A l'instar de l'ASSE, le RC Strasbourg s'est imposé ce soir à domicile après avoir été mené la pause, avoir égalisé à la 48e et pris l'avantage à la 65e ! Entré en jeu au retour des vestiaires, Benjamin Corgnet a permis à son équipe de prendre la tête... de la tête. L'ancien milieu de terrain stéphanois n'avait plus maqué avec les pros depuis le pion qu'il avait claqué à GG contre Nantes le 9 avril 2017.

C'était le premier déplacement pour les U15 de Jean-Philippe Primard. Après 2 rencontres à domicile (victoire contre Chambéry, nul contre Grenoble), ils ont pris aujourd'hui la route de la Haute-Savoie pour affronter la solide équipe du FC Annecy. Après un match engagé, ils sont restés invaincus, en ramenant une victoire acquise sur le score de 3 à 2.

Les Verts ont mis du temps à entrer dans la rencontre face à un adversaire qui a essayé de construire au départ, avant de jouer assez long ensuite, mettant de l'impact dans les duels. Malgré tout les Verts parvenaient à se créer des occasions en contres. C'est cependant Annecy qui ouvrait le score sur un corner direct, tiré du pied gauche, sa trajectoire rentrante lobant le gardien stéphanois. (1-0, 20ème).

Les Verts commençaient à réagir dans le dernier quart d'heure de la première période, entrant plus dans les duels. Cela allait se concrétiser par l'égalisation juste avant le repos. Youssef N'Joya N'Gapout, côté gauche, voyait Beni Seda Mfukumoko au 2ème poteau et le servait. Ce dernier faisait un crochet intérieur pied gauche et marquait au ras du poteau. (1-1, 40ème).

Après le repos, les Verts, à la demande de Jean-Philippe Primard prenaient le match à leur compte, gagnaient les duels, avaient la maîtrise du ballon. Ils allaient rapidement prendre l'avantage : Beni Seda Mfukumoko servait Keryann Merat dans l'intervalle : ce dernier s'avançait et s'en allait battre le gardien adverse d'un petit ballon au sol. (1-2, 50ème).

Annecy réagissait, poussait un peu plus fort, mettant les Verts sur le reculoir, des Verts qui concédaient quelques coups-francs que les Hauts-Savoyards tiraient dans la boîte. Mais les Verts résistaient et sortaient victorieux des duels aériens. Mieux même, ils parvenaient à faire le break par Gabin Besson,  d'un plat du pied à mi-hauteur, , sur un centre côté droit de Keryann Merat. (1-3, 70ème)

Malgré cela, Annecy ne lâchait pas, réinvestissait le camp stéphanois, et revenait dans le match sur penalty, suite à un cafouillage. (2-3, 80ème). Durant les cinq minutes de temps additionnel, les Stéphanois se défendaient bec et ongles pour garder le bénéfice de cette victoire. 

La composition : Petiot - Zarzour, Fenkrouz, N'Gongar Chris, N'Gongar Alpha (Hospital 60ème) - Marmorat, Besson, Gauthier  (Vallet 64ème) - Seda Mfukumoko, Merat (Randazzo 73ème), N'Joya N'Gapout.  

La réaction de Jean-Philippe Primard : "Ce fut une victoire très difficile face à une équipe qui nous a posé des problèmes, surtout dans les vingt-cinq premières minutes où nous n'étions pas dans les duels, n'avions que trop peu souvent le ballon. Nous avons réagi en fin de première mi-temps et cela s'est soldé par notre égalisation qui nous a remis dans le match. Je les ai un peu sermonnés à la mi-temps, leur demandant de continuer sur la lancée de cette fin de première période. C'est ce qu'ils ont fait en prenant l'avantage. Ensuite nous avons joué trop bas, ce qui nous a mis dans la difficulté pour ressortir proprement les ballons. Mais, sur les coups-francs concédés,  nous avons été présents dans les duels aériens. Et après le troisième but, nous avons su préserver la victoire. En conclusion, je suis satisfait de la réaction de mes joueurs : en effet, dans le football, il y a le jeu, la tactique, la technique, mais il y a aussi les duels, les impacts."     . 

Menés à la pause suite à une grosse boulette de Stéphane Ruffier, les Verts renversants ont étripé Caen en deuxième-mi-temps. Sur un pénalty obtenu par un Yannis Salibur très en jambes malgré son but refusé pour un hors jeu discutable à la 40e, Wahbi Khazri a égalisé trois minutes après la pause. Timothée Kolodziejczak a profité d'un énorme cafouillage pour inscrire à la 65e le but le plus moche du début de saison de L1 mais sans nul doute le plus important pour des Verts reboostés par le retour des kops. Cette convaincante seconde période, qui permet à l'ASSE de remonter à la 7e place, a été marquée par l'excellente entrée en jeu d'Arnaud Nordin et par la nouvelle sortie sur blessure de Mathieu Debuchy, Yann M'Vila ayant tiré sur le poteau et Wahbi Khazri s'étant vu refuser à juste titre un but pour hors jeu.

