Quasiment maintenus !

08/04 22:00

Avant la rencontre, les Verts avaient déjà 95% de se maintenir selon Fabien Torre. Suite à leur victoire à Paris et aux autres résultats de cette 30e journée, le maître de conférences en informatique à l'Université Lille 3 indique ce soir que la relégation de l'ASSE (39 points) est "quasi impossible".

Si Pascal Dupraz a connu des débuts victorieux avec Dijon (désormais 18e avec 29 points) contre Rodez (13e avec 34 points), les Chamois Niortais (bons derniers avec 26 points) ont déjà un sabot en National. A nouveau titularisé par Bernard Simondi mais encore plus en difficulté qu'à Geoffroy, Dylan Durivaux a été remplacé à la pause alors que les Lionceaux menaient déjà 3-0 (score final) à René-Gaillard.

Battus par une équipe d'Amiens qui restait sur 3 défaites, les Crocodiles sont avant-derniers avec 29 points. Premier relégable avec 31 points, le Stade Lavallois a concédé son 6e revers consécutif face au GF 38 de Vincent Hognon, prochain adversaire des Verts.

Avec Henri Saivet, le Pau FC de Didier Tholot (14e) a arraché le nul contre le FC Metz privé de Habib Maïga (touché au mollet). Les Béarnais comptent désormais 5 longueurs de retard sur l'ASSE mais un petit point d'avance sur les deux premiers non relégables Annecy et Valenciennes, qui se défieront lundi en match de clôture de la 30e journée.

 

Les Verts puissance 4

08/04 21:21

Les Verts se sont à nouveau imposés ce soir sur la pelouse du Paris FC 4 buts à 2 à l'issue un match à rebondissements dans la formidable ambiance mise par les très nombreux supporters stéphanois  !

Sans leur capitaine Anthony Briançon, les Verts ont attaqué le match pied au plancher. Il aura fallu 21 secondes à Ibrahima Wadji pour convertir le centre de Niels Nkounkou d'une astucieuse talonnade pour concrétiser son 9e but de la saison.

 

Loin de permettre aux Verts de prendre l'ascendant, ce but va réveiller les parisiens de Thierry Laurey. Sur un centre de la droite, Hamel devançait Saidou Sow et ajustait Gautier Larsonneur (1-1, 14e). Vingt minutes plus tard, c'est de l'autre côté que l'accélération parisenne allait faire mouche. Cette fois c'est Iglesias qui prenait de vitesse Sow et allumait Larsonneur à bout portant (2-1, 32e).

Heureusement, l'ASSE allait vite réagir. Sur le côté droit, Mathieu Cafaro adressait un centre bombé à destination de Wadji dont la tête ratée aterrissait sur Niels Nkounkou qui ne ratait pas la sienne (2-2, 35e).

 

Il fallait ensuite un grand Larsonneur pour éviter de rentrer au vestiaire avec un nouveau but dans la musette.

Le show Nkounkou continua après la pause. Peu après l'heure de jeu, esseulé côté gauche, le joueur prêté par Everton faisait mine de centrer avant de décocher une frappe de 35 mètres qui surprit Demarconnay, trop court à son premier poteau (2-3, 63e).

 

 

Dans la foulée, c'est Mathieu Cafaro, intenable, qui était retenu par le maillot en pleine surface, Jean-Philippe Krasso ne perdit pas l'occasion de revenir à égalité au classement des meilleurs buteurs et d'effacer le souvenir du pénalty raté la semaine dernière (2-4, 69e).

 

Dans une fin de match débridée, marquée une nouvelle fois par un grand Gautier Larsonneur, les Verts ont réussi à fermer la boutique. Avec ce 9e match sans défaite, ils remontent à la 11e place avec 8pts d'avance sur le premier relégable à 8 journées de la fin du championnat.

Fais à Sainté comme en Principauté !

08/04 17:04

Capitaine de l'équipe monégasque qui avait battu les Verts en finale de Coupe Gambardella 2011, Dennis Appiah a connu le bonheur de monter en L1 après avoir craint une relégation en National avec son club formateur, qui a publié aujourd'hui une interview du latéral stéphanois. Extraits.

"C’est vrai que depuis le début de l’année 2023 ça se passe très bien à Saint-Etienne. Nous sommes sur une bonne dynamique avec huit matchs sans défaite en Ligue 2, ce qui nous a permis de bien remonter au classement. Le but est évidemment de poursuivre sur cette lancée pour se maintenir en fin de saison. On est pas mal !

C’est un championnat que je connais puisque je l'ai remporté en 2013 avec l’AS Monaco. Je me rappelle aussi que l’année d’avant nous étions en difficulté (sourire), avant de bien remonter au classement comme avec Saint-Etienne cette année finalement. Mais c’est vrai que la saison qui a suivie a été exceptionnelle !

Il y a eu l’arrivée d’un nouveau coach avec le Mister Claudio Ranieri. Notre façon de travailler a alors évolué et a très bien fonctionné avec l’exigence de la Ligue 2. A l’époque beaucoup de joueurs du centre de formation jouaient. Nous étions une bande de potes, motivés pour faire remonter notre club formateur. Et pour nous, c’était super important !

