
Le Crom n'a pas de regrets
19/02 13:24
Aujourd'hui courtier en assurance pour l’UNFP, l'ancien gardien de but Ronan Le Crom est revenu sur son court passage (2004-2005) à Sainté pour le site Foot d'avant :
"Quand Guingamp est descendu, un nouvel entraîneur est arrivé (ndlr : Yvon Pouliquen). J’avais 30 ans et je voulais rester en Ligue 1. Je me suis fait prêter à Saint-Étienne. Jeremie Janot a fait une saison du feu de Dieu. Je n’ai pas pu mettre un orteil dans la porte. Je n’ai pas de regrets car j’y ai vécu de bons moments. Puis en cours de saison, je savais déjà que Troyes, qui était sur le point de monter en Ligue 1, cherchait un gardien de but. Quand l’ESTAC a validé son ticket pour l’élite, j’ai de nouveau été prêté."
Galette dans l'expectative
19/02 13:01
Lors d'une interview accordée pour Winamax, Christophe Galtier est revenu sur un possible départ du dogue Thiago Mendes en Chine en évoquant la situation de Sainté avec Ole Selnaes : "Je n’ai pas de nouvelles. Tout est encore possible puisque certains pays n’ont effectivement pas terminé leur mercato. C’est l’aberration de ce mercato d’hiver qui peut conduire à ça, comme Saint-Etienne l’a vécu avec Selnaes. Ai-je peur de le perdre ? Non. Je ne serais pas heureux, bien sûr, mais ce sera à moi de trouver la solution pour le remplacer. Mon métier m’oblige à m’adapter."
Mollo, l'effet Domino's
19/02 12:17
Arrivé lors du mercato hivernal au FC Sochaux-Montbéliard, Yohan Mollo s'est confié au micro de Bein Sports dont l'interview a été relayée par le site Maligue2. Extrait :
"Grâce à Dieu, je peux dire que si demain j’arrête le football, je peux vivre tranquille. Je suis là pour aider le club, être dans le projet, et tout simplement pour gagner parce que je suis un compétiteur. Si je parviens à maintenir ce club, ce ne sera pas une régression. Car aujourd’hui ce que je vise, ce n’est pas l’oseille. Je veux kiffer, m’amuser. Je ne suis plus dans un délire où je regarde ma fiche de paie. Si je la regarde, je prends peur ! Quand je regarde la manche et que je vois Domino’s Ligue 2, je prends un choc. Mais après quand je vois l’écusson, je n’ai plus ce choc, je suis cool. C’est un club historique, qui ne demande qu’à revenir là où il était. Et si je peux apporter quelque chose à ce club, c’est avec plaisir ! ".
Le bon week-end des Guilavogui
19/02 10:35

A l'instar de son grand frère Josuha, victorieux 3-0 avec Wolfsbourg contre Mayence, Morgan Guilavogui a connu la joie d'une large victoire le week-end dernier. L'ancien U17 de l'ASSE a même réalisé un doublé contre l'Athlético Marseille lors de la 19e journée de National 2.
Ruffier rejoint Bereta
19/02 10:10

Comme le souligne le potonaute sam42, Stéphane Ruffier est entré avant-hier dans le top ten des joueurs stéphanois ayant joué le plus de matchs en L1/D1 sous le maillot vert.
1- Domingo 423 matchs
2- Herbin 383 matchs
3- Perrin 352 matchs
4- Lopez 350 matchs
5- Farison 331 matchs
6- Larqué 319 matchs
7- H. Revelli 318 matchs
8- Curkovic 303 matchs
9- Janvion 299 matchs
10- Ruffier et Bereta 281 matchs
Aouacheria ne lâche rien (11)
19/02 09:45

S'il a moins de temps de jeu que la saison passée à Moreirense (5e de L1 portugaise), Bilel Aouacheria (24 ans) ne lâche rien. Trois minutes après son entrée en jeu, le double finaliste de la Coupe Gambardella en 2011 et 2012 a marqué avant-hier à la 84e le second but de la victoire (2-0) de son équipe contre Tondela.
Roby tacle Wahbi et Rémy
19/02 07:27

