les prochains jours.
Jusque-là, je suis satisfait de ma saison, même si tout n’a pas été parfait. Je me sens bien à Saint-Etienne. Je suis heureux ici. Je me sens comme chez moi. C’est un club fantastique. Et je n’ai pas l’intention de quitter le club même s’il ne me reste qu’un an de contrat. Je compte aller au bout de mon contrat. Après, je vais réfléchir à mon avenir. On ne sait jamais ce qui va se passer, mais pour le moment je suis un joueur de l’AS Saint-Etienne.
L’état d’esprit est excellent. Je suis très content pour l’équipe et pour tous les supporters. C’est extraordinaire de côtoyer des joueurs qui se donnent à fond. Je m’entends très bien avec le staff et les dirigeants du club. A Saint-Etienne, j’ai réussi à prouver que je pouvais aller loin, au bout de l’effort. Mon avantage est que je me suis bien entendu avec beaucoup de gens ici. Je veux tout donner cette saison à mon club de cœur. J’ai encore envie de bien jouer et de me battre chaque match. Nous allons essayer de faire mieux que la saison passée.
Rejoindre l’Equipe nationale est toujours un honneur pour moi. Si le coach Aliou Cissé a besoin de moi, je serai là. Je n’ai aucun contact avec lui Mais dès qu’il fera appel à moi, je répondrai présent. Je suis un footballeur donc j’ai envie de jouer encore pour mon pays. J’aime mon pays. Mais l’Equipe nationale n’est évidemment pas une fixation. Pour l’instant, je continue à travailler. Je me consacre à mes objectifs en club. La sélection viendra un jour peut-être. Je reste disponible. Le Sénégal peut toujours compter sur moi."
Jérémy s'est remis
28/10 06:45
Un mois jour pour jour après sa blessure à la cuisse contractée lors de la déroute face à Nice, Jérémy Clément a repris hier l'entraînement collectif selon la dernière édition du Progrès. Le milieu défensif devrait donc faire son retour dans le groupe stéphanois à l'occasion de la réception du Stade de Reims, ce samedi à 17h00.
Faouzi talonne Rudi
27/10 22:17
La Roma de Rudi Garcia a pris la tête de la Série A avant-hier grâce à sa victoire 2-1 sur le terrain du précédent leader (Fiorentina). Vainqueur 1-0 sur le terrain du Chievo Vérone grâce à la passe décisive de Faouzi Ghoulam pour Gonzalo Higuain, le Napoli a profité de cette 9e journée pour se hisser à la 2e place du classement.
Robby et les "cadets"
27/10 21:55
Dans sa dernière chronique, Robert Herbin revient sur la déroute stéphanoise au Parc face au PSG et compare nos Verts à de gentils "cadets"... Extrait :
"Après le premier but, j’ai eu l’impression qu’ensuite, il y a eu une forme de tétanisation, le début d’une soumission à l’adversaire, une acceptation de sa supériorité. On était dans l’affolement, un peu perdu. On a été déboussolé dès le début et après, ce fut un match à sens unique. J’ai vu une équipe stéphanoise qui n’est jamais arrivée à se décomplexer et à poser des problèmes au PSG. Parfois, j’avais l’impression de voir des cadets contre des seniors."
Patrice tout puissant ! (3)
27/10 21:44
France Football a publié aujourd'hui une interview de l'ancien capitaine stéphanois Patrice Carteron, entraîneur du Tout Puissant Mazembe depuis mai 2013, qui affrontera l'USM Alger les 31 octobre et 8 novembre prochains en finale de Ligue des Champions d'Afrique. Extraits.
"Hormis les grands clubs sud-africains, égyptiens et certains au Maghreb, il en existe peu aussi bien structurés en Afrique. On dispose de deux cliniques, une au stade et l'autre en ville, près de notre salle de sport. Pour nos déplacements, on voyage dans un avion privé du club doté de 160 places. On est des privilégiés ! Le président Moïse Katumbi est un passionné, présent au quotidien, qui assiste aux entraînements. On est très complices. Il est intelligent, charismatique, et n'hésite pas à jouer au bon flic ou au mauvais flic parfois. Et il est très proche des joueurs.
Ici, quand l'équipe ne gagne pas un titre, la saison est râpée ! Quand j'ai signé, l'équipe était en fin de cycle. Il a fallu gérer les départs de certains joueurs et rebâtir. Au TMP on n'a pas le temps, la pression est énorme et l'engouement considérable. C'est comparable à ce qu'on vit dans un grand club en Europe. Du coup, je suis assez fier d'entraîner dans un tel contexte. C'est ma troisième saison, et c'est en soi un petit exploit ! Depuis mon arrivée, nous avons un parcours quasiment sans faute dans notre nouveau stade de Kamalondo : 21 victoires et 1 nul !
