En match d'ouverture de la 8ème journée du championnat Belge, le Royal Antwerp de Boloni s'est imposé hier 3-0 face à Courtrai.
Le promu revient provisoirement à la 4ème place.
Tout cela n'aurait aucune importance si ce match n'avait marqué la première apparition de Mouss dans le groupe. Avec son n°16, Bayal Sall est certes resté scotché au banc.
Mais c'est encourageant. Et s'agissant de notre ex-colosse, ce genre de nouvelles fait plaisir.

Contacté par cinq à sept agents au sujet de la succession de René Weiler sur le banc des Mauves, Christophe Galtier s'exprime dans la Pravda du jour. "Un club comme Anderlecht ne laisse pas insensible. Il mérite le respect,à la fois au regard de sa riche histoire et de son palmarès sur le plan national" déclare Galette, qui vient de repousser deux offres, une d’un club très mal classé en Turquie, l’autre venue de Chine.

La Pravda revient aujourd'hui sur les pépins physiques qui touchent plusieurs joueurs stéphanois. Extraits.

"Alors que Romain Hamouma reste forfait en raison d’une lésion sur une ancienne cicatrice de son mollet gauche, Habib Maïga l’a rejoint à l’infirmerie. Le milieu défensif ivoirien s’est claqué au mollet droit à la fin du match à Dijon. Loïc Perrin souffre d’une lésion au… mollet gauche. Le capitaine des Verts ne s’est pas entraîné de la semaine, se contentant de reprendre la course, hier. Comme Ronaël Pierre-Gabriel, laissé au repos toute la semaine avant de reprendre l’entraînement hier, en raison d’une fatigue à l’ischio jambier de la jambe droite. Celui qu’il s’était déchiré la saison passée. Le principe de précaution a donc été appliqué concernant ces deux joueurs. Une participation à la rencontre de demain après-midi sera prise ce soir. Assane Diousse et Loïs Diony ont, eux aussi, été ménagés quant à leur charge de travail. Leur présence dans la liste des joueurs retenus par Oscar Garcia, ce soir, ne semble toutefois pas remise en cause."

Le milieu de terrain Driss Zidane (22 ans), qui avait joué 9 matches de CFA2 avec les Verts lors de la saison 2015-2016, a annoncé hier sur son compte instagram sa signature à Adarve. Zizou aura donc réussi à recaser son neveu dans un club madrilène évoluant en Segunda B (National).

Oscar Garcia réjouit Dominique Rocheteau, comme l'a expliqué l'Ange vert hier sur SFR Sport.

"Ce que je vois, c'est que les joueurs adhèrent complètement au projet d'Oscar Garcia, à sa philosophie de jeu, à ses entraînements. Vraiment, les joueurs sont hyper satisfaits, hyper contents de s'entraîner. C'estr important. On sent du plaisir. Son exemple, c'est Johan Cruff, donc voilà ! Si on veut parler de sa philosophie, c'est à travers ce grand joueur et ce grand entraîneur. En trois mois de temps, comme ça, avoir les résultats comme ça, même s'il y a une part de réussite... Mais la réussite, elle se crée, ce n'est pas un hasard. Comme le dit souvent Oscar en conférence de presse, ce qui fait la différence en ce moment, c'est l'état d'esprit qui règne dans l'équipe. C'est ce qui fait qu'on obtient des résultats. Il y aussi un jeu qui est mis en place, bien sûr, et qui devrait progresser. Mais moi je mets en avant cette ambiance, cet état d'esprit qui règnent dans l'équipe."

Comme le rapporte Le Progrès, Oscar Garcia a mis la pression sur les attaquants hier en conférence de presse.

"Je regarde le nombre de points pas le classement. Le championnat vient juste de démarrer. On peut parler de chance après un match, pas après six ou sept. C’est du travail. Beaucoup d’équipes sont dans l’obligation d’avoir des résultats parce qu’elles ont beaucoup dépensé, pas nous, mais on est ambitieux. je me mets la pression tout seul. Je n’ai pas besoin des autres. Je veux gagner à chaque match et je veux travailler avec des joueurs ambitieux qui veulent finir le plus haut possible et travaillent pour s’améliorer. Il y a des joueurs qui doivent être plus efficaces, mais on n’a pas beaucoup de buteurs. Alors les autres doivent faire un peu plus."

