Ricky a mis en déroute l'armée verte et blanche
17/10 21:36
Surnommée "l'armée verte et blanche", le FC Groningen n'aura résisté qu'une mi-temps hier à Twente avant de s'incliner face à un excellent Ricky Van Wolfswinkel (33 ans), élu homme du match. Passeur décisif sur les deux premiers buts de son équipe, l'ancien attaquant stéphanois a marqué le troisième but d'un tir croisé du gauche.
⚽ GOL - DOELPUNT - GOAL
— 🇳🇱 Futebol Holandês 🇳🇱 (@FutebolHolandes) October 16, 2022
FC TWENTE!!! 🥳
⏰ | 84 Minutos
👦🏽 Ricky van Wolfswinkel
🐴 FC Twente 3⃣
🟢 FC Groningen 0⃣
📌 | Eredivisie 2022/23 - 10º Rodadapic.twitter.com/fqdXzUNQRY
Amougou et Agesilas aux éliminatoires de l'Euro U17 !
17/10 21:19
Titularisé hier avec le numéro 9 à Montpellier lors de la nouvelle défaite des U19 stéphanois, Meyvin Agesilas (à gauche sur la photo) accompagnera le prometteur milieu de terrain Mathis Amougou en Macédoine du Nord lors du premier tour des éliminatoires de l'Euro U17. Ces deux garçons stéphanois font en effet partie des 20 joueurs sélectionnés par Jean-Luc Vannucchi pour affronter le Luxembourg (le 24 octobre), le pays hôte (le 28 octobre) et l'Islande (le 31 octobre). On aura noté que seul le VAFC a réussi comme l'ASSE à placer deux de ses éléments dans cette sélection où les vilains brillent par leur absence !
Pour Dieu, c'est horrible !
17/10 19:54
Si les trois présidents Nanard, Roro et Jef se murent dans un assourdissant silence, Dieu assume et monte au front ce soir dans Le Progrès. Extraits.
"Il n’y a pas de hasard, si on est là, c’est qu’on le mérite. On avait communiqué sur un projet de deux ans, on savait que ça allait être compliqué mais on n’imaginait pas à ce point-là (...) À force, ce n’est pas usant de vivre dans la crise permanente ? C'est horrible (...) Je prends bien sûr ma part de responsabilité dans cet échec (...) Il faut aussi que les joueurs assimilent le fait de jouer à Saint-Etienne. Ce n’est pas un club comme les autres (...) Je n'ai pas fixé un nombre de points à prendre avant la trêve.
On souhaite juste sortir au plus vite de la zone rouge. Et rester soudé en interne (...) Laurent Batlles pourrait-il être menacé ? Il n’en a jamais été question. Laurent a présenté un projet sur deux ans. Si on lui dit merci au bout de deux mois, c’est qu’on est fou (...) Quand je vois notre effectif et celui des autres équipes de Ligue 2, on n’a pas grand-chose à leur envier (...) J’aurais pu rester tranquille chez moi. Je suis venu pour aider. Quand on a été compétiteur, on a envie de relever des défis. Je ne suis pas là pour moi mais pour le club."
Assane en pleine lucarne
17/10 19:40
Entré en jeu à la 71e minute, Assane Diousse a marqué hier à la 89e d'une somptueuse reprise de volée du gauche en pleine lucarne le but égalisateur de l'OFI Oraklion sur le terrain de Giannina.
LE GOLAAAAZO D’ASSANE DIOUSSÉ AVEC L’OFI CRÈTE 💣🔥
— 🇸🇳 𝐄𝐝𝐨𝐮 𝐃𝐢𝐨𝐧𝐞 💙❤ (@i_nmess) October 16, 2022
🔝 @AssaneDiousse 🇸🇳
pic.twitter.com/4lVpoxIHa5
Pour rappel, le milieu de terrain sénégalais n'avait claqué qu'un seul pion en 55 matches disputés sous le maillot vert. Il avait inscrit à la 86e le second but de la victoire (2-0) des Verts contre Toulouse le 14 janvier 2018.
On aura noté que cette 8e journée du championnat grec a été marquée par la 4e victoire en 4 matches du loser devenu cador Harold Moukoudi, titularisé pour la 3e fois consécutive.
Genèse de la vilainie
17/10 16:29
Dans son édition d'hier, la Pravda a enquêté auprès de Benjamin Biolay et Bruno Genesio sur l'identité lyonnaise. Comment devient-on vilain ? Est-ce une tare héréditaire ou une maladie contagieuse ? Comme souvent on se rend compte que sans nous, ils ne sont en définitive pas grand chose :
"Ce n'est pas vert c'est kaki" a expliqué l'entraîneur du Stade Rennais en parlant de son pantalon. Idem pour les journalistes ou le manager de l'artiste, qui nous recevait dans ses locaux du boulevard Saint-Germain, au sujet ici d'une écharpe, là d'une chemise. Pour l'attaché de presse, "il n'y avait pas de risque". Un jour, elle est venue à un concert avec un tee-shirt vert, Benjamin Biolay lui a dit : "c'est interdit". C'est du folkore, tout le monde en est conscient, mais c'est un peu plus que ça. On ne rigole pas avec la rivalité Lyon - Saint-Etienne. "Ca nous appartient, c'est un truc local, comme les conscrits à Villefranche-sur-Saône", insiste Biolay. "Ca compte." Toutefois personne ne se réjouit du malheur des Verts, désormais en Ligue 2. "Y a plus de derby, c'est con" lâche sincèrement Genesio. L'auteur-compositeur-interprète abonde : "quand ils sont mal classés, ça nous fait marrer, mais quand ils sont tombés, je ne me marrais plus du tout." De quoi pousser l'ancien joueur et entraîneur de l'OL au sacrilège : "on en arrive à devenir presque supporters des Verts pour qu'ils remontent."
