Secouez ce SCO !

10/09 09:28
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Dans la dernière édition du Courrier de l'Ouest, l'entraîneur angevin Stéphane Moulin se targue d'avoir une équipe invaincue cette saison car difficile à bouger.

 

"C'est toujours intéressant de surfer sur une dynamique d'invincibilité. On n'a pas perdu lors des quatre premières journées. Avec les amicaux contre Braga, Rio Ave, Caen et Châteauroux, ça fait huit matches de suite sans défaite. Même si ce ne sont que des amicaux, on est obligé d'en tenir compte. Ce groupe a ça : il n'est pas facile à battre. Mes joueurs maîtrsient plutôt bien les avant-matchs, et aussi les situations favorables, même si on s'est fait suprendre par Lille sur un exploit individuel. Collectivement, on n'est pas facile à manier. Il y a autre chose : on est revenu deux fois au score, ça me paraît très important. On ne se jette pas, quitte à se faire contrer. On construit nos matches, et dans cette manière de construire, il y a plus de tranquillité. Ce sera à nous de construire ce match à Saint-Etienne pour le gagner."

Larqué, septuagénaire et toujours vert

10/09 08:50
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Jean-Michel Larqué, qui a fêté avant-hier ses 70 ans, replonge dans ses vertes années dans la Pravda du jour. Extraits.

 

"En 1969, je venais d’avoir le diplôme de prof de gym et pendant un mois et demi j’avais encore une licence amateur. Je jouais et j’enseignais. Au lendemain d’un match de Coupe d’Europe, après une petite nuit, je commençais les cours à 8 heures. L’après-midi, j’avais l’ASSU, le foot scolaire. J’avais soixante-dix gamins ! Et à un moment, je m’endors… Peut-être trente secondes. Ce jour-là, je me suis dit : « il faut que tu choisisses ». Je me suis mis en congé sans solde de l’Education nationale et j’ai signé mon premier contrat pro.

 

J'ai eu deux maîtres. Rachid Mekhloufi, quand je suis arrivé à Saint-Etienne, j’avais l’impression que je pouvais de temps en temps faire un peu comme lui… C’était le maître à jouer, le stratège. Plus intelligent que n’importe qui. Un joueur fabuleux et d’une humilité ! Un garçon très fin dans le jeu. Le second, c’est Salif Keita. Et là, je me suis dit : il me régale, mais je ne pourrai jamais le copier. On n’avait pas du tout la même morphologie, pas les mêmes qualités. Salif, c’était plutôt les grands espaces. Je l’ai vu en claquettes et chaussettes, à Lille, pendant la promenade d’avant-match dans la neige. Il n’en avait jamais vu de sa vie. L’après-midi, il s’est baladé sur le terrain enneigé.

 

Ivan Curkovic était le joueur le plus impressionnant par son charisme, son empreinte sur l’équipe. C’est fou comme en parlant peu, en se taisant même, on peut avoir une emprise sur un groupe. Je ne vais pas dire que c’était le gourou, mais ça ne s’explique pas. Il entre dans le vestiaire, dans une pièce, il y a de la présence. Il a beaucoup apporté. C’était quelqu’un d’extrêmement solide. Gérard Migeon était le plus drôle. Un vrai titi parisien qui venait de Palaiseau, un boute-en-train. Ses parents tenaient un routier, il avait grandi dans les bistrots et avait plein d’expressions. Peut-être que celles que j’emploie comme sur les petits ponts (« mettre le grillage », « la prochaine fois tu mettras la soutane »), me viennent de lui.

 

Le moment où je me suis senti le plus fort, c’trait la demi-finale aller de contre le PSV Eindhoven à Geffroy-Guichard. A un moment donné, un des frères Van de Kerkhof est dans la surface. Je suis face à lui. Le premier miracle, c’est que je sois dans la surface. Le second, c’est que je le tacle et que je lui prends la balle proprement. Ce jour-là, plus que le coup franc que j’ai marqué, j’ai réalisé des gestes que je ne savais pas faire. Parfois on a des révélations…. La plus belle équipe dans laquelle j’aie joué, c’est celle de 1970 à égalité avec celle de 1976. La première était plus brillante. La seconde, avec des qualités morales et une force collective très au-dessus de la moyenne. D’ailleurs tous mes amis dans le foot sont des gens de cette équipe.

