Mickaël Dumas, qui a entraîné Etienne Green des U12 aux U17, se réjouit des bonnes performances de son protégé dans la Pravda à paraître demain.

"Sa plus grande qualité, c'est la maitrise de ses émotions, de ses gestes techniques, dans sa relation avec le ballon, et dans la prise de décision. Qu'il joue ou pas, il s'entraîne toujours bien, en étant très peu blessé. S'il a toujours eu un profil longiligne, il a eu une croissance biologique irrégulière. Surtout d'un point de vue musculaire. Il s'est "rempli" plus tard que les autres. Après, plus tu t'approches de l'entonnoir, du monde pro, plus c'est difficile. Arrivé en même temps que Bajic et déjà talentueux, il fallait lui laisser le temps de digérer sa fin de formation. Enfin, l'arrêt des Championnats chez les jeunes à cause du Covid-19 l'a empêché de briller. La façon dont il est entré dans le groupe pro a montré qu'il avait de la force de caractère."

Mathieu Debuchy abonde dans le même quotidien.

"Après le match à Nîmes, on s'est tous jetés sur lui quand il a regagné les vestiaires. Parce qu'alors que personne ne le voyait à ce niveau, il venait de nous sauver et qu'on avait tous été bluffés par la maturité de fou qu'il avait dégagée. C'est vraiment une belle personne, un bon mec, respectueux, discret, à l'écoute, d'une sérénité incroyable, et il bosse. C'est magnifique. Étienne, c'est du pain béni dans un vestiaire. Il doit améliorer sa communication, notamment avec ses défenseurs, et forcer sa nature dans des situations de match. Comme il arrive que l'euphorie retombe, je me disais : va-t-il confirmer et rester sur un plateau aussi haut avec le retour du public ? C'est le cas. Il réussit le plus dur : rester consistant et décisif."

Avant Etienne Green, seulement quatre Anglais avaient défendu les couleurs de l'ASSE, tous dans les années 30 : Albert Locke (entraîneur joueur), Harold Rivers (entraîneur joueur), Robert Pollard (défenseur) et William Duckworth (entraîneur).

Etienne Green fait partie des 24 Young Lions sélectionnés par l'ancien milieu défensif irlandais d'Everton Lee Carsley pour affronter la Roumanie le 3 septembre et le Kosovo le 7 septembre.

Les deux autres gardiens retenus dans cette équipe d'Angleterre Espoirs sont Joe Bursik (titulaire à Stoke City en D2) et Josh Griffiths (titulaire à Lincoln City en D3).

Président délégué du SCO, Philippe Caillot commente dans la dernière du quotidien Ouest-France la nomination de Xavier Thuilot au poste de DG du club angevin.

"C’est quelqu’un qui connaît le football. ​Il sait ce qu’est la vie d’un club, il sait de quoi il parle, dans tous les domaines car un club, ce n’est pas que le sportif. Il y a tout ce qui va avec : le commercial, la billetterie, les ressources humaines, la communication. Ça nécessite une présence et une animation au quotidien. Je ne pouvais pas apporter ça, même si j’essayais de faire de mon mieux."

Se basant sur les stats de ce début de saison, Sky Sports titularise Etienne Green dans le onze de l'équipe d'Angleterre.

Mais Gareth Southgate a préféré sélectionner Jordan Pickford (Everton), Nick Pope (Burnley) et Sam Johnstone (West Bromwich Albion) contre la Hongrie, Andorre et la Pologne.

Cinq mois et demi après son retour sur le banc de Zamalek, Patrice Carteron (51 ans) a été sacré champion d'Egypte il y a trois jours. Pour rappel, l'ancien latéral stéphanois avait déjà remporté la Supercoupe d'Afrique en février 2020 lors de son précédent passage chez les Chevaliers Blancs.

Selon Le Progrès, Philippe Lyonnet ne sera plus le directeur de communication de l’ASSE à compter de ce vendredi.

"Jean-François Soucasse a décidé de se séparer de l’homme confiance de Roland Romeyer pour impulser une nouvelle ère" précise le quotidien régional. "Le désormais ex-directeur général adjoint ne sera pas remplacé, toujours dans une volonté de faire des économies, à l’instar des départs de Julien Cordonnier à la cellule recrutement ou de Cesar Arghirudis à l’analyse vidéo. A priori, le secteur de la communication devrait dépendre directement de Soucasse."

Après quatre années passées au centre de formation de l'ASSE, le gardien international U18 bosnien Eldin Lolic (17 ans) a annoncé aujourd'hui sur son compte instagram qu'il venait de signer son premier contrat pro à Cagliari, ancien bourreau européen des Verts en 1970.