Mauvais sang ne saurait mentir, Genesio se contredit quelques instants après : "Non je suis supporter lyonnais. On m'a posé la question quand il y a eu le derby la saison passée : "alors vous allez supporter Saint-Etienne, parce que vous êtes à la lutte avec Lyon" ? Mais c'est impossible pour moi de supporter Saint-Etienne. Alors je veux que Rennes termine devant Lyon, c'est mon job, c'est le club pour lequel je travaille. Mais je reste supporter de Lyon. C'est ce que disait Benjamin, on a une histoire avec ce club."
Juju tuteur
17/10 07:07
D'après Le Progrès, "Julien Sablé attend le projet qui lui permettra de retrouver les terrains en visionnant de nombreux matches de National et de Ligue 2. Au cas où un dirigeant d’un club en difficulté fasse appel à lui Il a été entre-temps sollicité par la Fédération française de football, qui lui a demandé d’encadrer vingt-cinq séances de formation au BEPF en tant que tuteur."
Gilbert navré par ces Verts
17/10 07:02
L'ancien gardien stéphanois Gilbert Ceccarelli, qui a assisté avant-hier à la défaite des Verts contre le Paris FC, livre aujourd'ui ses impressions dans Le Progrès. Extraits.
"Ce qui m’inquiète, c’est qu’on manque de percussion, de vitesse, d’impact, de grinta. On tourne en rond, l’adversaire voit trop ce que l’on veut faire. En Ligue 2, il faut que ça aille plus vite, quitte parfois à pratiquer un hourra football. Samedi, j’ai vu un match trop scolaire. En première mi-temps, à force de reculer comme si on avait peur d’eux, les Parisiens ont pris confiance tranquillement. Sur le terrain, je n’ai pas vu cette passion stéphanoise qui te permet normalement d’étouffer l’adversaire. On ne les a pas harcelés, ni acculés sur leur but.Les joueurs vont devoir obligatoirement se remettre en question et se lâcher. Il faut qu’ils prennent conscience du contexte de la Ligue 2, que c’est un championnat plus engagé et qu’ils enfilent le bleu de chauffe. On est trop gentil."
Puel souhaite le meilleur aux Verts
17/10 06:45
Claude Puel clôt de la sorte le chapitre vert "En mission" de son autobiographie Libre parue il y a quatre jours aux éditions Solar.
"Je ne commenterai pas ce qui a été fait après moi et la direction prise par le club. J'ai souhaité ardemment que celui-ci se maintienne, pour ses supporters et ses salariés comme pour tous ces jeunes joueurs qui représentent l'avenir du club. Je remercie tout mon staff, compétent, travailleur et dévoué, tous ces joueurs ou leur entourage qui m'ont témoigné gratitude et soutien.
Mes ex-présidents sont atypiques, c'est vrai, avec une sensibilité différente et des personnalités opposées. Je m'en suis accommodé et j'ai pu apprécier nos entretiens, notamment lors de nos échanges quant au devenir du club pris dans la tourmente et d'incessants scénarios extrêmes que nous devions affronter ensemble.
L'ASSE est un grand club. Passé la tristesse de la relégation, il peut aujourd'hui poser les bases de son futur avec une masse salariale enfin maîtrisée et la possibilité de réinvestir sur des transferts de joueurs ciblés. Leurs coûts pourront s'étaler sur la durée de leurs contrats, apportant une vraie plus-value à l'équipe pour encadrer toutes ces jeunes pousses prometteuses et à potentiel.
La création par la Ligue Nationale d'une société commerciale, avec le fond luxembourgeois CVC Capital Partners, permettra l'obtention, pour tous les clubs, d'une manne financière conséquente et réparatrice. Et donc pour les Verts, un assainissement financier. Comme pour chacun de mes clubs parcourus, je resterai attentif au devenir des Verts en leur souhaitant le meilleur."
Heureusement que la réserve est là…
16/10 23:58
Mathis Saban, auteur du penalty
Alors que la plupart les équipes n’ont pas joué cette cinquième journée de championnat de National 3 (groupe Auvergne Rhône-Alpes) pour disputer le 6ème tour de Coupe de France, l’équipe réserve, sans Jibril Othman, laissé à disposition de Laurent Batlles et entré en jeu contre le Paris FC, est venue à bout de son homologue clermontoise.
Débutée sur un bon rythme, la partie voit les réservistes se créer plusieurs occasions et c’est sur l’une d'elles qu'Anas Namri se voit accorder un penalty. C’est Mathys Saban qui le transforme. Quelques minutes plus tard, il est l'auteur d'une grosse frappe, mais le gardien l’empêche de réaliser le doublé. Malgré de nombreuses occasions, la mi-temps n'arrive que sur le score de 1-0.
A la reprise, la défense se fait surprendre sur une grosse erreur. Les joueurs de Clermont Foot égalisent à la 48ème minute. Nullement décontenancés par cette égalisation, les Verts repartent à l’assaut des buts clermontois. Peu avant l’heure de jeu, le coach procède à deux changements, et à peine 5 minutes après son entrée en jeu, Cheikh Fall marque le second but stéphanois. Coaching gagnant !
L’équipe, solidement installée dans le camp de Clermont, continue à se montrer dangereuse mais plus rien ne sera marqué. La victoire permet à l'ASSE de passer, au classement, devant son adversaire du jour.
ASSE-Clermont 2-1.
Buts : M. Saban (10e), C. Fall (63e) pour l’ASSE; Mabrouk (48e) pour Clermont Foot
La composition : Fall – Namri, Sow, Owusu, Calodat - Maïga, Sidibé Ah. (C. Fall, 58e), Gauthier – Aiki (Correia, 58e), Sidibé Ab (Bladi, 79e)., Saban (Mukanya, 90e).
La réaction de Razik Nedder : “Le premier sentiment est la satisfaction d’avoir gagné chez nous. C’est vrai que nos deux matchs précédents à domicile nous avaient laissé un goût d’inachevé. Alors que nous avions dominé sans réussir à l’emporter, nous étions très frustrés de cette situation. D’autant plus que nous sommes allés chercher des victoires à l’extérieur, chez des adversaires où il n'est jamais facile de l’emporter.