Réduits à dix dès la 18e minute de jeu, les Verts ont perdu sur le fil ce soir à Colomiers lors de ce match de haut de tableau de National 2.

Après un gros quart d'heure de jeu, Clément Cabaton s'est fait expulser en tant que dernier défenseur pour avoir tenté de récupérer un ballon perdu par Wesley Fofana au milieu. Mais Cyril Martin-Pichon (photo) a réussi à ouvrir le score d'une frappe du gauche sur un coup franc renvoyé. Les Columérins ont profité d'un mauvais placement du bloc stéphanois pour égaliser trois minutes plus tard. Sur une belle combinaison avec Lamine Ghezali et Vagner, Dylan Chambost a hérité d'un centre en retrait du numéro 9 capverdien pour redonner l'avantage aux Verts. Mais les locaux ont recollé à la 38e. Légèrement dominés en seconde période sans être acculés les Stéphanois ont été sauvés à deux reprises par les parades de Nathan Crémillieux. Mais Colomiers a arraché la victoire à la 88e minute de jeu d'une frappe enroulée aux vingt mètres en pleine lucarne.

La compo : Crémillieux - Panos, Cabaton, Fofana, Pétrot - Camara, Martin-Pichon, Chambost (Benkhedim, 62') - Ghezali (Fleury, 79'), Vagner (Valbon, 79'), Abi.

La réaction de Laurent Batlles : "C'est dommage car on a vraiment fait un gros match. Les garçons ont été valeureux, ont montré beaucoup d'envie, beaucoup d'abnégation. Mais on a payé cash les rares erreurs qu'on a faites. On a joué une grande partie du match en infériorité numérique mais on n'a pas subi tant que ça en deuxième mi-temps. C'est vrai que Nathan Crémillieux a fait deux ou trois arrêts importants après la pause, mais on était quand même assez costaud, on est arrivé à contrarier cette bonne équipe de Colomiers. C'est dommage de prendre ce but à la fin. Le résultat est un peu rageant mais le contenu est encourageant. Les deux buts marqués depuis notre surface de réparation en première mi-temps étaient évitables. Sur le troisième par contre, on ne peut rien faire, c'est un but d'anthologie."

Eliminé sans gloire par l'Apollon Limassol en Europa League et largué en Super League (déjà 9 points de retard sur les jeunes garçons de Berne après 6 journées), le FC Bâle a écrasé 7-2 Echallens samedi dernier en Coupe de Suisse. Auteur du 3e but de son équipe, Ricky Van Wolfswinkel n'a laissé aucune chance à ses modestes adversaires évoluant en 4e division.

Grâce à un doublé de Bafé Gomis, Al Hilal a battu Al Batin 3-1 avant-hier lors la 3e journée du championnat de D1 d'Arabie Saoudite.

En conférence de presse, l'entraîneur caennais Fabien Mercadal a donné son avis sur les Verts. Extraits.

"Je pense beaucoup de bien du club, de ce qu'il représente. Je pense beaucoup de bien du coach, avec qui j'ai eu la chance d'échanger. Et je pense beaucoup de bien de cette équipe. Elle a un gros pouvoir offensif, qu'elle n'a pas pu exprimer jusque-là pour diverses raisons. On sent que c'est une équipe qui est encore en train de se chercher mais ils ont recruté des joueurs, ils ont récupéré Salibur... Il faut s'adapter à ces profils-là. Je pense que ce sera une équipe qui sera en haut du classement à la fin de saison.

Cette équipe a un coach expréimenté. Il sait ce qu'il fait, ça se voit. On identifie ce qu'ils veulent faire, on voit qu'il y a du travail. J'aime bien cette équipe mais on va tout faire pour gêner les Verts. Ce sera un beau challenge pour nous. On cherche à gagner. Après, il faut garder l'équilibre, surtout contre une équipe comme Saint-Etienne, qui est performante dans la transition. On essaie de mettre les meilleurs éléments adaptés aux forces et aux faiblesses de l'adversaire.

Partir avec l'idée de faire un nul, c'est déjà perdre. Il faut partir avec l'intention de gagner, quelle que soit l'équipe qu'on a en face. Il faut essayer de lui poser des problèmes. Après, on se rend compte parfois pendant le match qu'un nul est bien payé et qu'il faut s'en contenter. Mais au départ, il faut partir avec l'intention de faire mieux. C'est comme ça comme va aborder ce match à Saint-Etienne. On ne s'interdit pas de faire un gros, gros résultat dans le Chaudron. On a envie de faire un gros coup, on s'est préparé pour ça."

Le défenseur caennais Paul Baysse s'est confié à Ouest-France avant de retrouver ce soir le Chaudron. Extraits.