Auteur de 4 buts et 4 passes décisives lors de son unique mais grosse saison stéphanoise (43 matches en 2016-2017), Jordan Veretout est devenu un des meilleurs milieux de terrain de Série A, d'abord à la Fiorentina puis avec la Roma, avec laquelle il a démarré la saison en fanfare le week-end dernier. "Les Bleus, c’est dans un coin de ma tête. Si ça arrive, ce sera le plus beau jour de ma vie de footballeur" avait-il confié à Ouest-France l'été dernier.

Agé de 28 ans, le natif d'Ancenis a été convoqué aujourd'hui pour la première fois en équipe de France A où il va retrouver un Kurt Zouma. Pour rappel, ils avaient été sacrés en 2013 champions du monde U20 aux côtés d'un Pierre-Yves Polomat actuellement au chômage depuis qu'il a quitté la Turquie en mai dernier sur une relégation de Genclerbiligi en L2 turque.

Nouveau DG délégué du SCO, Xavier Thuilot s'est confié ce soir à Ouest-France. Extraits.

"Je ne suis pas un junior, je connais le métier, je sais gérer un club. Après, on verra ensemble, avec tout l’environnement interne, comment on peut continuer de construire quelque chose. J’ai connu diverses expériences dans des contextes très différents dans le foot, mais le travail reste le même : animer un club pour chercher la performance en fonction de ses moyens. C’est ce que je sais faire.

La gestion du club m’est déléguée. Bien entendu, c’est Saïd Chabanne le seul actionnaire donc je ne suis pas un kamikaze, je sais respecter l’actionnaire du club qui m’emploie. Mais au quotidien, il me délègue l’ensemble des fonctionnalités du club. Maintenant, il a passé 10 ans à gérer le club, donc l’idée n’est pas d’arriver et de l’isoler dans son propre club. Mais s’il m’a recruté, c’est qu’il pense que je sais faire des choses dont il n’aura pas besoin de s’occuper.

A Saint-Etienne, il y a une gouvernance totalement différente car c’est un club à 50 % Roland Romeyer et à 50 % Bernard Caïazzo. Le contexte économique est aussi complètement différent car j’étais arrivé à Saint-Etienne avec Claude Puel avec l’objectif de réorganiser le modèle économique du club qui ne pouvait survire en continuant sur de telles bases. Ce n’est pas du tout le cas à Angers. Le modèle économique du club reste valable. Il n’y aura pas de révolution fondamentale sur ce point."

Dans un papier paru ce jeudi sur le site de la FFF et intitulé "Saint-Etienne, retour au sommet", l'entraîneur des Amazones Jérôme Bonnet s'est confié. Extraits.

"J’ai pris en mains l’équipe à la fin de la saison 2016-2017 où j’étais adjoint d’Hervé Didier. À l’époque, on avait commencé à mettre en place un autre projet de jeu et la descente l’a stoppé. Il a fallu identifier ce qui nous avait manqué pour rester en D1. Le club a mis en œuvre un plan d’actions pour préparer ce retour dans l’élite. On a d’abord voulu éviter une hémorragie au sein de l’effectif afin de conserver une ossature composée de cadres pour accompagner les jeunes en D2. Si on avait pu obtenir la montée dès la première année, on l’aurait fait mais Dijon était mieux armé.

Nous étions dans une phase de restructuration, c’était important de ne pas la négliger. Ensuite, on a mis en place le projet de jeu. Enfin, dans la structuration, il manquait certaines choses. On y a travaillé avec le club et la municipalité qui a été à l’écoute de nos besoins. C’est un travail de collaboration afin qu’il y ait une évolution positive d’un point de vue organisationnel, structurel et sportif. Étoffer le staff, en salarier ses membres, c’est une avancée. Il y a aussi la recherche de partenaires qui nous permet d’avoir un budget plus conséquent afin de suivre le modèle économique de la D1.

L'objectif est d'obtenir le maintien le plus tôt possible pour pouvoir être, pour une fois, dans une logique de préparation de saison suivante un peu plus sereine. Il y a un énorme travail à réaliser pour atteindre cet objectif. On vient dans l’élite avec beaucoup d’humilité mais aussi avec envie et enthousiasme. On va essayer de bousculer un peu les autres. Des clubs de D1 sont déjà en place et veulent y rester. Nous, on y arrive et on veut y rester.

C’est un début de calendrier compliqué avec la réception de Bordeaux puis un déplacement à Lyon. On peut s’attendre à des matches très difficiles. Mais il faut bien affronter ces équipes ! Ça ne me dérange pas de commencer face à elles. On sait qu’on ne sera pas prêts, cela va nous permettre de nous mettre dans le bain pour préparer les matches qui pourraient être plus importants pour nous notamment face à des équipes qui joueront le maintien."