 

Mon plus beau but, c’est en finale de Coupe de France contre Lens parce que papa Larqué était dans les tribunes du Parc des Princes. J’étais capitaine et je réussis ce geste-là… La balle arrive, je me couche, je tente la volée. Elle part en pleine lucarne sous la transversale. La plus grosse fête d’après-match, c’était dans les vestiaires du Chaudron après le retour contre Split. On avait été tellement balayés là-bas, humiliés… C’était vraiment de la folie. On avait des petites piscines. Même Ivan Curkovic, même Robert Herbin, des gens très sur la retenue, faisaient la fête ! Mon plus grand regret est évidemment la finale de la Coupe d’Europe à Glasgow. Est-ce que ça aurait changé ma vie, notre vie ? Je n’en sais rien…

 

A Saint-Etienne, j’ai eu de grands entraîneurs que je mets tous au même niveau. Jean Snella, c’était l’amoureux du détail, il arrivait à manager un groupe en nous faisant comprendre que certains comme Robert Herbin et Rachid Mekhloufi étaient au-dessus des autres, mais qu’il ne fallait pas en prendre ombrage. Albert Batteux, c’était la pédagogie, il était captivant. Et Robert Herbin, c’était le travail, avec des séances un peu compliquées où on ne touchait pas beaucoup le ballon.

 

Un jour, à Sochaux, sur un terrain très gras, on perd assez nettement. De retour au vestiaire, Robert Herbin me dit : « Jeannot [l’intendant] il va être content pour ton équipement … » Et c’est vrai que par rapport à mes coéquipiers, mon maillot, mes chaussettes et mon short étaient particulièrement propres.  Et Robby me dit : « Tu peux le plier, tu vas mettre le même dimanche prochain. » je n’avais pas mis le bleu de chauffe, je ne m’étais pas battu… Mais pour la première fois, je savais que je serais titulaire le dimanche suivant."

Il y a deux Bryan en Dabo

10/09 07:49
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Avant de défier le SCO, Bryan Dabo se confie dans la dernière édition de la Pravda. Extraits.

 

"Mon père burkinabé est docteur en physique et ma mère sénégalo-malienne est une esthéticienne reconvertie infirmière. Mes parents ne rigolent pas avec les études, j'ai eu mon bac S à 17 ans. J'entretiens une relation rare, un cercle vertueux, avec mes parents et ma soeur cadette, optométriste. Si je gagne, je suis euphorique et ils se chargent de me calmer. Si je perds, Evan, mon fils de quatre ans, est le seul qui arrive à m'apaiser. Ma détermination sur un terrain, où je me mets en mode compétition, peut faire peur. L'adrénaline me galvanise. Cela ne frise pas la schizophrénie mais il y a deux Bryan en moi. J'ai été champion de France cadets de karaté. Ce sport m'a aidé à me canaliser. Je ne suis pas impulsif mais j'ai beaucoup d'énergie et ça va vite dans mon cerveau. Dès que je ne tape pas dans un ballon, je joue de la guitare, de la basse, du saxo et surtout du piano. C'est mon vice, une vraie passion. Cela me permet de m'évader. Je ne vais pas profiter de ma renaissance pour régler mes comptes avec Christophe Galtier. Ce serait de l'ingratitude envers un entraîneur qui a porté le club du bord de la relégation à la Coupe d'Europe. J'ai aussi ma part de responsabilité que je n'ai pas explorée. C'est sans haine ni rancoeur ou esprit de revanche que je mords dans cette nouvelle saison."

U19: Montpellier fait tomber Sainté

09/09 23:56

Charles Abi n'a pu rééditer son exploit de la saison passée.

 

 

Les U19 ont chuté chez le leader Monpelliérains (4 matches pour autant de victoires) cet après-midi sur le score de 1 but à 0.

Le premier quart d'heure fut stéphanois avec en point d'orgue de la domination forézienne un tir croisé d'Alexandre Valbon sauvé sur sa ligne par un latéral héraultais. Ce sont néanmoins les Montpelliérains qui ont ouvert la marque sur une frappe déviée de 22 mètres environ (1-0, 22ème) et ont regagné les vestiaires avec cet avantage.

Dans une deuxième période globalement assez fermée, les Verts ont eu des opportunités de revenir au score avec en particulier deux bonnes frappes de Zinédine Touati dans le dernier quart d'heure. Les Héraultais auraient quant à eux pu aggraver la marque à la suite d'une tête qui a heurté la barre transversale de Nathan Crémillieux.

 

La composition: Crémillieux - Mezaber, Halaimia, Nadé (Mersel, 70ème), Mohamed - Fleury, Fofana, Valbon - Abi, Ghezali, Touati (Bangoura, 85ème).

 

La réaction de Lilian Compan: "Ce fut un match équilibré durant lequel nous avons rivalisé avec Montpellier. Il y a eu des périodes pour nous et des périodes contre nous. On a fait une très grosse entame mais nous n'avons pas su marquer dans le premier quart d'heure malgré deux grosses occasions. Ensuite on prend un but sur une frappe déviée et on n'a pas été capables de revenir. On a affiché une bonne maîtrise par moments, on s'est créé de bonnes opportunités mais on a manqué de présence dans la surface. On a été solides face à une belle équipe de Montpellier qui mérite sa place au classement. Il a à nouveau manqué l'efficacité."

