Le recrutement, c'est très important !
03/01 06:47
Comme le rapporte Corse Net Infos, Frédéric Antonetti a disserté juste avant les fêtes sur le rôle d'un entraîneur d'un club professionnel à l'invitation de l'amicale des éducateurs de football de Corse. Dernier entraîneur stéphanois à avoir réussi à faire remonter l'ASSE dans l'élite, Anto souligne plusieurs fois à quel point le recrutement est important.
"Quand j’ai commencé au Sporting en 1994, j’étais tout seul ! Mais c’était pareil dans pratiquement tous les clubs. Je faisais tout : je lavais les chasubles d‘entraînement, je préparais la pharmacie pour les matchs… En même temps c’était très formateur. Il y a eu ensuite un grand changement et ce grand changement c’est l’argent qui l’a créé. La bascule, ce sont les droits TV. Aujourd’hui un club pro dispose d’un entraîneur, d’au moins deux adjoints, deux préparateurs physique, un analyste vidéo. En moyenne on est 7. A coté de cela, il y a le staff médical, à plein temps lui aussi et surtout, et c’est fondamental, la cellule de recrutement. Dans un club pro, il y a aussi le Centre de Formation et hélas, parfois c’est un club dans le club avec des relations souvent difficiles.
Au quotidien, ce qui prime c’est l‘amélioration constante de l’effectif. Un entraîneur moyen avant un effectif super aura de meilleurs résultats qu’un super entraîneur avec un effectif moyen. La valeur individuelle des joueurs fera toujours la différence de toute façon. La vidéo est très importante de nos jours. On a des séances en semaine où on repasse les matchs et on en discute tous ensemble. Un joueur ne peut se défausser dans ces cas-là, car la preuve est en images. L’analyse d’un match représente entre 4 et 5 heures et j’ai beaucoup de respect pour ceux qui entraînent des équipes européennes, car c’est encore plus long et plus compliqué. C’est une masse de travail énorme. Le travail d’un entraîneur se fait souvent au détriment de sa vie familiale et son entourage propre doit l’aider. Parfois ça peut même aller jusqu’à la rupture.
Le docteur est une personne essentielle dans un club, tout comme la cellule de recrutement. Un club se doit d’avoir un docteur à temps plein. Mais j’ai pu constater que souvent les médecins ont des contacts difficiles avec les joueurs et certains en ont même peur. Ils se retrouvent souvent en difficulté devant eux. Un docteur de club en fait, soigne, mais c’est aussi un docteur de famille qui doit gagner la confiance des joueurs. Et il a parfois un rôle au niveau psychologique. Être à l’écoute du docteur permet à l’entraîneur d’adopter son attitude par rapport à un joueur. Certains joueurs sont secrets et parfois se confient au staff médical, souvent aux kinés lors des séances de massage. En savoir plus sur un joueur permet à l’entraîneur de mieux l‘aborder.
Je me répète : le cellule de recrutement, elle est fondamentale ! Elle est malheureusement souvent délaissée tout comme l’évaluation d’un joueur qui elle aussi est très importante. Même dans une équipe qui est mauvaise, qui perd, on doit discerner un bon joueur. Dans un club on trouve tous les types de joueurs. Et là-dessus rien n’a changé. Les joueurs n’ont pas changé. C’est la société, l’environnement des joueurs qui ont changé. Les agents de joueurs ont changé aussi ! Les parents du joueur interfèrent aussi. Le joueur lui reste le joueur avec son amour du football, son envie de jouer, de gagner.
Mon gros défaut est assurément de ne jamais rien déléguer. En 28 ans, je n’ai jamais rien délégué, sauf peut-être une rare fois ! "
Lolo condamné à gagner les deux prochains matches ?
02/01 21:23
"Le coach stéphanois va jouer sa place sur les derniers matchs de la phase aller, contre Laval d’abord puis à Niort. Face à deux mal classés, avec les renforts du mercato, ses dirigeants veulent six points et rien d’autre" indique ce soir Le Progrès.
Guendouz avec les Fennecs pour jouer le CHAN
02/01 20:51
N'ayant encaissé que 8 buts en 14 matches joués cette saison avec le CR Belouizdad (solide leader du championnat algérien), l'ancien gardien numéro 3 de l'ASSE Alexis Guendouz (26 ans) fait partie des 28 Fennecs convoqués aujourd'hui pour disputer le CHAN, (Championnat d'Afrique des Nations), compétition entre sélections nationales composées exclusivement de joueurs évoluant dans un club de leur pays.
Pays hôte et faisant partie du groupe A, l'Algérie débutera dans 11 jours contre la Libye avant de défier l'Ethiopie et le Mozambique. L'occasion de rappeler qu'un ex-joueur de l'ASSE avait remporté cette compétition il y a 12 ans avec les Aigles de Carthage : Adel Chedli, actuellement adjoint du sélectionneur de la Géorgie Willy Sagnol.