Ce qu'on vit dans le stade du Tout Puissant, je ne l'ai ressenti qu'à Anfield, à Liverpool. Il y a une intensité émotionnelle, presque spirituelle, qui donne un supplément d'âme aux joueurs. Dans mon équipe se côtoient des Congolais bien sûr mais aussi des Zambiens, des Maliens, des Ivoiriens, des Ghanéens et des Tanzaniens. J'aime cette diversité. Même si l'USM Alger réalise un parcours remarquable, la Ligue des Champions est l'objectif majeur de notre saison."
Coupet étonné par les résignés
27/10 07:43
Dans la Pravda du jour, Grégory Coupet revient à son tour sur la nouvelle déculottée des Verts à Paris.
"Contre le PSG, j'ai l'impression que les joueurs des autres équipes sont résignés sur le terrain. Par exemple dimanche, pour PSG-Sainté, on essaye d'en faire une affiche, mais... Dès la mi-temps, dans les commentaires, on sent bien que les mecs veulent éviter de prendre une valise. J'ai l'impression qu'aujourd'hui les dirigeants de clubs de L1, le week-end où ils jouent contre le PSG, ne prévoient pas de prendre trois points. Ni même un point, d'ailleurs. C'est une forme de découragement. On a l'impression que toutes les équipes qui affrontent le PSG se disent : "Bon, on va faire ce qu'on peut." Tout le monde s'est fait à cette idée. C'est étonnant."
Papy parle de Paris
27/10 07:02
Fabien Lemoine revient sur la lourde défaite des Verts au Parc dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Quand ils mettent autant d’intensité et une grosse détermination, comme ils l’ont eu sur la première période, il y a un gros écart entre eux et nous. Ça, c’est une évidence. En deuxième période, on a peut-être un peu plus osé mais eux aussi, inconsciemment, ont levé le pied. Il y a un très gros écart entre les joueurs du Paris Saint-Germain et nous. D’entrée, ils ont pris le ballon et on n’a jamais vraiment réussi à être sur eux, dans les duels. Ils se déplacent hyper bien. Ils ont une grosse intelligence de jeu. Ils se sont mis dans des zones où nous n’étions pas. Ils trouvent toujours la passe juste, les décalages.
Notre prestation n’est pas forcément liée à la fatigue. On a vu en seconde période que nous avons eu un peu plus le ballon. On s’est créé des occasions, on a tiré au but. Après, on s’est fait la réflexion au vestiaire à l’issue du match: dès que vous avez une situation offensive, si vous perdez le ballon à 25 mètres de leur but, c’est contre-attaque direct. Ça va à 2 000 à l’heure et c’est occase pour eux ! En plus, avec leur possession de balle, on n’a fait que courir. On était programmé pour cela. Mais c’est difficile. Dès qu’il y avait un placement approximatif de notre part, un joueur parisien était dans cette zone-là.
Lorsque le score était 2 à 0, on s’est dit qu’il fallait jouer notre va-tout, les presser. Mais même quand on les presse, ils ne paniquent pas, relancent. Ils font preuve d’une très grande maîtrise, jouent vraiment un très beau football. Je trouve qu’ils sont encore plus rodés que la saison passée. S’ils jouent à leur niveau, ils peuvent être champions dès le mois de mars. Le PSG peut devenir un genre de Bayern de Munich qui gagne chaque week-end en Allemagne. S’ils jouent le jeu, sont déterminés et concentrés comme ils l’ont été ce soir, ils peuvent finir la saison invaincus."
Boghossian a failli être vert
27/10 06:43
Dans France Football à paraître demain, le champion du monde 1998 Alain Boghossian explique qu'il a failli succéder à Laurent Roussey sur le banc stéphanois il y a huit ans.
"J'ai été major de ma promotion lors de l'obtention en 2006 du DEPF en devançant dix-huit stagiaires dont Laurent Blanc, Patrice Garande et Thierry Laurey. Etre major est un plus dans le CV, pas une garantie, la preuve ! Il faudrait que je me vende un peu plus. Je ne tape pas aux portes. Et comme sur la place médiatique je n'ai pas d'agent qui travaille pour moi... J'ai déjà eu des contacts avec Sochaux, Saint-Etienne, Marseille ou Créteil il y a peu.
La proposition de Saint-Etienne, c'était du sérieux. En 2007, le club avait connu un mauvais début de saison. Les Verts étaient quatorzièmes ou quinzièmes après avoir concédé sept défaites en douze matches. J'ai été convoqué en milieu de semaine. On m'a assuré que je serai le coach le samedi soir en cas de défaite. Saint-Etienne a gagné et n'a plus arrêté, terminant à la cinquième place ! J'ai évolué et je ne veux pas reprendre de club en cours de saison."
