Saliba et Bajic aux Jeux Olympiques ?

14/09 18:28

Composée de joueurs nés le 1er janvier 2001 ou après (plus trois sans limite d’âge), une équipe de France de football participera aux Jeux Olympiques de Paris 2024, sachant que certains matches du tournoi se dérouleront dans le Chaudron. Sur son site internet, la FFF cite photos à l'appui deux joueurs stéphanois parmi "les candidats potentiels à ces J.O. comptant au moins six sélections en catégories de jeunes à ce jour, sans présager de leur progression, ni de l’avènement de générations futures" : le gardien Stefan Bajic et le défenseur central William Saliba

 

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Pour rappel, trois anciens Verts ont remporté les J.O. de Los Angeles en 1984 : Albert Rust, Jean-Louis Zanon et Patrice Garande.

 

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Gabriel Silva mieux (2)

14/09 18:09
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S'il va mieux, Gabriel Silva n'est pas encore sûr d'être du voyage à Dijon selon Oscar Garcia, qui a confirmé en conférence de presse le forfait de Romain Hamouma annoncé par Le Progrès.

 

"Nous verrons demain si Gabriel Silva peut jouer ce week-end. Ce ne sera pas le cas de Romain Hamouma. J'ai revu trois fois notre match contre Angers. Nous avons bien joué durant un long moment. Mais il y a bien sûr des secteurs perfectibles.Ole Selnaes avait joué avec son équipe nationale. Il était très fatigué. Je comprends que de l'extérieur, on se questionne, mais un coach doit penser à beaucoup de paramètres. Je crois que nous pouvons être contents de notre bilan comptable après avoir joué Nice, Paris, changer d'entraîneur.. Rémy Cabella a été très bon contre Angers. Mais le plus dur c'est le second match, pas le premier. Le DFCO est une équipe très forte à domicile. Ils ont amélioré leur équipe, ce sera beaucoup plus difficile que le match amical. C'est vrai que nous n'avons pas beaucoup d'attaquants après la blessure de Romain Hamouma. Alexander Söderlund s'entraine avec nous et pourra peut-être jouer."

Le DFCO veut montrer les crocs

14/09 15:30
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L'entraîneur dijonnais Olivier D'Allogio a évoqué la réception des Verts à la mi-journée en conférence de presse

 

"Cédric Varrault s’entraîne avec un masque. On va voir car il y a quand même une petite appréhension. Ça peut se comprendre. On prendra une décision vendredi. On a bien regardé le match de Caen, surtout la deuxième mi-temps qui était pauvre. On a dit ce qu’il y avait à dire là-dessus et on s’est tourné de suite vers le match de Saint-Etienne. On a bien travaillé cette semaine. Je n’ai pas ressenti quelque chose de lourd dans les têtes… Les joueurs étaient plutôt vifs et guerriers. On s’est vite tourné vers le match de Saint-Etienne. Il va falloir mettre de l’agressivité, montrer les dents. On a travaillé en mode guerrier cette semaine.

 

A Caen, certains garçons étaient en difficulté sur les duels et dans la relance, ce qui a permis à l’adversaire de revenir nous titiller trop de fois. On a pointé du doigt ces lacunes et travaillé là-dessus. Il faut rectifier rapidement. On ne peut pas avoir autant de lacunes pour pouvoir espérer gagner un match. Les Verts nous ont bien reçu en amical. C’est une équipe bien organisée et athlétique, donc on se doit de répondre à ce défi physique. Je compte bien là-dessus. Je pense qu’il faut savoir se souvenir des claques que tu prends dans la gueule… Et savoir réagir. On verra si on aura du caractère.

 

Comme il le disait, Loïs Diony revient « dans son jardin ». Maintenant, ce n’est plus son jardin, il l’a quitté. C’est un joueur qui nous a apporté beaucoup la saison dernière. Il est puissant. Actuellement, il ne joue pas tous les matchs, la concurrence est certainement plus importante. On verra s’il accepte ou pas cette concurrence, mais ça ne peut que le faire grandir. On sera copains avant, et après on est moins copains. J’espère que mes joueurs sauront s’en souvenir. C’est un avantage de bien le connaître. Il nous connaît aussi, ça fait partie du jeu… Mais je vais peut-être aussi changer mes principes…

 

Quand on voit les matchs compliqués qui suivent derrière (Lyon, Strasbourg, PSG), ce match contre Saint-Etienne est très important. Comme on le dit depuis le début, le niveau de la Ligue 1 a augmenté. Le championnat est monté d’un cran, donc on doit monter aussi si on veut suivre le rythme. Concurrencer une équipe comme Saint-Etienne, chez nous, c’est obligatoire. Il faut qu’on arrive à faire des exploits, plus régulièrement. Dès que tu peux engranger des points, il faut tout prendre. Saint-Etienne, c’est un match essentiel qui peut servir de référence.

 

Il y a la place pour accrocher cette équipe stéphanoise. De l’extérieur, quand on les analyse, ils dégagent une certaine force, une certaine organisation. Comme toute équipe, il y a aussi des failles. On l’a encore vu lors du dernier match contre Angers où c’est leur gardien et les montants qui sauvent l’affaire. Pour moi, il y a quelque chose à faire ce week-end. Il ne faudra pas se poser 3 millions de questions et bien entrer dans le match."