Personnellement je monte dans le groupe pro l’année de la descente. Et en même temps, on gagne la Coupe Gambardella. Du coup en Ligue 2 on a tous été propulsés dans l’équipe. A ce moment-là, on ne se rendait pas trop compte de ce que représentait Monaco au niveau professionnel.

C’était compliqué, à chaque match on voulait nous taper, car on était le gros du championnat. Déjà le fait d’avoir sauvé le club d’une deuxième descente, car nous étions derniers à la mi-championnat, c’est quelque chose d’extraordinaire ! Surtout que dans la foulée on remonte. Certains ont même été champions de L1 avec leur club formateur, c’est fort !"

A Dennis de faire à Sainté comme en Principauté : assurer le maintien ce printemps, finir champion de L2 la saison prochaine avant de voir Saïdou Sow, Aimen Moueffek, Mathis Amougou, Ayman Aiki and co remporter en 2027 le 11e titre de champion de france de L1 de l'ASSE !

Ghezali a doublé

08/04 13:56

Disputant la phase d'accession en élite roumaine, Lamine Ghezali (23 ans) a marqué hier les deux premiers buts de la victoire (3-0) du Dinamo Bucarest contre Otelul Galati. C'est le premier doublé réalisé en pro par celui qui a porté le maillot vert de 2014 à 2022.

Crivelli avait pourtant arraché la prolongation...

08/04 13:35

Privé depuis plusieurs semaines de David Douline, l'ex-défenseur de l'ASSE Alain Geiger (62 ans) caressait l'espoir de boucler son aventure à la tête du Servette Genève par un trophée grâce à son supersub Enzo Crivelli.

Il y a 3 jours, l'ancien attaquant stéphanois a arraché la prolongation à la 96e avant de réussir son tir au but, mais c'est finalement Lugano qui a gagné le droit d'affronter les jeunes garçons de Berne en finale de Coupe de Suisse.

 

Galette toujours en tension avec la formation ?

08/04 11:47

Christophe Galtier ne s'était pas fait que des amis du côté de l'Etrat quand il avait pointé publiquement le manque de performance du centre de formation de l'ASSE. Les formateurs des Aiglons ne garderont pas non plus un souvenir impérissable de l'actuel entraîneur du QSG, comme le souligne aujourd'hui Nice-Matin à l'occasion de l'immiment retour de Galette à l'Allianz Riviera.

"Christophe Galtier a été distant voire méprisant avec les salariés de la formation de l'OGC Nice. "Il ne respecte pas les gens de la formation" observe un de ses ex-collègues. "C'est ce qui lui coûte beaucoup à Paris aussi puisque c'est un secteur du club qui veut sa tête." Avec Didier Digard, coach de la réserve à l'époque, il n'y a eu aucun contact, aucune affinité. Pire, "Galette" n'était pas contre l'idée de le remplacer par un autre éducateur."

C'était une équipe de potes

08/04 10:15

Sur France Bleu Paris, Dominique Rocheteau a évoqué hier soir ses vertes années.

"Quand on a connu ce que l'on a connu avec Saint-Etienne, notamment les années 1974, 1975 et 1976 avec cette finale de Coupe d'Europe perdue, cette descente des Champs Elysées... Il y a beaucoup de choses, des grands souvenirs ! On peut le dire, c'était une équipe de potes, de copains. Des joueurs qui avaient été formés ensemble avec deux joueurs étrangers, Osvaldo Piazza et Ivan Curkovic. Il s'est formé un groupe vraiment très uni. On se revoit assez régulièrement, chaque année. Il y a toujours un petit évènement. Et ça c'est fabuleux !

Cela fait combien de temps maintenant ? Bientôt 50 ans - il ne faut pas trop le dire (rires) - et on continue à se voir. C'est fabuleux. Quand j'ai débarqué à Saint-Etienne, j'ai dit à mes coéquipiers que je voulais jouer au foot mais pas pour de l'argent, juste pour le plaisir. A 17 ans, quand t'arrives dans un club, tu ne joues pas pour l'argent. C'est fabuleux d'être à Saint-Etienne, qui était à l'époque le meilleur club français. Tu as la possibilité de jouer dans cette équipe-là, c'est un rêve, quoi !"

Morgan Guilavogui se sent épanoui

08/04 09:35

Après s'être confié à Poteaux Carrés, Morgan Guilavogui en fait de même dans Le Parisien du jour avant de défier les Verts ce samedi à 19h00 au stade Charléty. Extraits.

"Quand j’étais petit, on montait à Saint-Étienne tous les week-ends avec mon père pour voir mon grand frère Josuha. Il est quand même resté neuf ans chez les Verts. Je l’ai vu jouer partout, au centre de formation de l’Étrat et depuis les tribunes de Geoffroy-Guichard. On va dire que j’ai un lien assez fort avec Saint-Étienne, quand même.

En 2020, Saint-Étienne m’avait contacté, tout comme Lorient. Mais c’était pour jouer d’abord avec la réserve et j’ai préféré signer en Ligue 2 avec le Paris FC. L’été dernier, Saint-Étienne a encore voulu me faire venir. Mais j’ai préféré rester au Paris FC. Pour l’avenir, on ne peut jamais dire jamais mais j’ai considéré que mon histoire avec Saint-Étienne était terminée.