Le prochain match des Verts diffusé gratuitement
02/01 17:10
Pour la 18e journée de L2, beIN Sports ayant décidé de diffuser les chocs du haut de tableau Le Havre-Sochaux et Caen-Bordeaux, la chaîne de la Pravda en profitera pour retransmettre le mardi 10 janvier à 20h45 le match Sainté-Laval. Face à des Tango décimés, les Verts devront impérativement l'emporter pour revenir à 5 petits points de leur adversaire du soir.
Larsonneur parti pour resté au VAFC ?
02/01 15:37
Pisté par l'ASSE selon la Pravda et Le Progrès, Gautier Larsonneur est parti pour rester dans le Hainaut d'après ces extraits d'une interview du président valenciennois Eddie Zdziech parue ce lundi dans La Voix du Nord.
"Il est prêté chez nous [par le Stade Brestois, ndp2] et Valenciennes a une main dessus mais elle est bien posée. C’est un prêt avec une option d’achat qu’on pourra déclencher quand on le souhaitera. Après je ne peux pas tout vous dire ni pour quel prix. Vous savez, je ne suis pas un grand adepte des réseaux sociaux, je lis assez peu la presse même si j’entends un peu ce qui se dit. Aujourd’hui, Gautier Larsonneur est à Valenciennes et même s’il y a eu des contacts, je ne pense pas que Saint-Étienne s’intéresse plus que ça à lui.
Si les Verts reviennent à la charge, je suis en capacité de le conserver, comme tout autre joueur qui est dans le club. Après, tous les clubs peuvent s’intéresser à un joueur mais il faut une volonté des trois parties pour que les choses se fassent. Et aujourd’hui, je ne pense plus que Gautier fasse partie des plans de l’AS Saint-Étienne. On s’est parlé car les gens s’informent sur la situation des uns et des autres, surtout à l’approche du mercato. Mais voilà, c’était sans plus. On a un bon gardien, qui est bon chez nous et je pense qu’il se sent bien chez nous. Tant mieux.
C’est un très bon gardien, un gardien travailleur et entier. Franchement, on est content qu’il soit chez nous. C’est une belle recrue, qui ne nous prend pas la tête et qui sait que pour être meilleur que les autres, il faut beaucoup travailler. C’est ce qu’il fait. Il n’y a aucun doute que VA pourra lever l’option d’achat le concernant, clairement. A un moment donné, cette option d’achat sera levée. Valenciennes a bien la main sur Gautier.
C’est toujours pareil, les joueurs ne sont jamais insensibles quand d’autres le courtisent, ça veut dire qu’ils sont bons. Mais Gautier est bien à Valenciennes comme le prouve sa première partie de saison. Il cherchait un club pour se remettre en lumière et il a trouvé chez nous tout ce qui lui fallait : un club qui le voulait, un entraîneur des gardiens (Jérémie Janot) qui le voulait et avec qui il avait envie de travailler. Gautier s’est vite fondu dans le collectif.
Les sollicitations peuvent toujours perturber un joueur. Moi, je n’en parle pas trop avec lui car ce n’est pas la peine d’en rajouter et je ne sais pas combien d’appels il a reçu de Saint-Étienne. C’est normal qu’il ne soit pas insensible, peut-être même y a-t-il pensé. Moi, ce que je vois, c’est que Gautier est à l’entraînement tous les jours et qu’il bosse. Quand je le reverrai, je lui souhaiterai une bonne année à Valenciennes. Le club a passé la DNCG sans encombre le 13 décembre, on n’a pas besoin de vendre des joueurs."
Aouchiche, flop 50 !
02/01 14:57
Si Lorient s'est imposé en fin de match hier à Angers (2-1), le nouveau club d'Adil Aouchiche sortait d'une grosse période de disette (7 matchs sans victoire).
Malgré ce coup de moins bien, le coach Le Bris n'a pas souhaité donner sa chance à notre ex-pépite. Hier il n'est pas sorti du banc à Angers, et depuis le début de saison, il plus porté le maillot Vert (86 minutes contre Dijon et Nîmes) que celui des Merlus (50 minutes en 4 apparitions !).
Ayant signé pour 3 ans cet été à Lorient, l'onéreuse trouvaille de Puel continue à ronger son frein et pourrait presque finir par regretter ses vertes années (32 titularisations en 2 saisons). A moins que le match de Coupe de ce week-end contre un club de N3 lui offre enfin l'occasion de se montrer...
Pour Caen, ce n'est pas suffisant
02/01 07:54
Déçu d'avoir concédé le nul dans le temps additionnel à Geoffroy-Guichard il y trois jours, Patrice Sauvaget revient sur cette rencontre de la 17e journée de L2 dans la dernière édition caennaise du quotidien Ouest-France.
