Guendouz bientôt Usmiste ? (3)

12/09 17:05
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"Directeur sportif de l’USM Alger, Anthar Yahia n’aurait pas trouvé d'accord avec les dirigeants de Saint-Etienne au sujet d'Alexis Guendouz et aurait certainement renoncé à son recrutement" a écrit dimanche dernier le site algérien Compétitions.

En réalité, les parties ont bien trouvé un accord pour le transfert du gardien de 24 ans dans le club dont l'ex-adjoint de Christophe Galtier René Lobello a été l'entraîneur (en 2006-2007) et l'ancien attaquant stéphanois Bernard Simondi le directeur sportif (en 2015-2016).

Alors qu'il lui restait un an de contrat à l'ASSE, l'ancien portier palois a signé le 1er septembre un contrat de deux ans (en cours d'enregistement à la Fifa) avec un club qui compte 8 titres de champions et 8 Coupe d'Algérie.

Loïs le grand frère

12/09 15:38
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"À Saint-Etienne, j’étais très proche d’un groupe de jeunes, j’en ai même hébergé un. Je suis resté en contact avec lui, dans une relation grand frère, petit frère. Je leur dis des choses pour leur bien. De ne pas faire ces erreurs stupides que l’on peut faire quand on est jeune. Mais profiter de chaque moment, de chaque match pour progresser" déclare Loïs Diony dans la dernière édition angevine du quotidien Ouest-France. "Au SCO, j’ai déjà pu discuter avec Momo [ndp2 : Mohamed-Ali Cho, croisement d'Allan et Jo, recruté par Abdel Bouhazama]. Il m’a surpris. Je lui ai demandé son âge. Quand il m’a dit 16 ans, j’étais vraiment surpris. Je lui ai donné quelques conseils pendant la séance. Je fais ça naturellement. Je ne suis pas le plus grand attaquant, mais je pense que quelques conseils d’un joueur plus expérimenté ne font jamais de mal."

Féfé l'a marqué, Alex l'a gonflé

12/09 14:54
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Venant de prendre sa retraite, l'ancien entraîneur des Verts et ex-sélectionneur de la Guinée Robert Nouzaret s'est confié à So Foot. Extraits.

"Les joueurs qui m'ont marqué ? J’ai adoré Pascal Feindouno. Un artiste, un talent incroyable. Un mec sympa, souriant, toujours de bonne humeur. Il était capable de gagner un match à lui tout seul, quand il était dans un bon jour. Avec un ballon, il était heureux. Mais il n’avait pas l’hygiène de vie qui doit être celle d’un pro. Il aimait trop faire la fête. Il aurait pu faire une carrière encore meilleure. J’ai entraîné aussi l’Argentin Hugo Curioni. Un super attaquant, très doué. Une forte tête, aussi. Didier Drogba, également. Lui, il avait la tête et les jambes.

Quant à celui qui m’a sans doute le plus gonflé, c’est le Brésilien Alex, à Saint-Étienne. Il s’est foutu de nous pendant des mois. Quand il est arrivé avec Aloisio, il était à la traîne, il ne faisait pas grand-chose à l’entraînement et en match. Un jour, je décide de le faire entrer en cours de match contre Nancy, alors que nous étions menés. Et il réalise une performance magnifique, il marque et nous fait gagner la rencontre. À la fin, je suis allé le voir et je lui ai dit : "T’es vraiment un con, ça fait des mois que tu te fous de nous en trichant, alors que tu as un énorme talent. 

Si je devais retenir une anecdote particulière vécue lors de ma carrière ? Allez, je vais en donner deux. Quand Alain Bompard, alors président de Saint-Étienne, veut me faire signer, Gérard Soler, le directeur sportif, lui a dit à peu près ceci : « Nouzaret est né à Marseille, il a joué et entraîné à Lyon. Ça ne marchera jamais avec nos supporters ! » Et pourtant, avec le public stéphanois, j’ai eu une relation extraordinaire. La seconde ? C’était en 1980, en Coupe de France (8es de finale). On avait perdu le match aller à Lens (4-5) un mardi.

On devait jouer le retour le mardi suivant, mais juste avant, le samedi, il y avait une rencontre de D2 chez nous, contre Montluçon. Et les dirigeants lensois, qui étaient à Nîmes pour un match de D1, devaient venir nous observer. Mais moi, je ne voulais pas jouer contre Montluçon. Alors, le jour du match, il pleut un peu à Montpellier. Et je suis seul au stade ; j’ai ouvert tout le système d’arrosage, de façon que la pelouse soit impraticable. On n’a pas joué le samedi, et le mardi, on battait Lens 2-0 ! On avait atteint les demi-finales contre Monaco, le futur vainqueur..."

Rivière débouche à Crotone

12/09 10:00
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Principal artisan du maintien de Cosenza en Série B (13 pions claqués en 31 matches), l'ancien attaquant stéphanois Emmanuel Rivière (30 ans) s'est officiellement engagé hier pour deux saisons avec le promu en Série A Crotone, ex-club de Jean-Pierre Cyprien et Cazim Suljic.