On est satisfait de cette victoire dans le contenu, alors que nous avons moins dominé le match que les précédents sans réussir à gagner à domicile. Sur la première mi-temps nous avons fait mal à notre adversaire, je pense que le score aurait pu être bien plus important. A la mi-temps j’ai eu peur de le regretter même si finalement cela s'est bien terminé. Clermont est une équipe qui, lorsqu’elle a le ballon, ouvre énormément le jeu. Lorsque nous l'avons récupéré, on avait beaucoup d’espace pour attaquer avec de la percussion et de la vitesse. Les attaquants ont tenté de jouer à chaque fois rapidement et d'utiliser les espaces.
Le match a été équilibré, mais il y a des matchs qu’il faut apprendre à gagner, ça fait partie de la formation des joueurs de remporter ces matchs là. On a fait preuve de tranchant, on s'est fait plus mal que notre adversaire sur le terrain et je pense que cette victoire est méritée. Au niveau du classement, nous dépassons notre adversaire du jour. Les autres équipes auront quasiment toutes un match en retard avec la Coupe de France. Les matchs en retard ne sont jamais évidents à gagner. Nous avons pris des points c’est toujours intéressant de pouvoir préparer notre prochain déplacement en étant devant les autres équipes.”
La mission maintien est passionnante, pas dégradante
16/10 22:02
Jérôme Alonzo s'est confié à France Bleu au lendemain de la très inquiétante cinquième défaite des Verts de ce premier tiers de saison. Extraits.
"Cela me rappelle exactement la saison 97/98 en D2, où nous nous sommes battus jusqu'au bout pour ne pas descendre. Au départ, nous avions évidemment d'autres objectifs et puis, au bout de deux mois, nous n'y étions pas. A mon époque comme pour aujourd'hui, il n'y a pas de honte à changer d'objectif, et il faut le changer. Changer de mentalité, passer en mode guerrier, en mode maintien. Aujourd'hui, chacun doit avoir conscience de l'endroit où il se trouve, à Saint-Étienne. Tous les joueurs ont-ils conscience d'être dans un club historique ? Je sais que l'entraineur et le staff l'ont, mais pour les joueurs, je ne le sais pas. Les joueurs ont-ils, dans leur tête, la possibilité de changer de curseur ? Je ne le sais pas.
Cette saison va être longue, c'est une certitude, mais elle peut aussi être gratifiante. En 97/98, nous nous sauvons lors de la dernière journée et l'année suivante, nous sommes champions de D2. Cette saison peut donc être le début de quelque chose, mais il faut en prendre conscience. Il faut surtout en avoir envie. La mission maintien est passionnante, pas dégradante. Une page de l'histoire de l'ASSE se joue cette année. Il faut en avoir pleinement conscience. Aujourd'hui, à l'ASSE, nous sommes au-delà du terrain, au-delà du football. Laurent Batlles le sait, mais est-il le seul à le savoir ? Ce sont aux leaders de son équipe d'insuffler quelque chose. La survie d'un club historique est en jeu et je ne sais pas si tout le monde en a bien conscience parmi les joueurs.
A Saint-Étienne, le public est fidèle, mais il est aussi sensible. Les supporters sont touchés par ce qu'il se passe en ce moment. Tourner le dos aux joueurs, c'est aussi tourner le dos à un contexte. En 97/98, je me souviens d'un hiver très pénible où nous nous sommes fait attaquer à coups de pierre, où les voitures ont été dégradées. Si tu veux une carrière tranquille, tu ne viens pas à Saint-Étienne. Des clubs tranquilles, il y en a plein. Quand tu es à Saint-Étienne, il faut savoir assumer et accepter certaines choses. Je ne cautionne pas la violence chez les supporters mais la contestation, il faut savoir la comprendre et l'écouter."
Merci les filles !
16/10 20:48
Alors que les Pros, les U19 et les U17 se sont inclinés ce week end, le rayon de soleil vert était encore à chercher du côté des filles.
L'équipe de Laurent Mortel s'est imposée 2-0 à Grenoble sur des buts de Laury Jésus et Elise Legrout. Cette 5ème victoire en 5 journées lui permet de conserver la première place de la poule B de D2, toujours à égalité avec Marseille victorieux de Montauban (3-0).
La réaction du coach : "Ca a été une rencontre à sens unique. On n’a pas réussi à faire sauter le verrou très resserré en première mi-temps. La clé a été le changement de système que l’équipe s’est approprié. J’ai demandé aux attaquantes de se concentrer sur des remises en appui. Avec plus de variété, nous avons obtenu des coup-francs, un penalty et d’autres actions. L’équipe a su être patiente et a trouvé les solutions. Ce n’était pas une mince affaire face au projet de jeu affronté mais c’est un succès amplement mérité. Le haut du classement reste serré et nous permet de rester concentrés."
La prochaine étape du mano à mano se disputera le week-end prochain avec la réception d'Yzeure (8è) pour les Vertes et un déplacement à Albi (7è) pour Marseille.
Le lundi c'est Roro dit !
16/10 20:30
"Romeyer, qui n’avait pas mis les pieds au stade depuis le barrage en mai, est resté longtemps à Geoffroy-Guichard pour débriefer le match avec ses proches. Ce lundi, il rencontrera le trio Soucasse-Rustem-Perrin en compagnie de Batlles" nous apprend ce soir Le Progrès. "Autant pour demander des comptes, alors que le club devait vivre une tranquille saison de transition, que pour rappeler à la direction opérationnelle qu’elle aura les moyens de recruter au mercato d’hiver. Et même avant si le besoin d’un joker se fait sentir."
U16 : Verts et vilains dos à dos
16/10 20:05
Axel Dodote, titulaire en milieu de terrain
C'était aujourd'hui, à midi, le derby, le match tant attendu qui opposait les Verts de Kevin De Jesus aux vilains voisins, des vilains voisins qui n'avaient sûrement pas oublié que l'an dernier, ils avaient encaissé deux 3-0 alors qu'ils étaient en U15. Pas de fanfaronnade donc même si l'OL devance les Verts au classement, mais une équipe bien renforcée par des joueurs descendant des U17 nationaux. Côté stéphanois, c'était quasiment l'équipe habituelle puisque Romain Lunetta, Djylian N'Guessan et Quentin Prud'homme opéraient hier avec les U17. Résultat : un derby très serré qui s'est terminé par un match nul (1-1)
Face à une belle équipe lyonnaise, les Verts ont affiché, en première mi-temps, une solide maîtrise sans être mis en danger sur le plan défensif. Le gros regret, ce sont les trois face-à-face que les Stéphanois n'ont pas su gérer et qui auraient les faire passer en tête au repos qui survenait sur le score de 0-0.