"On aurait dû plier ce match. Cela fait plusieurs fois que ça nous arrive. On doit être capables de mieux jouer les situations pour se mettre à l’abri. Je n’ai pas le souvenir que notre gardien ait eu de grands arrêts à faire. Il y a eu des situations en faveur de Saint-Etienne, mais je pense que si on fait le compte des occasions, c’est largement en notre faveur. On n’est pas réalistes sur nos deux derniers matches et on est forcément punis au classement.
Sur le plan comptable, ce n’est pas suffisant. On a laissé vraiment trop de points en route, à Dijon, à Paris, à Bastia et à Saint-Etienne. En rajoutant ces quelques points à notre bilan, on ne parle plus de la même façon. Ce sont des choses que l’on doit corriger, des situations que l’on doit travailler. On se doit d’avoir cette volonté de progresser."
S'ils comptent deux fois plus de points que les Verts (24 contre 12), les Malherbistes ont 7 points de retard sur le deuxième (Bordeaux), qu'ils recevront lors de la prochaine journée de L2.
Senaya s'en souviendra
02/01 07:38
Latéral de Rodez (premier relégable à égalité de points avec le 16e Dijon 6 longueurs devant la lanterne rouge stéphanoise), Marvin Senaya évoque son meilleur souvenir de cette première partie de saison dans L'Est Républicain.
"Mon premier but en L2 à Saint-Etienne, c’était fou, d’autant plus qu’il s’est passé des choses dans la semaine précédant le match. On a changé d'entraîneur, nous avons été un peu chamboulés, on avait à cœur de gagner. Marquer à Geoffroy-Guichard contre l’ASSE, c’est quelque chose ! Et en plus, nous avons eu le résultat au bout car nous l'avons emporté 2-0."
Christophe Robert évoque son passage en vert
02/01 07:25
Titulaire d'un diplôme d'oenologie viticulture, Christophe Robert (58 ans) a acheté deux hectares de vignes à Saint-Philippe-d'Aiguille (village situé à côté de Saint-Émilion) et produit son propre vin, sous l'appellation Larmada, la société qu'il a créée en 2019 avec Marie, son épouse, et trois amis (dont l'ancien skieur Luc Alphand). Dans la dernière édition de la Pravda, l'ancien milieu offensif évoque dans la Pravda son passage en vert (1998-1999).
"L'entraîneur qui m'a le plus marqué ? Coco Suaudeau. Personne ne lui arrive à la cheville. Il y avait une forme de génie en lui et l'essence de la liberté. Il ne supportait pas que son adjoint Georges Eo prenne des notes. "Non, le cerveau !". Il y a aussi Robert Nouzaret, pour son humanisme. Le transfert qui ne s'est jamais réalisé ? À 15 ans, Saint-Étienne a mis beaucoup d'argent sur la table pour me recruter. Mais mon père a voulu que je rejoigne le FC Nantes, où il y avait Coco, le meilleur formateur.
Après VA, personne ne m'a tourné le dos. À commencer par Louis Nicollin qui m'a invité chez lui, quand je n'allais pas bien. La seule question qu'il se posait était : "a-t-il encore la flamme pour jouer ?" Elle m'a tenu jusqu'à 35 ans. J'ai arrêté ma carrière sur un titre de champion de D2 avec Saint-Étienne. Après, ce fut très dur pendant dix ans car je n'étais passionné par rien d'autre que le jeu et le football. Or, je ne peux vivre que si je suis passionné. Sinon, je m'ennuie. Cela m'a conduit à me disperser et à n'être, ni intéressant, ni une bonne personne, à ce moment-là."
Angers encore moins bien barré que Sainté !
01/01 19:03
Le SCO d'Angers, qui avait fini l'été par deux succès, a enchaîné depuis 9 défaites, les deux plus récentes sous la houlette de son entraîneur intérimaire Abdel Bouhazama. Quatre jours après s'être incliné à Ajaccio, l'ancien coach des U19 stéphanois a perdu ce 1er janvier à la maison alors que son équipe menait 1-0 à la 79e minute.
Sous le regard impuissant d'un Sada Thioub resté sur le banc, Paul Bernardoni s'est fait tromper par son coéquipier Abdallah Sima avant de céder sur une frappe puissante d'Enzo le Fée. S'il a pris trois fois moins de buts que lors de son précédent match contre les Merlus, l'ancien portier stéphanois est bien parti pour vivre une seconde relégation en L2 d'affilée.
Le SCO n'a pris que 8 points en 17 journées de championnat, compte 7 points de retard sur le premier non relégable (Ajaccio). Pour rappel, l'ASSE a pris en autant de matches 15 points (mais n'en compte que 12 à cause de ses 3 points de pénalité) et n'a que 6 points de retard sur le premier non relégable (Dijon).
L'ASSE ayant par ailleurs une différences de but (-7) 3 fois moins mauvaise que celle du SCO (-21), un joker efficace et bientôt des recrues qui seront gageons le de vrais renforts (une fois n'est pas coutume), on se dit que la lanterne rouge de L2 a bien plus de chances de se maintenir que celle de L1. Allez les Verts !