Thuilot tacle les instances

12/09 09:36
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S'il se réjouit que le procole sanitaire ait été aménagé, le DG de l'ASSE Xavier Thuilot glisse un petit tacle aux instances dans la dernière édition du Monde.

"Le protocole précédent nous emmenait dans une inconnue qui faisait peur à tout le monde. On risquait très clai­rement d’arriver au mois de mai avec des clubs à qui il aurait manqué entre un et dix matchs. On ne pouvait pas continuer en faisant semblant que tout allait bien. Cette crise du coronavirus a révélé que notre organisation, d’un point de vue général, et la gouvernance mise en place par nous-mêmes faisaient défaut. On s’en est sortis, car les clubs ont pris les choses en main face à des problèmes très concrets. Mais il n’y a pas eu l’anticipation nécessaire dans les instances qui nous gouvernent pour appréhender ces questions et apporter des options."

Caci veut se relever

12/09 09:02
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Auteur de deux passes décisives contre les Verts lors de sa dernière titularisation en L1, Anthony Caci est annoncé dans le onze de départ de Strasbourg ce soir à Geoffroy-Guichard. Le protégé de Thierry Laurey a évoqué hier cette rencontre de la 3e journée lors d'une conférence de presse relayée par Les Dernières Nouvelles d'Alsace.

"Nous savions que nous n’avions pas eu une préparation comme les autres et que le début de saison serait difficile. En ne prenant aucun point sur les deux premières rencontres, nous n’avons pas bien démarré. Il faut se l’avouer, être serein, mais ne pas se voiler la face. On a d’ailleurs eu la trêve internationale pour réfléchir et se remettre à 100% physiquement. Ce match à Saint-Etienne ressemble à un commencement. Il doit nous apporter de la confiance et permettre de grandir pour la suite.

En comptant les matches amicaux contre Metz et Stuttgart, on reste sur quatre défaites. C’est sûr que moralement, on prend un coup. Mais il vaut mieux que ça arrive maintenant pour avoir le temps de se rattraper. La trêve nous a fait réfléchir et prendre conscience de la situation. Nous sommes conscients d’avoir commis des erreurs, un peu par manque de concentration. Souvent, on vise les défenseurs, surtout lorsque les erreurs sont individuelles, mais tout le groupe est concerné. Nous en avons beaucoup parlé et allons tout faire pour ne pas les reproduire.

Ne pas encaisser de but à Saint-Étienne, ce serait un grand pas. C’est le premier objectif. Ça signifiera au moins que nous ne perdrons pas et, donc, que nous prendrons des points. Après le Covid, j’ai eu du mal. Je n’étais pas prêt. Je l’avoue. C’était compliqué de rester quatorze jours à la maison. J’ai dû bosser et je pense que je suis désormais à 100%. La trêve a fait beaucoup de bien à tout le monde. Saint-Étienne, on connaît. C’est une très bonne équipe, surtout à domicile. Elle a des joueurs en confiance, comme Hamouma. Ça ne va pas être facile, mais on le savait avant le début du championnat. Les Stéphanois ont beaucoup de qualités, mais nous allons là-bas pour chercher des points."

Saadi revient ce samedi

12/09 08:22
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Dans le groupe strasbourgeois qui tentera de réagir ce soir à GG après avoir perdu lors des deux premières journées, l'ancien attaquant stéphanois Idriss Saadi s'est confié au Progrès. Extraits.

"On aura à cœur de se racheter. On prend ce match très au sérieux, d’autant plus que Saint-Etienne est une grande équipe. On sait très bien à quoi s’attendre. On a essayé de bien préparer cette rencontre car elle est importante pour nous. Forcément, ça a une saveur particulière de revenir ici. J’y ai fait toutes mes gammes, découvert le football de haut niveau, j’y ai joué mes premiers matchs avec des grosses ambiances.

Le seul stade qui m’a procuré les mêmes sensations que le Chaudron, c’est la Meinau. Le 100e derby, jétais sur le banc. On était arrivé en bus, on nous avait montré un film retraçant toute la rivalité. Ça nous a mis dans le bain. Et le coup franc de Dimitri est superbe. Sur le banc, l’explosion de joie, c’était ouf ! On était retourné à L’Étrat, il y avait tous les supporters avec des chants et les fumigènes, c’était magnifique."

Wesley recadré

12/09 08:12
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Après avoir clamé haut et fort sa volonté de quitter les Verts pour Leicester, Wesley Fofana a été recadré en interne selon la Pravda de ce samedi. Extraits.

"Le prometteur défenseur central des Verts s'est vu remettre un courrier en forme de rappel à l'ordre ou d'avertissement, en marge de l'entraînement d'hier après-midi. Fofana y a participé sans sourciller sous les ordres de Claude Puel, qui devrait le titulariser ce soir contre Strasbourg. Avant cela, sa situation sera évoquée par ses dirigeants lors du conseil de surveillance présidé par Bernard Caïazzo et qui se tiendra dans l'après-midi."

Mal-aimé, il est le mal-aimé

12/09 07:55
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Dans la Pravda du jour, le néo-Angevin Loïs Diony assume une part de responsabilité dans son échec à Saint-Etienne tout en déplorant le manque d'amour dont il aurait fait l'objet. Extraits.