Carvalho ne lâche pas Roro (8)

14/09 12:40
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Mis en cause par Adao Carvalho dans la Pravda, Roro lui répond dans un communiqué paru en fin de matinée sur le site officiel

 

"Les propos tenus ce jour dans L’Equipe par Monsieur Adao Carvalho m’obligent à nouveau à dénoncer les agissements de ce dernier qui n’ont pour seul objectif que de porter atteinte au club. Je rappelle que Monsieur Adao Carvalho a été définitivement condamné en 2014 à une lourde peine de prison et d’amende pour des faits d’abus de biens sociaux. En outre, il doit comparaître, cet après-midi, devant le tribunal correctionnel de Saint-Etienne, à l’initiative du Procureur de la République, pour des nouveaux faits de recel de blanchiment.

Il appartiendra à la justice de trancher. Néanmoins, chacun comprendra qu’au regard du passé judiciaire qui est le sien et des poursuites pénales dont il fait à nouveau l’objet, les propos calomnieux de Monsieur Adao Carvalho ne visent qu’à masquer sa propre turpitude. Ils sont d’autant plus inacceptables qu’ils émanent d’une personne interdite de gérer à vie. Pour ma part, animé par la seule volonté de défendre les intérêts de l’AS Saint-Etienne, je ne cèderai jamais aux pressions de quiconque qui tenterait d’extorquer de l’argent au club et à ses dirigeants."

Les Verts inaugurent une nouvelle tribune à GG

14/09 11:29

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5a/Gaston_G%C3%A9rard_1932.jpg/220px-Gaston_G%C3%A9rard_1932.jpg

 

A l'occasion du match entre Dijon et Sainté, les joyeux enfants de la Bourgogne inaugureront la nouvelle Tribune Est de leur GG à eux, qui sera notamment ouverte à la visite dans le cadre des Journées du Patrimoine.

 

Rappelons au passage que ce sera la quatrième fois seulement, que les Verts tenteront, à Montmuzard, de ne pas finir façon poulet de Madame. Jusqu'à présent, cela s'est plutôt bien passé : 2 victoires en L1, pour une unique élimination en coupe de France il y a bientôt 14 ans de cela, à la suite d'une série de tirs aux buts cataclysmique.

Mogi a agi (2)

14/09 10:32
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Dans un entretien accordé à Sport Voetbalmagazine, le directeur sportif d'Anderlecht Herman Van Holsbeeck revient sur le rôle joué par Mogi Bayat dans le prêt de Robert Beric chez les Mauves.

 

"Il n'est pas décisionnaire, il fait ce que lui demande les dirigeants. Affirmer que Mogi détermine la politique de transfert du club est un non sens. J'ai lu que Robert Beric nous avait été offert. Ce n'est pas vrai. Weiler voulait Beric et j'ai demandé à Mogi qu'elle était s asituation à Saint-Etienne. Cinq minutes plus tard, je savais tout : si un transfert était possible et combien ça coûtait. Mogi a un réseau impressionnant et il est réactif."

Un groupe plein d'envie selon Paganelli

14/09 08:45
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Dans la dernière édition du Bien Public, Laurent Paganelli donne son avis sur les Verts de cette saison. Extraits.

 

"Je conserve beaucoup d’affection pour Saint-Étienne. Quand on a joué à Saint-Étienne, on est Vert à vie. J'ai plus ou moins découvert cette nouvelle équipe stéphanoise face à Paris. Il y avait besoin d’un renouveau. C’est un groupe plein d’envie, de passion, qui a envie de renverser des montagnes. Ils ont beaucoup travaillé : sur le plan physique, c’est une équipe au top. C’est intéressant. C’est une équipe qui s’est bâtie sur des valeurs un peu différentes de la saison dernière, mais c’est un groupe vraiment compact, qui va vite devant, qui a beaucoup d’énergie. Comment situer les Verts cette année ? Au classement, je ne sais pas. Mais je les situerais un peu comme le Nantes de la deuxième partie de saison dernière. Sur le potentiel, c’est une équipe qui peut se situer entre le 10 et le 5, je dirais. Après, je ne sais pas : ils peuvent descendre comme être champions. Je ne suis pas à une connerie près."

RPG assume son péché

14/09 08:33
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Dimanche dernier, on n'a pas vu la main de Dieu mais celle de son archange Pierre-Gabriel. Dans Le Progrès du jour, Ronaël assume son péché et compte se rédimer. Extraits.

 

"C’est une erreur de jeunesse. Je l’assume complètement. Des erreurs, j’en ferai encore mais, au moins, cela va me permettre d’apprendre et de gagner en maturité. Il y a de la déception, ça forge le mental. Je saute. Comme je perds le ballon de vue, j’essaie de me retourner. J’étais dans mon élan, ma main était en l’air et c’est là que je touche le ballon. L'arbitre m'a demandé si c'était volontaire, je lui ai répondu que non. Si ça l’avait été, il m’a dit qu’il m’aurait mis le carton rouge au lieu d’un jaune.