Les entraîneurs stéphanois et caennais évoquent la problématique des tireurs de penalties dans la Pravda du jour.

Oscar Garcia : "Je n’ai pas désigné de hiérarchie, car je ne veux pas qu’un joueur se sente obligé de tirer s’il ne se sent pas en confiance. S’il y a un problème, c’est moi qui le règle. Et je ne trouve pas normal que le même joueur tire plusieurs penalties dans un même match." [ndp2 : contre Amiens, Jonathan Bamba a tiré le premier et Bryan Dabo le second].

Patrice  Garande :  "Déjà, je suis pour que ce soit un attaquant, car il possède le sangfroid et la technique devant le but. On sait qu’un buteur existe avant tout par ses buts. Alors, s’il peut en tirer plusieurs dans la même rencontre, il doit le faire. Je me souviens, quand j’étais à Auxerre, d’un match où j’en avais tiré trois : le premier sur le poteau, le deuxième avait été repoussé par le gardien et le troisième était allé au fond."

Le Progrès nous informe que Kurt Zouma et Faouzi Ghoulam ont saisi le conseil des prud’hommes de Saint-Étienne contre l’ASSE. Ils demandent la requalification de leur CDD stéphanois en CDI et estiment qu’il y a eu rupture abusive de leur contrat de travail. Les deux joueurs réclament rappels de salaire, primes, congés payés, indemnités de licenciement et dommages et intérêt, soit 1,7 M€ pour le défenseur central de Stoke City et 1,1 M€ pour le latéral gauche du Napoli. Le conseil des prud’hommes devait se prononcer lundi mais a prorogé son délibéré au 16 octobre.

Titularisé pour la première fois de la saison avec le Paris FC, Dylan Saint-Louis a ouvert le score ce soir à Francis Le Blé face au Stade Brestois de Kévin Mayi, entré en jeu à la 84e minute d'un match qui s'est achevé sur un score de parité.

"Hamouma et Maiga forfait, Perrin incertain, pour des douleurs au mollet. Tiens, ça rappelle la saison passée" a écrit ce soir le journaliste de la Pravda Bernard Lions sur son compte twitter.

Content de retrouver après-demain l'ambiance du Chaudron, le latéral droit rennais Hamari Traoré s'est confié à France Bleu.

"Pour l'instant, les Verts réalisent un très bon début de saison : ils sont trosisièmes du championnat, avec un nouveau coach, une nouvelle philosophie... Donc on va là-bas avec beaucoup d'humilité pour essayer de jouer notre football. Je ne peux pas ressortir d'individualités dans cette équipe. Ils jouent bien au ballon ensemble même si Bamba ou Diony essaient de sortir du lot. J'étais venu dans le Chaudron il y a deux ans, je n'en garde pas un très bon souvenir car on avait perdu 3-0. Mais le public est super à Geoffroy-Guichard. Pour un joueur de foot, évoluer dans un stade rempli avec des supporters qui chantent, c'est toujours un plaisir. Et j'espère que cette fois-ci ça me fera un bon souvenir en ramenant les 3 points à Rennes !"

Dans la Pravda, Loïc Perrin explique pourquoi il n'a pris qu'un seul carton rouge en 309 matches de L1, le 30 avril 2016 contre Toulouse. Extraits.

"Je crois que j'ai toujours eu du sang-froid. J'arrive à garder ma lucidité. Les attaquants qui provoquent verbalement, par exemple, ça ne me dérange pas. Je reste dans mon match sans souci. Ça ne m'est même jamais arrivé qu'on me provoque beaucoup parce qu'un joueur qui fait ça a envie qu'on lui réponde, et moi, je ne rentre pas dans son jeu. Par contre, la frustration est plus difficile à gérer quand on perd, mais je parviens toujours à me projeter sur la suite, à me dire que c'est important de ne pas craquer pour ne pas pénaliser l'équipe pour le match suivant. La clé, c'est la concentration, l'intelligence pour défendre, la connaissance de l'adversaire pour bien anticiper. L'expérience aide beaucoup pour ça. J'ai toujours eu en tête l'idée de faire le moins de fautes possible. Et surtout le moins de fautes grossières.