Ex-DG de l'ASSE (d'octobre 2019 à janvier 2021), Xavier Thuilot commente sa fraîche nomination au poste de directeur général délégué du SCO pour Le Courrier de L'Ouest.

"Je suis très content de ce nouveau challenge, et aussi un peu surpris que le président Chabane m’appelle. Les premiers contacts remontent à mi-août, et c’est allé très vite. C’est qu’il a dû entendre du bien de tout ce que j’ai fait dans le foot depuis vingt ans. Je vais découvrir un club qui va aussi me découvrir.

Mon rôle consistera à seconder le président, à être présent quand il ne sera pas là, à échanger avec lui sur ma vision sur le développement d’un club comme Angers. Je n’ai pas de feuille de route ultra-précise. Je vais découvrir un nouvel environnement. Depuis Saint-Etienne, j’ai fait un petit break car la mission avait été intense. Pas très longue, mais intense.

Avec Angers, je repars sur un projet avec un peu plus certitudes, même si dans le football, actuellement, il est difficile d’en avoir. Mon parcours est jalonné de mission durant lesquelles j’ai dû faire face à des problèmes d’infrastructures. J’ai été sensible à la logique entrepreneuriale du projet du SCO. Les investissements qui sont faits dans le stade, le centre de vie, toutes ces choses qui sont faites pour anticiper le coup d’après et pérenniser le club."

L'ASSE a officialisé ce jeudi la prolongation du contrat de Mickaël Nadé (22 ans), auteur d'un bon match le 8 août dernier lors la première journée contre Lorient après son prêt très concluant de la saison passée à QRM. Pour rappel, Sainté avait recruté le défenseur central en décembre 2013 lorsqu'il jouait à Sarcelles.

Wahbi Khazri fait partie des 26 Aigles de Carthage sélectionnés aujourd'hui pour les matches éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 contre la Guinée Equatoriale à Radès (le 3 septembre à 21h00) et contre la Zambie à Ndola (le 7 septembre à 15h00).

Stefan Bajic, qui recroisera son ancien coéquipier stéphanois de la génération 2001 William Saliba ce samedi soir au Vélodrome, prolongera ses retrouvailles avec le défenseur central phocéen en équipe de France Espoirs lors des éliminatoires de l'Euro 2023.

Alban Lafont (1999) n'étant plus en âge d'être un Bleuet et Etienne Green (2000) ayant opté pour l'Angleterre, Sylvain Ripoll a en effet décidé de faire appel à la doublure du natif de Colchester pour épauler Illan Meslier (titulaire à Leeds) et Guillaume Dietsch (titulaire à Seraing en L1 belge).

Resté sur le banc lors du désastre de l'équipe de France olympique aux JO de Tokyo, celui qui porte le numéro 1 à l'ASSE sera au Mans le jeudi 2 septembre pour manger de la Macédoine avant de faire un petit tour aux Iles Féroé le lundi 6 septembre. Le coup d'envoi de ce deux matches diffusés sur Canal Plus Sport sera donné à 18h30.

Composé essentiellement de 2000 et de 2001, le groupe tricolore compte quatre 2002 (dont le joueur parisien pisté par Sainté Arnaud Kalimuendo) et un 2004 (le protégé d'Abdel Bouhazama Mohamed-Ali Cho, initialement appelé en équipe de France U18 pour le tournoi de Limoges).

Lucas Gourna-Douath est sur la liste des 20 joueurs retenus en équipe de France U19 pour un tournoi en Slovénie. Comptant déjà 11 sélections en U16 et 4 en U17, le matru des Verts affrontera la Russie le jeudi 2 septembre à 18h00 à Krsko, la Slovaquie le samedi 4 septembre à 17h00 dans le même stade avant de défier le pays hôte à Ljubljana le mardi 7 septembre à 17h00.

Adil Aouchiche fait partie des 20 joueurs sélectionnés par Bernard Diomède en équipe de France U20 pour un stage à Clairefontaine qui donnera lieu à une double confrontation avec la Norvège, le vendredi 3 septembre (à 16h30) et le lundi 6 septembre (à 15h00). Pour rappel, le milieu de terrain stéphanois de 19 ans compte déjà 40 sélections dans les équipes nationales de jeune : 10 en U16, 18 en U17 et 12 en U18.

En conférence de presse Claude Puel a fait un rapide point sur le mercato comme le rapporte France Bleu : "Il y a des équipes qui sont programmées pour faire un mercato. Elles ont des moyens. j'ai des collègues qui en redemandent toujours plus. Tant mieux pour eux. Nous nous devons faire face à une certaine économie et je ne vais pas demander des choses irréalisables. S'il y a une opportunité on l'étudie mais je préfère me focaliser sur mon équipe et vous avez pu voir que nous n'avons pas été inactifs en prolongeant nos jeunes joueurs. J'ai bon espoir que beaucoup de joueurs vaudront encore plus cher plus tard. Continuons d'avancer ensemble et tout le monde sera gagnant. Le club, le joueur et son entourage."