Robert Herbin revient sur la victoire du QSG à GG dans la dernière édition du Progrès.
"Je m’attendais à quelque chose de plus dynamique. Les Verts n’ont pas essayé d’étouffer le PSG, n’ont pas recherché la confrontation. Comme s’ils avaient peur. Il est vrai qu’ils avaient connu une grosse désillusion au match aller et sans doute ont-ils été freinés. On avait l’impression qu’ils jouaient uniquement pour ne pas perdre. Ça ne leur a pas réussi. C’est le résultat du choix qu’ils ont fait. On peut juste dire qu’ils se sont bien battus. Je n’ai pas aimé le comportement de Khazri, il a fait preuve de suffisance et n’a pas eu d’influence. Quant à Cabella, il me tape sur le système. Il en fait trop !"
Khazri, numéro 10 !
19/02 07:20
Comme le souligne Le Progrès du jour, le numéro 10 des Verts a mangé avant-hier sa 10e biscotte de la saison toutes compétitions confondues. "Wahbi, c’est un gagneur, il n’aime pas perdre ! Dans ce genre de match, tu cours beaucoup après l’équipe adverse, c’est frustrant" explique Yann M'Vila. "Il était nerveux, c’est normal. Il n’avait pas le ballon, c’est un joueur qui aime faire la différence" ajoute Jean-Louis Gasset.
Sans Vada au Vélodrome ?
19/02 07:08

"Touché au genou contre Strasbourg, Valentin Vada se disait prêt à jouer contre le PSG. Mais pour éviter d’aggraver sa blessure, le staff médical a décidé de le laisser au repos au moins trois semaines pour consolider son articulation" nous apprend la dernière édition du Progrès. Le milieu de terrain des Verts devrait donc rater les déplacement à Dijon (ce vendredi à 19h00) et à Marseille (le dimanche 3 mars à 21h00).
Roro contre un troisième actionnaire ?
19/02 00:38

Selon la dernière édition de la Pravda, Roro ne veut pas d'un troisième actionnaire à l'ASSE. Extraits.
"La bonne santé sportive retrouvée des Verts suffit-elle à expliquer le retour de Romeyer, décidé à vendre le club l'été dernier ? Elle s'additionnerait au fait que Caïazzo serait sur le point de trouver, enfin, un troisième investisseur. Il entrerait pour un tiers au conseil d'administration du club, via une augmentation de capital. La venue d'un troisième larron rendrait Romeyer furax. Le risque s'avérerait alors réel pour lui de se retrouver à un contre deux.
Les discussions, en cours, se concentrent autour de trois candidats : un Américain, dont l'inexpérience en matière de foot inquiète ; un Anglais, qui aimerait peser dans l'exécutif ; et un Émirien, comme en septembre, mais ce dossier s'avère complexe en raison du nombre d'intermédiaires. Son arrivée, si arrivée il y a, est espérée en mai. Dans le cas contraire, et à moins d'une qualification directe pour la Ligue Europa qui ferait rentrer 15 M€ dans les caisses, l'ASSE devra vendre des joueurs en 2020 afin de rembourser les 25 M€ empruntés l'été dernier."
Un paquet de dissensions à la direction
19/02 00:23