Aujourd'hui, les coups de pied arrêtés décantent énormément de matches. Moins tu fais de gestes déplacés, moins tu risques de pénaliser l'équipe. Je n'ai jamais cherché à faire mal, mais j'ai toujours aimé les duels. J'ai été formé milieu défensif, un secteur où il y a beaucoup de duels. J'y vais, au combat ! Et je ne m'interdis pas de faire des fautes. Je dirais même que certains cartons jaunes sont importants à prendre, quand ils annihilent une action dangereuse. Il faut juste que le carton serve. Certaines saisons, j'ai pris pas mal de cartons jaunes. Surtout quand je jouais au milieu de terrain: je faisais des fautes tactiques pour empêcher l'adversaire de partir en contre. Quand tu joues derrière, c'est différent. La faute est plus grave: à chaque fois, elle offre une situation de but. Je fais plus attention.

En tant que capitaine, je n'engueule jamais un coéquipier qui prend un rouge, parce que le premier déçu, c'est celui qui est expulsé. Mon rôle, c'est plutôt de le réconforter, j'ai de la peine pour lui. Je n'ai pas le souvenir d'avoir un coéquipier qui pète un plomb et envoie un attentat. Par contre, je peux faire des remarques au sujet des fautes bêtes, comme enlever son maillot quand on a marqué. Bryan Dabo l'a fait contre Amiens. C'est bête parce que, s'il prend un carton derrière, c'est rouge. Là, en tant que capitaine, je lui ai dit. Contre Angers, Vincent Pajot a commis un excès d'engagement mais à aucun moment, il ne veut être méchant. Il s'engage pour couper un centre et essayer de marquer, mais, hélas, il rentre dans le gardien avec ses crampons. C'est malheureux

Ça ne tient à rien de recevoir un carton rouge  Le jour où j'en ai pris un, c'était sur une action qui allait très vite. Sur une contre-attaque de l'adversaire, je m'engage, mais le Toulousain va plus vite que moi et touche le ballon avant. C'est l'exemple du geste mal maîtrisé qui peut arriver à tout le monde. Cette stat, un carton rouge en 309 matches de L1, elle compte quand même, parce qu'elle est en accord avec ma façon d'être. Mais des joueurs ont fait des carrières fantastiques en prenant beaucoup de cartons rouges. Zinédine Zidane en a pris quatorze... Il a l'air d'être un mec calme et gentil, qui pouvait peut-être déconnecter. À choisir, j'aurais préféré prendre quatorze cartons rouges et faire sa carrière !"

La LFP a décidé de programmer le Sainté-Montpellier en match d'ouverture de la 10e journée. Bryan Dabo et Rémy Cabellla recevront donc leur club formateur le vendredi 20 octobre à 20h45 (à suivre sur Canal Plus Sport).

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Le défenseur rennais Ludovic Baal évoque le déplacement de son équipe à Saint-Etienne sur le site du quotidien Ouest-France. Extraits.

"Bien jouer ne suffit pas. Il faut prendre des points c’est le plus important. Il faut grappiller des points à tous les matches qui arrivent. À Saint-Étienne, c’est jouable. À Marseille, personne ne nous voyait gagner. Et on n’a pas parlé du Stade Rennais, que de Marseille. C’est mieux quand on ne parle pas du Stade Rennais, comme ça, on fait notre boulot tranquillement.

Saint-Etienne n'a pas changé de philosophie de jeu. Ils ont des nouveaux joueurs qui ne lâchent rien, qui ont faim. C’est normal qu’ils en soient là, ils ont gagné les matches qu’il fallait. Tant mieux pour eux. Ils gagnent sans vraiment démontrer quelque chose de meilleur que l’adversaire. Ils arrivent à gagner à l’arrache, souvent. Ils ont toujours été comme ça et ils ont toujours été là-haut. Tant mieux pour eux si ça leur réussit comme ça.