Rudi n'oublie pas Rémy

09/09 23:22
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En conférence de presse relayée par le site Football Club de Marseille, l'entraîneur de l'OM Rudi Garcia a justifié aujourd'hui le prêt de Rémy Cabella à Sainté.

 

"Ce n’est pas que Rémy ne rentrait plus dans mes plans, c’est un très bon joueur, il n’est que prêté, il reviendra à l’OM. J’ai estimé qu’on avait trop de joueurs dans le même style de jeu. Dimitri Payet, Florian Thauvin ou même Maxime Lopez peuvent jouer attaquant de côté ou en numéro 10. Ils ont un peu le même profil, il fallait faire un choix. J’aurai été très content qu’il reste, mais je lui souhaite le meilleur car il le mérite."

Avec Alexandros, sans Alexander

09/09 22:27
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Gabriel Silva étant blessé, Oscar Garcia a logiquement fait appel à Alexandros Katranis dans un groupe de 19 joueurs où figure la dernière recrue Rémy Cabella mais seulement deux défenseurs centraux et trois attaquants...

 

Ruffier, Moulin, Maisonnial - Janko, Perrin, Lacroix, Cheikh Mbengue, Pierre-Gabriel, Katranis - Maïga, Diousse, Selnaes, Dabo, Pajot, Hernani, Cabella - Diony, Bamba, Hamouma.

Yoric craque

09/09 19:19
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Titulaire pour ses débuts en Bundesliga, Yoric Ravet n'est resté que 29 minutes sur le terrain cet après-midi face à son ancien coéquipier Pierre-Emerick Aubameyang lors du match nul et vierge entre Fribourg et Dortmund. L'ex-jeune homme de Berne est devenu en effet le premier joueur de l'histoire du championnat allemand à se faire expluser sur la base de l'arbitrage vidéo pour avoir mis une grosse semelle sur le capitaine du Borussia Marcel Schmelzer.

 

U17 : Besac en prend 9 dans la besace !

09/09 18:40
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Les U17 nationaux ont écrasé le Racing Besançon 9-0 cet après-midi sur le synthétique Georges Bereta.

 

Passeur décisif sur l'ouverture du score de Samy Messili à la 8e minute de jeu, Bilal Benkhedim (photo) a fait le break à la 10e grâce à William Saliba avant de tuer le match dès la 13e sur une offrande de Tyrone Tormin. Grâce à Victor Petit, William Saliba a inscrit le 4e pion à la 27e. Bilal Benkhedim a corsé l'addition à la 36e.

 

Servi par Hugo Bernocolo, Azdine Bellakhdar a marqué le 6e but dès le retour des vestiaires. D'un magistral coup franc direct, Bilal Benkhedim a réalisé le quadruplé à la 65e minute. Tyrone Tormin a ponctué le festival offensif stéphanois en réalisant un doublé. Idéalement servi par Victor Petit à la 83e, il a profité d'un caviar d'Azdine Bellakhdar à la 90e.

 

La compo : Bajic - Tshibuabua, Petit, Saliba - Durivaux (Bernocolo, 30'), Gago, Aymar, Leleux (Bardel, 46') - Benkhedim - Messili 'Bellakhdar, 46'), Tormin.

 

La réaction de Razik Nedder : "Au-delà du résultat, je suis satisfait du contenu. Même si le match était facile, les garçons étaient très fluides dans la circulation de balle et ont fait preuve de beaucoup de rigueur et d'application, ce qui n'est jamais simple à cet âge-là dans ce genre de match à sens unique."

Janko se concentre sur le SCO

09/09 16:09
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Au micro de France Bleu, Saidy Janko évoque la réception du SCO programmée ce dimanche à 15h00.

 

"J'espérais un tel départ c'est sûr mais ça a un peu été une surprise parce qu’avec un nouveau coach, même si tout le monde était motivé, trois victoires à la suite, c'est génial. Après on a joué contre Paris, c'est difficile contre eux même si on aurait pu faire mieux avec d'autres décisions. Maintenant on va poursuivre sur notre lancée ce dimanche. On se concentre sur le prochain match, sur le prochain adversaire, pas sur ce qui vient plus tard. La Ligue 1 est vraiment un championnat difficile, on le voit chaque weekend. Chaque équipe nous rend la tâche compliquée, que ce soit Paris ou une autre équipe. Donc vraiment il faut bosser dur et ce concentrer sur le match qui vient."