Les Verts revenaient un peu timorés et se faisaient surprendre dès la reprise, à la 48ème minute, sur une belle action lyonnaise. En terme de possession, ce deuxième acte fut à l'avantage des vilains qui ne se montraient cependant guère dangereux. Le jeu n'avait ni l'intensité, ni la qualité de celui proposé avant le repos. Les Verts se créaient néanmoins deux grosses occasions qu'ils n'arrivaient pas à conclure, avant de réussir à égaliser sur penalty dans le temps additionnel : sur un ballon de Rayan Boukadida dans le dos de la défense, Nadir El Jamali s'infiltrait, crochetait le défenseur qui faisait faute. Rayan Boukadida ne se faisait pas faute de transformer le penalty qui suivait.
La composition : Massé - Ruiz, Boukadida, Ali Ahamada, Grillot - Depalle, Tatuszka (El jamali, 55ème), Dodote - Venière-Jusseron (Gardant, 65ème), Guerroudj (Poble, 65ème), Méité
La réaction de Kevin De Jesus : "J'ai une impression mitigée, car, en première mi-temps nous avons eu de grosses occasions qui auraient pu et auraient même dû nous permettre de prendre l'avantage, mais aussi parce que nous obtenons l'égalisation in-extremis, sur penalty dans le temps additionnel. La première mi-temps a été intense et à notre avantage. Après le repos, le jeu a baissé d'intensité, les Lyonnais ont eu la possession, et ont pris rapidement l'avantage. Nous n'avons jamais abdiqué et avons réussi à égaliser en toute fin de match sur penalty. "
Les U19 encore défaits à Montpellier
16/10 19:52
Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum : les U19 ont concédé cet après-midi à Montpellier lors de la 9e journée leur 4e défaite de la saison et pointent désormais à la 10e place (sur 14 équipes) à 7 points du duo de leaders héraultais (l'AS Béziers et le MHSC).
Il a fallu attendre la 25e minute pour assister au premier tir de cette première période peu enthousiasmante (frappe non cadrée des locaux). A la demi-heure de jeu, les Verts ont enfin réalisé une belle action collective : passe de Kenzo Kies pour Simon Cateland qui a glissé le ballon à Youssef Njoya, rattrapé in extremis par un Pailladin. Les Héraultais ont dominé le dernier quart d'heure avant la pause, obligeant Cédric Boustouler à sortir une parade décisive sur une tête consécutive à un coup franc. Sainté s'est procuré sa première occase à la 42e sur un tir de Simon Cateland arrêté en deux temps par le portier montpelliérain.
Profitant de la mauvaise entame de seconde période des Stéphanois, Tyrone Sacko (ex-capitaine des U17 du SC Lyon sans lien de parenté avec Lamine ou Mamadou) a logiquement ouvert le score à la 54e minute sur une action venue de la droite. Youssef Njoya a eu une belle opportunité d'égaliser à l'heure de jeu mais sa frappe complètement écrasée a été facilement arrêtée. Les Montpelliérains ont finir par convertir une de leurs nombreuses balles de break par l'intermédiaire de leur entrant Yanis Azouazi à la 83e. Entretemps, les Verts auraient peut-être pu bénéficier d'un péno réclamé en vain par leur entraîneur pour un tirage de maillot.
Sur une passe de Beni Seda Mfukumoko, entré en jeu dès le retour des vestiaires à la place du revenant Kenzo Kies, le capitaine stéphanois Pierre Mbemba a réduit le score à la 87e d'une frappe imparable au point de penalty. Sainté n'a pas eu l'occase d'égaliser, Montpellier a raté de peu le but du 3-1 dans le temps additionnel. N'ayant pris qu'un petit point lors de leurs cinq derniers match, les U19 devront impérativement réagir le week-end prochain à L'Etrat contre une équipe niçoise encore moins bien classée (11e) et battue par Air Bel, club amateur phocéen qui l'avait emporté le week-end dernier à Aimé Jacquet.
La réaction de Jean-Luc Dogon : "Je suis déçu du score mais j'ai trouvé qu'il y avait du mieux en termes d'état d'esprit. C'est ce que j'avais mis en avant le match, il fallait qu'on retrouve ces valeurs de se battre, d'essayer. Tout n'est pas parfait, loin de là, on a encore pris deux buts sur des grosses erreurs. C'est plus ça qui est gênant mais au moins les garçons n'ont pas lâché, on a eu le mérite de revenir à 2-1, on a essayé d'arracher le nul. On n'a pas réussir à le faire face à une belle équipe de Montpellier. On les a quand même mis un peu en difficulté en deuxième mi-temps mais on sentait qu'ils étaient un peu plus matures. Leur réserve ne jouait pas alors que la nôtre jouait dans le même temps contre Clermont, du coup on a joué plus jeune qu'eux. Si on garde l'état d'esprit derrière et qu'on se concentre devantage derrière pour ne pas donner des buts aussi facile, ça finira par tourner en notre faveur."
Nanard n'en a que pour les Emirats
16/10 11:50
Si Roro a fait hier son retour à Geoffroy (il a quitté la tribune avant la fin de ce nouveau revers des Verts), Nanard a d'autres priorités que Sainté. Président du World Corporate Summit qui se tiendra du 21 novembre au 15 décembre à Dubaï, il a fait l'éloge des Emirats Arabes Unis sur la chaîne de l'agence de presse d'un pays où il avoue résider depuis deux ans...
Et Benzema climatisa le Chaudron...