Larqué a davantage regardé BB que Pelé
01/01 13:50
Dans le quotidien Sud-Ouest de ce 1er janvier 2023, Jean-Michel Larqué revient sur sa rencontre avec le roi Pelé et Brigitte Bardot.
"J'ai eu l'honneur de jouer contre Pelé en mars 1971, c'était un match amical pour l'inauguration de l'éclairage du stade Colombes. Le Racing avait organisé une rencontre entre Santos et une entente AS Saint-Etienne - Olympique de Marseille. Cette année-là, on se tirait la bourre pour le titre de champion. On avait été champion pour la 4e année consécutive en 1970 et l'OM allait l'être en 1971. Il y avait Pelé ce soir-là, mais ce qui avait marqué tout le monde, c'était surtout le coup d'envoi donné par Brigitte Bardot.
Georges Cravenne, qui s'occupait des César du cinéma, avait réuni tout un tas d'acteurs et de stars dans la vieille tribune officielle de Colombes. Un coup d'envoi fictif n'a jamais été aussi long, tout le monde voulait se faire prendre en photo avec Brigitte Bardot qui était magnifique. Cela a duré peut-être 20 ou 25 minutes. Ce jour-là, je dois avouer que j'ai davantage regardé Bardot que Pelé, mais je n'étais pas le seul...
La seule chose dont je me souviens sur le terrain, c'est qu'on avait terminé sur un match nul et vierge et qu'il y avait eu les tirs au but pour départager les deux équipes parce que le Racing avait mis en jeu un petit trophée. Pelé avait voulu tirer les cinq. Bon, il n'en a tiré qu'un mais il l'a réussi. A 30 ans, il était encore magistral. Il sortait de son 3e titre de champion du monde.
Les Brésiliens, pour nous, c'était un autre football et lui, c'était l'exceptionnel au niveau de cette nouveauté. On découvrait à peine le foot brésilien qu'on avait vu à la Coupe du monde en 1958 et surtout en 1970. Il n'y avait pas beaucoup d'équipes brésiliennes en Europe. Avec Saint-Etienne, les 15 août, on jouait toujours une équipe qui s'appelait Coritiba. On avait l'impression qu'ils n'étaient pas bons mais ils arrivaient toujours à gagner.
Ce qui fait de Pelé un joueur différent, ce sont surtout les gestes techniques qu'il a créés. C'est le propre de cette demi-douzaine de joueurs qui ont marqué l'histoire du football. Ils font parfois des gestes qu'on n'a jamais vus, ce sont des révolutionnaires au sens artistique du terme. Que ce soit Pelé, Maradona, Platini, Zidane, Messi... Dans certaines situations, ils font des choses que personne n'a jamais faites."
Dans cette délicieuse vidéo de l'INA ci-dessous, on voit Brigitte Bardot claquer la bise à Robert Herbin, capitaine de cette entente ASSE-OM. "C'est inespéré" réagit Roby. "Robert Herbin, vous venez d'embrasser Brigitte Bardot !" s'exclame un journaliste. "C'est moi qui l'ai embrassé !" corrige la blonde. "Jamais je n'aurais imaginé ça" se réjouit le rouquin.
Un (henri) point, c'est mieux que rien !
01/01 13:02
Présent en tribune Henri-Point avant-hier, Morgan nous propose un résumé vidéo de 6 minutes du dernier match de l'année des Verts, qui ont eu le mérite d'arracher un point dans le temps additionnel contre Caen devant un kop sud bien moins rempli que le kop nord.
Près du lac on est dans les temps
01/01 09:55
"Prendre quatre points contre Saint-Etienne et Nîmes, j’aurais signé pour. Si le classement se resserre, on est à 20 points à deux matchs de la fin de la phase aller. C’est, à mon avis, pas loin de la moitié qu’il faudra prendre pour se sauver. On est dans les temps" se réjouit Laurent Guyot dans Le Dauphiné Libéré. Malgré son budget quatre fois plus modeste que celui de Sainté, le promu haut-savoyard compte actuellement 8 points d'avance sur la lanterne rouge stéphanoise.
Dans le même quotidien régional, l'entraîneur de l'antépénultième nîmois se contente d'avoir décroché le nul là ou les Verts, qui comptent 4 points de moins que les Crocodiles, sont repartis bredouilles. "Je suis satisfait d’avoir pris un point ici à Annecy contre une équipe très athlétique qui met beaucoup d’impact, répète les courses et effectue un fort pressing haut" déclare Frédéric Bompard.