Perrin le parrain
26/10 22:56
Selon le site Actufoot42, l'ES Veauche organisera un grand tournoi international U11 parrainé par Loïc Perrin les 10 et 11 juin prochains dans le cadre de l'Euro 2016.
Alonzo annonce une boucherie (Sanzot ?)
26/10 22:17
Ancien gardien de l'ASSE (de 1997 à 2001) puis du PSG (de 2001 à 2008), Jérôme Alonzo revient pour France Football sur le match qui a opposé ses deux clubs de coeur hier soir au Parc. Extraits.
"Paris a fait un très bon match contre une équipe fatiguée trop rapidement. On pourra dire que Paris a joué son meilleur match de sa saison quand il affrontera une équipe qui a également réalisé un bon match. Peut-être que Saint-Étienne ne pouvait pas faire plus, tout simplement. Je me disais que Saint-Étienne était quand même une équipe costaud, mais ils n’ont pas trouvé la solution. Il y a eu quelques sursauts mais comme le football est devenu un sport de possession, quand tu as la balle 30 % du temps, quelle que soit l’équipe en face, tu ne peux pas lutter, sauf si tu as la meilleure équipe de contre du monde. Il n’y a qu’à regarder : 46e minute, occasion, 48e but, 49e nouvelle occasion : s’il y a 4-0 à la 50e, c’est pareil.
Cartonnés mais sans carton !
26/10 21:43
Si le QSG a une nouvelle fois cartonné l'ASSE hier soir au Parc, les Verts n'ont pas pris la moindre biscotte à Paris. Aucun joueur stéphanois ne sera donc suspendu pour le derby du 8 novembre prochain à Gerland, à moins que l'un d'entre eux ne voie rouge contre Reims. Merci au potonaute ozzy pour la mise à jour de son incontournable tableau des cartons !
.... le tableau complet des suspensions (depuis le début de saison) .... ici
quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure
Aubameyang est bien le meilleur
26/10 21:28
Meilleur buteur en Europe depuis le début de saison grâce à ses deux triplés de la semaine dernière, Aubame est encensé par son directeur sportif et son entraîneur dans la dernière édition de la Pravda.
Michael Zorc : "Auba a pris une dimension exceptionnelle. Il a une confiance incroyable en ses qualités et, actuellement, rien ne peut le perturber. Il a accompli des progrès fulgurants ces derniers mois."
Thomas Tuchel : "La principale qualité de Pierre-Emerick, c'est qu'il parvient à se concentrer sur ce qui est le plus important, à savoir le but adverse, qu'il ne perd jamais de vue. Et puis il est tout sauf égoïste, il a constamment le sens du collectif. La seule journée où il n'a pas marqué cette saison en Bundesliga, il y a huit jours, il a réalisé deux passes décisives. C'est un joueur complet."
Sous contrat avec le Borussia jusqu'en 2020 mais courtisé par tous les cadors européens, l'ancien attaquant stéphanois se sent bien à Dortmund. "J'ai certes dit que l'Espagne était un Championnat dans lequel j'ai toujours rêvé de jouer mais le Borussia est devenu ma deuxième patrie. J'adore ce club, ses supporters et cette ville. Je me vois encore rester ici quelque temps."
En 2015, au classement des meilleurs buteurs des grands championnats européens, en club, toutes compétitions confondues, PEA (34 pions) n'est devancé que par le duo Ronaldo-Messi (41) mais domine Neymar (33) et Lewandowski (32), excusez du peu !
Kachloul ne se cache plus
26/10 20:00
Parti se cacher chez la perfide Albion après son inoubliable passage à Sainté (0 but en 16 matches de D2 lors de l'éprouvante saison 1997-1998), Hassan Kachloul (42 ans) a refait surface ce week-end dans sa ville natale Agadir à l'occasion du jubilé de l'ancien Nancéien Mustapha Hadji. L'ancien Crocodile devenu Lion de l'Atlas a profité de cet évènement pour se confier brièvement à la radio marocaine Mars.
"Moi j'ai fini ma carrière en Angleterre, j'ai joué à Southampton et Aston Villa. Aujourd'hui j'habite en Angleterre et je travaille en tant qu'agent de joueurs en Europe, sur la France et en Angleterre. J'ai passé des diplômes d'entraîneur, qui me permettent d'entraîner jusqu'au niveau National en France. Pour l'instant j'ai opté pour la carrière d'agent, mais si un jour je ressens le besoin de revenir sur le terrain, je saisirai cette opportunité. Quand on est footballeur et qu'on arrête, on a toujours la nostalgie du passé. Quand je revois les anciens, ça me rappelle la période où la sélection du Maroc dominait le continent africain."