Il faut être plus tueur devant le but et défensivement aussi. Et ne pas encaisser de buts parce que tant qu’on n’encaisse pas de but, on peut toujours prendre des points et gagner un match .J'ai de bons et de mauvais souvenirs à Geoffroy-Guichard. Avec Le Mans, on avait pris 3-0 là-bas. J’avais l’impression que tout le stade était vert, on s’était senti étouffé par cette équipe. Faut se lâcher là-bas parce que ce n’est que du spectacle."

Avant de défier Allan Saint-Maximin ce soir à l'Allianz Riviera, Yoann Andreu s'est confié à la Pravda. Extraits.

"A Saint-Etienne, on savait que ce serait difficile et on avait réussi à être conquérants. Contre Metz, on était méfiants, un peu trop, et on a déjoué. Le match contre les Verts, on aurait dû le gagner et face à Metz on aurait pu ne pas perdre. Il faut qu'on arrive à faire basculer les choses, qu'on soit difficiles à jouer tout en pouvant faire mal. Nice n'est pas facile à jouer en ce moment, mais on y va décomplexés.

Sur un plan personnel, je me suis remis de ma rupture des ligaments croisés du genou droit survenue en décembre dernier. J'avais déjà connu cette blessure à l'autre genou à Sainté avec un peu plus de complications. Là, aucune. J'ai voulu effectuer la plus grosse partie de ma rééducation à Angers pour être avec ma famille et près de mes coéquipiers. Je pense être revenu à mon niveau d'avant la blessure.

Comme Philippe Lahm, le modèle du poste pour moi, je joue latéral gauche en étant droitier. J'y ai mes repères, je peux relancer intérieur ou long de ligne, attaquer en rentrant ou déborder. Je n'ai peut-être pas un style spectaculaire, je m'ajouterais bien plus de puissance pour faire plus de différences et avoir davantage de volume, mais j'ai de la vivacité pour défendre ou éliminer."

Comme le rapporte France Bleu Saint-Etienne Loire sur son compte twitter, Oscar Garcia a déclaré à la mi-journée en conférence de presse que Loïc Perrin, Loïs Diony et Ronaël Pierre-Gabriel sont incertains pour la réception du Stade Rennais programmée ce dimanche.

Alors qu'il était titulaire en mai dernier lors du dernier Euro, le gardien des U19 de l'ASSE Nathan Crémillieux n'a pas été retenu pour la Coupe du Monde U17 qui se déroulera en Inde du vendredi 6 au samedi 28 octobre. Lionel Rouxel, qui n'a pas pris de Stéphanois pour cette compétition, a sélectionné les gardiens Bryan Bernard (Lens), Yahia Fofana (Le Havre) et Illan Meslier (Lorient).

Responsable du musée des Verts qui proposera à partir du 12 octobre une expo sur le derby, Laurent Chastellière nous apprend dans Le Progrès qu'Oscar Garcia sera le 42e entraîneur dans l'histoire de l'ASSE à diriger les Verts contre les vilains. On compte sur le Catalan pour faire croître l'avance de Sainté (43 victoires) sur les banlieusards (40 succès), 34 rencontres confrontations s'étant achevées sans vainqueur.

La nuit dernière, l'Impact de Montréal a gagné 5-3 à Toronto grâce à un doublé de l'ancien milieu offensif stéphanois Ignacio Piatti, qui a ouvert le score du cul en sautant ! Nacho a claqué 17 pions en 24 matches de MLS cette saison.

Grâce à un but de Danijel Aleksic, Saint-Gall a battu hier soir le FC Bâle de Ricky Van Wolfswinkel. Passeur décisif sur la rédutcion du score de son équipe, ce dernier reste en tête du classement des buteurs avec 7 pions claqués en 8 journées.

Après avoir comme prévu acté la suspension de Bryan Dabo pour accumulation de biscottes, la commission de la Ligue (qu'on adule) a décidé de convoqué les dirigeants stéphanois pour l'utilisation d'engins pyrotechniques par ses supporters lors du dernier match à Dijon.