Le SCO kiffe Jo

09/09 15:50
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Jonathan Bamba fait l'unanimité au sein du SCO comme l'attestent ces diverses déclarations parues aujourd'hui dans l'édition angevine du quotidien Ouest-France

 

Romain Thomas : "Il était calme et discret. Il s'est fait sa place au fur et à mesure, en prouvant qu'il la méritait sur le terrain. Jo est très tonique, très athlétique et capable de répéter les efforts. Pour un défenseur, ce n'est pas simple de le prendre car il est malin dans ses déplacements."

 

Mehdi Tahrat : "Ses qualités de footballeur se voient tous les week-ends. Jo est exceptionnel ! Il était un peu réservé à Angers mais d'une immense gentillesse. Il est promis à un grand avenir. Il passe des caps de saison en saison et à le potentiel de devenir un maillon mportant à Saint-Etienne."

 

Angelo Fulgini : "Jo est un bon pote, presque un frère. On a écumé ensemble les différentes sélections de jeunes en équipe de France. Je n'ai que des bons souvenirs de lui. C'est une personne en or mais sur le terrain, il se transforme complètement. Il est trop sérieux !"

 

Matéo Pavlovic : "C'était vraiment un bon garçon mais dimanche il faudra se méfier."

Letellier aime Ruffier

09/09 09:50

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Le gardien angevin Alexandre Letellier, qui va découvrir le Chaudron en tant que titulaire, évoque le match de demain après-midi dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. Extraits.

 

"C’est un petit challenge, puisque depuis la remontée du club en Ligue 1, on n’a jamais réussi une série de cinq matches sans défaite. On sait que ça va être difficile, puisque Saint-Étienne est un gros morceau, mais on va là-bas pour essayer de poursuivre cette série. Avec le kop  derrière, il faut rester dans sa bulle. On fait attention en rentrant sur le terrain, quand les équipes se mettent en place on jette un coup d’œil puis on se focalise à nouveau sur le match. Ça va être une sacrée ambiance, ça fait partie de la beauté du football. D’ailleurs, les grosses ambiances nous forcent encore plus à nous concentrer. C’est un mal pour un bien. J'ai toujours apprécié Stéphane Ruffier. Il fait partie des meilleurs gardiens français. Il m’arrive d’ailleurs de regarder comment il se comporte quand il fait des arrêts avec Saint-Étienne. Je ne sais pas si c'est un avantage de recroiser Jonathan Bamba. En tout cas, on est contents de le retrouver, en espérant qu’il ne nous fasse pas trop de misères… Avec Saint-Etienne, il marque, il est décisif. C’est dans la continuité de ce qu’il a fait avec nous l’année dernière. Il montre qu’il a encore progressé."

Oscar vrai fana de Wesley Fofana

09/09 08:43
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Comme nous l'avait révélé le potonaute star99, Wesley Fofana (16 ans) a intégré l'entraînement des pros cette semaine. "On compte beaucoup sur lui, comme sur d’autres. Je n'ai pas écarté Kenny Rocha-Santos mais il y a de la concurrence" déclare Oscar Garcia dans Le Progrès du jour.

 

Pour rappel, le parfait homonyme du rugbyman clermontois fana des Verts a rejoint l'ASSE en 2015 après avoir été champion U15 PACA avec le SC Air Bel, club marseillais dont est issu l'ancien Vert Nabil Ejenavi. Né le 12 décembre 2000, Wesley Fofana est un défenseur central capable d'évoluer également au milieu de terrain. Evoluant avec les U19 depuis la saison dernière, l'international U17 n'a jamais joué avec la réserve.

Cheikh est trop cher

09/09 08:35
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Selon la dernière édition du Progrès, Cheikh Mbengue restera sans doute à l’ASSE au moins jusqu’au mercato d’hiver car son salaire (plus de 80 000 euros) a fait reculer les clubs intéressés. "Oscar Garcia l’aime bien, il ne sera pas écarté du groupe" précise l'Ange Vert dans le quotidien régional.

On a Saliba, on n'aura pas Salibur (10)

09/09 08:27
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Dans la dernière édition du Progrès, Oscar Garcia évoque le transfert avorté du Guingampais Yannis Salibur, que Trabzonspor a tenté vainbement de recruter à la toute fin du mercato turc selon la Pravda du jour.

 

"Nous avons perdu un peu de potentiel offensif avec le départ de deux attaquants pendant le mercato et l’arrivée d’un seul. C’est comme ça. On n’a pas les mêmes moyens que des clubs qui peuvent mettre trois fois plus que nous sur un joueur. Mais avec l’argent disponible, je crois que la cellule recrutement a fait un bon travail."

Sainté, c'est du lourd !