2016 < 2015
26/10 11:33
Ce qu'on peut retenir de ce début de saison, c'est que l'ASSE a tendance à réaliser les mêmes performances contre les mêmes adversaires. C'est, en effet, un adage qui se vérifie aisément à la seule vue du tableau "Club par Club". Après les 11 premières journées, les seuls matches divergents par rapport à la saison dernière sont le déplacement à Toulouse (1 seul but de différence), mais surtout la lourde défaite à domicile face à Nice, alors que le cru 2014/2015 avait vu les Stéphanois s'imposer sur un score fleuve. Ces deux matches en moins, les parcours sont similaires : victoires contre Bastia, Nantes et le deuxième promu à GG, victoires à Lorient, Montpellier et le premier promu en déplacement, un résultat nul à domicile contre Bordeaux et deux défaites à l'extérieur en Normandie et au Parc.
La routine habituelle, quoi
26/10 10:34
19 points en 11 journées : c'est un bon démarrage, mais simplement comparable à ce que fait Sainté habituellement. L'étiage normal a en effet toujours, depuis 2004, été compris entre 16 et 20 points : seules exceptions, la saison de la remontée (04/05) et les deux années de lutte pour le maintien (08/09 et 09/10).
L'ASF a souffert
26/10 07:32
Le choc entre les deux seuls clubs amateurs ligériens encore en lice en Coupe de France a tourné à l'avantage de l'ASF Andrézieux-Bouthéon, qui a eu besoin de la prolongation pour éliminer (3-1) la vaillante équipe de Rive-de-Gier hier lors du 6e tour. Alors qu'Adrien Valente a ouvert le score de la tête, son coéquipier Maxence Chapuis a été expulsé à la 87e minute.
Galette et les jambes
26/10 07:18
En conférence de presse, Christophe Galtier a livré son analyse de la nouvelle déroute des Verts face au QSG.
"Il faut avoir des jambes pour jouer Paris et trois jours après notre déplacement en Ukraine, on n’en avait pas. En première période, on n’a rien fait et on ne prend qu’un but. En seconde, on essaie de faire quelque chose mais on concède des contres. Ils ont les qualités pour profiter de ces situations. Je n’ai pas grand-chose à reprocher à mes joueurs. L’enchaînement des matches c’est trop pour nous surtout si c’est Paris lors du dernier match. si vous n’avez pas de jambes, le cœur ne suit pas.
Quand vous subissez onze tirs cadrés vous perdez obligatoirement. Les Parisiens ont ensuite bien géré. Le PSG d’aujourd’hui n’est pas le même qu’il y a deux ou trois saisons, l’ASSE non plus. Lorsqu’on les a battus, il y a trois ans on avait des jambes. L’an dernier on a réussi de bons enchaînements lors des semaines à trois matches sauf contre Paris. Cette saison aussi. Il faudrait pouvoir jouer le lundi. J'ai sorti Valentin Eysseric car il n’avait plus de jambes et Bayal Sall qui souffre des adducteurs."
Défaits 4-1, et on s'en sort bien !
25/10 23:16
Le QSG a surclassé l'ASSE 4-1 ce soir lors du match de clôture de la 11e journée de L1 marqué par la première apparition du jeune milieu de terrain capverdien Erin Pinheiro. L'addition aurait pu être beaucoup plus salée sans les parades décisives de Stéphane Ruffier et le joli but contre son camp de Marco Verratti. Devancé par les vilains à la différence de buts, Sainté reste 5e, avec 2 points de retard sur le 3e (Caen) et 2 points d'avance sur un trio de poursuivants (Nice, Rennes et Monaco)
Galette avait un goût d'inachevé
25/10 21:01
Vous avez raté l'interview de Galette au CFC ? Poteaux Carrés est encore là pour vous !
"Cela fait déjà un peu de temps qu'on n'est plus la bête noire du PSG. On n'a jamais battu le PSG de Laurent Blanc en Ligue 1. Le PSG de Lolo on le rencontre souvent en plus, en championnat, en coupe de la Ligue, en championnat. Je pense que c'est difficile de bouger le PSG. Ce sont des joueurs de manière individuelle supérieurs à tous les autres joueurs de la Ligue 1. Mais de manière collective, dans la densité, je pense qu'on a la capacité de pouvoir gagner des ballons. Franchement, il n'y a rien à perdre ! Le PSG peut ronronner ? Cela n'a jamais été le cas l'année dernière ! Contre nous ils n'ont jamais ronronné. Zlatan nous a marqué 11 buts. Pfff ! S'il avait la bonne idée de ne pas venir au match, s'il avait quelque chose d'autre à faire...