"Quand tu regarde mes stats en vert, il faut dire la vérité, c'est un bilan nul. Après, pour mieux l'analyser, il faut creuser. Je n'ai jamais reçu d'amour de la part des coaches. Le seul avec qui j'ai ressenti cela, c'est Julien Sablé. Les six premiers mois, l'équipe était en reconstruction, c'était la jungle, chacun pour sa peau. On était tous nuls mais il n'y a que moi qui ai pris. Je n'ai jamais vraiment ressenti d'amour or je suis quelqu'un qui marche beaucoup à l'affectif. Je pense que le discours qu'Oscar Garcia m'avait tenu pour que je vienne n'était que du pipeau.

Quand tu recrutes le joueur le plus cher de l'histoire du club et que tu le mets sur le banc, c'est que tu ne comptes pas sur lui. Avec Sablé, ça s'est mal passé collectivement mais c'est le seul qui m'a redonné confiance. Celui qui m'a fait le plus jouer, c'est Gasset. C'est un super coach. Mais je pense que je jouais parce que je le méritais. Cette saison-là, je jouais mais la plupart du temps je sortais à l'heure de jeu.

Ma responsabilité dans cette échec, c'est sans doute de ne pas avoir marqué suffisamment sur le peu d'occasions que j'ai eues. J'ai commis des erreurs bien sûr. Je suis parti à Bristol, peut-être que je n'aurais pas dû. La colère des supporters stéphanois, c'est de la haine parfois. Il ne faut pas généraliser. Ceux qui aiment le foot doivent se dire : "C'est vraiment dommage, c'était un bon joueur à Dijon et là, ça n'a pas marché." Et puis il y a les autres. Avec de la moquerie, de la haine.

Je ne pense pas que ces moqueries étaient justifiées. Je me suis toujours beaucoup donné. La difficulté, c'est qu'on me jugeait sur un match. C'était : "Diony, il est titulaire, il ne marque pas, il est nul." Et ça, c'est compliqué à vivre. Je ne demandais pas dix matches mais trois ou quatre d'affilée. Cette période m'a endurci. Je ne veux pas être celui qui crache sur Saint-Etienne, je veux simplement donner des éléments pour que les gens comprennent ce qu'il s'est passé. C'est une belle histoire d'amour qui a mal tourné.

Claude Puel veut mettre en place un nouveau projet, c'est dans ses droits. Mais je trouve dommage qu'il se passe de très bons joueurs. Admettons qu'il ne me considère pas comme ça, mais Boudebouz, M'Vila, Khazri, ce sont des joueurs top. Je trouve ça trop brutal. Le Loïs Diony de Dijon n'a jamais disparu. On ne peut pas me dire : "Ta période à Saint-Etienne est nulle donc t'es nul." C'est faux. Avec de l'amour en plus, cela ne peut que repartir. Je peux apporter à Angers ma,puissance, ma vitesse, mes courses. Il faut que je redevienne un dragster, un mec qui défonce tout."

 

 

Payet ne regrette rien

11/09 23:15
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Dimitri Payet, qui jouera ce dimanche au Parc avant de retrouver les Verts quatre jours plus tard au Vélodrome, évoque dans Le Parisien son transfert raté au PSG.

"Après la défaite du PSG en finale de Ligue des Champions, j'ai reposté un GIF qui m'a fait rigoler. Avant on se plaignait que les joueurs faisaient de la langue de bois, maintenant quand on se charrie c'est le buzz. Ça m'a fait rire, il n'y a pas plus d'histoire que ça. Je ne regrette pas, c'est de bonne guerre et ça ne me met aucune pression. Je n'attends pas de faire des sorties médiatiques pour faire un grand match !

C'est vrai que j'ai failli signer au PSG en janvier 2011. Le plus dur ça a été de revenir à Saint-Etienne. Ça n'a pas été évident avec les supporters et avec le coach. Mais ça a été une expérience qui a permis de me forger un caractère car quand un stade comme Geoffroy-Guichard est contre vous, c'est compliqué. Mais c'est une étape que j'ai su franchir."

Diony revanchard

11/09 22:33
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Enorme flop à Sainté mais déterminé à réussir à Angers, Loïs Diony s'est exprimé aujourd'hui lors d'une conférence de presse relayée par France Football. Extraits.

"C'est une mayonnaise qui a mal tourné. J'ai eu beaucoup de coaches en très peu de temps. Quand je suis arrivé, ce sont peut-être plus les dirigeants qui me voulaient que le coach. Il est parti au bout de trois mois, on n'a pas été terribles les six premiers mois. Après, j'ai peut-être aussi fait une erreur de partir en Angleterre. J'aurais peut-être dû rester pour tenter d'inverser la tendance. Mais, maintenant, c'est du passé.

Depuis tout petit, je suis un 9, un avant-centre, j'aime ce poste. Mais j'ai les qualités qui me permettent d'être polyvalent. Durant ma formation aux Girondins de Bordeaux, j'ai pu évoluer un peu sur les côtés. Si je dois jouer sur les côtés, j'ai une préférence pour le côté gauche pour rentrer sur mon pied droit. Mais je suis capable de jouer sur tout le front de l'attaque, que ce soit en pointe ou sur le côté. On en a discuté avec le coach. Le plus important, c'est d'être sur le terrain.