 

Le staff m’a dit que ce sont des choses qui pouvaient arriver et qu’il ne fallait pas que je baisse la tête. Que je devais continuer de travailler au quotidien pour essayer de jouer le plus possible. Mes partenaires ne m’ont rien dit à la mi-temps. C’est plus, à la fin du match, qu’ils m’ont chambré. Je le prends bien. À la fin de la rencontre, bien sûr, j’avais des regrets. On n’a pas pris d’autre but après ce penalty stupide. On aurait donc pu obtenir les trois points.

 

Je dois m'améliorer sur le plan technique et tactique aussi même si je pense avoir fait des progrès dans ce domaine. Je dois également travailler l’endurance. Le staff m’y incite. Deux fois par semaine, je fais un travail supplémentaire, je cours. C’est important pour le haut-niveau car on demande au latéral moderne de défendre mais aussi d’être un contre-attaquant. Je suis sous contrat avec l’ASSE jusqu’en 2020 et je compte bien y rester jusqu’à cette date. Le plus important, c’est le club. On verra par la suite."

 

Carvalho ne lâche pas Roro (7)

14/09 08:02
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Avant d'être jugé cet après-midi par le tribunal correctionnel de Saint-Etienne, le sulfureux Adao Carvalho s'est confié à la Pravda. Extraits.

 

"Le parquet estime que l'argent que j'ai investi dans le club a servi pour le blanchiment de capitaux issus de fraudes à l'URSSAF. Or, je n'ai pas été condamné pour ce motif et d'après Me Buffart, mon conseil, je ne peux pas être jugé deux fois pour la même affaire. J'ai investi dans le club, pas pour blanchir de l'argent mais par passion. Pour ce faire, nous avons créé Croissance Foot, avec Romeyer. Chacun a mis 218 148€ et détient indirectement 22% des parts sociales du club, à égalité avec Cesse Foot, la société de Bernard Caïazzo. J'ai ensuite rajouté seul 1 031 852€ sur le compte courant de Croissance Foot, puis 168 000€, en 2006. Cet argent est remonté au club, qui se trouvait alors en difficulté financière.

 

L'article 4 du pacte d'associés signé le 24 février 2005 avec Romeyer prévoyait que le compte courant ne serait pas rémunéré jusqu'au 1er janvier 2009. Depuis, chaque partie peut demander son remboursement. C'est ce que je réclame, plus 157 680€ d'intérêts couvrant la période 2009-2017. Si cette dette n'est pas honorée, je porterai plainte devant le tribunal de commerce pour que Croissance Foot soit mise en cessation de paiement. Et si c'est le cas, l'ASSE se retrouvera en difficulté. Le club me doit cet argent. D'ailleurs, je ne sais pas à quoi il a servi. À qui appartient l'ASSE aujourd'hui ?C'est tout le problème. Mes parts ont été saisies le 23 septembre 2016. Mais j'ai interjeté appel et il est suspensif. La cour d'appel de Lyon décidera, le 21 septembre.

 

Une augmentation de capital nécessite l'accord de 75% des votes d'une assemblée générale extraordinaire de la SASP ASSE Loire. En vertu d'un autre pacte d'associés que nous avons signé tous les trois, ils n'y parviendront pas sans mon accord. Les statuts prévoient également qu'un président de la SASP ASSE Loire ne peut pas le rester au-delà de ses soixante-dix ans. Romeyer devrait donc avoir quitté la tête du directoire depuis deux ans. Ils ont fait quoi, comme magouilles, pour qu'il y reste ? Ils ont dû modifier les statuts dans mon dos.

 

Je suis parti dans toute la France avec l'avion des joueurs et Romeyer, en 2005. Ils racontent tout le temps qu'ils sont partis ensemble avec Caïazzo en séminaire à Barceloneet qu'ils ont pique-niqué au retour sur une aire de repos près de Valence ! Mais qui conduisait la voiture ? Qui est allé acheter le pain et la charcuterie pour casser la croûte ? C'est Adao Carvalho. Et après, qui a demandé à me rencontrer en secret à Saint-Jean-Bonnefonds dans les bureaux de Jean-Marc Barsotti au sujet de la vente de mes parts, le 8 avril 2016 ? Romeyer. Demandez à Alain Martin, le maire de Le Pouzin, si ce n'est pas vrai. Il a assisté à la réunion comme administrateur du club. Romeyer a peur de perdre son fauteuil de président. Il l'a obtenu en utilisant mes parts.

 

À mes yeux, Romeyer est donc un président illégitime. Si je récupère mes droits sur mes parts, il se retrouvera en minorité au conseil d'administration. Même avec la voix de l'association, dont son ami Barsotti est, comme par hasard, devenu le président en avril. Je n'ai pas l'intention de prendre un rôle dans le club tant que ant que Caïazzo et Romeyer y seront. Après, y revenir avec un repreneur qui veuille bien de mes services, ce serait avec plaisir. Mais ce que je veux avant tout, c'est vendre mes parts. Elles m'ont coûté 1 418 000€ au total. Romeyer sait qu'elles valent 10 M€ aujourd'hui. C'est aussi pour ça qu'il veut se les approprier."