En ce moment, je traverse une période de plénitude. Je me sens totalement épanoui. Ma réussite, c’est aussi une question de maturité. C’est ma 3e saison en L2, je connais ce championnat, je sais comment ça fonctionne, j’ai mes repères. En début de saison, j’espérais atteindre les 15 buts. Maintenant, comme c’est parti, je vise la vingtaine.

Je n’ai jamais caché que mon objectif était d’aller à l’étage supérieur. Déjà, la saison dernière, j’étais un peu frustré mais en restant une saison supplémentaire en L2, j’ai réussi à confirmer. J’ai donc fait le bon choix. Pour la suite, rien n’est acté ni arrêté. Ce qui est sûr, c’est que je n’irai jamais au bras de fer pour partir. Je fais confiance au président et à la direction."

Un papier Duvar

08/04 08:46

Saint-Etienne et la légende des poteaux carrés : c'est le titre d'un papier paru aujourd'hui sur Gazete Duvar, site turc d’information et d’opposition au régime du président Recep Tayyip Erdogan. Extraits.

"Le Bayern Munich, qui avait remporté les deux précédentes éditions, arrivait à Hampden Park en géant incontesté du continent le 12 mai 1976 pour disputer une nouvelle finale de Coupe d'Europe. Sepp Maier, Hans-Georg Schwarzenbeck, le grand capitaine Franz Beckenbauer, Karl-Heinz Rummenigge, Gerd Müller et Uli Hoeness faisaient partie du onze de tête. Ils étaient de grands favoris. Leur adversaire était Saint-Étienne, qu'ils avaient éliminé en demi-finale de la même coupe l'année précédente.

Surnommé "les Verts", le club de cette cité minière était immensément populaire en France, où les vents de gauche qui ont commencé en 68 étaient encore forts, en raison à la fois de ses racines sociales et du football offensif qu'il pratiquait. Ils avaient un air insaisissable, rebelle, que les Français, comme on pouvait s'y attendre, adoraient. Robert Herbin, qui ressemblait plus à un philosophe existentialiste qu'à un entraîneur de football, était à la tête de cette équipe où évoluaient des joueurs comme le capitaine Jean-Michel Larqué, Jacques Santini, Hervé Revelli et Dominique Rocheteau.

La popularité sans précédent des Verts a porté l'intérêt pour cette finale à un niveau record. Ceux qui le pouvaient ont débarqué par milliers en Ecosse pour supporter Saint-Etienne et plus de 20 millions de Français ont suivi le match à la télévision. Sepp Maier a été sauvé par sa barre transversale sur un superbe tir du gauche de Dominique Bathenay à la 34e minute et sur une tête de Jacques Santini à la 39e. Saint-Étienne n'a pas pu empêcher le but de Franz Roth à la 57e minute et a été battu 1-0. A la fin du match, Franz Beckenbauer a déclaré que l'adversaire était meilleur et que si ces deux ballons étaient rentrés, le trophée serait revenu aux Français.

Saint-Étienne a été dévasté mais le peuple a embrassé le mythe des héroïques Français vaincus par les puissants Allemands. 100 000 personnes se sont rassemblées sur l'avenue des Champs-Élysées pour accueillir le Saint-Étienne vaincu revenu d'Écosse. Les équipes qui ont remporté la Coupe du monde dans le pays ont été oubliées, cette équipe de Saint-Étienne ne l'est pas. Apparemment, le ballon serait entré si les poteaux avaient cylindriques. Les poteaux carrés d'Hampden Park sont entrés dans la culture du football français depuis 46 ans. Un site de supporters stéphanois s'appelle d'ailleurs Poteaux Carrés.

Cette finale contre le Bayern Munich a été le souvenir le plus mouvementé des 90 ans d'aventure des Verts. En fait, le club voulait jouer un match amical avec le Bayern Munich en l'honneur du 30e anniversaire de la finale en 2006, mais comme les Allemands ont exigé 500 000 euros pour cette rencontre, elle n'a pas eu lieu. Les Verts, qui ont remporté leur dernier titre de champions de France en 1981 sous la houlette de Michel Platini, restent l'équipe française qui a le plus gagné en Ligue 1 avec le PSG (10). Cependant, il ne leur faudra pas longtemps pour abdiquer.

Le club instable de la ville minière n'a pas pu suivre la nouvelle ère. Après des saisons instables en Ligue 1, Saint-Etienne est 12e de deuxième division à 9 journées de la fin. Les Verts ont un long et difficile chemin devant eux pour revenir aux jours glorieux. Aujourd'hui, les fans de Saint-Étienne qui veulent voir du beau doivent plutôt aller au musée du stade Geoffroy-Guichard que dans les tribunes. Le club a acheté les poteaux carrés qui leur ont coûté le titre en versant 20 000 euros en 2008 et les ont mis dans une salle du musée des Verts."

Travailler moins pour gagner plus ?

08/04 07:33

Cela étonne leurs suiveurs, cela agace leurs supporters : derniers de L2 après avoir concédé il y a une semaine à Sainté leur 17e défaite de la saison, les Chamois Niortais s'entraînent moins que les autres clubs du championnat. Un rythme qui convient à leur entraîneur Bernard Simondi, qui deviendra septuagénaire dans 3 mois. L'ancien défenseur de l'ASSE s'en explique dans la dernière édition du Courrier de l'Ouest.