Je me sens bien, même si j'ai encore un peu de retard à cause d'un accident de vélo. J'ai loupé six semaines de préparation. Je reviens. Ça fait plus d'un mois que j'ai repris avec le groupe à Saint-Étienne. Il faut continuer à bosser pour être prêt le plus rapidement possible. Mentalement, je n'ai pas très bien vécu les derniers mois, forcément. Mon accident est arrivé à deux jours de la reprise. Je me suis écarté un peu du groupe. Après, le coach avait fait ses choix. Ce n'était pas facile mais on n'a pris ça à la rigolade avec le groupe de lofteurs.

Il faut le prendre avec le sourire sinon les journées sont longues. On restait quand même sérieux car quand tu t'apprêtes à changer de club, il faut être bien physiquement. Je suis revanchard, pas par rapport à Saint-Étienne, mais par rapport à moi-même. Je dois remettre les choses au clair avec les gens qui ont pu penser que j'étais fini ou que je n'étais pas un bon joueur. Je sais ce que j'ai fait dans le passé, je connais mes qualités et elles n'ont pas disparu. Avec la confiance et des minutes de jeu, tout reviendra comme avant."

Laurey grave (8)

11/09 21:57
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Après s'être confié à nous hier, Thierry Laurey a de nouveau évoqué ce vendredi le match de demain soir lors d'une conférence de presse relayée par Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.

"Lâchons un peu plus les chevaux, mais avec beaucoup plus de réalisme ! N’ayons pas peur de jouer, au contraire ! On va à Saint-Etienne avec l’ambition de faire le meilleur résultat possible. Il n’y a pas de recette miracle. Ce n’est pas cent grammes de farine, cent grammes de sucre. Il faut jouer, ça ne se calcule pas. Quand tu vois la première période de notre match perdu 4-2 samedi dernier à Stuttgart, toutes les occasions qu’on se crée et qu’on tourne à 2-2 à la mi-temps, il y a quelque chose de pas normal de notre part. C’est ça qu’il faut améliorer. Tout ce qui se passe dans les seize mètres, c’est ce qui fait la différence. Dans le cœur du jeu, on n’a pas été mal. Après on a essayé deux autres façons de jouer, donc on ne va pas tenir trop compte de la deuxième période. Sur la première, c’était vraiment homogène.

Contre Lorient, les Verts ont fait un match qui ressemble à quelque chose et ils l’ont emporté de manière assez justifiée. J’ai bien aimé le bloc que c’était, très difficile à manœuvrer. Il faudra faire attention, être patient et ne pas faire n’importe quoi. Il y a quelques soubresauts en coulisses à l'ASSE mais tout le monde semble mobilisé, dans un collectif bien huilé. Le souci, en France, c’est qu’il faut avoir des problèmes financiers pour avoir une politique plus tournée vers la formation, même si Claude Puel est habitué à travailler de cette manière-là. Les Verts profitent de cette génération Gambardella truffée de talent, en y associant des garçons qui tiennent la route, comme Nordin, Kolodziecjczak, Debuchy ou Hamouma, pour les guider. Au final, c’est une équipe qui court beaucoup, avec de l’homogénéité, même si elle connaît parfois quelques bugs."

Avec Fofana contre les Strasbourgeois

11/09 21:21
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Claude Puel a convoqué un groupe de vingt-trois joueurs pour affronter Strasbourg demain soir (21h00) à Geoffroy-Guichard. Malgré son envie de rejoindre LeicesterWesley Fofana est présent. Il devrait même débuter en tant que titulaire. Stéphane RuffierRyad BoudebouzWahbi KhazriAssane DiousséSergi Palencia et Yann M'Vila sont logiquement absents.

Le groupe : Jessy Moulin, Stefan Bajic, Etienne Green - Harold Moukoudi, Wesley Fofana, Timothée Kolodziejczak, Mathieu Debuchy, Yvann Maçon, Alpha Sissoko, Saïdou Sow - Mahdi Camara, Adil Aouchiche, Yvan Neyou, Zaydou Youssouf, Aïmen Moueffek, Lucas Gourna - Jean-Philippe Krasso, Arnaud Nordin, Denis Bouanga, Romain Hamouma,  Kévin Monnet-Paquet, Charles Abi, Maxence Rivera.

Wesley à Leicester ? (3)

11/09 13:49

Ayant fait part de son souhait de rejoindre Leicester à la Pravda, Wesley Fofana attise également l'intérêt du Stade Rennais selon Téléfoot : "Nouvelle offre de Leicester pour la pépite stéphanoise, Wesley Fofana. Le stade rennais est également très intéressé par le profil du joueur et pourrait rapidement se mettre sur les rangs."

Dioussé, le bonheur est dans le prêt ?