09/09 08:11

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Selon les stats d'Opta relayées aujourd'hui par la Pravda, Sainté a l'effectif le plus lourd du championnat. Avec 79,1 kg de moyenne, les Verts devancent Bordeaux (78,3), Lille (78) et Angers (77,2). Antépénultième, le QSG (73,9) devance les Aiglons (73,6) et Troyes (73,3).

 

Sainté (182,4 cm de moyenne) est 6e au classement de la taille derrière le TFC (183,6), Strasbourg (183,5), Monaco (183,3), Angers (183,3) et Nantes (182,9). Les plus petits sont les Niçois (179,4).

 

L'âge moyen des Verts n'est que de 24 ans et 336 jours, mais huit autres effectifs sont encore plus jeunes, au premier rang desquels on retrouve le LOSC (22 ans et 93 jours), les vilains (23 ans et 74 jours) et les Canaris (23 ans et 316 jours).

 

Cumulant 2242 matches de L1, l'ASSE est le 4e club le plus expérimenté du championnat derrière l'OM (2916), Guingamp (2264) et Montpellier (2301), le LOSC (402) étant bon dernier.

 

Au nombre de matches de C1 de l'ensemble de l'effectif, Sainté (6) ne devance que le LOSC (5), Troyes (3) et Angers (1). Sans surprise, le QSG (652) est premier devant l'OM (362) et Monaco (237).

Rivière n'est plus à sec

08/09 22:54

847 jours après son dernier pion (avec Newcastle contre QPR), Emmanuel Rivière a enfin retrouvé le chemin des filets ce soir lors de son premier match sous les couleurs du FC Metz.

 

 

Las, après avoir égalisé, Manu a raté en début de seconde période une énorme occase de donner l'avantage aux Grenats. L'ancien attaquant stéphanois a été remplacé à la 55e, deux minutes avant le deuxième tournant du match : l'expulsion de Benoit Assou-Ekotto pour un tacle trop appuyé sur Neymar. En supéririté numérique le QSG s'est finalement imposé 5-1 à Saint-Symphorien.

Pas ridicules à Paris (2)

08/09 20:33
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Après Pilou sur notre site, c'est au tour des Chroniques Tactiques de saluer la solidité défensive des Verts au Parc en première mi-temps, extraits vidéo à l'appui.

 

Bouhazama fana de Bamba (2)

08/09 18:21
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A l'origine du prêt concluant de Jonathan Bamba à Angers, le directeur du centre de formation du SCO Abdel Bouhazama se réjouit sur le site de 20 minutes des progrès accomplis par son ancien U19 stéphanois.

 

"Sa carrière aurait selon moi dû décoller après son superbe but contre Nantes en L1. Je me suis souvent demandé pourquoi Saint-Etienne ne lui faisait pas plus confiance. Avec 3 buts et 2 passes décisives en 16 apparitions, Jo s'est relancé lors des cinq mois qu'il a passés chez nous. Chez les jeunes, je ne lui faisais qu’un seul reproche : ne pas être assez décisif. A l’époque, il prenait davantage de plaisir en délivrant des passes, mais là il a pris goût à marquer. Jo arrive à maturité et il sait très bien faire la part des choses. Il me répète tout le temps qu’il kiffe le foot. Regardez-le, il a l’insouciance d’un Mbappé ou d’un Dembélé. Il joue en L1 comme dans un city stade. On n’a pas fini d’entendre parler de lui !"

Moulin nous connaît bien

08/09 18:18

 

En conférence de presse cet après-midi, Stéphane Moulin a démontré qu'il nous avait observé de très près et dresse un tableau très complet du Sainté de Garica :

"C'est une équipe qui est solide, il y a une belle qualité d'ensemble. Donc ce ne sera pas simple. Il y a plus d'intensité dans leur jeu, une solidité défensive qui existait mais qui je trouve s'est accrue et puis un peu plus de vitesse dans l'animation offensive, une équipe très performante en attaque rapide et qui lorsqu'elle ouvre le score sait le conserver avec beaucoup d'enthousiasme, de générosité et de rigueur sur le plan tactique, une équipe qui est capable de jouer très bas, de subir et est capable d'imposer un pressing à l'adversaire. Ils ont plusieurs facettes qui leur permettent d'être performants."

Il s'est par ailleurs penché sur le cas de Jo Bamba :

"Il est dans la continuité de ce qu'il a fait chez nous. Il a franchi un cap chez nous. Toute la confiance qu'il a emmagasinée est primordiale pour un joueur à vocation offensive. Je suis très heureux pour lui, très heureux qu'il réussisse. Je n'en doutais pas avant qu'il vienne chez nous, et je n'en doute surtout pas maintenant qu'il est lancé. Il a trouvé un vrai style, un style très marqué, très à lui. On a toujours espéré le conserver. En vain."