Le petit Suisse a de la matière grise

13/09 23:03

 

Outre le fait de parler 8 langues (portugais, créole, français, allemand, italien, anglais, espagnol et chinois), de voyager beaucoup (Sion, Manchester City, ASSE, Chievo Vérone, Leicester, Udinese, Sporting Portugal, Fribourg, Rennes, Francfort), Gelson Fernandes (vert durant la saison 2009-2010) envisage déjà sa reconversion professionnelle.

Le nouvelliste, journal valaisan, nous apprend qu'il vient d'obtenir à l'Université de Lyon, un diplôme lui permettant de devenir directeur général ou secrétaire général d'un club, d'une fédération ou d'une association.

Verheyden aidait un vert

13/09 22:35
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Avocate de Teddy Riner, Martin Fourcade, Renaud Lavillenie et Kévin Mayer, Delphine Verheyden vient de gérer le colossal transfert de Kylian Mbappé au QSG. La Pravda nous apprend qu'elle s'est également occupée d'un ancien Vert décidément difficile à gérer.

 

"Bien avant Mbappé, elle a eu affaire à un autre footballeur, le Niçois Allan Saint-Maximin. Le gamin arrive dans son cabinet dès l'âge de dix ans (« mon record »). Elle décide de l'assister gratuitement jusqu'à ce qu'il soit majeur ou professionnel. À seize ans, il signe son premier contrat pro à l'AS Saint-Étienne, et là... «Quasiment à partir de ce moment, il fait tout l'inverse de ce que je lui dis. C'est l'une des seules fois où j'ai dit stop à un client.» Elle lui avait conseillé de prendre un agent. Il a choisi Jean-Pierre Bernès avant de le plaquer au bout d'un an. «Bernès a toujours cru que c'était de mon fait», sourit Verheyden. Elle ne veut pas se mettre à dos les agents, mais elle leur a consacré un ouvrage et elle ne se gêne pas pour dire qu'à un certain niveau de performance le sportif n'en a pas besoin. Ceux qui ont rêvé de travailler avec Mbappé apprécieront... «Tous les avocats qui s'occupent de sportifs se mettent les agents à dos. À tort», relativise son confrère Didier Domat, avocat, entre autres, de Tony Parker et Mathieu Valbuena."

Carvalho ne lâche pas Roro (6)

13/09 19:56
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Alors qu'Adao Carvalho sera jugé ce jeudi après-midi devant le tribunal correctionnel de Saint-Etienne pour "recel d’abus de biens sociaux et tentative de blanchiment.", l'avocat de Roro, Maître Nicolas Bes (photo) a évoqué aujourd'hui cette ténébreuse affaire sur les ondes de Radio Scoop.

 

"Monsieur Carvalho raconte à tout le monde depuis des années qu'il est associé aux holdings de tête du club, ce qui est complètement faux. Monsieur Carvalho n'a jamais été associé à titre personnel dans les sociétés concernées. C'est un fantasme de sa part. Il essaye de le faire dire et juger, il n'y arrive pas et ce faisant, le procureur de la République a estimé qu'il commettait un délit de blanchiment. Nous ne pouvons que supporter ces vicissitudes, on n'est que spectateur et très loin du sportif et de l'ASSE. Pourquoi Monsieur Carvalho n'a pas encore purgé sa peine ? Il faudra poser la question au procureur de la République. Mais je crois savoir qu'il devrait la purger rapidement. Il n'y a pas de lien particulier entre Roland Romeyer et Adao Carvalho, pas plus que ça. C'est une déception, ce sont des questions de rencontres. Monsieur Carvalho s'est avéré après qu'il a été présenté à Monsieur Roland Romeyer dans les années 2004-2005 un personnage tout à fait différent de celui qui s'était présenté et un homme d'affaires peu recommandable.

 

Le club n'a pas à racheter "ses parts" comme disent les médias tout simplement car il n'a pas de parts C'est un fantasme. Personne ne veut entendre ça. Monsieur Carvalho n'a pas de part, il n'en a jamais eue. Monsieur Carvalho n'est pas associé de Monsieur Romeyer, ni actionnaire d'une quelconque société holding du club.L'ASSE n'est pas du tout concernée par le procès de demain. Nous sommes tous un peu fatigués des déclarations intempestives de Monsieur Carvalho qui utilise la presse et les médias comme un porte-voix pour mettre la pression sur tout le monde. C'est la lassitude qui domine à la veille de ce procès. Monsieur Carvalho a commis un délit que je trouve extrêment grave : essayer de s'accaparer le produit d'un abus de bien social et tirer profit de choses qui ne le concernent pas et ne lui appartiennent pas. Il n'a pas investi un centime d'euro dans l'ASSE. Jamais. L'état d'esprit de Roland Romeyer ? La lassitude..."

Haddadi attend Diony

13/09 18:50
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International tunisien, le défenseur dijonnais Oussama Haddadi évoque la réception des Verts dans la dernière édition du Bien Public. Extraits.