16/10 10:48
Fousseni Diawara est revenu hier pour 20 Minutes sur le coup franc égalisateur des vilains à la 92e minute du derby de janvier 2008 dans le Chaudron.
"Je me souviens très bien de ce but. J’étais sur le banc et quand Karim pose le ballon, je préviens mes coéquipiers qu’il va marquer. J’avais beau savoir que ce n’était pas spécialement un tireur de coups francs, quand on connaît la dramaturgie du derby… J’ai vu mon partenaire Bafé Gomis faire son signe de croix dans le mur. A sa manière de prendre ses responsabilités sur le coup, à sa course d’élan, j’étais certain que Benzema allait égaliser. Il faisait déjà très froid en plein hiver à Sainté, mais il a climatisé le Chaudron.
Je l’avais découvert en allant voir le derby des U17 nationaux. J’avais immédiatement été bluffé par sa justesse dans tout ce qu’il faisait, sa technique, son sens du but. Quand après, j’ai vu ce jeune joueur prendre autant d’initiatives en L1 dans une telle équipe, je me suis dit que l’OL s’était peut-être trouvé un attaquant pour 15 ans. Mais j’étais loin d’imaginer sa carrière au Real Madrid, et de le voir se bonifier à ce point avec les années."
Amiens aussi voudra se racheter
16/10 09:47
Programmé le samedi 22 octobre à 15h00 au stade de la Licorne, le match d'ouverture de la 13e journée de L2 mettra aux prises deux équipes très décevantes hier et défaites sur le même score (Sainté à la maison contre le Paris FC, Amiens contre Nîmes aux Costières). De façon plus virulente que son homologue stéphanois alors qu'il compte 15 points de plus, Philippe Hinschberger s'est exprimé en conférence de presse.
"Cette première mi-temps nous a plombés, on n’est pas venu pour faire mal à l’adversaire. On a joué de nos trente mètres aux trente mètres adverses. On n’a pas eu de profondeur, de courses vers l’avant, nos attaquants étaient tout le temps dos au but. On a des centres sur lesquels on est hors-jeu, sur le deuxième but c’est Tolu qui donne le ballon…Qu’on joue sur nos points forts bordel ! Nîmes nous a attendus, ils ont profité des munitions qu’on leur a données et ils mettent deux buts. C’était vraiment affligeant.
Je ne peux pas m’expliquer les choses. Je ne peux pas m’expliquer qu’on perde des ballons de manière aussi inexplicable. Je ne peux pas expliquer qu’on ait aussi peu envie de courir vers le but adverse. Je le répète, on n’entre jamais dans la surface adverse en première période. A partir de là, on sait que ça va être compliqué. Je trouve qu’on a vite plié bagages. En fin de match, on a accepté notre sort, on doit changer ce genre d’attitude.
On n’a pas la prétention de vouloir gagner tous nos matchs. On va en perdre d’autres mais il y a perdre et perdre. On n’a même pas perdu le match, on l’a donné à Nîmes ! On leur a servi les buts sur un plateau d’argent. C’est ça qui m’énerve. C’est la troisième défaite en douze matches, on a toujours su rebondir derrière avec trois victoires, espérons que ce soit à nouveau le cas. En tout cas, on n’a pas joué comme une équipe qui voulait devenir leader ! La semaine dernière, il a fallu ramer contre Dijon mais tout le monde a bougé son cul !
Là, je n’ai pas reconnu mon équipe de ce côté. On n’a pas fait notre match tout simplement. Pourtant, on n’a pas toujours cette chance dans une saison, dans une carrière, de jouer la première place. Quand cette chance se présente, tu dois avoir un autre comportement. Les choses ne vont jamais venir simplement. On a sept victoires mais on a été les chercher à chaque fois en raclant la pelouse ! Dès qu’on est un peu moins bien, on le paye. On est comme tout le monde, on n’a pas de marge !"
Bouchouari suspendu en Coupe
16/10 09:13
Si Dylan Chambost a été averti hier pour la première fois de la saison, Benjamin Bouchouari a mangé sa troisième biscotte après celles qu'il avait ingurgitées à Valenciennes et à Pau. Comme l'atteste l'incontournable tableau des cartons de notre fidèle potonaute ozzy, le milieu de terrain marocain ratera donc le match de Coupe de France du 30 octobre. Pour rappel, les Verts connaîtront leur adversaire lors du tirage au sort mercredi prochain.
Tout le monde dort, on ne fait pas les efforts
16/10 08:47
Navré par le triste spectacle auquel il a assisté hier après-midi dans le Chaudron, l'ex-adjoint de Galette Alain Blachon pointe le manque de détermination des Verts dans la dernière édition du Progrès.
"Ce n’est pas un problème de système. C'est l’état d’esprit, le manque de volonté dans l’agressivité, les impacts. Tu ne gagnes pas un duel, tu ne gagnes pas les deuxièmes ballons. Tout le monde dort, personne ne se replace. On ne fait pas les efforts. Or, la détermination, c’est ce qui fait la différence en Ligue 2. Sur l'ouverture du score, ce n’est pas Etienne Green le plus coupable, tout le monde doit faire mieux. Sur le second but, il y a un problème d’anticipation. Le ballon est dans notre surface de réparation. On doit se jeter comme des morts de faim pour le dégager. On est toujours en retard !"
Puel revient sur la fin de son aventure stéphanoise
16/10 08:34
Dans son autobiographie Libre parue il y a trois jours aux éditions Solar, Claude Puel revient sur la fin de son aventure stéphanoise. Extraits.
"Le mois de janvier 2021 voyait Xavier Thuilot nous quitter. J’avais conditionné ma venue à sa prise de fonction en tant que directeur général. Je pressentais la difficulté de la tâche et j’avais besoin de quelqu’un de compétent et solide à mes côtés. Former un duo pour redresser le club et mener un tel retournement de modèle n’était pas un luxe. Malheureusement, Xavier ne pourra jamais travailler sereinement, avec les coudées franches, pour les responsabilités qui lui incombaient. Il n’a jamais été accepté en tant que tel et son action a toujours été scrutée et contestée. Il était un sujet de tensions entre dirigeants, l’un pensant que l’autre avait voulu l’imposer. Il n’en était rien, bien sûr. Je perdais mon équipe en plein milieu du gué. Il était remplacé quelques mois plus tard par Jean-François Soucasse, disponible après avoir œuvré de longues années à Toulouse. Je ne le connaissais pas (…) Le feuilleton de la vente, sans cesse alimenté, où s’affichaient toujours plus de prétendants en mal de projecteurs et de publicité à bon compte ajoutaient inquiétude et questionnement, voire colère dans notre environnement.