11/09 10:56

Selon TFF Ligler, Assane Dioussé (sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2022, il soufflera ses 23 bougies le 20 septembre prochain) devrait être prochainement prêté au club turc d'Ankaragücü qui évolue en Süperlig (première division). Il s'agirait du deuxième prêt de l'international Sénégalais (3 sélections) après celui effectué au Chievo Vérone (de janvier à juin 2019). 

 
 

Il ne l'a pas Larcier tomber

11/09 10:18

Dans Ouest France, Sébastien Larcier, qui avait déja recruté Diony à Dijon explique pourquoi il l'a enrolé à Angers :

"On cherchait de la puissance, une capacité à prendre les espaces, un puncheur dans l’état d’esprit, avec une capacité à jouer dans l’axe mais aussi à droite ou à gauche. On a ensuite mis l’aspect financier en face des profils, pour voir ce qui était possible ou non. Que je le connaisse fait que je sais à quel point il va être revanchard par rapport à son expérience malheureuse à Saint-Etienne. On peut lui apporter un contexte qui lui sied mieux.
Les joueurs ne se rendent pas forcément compte du confort que peuvent leur apporter des structures comme les nôtres, plus humaines. À quel point ils sont protégés, surtout que Loïs arrive, à l’origine, du monde amateur. Et il s’est retrouvé tout à coup dans la fosse aux lions, dans un vestiaire où des joueurs peuvent être dans de l’ego, dans les salaires… Ce sont aussi des clubs où il y a beaucoup de pression, sur les joueurs mais surtout sur les staffs qui, à un moment, ne sont plus dans le développement du joueur mais dans la culture uniquement du résultat."

Une caravelle qui risque de couler ?

11/09 07:40
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Bernard Lions donne son avis sur les Verts aujourd'hui dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.

"Les dirigeants ont décrété qu’une profonde mutation sportive était urgente. Le problème, c’est qu’ils l’ont enclenchée au milieu du gué. Jean-Louis Gasset, qui a conduit une équipe 16e et menacée de relégation à la 7e place, tout près de l’Europe, la première année, puis à la 4e en 2018-2019, avait mis en place une stratégie sur trois-quatre ans. Son mariage entre vieux briscards, tous internationaux, comme Boudebouz, Khazri, Debuchy ou Subotic, et jeunes prometteurs à dose homéopathique a marché.

Beaucoup en interne pensent que la politique de Gasset a été dispendieuse. Sauf qu’entre sa participation lucrative à la Ligue Europa, la revente de Rémy Cabella, cédé pour 13,5 millions à Krasnodar alors qu’il avait été acheté pour moitié moins, le transfert record de William Saliba à Arsenal (25 millions plus 5 de bonus) et celui du Norvégien Ole Selnaes en Chine pour 10, le club a rentré 50 millions. Aujourd’hui, son souci, c’est de vouloir se débarrasser de joueurs à gros salaires qu’il n’a pas amortis, dans un contexte post-confinement très délicat, avec un marché atone. Saint-Étienne doit vendre avant d’acheter. C’est une caravelle aux cales chargées à bloc qui, non seulement n’avance pas bien vite, mais n’est pas non plus à l’abri de chavirer, voire de couler.

Certains joueurs devenus indésirables derniers ont beaucoup d’amis dans l’effectif et ce n’est jamais bon pour un vestiaire d’en voir des éléments appréciés être ainsi ostracisés. Cette nouvelle orientation est le fruit d’une volonté des deux présidents actionnaires. Claude Puel est chargé de l’appliquer, il ne faut pas lui en coller toute la responsabilité sur le dos. Le hic en fait, c’est de devoir solder la précédente politique avant de mettre en place la nouvelle. Si tu n’y parviens pas, il te sera difficile de bâtir une équipe compétitive, même si la promotion des jeunes fait partie de l’ADN du club.

Les Verts sortent d’une saison difficile, ils suscitent de l’inquiétude, certes un peu diluée par le fait que la pandémie va peut-être fausser le championnat. Si elle nivelle les valeurs par le bas, Saint-Étienne pourra peut-être tirer son épingle du jeu. Mais pour l’instant, c’est le grand flou. J’en veux pour preuve qu’il n’a pas défini d’objectif. Je trouve ça gênant de la part d’un club qui, excepté l’an passé, a toujours terminé, depuis dix ans, dans la première partie du classement."

Wesley à Leicester ? (2)

11/09 07:26
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Comme le rapporte Le Progrès, Claude Puel a évoqué jeudi en conférence de presse le cas de Wesley Fofana, qui veut partir à Leicester.

"Il n’y a pas de débat. C’est un jeune joueur qui a joué 17 matches en professionnel. Il devait jouer normalement en réserve, l’année dernière. À mon arrivée, je l’ai pris avec le groupe professionnel et je lui ai donné du temps de jeu. Il est encore en apprentissage, il doit encore gagner en maturité. Il a fait pas mal de progrès et il en a d’autres à faire. Il est dans le bon club pour continuer tranquillement sa progression, gagner en maturité. Il a 19 ans, il est très bien à Saint-Étienne et il restera à Saint-Étienne. Il a des choses à aller chercher, notamment des sélections. Avec ses partenaires, il est dans un bon environnement pour poursuivre sa progression et son éclosion. L’aspect sportif restera prioritaire pour nous et pour lui. Il n'y aura pas de débat avec les présidents sur ce cas."