"Avoir choisi une séance par jour n’est pas le fruit de la volonté de gens qui ne veulent pas se mettre au boulot, mais simplement de penser au juste équilibre des choses, par rapport aux états physique et psychologique de chacun, qui sont des éléments moteurs de la performance.

On entend toujours la même chose. Quand on n’a pas de résultats, les gens aimeraient nous voir sur le terrain en train de courir, de courir… Ce n’est pas la panacée. Nous, on n’a pas souhaité cela, et c’est notre responsabilité. Il y a différentes approches pour obtenir des résultats. Ce n’est pas toujours en les emmenant dans le dur qu’on obtient ce qu’on espère.

Quand les choses ne vont pas, la chose la plus aisée à faire, c’est de se mettre là, à travailler matin et soir, pour montrer aux gens qui regardent de l’extérieur que le staff tape sur les joueurs, et les fait travailler. Ce serait une manière de se dédouaner en disant : « Vous voyez, ce n’est pas nous, on les fait bosser, on n’est pas responsable ». Ce n’est pas l’attitude que nous souhaitons avoir.

Nous voulons être raisonnés. Cette saison est difficile, mais nous sommes début avril, et le travail physique ne peut pas être fait à ce moment de la saison. On peut moduler les choses différemment, aller chercher un peu plus à certains moments, mais là, compte tenu des déplacements, des adversaires, du contexte dans lequel on s’est trouvé, il faut se poser les bonnes questions. Ce n’est peut-être pas le bon choix. Mais travailler davantage, ou plutôt montrer aux gens qu’on travaille davantage, n’est pas forcément l’assurance d’un résultat."

Moueffek vu par Puel

08/04 07:10

Dans la dernière édition du Progrès, Claude Puel donne son avis sur Aïmen Moueffek, qui fêtera demain ses 22 ans.

"Quand je suis arrivé, il était souvent à l’arrêt chez les jeunes. C’était déjà un questionnement pour moi car, sur quelques flashs, je voyais qu’il avait quelque chose d’intéressant. C’est un joueur très puissant, qui pousse la machine très loin et il revenait trop vite de blessures sans préparer un fond d’endurance.  Il doit apprendre à mieux se connaître, se canaliser. Il est tellement généreux qu’il est tout le temps à fond. Il doit être capable de participer au collectif sans effort apparent. Il a des qualités de transition  et surtout de puissance hors norme. Il a cette faculté à casser les lignes en se projetant. Son profil est très recherché. Il doit encore s’améliorer au niveau de sa qualité technique et prise d’information à la sortie de ses rushes."

Elogo claque sur peno mais perd avec les Ponots

07/04 22:40

Sans Maxence Rivera (toujours blessé), Abdoulaye Bakayo et Bilal Benkhedim (non retenus), Le Puy malgré un péno d'Arsène Elogo s'est incliné chez lui (2-4) face au Mans.  Les Ponots comptent désormais 5 points de retard sur le premier non relégable.

 

Tenu en échec à domicile par le FBBP01 de Nathan Dekoké, le leader Martigues est rejoint par l'USL Dunkerque de Mathieu Chabert (qui a enchaîné un 6e succès consécutif malgré l'absence de Samy Baghdadi) et l'US Concarneau (qui s'est imposé 4-1 sur le terrain du Red Star grâce au 10e pion de la saison claqué par le joueur pisté par Sainté Amine Boutrah).

Les Audoniens sont désormais à 4 points du trio de tête, comme le FC Versailles de Fabien Lemoine qui a dû se contenter d'un point arraché dans le temps additionnel chez le relégable briochin. 

Les U16 bons, mais battus par les Bretons à Montaigu

07/04 22:40


Fares Ben Rahem, buteur avec les U17 la semaine dernière, est présent à Montaigu

Les U16 de Kevin De Jesus, qui, l'an dernier, avaient inscrit leur nom pour la quatrième fois au palmarès du challenge clubs de ce prestigieux tournoi U16, en l'emportant par 8-7 aux tirs au but face à l'Olympique de Marseille, débutaient en fin d'après midi la 50ème édition. Malgré un bon match, ils ont été battus par le Stade Rennais sur le score de 2 à 0, score que l'on peut qualifier de sévère, eu égard à la prestation des jeunes Verts. 

En fait, tout s'est joué en deuxième période (le match se jouait en deux mi-temps de 25 minutes). Un penalty à la 35ème minute, puis un autre but, à la 40ème, suite à une perte de balle d'un défenseur stéphanois devant un attaquant qui allait finir seul face au gardien, permettaient aux Bretons de l'emporter et de prendre la tête de cette poule en compagnie de Bordeaux, vainqueur de Lens sur le même score de 2 à 0. Les Verts affronteront demain les Bordelais à 10h15, et les Lensois à 16h15.

La composition : Ricignuolo - Ben Rahem, Ruiz, F.Camara, Grillot - Depalle, Tatuszka, El Jamali - Ben Tiba, N'Guessan, Prud'homme
Entrés en jeu : Massé, Guerroudj, Méité, Dodote.