"A Bordeaux, Jocelyn Gourvennec m'a recruté lors du dernier mercato d'hiver, une semaine après il se fait licencier et je sors de l'équipe avec Gustavo Poyet. Cet été, je décide de partir à Caen, le lendemain Poyet se fait licencier. Et l'entraîneur qui vient d'arriver à Bordeaux, Ricardo, c'est lui qui m'a fait signer pro ! Cela fait partie du foot. Je ne suis pas quelqu'un qui vit sur les regrets, et je me dis que si les choses devaient se faire comme ça, c'est qu'il y a une bonne raison. Rien n'arrive par hasard. Caen est mon 7e club, j'ai fait paquet de déménagements, on connaît du monde partout. Cette adrénaline, cette vie à 100 à l'heure, c'est ce qui me manquera après ma carrière.

Tout a été mis en place pour que je me sente bien à Caen, et c'est plus facile car il y a de bons mecs, de vraies valeurs. Ce groupe a aussi été construit sur l'humain, avec des bosseurs, car on sait que ça nous servira quand on aura la tête un peu sous l'eau. Je retrouve un peu ici la mentalité, l'atmosphère que j'avaies connues à Brest. J'y avais vécu des années formidables. Je suis prêté par Bordeaux sans option d'achat mais je suis Caennais à 100% et super content d'être là, mes enfants et ma femme aussi.

J'ai grandi, emmagasiné des matches, voyagé, vécu des expériences positives, négatives, des blessures... Je suis passé par beaucoup d'états en fait. Aujourd'hui, je suis encore différent par rapport à Malaga ou Bordeaux. Je suis un mélange d'un peu tous les Baysse d'avant, avec un peu plus de maturité. Un gars surtout bien dans sa peau, content d'aller à l'entraînement, qui a la banane. Et ça, c'est le principal !

Je m'étais rompu les ligaments coisées du genou gauche le 2 janvier 2013 avec Brest. On descend en L2, je termine ma rééducation avec mon nouveau club Saint-Etienne, puis dès mon deuxième match de préparation, je me fais les ligaments croisés du genou droit... Je suis resté 19 mois sans jouer en L1. Cette période m'a appris à prendre pas mal de recul sur le foot. Je m'en suis servi pour mieux me connaître, voir les choses différemment. Cela a été comme un déclic. Sans ces blessures, je en sais pas si j'en serais là aujourd'hui ! Sainté, ça reste un très bon souvenir quand même. Un club mythique, un public incroyable... Et mon deuxième enfant est né là-bas !"

Dans Le Progrès du jour, Jean-Louis Gasset évoque le cas de Yann M'Vila.

"On sait qu’il est capable de casser des lignes en faisant des passes. Mais il faut qu’il se dise que ce n’est pas suffisant. Il est comme quatre, cinq autres éléments qui ont du mal à rentrer dans cette saison. Quand on est en manque de résultats, ce sont les joueurs majeurs qui doivent prendre le taureau par les cornes. Et il en fait partie. On va essayer de changer de système dans la sortie de la balle. Avant, Yann tombait sur le côté gauche pour le faire. Là, on va tenter d’avoir plusieurs sources pour démarrer les actions et contrarier l’adversaire qui nous a bien étudié."

Contrarié par un petit problème à la cheville, le numéro 6 des Verts s'est exprimé avant-hier en conférence de presse.

"J'ai conscience de devoir en faire un peu plus. Je ne suis pas à 100% mais je me sens de mieux en mieux. Quand je décroche pour prendre le ballon, il y a toujours quelqu’un sur moi. On me fait un “marquage individuel”. Il va falloir se sortir de cela. Dès les premiers matches avec Ole, ça s’est bien passé. On se comprend même si on ne se parle pas beaucoup. Mais dans le football, on n’a pas besoin de langage particulier. Au niveau de la détermination, il va falloir être au même niveau que Caen si on ne veut pas se faire avoir. À nous d’être forts mentalement et de jouer notre football."

Affichant un zéro pointé après cinq journées, Antoine Kombouaré n'a toujours pas digéré la défaite de son équipe à GG lors de la première journée. Mais l'entraîneur guingampais affiche sa détermination dans la Pravda du jour. Extraits.

"Le premier match contre Saint-Étienne, avec le recul, nous fait du mal. On fait une première mi-temps honorable, on est menés 1-0, puis on revient après une seconde mi-temps superbe. Eux n'ont aucune situation, et sur un ballon anodin, Diony est seul au milieu de Kerbrat et Eboa, il saute, sa tête se fiche dans le petit filet. Il ne faut pas avoir peur des mots : c'est un début de saison catastrophique. Moi, j'ai tort, car mon travail aujourd'hui n'est pas bon. Sur mes choix, sur les joueurs et le schéma, j'ai tort. Mais, moi, je ne lâche pas, toute ma vie j'ai été dans le combat.

Quand on ne gagne pas, on a tendance à se renfermer, à se replier, avec des petits clans. Je l'observe en ce moment dans mon groupe, c'est humain ! On fait un sport collectif avec des mecs qui ne pensent qu'à leur gueule, c'est encore plus vrai quand on perd. Le mot d'ordre, aujourd'hui, c'est : la priorité des priorités, c'est le club. Les intérêts perso, on les met de côté. Je n'ai jamais démissionné. Démissionner, c'est abandonner, c'est pour les faibles, pour les mecs qui ont peur. Le jour où je démissionne, j'arrête le foot.