La Pravda de ce mardi raconte les pathétiques dissensions au sein de la direction de l'ASSE. Extraits.
"En voulant adresser un message à Jean-Marc Barsotti, président de l'association des Verts, dans lequel il lui expliquait la nécessité de contester l'action du directeur général Frédéric Paquet, à l'occasion du conseil de surveillance du 17 janvier, qu'il préside, Caïazzo s'est trompé de destinataire. Il l'a envoyé à... Paquet. Ce dernier est tombé du haut de son double mètre. C'est en effet Caïazzo qui est allé le chercher. Mais leurs noces vertes ont vite été consumées par les premières décisions fortes de l'ancien dirigeant du LOSC, placé à la tête de l'exécutif de l'AS Saint-Étienne en raison du burn-out que traversait alors Roland Romeyer, le président du directoire.
Alors qu'il l'avait fait recruter en septembre 2015, Caïazzo a obtenu de Paquet le départ de Matthieu Malkani-Giraud de son poste de directeur du développement marketing. Mais le timing, six mois, et son remplacement par Béatrice Salen, devenue proche de Paquet, ont déplu. Tout comme le renvoi d'Éric Blondel de son poste de team manager. Homme de confiance de Caïazzo pendant huit ans, notamment au conseil de surveillance, avant d'intégrer le staff en juin 2016 à la demande de Christophe Galtier, alors entraîneur, Blondel lui avait soufflé le nom de Jean-Louis Gasset. Caïazzo ne l'a pas oublié.
C'est dans l'ombre, au niveau du développement marketing et digital du club, que Paquet est attendu. Il doit trouver 10 millions d'euros d'ici à 2021. Puis 20 millions à partir de cette date. Or, le compte n'y est pas. Les recettes, hors vente de joueurs, que Caïazzo désespère de ne pas voir optimisées, n'ont pas augmenté depuis 2010. Malgré la puissance de la marque stéphanoise, elles resteraient inférieures à celles de Bordeaux et Rennes. Contesté par Caïazzo, Frédéric Paquet s'est tourné vers Roland Romeyer pour sauver sa peau.
Depuis "l'affaire du SMS", Paquet se retrouve sous la tutelle de Romeyer. La victoire devant Dijon (3-0, le 22 décembre) aurait convaincu ce dernier de revenir aux affaires. À 73 ans et jusqu'en 2024, date de la renégociation des droits télé. Caïazzo aurait été mis devant le fait accompli de ce retour, officialisé avec l'interview de Romeyer dans L'Équipe du 11 février. La veille de rompre son silence d'un an, alors qu'il regardait Rennes - Saint-Étienne au bar du club le Chaudron vert, Romeyer avait envoyé un SMS à Dominique Rocheteau, son directeur sportif, et à Paquet, leur ordonnant de fustiger l'arbitrage.
Comme il en avait pris trop souvent l'habitude, Paquet est monté, seul, au créneau. Pas suffisant, aux yeux de son président. Désavoué et désabusé, Paquet réfléchirait à partir en fin de saison. De retour, Romeyer brûle toutes les décisions de Paquet. Il avait acté le départ, libre, de Beric, en juin ? Romeyer a convoqué Amir Ruznic, son agent, la semaine passée. L'ASSE se montre désormais disposée à lui offrir 100 000 des 180 000 euros de salaire brut mensuel réclamé (contre 75 000 euros aujourd'hui) et un nouveau contrat de trois ans. Romeyer gère en solitaire le dossier de son chouchou, tandis que le retour de Blondel, pour épauler Gasset dans sa relation difficile avec Romeyer, est d'actualité."
Landrin reste sur sa faim
18/02 22:33

Ancien milieu de terrain stéphanois et actuel directeur du service des sports de la ville de Veauche (Loire), Christophe Landrin a assisté hier dans le Chaudron à la défaite des Verts dans le QSG. Déçu par le contenu comme par le résultat de ce match, Robocop a livré hier ses impressions lors du debrief de France Bleu Saint-Etienne. Extraits.
"Je suis déçu de cette défaite, on attendait un peu plus de pressing de la part de Saint-Etienne même si on connaît la maîtrise technique de Paris. J'ai remarqué que lorsque cette équipe parisienne a le ballon, elle n'a pas besoin de courir après. Ils peuvent reproduire ce genre de match tous les trois jours. Le petit regret, c'est de ne pas être allé les chercher un peu plus haut un peu et plus tôt dans le match. Mais on se serait exposé davantage aux contres, de Mbappé notamment, qui nous a malheureusement privés du match nul. Je pense que Jean-Louis a surtout voulu éviter qu'on prenne une raclée. Les Stéphanois étaient bien regroupés, jouaient à cinq derrière. Cela fait partie des matches bonus pour beaucoup de clubs car on sait que Paris est intouchable. L'idée c'était de prendre au moins un point et pourquoi pas sur un contre de pouvoir marquer un but de plus. Mais ça ne s'est pas déroulé du tout comme ça. On a beaucoup défendu malheureusement, on avait peut-être moins de jus pour attaquer.
On a vu peut-être aussi les limites de Khazri et Cabella, quand ils avaient le ballon, il n'y avait pas forcément de solution supplémentaire vers l'avant, en tout cas pas de rapidité suffisante pour déséquilibrer le bloc parisien. Je pense que Khazri s'attendait à une autre physionomie de match, ça traduit aussi une grosse motivation. Il a été un peu maladroit, avec la fatigue et l'ouverture du score de Mbappé, il a montré aussi de la colère. C'est compliqué quand il n'y pas de solution dans la profondeur. Porter le ballon sur 30 ou 40 mètres, ça épuise et ensuite on n'a plus toute sa tête sur certaines réactions. Quuand Khazri est un peu moins bien, c'est toute l'équipe qui est un peu moins bien. J'ai vu de la frustration chez Khazri.
Le Chaudron ne s'est pas emballé, le match n'a pas été très emballant. Est-ce qu'il ne fallait pas lors du premier quart d'heure faire un pressing sur tout le terrain pour pouvoir les étouffer, les faire douter ? Je n'ai pas senti les Parisiens douter, à aucun moment. Sur un pressing, quelques bons ballons, on a eu des situations mais rien de suffisant pour les faire douter. Cela s'est ressenti dans les tribunes, tout le monde attendait autre chose. C'est difficile de mettre le feu dans les tribunes si le feu n'est pas mis sur le terrain. Les Verts sont cinquièmes, ils sont à leur place. Le match au Vélodrome dans deux semaines sera plus important que celui contre Paris. L'OM a le même nombre de points que nous, c'est plus une équipe dans nos cordes que peut l'être le PSG."
Bafé voit double en Ligue des Champions
18/02 18:51