La réaction de Kevin De Jesus : "Nous avons fait une belle entame avec de belles séquences de jeu, et de belles situations, malheureusement non conclues. C'est un axe de travail et de progrès que d'apprendre à concrétiser ces situations. Nous nous sommes fait punir sur des pertes de balle un peu stupides et avons eu du mal à défendre sur ces transitions. Malgré tout, c'était un bon match." 

Les 18 pour fesser Paris à Charlety

07/04 21:27

Au vu des informations qui avaient filtré tout au long de la semaine, c'est un groupe sans surprise qui va défier le Paris FC de Thierry Laurey et Morgan Guilavogui, demain, 15 h, à Charlety. A noter que l'ancien Vert Yvann Maçon, prêté au Paris FC, ne sera pas présent, une clause contractuelle stipulant qu'il ne jouerait pas contre son club prêteur.

En défense, Anthony Briançon sera absent comme prévu. Léo Petrot fait son retour après avoir purgé contre Niort son match de suspension. 
En milieu de terrain, on note le retour après une longue blessure et une suspension de Thomas Monconduit. Il remplace Louis Mouton qui sort donc du groupe.
En attaque, la blessure de Kader Bamba permet le retour de Lenny Pintor.

On pourrait donc s'attendre à une composition proche  de celle-ci : Larsonneur - Appiah, Sow, Petrot - Cafaro, Bouchouari, Fomba (ou Monconduit), Lobry (ou Moueffek), Nkounkou - Krasso, Wadji

Bouhazama et Angers sur le point de se séparer ?

07/04 16:39

S'il est actuellement sous contrat avec le SCO jusqu'en 2025, l'ancien entraîneur des U19 stéphanois Abdel Bouhazama va très probablement quitter l'Anjou dès ce printemps selon Le Courrier de l'Ouest.

"Un mois après sa démission du poste d’entraîneur de l’équipe professionnelle, Abdel Bouhazama devrait quitter le club angevin définitivement, dix ans après son arrivée à la tête du centre de formation.

L’entraîneur de 54 ans et la direction du club étudient les conditions de son départ, depuis son retour de congés de deux semaines, qui avaient suivi sa démission provoquée par l’affaire Chetti. Lors de la causerie avant Montpellier-SCO (5-0), le 5 mars, Bouhazama avait minimisé les faits reprochés par la justice au défenseur algérien, condamné cette semaine à quatre mois de prison avec sursis pour agressions sexuelles et mis à pied un mois par le club.

Pour ses propos rapportés par L'Equipe ("C'est pas méchant, on a tous déjà touché des filles"), le technicien a été condamné avant-hier à un mois de suspension ferme par la commission de discipline de la Ligue. Le club, qui reste discret sur le sujet, confirme juste qu’Abdel Bouhazama n’a pas repris ses fonctions au sein du club angevin, ni chez les pros, ni au centre de formation désormais dirigé par Sébastien Degrange, depuis le 1er février."

Cvitanich a des anecdotes à la Puel

07/04 16:06

Ancien attaquant argentin des Aiglons, Dario Cvitanich s'est confié aujourd'hui à Nice-Matin. Extraits.

"Quand je signe à Nice, Claude Puel me demande si je tire les penaltys. Je lui réponds : "Pas de souci !" Match au Ray contre Saint-Etienne, quelques jours après. Il y a 1-1, on obtient un penalty à quelques minutes de la fin. Je prends le ballon et je tire à côté du but de Ruffier. Dans la semaine qui suit, Claude me demande si je veux encore les tirer. Je dis encore "oui, pas de souci !" Mais il organise un duel avec Eric Bauthéac à l'entraînement pour définir le futur tireur. Dans la cage, c'était David Ospina. Il me disait à chaque fois où il allait plonger en espagnol pour que je ne fasse que des contre-pieds. Désolé Eric ! (rires)

J'ai progressé aux côtés de Claude Puel. On travaillait beaucoup devant le but, notamment le jeudi, avec une séance d'entraînement libre. On s'est parfois bien accroché aussi, notamment après une défaite à Montpellier. Je suis rentré dans le vestiaire très énervé, j'ai commencé à mal parler et à l'insulter en espagnol. "Hijo de puta !" Le coach s'est mis en travers et il a fallu que Renato Civelli vienne nous séparer. Renato m'a demandé qui aurait gagné s'il nous avait laissé nous battre. Il est costaud Claude mais je pense que c'est moi (rires) Ce jour-là je suis allé trop loin. J'avais pris une amende de 5000 euros, c'est normal."

 

Des records d'affluence pas prêts d'être battus !

07/04 14:47

Bordeaux, qui a profité de la venue des Verts pour battre le record d'affluence de la saison de L2 (29 907 spectateurs), va selon David Guion dépasser la barre des 30 000 demain pour la réception de Bastia. Mais comme le rappelle Sud-Ouest, ce sont deux matches des Verts qui ont attiré le plus de spectateurs dans l'histoire de la deuxième division. Extraits.

"Le club bordelais a décidé depuis la venue des Verts de supprimer la jauge maximale (24 732 contre Pau) instaurée cette saison pour optimiser les coûts, et ouvre les zones du stade une à une sur la billetterie en ligne, avec un tarif unique de 9 euros pour la réception des Corses. De quoi dépasser Saint-Etienne dans le mano a mano de la meilleure affluence moyenne de 2022-2023 (19 470 contre 19 534 à ce jour) et de monter la barre de la plus grosse affluence sur un match, les Verts n’ayant pas dépassé jusqu’ici les 24 284 personnes dans un stade Geoffroy-Guichard sanctionné de quatre matchs à huis clos l’été dernier.