Je n'ai pas peur. C'est du foot ! J'ai peur quand mes enfants sont malades, j'ai eu peur quand j'ai perdu ma maman car j'ai eu terriblement mal. Mais le foot... Je suis inquiet, je suis en colère, très en colère contre mon travail. Et parfois je le suis contre mes joueurs, j'ai envie de tout casser... Il faut surtout qu'on encourage les joueurs, ils ont besoin de soutien, d'amour. Je les aime comme mes enfants. Je coache avec ce que je suis. Mais qu'ils fassent quand même attention, les bouteilles et les paperboards peuvent encore voler !"

En cette fin d'été, Aliou Cissé a dévoilé la liste des 23 Lions de la Teranga qui affronteront le Soudan le 13 octobre à Dakar et trois jours plus tard à Khartoum lors des éliminatoires de la CAN 2019. Contrairement au Caennais Adama Mbengue, Assane Diousse n'a pas été retenu. Mais à l'instar des attaquants messins Habib Diallo et Ibrahima Niane, le numéro 25 des Verts fait partie des 7 réservistes susceptibles d’être appelés en cas de blessure selon le site Afrik-Foot.

 Remis de sa blessure à la cuisse contractée le 14 juillet lors d'un match de préparation contre Concarneau, Ismaël Diomandé (26 ans) fait sa première apparition dans le groupe caennais cette saison à l'occasion du déplacement du Stade Malherbe à Saint-Etienne. S'il n'a disputé que 11 matches de L1 la saison passée, l'ancien milieu de terrain stéphanois avait claqué trois pions en Coupe de France : à Metz, contre les vilains et face au QSG.

Contrairement au finaliste de la Coupe Gambardella 2011, Mouhamadou Dabo (31 ans) ne fera pas son retour à Geoffroy-Guichard demain soir. Fabien Mercadal a une nouvelle fois décidé de se passer des services de l'ancien latéral des Verts. Le défenseur sénégalais n'a joué qu'en National 3 cette saison. S'il a battu Pacy Ménilles (3-2), il s'est ensuite incliné à domicile face à Alençon (1-3).

Jean-Louis Gasset a retenu 20 joueurs pour la réception de Caen demain soir à Geoffroy-Guichard. On notera le retour du numéro 26 de l'ASSE et le forfait du numéro 27.

Le groupe : Ruffier, Moulin, Le Roy - Debuchy, Perrin, Subotic, Kolodziejczak, Silva, Saliba - M'Vila, Selnaes, Diousse, Cabella, Khazri - Nordin, Diony, Monnet-Paquet, Gueye, Salibur, Hamouma.

Les anciens Verts ont connu des fortunes diverses lors de la 1ère journée de la phase de groupes de l'Europa League. 

Dans le groupe E, Arsenal s'est imposé 4-2 sur les Ukrainiens de Vorskla Poltava, après avoir mené 4-0 à un quart d'heure de la fin. Pierre Emerick Aubameyang a inscrit 2 buts, aux 32ème (à la suite d'un contre parti du camp d'Arsenal) et 56ème minutes (d'un tir des 20 mètres), avant de laisser sa place à Mesut Özil à la 57ème. 

Dans le groupe B, le Rosenborg d'Alexander Soderlund (averti à la 60ème et remplacé à la 79ème) s'est incliné à Glasgow face au Celtic (1-0). 

Dans le groupe C (où figure Bordeaux), Hernani, scotché sur le banc, n'a pas pris part au match qui a vu son club du Zenith Saint-Petersbourg obtenir le nul à Copenhague (1-1). 

Dans le groupe D, le Dynamo Zagreb de Kevin Théophile-Catherine (qui a joué tout le match) a réussi une belle performance en écrasant Fenerbahce sur le score de 4 à 1. 

Quant à Dimitri Payet, capitaine de l'OM, il n'a pu empêcher son équipe de sombrer à domicile face à l'Eintracht Francfort (groupe H), pourtant réduit à 10 à l'heure de jeu. Chez les Allemands, Gelson Fernandes est resté sur le banc. 

Le possible forfait d'Enzo Crivelli ne profitera pas, c'est certain, à Christian Kouakou : l'attaquant ivoirien vient de résilier son contrat avec Caen.

Non utilisé cette année, l'ancien tourangeau (expulsé avec contestation, rappelez-vous, lors de la spectaculaire victoire 5-3 des Verts en Coupe de France en 2015) n'avait déjà disposé que d'un temps de jeu limité l'année passée.

Comme le souligne aujourd'hui l'édition caennaise du quotidien Ouest-France, l'entraîneur caennais Fabien Mercadal utilise la vidéo pour préparer son déplacement à Sainté. Extraits.