Moukoudi devient un cador ! (3)
01/01 09:26
Plus beau symbole de la lose stéphanoise la saison dernière (0 victoire en 26 matches), Harold Moukoudi affiche un incroyable bilan depuis qu'il est allé se faire voir chez les Grecs. Remplaçant en début de saison, il est devenu le patron défensif de l'AEK Athènes. En 11 matches disputés, il en a gagné 10 et décroché un nul et vierge méritoire sur le terrain de l'Olympiakos (tenant du titre). Alors que l'ASSE se traîne à une désolante 20e place en L2, son ancien Sergent est actuellement 2e de l'élite grecque à 4 points du Panathinaikos. Des verts leaders, ça laisse rêveur...
Quelle année pour Saliba !
31/12 22:12
Si son club formateur aura vécu une annus horribilis (9 succès en 41 matches toutes compétitions confondues), William Saliba n'est pas près d'oublier 2022 ! Il aura en effet remporté pas moins de 33 matches officiels en club, 18 avec l'OM et 15 avec Arsenal. Le dernier ce samedi (4-2) sur le terrain de Brighton permet aux leaders Gunners de compter 7 points d'avance sur leur dauphin Manchester City (accroché à domicile par Everton).
On rappellera par ailleurs que l'ancien acolyte stéphanois de Wesley Fofana aura fait ses débuts internationaux cette année : il a joué 8 fois en équipe de France en 2022 (la première au Vélodrome en mars lors d'une victoire en amical contre la Côte d'Ivoire, la dernière il y a un mois en Coupe du monde lors de la défaite contre la Tunisie de Wahbi Khazri).
Sainté aimerait faire revenir Cissé (2)
31/12 19:56
Le Progrès, qui avait indiqué il y a huit jours que l'ASSE planchait sur un retour de Pape Cissé, indique ce samedi que "le dossier semble pour l’heure délicat malgré le temps de jeu famélique de l’international sénégalais en Grèce."
S'il a pris part aux 3 matches de poule des Lions de la Teranga lors de la coupe du monde au Qatar, le défenseur central de 27 ans n'est pas réapparu dans le groupe de l'Olympiakos depuis lors.
C'est donc en son absence que Yann M'Vila a enchaîné les titularisations ces 15 derniers jours (victoire en 8e de finale de Coupe de Grèce, nul contre Giannina et victoire contre Asteras Tripolis en championnat).
Larsonneur, Gallon ou Prior en priorité ? (2)
31/12 19:40
A l'instar de la Pravda et en citant les mêmes noms, Le Progrès évoque la très probable arrivée d'un gardien au mercato hivernal.
"Le nom de Gautier Larsonneur figure en haut de la liste mais les Verts devront se mettre d’accord avec Brest, à qui le portier appartient, et Valenciennes, où il est prêté depuis cet été. Les deux clubs, qui se partageront le montant d’un éventuel transfert, se montreraient pour le moment un peu gourmands. Pour se prémunir d’un échec dans ce dossier, l’ASSE continue de suivre la situation de Gauthier Gallon et de Jérôme Prior."
S'il n'a pas été exempt de tout reproche sur l'unique but victorieux de Bastia contre Valenciennes hier soir, le protégé de Jérémie Janot est le gardien de L2 qui a sauvé le plus de ballons (60) cette saison, Matthieu Dreyer en ayant sauvé 21 et Etienne Green 12.
77e : Buuuuuut de DRAMÉ ! Le Sporting ouvre le score face à Valenciennes ! 1-0 💪 #SCBastia #SCBVAFC pic.twitter.com/itVBFk92kk
— Actu SC Bastia (@SpirituTurchinu) December 30, 2022
Posséder c'est bien, engranger c'est mieux ! (4)
31/12 18:34
Les trois équipes les mieux classées en L2 sont celles qui possèdent le plus le ballon : Le Havre (57,04 %), Bordeaux (55,56) et Sochaux (57,07). Si elle est la 4e équipe au classement de la possession, l'ASSE (54,7) est hélas lanterne rouge, à 18 points du podium et 6 points de la zone de maintien. On aura noté que QRM, qui a la plus faible possession du championnat (44,74 %), compte deux fois plus de points que les Verts (24 contre 12)...
Ouammou centenaire
31/12 16:33
Invité à quitter l'ASSE alors qu'il n'avait que 17 ans, Nassim Ouammou (29 ans) a disputé hier son 100e match de Ligue 2. Pour la première fois de la saison, il s'est imposé à domicile aux dépens de Dijon. S'il reste relégable car le DFCO a une meilleure différence de buts que le RAF, le latéral ruthénois compte désormais 6 points d'avance sur son club formateur. Lors de deux prochaines journées, il affrontera (comme Sainté) Niort et Laval...