Quoiqu’il arrive, notamment lors de la dernière journée contre Rodez le vendredi 2 juin (20 h 45), le record pour un match de Division 2 ne sera pas battu : il est de 48 010 personne pour un Red Star - Saint-Etienne disputé au Stade de France le 10 mars 1999 devant un Saint-Etienne - Le Puy de 1984 (42 584).

Le podium est en revanche accessible. Relégué en Division 2, Marseille avait connu une pointe à 39 408 personnes au Vélodrome contre Caen en 1996. Lens, qui a dépassé à 21 reprises la barre des 30 000 spectateurs lors de ses cinq saisons de L2 entre 2015 et 2020, a accueilli jusqu’à 38 033 personnes contre Strasbourg en mai 2017. Relégué en 2012-2013, Nantes avait lui accueilli 35 696 personnes contre Angers, 36 471 contre Monaco et 36 967 face à Sedan."

Les supporters des Verts sont les plus ciblés par les arrêtés

07/04 14:18

Ouest-France est revenu hier sur les nombreux arrêtés encadrant voire interdisant les déplacements de supporters lors des matches à l’extérieur. Extraits.

"Depuis 2011, les préfectures et le ministère de l’Intérieur ont de plus en plus recours aux arrêtés portant restriction ou interdiction de déplacement pour les supporters lors des matches à l’extérieur de leur équipe. Il n’est ainsi plus rare pour les supporters de devoir se plier à différentes contraintes – interdiction de circuler en centre-ville, de se déplacer au stade en avance, de manifester ses couleurs… – sous peine de se voir infliger des sanctions  excessivement sévères, pouvant aller jusqu'à 30 000 euros d’amende et 6 mois d’emprisonnement.

Tout en haut de la liste des groupes les plus visés par ces restrictions lors de l’exercice 2021-2022, on retrouve les supporters stéphanois. Dix-huit des rencontres de l’AS Saint-Etienne à l’extérieur ont fait l’objet d’un arrêté, soit presque l’ensemble des matches en déplacement d’une saison de Ligue 1, dont 13 interdictions d’accéder au stade. Les supporters marseillais et nantais ont été également particulièrement touchés.

"Quand le public est revenu après une interruption des compétitions, puis une saison quasi blanche, on a été tout de suite confronté à de très graves incidents" déplore Thibaut Delaunay, patron de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH). "Cette période d’interruption avait aussi conduit à un renouvellement à la fois des personnels dans les clubs, dans les préfectures et dans les services de police, ce qui fait qu’il y avait peut-être une perte globale d’expérience, d’organisation et de préparation des rencontres. Ces deux éléments conjugués ont fait qu’il y a eu une volonté d’encadrer un peu strictement les déplacements."

Sikely, si loquace !

07/04 13:50

Ancien attaquant pailladin, le loquace Jean-Désiré Sikély se remémore pour France Bleu Hérault un quart de finale de Coupe de France joué contre les Verts en 1981.

"Oh là là ! Saint-Etienne avec Platini. Je me souviens du match à la Mosson. Je marque un but sur un centre de Christian Sarramagna. Je me suis lancé, je me suis couché avec une tête plongeante. Je l'ai mis au fond. Et puis Janvion était face à moi, c'était un duel ! Il m'a traité de voyou, je me souviens. Dans le vestiaire, Kader Firoud [ancien milieu de terrain qui a joué à l'ASSE de 1945 à 1948, ndp2] me disait : "Désiré, il t'a insulté, tu te souviens ?". Il essayait de me remonter pour que je casse la baraque (rires).

Kader, c'est quelqu'un qui m'admirait. Dans le vestiaire, pendant que les autre se faisaient masser, moi je rentrais, je m'asseyais et je me massais moi-même avec mon huile camphrée. Il disait : "Voici un homme ! Il a les couilles comme un bœuf, ce gars. Il joue sans protège tibias" (rires). Quand il voyait Christian Sarramagna mettre les protège tibias, les bandes et tout... il disait : "C'est une gonzesse, celui-là". Il était dur, il te parlait parfois comme une merde, notamment quand on ne gagnait pas."

Bamba et Briançon entrent dans la lésion

07/04 13:28

Le club vient de communiquer sur les blessures de Kader Bamba (cuisse) et Antho Briançon (mollet). Pour les deux il s'agit d'une lésion qui les privera des terrains, selon le communiqué, pendant 4 à 6 semaines.

Dans le meilleur des cas, ça signifie qu'ils pourraient disputer les 4 dernières journées, dans le pire, uniquement les deux dernières programmées le 26 mai (Caen) et le 2 juin (Valenciennes).

C'est un vrai coup dur compte tenu de l'importance prise en particulier par le second dans notre série actuelle. La question est désormais de savoir si Batlles va ré-intégrer au groupe un attaquant de la réserve et Pavlovic...