Meilleur buteur du championnat saoudien (16 pions en 20 matches), Bafé Gomis a réalisé un joli doublé avant-hier en quart de finale aller de la Ligue des champions arabe lors de la victoire (3-0) d'Al-Hilal contre les Egyptiens d'Al-Ittihad.
Saison terminée pour KMP !
18/02 17:17

Selon le site officiel de l'ASSE, l'IRM passée ce jour par Kévin Monnet-Paquet a confirmé les craintes exprimées par Jean-Louis Gasset. Sur son tir de la 85e minute, lors de son 26e match de la saison, le numéro 22 des Verts s'est rompu le ligament croisé antérieur du genou gauche hier soir et sera donc indisponible 6 mois. Courage Kévin, tes supporters sont là !
Abed arbitrera les débats
18/02 15:11
Alors que Ruddy Buquet et Lionel Jaffredo visionneront les images dans le camion, Karim Abed sera au sifflet ce vendredi soir dès 19h00 au stade Gaston-Gérard pour le match d'ouverture de la 26e journée qui opposera le barragiste dijonnais aux Verts. Ce Brignolais de 30 ans, qui avait officié le 12 janvier dernier lors de la victoire de Sainté à Guingamp, a déjà arbitré un match entre l'ASSE et le DFCO mais à Geoffroy-Guichard. Le 16 octobre 2016, les Stéphanois avaient arraché le nul à la 94e minute sur un penalty obtenu par Loïc Perrin et transformé par Nolan Roux au grand dam d'un Cédric Varrault expulsé.
Gourna et Lhery tapent le Brésil
18/02 14:42


L'équipe de France U16 a battu son homologie brésilienne 3-1 hier soir à Saint-George's Park (Angleterre) lors d'un tournoi de développement organisé par l'UEFA. Entré en jeu à la 40e minute en même temps que son coéquipier stéphanois Lucas Gourna, Yanis Lhery a marqué à la 46e minute le dernier but de la rencontre. Les deux protégés de Christophe Chaintreuil joueront contre le pays hôte demain à 19h00.
La fièvre du dimanche soir
18/02 09:15
Sur son compte twitter, France Bleu Saint-Etienne Loire explique pourquoi le défenseur serbe des Verts a dû déclarer forfait hier soir. "Neven Subotic souffre d'un syndrome infectieux fébrile."
Tuchel loue le mental et les Verts
18/02 07:56
En conférence de presse, l'entraîneur du QSG Thomas Tuchel a loué hier soir en conférence de presse le mental de ses protégés et la valeur de leurs adversaires.
"Je suis très heureux car c’est très difficile de jouer à Saint-Etienne, c'est une bonne équipe. J'étais confiant mais à 0-0, c'était possible que l'ASSE marque un but. Cette saison, seul Lyon avait gagné ici à la dernière minute. Le terrain était super difficile. C’est une belle victoire car l'équipe a montré un mental exceptionnel. C'est une victoire du mental. On est resté dans le match, on a défendu avec beaucoup d'intensité. On a été patient."
Rémy contredit Loïc
18/02 07:23
En zone mixte, Dieu et RC7 ont commenté différemment la défaite d'hier soir, comme l'attestent ces déclarations parues dans Le Progrès du jour.
Loïc Perrin : "On a fait le match qu’il fallait. On a eu les situations, ils n’en ont pas eu énormément mais ils ont su faire la différence sur un but un peu venu d’ailleurs. Tactiquement, on a été pas mal. On savait qu’on n’aurait pas des millions d’occasions mais on les a eues. On les a embêtés en fin de match en jouant un peu plus haut. Ça se joue sur un détail comme souvent dans les gros matches et face aux grandes équipes. Sur un match, on peut rivaliser, pas sur un championnat. Ce soir, on n’a pas à rougir. C’est la qualité individuelle des joueurs qui fait la différence."
Rémy Cabella : "On n’a pas fait le match qu'il fallait sinon on aurait gagné. Mais si on n’a pas marqué, c’est qu’il nous a manqué quelque chose, sans doute dans la finition. On est frustré et déçu, aussi par rapport à la blessure de Kevin Monnet Paquet. Le résultat fait un peu de mal mais c’est face à une grande équipe de Paris. On aurait aimé prendre un point mais face à une équipe comme ça qui a une ou deux occases, ça ne pardonne pas, ils la mettent au fond."
Gasset agacé par les critiques sur Ruffier
18/02 00:49