Espérons que que Jo confirme dimanche (15h) tout le bien que son ex-coach dit de lui.

 

Bauthéac des Dogues aux Lions

08/09 17:06
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Après avoir résilié hier son contrat avec le LOSC, Eric Bauthéac a annoncé aujourd'hui sur son compte Instagram sa signature à Brisbane Roar (Australie).

Maïga les crocs

08/09 14:24

 

En conférence de presse ce midi, l'homme qui a malmené Neymar au Parc a affiché une envie prometteuse avant la réception d'Angers :

"Etre footballeur, c'est mon rêve depuis tout petit. C'était aussi le rêve de mon père. J'espère qu'il est fier de moi. Je viens d'un milieu difficile, ça me donne une force. Je travaille deux fois plus pour que le futur soit plus beau que le présent. Le coach me fait confiance. Le plus important c'est de lui rendre la pareille sur le terrain. Sur le terrain il n'y a plus de Neymar. Si en face c'est mon frère et que je dois mettre le pied pour prendre le ballon, je le fais. Le but est de gagner et faire un bon championnat, que je sois sur le terrain ou sur le banc. Je n'ai pas de problème avec ça. Avec tout le respect que j'ai pour Angers, si nous faisons tout ce que l'entraîneur nous demande il n'y a pas d'équipe en face. Il faut attaquer tous les matchs comme une finale, comme le dernier match de notre vie, si nous voulons prendre le plus de points. Nous sommes tous conscients qu'il ne faut rien relâcher. Il y a une bonne ambiance, on a tous envie de travailler."

De son côté Oscar Garcia a confirmé indirectement qu'il avait bien bossé son sujet avant de venir à Sainté : "Je connaissais Habib avant de venir car j'ai vu beaucoup de matchs. Je l'ai aussi vu en équipe nationale."

Bamba veut jouer la prolongation

08/09 12:01

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.. mais part à n'importe quelles conditions, comme le rappelle aujourd'hui son agent Aboubacar Traoré sur le site de 20 Minutes.

 

"J’ai senti que le petit avait eu un déclic dans ce club familial qu’est Angers. Il est revenu à Saint-Etienne très déterminé et il veut cartonner ici. Il y a une volonté commune de prolonger mais chacun défend ses intérêts au niveau contractuel."

Guillou, Guillou, chic !

08/09 07:36

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Redevenu commentateur de la Bundesliga sur beIN Sport, l'ancien latéral stéphanois Patrick Guillou donne son avis sur les Verts dans la dernière édition du Progrès. S'il souligne les débuts réussis d'Oscar Garcia, il n'oublie pas pour autant en chic type de saluer son prédécesseur. Extraits.

 

"J'ai eu de bons échos sur Oscar Garcia lorsqu’il était à Salzburg. Sa philosophie de jeu est séduisante même si elle peut être contraignante dans la durée car elle demande beaucoup d’efforts aux joueurs. Il faut être au top physiquement pour développer le jeu qu’il préconise. Mais quand ça se passe bien, vous pouvez mener 3-0 au bout de 25 minutes. En tout cas, les Verts réussissent un très bon début de saison. On sent que les cartes ont été redistribuées, je vois des joueurs concernés, à l’écoute. Le mercato a joué un rôle important car il a réactivé la concurrence. Maintenant, on verra si le profil des joueurs est adapté à ce que souhaite mettre en place l’entraîneur. Entraîneur, c’est un métier qui use. Si Christophe Galtier a décidé de partir, c’est qu’il avait cette perception des choses. Avec ses joueurs, il a rendu ses lettres de noblesse au club avec un titre. Il l’a remis sur la scène européenne tout en rendant leur fierté aux Stéphanois. C’est énorme."

Gülle gülle Cheikh ? (3)

08/09 07:04
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Cheikh Mbengue devrait rester vert si l’on en croit Dominique Rocheteau qui a avoué jeudi après-midi au Progrès qu’il n’y avait "rien de nouveau" concernant un départ éventuel en Turquie, même s’il voulait croire qu’une "petite chance" demeurait, "le prêt de Tannane s’étant réalisé en quelques heures".

Muchas Garcia (6)

07/09 22:22
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Le site autrichien Sport Report a mis en ligne aujourd'hui une courte interview d'Oscar Garcia.