De nombreux supporters ne boycottent pas le Chaudron
31/12 12:46
Les Magics Fans, les Green Angels, l'Union des Supporters Stéphanois et les Indépendandistes stéphanois avaient invité dès le 13 décembre tous les supporters à boycotter le match d'hier soir. Force est de constater qu'ils n'ont pas été entendus. Selon les chiffres officiels, ce match nul arraché par l'ASSE face à Caen a attiré 14 785 fans. Les kops étaient un peu moins clairsemés qu'attendu et la partie inférieure de la Tribune Henri Point était pleine à craquer. Juste avant cette dernière rencontre de l'année, les quatre groupes de supporters stéphanois susmentionnés ont décidé de reconduire leur boycott pour le premier match de l'année 2023 qui verra Sainté recevoir le 10 janvier un promu lavallois très affaibli et en chute libre.
2022, annus horribilis
31/12 10:33
Elle aura débuté par un facile succès en Coupe de France contre Jura Sud (4-1) et se sera achevée par un nul méritoire arraché dans le temps additionnel contre Caen mais ne nous y trompons pas, on peut qualifier 2022 d'annus horribilis.
Les Verts ont débuté l'année lanterne rouge de L1 avec 12 points, ils la bouclent lanterne rouge de L2 avec 12 points...
S'ils auront décroché 9 succès, ils auront connu deux fois plus de défaites (18) et 14 nuls dont 2 soldés par des séances de tirs au but fatales : contre Auxerre lors du barrage retour et contre Rodez en Coupe de France.
En 41 matches officiels, les Verts auront marqué 55 buts mais il en auront concédé 70, dont 31 en 17 matches de L2... Vivement 2023 !
Amiens a fait valser les Tango
31/12 10:24
Déja croqué par Dijon (5-0) lundi, Laval s'est fait manger par Amiens (0-3) à domicile hier.
Les Tango, futurs adversaires des Verts (10 janvier) sont clairement dans le dur. Déja diminués, ils devront faire sans leur défenseur central congolais Marvin Baudry averti hier. Titulaire à 12 reprises cette saison, il sera suspendu dans le Chaudron comme trois autres défenseurs mayennais, Yohan Tavares, Bryan Goncalves et Rémy Duterte. Par ailleurs, le milieu Jordan Adéoti (7 titularisations) est sorti en 1ère période, blessé à la cuisse.
En conférence de presse, le coach Frapolli a rappelé qu'il faisait avec les moyens du bord : "On est trop diminués pour faire face. Il faudrait que la réussite tourne en notre faveur mais ce n'est pas le cas (...) On a vu notre impuissance mais les joueurs font le maximum avec les armes qu'on a aujourd'hui. On n'a pas l'équipe qu'on avait avant la coupure. Ce n'est pas un problème d'engagement, ou tactique. Si certains avaient des doutes sur la nécessité de recruter, c'est évident maintenant. On va couper deux jours, et un match difficile nous attendra. On va récupérer des joueurs contre Rodez, on a le mercato qui va arriver, même si notre enveloppe est limitée pour prendre deux joueurs."
Larsonneur, Gallon ou Prior en priorité ?
31/12 09:46
La Pravda du jour évoque le mercato hivernal stéphanois. Extraits.
"Laurent Batlles compte beaucoup sur le prochain marché des transferts, qui s'ouvre demain. Charbonnier, en joker, a ouvert la voie et c'est ce même état d'esprit, de guerrier, d'éléments qui n'ont pas d'état d'âme que Loïc Perrin et la cellule de recrutement vont rechercher. Dennis Appiah et Pape Abou Cissé sont déjà annoncés dans le Forez.
Le poste de gardien sera une priorité. La titularisation de Boubacar Fall (21 ans), hier soir, et la mise à l'écart de Matthieu Dreyer en disent long sur les interrogations à ce poste. Gautier Larsonneur (Valenciennes), Gauthier Gallon (Troyes) et Jérôme Prior (PAS Giannina, Grèce) sont cités.
Il faudra attirer des latéraux, surtout à droite, où ni Abdoulaye Bakayoko ni Anas Namri ne donnent satisfaction. "On a mis en place un plan d'action. Les postes et les profils sont ciblés" disait Laurent Batlles hier soir sur le sujet."
Très frustrant pour Caen
31/12 09:22
Si les Verts n'ont vraiment pas volé leur point arraché hier soir à Geoffroy-Guichard dans le temps additionnel, le Stade Malherbe de Caen regrette de ne pas avoir converti ses trois balles de break obtenues en seconde période.
"Même si Saint-Etienne a bien poussé, on arrive à bien tenir durant tout le match et on se prend ce but sur la fin… C’est très frustrant. On tenait la victoire. Ils avaient la maîtrise du ballon mais on défendait bien et on a quand même deux ou trois situations sur lesquelles on peut tuer le match. On doit travailler sur notre réalisme" déclare le milieu de terrain Quentin Daubin dans Ouest-France.
"C’est très frustrant. On n’a pas le droit de faire ça, de nouveau sur la fin d’un match. On a bien géré tout le reste de la rencontre et c’est malheureux de perdre des points comme cela. Sur ce match, comme celui à Bastia, on a eu des occasions devant le but" déplore le défenseur Ali Abdi dans le même quotidien régional. "On est trop gentils devant le but, il faut parvenir à régler cela. Il faut aussi bien défendre jusqu’au bout d’un match, jusqu’à ce que l’arbitre siffle."