Invité à commenter le dégagement raté de Stéphane Ruffier à l'origine du but victorieux de Kylian Mbappé, Jean-Louis Gasset a répondu d'un ton sec et agacé en conférence de presse.
"C'est impossible de regretter d'avoir pris ce but à la suite de la relance de Stéphane. On est obligés dans des matches comme celui-ci, où l'équipe adverse a la maîtrise et vous étouffe, de perdre des ballons. Le jeu demande des fautes. Je n'ai aucun reproche à lui faire. Tout le monde était abattu car tout le monde avait l'impression d'avoir tout donné, d'avoir bien respecté ce qu'on avait dit. Personne n'était plus déçu qu'un autre. Cette saison, on a seulement perdu à domicile face à Lyon et le PSG. Ça doit vouloir dire quelque chose. Vous me dites que c'est suite à une relance de Stéphane qu'on a perdu le derby ? Ruffier est l'un des meilleurs gardiens français, voilà mon avis !"
KMP ? Gasset craint les croisés !
17/02 23:54

Kévin Monnet-Paquet s'est blessé tout seul sur une frappe ce soir à la 85e du match perdu contre le QSG. "Je crois que sa blessure risque d'être très grave. Je pense aux ligaments du genou" a déclaré ce soir la mine sombre Jean-Louis Gasset en conférence de presse.
Kylian en killer
17/02 23:06

Les Verts, qui ont longtemps tenu la dragée haute à de moyens Parisiens, se sont inclinés ce soir à Geoffroy-Guichard en match de clôture de la 25e journée de L1 marqué par les sorties sur blessure de Romain Hamouma puis Kévin Monnet-Paquet. Suite à mauvais dégagement de Stéphane Ruffier, Kylian Mbappé a marqué l'unique but de la rencontre (son 24e de la saison, le 19 en L1 !) à la 73e minute sur une reprise de volée à la Damien Bridonneau.
“Mon but? Dani Alves me la met bien, je la joue à l’instinct et je la mets dans la lucarne. On a joué une bonne équipe surtout à domicile. Ils jouent à fond le match et avec le coeur devant leurs supporters. Ils essayent de jouer au ballon aussi. Il n’y a pas beaucoup d’équipes qui vont venir gagner ici, nous on l’a fait. On est contents" a déclaré le champion du monde sur Canal + au micro de Laurent Paganelli.
U17N : Aux Alouettes, les Verts ont plumé Montceau
17/02 17:27