J’avais eu jusque-là avec les supporters une relation sincère. Ils avaient dans un premier temps été séduits par le projet et, par la suite, compréhensifs par rapport à notre situation et à notre manque de moyens. J’ai toujours essayé d’avoir un discours vrai avec eux, de ne pas transfigurer les faits lors de nos rencontres et de nos échanges. Puis la donne s’est soudain inversée. Quel a été l’élément déclencheur ? En une quinzaine de jours, je n’étais plus la personne appropriée. La « réception » organisée par nos supporters à l’aéroport pour notre retour après un match nul à Metz, avait sûrement définitivement acté, dans l’esprit de Jean-François Soucasse notamment, mon départ. Il n’était pourtant pas bien loin le temps où il me confiait que sans ma présence il ne serait jamais venu à l’ASSE, ou que j’étais la personne idoine pour un tel projet.
Sa seule interview, diffusée sur une radio locale, à vocation de calmer une frange de supporters, ne laissait pas place à l’équivoque. J’étais ramené à ma simple condition d’entraîneur responsable du simple résultat à venir et non plus la caution d’un projet à mener. Pour lui et les dirigeants, la pression n’était sûrement plus supportable. Je quittais le club accompagné de Jacky Bonnevay au bout de la 17e journée de championnat, à une peu reluisante dernière place, il est vrai, mais à deux points seulement du premier non relégable, alors qu’il restait 21 matches à jouer. Cette situation que j’’avais pu connaître, à Lille et à Nice, bien que périlleuse ne m’était donc pas étrangère. Mon action, qui était de permettre au club de faire face à son endettement en essayant de réduire la masse salariale, en développant des actifs et des jeunes joueurs de la formation, tout en maintenant bien sûr l’ASSE dans l’élite, n’était plus d’actualité.
Je crois aux vertus du travail, à l’entretien et à la continuité d’un projet de jeu et de développement quand le manque de moyens ne permet pas d’autres alternatives. Les deuxièmes parties de saison sont, en général, bien plus probantes et révèlent les progrès individuels et collectifs. C’était le cas l’année précédente, lorsque nous avions terminé au milieu du classement. Garder le cap, malgré les aléas et les difficultés de parcours, est toujours un socle sur lequel s’appuyer pour avancer. Dès mon intronisation, l’étude de la situation de l’ASSE ne me laissait pas de doutes. J’étais en « mission ». J’étais prêt. Prêt à me battre contre toute cette adversité. Mais malheureusement, Xavier parti, je n’avais plus ce soutien indispensable dans cette épreuve."
Stevens Leleux dans l'effectif du MYF
16/10 00:42
Certains sites n'avaient pas hésité à affirmer qu'il avait quasiment signé au FC Sochaux.
Que nenni ! Stevens Leleux, 21 ans, ancien du centre de formation de l'ASSE, laissé libre cet été, s'est engagé avec le MYF (Moulins Yzeure Foot) qui est lanterne rouge en National 2, mais qui a battu il y a deux semaines la réserve du FC Lorient.
Stevens Leleux a effectué, ce soir, ses débuts officiels, à l'occasion du 6ème tour de la Coupe de France qui a vu Moulins Yzeure se faire sortir (1-1, 3-2 tab) par Cournon Auvergne FC, club de R2.
La semaine dernière, il était remplaçant dans le match qui avait vu son équipe l'emporter (1-1, 6-5 tab) face à l'AS Domérat de Sidy Sagna.
Stevens Leleux est arrivé à l'ASSE en 2012, à l'âge de 11 ans, et a donc passé 10 ans chez les verts. Il a remporté la Coupe Gambardella en 2019, sous la direction de Razik Nedder Cette même année, il avait participé à des rassemblements de l'équipe de France U19.
Les anciens Verts en Ligue 2 (J12)
15/10 22:21
Les Verts, battus à domicile (0-2) par le Paris FC de Thierry Laurey et Morgan Guilavogui, remplacé à la 75ème, sont plus que jamais dans la zone de relégation, dans laquelle figure également le Rodez Aveyron, de Nassim Ouammou (averti et remplacé à l'heure de jeu) qui a toutefois tenu en échec (1-1) le co-leader provisoire havrais.
Maladroits, le FC Metz, où Habib Maïga a joué toute la rencontre, et le FC Sochaux se sont quittés sur un nul (0-0). Les Sochaliens sont en tête du classement en attendant le match des Bordelais à Bastia.
Alpha Nelson Sissoko était titulaire dans l'équipe de Quevilly Rouen Métropole qui a obtenu le nul (0-0) à Dijon.
Henri Saivet et les Palois de Didier Tholot réalisent la bonne opération en s'imposant (0-2) à Annecy où Vincent Pajot était titulaire. Romain Spano, entré à l'heure du jeu, n'a pas réussi à redresser la barre pour les Hauts-Savoyards.
Les Grenoblois de Vincent Hognon l'ont emporté (0-3) à Niort, laissant les Chamois à la dernière place et permettant ainsi d'éviter la lanterne rouge aux Verts.
Le Valenciennes FC du capitaine Mathieu Debuchy (photo) a battu Guingamp et grimpe à une belle 5ème place.
Les U15 ont le dernier mot contre les Sanpriods
15/10 21:13
Brandon Nativoha, passeur et buteur sur penalty. (Photo : Thomas 99)
Victoire 2-1, cet après-midi à l'Etrat, des U15 de Jean-Philippe Primard, des U15 certes privés de Noam Aïni, Tom Teillol, Sacha Poyet et Kélyan Granier mais le moins que l'on puisse dire c'est que ce ne fut pas aisé. Il faut dire que l'adversaire n'était pas venu en victime expiatoire et qu'il a montré qu'il n'occupait pas par hasard la place de leader.