Seulement quelques heures après que l'Association Nationale des Supporters a publié un carnet sur la légalisation de la Pyrotechnie. Espérons que les mentalités changent...

Lanterne rouge en championnat régional 2, le TES (Thonon Evian Savoie) nous apprend sur son site officiel l'arrivée des anciens Verts Marly Kotoké (défenseur de 21 ans) et Nassim Mahiddine (milieu défensif de 20 ans qui avait été sacré champion de France U17 aux côtés de Jonathan Bamba).

Si Bakary Sako est à la peine avec son club actuellement, il ne pourra pas mettre ça sur le compte de son équipement!

Le site spécialisé Footpack nous livre un aperçu de la collection de crampons Manga de l'ancien ailier stéphanois. Réalisé sur mesure par l'agence Orravan Design (qui fournit également Aubame), ces chaussures sont peintes à la main.

L'histoire ne dit en revanche pas si, avec de telles chaussures, Baky aurait davantage trouvé le fond des filets que les montants...

Hier soir, Anderlecht s'est qualifié pour les 1/8èmes de finale de la Coupe de Belgique en s'imposant à Westerlo (D2) 0-1.
Présent dans le groupe Bob Beric est resté scotché sur le banc, malgré le choix du nouvel entraîneur, l'argentin Frutos, de ne pas titulariser l'habituel titulaire en pointe, le Polonais Teodorczyk.
Ce week-end, retour au championnat, avec un déplacement à Beveren pour les Mauves. Sauf surprise, on peut craindre que Teodorczyk retrouve sa place en pointe, et donc que Beric attende encore avant de connaître sa première titularisation... 

Alors que Dieu a remporté le plus de duels à Dijon (88%), trois de ses disciples font partie de l'équipe type des combattants de la 6e journée de L1 composée par le site Du Stade Au Stats grâce à Opta.

Dans un communiqué sur le site off, le club nous informe que le Conseil de Surveillance présidé par Nanard s'est réuni hier, et se félicite de la bonne santé financière et sportive de l'ASSE.
Faisant référence à l'affaire Carvalho, Nanard réaffirme son soutien à Roro et indique qu'il fera tout pour protéger les intérêts du club.

Le Conseil de surveillance de l’AS Saint-Etienne, présidé par Bernard Caïazzo, s’est réuni au siège du club ce mercredi 20 Septembre 
 
Pour la septième saison consécutive, l’ASSE présentera un résultat financier bénéficiaire, ce qui devrait également être le cas à l’issue de l’exercice en cours. L’ASSE est le seul club de Ligue 1 qui, depuis 2010, n’a jamais subi de pertes financières. Ces bons résultats permettent de conforter le projet sportif.
 
Le Conseil de surveillance tient à féliciter le Directoire et en particulier son Président Roland Romeyer pour cette performance.
 
A l’unanimité, les membres du Conseil de surveillance tiennent à apporter leur soutien et confiance au Directoire. 
 
Bernard Caïazzo se déclare scandalisé par le chantage médiatique dont Roland Romeyer fait l’objet et mettra toute son énergie pour protéger les intérêts du club.
 
Le Conseil de surveillance confirme que Roland Romeyer dispose de la plus grande légitimité pour exercer ses fonctions de Président du Directoire et qu'il fait preuve d’une compétence exemplaire.

L’ASSE est en ordre de marche comme le prouvent ses résultats sportifs et financiers. La gouvernance du club est stable et structurée.

Travailleur, ambitieux et philosophe, Habib Maïga s'est confié à 20 Minutes. Extraits.

"Ce qui ne te tue pas te rend plus fort. Je pense que c’est le cas avec ma grave blessure aux cervicales surevenue en août 2015 avec la réserve : ça m’a rendu plus fort mentalement et ça m’a appris à être patient. Tout d’un coup, je me suis senti moins jeune. J’’ai vite été rassuré par le club qui m’a annoncé que mon contrat serait prolongé d’un an. Je n’avais qu’une chose en tête : revenir plus fort.