 

"Cette saison, on a encaissé beaucoup de buts (2,4 buts de moyenne par match) et on n'a pas encore réussi à conserver inviolée la cage de Baptiste Reynet. C’est dur mentalement quand on est défenseur. Dans le groupe, on sent qu’on doit faire mieux. Il faut bosser, progresser, être plus concentré, plus agressif… Mais il ne faut pas oublier que le championnat est encore long et qu’on a joué que cinq matches. Samedi, on va retrouver Loïs Diony. C’est notre pote, mais sur le terrain, il n’y aura plus de copains car on va défendre le maillot du DFCO. C’est un joueur puissant, malin devant le but, il ne faut pas qu’il touche trop le ballon. Il n’aime pas trop le contact, on n’hésitera pas à lui rentrer dedans. J’espère qu’il marquera, mais le match d’après."

Villa et les Chinois reluquent Oscar Garcia

13/09 18:30
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Selon le site espagnol Sport, Aston Villa a récemment recontacté les agents d'Oscar Garcia, Steve Bruce étant sur la sellette. Félicité par Nasser Al-Khelaïfi à l'issue du bon match des Verts au Parc, l'entraîneur stéphanois a appris à cette occasion que deux clubs chinois le courtisaient.

Les poteaux carrés sont notre Joconde !

13/09 17:10
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Ils ne nous ont pas souri le 12 mai 1976 mais les poteaux carrés de Glasgow sont comparés à La Joconde par le site Sonovision, qui met aujourd'hui à l'honneur la technologie du musée des Verts.

 

"Au musée des Verts de Saint-Etienne, qui a ouvert ses portes en décembre 2013 dans l’enceinte du stade Geoffroy-Guichard, l’audiovisuel tient une bonne place, sous forme d’écrans et d’autres visuels fournis par Audio Soft, également en charge du hardware (Openscop pour le software) des bornes interactives et des jeux.

 

La scénographie en a été confiée à l’agence Les Charrons (Pierre-Yves Guillot, Charlotte Soubeyrand). « Nous avons imaginé un système de cartels interactifs (dalles tactiles réparties dans les sept espaces d’exposition), avec plusieurs niveaux d’information, pour ne pas avoir un livre sur les murs ; ce qui, avec près d’un siècle d’histoire à égrener, aurait été insupportable », souligne le premier.

 

Un diaporama de 4,60 m x 0,70 m, d’une résolution de 3 840 x 2 160 pixels, se déployant sur quatre écrans Led Samsung sans bord et montrant un nuage composé des portraits dynamiques des joueurs, dirigeants, entraîneurs d’hier et d’aujourd’hui, accueille le visiteur.

 

À l’autre bout du musée, ce dernier accède à un espace où il n’a d’yeux que pour elle : la Mercedes d’Ivan Curkovic. Grâce à un morphing, la vidéo épouse les dimensions du pare-brise où sont rejouées en boucle une interview d’époque de « Curko », la descente des Champs-Élysées…

 

Le musée a même sa « Joconde » : les fameux poteaux carrés d’Hampden Park (Glasgow), théâtre de la finale contre le Bayern de Munich en 1976. Fixés au mur, ceux-ci encadrent une scénographie sur l’épopée européenne des Verts, composée de différents objets liés à celle-ci et d’une projection en boucle (14 minutes) sur panneau mobile. L’installation met à contribution quatre vidéoprojecteurs et un logiciel Vioso Anyblend permettant de recréer une seule et même image sans distinction des différentes sources vidéo.

 

Au terme du parcours, un spectacle en relief raconte l’évolution du stade Geoffroy-Guichard à travers des maquettes visibles sans lunettes, grâce à un moniteur auto-stéréoscopique Alioscopy de 42 pouces.

 

Sur les dix-sept vidéoprojecteurs du musée (dont douze Casio XJST155), cinq Vivitek D791ST ont été choisis pour leur très courte focale afin que, dans le cas d’une interaction, le bras du visiteur n’occulte pas le cône de vision. La partie tactile, elle, est assurée par des dalles à technologie capacitive, « moins sensibles que les résistives aux rayures et déchirements, et dont la perception du toucher est comparable à celle d’un iPhone ou d’un iPad », vante Marc Billois, gérant d’Audio Soft.

 

Enfin, le musée utilise des lecteurs HD statiques BrightSign pour les vidéos et des ordinateurs Raspberry pour les cartels interactifs dont la gestion est centralisée. Toutefois, « les appareils sont indépendants et, en cas de panne du serveur, chacun joue ce qu’il a en stock », signale Pierre-Yves Guillot.

 

Compte tenu de sa densité (500 m2 seulement sont ouverts au public), le musée des Verts a banni, sauf exceptions, le son libre et opté pour un audioguidage automatique et transparent pour le public.

 

Trente-quatre boucles magnétiques, fournies par l’allemand Soundgarden et intégrées dans le sol ou dans le mobilier, couvrent des zones bien définies. Ainsi, si le visiteur, muni de l’un des 200 audioguides bilingues (français et anglais) disponibles à l’entrée (plus des colliers à induction pour les malentendants), se trouve dans la zone de l’écran 1, il aura le son de l’écran 1. S’il se retourne et s’approche de l’écran 2, il aura celui de l’écran 2. Et il en sera de même s’il prend une projection en cours, avec une synchronisation parfaite entre l’image et le son. « Chaque boucle est connectée au media-player ou à l’ordinateur et émet en même temps que la vidéo son timecode », éclaire Pierre-Yves Guillot."