Les U17 nationaux de l'ASSE se sont facilement imposés 3-0 au stade des Alouettes sur le terrain de l'avant-dernier (Montceau).
Dominateurs, les Verts ont logiquement ouvert le score à la 20e sur un centre de Marie-Gaël Mukanya repris d'une frappe croisée par Mathys Saban. Juste avant la mi-temps, Jordan Morel (photo) a profité d'un ballon mal dégagé par la défense locale pour inscrire le but du break d'une belle frappe de 20 mètres sous la barre. Sur une nouvelle passe décisive de Marie-Gaël Mukanya, Yanik Venus a corsé l'addition à la 70e d'un intérieur du pied imparable.
La compo : Bourbia - Koutri, Sow, Vernet, Calodat (Sidibe, 71') - Fethiddine, Saban (Fatah), Morel - Mukanya, Bonnemain, Venus (Mongelli, 71').
La réaction de Christophe Chaintreuil : "On l'a emporté logiquement, le score aurait pu être beaucoup plus sévère si leur gardien n'avait pas sorti un gros match. On n'a jamais été mis en danger, Montceau n'a tiré qu'une seule fois au but. On a bien maîtrisé cette rencontre, on a été sérieux. Et termes de possession et de qualité, c'était pas mal. C'était intéressant dans le contenu face à une équipe qui n'est pas sortie même quand elle a été menée. Les garçons ont su être patients. Tout n'a pas été parfait, on a raté quelques face à face mais dans l'esprit c'était bien. C'était notre cinquième succès consécutif. A nous de rester sur cette bonne dynamique après les vacances, le 10 mars à domicile contre Dijon. On a toujours quatre points de retard sur le FC Lyon mais on revient à deux points de l'OL, qui a été tenu en échec par Montferrand."
U19 : des Verts bien en Cannes
17/02 17:13
Les U19 stéphanois ont dominé leurs homologues cannois ce midi sur le score de 4 buts à 2.
Les Verts ont fait une première fois la différence au sortir du premier quart d'heure en scorant deux fois en deux minutes. C'est d'abord Kelian Mersel qui après avoir récupéré un ballon à la médiane, a servi dans la profondeur Maxence Rivera (photo) qui a ouvert son compteur buts dès sa première apparition en U19, en lobant le gardien azuréen (1-0, 20e). Les Stéphanois ont rapidement enfoncé le clou à la suite d'un pressing haut permettant à Zakaria Bengueddoudj d'obtenir un pénalty après avoir récupéré le ballon. Baptiste Gabard s'est alors chargé de doubler la mise (2-0, 22e). Peu dangereux, les Cannois ont malgré tout profité d'un coup-franc généreux pour réduire la marque avant la pause (2-1, 40e).
Les Verts se sont à nouveau fait secouer sur coup de pied arrêté après la pause, puisque les Cannois ont égalisé sur corner à l'heure de jeu (2-2, 60e). Pas le temps de gamberger néanmoins dans la mesure où une percée de Maxence Rivera a permis de décaler Zakaria Bengueddoudj pour le troisième but (3-2, 62e). Les Stéphanois se sont définitivement mis à l'abri en fin de rencontre sur un service de Victor Petit pour Maxence Rivera qui après une très bonne prise de balle, a idéalement servi Samy Messili (4-2, 85e).
Ne comptant qu'une unique défaite toutes compétitions confondues cette saison, les Verts de Razik Nedder confortent leur deuxième place du Groupe D à 4 points du leader montpelliérain.
La composition : Crémillieux - Durivaux, Halaimia, Leleux (Roubat, 60e), Mezaber - Mersel, Petit (Gago, 85e), Gabard - Sidibé (Messili, 60e), Bengueddoudj, Rivera.
La réaction de Razik Nedder : "C'est un match qu'on aurait dû se rendre plus facile en étant plus tueurs tôt dans le match. Mais on a manqué de rigueur, de rigueur défensive en particulier, et on s'est fait peur. Ce n'était pas un super match. On a joué une équipe qui se bat pour le maintien, un adversaire agressif et bien organisé, et le match a été un peu fermé. La satisfaction prédomine malgré tout car c'est important de savoir gagner ce type de rencontres. Aujourd'hui c'est surtout le talent de certains de nos joueurs qui a fait la différence. Et puis on entretient notre dynamique de matchs sans défaite, c'est positif."
On ne verra pas Verratti
17/02 16:01

Laissé au repos après son match à Manchester, Marco Verratti n'est pas dans le groupe parisien qui affrontera les Verts ce soir à Geoffroy-Guichard selon Le Parisien. Pour rappel, le QSG sera également privé de Neymar, Cavani, Meunier et Choupo-Moting. Aux Verts d'en profiter pour faire tomber le leader et revenir à trois points des vilains !
Veretout se paie la SPAL
17/02 15:48

La Fiorentina s'est imposée 4-1 sur le terrain de la SPAL en début d'après-midi grâce à un penalty (signalé par la VAR) de Jordan Veretout (son 4e transformé cette saison en Série A). Averti à la 25e minute et passeur décisif à la 80e, l'ancien Canari a joué l'intégralité de la rencontre contrairement à son coéquipier Bryan Dabo, entré en jeu à la 82e.
Willkommen in der grünen Hölle ! (4)
17/02 14:30