"On parle souvent de la vidéo comme d’un instrument pour disséquer l’adversaire, mais cela nous permet aussi d’améliorer notre projet de jeu", résume Fabien Mercadal. "Illustrer par la vidéo le placement d’un joueur, par exemple, permet de gagner un temps fou sur le terrain, surtout avec les nouvelles générations qui ont grandi sur les écrans. On sollicite énormément notre analyset vidéo Pierre-Alain Montecer, on regarde aussi beaucoup de matches partout, et quand quelque chose nous plaît, on fait couper la séquence, on en discute…"

Malherbe joue à Saint-Etienne ce samedi, et Mercadal réclamera encore à ses joueurs beaucoup d’intensité dans le jeu. La vidéo lui permet de valoriser cette exigence, et la prestation fournie contre Lyon servira d’exemple utile à rappeler. Le coach utilisera-t-il aussi quelques images des matches de l’OL et Liverpool, modèles en la matière cette semaine en Ligue des champions…

Pas question non plus d’oublier le moindre détail concernant le jeu de l’adversaire. Depuis une grosse semaine, Pierre-Alain Montecer travaille sur les Verts, pour décortiquer points forts et points faibles. Il a visionné leurs matches contre Amiens (0-0) et Guingamp (2-1) à Geoffroy-Guichard. Il en a tiré un montage d’une dizaine de minutes, qui a été présenté aux joueurs ce jeudi. "On utilise des formats courts, sur des thèmes bien précis, pour éviter aussi de les lasser."

Il faut dire qu’entre le débrief du match de Lyon mardi, la présentation de l’adversaire ce jeudi, une séquence dédiée aux coups de pied arrêtés prévue ce vendredi matin, avant la mise en pratique à l’entraînement, ou le briefing de samedi matin à leur hôtel stéphanois, les acteurs ne manquent pas d’images. "Certains joueurs ont aussi des demandes individuelles, comme Oniangué ou Nianga qui aiment bien avoir un retour vidéo de leurs matches et une clé USB avec les adversaires du week-end."

Pour le staff, la satisfaction est forcément grande, quand un domaine précis travaillé en amont, sur la vidéo puis à l’entraînement, permet de marquer en compétition. Cela a été le cas samedi dernier contre Lyon (2-2), sur le coup franc de Fajr tiré rentrant au premier poteau pour la tête d’Oniangué, qui arrivait lancé. "On avait vu une faille de ce côté-là et travaillé deux zones bien précises, avec Oniangué chargé de rentrer dans l’une de ces zones, sourit Pierre-Alain Montecer. Après, il y a la qualité du frappeur qui rentre aussi en ligne de compte."

Victime d'une contracture au niveau des ischios le week-end dernier en banlieue, Enzo Crivelli, buteur lors des deux derniers déplacements du Stade Malherbe à Nantes et Dijon, pourrait déclarer forfait pour samedi selon la dernière édition caennaise du quotidien Ouest-France.

Initialement programmée mercredi, sa reprise a été repoussée, et l'attaquant fera un test ce matin pour savoir s'il peut tenir sa place. Compte tenu de l'enchaînement des matches (Caen va à Montpellier mercredi avant de recevoir Amiens samedi), le staff ne devrait prendre aucun risque.

En cas de forfait, Malik Tchokounté pourrait le suppléer, à moisn que Fabien Mercadal ne refasse confiance en pointe à Claudio Beauvue, comme en fin de match contre Dijon et contre les vilains. Auquel cas Yacine Bammou pourrait retrouver une place sur le flanc droit de l'attaque.

En conférence de presse relayée aujourd'hui par Le Progrès, Jean-Louis Gasset a invité hier ses joueurs à revenir aux fondamentaux pour étriper Caen demain soir à Geoffroy-Guichard. Extraits.

"On est loin de notre rendement. On en est à la recherche. Il faut vite trouver la solution. Cette semaine, on a travaillé très fort physiquement parce qu’on a eu un coup de moins bien dans ce domaine en deuxième mi-temps à Paris. Mercredi, nous sommes allés travailler à Geoffroy-Guichard. Dans nos sorties de balle, nos adversaires mettent un joueur sur Yann. On va essayer d’avoir plusieurs sources pour faire démarrer l’action.

Il faut renverser le truc, trouver le bon filon pour inverser la réussite. Marquer sur coups de pied arrêtés, chose que l’on ne fait pas souvent. Il faut qu’on s’y applique. On a les tireurs pour ça. Ce sera le thème de la séance vendredi. Quand vous êtes un peu en manque au niveau des points, vous repartez sur les fondamentaux. Comme ça, les joueurs ont l’impression d’avoir revu tout l’alphabet. Il faut battre Caen, c’est impératif.

Il y a six mois, on a fait une série avec des ingrédients que l’on n’a pas aujourd’hui. Ce sont des joueurs qui sont capables de remettre le couvert. J’en suis persuadé. Une carrière, ce n’est pas faire sept mois de bon et treize matches sans défaite. Là, on joue un peu en costard-cravate. Mais on n’en est pas capables. Il faut remettre le bleu de chauffe."