Curko à Meaux

07/04 12:43

Le mythique Ivan Curkovic participera ce samedi en début d'après-midi à une conférence sur l'ASSE animée par Philippe Gastal aux Sénioriales de Meaux en présence de Philippe Tournon (ancien attaché de presse de l'équipe de France qui a suivi la grande époque des Verts quand il était journaliste à L'Equipe) et de Denis Chaumier (ex-journaliste de France Football et auteur de plusieurs livres sur les Verts.) Un évènement à ne pas rater pour tous les Franciliens qui souhaitent replonger dans la riche histoire du club avant d'aller soutenir les Verts à Charléty !

Laurey ne veut pas 5 000 Verts à Charléty

07/04 09:40

Thierry Laurey s'est exprimé en conférence de presse avant Paris FC - ASSE :

"On prend les matchs comme ils arrivent, la saison n'est pas finie. On a parfois cru qu'on enclenchait des séries et finalement non. On est bien hors de nos bases mais à la maison on est la 18e équipe donc il y a un déséquilibre qui ne permet pas ces séries. 

On est content d'avoir marqué 5 buts à Valenciennes, on aurait pu en mettre plus même. Mais je ne peux pas me satisfaire d'avoir encaissé 4 buts. C'est bien pour l'attaque, bien pour Morgan Guilavogui qui a mis 3 buts alors qu'il avait une petite douleur en revenant de sélection. Mais c'était l'histoire d'un match. Contre Saint-Etienne, ce sera une histoire différente.

Saint-Etienne n'est pas à la place où ils voulaient être mais sur les matchs retours, c'est une équipe en forme. Je crois qu'ils sont à 7 matchs sans défaite (8 en réalité, ndp2) donc c'est une équipe performante. On l'avait emporté à l'aller, mais ils étaient dans le doute. Là, ils sont dans une très bonne période, et c'est pas bon de les prendre maintenant. Ils sont en confiance, ce sera compliqué. Mais nous aussi, on est mieux, on a plus de certitudes. Pas autant que la saison passée à la même époque mais quand même. C'est un match particulier aussi dans les tribunes. On sera pas plein mais on attend du monde. 8 000 personnes ? Ouais, c'est bien ! Enfin, sauf s'il y a 5 000 Verts !

Sekou Sanogo et Samir Chergui sont de retour pour ce match. Yvann Maçon ne peut pas jouer en raison d'un accord avec l'ASSE au moment du prêt."

A l'extérieur, les Verts continuent de faire le plein

07/04 09:21

C'est presque une habitude cette saison en L2, à chaque fois que les Verts se déplacent, leur adversaire du soir réalise sa meilleure affluence de la saison. Après le stade Océane au Havre, le Matmut à Bordeaux ou encore Bonal à Sochaux, cette fois c'est au tour du stade Paul Lignon de Rodez d'être à guichets fermés pour la réception des Verts. Le match aura lieu le 29 avril à 19h. Les 3 400 places ont déjà trouvé preneur.

Contre les bretons à l'heure de l'apéro

07/04 09:17

La programmation de la 34e journée de L2 est tombée. Les Verts recevront Guingamp à cette occasion. Un match qui aura lieu à 19h le samedi 6 mai. Il sera diffusé sur Prime Video et s'il est choisi comme match directeur, également sur la chaîne de la Pravda.

La vente ? Il y pense toujours

07/04 09:14

Interrogé sur la vente du club par France Bleu, Roland Romeyer confirme qu'elle est encore d'actualité, même si sa réponse reste très nébuleuse :

"Je suis toujours en forme, impeccable. Je me concentre sur cette fin d'année, cette fin de championnat, c'est à dire jusqu'au 2 juin. On travaille le mieux possible. Et puis après le 2 juin, on passera autre chose. On se monopolisera pour d'autres projets qui ne sont pas d'actualité, parce que le sportif est beaucoup plus important que tout ce qu'on peut évoquer. En tant que actionnaire, ce qu'on espérait, c'est que cette saison, on la vive tranquillement pour travailler davantage sur d'autres projets. Finalement, on a été pris complètement par ces résultats négatifs et il a fallu réagir. Donc l'objectif, c'est de terminer la saison le mieux possible. Et puis après, il y aura d'autres projets qui pourront être travaillés normalement.

La vente est toujours d'actualité avec KPMG qui a un mandat de notre part. Mais compte tenu de l'état dans lequel était le club, on a dit "on attend que ça aille mieux". On passera à cette phase là une fois le championnat fini, en espérant que l'objectif que j'ai fixé sera atteint. Même si je suis en forme, il faut tourner la page. Le jour où je vais m'arrêter, c'est que je serais à moitié mort. Il y avait une chanson qui disait que le travail, c'est la santé. Je le pense aussi. Le club fait partie de mon ADN depuis 1957."

Pour Saïdou c'était dur !

06/04 14:56

En conférence de presse aujourd'hui, Saïdou Sow a expliqué ses difficultés à digérer la descente : 

"c’était un peu compliqué au début de saison. Ce n’est jamais facile de vivre une descente. Tout a changé. Je savais qu’on n’allait pas faire deux fois la même erreur. Tout le monde était motivé. Je savais qu’on allait remonter au classement. Ce n’était qu’une question de temps. Le top 10 n’est pas très loin mais il ne faut pas se voir trop vite trop beau. En faisant les choses bien on pourrait s’y retrouver.