11 Freunde publie dans son édition de février un reportage sur l'ASSE, "mythe français qui fête ses vieux poteaux carrés", "club français le plus riche en émotions." Vous n'avez pas pu vous procurer le numéro de ce réputé mensuel allemand ? Vous ne maîtrisez pas la langue de Roland Wohlfarth ? Pas de panique, le potonaute Ellestin vous propose une excellente traduction. Willkommen in der Grüne Hölle ! Bienvenue dans l'enfer vert ! Quatrième et dernier extrait.
Le contraste avec ce qui nous attend le jour suivant ne saurait être plus brutal. Ce vendredi soir, Saint-Etienne affronte en effet une équipe qui n’a que faire de la mélancolie et des temps anciens. Cet adversaire, c’est Paris, le surpuissant champion en série, un effectif bâti à coups de millions d’euros par le Qatar, dont pas moins de 222 dépensés pour un seul joueur. Le musée du Paris-Saint-Germain ne devrait mettre en valeur que les années à compter de 2011, date d’entrée du fonds souverain qatari dans le club. Pour les actuels propriétaires, toutes les saisons antérieures ne sont qu’une encombrante remorque à traîner.
Une atmosphère électrique plane sur Saint-Etienne à l’heure de cette lutte des classes. C’est un jour où le sang des romantiques les plus tendres se met subitement à bouillir. Dans le bar du club, on s’échauffe les cordes vocales plusieurs heures avant le coup d’envoi. Dans le stade à guichets fermés de Saint-Etienne, les fans sont debout sur les sièges. A Geoffroy-Guichard, il existe deux tribunes debout qui se font face : le Kop Sud et le Kop Nord, chacune avec son groupe ultra spécifique. Des deux côtés, on entame des chorégraphies et on allume des fumigènes. « Battez-vous pour votre club, mouillez le maillot et respectez vos couleurs », peut-on lire sur une large banderole. Des chants s’élancent des deux extrémités du stade et se percutent sur la ligne médiane. On se croirait un soir de coupe, sous les feux des projecteurs.
Jeff Vernet, l’homme des derniers petits verres au bar, agite consciencieusement son écharpe comme une hache de guerre. Lui et sa bande ont pris place dans le Kop Nord. Monnet-Paquet, le héros du derby, s’aiguise les crampons sur l’aile gauche – comment les choses pourraient-elles mal tourner ? Et en effet, Saint-Etienne joue ce soir-là comme si le maintien ou le titre étaient en jeu. Ils font pleuvoir attaque sur attaque, que Paris a toutes les peines du monde à contenir. « Le PSG n’a jamais été autant mis à l’épreuve de toute la saison », écrira L’Equipe le lendemain. Saint-Etienne ouvre la marque à la 17e minute, et obtient un penalty à la 31e – raté. Le champion désigné Paris parvient à tenir le choc jusqu’à la mi-temps. Jeff et les autres secouent la tête, les yeux écarquillés. Incroyable* ! A Saint-Etienne, tout semble effectivement possible.
Au coup d’envoi de la seconde période, les Ultras brandissent une bannière : C’est combien le prix à l’unité ?*Un message à destination de la Ligue de football française. Puis ils déroulent sur toute la longueur de la tribune un gigantesque ruban de mesure. Au-dessus de chaque graduation brille un feu de Bengale. Une vingtaine au final. L’enfer vert est littéralement en flammes. Ils entonnent leur chant, d’abord à voix basse, puis à l’unisson, assourdissant : Schalalala oh Saint-Etienne, SCHALALALALALALA OH SAINT-ETIENNE !
Paris monte en puissance, les jambes des locaux se mettent à faiblir. Pourtant, Saint-Etienne tient jusqu’au temps additionnel. Les joueurs parviennent à défendre ce 1-0, synonyme de victoire. En tribune, Jeff chante de plus en plus fort, comme s’il pouvait par sa voix maintenir le ballon loin du but. On joue alors la troisième minute du temps additionnel. Un centre parisien arrive de la droite dans la surface de réparation, la star Kylian Mbappé met la tête, mais ne peut qu’effleurer le cuir, qui file devant le but. Sans danger. Ou presque. Car Mathieu Debuchy, le défenseur de Saint-Etienne, se trouve pile sur la trajectoire. Il n’a pas le temps de s’esquiver. La balle lui rebondit sur la cuisse, et termine sa course dans les filets. Dans ses propres filets. A la dernière minute.
Les joueurs de Saint-Etienne s’écroulent à terre, se prennent le visage dans les mains. L’arbitre siffle la fin du match dans la foulée. Un total de 34 fans parisiens (on les a comptés) jubilent, même si personne ne les entend. Jeff a les mains croisées derrière la tête. Cela dure une demi-minute. Pas un bruit. Puis il secoue son voisin et lui désigne le cœur de la tribune. « Regarde ». Un chant suivi d’applaudissements s’élève d’un premier groupe. Puis de tout le bloc, avant de gagner le stade. DEBUCHY ! DEBUCHY ! DEBUCHY ! Tous scandent le nom du malheureux buteur contre son camp. Puis c’est toute l’équipe qui est célébrée.
Et après une soirée d’ivresse, les lumières s’éteignent sur la ville noire à l’enfer vert. D’abord la mélancolie. Puis les encouragements. Et enfin un CSC pour un final on ne peut plus dramatique. Mais nous avions été prévenus : à la fin, ce sont les larmes qui coulent. Pour la deuxième fois à Saint-Etienne.
* en français dans le texte
Dijon mal en point(s)
17/02 14:23