Nanard kiffe Labrune (3)

11/09 07:08
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Comme le souligne Le Figaro, l'élection de Vincent Labrune a la tête de la LFP a été diversement accueillie par les présidents de L1.

Bernard Caiazzo "Vincent est courageux, va prendre des coups. Les deux hommes (Labrune et Denisot) étaient souriants avant et après le résultat, c’était une ambiance bon enfant. Ce sont des hommes qui servent le foot. Vincent Labrune est élu, ça ne doit poser de problème à personne. On doit travailler tous ensemble et construire notre foot de demain. Il y a une chance à saisir d’avancer ensemble avec Vincent en général d’armée pour le développement de notre sport."

Jean-Michel Aulas : "Je trouvais que Michel Denisot était une chance pour la LFP car c’est un homme droit. D’ailleurs, Bernard Tapie m’avait envoyé un message ce matin pour me dire que c’était un homme bien. On passe dans une autre phase avec Vincent Labrune. C’est une surprise de l’imaginer élu car il n’était pas candidat. Son élection est liée au contexte particulier du foot. Vincent devra faire ses preuves, ce sera difficile pour lui. Être élu avec moins de 45% des voix ça demande de l’humilité."

Wesley à Leicester ?

10/09 22:56
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Dans une interview à paraître demain dans la Pravda, Wesley Fofana explique pourquoi il souhaite quitter les Verts pour les Foxes, où un contrat de cinq ans l'attend, en échange d'une indemnité de transfert de 29 M€. Extraits.

"Dès que cela s'est su que je me posais des questions sur mon avenir, les gens se sont excités tout seuls alors que je n'ai rien dit. Me faire traiter de "mercenaire", de "traître", "d'enculé" m'a fait de la peine. Mais que des Stéphanois en arrivent à insulter ma mère et ma petite soeur, cela m'affecte beaucoup. Ma petite soeur a été prise à partie dans son lycée. Ils l'ont insultée, ils l'ont poussée. Elle a été victime d'idiots et leur comportement a vraiment pesé dans ma prise de décision. Ce qui vient de se passer a brisé quelque chose en moi.

Ma décision est prise : j'accepte une offre. Celle de Leicester. J'ai toujours rêvé de jouer en Angleterre. Ce n'en est pas un départ sur un coup de tête. Déjà, l'été dernier, j'y avais réfléchi. Mais comme le club ne s'est pas mis d'accord avec Salzbourg, je suis resté, focus à 100 % sur les Verts. Cet hiver aussi. Cette fois, je ne peux pas refuser. D'où je viens, des quartiers nord de Marseille et d'une famille pas aisée, ce n'est pas possible. Je serais fou de dire non à Leicester. Ce contrat peut changer ma vie. Je dois protéger ma famille en la mettant à l'abri. Les aspects sportif et financier étant réunis, je suis obligé de dire oui.

Sainté, c'est mon club. Je l'ai dans le coeur et je le respecterai jusqu'au bout. Je lui dois ça. Mais je rentre dans ma sixième année, je ne suis pas un mercenaire qui a signé hier. J'ai refusé de partir à l'étranger à la fin de mon contrat d'aspirant et mes agents se sont battus pour que je signe pro ici, où seul Julien Sablé croyait en moi. J'ai même prolongé pour protéger le club. J'ai fait des kilomètres en bus, j'ai gagné la Gambardella avec les copains alors je pense avoir le droit d'embrasser l'écusson du club mais aussi celui de dire : c'est mon métier et je veux l'exercer ailleurs. Je ne veux pas de clash et je n'espère pas partir dans des trucs de fou... En vrai, je ne demanderais pas à partir si je savais que cela mettait le club dans la merde. Mon souhait est que tout le monde soit content. Et on peut tous l'être.

Je vaux 30 M€ ! C'est fou, non ? Il s'agit de mon prix fixé par le club après la finale de la Coupe de France. Quand les sous sont là, il faut les prendre. Ce serait encore plus fou de dire non. Si je reste et que je ne réussis pas une saison de qualité, on aura tous des regrets. Et ce sera trop tard. William a très bien fait de signer directement à Arsenal, l'été dernier. Vu sa saison galère après, il n'aurait plus la même cote aujourd'hui. Il peut m'arriver la même chose. Alors, s'il vous plaît, réfléchissez bien à cette offre et mettez-vous à ma place. Surtout le coach. C'est lui qui prendra la décision. Il m'a expliqué  qu'il n'est pas que le coach, il est le manager général. Si j'ai bien compris, c'est le patron. Et en tant que tel, il doit penser à l'intérêt du club et pas qu'à celui du coach, non ? J'espère qu'il ouvrira son coeur et m'écoutera."

Desiage a perdu la partie

10/09 21:02

L'ancien arbitre professionnel stéphanois, Sébastien Desiage, est mort des suites d'une maladie indique la Pravda. Il avait 46 ans. Le site officiel lui a rendu hommage ce jeudi :

"Originaire de Saint-Étienne et licencié auprès de la Ligue Rhône-Alpes, l’arbitre international qui a dirigé 84 matches de Ligue 1 Uber Eats et officié en Europa League, visitait régulièrement les Verts afin d’expliquer les mises à jour et les subtilités des lois du jeu et des règlements.