J’ai continué à travailler, j’ai cru en moi. Je suis plus ou moins satisfait de mes prestations depuis le début de saison. Je peux faire beaucoup mieux. Je dois continuer, ne pas me distraire. La sélection ça me met en confiance. On rencontre des joueurs qui jouent dans de grands championnats. Tu te dis « j’ai envie d’être comme eux ». Ça ne fait que du bien."

 

Pascal Françoise en équipe de France !

06/04 13:30

Ayant joué 3 saisons à l'ASSE (de 1986 à 1989) et vivant désormais à Ciré-d'Auris (Charente-Maritime), Pascal Françoise (65 ans) fait partie selon Ouest-France de l'équipe de France de foot en marchant qui participera ce week-end à un tournoi auquel prendront part également les équipes du Maroc, de l'Irlande et de l'Angleterre à Saint-Sebastien-sur-Loire. "Je m'aperçois qu'il faut marcher et c'est pas évident quand on a couru toute sa vie" s'est marré l'ancien protégé de Henryk Kasperczak et Robert Herbin sur France 3 Pays de Loire.

Son sélectionneur Flrian Theron s'est confié au quotidien régional le plus diffusé de France.

"Le football en marchant est une une variante du football, qui fait fureur en Angleterre depuis 2011. C’est une version lente du football, basée sur un jeu de passe et de placement, sans courir. Les règles sont aménagées et permettent une pratique loisir totalement sécurisée, mixte et intergénérationnelle. Il s’agit d’un sport à impacts médico-sociaux considérables, ouvert à tous les âges et assez tendance auprès des seniors… Cette pratique est arrivée en France il y a quelques années, et est encouragée par la Fédération française de football. L’objectif de la FFF est d’avoir des clubs ou des sections dans chacun de ses districts. Actuellement, on compte environ quarante clubs en France et plus de 200 pratiquants."

 

Sans Bamba ni Briançon

06/04 12:36

Laurent Batlles a donné des nouvelles de son effectif avant le déplacement à Charléty samedi soir :

"Anthony Briançon est touché à un mollet, il y a peu de chances qu'on le voie samedi. Kader Bamba, lui, s'est blessé à un quadriceps contre Niort, il sera absent. Boubacar Fall et Gaëtan Charbonnier sont les deux autres absents de longue date. Thomas Monconduit, en revanche, va mieux. Louis Mouton est touché quant à lui au tendon rotulien."

Bouanga brille au Canada

06/04 10:00

Auteur d'un doublé et d'une passe décisive, Denis Bouanga a été la nuit dernière le grand artisan du succès (3-0) du Los Angeles FC contre les Whitecaps à Vancouver lors de la Champions League CONCACAF.  L'ancien attaquant stéphanois a déjà claqué 8 pions en 8 matches toutes compétitions confondues cette saison !

 

C'est pas Versailles ici !

06/04 07:16

Actuellement 5 de N1 avec 4 longueurs de retard sur le leader Martigues et 2 sur le 2e Dunkerque, le milieu de terrain versaillais Fabien Lemoine (36 ans) s'est confié à La Nouvelle République. Extraits.

"Il n’y a pas la même attente et la même ferveur à Versailles qu’à Saint-Étienne, c’est sûr… Quand tu te balades en ville, tu es tranquille. Mais je ne suis pas venu pour ça, de toute façon. Il faudra bien que je me retire des terrains à un moment donné. Mais là, je n’étais pas prêt à arrêter du jour au lendemain. Quand ça s’arrêtera, je ne vivrai pas ça comme une petite mort, mais pas loin. J’ai vécu tellement de grands moments dans le foot. Quand je raccrocherai les crampons, il y aura de la nostalgie pendant un bon moment, je pense. 

Le FC Versailles m’avait déjà contacté en juin mais ma situation n’était pas fixée à Lorient. Il est revenu à la charge ensuite, j’ai accepté car le projet était bon, je n’avais pas foule d’opportunités de toute façon. Je m’en doutais, à mon âge, l’étau se resserre. Dans toute ma carrière, je ne me suis jamais considéré comme un titulaire indiscutable à qui rien ne pouvait arriver. Je me dois d’être performant et régulier pour pouvoir rester sur le terrain, c’est la loi du foot, en National comme partout.

Le National, c’est d’un très bon niveau, et homogène. Tout le monde peut vraiment battre tout le monde, c’est bien vrai, je l’ai constaté. Le step entre le National et la Ligue 2 n’est pas dingue je pense, il est plus élevé entre la Ligue 2 et la Ligue 1, c’est sûr ! Le jeu est débridé, moins structuré qu’en L1. Il y a moins de temps faibles et il y a peu de temps de récupération entre les efforts. En termes de volume de course, le rythme est très élevé. Dans ce championnat, si tu ne cours pas, tu es mort ! À mon âge, je ne peux pas lutter dans ce domaine avec des jeunes de 22 ans. Alors, j’ai dû faire jouer ma tête avant les jambes.

On saura vraiment ce qu’on joue à trois ou quatre journées de la fin, pas avant. L’idée, c’est d’être dans la meilleure position possible à ce moment-là. On peut entrer dans l’histoire du club et il y a cette excitation de se dire qu’on peut rendre fiers les supporters et toute une ville. J’ai signé pour une saison, avec une saison supplémentaire en option si le club monte en Ligue 2."

Partager