Ce serait prétentieux de dire - même si j'ai lu ça - "oui, je savais que Blaise Matuidi allait se retrouver à ce niveau-là". Je pense qu'à Saint-Etienne il a bien progressé, mais la plus belle progression qu'il a eue, c'est évidemment à Paris, au contact de grands joueurs. Pour vous dire à quel niveau il est, aujourd'hui les joueurs de Paris sont au contact d'un très grand joueur. Stéphane Ruffier a des qualités pour être dans l'effectif parisien. Il pourrait être titulaire. Je pense que Loïc Perrin a aussi les qualités pour être dans cet effectif-là. Stéphane est malheureux dans son rôle de numéro 3 en équipe de France. Un joueur malheureux, dans un effectif, ce n'est pas quelque chose de bien. J'ai cru comprendre qu'il restait à la disposition du sélectionneur, que le sélectionneur savait qu'il était à sa disposition dans un autre rôle.
Le stress du métier me donne des boutons. C'est un très beau métier, où on gagne très bien sa vie, mais c'est pas un métier où vous êtes tranquille dans votre vie. Le stress, la charge de travail, le côté émotionnel... Peut-être qu'on se met plus de pression, il faut faire attention à sa santé. Le plus difficile, c'est de trouver le sommeil quand il y a beaucoup de matches rapprochés. Et Dieu sait que quand on dort bien, on récupère bien, et quand on a récupéré, on est un peu plus lucide. Entraîner le PSG un jour ? Tout entraîneur rêve d'entraîner une grande équipe. Le PSG est une très grande équipe. Rester à l'ASSE, ce ne peut pas être un choix par défaut. Non, ce n'est pas possible ! Il y avait peut-être aussi un goût d'inachevé par arpport à la saison dernière. Cema fait deux ans qu'on est quatrième, cinquième, ex aequo avec Marseille. On a frôlé des places intéressantes. Vivre une épopée européenne serait quelque chose d'extarordinaire. C'est peut-être ce goût d'inachevé qui fait que je suis encore là avec cette belle couleur verte."
Ils ont Lucas Moura, on a Lucas Gourna !
25/10 18:35
Si le QSG peut compter sur son attaquant brésilien Lucas Moura, l'ASSE a signé cette semaine un ANS (Accord de Non Sollicitation) avec le milieu de terrain de Moissy-Sénart Lucas Gourna, né en 2003. Entraîneur des U13 de ce bon club formateur seine-et-marnais, Tarik Draoui nous présente ce garçon très prometteur que convoitaient de nombreux autres clubs pros.
"Personnellement cela fait deux ans que je suis son éducateur, mais ça fait plus longtemps qu'il est au club. Il a été directement surclassé en U13 la saison dernière et cette année c'est le capitaine. C'est un milieu de terrain offensif polyvalent, un très bon relayeur, un récupérateur qui gratte un nombre incalculable de ballons. Lucas a une super vision du jeu et il est très puissant. Il se projette beaucoup vers l'avant. C'est un joueur de box to box. C'est principalement un joueur axial même s'il peut aussi évoluer sur un côté. Pour moi c'est un numéro 6 à la Yaya Touré, c'est une excellent rampe de lancement, un peu dans le style de Thiago Motta au PSG.
Lucas est techniquement au-dessus de la moyenne. Il a une super frappe et un jeu long extraordinaire. Il a de grosses qualités athlétiques. C'est un garçon imposant, qui fait déjà partie des plus grands de l'équipe mais qui n'a pas encore eu son pic de croissance. Son père est un géant, sa mère est très grande aussi. En plus de ses qualités footballistiques, c'est un très bon gamin. C'est un petit vieux ! (rires) Il est déjà très mature pour son âge. C'est rare à cet âge-là mais on avec lui, on a parfois l'impression de parler à un adulte. Ludovic Paradinas le suivait depuis longtemps et Saint-Etienne a plu à Lucas. Je lui souhaite plein de bonnes choses à Sainté !"
Aubame, bim, boum, bam !
25/10 17:58
Auteur d'un triplé il y a trois jours en Europa League, Aubame a récidivé cet après-midi contre Augsbourg, écrasé 5-1. PEA rejoint Robert Lewandowski en tête du classement des buteurs de Bundesliga avec 13 pions en 10 journées. Buteur le plus prolifique en Europe, l'ancien attaquant stéphanois a déjà marqué 20 buts toutes compétitions confondues avec le Borussia depuis le début de saison ! Wow !
Nanard aime Hatem, Ruff, Galette et Koh-Lanta
25/10 14:37
T'as encore raté Téléfoot, où Nanard a fait du Nanard chez Brogniart ? Pas de panique, on a retranscrit les propos du président du conseil de surveillance de l'ASSE !
"On n'a pas à être tendus avant un match contre le Paris Saint-Germain. On n'est beaucoup plus tendus avant un match contre le Gazelec Ajaccio car là on sait qu'on n'a pas le droit à l'erreur. C'est un grand plaisir d'affronter le Paris Saint-Germain. Les joueurs sont là pour jouer ce genre de matches. C'est une grande fête, soyons heureux d'être à Paris au Parc des Princes. Est-ce que je préfère gagner ce soir ou dans deux semaines à Gerland ? Clairement, la réponse est évidente pour un Stéphanois. C'est une évidence, c'est le derby qui est avant tout dans tous les esprits. Les supporters, la première chose qu'ils font quand le calendrier sort, et nous aussi, c'est de regarder quand est le derby.