Les Sanpriods sont les maîtres du jeu pendant les vingt-cinq premières minutes, monopolisant le ballon, et ouvrant logiquement le score à la 16ème minute : sur un ballon dégagé suite à un corner, la défense stéphanoise sortant sur le ballon, oubliait un attaquant adverse placé à l'opposé qui, à la réception d'un centre, lobait Alexis Colombet, de la tête, après un rebond.
Les Verts n'allaient pas tarder à réagir, à regagner les duels et à retrouver un peu leur jeu collectif. Ils allaient être récompensés à la 31ème minute : Brandon Nativoha récupérait un ballon côté gauche, débordait, et plaçait un centre, bien appuyé, au sol dans les six mètres que Sonny Yvars s'empressait, de près, de glisser au fond des filets.
Les Verts repartaient, après le repos, avec les mêmes intentions et prenaient l'avantage à la suite d'un corner sur lequel Lucas Mical se faisait bousculer et se voyait octroyer un penalty, peut-être un peu sévère, que Brandon Nativoha convertissait en but à la 52ème.
Les Verts réussissaient à garder cet avantage, mais avaient du mal à se montrer dangereux, restant sous la menace d'attaquants adverses rapides qui se sont créés plusieurs occasions.
La composition : Colombet - Favier, Maisonneuve, Mical, N.Mouton - Eymard, Charros, Yvars (N.Moulin, 70ème) - N.Moulin (Ploton, 40ème), Patry (Chakroun, 40ème), Nativoha (Patry, 70ème)
La réaction de Jean-Philippe Primard : "Le match a été très difficile, face à une très belle équipe de St-Priest, comme on s'y attendait, qui nous a privés de ballon pendant les vingt-cinq premières minutes. Ce ballon, nous le perdions trop rapidement, nous n'étions pas présents dans les duels, par manque d'agressivité, nous n'étions pas entrés dans cette rencontre. St-Priest a logiquement ouvert le score. Nous avons ensuite bien réagi à partir de la demi-heure de jeu, entrant véritablement dans les duels, dans le match tout simplement. Avec plus de possession, nous avons retrouvé notre jeu collectif. Cela se concrétisera au tableau d'affichage. Il fallait confirmer cette embellie après le repos. C'est ce que nous avons fait : nous étions là dans l'engagement et l'état d'esprit mais techniquement, nous avons eu plus de mal, éprouvant des difficultés à nous créer des occasions. Nous prenons l'avantage à la suite d'un penalty suite à un corner. Le jeu s'est par la suite équilibré mais nous sommes restés sous la menace du jeu en profondeur de nos adversaires. Nous avons su garder, grâce à un état d'esprit irréprochable, cet avantage face à une très belle équipe. Victoire certes, mais j'attends mieux en qualité de jeu et en terme de contenu. "
On a les armes pour battre tout le monde
15/10 20:30
Juste avant de purger le premier de ses trois matches ferme de suspension, le meilleur buteur de la L2 Jean-Philippe Krasso s'est confié à Prime Video. Extraits.
"En termes de statistiques en tout cas, je vis la meilleure saison de ma carrière. J’ai toujours eu confiance en moi mais je fonctionne mieux dans une équipe où le coach ou en tout cas les joueurs me font confiance. Je pense que je suis arrivé un peu sur le tard, c’était une question de mental. Le plus beau de mes huit buts ? Celui de QRM où je fais un petit festival. Le projet, c’était de remonter en deux ans. Là, maintenant, on pense déjà à sortir de la zone rouge pour nous donner un peu d’air. Après, rien n’est impossible ! On peut faire des séries, on a les armes pour faire des séries. Chaque match a son histoire. On a l’équipe pour gagner contre tout le monde. Il n’y a pas d’équipe où on se dit "on va jouer contre eux, c’est mort".
Jouer en sélection de Côte d’Ivoire, franchement, c’était incroyable. Ça a fait vraiment la fierté de ma famille. Mes deux parents sont Ivoiriens, ils viennent quasiment du même village. Ils ont quitté le pays, ils sont venus ici pour nous offrir une meilleure vie. C’est ma manière un peu de leur rendre, de leur dire un peu merci. J’ai fait des bons trucs pour arriver là-bas, et en fait quand on arrive là-bas on voit qu’il y a un écart avec certains joueurs. En fait ça motive. Moi je suis arrivé là, il faut essayer de rester là. Il y a encore beaucoup de travail pour essayer d’atteindre le niveau de certains joueurs de cette équipe. Maintenant que je suis en Ligue 2, il faut que je sois bon en Ligue 2. On verra où l’avenir me portera."
Saint-Etienne est une très bonne équipe
15/10 18:19
Après chaque défaite des Verts, l'adversaire met en exergue la qualité de Sainté. Thierry Laurey n'a pas dérogé à ce rituel au micro de beIN Sports.
"On n’a pas paniqué, on maîtrisait le rythme du jeu, le ballon. On a encore des problèmes d’efficacité, on aurait dû ouvrir le score plus tôt. On est à 0-0 à la mi-temps puis ça tourne du bon côté. Collectivement, c'est certainement l'un des meilleurs matches qu'on ait fait. Parce que quoi qu'en disent certaines personnes, Saint-Etienne est une très bonne équipe, notamment sur le plan offensif. On se méfiait de cette équipe, on la savait très dangereuse offensivement. On a été efficaces en seconde période, on marque à 10 mais on commet encore des petites erreurs qui peuvent nous pourrir le match à la fin."
La très bonne équipe de Saint-Etienne, qui a conforté son statut de plus mauvaise défense de L2 (23 pions encaissés), sera ce soir lanterne rouge si Niort et Nîmes ne perdent pas comme Sainté à domicile...