En 2023, il faudra gagner tous les matches
31/12 09:08
Aïmen Moueffek a livré sa réaction au Progrès après le nul arraché hier soir contre Caen.
"Cela fait plaisir d’être revenus dans le match même si ce n’était pas le résultat attendu. On sait que maintenait il faut gagner. Les matchs nuls, ça ne suffit pas. Mais ce point va faire du bien au groupe. Il va nous permettre d’avancer. Dans l’ensemble, on a fait un bon match. On s’est réveillé une fois que l’on a pris le but. C’est un peu tard. On encaisse encore un but rapidement et bêtement. Les erreurs individuelles, c’est ce qui nous pénalise. On se met dans la merde directement. À 1-0, l’équipe adverse se met derrière et nous, on galère. Il faut tenir le match et se le rendre le plus facile possible. En 2023, il faudra gagner tous les matchs. Si chacun donne encore plus et augmente son niveau d’exigence, ça va le faire, il n’y a pas de raison."
Les anciens Verts en Ligue 2 (J17)
30/12 23:22
Dylan Durivaux a conduit les Chamois à la victoire
Cette 17ème journée a, encore une fois, été marquée par la déception, celle de voir que les Verts n'y arrivent décidément pas, malgré une louable générosité et un beau sursaut qui a permis l'égalisation en toute fin de match face à des Caennais (1-1) qui n'ont guère inquiété le jeune Boubacar Fall dont c'était la première dans les cages. Des Verts qui restent donc lanterne rouge mais qui reprennent un point sur le premier non relégable dont ils sont à 6 longueurs.
Auparavant, les Bordelais de David Guion avaient difficilement battu Sochaux (2-1), victoire qui leur permet de repasser devant les Sochaliens et de devenir ainsi les dauphins, à 5 points, du Paris FC de Thierry Laurey. Morgan Guilavogui est resté muet et Setigui Karamoko est resté sur le banc.
Les Grenoblois de Vincent Hognon rétrogradent à la 5ème place : ils se sont inclinés à domicile face au FC Metz (0-1) où Habib Maïga était titulaire. Ils sont dépassés par Amiens SC, auteur d'une belle victoire (0-3) à Laval, futur adversaire des Verts le 10 janvier prochain. Chez les tangos, Pierrick Cros n'est pas entré en jeu.
Vincent Pajot n'a pu mener les Anneciens à la victoire : ils ont été tenus en échec (0-0), à domicile par le Nîmes Olympique qui ne prend donc pas de point aux Verts et reste 4 points devant. Tout comme les Chamois Niortais de Dylan Durivaux (sorti à 6 minutes de la fin), vainqueurs du Pau FC de Didier Tholot qui a sorti Henri Saivet à l'heure de jeu.
Rodez, où Nassim Ouammou est entré à la 65ème a remporté une précieuse victoire sur Dijon (2-1) : les deux formations sont à 18 points, soit six points devant les Verts.
Nelson Sissoko et son équipe de Quevilly Rouen l'ont emporté à Guingamp (0-2) et grimpent à la 8ème place.
Mathieu Debuchy n'a pu empêcher la défaite de Valenciennes à Bastia (1-0). Les Nordistes ont craqué à un quart d'heure de la fin du match, sur une tête qui a lobé l'ancien portier du Stade brestois, Gautier Larsonneur dont on parle comme possible arrivée chez les Verts.
Plus qu'à 6 points de la zone de maintien !
30/12 23:20
Dijon s'étant incliné 2-1 ce soir contre le Rodez Aveyron Football de Nassim Ouammou (entré en jeu à la 65e et n'étant plus devancé par sa victime du soir qu'à la différence de buts), Sainté est donc revenu à 6 petits points de la zone de maintien. Mais la lanterne rouge stéphanoise compte désormais 4 longueurs de retard sur l'avant dernier-Niort, les Chamois de Dylan Durivaux photo) ayant battu les Palois de Henri Saivet.
L'ASSE a également 4 points de moins que l'antépénultième nîmois, qui a su faire ce soir ce que les Verts ont été incapables de réaliser en début de semaine : prendre un point en Haute-Savoie. Prochains adversaires des Stéphanois, les Lavallois ont lourdement chuté, cette fois à domicile contre Amiens. On espère que les Tangos, qui viennent de prendre 8 pions en 2 matches sans en marquer un seul, seront aussi perméables et inefficaces le 10 janvier à GG !
Un point important
30/12 22:20
Soulagé d'avoir échappé de peu ce soir à sa 9e défaite de la saison de L2, Laurent Batlles a livré sa réaction sur beIN Sports.