 

"Mon premier but en tant que joueur du Barça, c'était en Coupe contre l'Atlético Madrid, on avait gagné 6-0. J'avais claqué à cette occasion mon premier pion en pro. Je suis supporter à vie du Barça. Dès l'âge de neuf ans j'ai signé dans ce club et j'y ai passé toute ma carrière. Je me souviens encore de mon premier match avec les Blaugrana, à neuf ans, lors d'un tournoi amical. Yohan Cruyff est le coach qui m'a le plus inspiré c'est lui qui m'a donné ma chance chez les pros. Si je n'avais pas fait carrière dans le foot, je pense que j'aurais été professeur."

SCO ? Pas danger !

07/09 21:44

L'historique des matches disputés contre le SCO Angers montre que l'ASSE apprécie particulièrement cet adversaire.

Sur 26 réceptions à Geoffroy Guichard, 24 matchs ont été disputés dans le cadre de la L1 ou D1 : les Verts l'ont apporté à 14 reprises, ont fait 6 nuls et se sont inclinés à 4 reprises.

Espérons que, dimanche, ils ne feront pas mentir les statistiques.

A ces 56 rencontres, on peut ajouter 2 rencontres amicales qui se sont toutes deux terminées par une victoire de l'ASSE: 5-0 en 1960 et 5-4 en 1968

Yahia retrouve Hognon (2)

07/09 20:21
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Dans L'Est Républicain, Alaeddine Yahia se réjouit d'avoir retrouvé à Nancy son ancien coéquipier stéphanois Vincent Hognon.

 

"Je souhaite aussi plein de belles choses dans ce métier à Vincent Hognon avec lequel j’ai joué à Saint-Etienne. Je savais que Vincent finirait entraîneur. J’aurais pu parier beaucoup là-dessus. Il avait quelque chose en plus dans la rigueur et dans l’analyse des matches. Julien Sablé était comme ça également. La seule chose que je me permets avec Vincent, c’est le tutoiement parce qu’on a joué ensemble. Pour le reste, il y a beaucoup de respect, c’est lui le coach, c’est lui le patron. Je n’attends pas de cadeaux. Si je suis bon, je jouerai. Si je ne suis pas bon, je patienterai et je travaillerai pour faire mieux. Les entraînements ont été de très bonne qualité depuis la nomination de Vincent mais ce n’est pas un changement radical parce qu’il était déjà dans le staff. Vincent a supprimé les mises au vert avant les matches à domicile, c’est une bonne chose. C’est bien de responsabiliser les joueurs. Le gars qui sortirait la veille d’un match, il n’aurait rien compris au métier, il devrait aller plutôt jouer chez les amateurs !"

Oussama à Las Palmas (4)

07/09 20:06

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Présenté officiellement sous ses nouvelles couleurs cet après-midi après avoir passé avec sa succès sa visite médicale, Oussama Tannane s'est brièvement confié en conférence de presse.

 

"Tout le monde m'a dit que Las Palmas est un super club. J'aime la Liga, j'ai toujours voulu jouer en Espagne. J'ai parlé à plusieurs joueurs de l'équipe nationale, et ils m'ont dit que je rejoins une bonne équipe. Je vais progresser dans ce championnat qui valorise les joueurs offensifs comme moi. Je vais me donner à 100% dans mon nouveau club. Je veux marquer des buts et aider mes coéquipiers. J'aime jouer en attaque, excentré droit ou au milieu de terrain. En France, les équipes sont plus défensives. Saint-Étienne est un super club, mais Las Palmas l'est tout autant."

 

Directeur sportif de l'actuelle lanterne rouge de la Liga, Toni Cruz se réjouit de l'arrivée de l'ancien numéro 10 des Verts. "On suivait le joueur depuis cinq mois, son agent était déjà venu en avril. Oussama Tannane est un joueur offensif, polyvalent, c'est une bonne pioche. Si nous décidons de lever son option d'achat à la fin de la saison, nous l'engagerons pour quatre saisons supplémentaires."

SCO ? Danger !

07/09 15:39

 

Sur le papier la réception du SCO d'Angers n'effraie pas particulièrement le supporter vert. Angers, c'est d'abord l'un des plus faibles budgets de Ligue 1.
C'est aussi une image de promu qui colle à la peau du club, même si les hommes de Moulin ont eu le talent de se maintenir sans trembler deux saisons de suite.
Enfin Angers, malgré sa solidité, c'est deux défaites la saison dernière face aux Galette boys (à chaque fois 2-1) et aucune victoire dans le chaudron sur ses dix derniers déplacements (8 victoires, 2 nuls).

Bref vu de loin, Angers c'est sans danger pour Sainté.

Vu de loin. Mais à y regarder de plus près, Garcia et ses troupes ont tout à craindre de leur adversaire de dimanche.
D'abord parce que le club de Stéphane Moulin est invaincu depuis le début du championnat et a su notamment tenir tête à Bordeaux, Lille et Marseille au Vélodrome.