Les U17 imitent les pros
15/10 18:11
Première en U17 nationaux pour le U16, Romain Lunetta (Photo : Thomas 99)
Encore un adversaire niçois pour les U17 de Patrick Moreau qui en recevant l'OGC avaient l'occasion de prendre, provisoirement la tête du championnat. Mais, après le nul concédé la semaine dernière face au Cavigal (3-3), les Verts n'ont pas su saisir leur chance et s'inclinent, comme les pros face au Paris FC, sur le score de 2 à 0.
Ce sont les Stéphanois qui entrent le mieux dans cette rencontre et malmènent les Niçois, sauvés par leur poteau, durant les dix premières minutes. Peu à peu, les visiteurs montent en puissance et sont récompensés par une frappe lointaine victorieuse qui leur permet d'ouvrir le score à la 34ème minute. Juste avant la pause, les Aiglons ont une triple occasion de faire le break, mais Gabin Sabathié, le gardien stéphanois, arrête un penalty avant d'être sauvé par le poteau, puis par un sauvetage d'un défenseur sur sa ligne.
Le gardien stéphanois s'inclinera une seconde fois à la 51ème et son son homologue niçois s'illustrera par la suite en stoppant, lui aussi, un péno.
La composition : Sabathié - Lunetta (N'Geleka, 54ème), Gallo, Pedro, Hornech - Fernandes, Gadegbeku, Amougou (Taiar, 64ème) - N'Guessan, Mayilla (Prud'homme, 69ème), Mimoun (Sissoko, 64ème).
On joue le maintien
15/10 17:42
Le Paris FC, qui n'avait jamais battu l'ASSE dans son histoire et avait toujours été fessé à GG, s'est logiquement imposé 2-0 cet après-midi sous le soleil et dans le Chaudron. D'une faiblesse de plus en plus inquiétante, les Verts ont réussi a prendre le second but en supériorité numérique à la 82e minute, le gardien parisien Ivan Filipovic ayant été expulsé à l'entame du dernier quart d'heure.
A l'issue de ce match d'ouverture de la 12e journée de L2, Laurent Batlles a commenté sa 5e défaite de la saison...
"On a essayé de changer certaines choses, notamment tactiquement. Cela n’a pas marché. On subit deux tirs cadrés, on prend deux buts. C’est ce qu’on vit depuis le début de la saison. On n’a pas existé, dans le jeu on aurait dû montrer beaucoup plus de choses. C’était un pari de repartir dans un système qui nous permettrait d’être plus en bloc, d’attendre un peu plus l’adversaire et de le contrer. On n’a pas su assez mettre d’intensité dans les duels ni dans les courses. A partir du moment où vous prenez un but, vous devez vous lâcher un petit peu plus, c’est ce qu’il s’est passé. Il y a eu un bel arrêt, des manqués… Mais ce n’est pas un bon match. Par rapport aux autres matchs depuis le début de la saison, ça n’a rien à voir.
On a essayé de changer un petit peu la donne pour voir ce que ça donnait, mais ça n’a pas marché. On va continuer de travailler pour changer cette spirale, qui n’est pas normale pour un club comme le nôtre. Ni pour moi, ni pour nous, ni pour les supporters. Mais on n'est à la place où l’on mérite d’être. Quand vous prenez deux buts par match, vous ne méritez pas d’être plus haut. Ce qui m’embête, c’est d’avoir autant de monde au stade et de me retrouver dans une situation qui n’est forcément pas celle que je voudrais voir. Aujourd’hui, il ne faut pas se voiler la face. Je pense qu’on joue le maintien. Il faut que tout le monde l’entende et moi le premier. Je disais que j’étais inquiet et je le répète."
Dupraz de GG aux GG
15/10 17:18
Pascal Dupraz a retrouvé ce matin une émission et une radio qui lui siéent parfaitement : "Les Grandes Gueules du sport" sur RMC. Celui qui projetait de fêter le maintien des Verts dans les kops de GG a notamment déclaré :
"Quand le PSG va gagner la Ligue des Champions sous la responsabilité de Christophe Galtier, que vont dire les Marseillais ? Qu’ils ne sont plus les seuls, mais qu’ils sont à jamais les premiers et que le PSG a eu besoin d’un entraîneur marseillais pour la gagner. C’est une projection ? Attention, je suis bon en projection ! Bon, j’aurais mieux fait d’être meilleur avec l’AS Saint-Etienne, je le concède ! (rires)"
Kolo bien parti pour transformer son essai ?
15/10 09:48
Le média Der Westen rapporte aujourd'hui les propos tenus par l'entraîneur de Schalke 04 Frank Kramer.
"Timothée Kolodziejczak était à l'essai cette semaine. C'est un défenseur central parce que nous avons bien sûr une pénurie à ce poste. Il n'y a pas eu beaucoup de séances, mais il a fait objectivement une impression sérieuse. Et en termes de caractère, nous savions déjà que c'était très positif. Il est polyglotte, a un pied gauche fort et a fait bonne impression."
Kolo semble bien parti pour transformer son essai dans un club qui a encore lourdement chuté (0-3) hier soir à domicile contre Hoffenheim en ouverture de la 10 journée de Bundesliga. Actuellement antépénultième avec la plus mauvaise défense de son championnat, Schalke 04 nous rappelle un club que l'on connaît trop bien...
Moukoudi devient un cador !
15/10 09:07
Plus beau symbole de la lose stéphanoise la saison dernière (0 victoire en 26 matches), Harold Moukoudi a remporté toutes les rencontres qu'il a jouées cette saison avec l'AEK Athènes !
Pour sa première apparition sous ses nouvelles couleurs, il avait marqué en supersub il y a un mois le second but victorieux contre Panaitolikos. Titulaire lors des deux derniers matches de son équipe, l'international camerounais a battu Ionikos il y a deux semaines et l'Aris Salonique le week-end dernier.
Alors que l'ASSE se traîne à une piteuse 18e place en L2, son ancien Sergent est actuellement 2e de l'élite grecque devant l'Olympiakos de Pape Cissé et Yann M'Vila mais à 6 points du Panathinaikos. Des verts leaders, ça laisse rêveur...