"Je suis très fier de ce qu'ont fait les joueurs ce soir contre une belle équipe de Caen. Je pense qu'on a dominé notre match. Il y avait des petits détails, des petits gestes à régler car on a centré quand même 17 fois en première période. Sur les centres on devait s'améliorer. Je suis très heureux car ils n'ont rien lâché. Le contexte n'est pas facile quand on est dernier et là on prend un point contre une équipe qui va jouer le haut du tableau.
Ce n'est pas un soulagement car on n'est qu'au début d'une remontée. Mais pour les efforts que font les joueurs, pour les gens qui sont encore avec nous, pour les légendes du club, pour les salariés et les gens qui travaillent autour, c'est important qu'à un moment donné on puisse montrer cet état d'esprit. C'est ça qui important pour moi aujourd'hui. Après, le jeu, c'est malgré tout un petit peu plus secondaire même si je pense qu'on a fait des choses intéressantes.
J'ai fait une causerie avec les joueurs, je suis avec eux, je suis rentré avec eux sur le terrain alors que ça fait deux ans et demi que je ne rentre pas sur le terrain avant le match. je veux les accompagner, je veux les aider. Aujourd'hui ce n'est pas facile pour eux, ce n'est pas facile pour tout le monde autour du club, je le sais. Pour autant, on ne peut lâcher. Quand on vit ici, quand on est dans la région, on sait qu'on ne peut pas lâcher. On a été récompensé pour une fois.
Gaëtan connaît très bien les joutes de la Ligue 2, c'est un joueur qui se bat, c'est un joueur qui est toujours bien placé. C'est un leader. Quand vous avez un joueur comme ça devant le but, ben il y a but ! J'espère que ça va continuer. On va essayer de passer à l'année 2023 en essayant de continuer d'avancer avec ce groupe en l'améliorant si on peut. Dennis Appiah arrive, ce ne sera sûrement pas le seul.
Vous avez vu l'intensité que les joueurs ont mis ce soir, il faudra compter sur tout le monde pour pouvoir atteindre notre objectif de se maintenir.Cette joie sur l'égalisation est symbolique, on en a besoin. C'est dur. On sort d'un match à Annecy où on tire 17 fois, on a 21 corners. On n'a pas de réussite et le match d'après sur une touche on prend un penalty. Mais je leur ai dit : "Quoi qu'il arrive, on est tous ensemble, on arrivera à obtenir quelque chose."
On a obtenu quelque chose. ce n'est pas ce que je voulais, on aurait préféré gagner, mais prendre un point ce soir, ça permet de couper cette spirale de défaites. Ce n'est pas suffisant, bien sûr, mais ça va nous permettre de passer deux ou trois jours un peu tranquilles avant de reprendre le championnat avec deux matches très importants, Laval et Niort, deux concurrents directs avec nous au maintien."
On a le mérite de ne rien lâcher
30/12 21:49
Menés au score par Caen dès la 17e minute ce soir à Geoffroy-Guichard sur un penalty concédé par Abdoulaye Bakayoko et que le débutant Boubacar Fall, préféré à Etienne Green, n'a pas pu arrêter, les Verts ont arraché l'égalisation à la 92e grâce à leur joker Gaëtan Charbonnier sur une passe de Victor Lobry. L'ASSE finira donc l'année lanterne rouge avec 12 petits points à l'iissue de cette 17e journée.
Le buteur stéphanois a livré sa réaction à l'issue de la rencontre sur la chaîne du diffuseur beIN Sports.
"On fait un match assez cohérent. On prend encore un but sur une erreur un peu bête. On a un groupe quand même assez jeune, qui apprend mais il faut apprendre vite. On a le mérite de ne pas lâcher. La spirale était assez négative, avec la Coupe de France on en était à 4 défaites de suite. Il fallait stopper l'hémorragie. On prend un point. Le compteur tourne, c'est important dans ces moments-là. J'essaye de faire au mieux pour insuffler quelque chose de positif. On est récompensé par ce but.
C'est moi qui marque, ça aurait pu être un autre parce qu'on a tous fait de gros efforts ce soir. C'est bien il faut continuer sur cette lancée et avoir un peu plus de maîtrise dans les 30 derniers mètres. On a deux matches importants à la reprise contre Laval et Niort, il faudra les prendre de la bonne des manières. Il faut montrer de la positivité, il faut montrer qu'on ne va pas lâcher. Il faut montrer qu'on est ensemble, qu'on est uni, qu'il faut aller chercher ce maintien pour le club car c'est un grand club, sa place n'est pas où elle est."
Appiah our (4) ?
30/12 19:07
La journaliste Margo Dumont a annoncé dans l'avant match Sainté-Caen sur beIN Sports que Denis Appiah a passé aujourd'hui sa visite médicale à l'ASSE. L'officialisation du transfert de l'ancien Canari devrait intervenir dès l'ouverture du mercato hivernal, le 1er janvier.