Ses interventions marquées par la compétence, la pédagogie et la bienveillance faisaient de lui un interlocuteur particulièrement apprécié des staffs techniques comme des joueurs professionnels de l’AS Saint-Étienne.

L’ASSE s’associe à la peine de sa famille et de ses proches et leur adresse ses plus sincères condoléances."

La Pravda indique que Sébatien Desiage avait repris du service en National l'an passé, arbitrant un dernier match en août 2019 avant que la maladie ne reprenne le dessus.

Silva pas revenir (tout de suite)

10/09 14:01

En conférence de presse ce midi, Claude Puel a expliqué que seul Gabriel Silva était indisponible pour la réception de Strasbourg (samedi, 21h).

Yvan Maçon qui a travaillé son pied gauche à l'entrainement ce matin devrait, comme contre Lorient, récupérer sa place de latéral gauche.

Diony est parti

10/09 11:12

Angers et l'ASSE ont officialisé ce matin la signature pour 3 ans de notre attaquant au SCO.

Le site officiel rappelle que toutes commpétitions confondues , il a disputé 65 rencontres sous le maillot vert, découvert l’Europa League la saison dernière et contribué, par son abnégation, à des victoires significatives, dont une précieuse dans le dernier derby à Geoffroy-Guichard (1-0).

On ajoutera qu'il a marqué 9 buts en vert, 2 en coupe et 5 en championnat lors de la saison 2018/19, et 2 en championnat la saison dernière.

Avec Liénard, des chiens à Geoffroy-Guichard ?

10/09 07:52
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Attaquant sa 8e saison au Racing Club de Strasbourg, Dimitri Liénard s'exprime aujourd'hui dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace avant de défier les Verts après-demain à Geoffroy-Guichard. Extraits.

"Je me suis blessé à la cheville gauche lors du stage de présaison en amical contre Nîmes. Un truc rare, chiant et long à soigner. J’ai mis un mois à revenir, je suis opérationnel. Maintenant, physiquement, je ne suis pas encore au top. Pour retrouver le rythme, il me faut enchaîner, faire mes 12 kilomètres par match et être dans le bon tempo. Je suis content de retrouver le groupe et de pouvoir l’aider.

À Strasbourg, on n’a pas de Cristiano Ronaldo pour faire la différence. Il faut vraiment que toute l’équipe soit bien huilée, que tout le monde soit en mode chien. Un ou deux gars peuvent passer au travers. Mais tous doivent être au maximum de leur intensité. On n’a pas d’excuse, on jouait ensemble l’an dernier, on sait de quoi on est capable

Avec cette histoire de préparation tronquée, tout le monde n’était pas au même niveau de forme individuelle. Il manquait un peu de rigueur, de concentration aussi. À nous, les anciens, de remobiliser tout le monde. Il faut enfiler le bleu de chauffe. Je suis adepte de la méthode “on n’a rien sans rien”. Alors, c’est sûr, on n’a pas eu la réussite souhaitée. La chance, elle se provoque et se mérite. À Geoffroy-Guichard, on veut mettre ces principes-là en application."

Thomasson verra-t-il Maçon ? (3)

10/09 07:35
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Comme le rapporte Les Dernières Nouvelles d'Alsace, le Racing Club de Strasbourg prépare son déplacement à Saint-Etienne dans la douleur. Extraits.

"Mardi, c’est Adrien Thomasson qui a été touché par une grosse béquille de Ludovic Ajorque. Le maître à jouer des Bleus a été évacué aux vestiaires en voiturette de golf et n’est pas réapparu ce mercredi sur le pré. "Ce n’est pas grave, mais il a un gros hématome qui est très douloureux, explique Kader Mangane, le coordinateur sportif. Mercredi matin, ça allait déjà un peu mieux. Je ne sais pas si sa participation au match de Saint-Etienne est compromise. On verra comment ça évolue dans les prochaines heures."

En fin de séance, ce mercredi, la même voiturette a de nouveau été utilisée pour transporter Laminé Koné. Le défenseur est resté allongé au sol un petit moment, se plaignant du genou droit après un duel, avant de quitter le terrain en boitant. Auparavant, Ibrahima Sissoko, laissé au repos le week-end dernier en raison d’une fatigue musculaire, avait aussi dû écourter l’effort. Quant à Mehdi Chahiri, il est resté aux soins. Thierry Laurey a fini la séance avec seulement 15 pros valides et le jeune Marvin Senaya."

 

Crédit photo : Patrick Hertzog, AFP

Yvann apprend

10/09 07:22
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Ttularisé par Claude Puel en finale de Coupe de France et contre Lorient, Yvann Maçon s'est confié au Progrès. Extraits.