La voie est tracée mais tout ne sera pas rose. A moi de toujours bosser, de toujours vouloir plus, d’avoir envie de la perfection. Il y a encore plein de trucs que je dois gommer dans mon jeu. Je regarde mon match soit le soir même, soit le lendemain. Je sais exactement ce qui a marché ou pas en regardant mes matchs. C’est comme ça que j’arrive à corriger mes erreurs.

N’Golo Kanté et Casemiro. Je l’aime bien lui, « le tank ». Il est solide, propre et avec une bonne lecture du jeu. Plus jeune, je suivais pas mal de joueurs comme Lassana Diarra, Michael Essien ou Frank Lampard. Mais même si ce n’est pas le même poste, Samuel Eto'o m’a beaucoup inspiré. Il a montré qu’on pouvait partir de zéro et arriver au sommet.

Je n’avais en principe quasiment aucune chance d’y arriver. Je partais à l’école et j’allais jouer au foot après, au centre de formation de Gagnoa, un petit coin à trois heures d’Abidjan. Je n’avais même pas de chaussures de foot. Ce sont mes amis qui m’en prêtaient. En 2013, j'ai remporté la CAN U17 au Maroc. Il y a alors eu plusieurs pistes pour moi et j’ai préféré rejoindre Saint-Etienne l’année suivante.

Le Lyonnais Maxwel Cornet a mon âge et il vient de vivre ses premières capes avec la Côte d’Ivoire ? Je n’ai pas de contact avec le sélectionneur Marc Wilmots. Le plus important, c’est d’être performant en club. C’est un rêve de jouer en équipe nationale mais le retard n’empêche pas le bonheur. Là, je suis peut-être en retard mais j’avance tout doucement.

Je n'estime pas avoir changé de dimension après notre match à Paris. C’est un match dans lequel j’ai beaucoup appris mais j’en vivrai plein d’autres. Rien n’a changé pour moi dans le vestiaire après cette rencontre. Le coach est comme moi, il ne parle pas trop. Tout se passe sur le terrain avec lui et je fais le maximum aux entraînements pour avoir une place.

Il y a plein de bons jeunes au centre de formation qui pourraient vite débarquer en L1. Kenny Rocha-Santos, Rayan Souici, Mickaël Nade ou Lamine Ghezali. Ils ont vu avec moi que tout était possible, vu d’où je venais. C’est à eux de bosser et ils seront récompensés."

Dortmund a repris hier soir la tête de la Bundesliga à l'issue de la 5e journée grâce à sa victoire 3-0 à Hambourg. Pierre-Emerick Aubameyang en a profité pour claquer son 9e pion de la saison toutes compétitions confondues, son 5e en championnat. Pas le plus dur à marquer...

Accompagné de l'ancien Canari José Touré, Osvaldo Piazza est venu saluer avant hier au Stade du Soleil (Firminy) les dirigeants et joueurs du club appelou (partenaire de l'ASSE). "Le football a changé et est devenu trop business. Je préfère, comme ce soir, regarder des jeunes s’entraîner. Je retrouve dans ce foot amateur des valeurs qui me sont chères, comme la passion et l’amour du maillot" a confié au Progrès le mythique défenseur central de l'épopée des Verts.

Ancien Champion de France avec Monaco (en 1997 et 2001) aujourd'hui consultant sur Canal Plus, Bruno Irles n'est pas indifférent aux Verts d'Oscar Garcia, comme il l'explique aujourd'hui dans Le Progrès.

"C’est forcément un club particulier pour moi qui suis Roannais. Je suis content qu’ils retrouvent un jeu attrayant… Ma philosophie est beaucoup plus proche de Garcia que de Galtier. Il y a plus d’ambition dans ce jeu et les supporters de l’ASSE vont être contents même si ceux en France qui sont moins ambitieux dans le jeu ont des résultats. Ce n’est pas une critique. Pour l’instant, les Verts s’en sortent bien en résultats avec un peu de chance aussi. Car ce jeu demande de la patience, il faut du temps, cela réclame plus de maîtrise. Paris a déjà de la maîtrise, pour l’ASSE il faut avoir un peu plus de patience."