Aubame avait failli filer à l'anglaise !

13/09 15:28
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Avant de défier les Spurs avec Dortmund ce soir à Wembley en Ligue des Champions, Pierre-Emerick Aubameyang a révélé à Bild qu'il avait failli s'engager avec Tottenham en 2012 . "J'avais visité le stade, les installations et le centre d'entraînement. J'ai eu des discussions avec le club mais il n'est plus revenu vers moi." Aubame est donc resté Vert une ultime saison, sa plus prolifique (19 pions en L1), ponctuée d'une inoubliable passe décisive pour Brandao en finale de la Coupe de la Ligue... Thank you Tottenham !

Rien sur Robert

13/09 10:38

 

Prêté en toute fin de mercato à Anderlecht, Robert Beric attendra avant de découvrir la Ligue des Champions.
Le controversé coach Bruxellois René Weiler a en effet considéré que Bob n'était pas encore prêt et n'a manifestement pas souhaité partir en Bavière avec un groupe élargi (défaite 0-3 d'Anderlecht hier soir).
Notre très averti potonaute Lethal nous explique que le torchon semble brûler entre l'entraineur et ses dirigeants, qui souhaitent un jeu fait de possession et lui imposent des choix de joueurs dans le groupe.
Samedi, Anderlecht, seulement 10ème après 6 journées, se déplace à Courtrai. Non convoqué non plus en championnat le week end dernier, Beric va-t-il enfin entrevoir la lumière ?

Tannane gagne, Bayse baisse (2)

13/09 08:25
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Le site marocain Mountakhab a compilé les actions d'Oussama Tannane lors de ses débuts victorieux avec Las Palmas contre le Malaga de Paul Baysse, resté impuissant sur le banc.

 

La Brise ne lâche pas prise

13/09 08:15
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357 jours après sa dernière apparition avec les Chamois Niortais, Jonathan Brison (33 ans) a rejoué le week-end dernier contre le Paris FC de Dylan Saint-Louis, resté sur le banc. L'ancien latéral gauche stéphanois savoure son retour dans La Nouvelle République.

 

"Quand on a fait appel à moi dès la 20e minute vendredi dernier, je me suis dit : "ça y est, je vais rentrer et regoûter aux joies du monde professionnel." On avait discuté avec le coach, et il m'avait dit que j'allais être dans le groupe, mais que je ne rentrerais que s'il y avait un problème. Moi, j'étais surtout là pour essayer de me remettre dedans. Le foot, ça se joue aussi physiquement, j'ai souffert sur la fin. Je me rends compte que j'ai encore du travail pour revenir à mon meilleur niveau. J'ai vécu une saison quasiment seul, parce qu'on l'est beaucoup quand on ne s'entraîne pas. Quand on est remplaçant ou envoyé en réserve, c'est compliqué. Quand on est blessé, ça l'est beaucoup plus parce qu'on est en marge du groupe. J'espère que mes soucis physqiues sont derrière moi et que je vais pouvoir finir ma carrière en évitant les blessures. Après, le coach fera ses choix et il n'y a pas de problème avec ça. J'ai envie de croquer dans le ballon."

Gabriel Silva mieux

13/09 07:50
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Le 31 août dernier, la Pravda annonçait 4 semaines d'indisponibiliré pour Gabriel Silva, touché à l'ischio-jambier droit lors du match au Parc des Princes. Mais Le Progrès nous apprend aujourd'hui que le latéral brésilien s'est entraîné hier après-midi avec le groupe.

Lacroix, la joie

13/09 07:43
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Heureux d'avoir joué tout le match contre Angers, Léo Lacroix, qui n'avait plus été titularisé à GG depuis la défaite contre Caen du 26 février dernier, se confie dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

 

"Je ne m’invente pas une image, je reste moi-même. La bonne humeur, c’est ce qui fait notre force et ma force aussi. Il faut être positif, toujours aider les autres. On ne joue pas seulement à 11. Une équipe c’est tout un groupe de joueurs. Il est important que tout le monde soit concerné. C’est bon pour la vie du groupe, pour le club. Même si j’aurais aimé gagner, je suis très content d’avoir retrouvé des sensations, dimanche, avec mes coéquipiers. Après, je sais qu’il faut travailler. Il y a de la concurrence. La saison est longue, il peut se passer beaucoup de choses. Il ne faut surtout pas être négatif, ce n’est pas bon pour le moral.

 

Cette saison, deux compatriotes sont arrivés, Hernani et Gabriel Silva. Il y a aussi un Suisse, Saidy Janko. Il règne une bonne ambiance. Il est important de créer une famille tout de suite pour pouvoir faire une très bonne saison. Quand le coach parle en espagnol, ils comprennent. C’est similaire au portugais. Gabriel Silva a aussi joué en Espagne, à Grenade. Lorsqu’il parle en français, je suis là, à côté, pour traduire. Il n’y a pas de souci. Je leur ai  déjà fait découvrir la ville et ses environs. On a fait une sortie ensemble. Ils sont aussi venus à la maison. Leurs familles vont arriver."

 

Le 20 septembre, tirons Papy à GG !