La Ligue de Football Professionnel a communiqué ce jeudi les horaires et la programmation TV des matchs de la 10^e journée du championnat de France de Ligue 1. À cette occasion, l'ASSE recevra le Stade rennais. La rencontre aura lieu le dimanche 21 octobre 2018 à 17h, et sera diffusée en direct sur BeIN Sports 1.

Le site Dakar92 nous apprend, qu'après le limogeage d’Antonio Camacho, le Gabon a nommé mercredi un nouveau duo de sélectionneurs. Jusqu’ici adjoint, l’ancien Lensois Daniel Cousin a été promu à la tête des Panthères. Il sera épaulé d’un autre nom familier, puisque Pierre François Aubameyang l’accompagnera.
Il s’agit du père de Pierre-Emerick Aubameyang, l'ancien Stéphanois désormais à Arsenal. Dans un communiqué, la fédération gabonaise rappelle que «la mission principale» est de qualifier la sélection pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun.

Willy Sagnol, n'est pas convaincu de l'apport de l'assistance vidéo à l'arbitrage. C'est ce qu'il a dit sur RMC Sport. 

"La VAR, elle déplace les problèmes. Là où on dit que ça annule certaines injustices, ce n'est pas vrai. Regardez la finale de la Coupe du Monde : en France on est content, et en Croatie on a les boules. Quand le car-régie donne une information à l'arbitre, c'est, quoi qu'il arrive, l'arbitre qui doit quand même décider, donc ça joue, vu que quand on lui donne l'information il est sur le terrain avec un contexte. Est-ce que, dans l'oreillette, on ne lui dit pas qu'il a intérêt à siffler sinon il n'arbitre pas de prochain match ? On ne sait pas, après tout... Mais je ne vais pas aller jusque là. Par contre, ce que je dis, c'est qu'au moment où l'arbitre reçoit l'information il est sur un terrain, dans un certain stade, avec une certaine ambiance. Alors, est-ce que, pour la même action et le même mot qui lui arrive dans l'oreillette il va avoir la même réaction et arrêter le jeu selon si c'est pour Saint-Étienne en déplacement à Monaco ou pour Paris qui reçoit Amiens, par exemple ? Moi je ne pense pas. Car le contexte dans lequel l'arbitre est déjà, avant de recevoir l'information dans l'oreillette, fait que ça peut changer sa décision. Aussi, tu n'utiliseras pas la vidéo de la même manière s'il y a 0-0 ou 3-0. Au Mondial, lors d'Angleterre - Panama, si tu utilises vraiment la VAR, tu donnes penalty au Panama, même si le score est déjà là (6-1 au final)."

Blessé à la rotule droite lors d'un entraînement, le Toulousain Yaya Sanogo va devoir observer une période de repos de huit jours et manquera donc la réception des Verts, mardi 25 septembre, pour le compte de la 7ème journée du championnat.

Déjà freiné par une blessure pendant la préparation, Yaya Sanogo est donc de retour à l'infirmerie. L'attaquant toulousain souffre d'un hématome derrière la rotule droite, comme l'a annoncé son entraîneur Alain Casanova en conférence de presse ce jeudi. L'ancien Gunner sera écarté des terrains pendant huit jours. Un contre-temps gênant pour celui qui avait retrouvé une place de titulaire le week-end dernier contre Monaco (1-1).

AgoraVox, site web de journalisme citoyen alimenté par des rédacteurs volontaires et non professionnels, propose, aujourd'hui, le onze de légende de l'ïle de La Réunion, onze dans lequel figurent trois anciens Verts : Benoît Trémoulinas (janvier-juin 2014), Florent Sinama-Pongolle (2011-2012) et Dimitri Payet (2007-2011). 

En guise de conclusion, Agora Vox précise : "Actuellement, avec plus de 30 000 footballeurs (sans compter la diaspora métropolitaine), La Réunion représente environ un tiers des quelques 100 000 joueurs recensés sur l’ensemble des DOM-TOM, soit plus que le nombre cumulé de licenciés en Guadeloupe et en Martinique confondues (plus ou moins 25 000). Dans le futur, avec un tel vivier à disposition, gageons donc que bon nombre de pépites d’origine ou d’ascendance réunionnaises viendront encore garnir les rangs de la Ligue 1 et même des Bleus."

Aujourd'hui en conférence de presse, Jean-Louis Gasset a annoncé que Cabella et Debuchy sont aptes pour recevoir Caen. Robert Beric, seul, est incertain : le buteur stéphanois a "passé une IRM hier et, s'est entraîné pour la première fois normalement aujourd'hui."

 Mais si le football se joue au pied, Jean-Louis Gasset ne prend plus le sien en ce moment :

"Je ne prends pas plaisir à voir mon équipe comme j'en prenais l'année dernière. L'élan a été brisé en fin de saison. C'est mon travail aujourd'hui. Chaque joueur doit faire un peu plus.