Ensuite parce qu'à la sortie de la première trève internationale de la saison, Angers a l'avantage d'être quasi au complet et de ne déplorer aucun forfait majeur et récent.
Seul Ketkeophompone, victime d'une rupture des croisés et qui reprend seulement l'entraînement, n'est pas encore disponible. Pour le reste, RAS dans le groupe qui ne comptait que trois sélectionnés importants pendant cette trève : le Malien Coulibaly (4 matchs cette saison), le Sénégalais Ciss (aucun match) et l'international espoir Français Fulgini (4 matchs aussi).

 
Enfin parce que les départs majeurs de cet été (Pepe, Bamba, Diedhiou, Ndoye) semblent avoir bien été digérés et compensés avec les arrivées (Enzo Crivelli et Baptiste Guillaume déja buteurs) et l'éblouissante forme d'un Mangani libéré par sa prolongation de contrat.

Bref, une 4ème victoire dimanche, sans être un exploit, serait une vraie belle preuve que Sainté est à prendre très au sérieux cette saison.

Curko fier d'être Français

07/09 15:22

 

Dans une longue interview accordée à SoFoot, Ivan Curkovic prend le temps de revenir sur des sujets divers et variés. Extraits.

 

Sur les Verts : "On a disputé des matchs exceptionnels à partir de Split en Coupe d'Europe. On a renversé une situation incroyable. La France a commencé à vibrer. Saint-Étienne l’a rendu fière. La fierté, c’est le plus important pour une nation. La France était fière de son football et de ses jeunes joueurs issus du cru entourés de quelques cadres. Saint-Étienne est devenu une sorte d’équipe de France où les joueurs étaient clairement identifiés. Tout le monde a commencé à nous supporter."

 

Sur la confrontation face à Kiev : "Un froid de canard, une ambiance glaciale. C’était compliqué. Même avec toute mon expérience, je ne connaissais rien de cette équipe, mais elle possédait de grands joueurs et surtout un grand entraîneur : Lobanovski. Cette équipe était capable d’apprendre et de reproduire des actions par cœur. Lorsqu’on a marqué le troisième but au match retour, j’ai commencé à trembler parce que je me disais qu’ils allaient pousser. Je n’étais pas sûr qu’on pourrait préserver le résultat."

 

Sur l'école des gardiens yougoslaves : "Elle était très solide et de très grande qualité grâce au travail spécifique. J’ai amené ce savoir-faire en France. Je l’ai partagé avec Herbin et Monsieur Boulogne à Vichy, ensuite, lorsque je me suis occupé des jeunes. Kovač, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France, m’a appelé aussi plusieurs fois pour que je vienne travailler avec lui. Sans travail spécifique, le gardien de but n’existe pas."

 

Sur sa place dans le groupe : "J’aime le travail bien fait. Sans travail, vous ne pouvez pas progresser. Footballeur c’est un travail, un métier très sérieux, exigeant. À Saint-Étienne avec une jeune équipe, j’ai simplement imposé quelque chose, en accord avec mon entraîneur qui était aussi quelqu’un de très exigeant. Le président Roger Rocher l’était aussi, les mineurs de Saint-Étienne également, donc je m’entendais naturellement avec eux. Sans fausse modestie, je pense que mes jeunes coéquipiers ont beaucoup appris grâce au travail que j’ai apporté."

 

Sur son lien avec la France : "Lorsque je suis arrivé à Saint-Étienne, je ne parlais pas un mot de français. Lors de mon premier stage, j’ai partagé ma chambre avec mon très cher ami Aimé Jacquet. C’était mon premier professeur de français. Il était patient, pédagogue. On garde un contact très fraternel.

Durant ma carrière, j’ai refusé de prendre la nationalité française alors que l’équipe aurait pu, grâce à cela, recruter un étranger de plus. Je tenais à rester yougoslave. En 1982, le président Mitterrand m’a donné la nationalité française par décret et pour service rendu. J’ai accepté car la France est toujours restée dans mon cœur, c’est ma deuxième patrie, je m’y sens chez moi. Avoir la nationalité française est un grand honneur, j’en suis très fier."

 

Sur sa gestion des matchs et des après matchs : "J’étais assez nerveux pendant les matchs. J’étais quelqu’un qui parlait beaucoup, replaçait, dirigeait mes partenaires. Je préférais rentrer à la maison voir ma femme, boire du thé. Je ne pouvais pas dormir tout de suite. Je n’étais pas prêt à sortir."

 

Sur son départ à la retraite : "Quand j’ai disputé mon dernier match, je savais qu’il n’y en aurait plus derrière. Les matchs, les entraînements, tous les gestes à répéter, j’en avais un peu marre à la fin."

 

 

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