12/09 19:16
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Les dix affiches des 16es de finale de la Coupe de la Ligue 2017/2018 seront connues mercredi 20 septembre à l’issue du tirage au sort effectué sur le plateau de l’émission « Late Football Club », présentée par Eric Besnard à partir de 22h30 sur Canal+ Sport. L'occasion pour Papy de réaliser son rêve de revenir dans le Chaudron ? Pour rappel, les Merlus de Fabien Lemoine font partie des 19 adversaires potentiels des Verts.

 

- 13 clubs de Ligue 1 : Nantes, Rennes, Guingamp, Lille, Angers, Toulouse, Metz, Montpellier, Dijon, Caen, Troyes, Strasbourg, Amiens
- 5 clubs de Ligue 2 : Lorient, Nancy, Clermont, Tours, Valenciennes
- 1 club de National : Red Star

 

Les matches auront lieu les mardi 24 et mercredi 25 octobre.

Yanis Bourbia, un gardien vert appelé chez les Bleus (2)

12/09 18:54
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Convaincant lors de son stage à Clairefontaine du 28 au 31 août, le gardien des U17 régionaux stéphanois Yanis Bourbia (15 ans) fait partie des 20 joueurs retenus en équipe de France U16 pour affronter la République Tchèque le mardi 19 septembre à Zilina (16h00) et le jeudi 21 septembre à Prague (16h00).

Valente revient sur ses vertes années

12/09 18:42
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Adrien Valente revient sur ses vertes années et son expérience à Andrézieux dans un entretien paru la semaine dernière sur le site de son nouveau club (partenaire de l'ASSE), Saint-Priest (National 2).

 

"J’ai commencé le foot à 6 ans à L’Horme dans la Loire. Après, je suis allé à Saint-Chamond, puis à Grand Croix Lorette avant de revenir à Saint-Chamond, où j’ai été repéré par l’ASSE. J’ai intégré ensuite l’ASSE en U13 jusqu’à mes 20 ans, et l’équipe réserve. Abdel Bouhazama, mon ancien entraîneur en U19, qui est aujourd’hui responsable du centre de formation d’Angers, m’a fait progresser. J’ai franchi des caps avec lui, et notamment au niveau de la confiance. À Saint-Etienne, j’ai eu une déception de ne pas avoir signé chez les pros. Mais je n’ai pas tout fait pour… J’ai des regrets, surtout qu’en 2014, j’ai été épinglé à cause d’un pari sportif interdit. J’ai eu une amende de 500 € et du travail d’intérêt général de 2 heures à faire. J’étais stagiaire pro. J’ai fait un an de plus à Sainté, mais malgré quelques mois dans le groupe pro et un bon début de saison, je n’ai pas été conservé… J’ai manqué de mental. Jeune, j’étais très faible à ce niveau-là. Aujourd’hui, ça va mieux en grandissant. On apprend de nos erreurs !

 

En CFA2, j’ai fait une superbe saison à Andrézieux puisque j’ai mis 16 buts et délivré 7 passes décisives. Donc j’ai prolongé mon contrat pour un an. Mais en CFA, l’an dernier, ça n’a pas marché. L’entraîneur ne me faisait pas confiance. Ils voulaient me conserver cette année… mais sans salaire. J’ai été surpris par l’intérêt prononcé de Saint-Priest car je sortais d’une saison compliquée. Mentalement, j’étais au plus bas puisque j’ai même pensé à arrêter le foot, mais ma famille m’a remis dedans. La cohésion du groupe est très bonne ici, bien mieux qu’à Andrézieux, où il y avait des mercenaires. Avoir un vrai préparateur physique, c’est top. Au niveau du travail, c’est de la qualité, comme j’ai pu connaître à l’ASSE. Je veux d’abord retrouver le plaisir de jouer au foot, et c’est le cas pour l’instant. Au niveau personnel, j’ambitionne de mettre 10 buts minimum entre le championnat et la Coupe de France."

Ils ont baffé les anti-Bafé

12/09 14:35

 

Lors du dernier match à domicile de Galatasaray, les supporters Turcs ont affiché leur soutien à Bafé Gomis, victime de propos racistes sur les réseaux sociaux.
Certains portaient un masque à l’effigie du meilleur buteur du championnat. D’autres ont déployé une banderole reprenant des propos du prophète :  Pas de supériorité d’un Blanc sur un Noir, ni d’un Noir sur un Blanc, et en français Non au racisme.
Très touché Bafé a salué le geste sur son compte twitter :
"Les fans m'ont soutenu contre le racisme. Pour être franc, je n'avais jamais vécu une telle adoption auparavant."

Capelle a du répondant

12/09 14:16
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Dans la dernière édition du Courrier de l'Ouest, le milieu offensif angevin Pierrick Capelle revient sur le match dun nul du SCO à Angers.