Nous nous sommes remis en question par rapport au score concédé à Paris. Notre début de saison comptable est moyen, comme pas mal d'équipes. Nous sommes encore à la recherche de notre rendement. Il ne faut pas (encore) regarder le classement. Nous avons perdu 2 points sur le tableau de marche prévu. On ne va pas le ressasser. L'année dernière, à Montpellier, Angers, Strasbourg, on a gagné des matches qu'on ne méritait pas. Il y a des cycles.

Nous retrouverons nos deux poumons samedi (les deux kops). Le public n'est pas seulement le douzième homme. On a tout intérêt à ce que ce soit le match du déclic. Fin janvier, ça l'avait été. Un message pour le public ? Un exemple simple : le but de Khazri en ouverture de championnat mérite de faire soulever le stade. La célébration, c'était pauvre. On doit avoir une foule qui bouge, une fête, car c'était un but exceptionnel.

Jouer samedi-mardi-vendredi : c'est très rare, je pense que ce sera la première fois dans ma carrière. Ce sera peut-être l'occasion de lancer des jeunes. Gueye progresse. Il marque en National 2. Il est en gros progrès. Nordin, Camara et Saliba sont dans le même wagon."

Connu pour s'être occupé des intérêts de sportifs comme Laure Manaudou ou Yoann Gourcuff mais aussi intervenu dans le rachat de l'OM par Frank McCourt, l'avocat Didier Poulmaire confirme au site Le Phocéen qu'il a été contacté par un candidat à la reprise de l'ASSE.

"On a été contactés par quelqu'un qui souhaitait reprendre le club, mais le dossier n'a pas abouti. C'est dommage, car c'est une très belle marque aussi, mais je n'accompagne pas lorsque je ne sens pas le projet ou les personnes. Je m'étais déjà retiré du dossier de reprise du RC Lens, et là, je me suis aussi retiré de Saint-Etienne, car la méthode ne me convenait pas.

Mais on reste concentré sur les projets de reprises par des investisseurs étrangers en Ligue 1. On a créé un think tank qui s'appelle le Sport Executive Club et on réfléchit beaucoup au bon modèle pour les clubs français. Il y a encore trop de clubs qui perdent de l'argent, il y a aussi une inflation des salaires qui n'est pas maîtrisée et on essaie de savoir comment y remédier.

La piste principale est celle de détenir son stade, comme en Allemagne ou en Angleterre, c'est le sens de l'histoire. On travaille aussi sur l'actionnariat des socios, comme en Espagne. Il faut creuser cela dans les années qui viennent. J'ai d'ailleurs beaucoup discuté avec les gens du projet socios à l'OM, et je suis convaincu qu'il s'agit d'une piste qu'il faut prendre au sérieux."

Selon un article paru dans Kicker il y a trois jours, le Guil', blessé au genou, devrait rapidement rejouer :
Sa blessure lors de la première journée contre Schalke (2-1) a été un choc pour le VfL Wolfsburg. Josuha Guilavogui a subi une déchirure du ligament croisé postérieur du genou droit. Cependant, le Français et les médecins du VfL ont opté pour un traitement conservateur, ce qui signifie que le milieu de terrain voudra bientôt revenir sur le terrain. Guilavogui, après avoir décidé de ne pas se faire opérer, avait commencé sa rééducation directement à Toulon, sa ville natale. Il fait des progrès : "Je fais du vélo, je cours un peu, je fais des mouvements latéraux, nous sommes très satisfaits. Je serai de retour dans deux semaines, peut-être que je devrai travailler quelques semaines de plus afin d'avoir de bonnes sensations."

Samedi, il était de retour, seulement en survêtement à côté du banc de Wolfsburg, mais encore une fois proche de son équipe contre Hertha Berlin. Pour le capitaine Josuha Guilavogui, il était important de montrer sa présence. Un fait que l’entraîneur Bruno Labbadia loue expressément. "Je pense que c'était génial, cela montre comment l'équipe vit ensemble."

L'attitude positive de Jos' est louée par son coach Bruno Labbadia : "J'ai rarement vu une attitude si positive avec un footballeur qui reçoit un diagnostic aussi dévastateur. Il a presque dû me réconforter."
De son côté Guil' fait preuve de sa sagesse habituelle : "Bien sûr, je ne suis pas heureux, ça fait mal, mais il y a bien pire. Dans ma famille, un très bon ami a un cancer, il a perdu presque ses genoux pour moi, c'est juste le ligament croisé".

Leader du championnat croate, le défenseur du Dinamo Zagreb Kévin Théophile-Catherine (28 ans) s'est confié à Eurosport avant de recevoir ce soir Fenerbahçe en Europa League. Extraits.

"Tout va bien pour moi en Croatie. Je suis arrivé le 26 juin à Zagreb, dans un club très bien structuré. Le Dinamo est une véritable institution en Croatie. Tout est mis en œuvre pour qu’on ne pense qu’au football. Les installations sont excellentes, la logistique impeccable, j’ai vraiment été très agréablement surpris. Le niveau global est en deçà à celui de la Ligue 1 et de la Premier League. Mais il y a quelques bonnes équipes, ça aime jouer au ballon et surtout il y a pas mal de très jeunes joueurs talentueux. Après, le Dinamo est au-dessus et si on fait le boulot on devrait conserver notre titre.