Moi, j’aime beaucoup Hatem. A 18 ans je l'avais amené, on avait assisté à la Coupe du Monde 2006, on avait vu beaucoup de matches de l'équipe de France ensemble. Il y avait d'ailleurs Karim Benzema qui était là aussi. Hatem a certainement beaucoup changé, ce n'est peut-être plus le même homme. Aujourd'hui il a 28 ans. Il faut des fois une certaine période pour évoluer. Moi j'aimerais l'avoir à Saint-Etienne. Ibra je l'ai trouvé très bon contre le Real lors des trente premières minutes, même meilleur que l'année dernière. Je me suis dit : "tiens, Zlatan il est reparti comme avant !" Moi je pense que ça reste un très grand joueur mais il arrive à 34 ans. A un moment donné, bien évidemment, il faut aussi en prendre compte. Maintenant, c'est un joueur qui a énormément apporté dans notre championnat. Aujourd'hui, il faut dire les choses comme elles sont, que serait le football français si on n'avait pas ce Paris Saint-Germain là, qatari ? L'an prochain, ça fera dix ans que ni en club, ni en sélection nationale, nous ne sommes en finale de Coupe d'Europe ou dans le dernier carré à l'Euro ou en Coupe du Monde. Moi je dis qu'il y a des questions à se poser.
Ruffier ne veut plus être numéro trois chez les Bleus ? Moi je comprends la personnalité de Stéphane, c'est quelqu’un qui est particulièrement droit, honnête et qui a un caractère de franchise comme on en voit peu aujourd’hui. Il a cette capacité à dire son ressenti. D'ailleurs Didier Deschamps l'a parfaitement compris, c'est un peu la mentalité basque. Ce n'est pas définitif mais il y a une sorte de frustration de Stéphane. Dans l'esprit des observateurs et de beaucoup de monde, Stéphane est plutôt dans les deux meilleurs gardiens français minimum que le troisième. Après il y a peut-être une question d’expérience. Mais bon, Lloris ne joue pas la Champions League, Mandanda non plus. Il y a une sorte de frustration. Moi je crois qu'il faut mettre en avant l'honnêteté du garçon. Moi je préfère quelqu'un qui dit ce qu'il ressent plutôt que quelqu'un qui va pour jouer, pour être dans un état d'esprit comme on a pu voir. Moi je sais que Mickaël Landreau a beaucoup critiqué Stéphane mais Mickaël, attention, tu n'avais pas peut-être l'esprit de la même façon, est-ce que tu aurais fait pareil, je ne sais pas. Moi je veux défendre Stéphane même si j'aime beaucoup Mickaël.
Moi je vais vous dire une chose concernant Christophe Galtier. Il y a un attachement. Un attachement affectif. La réussite de l'ASSE est due à cette notion d'aventure humaine. Quand on regarde Koh-Lanta, et je vous félicite pour ce que vous faites à Koh-Lanta, on comprend que s'il n'y a pas ça, cette unité.. L'unité des compagnons de la Coupe de la Ligue, que ce soit Roland Romeyer, Dominique Rocheteau, Christophe, moi… Il y a cette unité, cette dimension affective qui est hyper forte. Le départ de Christophe serait un crève-cœur. Maintenant quand on aime quelqu’un, quand on aime quelqu'un, quand on aime quelqu'un (sic), on veut son bonheur. Si c'est son bonheur, on ne peut pas s'opposer à son bonheur. Après Arsène, Christophe est en Europe l'entraîneur qui est en place depuis le plus longtemps, puisque Klopp est parti de Dortmund, Jesus de Benfica.
Je suis surpris par le début de saison de l'OM. Après, c'est toujours difficile pour un entraîneur qui ne connaît pas notre championnat. Même si c'est un bon entraîneur, notre championnat est particulier, ça met un certain temps. A Marseille il y a eu beaucoup d'arrivées et de départs. Moi je souhaite que l'OM se qualifie en Europa League, je souhaite d'ailleurs que les quatres clubs français y arrivent, ce serait fantastique que les quatres clubs soient présents en février parce qu'on a besoin de ça. Il faut que l'OM revienne et je suis sûr que les Marseillais reviendront dans la course.