 

"En janvier, on avait eu une discussion. Le but, c'était de plus jouer, sans se précipiter, de faire courir l'adversaire et aussi de sécuriser notre jeu sur les premières passes. Ça commence à rentrer, on l'a encore vu contre Sainté. Notre jeu est plus varié qu'avant, on prend conscience qu'on est capable d'embêter les autres équipes. C'est un jeu simple, on n'a pas de Neymar. Mais avec du mouvement, on arrive à créer des décalages et à se procurer des occasions. Du coup on prend plaisir et confiance. On nous voit encore un peu comme l'équipe athlétique, mais ce n'est plus la réalité. Ceci dit, on ne doit pas perdre notre exigence dans l'engagement.

 

On ne s'affole pas, on joue notre jeu quels que soient les évènements du match. Comme contre Bordeaux et Marseille, on a su revenir au score. A chaque match on progresse. Il y a de la confiance et de l'entente sur le terrain. Mais quand on s'est retrouvé en supériorité numérique face aux Verts, on y est allé sans y aller. J'ai senti qu'on ne jouait plus sans arrière-pensée. Tout à coup, on a eu un petit frein à main. Ça nous a fait déjouer car on a des joueurs d'instinct comme Enzo Crivelli et Angelo Fulgini. Notre invincibilité n'est pas anecdotique. Accrocher Bordeaux, Marseille, Lille et Saint-Etienne, quand on s'appelle Angers, c'est une performance."

Maouche nouveau soldat d'Oldham

12/09 13:41

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Lanterne rouge de League One (3e division anglaise) après six journées, Oldham a annoncé aujourd'hui la signature pour deux ans (avec une option d'une année supplémentaire) de Mohamed Maouche (24 ans). Laissé libre par le Tours FC, l'ancien milieu offensif des U19 stéphanois s'est confié sur le site officiel de son nouveau club basé dans la banlieue de Manchester.

 

"Je suis à la fois très heureux et très excité de relever ce nouveau challenge. Je viens de jouer deux saisons en Ligue 2, juste avant j'évoluais en Suisse mais je suis issu du centre de formation de Saint-Etienne. J'ai bien joué ces deux dernières années mais le passé est derrière moi, je vais chercher à faire mes preuves à Oldham. Jouer en Angleterre est le rêve de beaucoup de joueurs, je n'avais jamais été ici auparavant donc c'est un gros challenge. J'espère montrer de belles choses aux supporters. En League One, il y a des équipes célèbres ayant évolué en Premier League donc c'est un championnat difficile."

Les regrets de Le Dizet

12/09 08:33
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Entraîneur adjoint du SCO, Serge le Dizet regrette dans Ouest-France que son équipe n'ait pas su gagner avant-hier. Extraits.

 

"On a montré que l'on était capable d'encaisser un coup, mais surtout d'en rendre. On a une certaine force mentale. On est un peu frustrés. On a le sentiment que c’est un match que l’on devait gagner. Je pense qu’il nous a manqué un peu de réalisme. On a beaucoup frappé, beaucoup cadré. Mais on est tombé sur un très bon gardien, Stéphane Ruffier, et on a eu un peu de malchance. Avec une telle prestation, c’est le match qui laisse le plus de regrets.

 

Pourquoi l’expulsion de Pajot a un peu freiné l’équipe ? C’est toujours la difficulté de cette situation : on se retrouve en supériorité numérique, on se dit qu’il reste du temps pour s’imposer dans le jeu. Inconsciemment, il y a chez les joueurs ce sentiment de se dire « bon, voilà, ça va le faire car on est en supériorité ». Et, au final, on ne continue pas à chercher l’adversaire pour aller poser des problèmes, on se dit que ça va se faire tout seul.

 

Il va falloir se servir de ce qui s'est passé dimanche : le fait de ne pas aller chercher l'adversaire, de ne pas monter sur lui, d'attendre que la faute vienne d'elle-même... Ce n'est pas forcément le bon calcul. Il y a encore cet aspect mental à travailler. Et on le fera aussi un peu à l'entraînement, lors de séquences avec un groupe en infériorité. Il faut faire ce travail sur le plan mental mais aussi dans une démarche technico-tactique.

Tannane gagne, Baysse baisse

12/09 08:06
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S'il a raté une belle occase d'ouvrir le score à la 20e minute, Oussama Tannane s'est imposé 3-1 à Malaga hier soir pour son premier match sous ses nouvelles couleurs de Las Palmas. Lanterne rouge avant le coup d'envoi, le club des Canaries est 14e à l'issue de cette 3e journée de Liga. Remplacé à la 81e minute, l'international marocain n'a pas eu l'occasion de défier Paul Baysse, relégué sur le banc alors qu'il était titulaire lors des deux premières journées du championnat espagnol.

 

Bryan râle

12/09 07:46
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Alors que son capitaine s'estime heureux du nul vu la physionomie du match contre Angers, Bryan Dabo déplore ce résultat dans Le Progrès du jour. Extraits.

 

"Non, ce n’est pas un bon point. Pour moi, c’est une contre-performance. On a affiché un certain niveau de jeu depuis le début de la saison. On est dans une optique d’enchaîner les matches, de gagner tout le temps. On ne peut donc pas se satisfaire de ce match nul. A dix, il y a beaucoup de joueurs qui ont fait beaucoup d’efforts en seconde mi-temps. On a mis beaucoup de qualité. On avait envie de gagner. On a eu dix minutes à dix contre dix pour faire la différence et on ne l’a pas faite."

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