N'ayant pris que 4 petits points lors des 8 dernières journées de L1, plusieurs membres du DFCO tirent la sonnette d'alarme dans la dernière édition du Bien Public avant de recevoir les Verts vendredi à 19h00 en match d'ouverture de la 26e journée de L1.
Antoine Kombouaré : "On le sait qu’on va devoir lutter et batailler jusqu’à la 38e journée. Je reste persuadé qu’il y a la place pour se maintenir et grappiller des points dans les matches qui vont venir."
Mehdi Abeid : "Il va nous falloir des points, sinon ça va être chaud pour nous. Si on perd, c’est qu’on lâche trop vite. Et si on continue comme ça, on y va tout droit."
Wesley Lautoa (suspendu contre Sainté comme Ousmane Haddadi) : "On s’est mis dans cette situation tout seul, il va falloir assumer. Maintenant, il ne faut plus regarder les adversaires. C’est à nous de faire les choses. À nous de nous bouger pour aller chercher des points, parce qu’on en a grand besoin. On n’a que 20 points. À un moment donné, il va falloir gagner des matches et arrêter de regarder les autres."
Amavi, moins belle la vie
17/02 10:18

S'il a réalisé hier contre Amiens "son meilleur match depuis un an" dixit La Provence, Jordan Amavi a mangé une biscotte lors de la victoire de l'OM qui lui permet de repasser provisoirement devant l'ASSE (à la différence de buts). Comme il avait déjà été averti contre Andrézieux et Caen, le latéral gauche phocéen manquera la réception du plus grand club français programmée le dimanche 3 mars à 21h00 en clôture de la 27e journée de L1.
Nasser encense les Verts
17/02 09:24

Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, le président du QSG Nasser Al-Khelaïfi encense les dirigeants, l'entraîneur et les supporters des Verts.
"Mes relations avec les dirigeants stéphanois sont excellentes. Bernard et Roland accomplissent un travail extraordinaire, à la fois pour leur club et pour défendre, à nos côtés et avec d’autres dirigeants de clubs français, les intérêts du football français. J’échange d’ailleurs régulièrement avec Bernard, qui est un excellent président de Première Ligue et que j’ai eu aussi le plaisir de voir à Doha, début janvier, pour l’Open masculin de tennis. Depuis 2011, année de notre arrivée à Paris, je constate que les Verts sont bien installés dans le premier tiers du Championnat et, à force de travail et de persévérance, je suis convaincu qu’ils finiront par revenir sur le podium et retrouver la Ligue des champions. Ce club le mérite car il compte toujours énormément de supporters et il s’appuie sur une grande histoire.
Je suis extrêmement heureux pour Jean-Louis. Je sais le rôle très important qu’il a tenu au Paris Saint-Germain du temps de Laurent Blanc. Il était très apprécié de tous, pour sa personnalité et son expertise du football. Il a toutes les compétences et l’expérience pour manager une équipe comme Saint-Etienne. On sent qu’il a transmis à ses joueurs son exigence et ses ambitions. Je lui souhaite le meilleur pour la suite de son aventure chez les Verts. Saint-Etienne a marqué l’histoire du football français en ce sens qu’il a été le premier club à déclencher un véritable engouement national dans les années 1970. Cette flamme existe encore, et tant mieux pour ce grand club qu’est l’AS Saint-Etienne. Plusieurs années après, nous sommes fiers, au PSG, de voir que nous sommes devenus à notre tour le club le plus populaire de France et celui qui soulève le plus de passions."