En arrivant au Dinamo, j'ai vite compris pourquoi la Croatie est un grand pays de football à l'image de son équipe nationale même si c'est un petit pays de quatre millions d'habitants. Dès l’âge de 5-6 ans, ils ont un bagage technique impressionnant. Je crois que sur les 23 finalistes, 14 sont passés par le Dinamo. C’est un club formateur, qui révèle de grands talents à l’instar de Benkovic, Sosa et Coric partis à l’intersaison. Aujourd’hui, notre équipe est très jeune, seulement 3-4 joueurs sont plus âgés que moi et pourtant je pourrais déjà en citer 6 ou 7 susceptibles d’être les futurs Modric et Mandzukic.

La Coupe d'Europe est un objectif important, c'est clair ! C’est aussi pour cette raison que j’ai signé ici. Forcément un peu déçu d’avoir manqué de peu la qualification en Ligue des Champions, mais je voulais à nouveau disputer la coupe d’Europe après y avoir goûté avec Rennes et Saint-Etienne par le passé. On est dans un groupe costaud avec Fenerbahçe, Anderlecht et Spartak Trnva. On a une équipe jeune, on verra. On espère déjà réussir un gros match d’entrée avec le soutien de notre public, dans un stade chaud à l’anglaise. Gagner l’Europa League, je ne sais pas. Sortir des poules serait déjà bien."

Loïc Perrin, qui jouera samedi contre Caen son 337e match de L1, s'est confié au Progrès avant ce match de la 6e journée de L1. Extraits.

"Quinze ans après mes débuts en pro [ndp2 : victoire 2-1 contre Lorient le 15 août 2003, buts de Lilian Compan et Mickaël Dogbe], le plaisir est le même. Comme j’ai connu pas mal de pépins dans ma carrière, je sais la chance qu’on a d’être sur le terrain. Il faut en profiter. Il y a parfois des moments compliqués dans une saison mais on a la chance de prendre du plaisir sur un terrain de football. J’ai eu pas mal d’entraîneurs qui disaient aux jeunes,  "attention, ça passe vite". C’est vrai que cela passe vite. Il ne faut pas se dire "ce n’est pas grave, je ferai ça l’année prochaine". Quand on arrive sur la fin, cela passe de plus en plus vite. Il faut encore plus en profiter.

Dans une saison, il y a toujours un petit peu d’usure à certains moments. C’est comme dans tous les métiers, c’est comme pour tout le monde je pense. C’est dur de se projeter. Il me reste deux ans de contrat. Tant que physiquement ça ira, tant que je sentirai que je suis au niveau et que je prends du plaisir, je continuerai. Je ne peux pas dire aujourd’hui que je vais m’arrêter là ou là. On verra au coup par coup, année par année. On a la chance de faire un métier extraordinaire, autant en profiter le plus possible. On ressent des émotions qu’on ne peut pas avoir dans d’autres métiers. Après forcément, il ne faut pas faire l’année de trop. Mais, pour l’instant, je n’en suis pas encore là."

14 010 : c'est le nombre de supporters stéphanois qui ont pris leur abonnement cette saison selon la dernière édition de la Pravda.

1. OM : 38 000 (+15,1% par rapport à la saison dernière)

2. QSG : 35 700 (+5%)

3. Vilains : 20 803 (+6,9%)

4. Lille : 20 000 (-13%)

5. Strasbourg : 19 187 (+22,6%)

6. Saint-Etienne : 14 010 (-2%)

7. Nice : 12 000 (-14,2%)

8. Nîmes : 11 062 (+268,7%)

9. Caen : 10 750 (-6,5%)

10. Rennes : 10 575 (+23,2%)

11. Guingamp : 10 212 (+6,9%)

12. Bordeaux : 10 017 (-1,5%)

13. Montpellier : 7 840 (+7,8%)

14. Reims : 7 219 (+31,2%)

15. Nantes : 7 141 (-12,6%)

16. Angers : 7 000 (=)

17. Toulouse : 6 500 (-13,3%)

18. Dijon : 5 900 (+12,3%)

19. Amiens : 5 376 (+6,8%)

20. Monaco : 4 000 (-11,1%)

Le quotidien sportif souligne que sept clubs proposent un premier prix d'abonnement moins onéreux qu'à Sainté (170 €) : Montpellier (80 €), Caen (144 €), Guingamp (145 €), Nîmes (150 €), Rennes (155 €), Bordeaux (160 €), Nantes (165€)

Titulaire lors des victoires contre la Nouvelle-Calédonie (2-1) et Fidji (3-0), Jocelyn Capel était resté sur le banc samedi lors de l'écrasant succès de Tahiti contre les Samoa (5-1). De retour dans les cages des Tama Ura aujourd'hui en demi-finale du championnat U16 de la Confédération du football de l'Océanie, le gardien des U17 régionaux stéphanois a perdu 4-1 contre la Nouvelle-Zélande.