Mourinho a des difficultés cette saison à Chelsea. Est-ce qu'en tant que président je le sortirais si je l'avais comme entraîneur ? Il a quand même un actif pour lui avec ce qu'il a réussi les années précédentes. Quand un entraîneur a construit son actif au fil du temps, il y a quand même un niveau de confiance. Il a un droit à l'erreur. Maintenant, à un moment donné, c'est sûr que lorsque les présidents se retrouvent dans la difficulté car le club est en danger, ils sont obligés d'intervenir. On ne sort jamais un entraîneur. L'erreur qui est faite, c'est qu'on croit que c'est le président qui arrête avec l'entraîneur. Non, ce sont les joueurs. A un moment donné, on n'a pas d'autres possibilités."
Tenir un Paris, c'est pas rien !
25/10 10:41
A la lecture des stats que nous balance Opta, une victoire des Verts ce soir au Parc serait un sacré exploit !
- Sainté n’a gagné que 19,1% de ses matches de L1 contre le QSG (13/68, pour 22 nuls et 33 défaites), soit son ratio le plus bas face à un adversaire de l’élite affronté au moins 10 fois.
-L'ASSE est resté muette lors de ses 3 derniers matches contre Paris en Ligue 1, son dernier but datant du 27 octobre 2013 (Romain Hamouma à la 51e).
- Les Verts ont subi la saison passée au Parc leur plus lourde défaite en Ligue 1 au XXIe siècle (5-0).
- Les Parisiens n’ont perdu que 3 de leurs 34 rencontres de L1 à domicile face à Sainté (en 1971/72, 2006/07 et 2012/13), pour 22 victoires et 9 nuls.
- L'ASSE n’a remporté aucun de ses 12 derniers déplacements chez un champion en titre en L1 (2 nuls, 10 défaites), son dernier succès datant du 19 novembre 1999 à Bordeaux (2-1).
- Le QSG n’a perdu aucun de ses 24 derniers matches à domicile en Ligue 1 (19 succès, 5 nuls).
- Zlatan Ibrahimovic a marqué 6 buts lors de ses 3 derniers matches de L1 face à Sainté. Il totalise 7 réalisations face aux Verts, soit sa proie favorite dans l’élite française derrière Bastia (8). Ibra a même marqué 11 buts toutes compétitions confondues contre l'ASSE, sa proie préférée depuis qu’il a rejoint Paris.
Ce n'est pas un gars, Guarin ?
25/10 10:17
Promu capitaine de la Colombie, Fredy Guarin a subi une lourde défaite contre l'Urugay il y a dix jours. A l'issue de ce match des éliminatoires pour la Coupe du Monde 2018, l'ancien Pailladin Carlos Valderrama a vertement taclé l'ex-Stéphanois. "Quand on porte le brassard de capitaine de la sélection, il faut des couilles et Guarin, il n'en a pas ! Il faut un joueur qui parle à ses coéquipiers, un leader qui tire les autres vers le haut. Mais en ce moment, nous ne l'avons pas."
Hutteau pique Feindouno
25/10 09:58
Au chômage depuis son malaise cardiaque avec Lausanne Sport en mai 2014, Pascal Feindouno galère pour retrouver un club. L'ancien artiste guinéen des Verts a donc décidé de confier la gestion de sa fin de carrière à Christophe Hutteau. Sur son compte facebook, l'agent du numéro 10 lituanien des U19 stéphanois Dovydas Virksas se réjouit de cette belle prise de guerre.
"Pascal Feindouno a porté de très nombreux maillots prestigieux comme ceux de Bordeaux, Saint-Étienne, Monaco. Agé de 34 ans, il se trouve pour l'heure sans club, ne souhaite pas raccrocher les crampons et trouver un nouveau challenge ce que nous allons tenter de faire au plus vite. C'est en tout les cas un honneur de compter un joueur qui nous aura fait autant rêver par ses gestes de classe et sa continuelle bonne humeur."
Ruffier apaisé et déterminé
25/10 09:19
Dans la dernière édition du Parisien, Galette et Bahebeck évoquent le cas de Stéphane Ruffier, qui ne veut plus être appelé chez les Bleus comme troisième gardien.
Christophe Galtier : "C'est un joueur qui a beaucoup d'ambition. Cela ne veut pas dire qu'il est prétentieux. Il a envie de jouer au très haut niveau. Pour lui, le très haut niveau, c'est la scène internationale ou la Ligue des Champions. Pour l'atteindre, il faudrait peut-être qu'il ait plus d'exposition. Il évolue aussi à un poste très délicat. Certains très bons gardiens français n'ont pas eu la reconnaissance internationale, comme Sébastien Frey. Depuis l'échange qu'il a eu avec le sélectionneur, j'ai vu une évolution. Je vois un garçon apaisé. Apaisé et déterminé."
Jean-Christophe Bahebeck : "Je ne le vois pas beaucoup. Mais il n'est pas mystérieux non plus. Il est comme il est. C'est quelqu'un de discret. J'ai souvent entendu dire des choses bizarres sur lui mais quand on le connaît, c'est un très bon gars. Ce n'est pas parce qu'il ne parle pas à la presse que ce n'est pas une bonne personne."