"Petit à petit, je commence à prendre mes marques. Je dois travailler notamment lorsqu’il y a des ballons dans le dos. Grâce aux vidéos et aux conseils des coachs, j’ai fait pas mal de progrès sur le plan tactique. Il faut aussi que je sois plus juste techniquement. Avant, j’évoluais au milieu de terrain. Du coup, j’ai parfois tendance à vouloir plus jouer offensif alors qu’être défenseur, c’est d’abord défendre avant d’attaquer. Je me le suis mis dans la tête.

Mathieu Debuchy est un exemple. Il y a le terrain et les à-côtés, l’alimentation…. Dans sa façon d’aborder les entraînements, il est impressionnant. Jouer à gauche, au début, c’était plus compliqué. Les appuis ne sont pas les mêmes, l’orientation du corps non plus. Peu à peu, ça rentre. Je crois en nous. Certains matchs seront plus difficiles mais il y a vraiment du potentiel. On s’entend bien en dehors du terrain, cela se ressent en match."

Valbuena attend M'Vila (3)

09/09 22:50

Évoqué par Mathieu Valbuena puis confirmé par Mohamed Toubache-Ter, la Pravda indique que le départ de Yann M'Vila (30 ans, sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2022) à l'Olympiakos est acté. Le futur ex numéro 6 des Verts (il aura porté le maillot vert à 91 reprises, dont la dernière fois contre Lorient le 30 août) devrait s'engager trois ans avec le champion en titre Grec dans les prochains jours.

Selnaes plus zen à Shenzhen

09/09 14:23

Sauvé de la relégation par le dépôt de bilan d'une autre équipe le Shenzen d'Ole Selnaes, finalement resté en Chine, semble parti pour se faire moins de frayeurs cette saison.
Malgré la défaite 0-2 concédée aujourd'hui chez le leader, Guangzhou Evergrande, Shenzhen reste calé à la 5ème place après 10 journées. Attention néanmoins, le championnat chinois a changé de format cette saison et est scindé en deux groupes de 8 équipes. Les clubs classés de 5 à 8 à l'issue de la première phase joueront une poule de relégation.
Non convoqué avec la Norvège, Ole Selnaes était titulaire pour la 9ème fois cette saison.

Keller espère accrocher les Verts

09/09 12:31
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Président du Racing Club de Strasbourg, Marc Keller évoque dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace le déplacement de son équipe à Sainté programmé ce samedi soir à 21h00. Extraits.

"On a eu du Covid dans l’effectif durant le confinement, les vacances et le stage à Évian (14 cas positifs en tout). Après, on a beaucoup parlé des dix joueurs qui ont été touchés en Haute-Savoie, parce qu’il y a eu une sortie non autorisée (dans un bar) après un dîner validé par le club. On a réglé l’affaire en interne, et les décisions prises resteront en interne. Ce que je peux dire, c’est que les gars sont partis boire un verre, ils n’ont pas non plus fait la java. On voit d’ailleurs que la grande majorité des clubs a aussi beaucoup de cas positifs. C’est un sujet délicat…

Je pense qu’il y avait sûrement moyen de faire mieux lors des deux premières jourées (défaites contre Lorient et Nice). Durant quinze jours en août, Thierry Laurey n’a pas pu travailler avec un groupe homogène. J’espère que la coupure internationale a permis de remettre tout le monde au même niveau afin d’être prêt collectivement. Il faut entrer dans la saison, samedi à Saint-Étienne.

L’an dernier, au soir de la dixième journée et de notre défaite à Marseille, nous étions derniers. On est resté calme, on a travaillé et on a fini dixième. Cette saison, on a gardé l’ossature de l’équipe, on en a prolongé certains (Ajorque, Sissoko). Même si on a deux joueurs importants qui sont blessés (Sels et Mothiba) , il y a l’effectif pour faire de belles choses. On doit juste se mettre en ordre de marche.

Le milieu récupérateur que Thierry Laurey appelle de ses vœux, c’est notre priorité. On a prévu cet investissement depuis le mois de mai, indépendamment d’une vente. Mais on est à la recherche d’un profil bien précis, un joueur confirmé, avec de la maturité pour encadrer Bellegarde et Sissoko. On est focalisé là-dessus, même si on regarde aussi en direction des attaquants, puisque Mothiba est convalescent jusqu’en janvier."

Le Vietnam rêve de Cabaye

09/09 08:20
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Le site vietnamien The Thao 24/7 a évoqué hier le cas de l'ancien numéro 29 des Verts.

"Le milieu de terrain de classe mondiale d'origine vietnamienne se retrouve au chômage après sa saison passée à Saint-Etienne. Sa grand-mère paternelle est une Vietnamienne née à Hai-Phong [ndp2 : son grand-père l'a rencontrée lors de la guerre d'Indochine selon Le Courrier du Vietnam]. "Peut-être que j'irai vivre au Vietnam. J'aimerais aider ce pays, le foot est la première chose qui me vient à l'esprit" avait déclaré l'ancien joueur du Paris-Saint-Germain en regardant la Coupe d'Asie de 2019. Le principal frein pour attirer le joueur de 34 ans au Vietnam est son salaire car il touchait plus de 100 000 euros par mois à Saint-Etienne. Mais vu son âge et son statut de chômeur, il serait tout à fait capable de venir jouer en V-League pour 10 000 à 20 000 euros par mois."

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