Caïazzo cause de Koziello
25/10 08:40
Dans la dernière édition de la Pravda, Nanard regrette que l'ASSE n'ait pas recruté la révélation niçoise Vincent Koziello.
"Avec le 7e ou 8e budget, on est 4e au nombre de points pris sur les 3 dernières années. Et pourtant, on n'est qu'à 50% de notre potentiel. Il existe encore des gisements de progression extrêmement importants. D'abord il y a une prise de conscience forte en interne de la nécessité d'avoir un esprit d'ouverture pour aller voir ce qui se fait de mieux ailleurs. Celui qui a le mieux compris l'importance de toujours innover, c'est Christophe Galtier. J'ai adoré quand il m'a dit : "On a l'impression que si on arrête d'être sur le qui-vive ne serait-ce qu'un mois, on peut être en retard."
Cette culture "recherche et développement" a envahi le centre de formation. Se situe-t-il désormais dans le top 5 français ? C'est discutable. Bravo pour Zouma, Guilavogui, Ghoulam. Mais il nous manque cette capacité des attaquants et des techniciens. Ce n'est pas une critique car tout le monde ici l'a compris. Un jour, je suis allé voir les U19 à Cannes. Un Cannois de 16 ans m'a crevé les yeux. Alors qu'il ne coûtait rien, on a estimé qu'il n'avait pas le profil. Il s'appelle Vincent Koziello et est titulaire à Nice. Il faut être capable de ne pas pratiquer la monoculture en termes de profils et d'avoir aussi une ouverture vers l'étranger. Souvenons-nous de Bauthéac et Pastore...
On est en retard sur Lyon et Marseille dans le marketing et la communication, trop passive. Mathieu Malkany-Giraud, une pointure, arrive le 16 novembre. Il sera au développement commercial ce que Galtier est au sportif. Il a travaillé à l'OL de 2002 à 2009, quand Lyon était un top club. Bordeaux, Rennes et Lille étaient devant nous, on les a grattés. Restent Marseille, Lyon et Monaco. Mais on ne court pas en regardant les autres. Cela altère le jugement. S'ils progressent plus vite, tant mieux. Et si nous, on ne progresse que d'1%, on avance. Le déclic de la Coupe de la Ligue a réussi à sacraliser cette idée : quoi qu'il arrive, on est dans l'aventure humaine.
Le 3e de L1 ne passe pas le cut d'août. Le 2e se retrouve pris dans des perturbations considérables. Mais à un moment, jouer la Ligue des champions deviendra très possible. Il faut toutefois comprendre que le système de points et de têtes de série de l'UEFA revient au classement ATP du tennis. Il protège les plus gros, il te met un handicap qui n'existe pas en L1, et demande du temps pour exister.
L'an passé, notre plus grand adversaire, c'était nous. La Ligue Europa nous a appris à dépasser la charge émotionnelle d'un match et à jouer à notre niveau. J'attends de voir quel club français va gagner chez un finaliste de Coupe d'Europe comme nous l'avons fait jeudi. On ira au Parc pour se faire plaisir et jouer. Après, ça passe ou pas. Pas grave. Le tout, c'est de ne pas avoir de regrets."
Varrault a du répondant
24/10 22:14
Mis dans le vent par Anthony Koura sur l'ouverture du score nimoise cet après-midi aux Costières, l'ancien latéral stéphanois Cédric Varrault s'est rattrapé de la plus belle des façons en marquant le but égalisateur à la 42e minute.
Grâce à ce point du nul, le capitaine du DFCO en profite pour retrouver la tête de la L2. Comptant le même nombre de points et la même différence de buts que l'ASNL de Vincent Hognon et Julien Cétout, Dijon devance en effet Nancy au nombre de buts marqués.
U19 : trop courts chez les Couramiauds
24/10 19:11
Les U19 de l'ASSE ont été tenus en échec par l'équipe une de Saint-Chamond (DHR) cet après-midi lors d'un match amical au stade Antoine Pauze.
Auteurs d'une bonne première mi-temps, les Verts ont logiquement ouvert le score à la 21e minute grâce à une frappe du droit sans contrôle de Baptiste Pesqué, qui a délivré une passe décisive à Dylan Chambost deux minutes après le retour des vestiaires. Les Couramiauds ont réduit le score sur coup franc à la 69e avant d'égaliser à la 83e suite à un mauvais alignement de la défense stéphanoise.
La compo : Vermot (Blachon, 46') - Vogel (Goncalves, 65'), Mahiddine, Barthélémy (Kashale, 46'), Rahmani - Camara, Martin-Pichon, Virksas (Dutreive, 46') - Chambost (Gomis, 65'), Pesqué, Nordin (Lubino, 65').