Selon le média bavarois SPOX, l'ASSE et le RC Strasbourg convoitent le défenseur central Flavius Daniliuc (20 ans). Formé au Real puis au Bayern et actuellement sous contrat avec l'OGC Nice jusqu'en juin 2024, le capitaine de l'équipe d'Autriche Espoirs a joué 24 matches avec les Aiglons la saison dernière mais n'a pas encore eu de temps de jeu depuis l'arrivée de Galette.

Dans son édition du 25 août, La Gazzetta dello Sport confirme l'intérêt du Napoli pour Zaydou Youssouf : Le temps presse et le mercato du Napoli pourrait s'animer ces prochaines heures. Le club tente de vendre Manolas et Ounas pour réinvestir dans un milieu de terrain, seule priorité de Naples.
Un milieu de terrain qui a les caractéristiques requises : physiquement fort, comme Bakayoko. En tête de liste du directeur sportif se trouvent quelques noms : Youssouf, Berge (Sheffield United), Amrabat (Fiorentina) (...) Youssouf aurait le profil idéal, à la fois physiquement (1m82), et par sa capacité à défendre et poser le jeu. Giuntoli (ndp² : le directeur sportif) s'est déja entretenu avec le club français, auquel il a proposé un prêt payant. Mais les français souhaitent une option d'achat obligatoire. La discussion est donc interrompue, mais pas définitivement. Giuntoli reprendra les contacts dès qu'il aura avancé sur le départ de Ounas ou Manolas.

Des supporters pailladins ayant jeté des projectiles dont l'un a blessé Valentin Rongier lors du Montpellier-Marseille du 8 août dernier, la commission de discipline de la ligue qu'on adule a décidé hier de fermer les tribunes Corbières et Etang-de-Thau du stade de la Mosson pour le match ASSE-MHSC de la 5e journée le 12 septembre.

Après une campagne de préparation marquée par deux victoires (3-2 contre Montpellier, 7-2 contre Metz), un nul (1-1 contre Clermont) et une défaire (2-3 contre Sochaux), les U17 nationaux de l'ASSE démarreront leur championnat ce samedi 28 août à 15h30 contre Toulon. Patrick Moreau s'est brièvement confié au Progrès avant cette rencontre. Extraits.

"Chaque corps est différent, donc il faut être très attentif car le Covid a pu laisser des séquelles, mais de base, nous faisons très attention aux corps. À cet âge-là, ils sont très fragiles (...) Il y aura certainement beaucoup de 16 ans qui joueront en 17. Si l’on parvient à faire cela, c’est tant mieux. Notre objectif est pédagogique. On ne va pas envoyer au feu un joueur qui n’est pas prêt, physiquement ou mentalement. Quand un joueur est surclassé, c’est qu’on estime qu’il a la possibilité de s’épanouir également."

Grâce à un triplé de Pierre-Emerick Aubameyang, également passeur décisif sur le troisième but, Arsenal a écrasé 6-0 West Bromwich Albion hier en League Cup. 

Comme l'avait évoqué La Provence il y a deux semaines, la préfecture des Bouches-du-Rhône a interdit aux fans des Verts d'accéder au Stade Vélodrome le 28 août pour le match de la 4e journée qui opposera l'OM à l'ASSE. Signé par le chef de cabinet de la préfète Didier Mauvais, l'arrêté a été pondu dès le 10 août et publié hier sur le compte twitter de l'USS, qui nous apprend que le Ministre de l'Intérieur en personne en a remis une couche dans un arrêté signé hier.

Gérald Darmanin considère que "les déplacements du club de l'ASSE sont fréquemment source de troubles à l'ordre public du fait du comportement violent de certains supporters ou d'individus se prévalant de la qualité de supporter de cette équipe, manifesté de façon récurrente aux abords des stades et dans les centres-villes des lieux de rencontre, tant par des rixes entre supporters que par des violences contre les forces de l'ordre ou des jets de pétards, fumigènes ou bombes agricoles."

L'ancien maire de Tourcoing considère de surcroît que "les relations entre les supporters de l'ASSE et de l'OM sont empreintes d'animosité, que ce fort antagonisme s'est traduit par de graves affrontements nécessitant l'intervention des forces de l'ordre dont certains membres ont été blessés, par des jets de projectiles et par l'allumage d'engins pyrotechniques, comme lors des rencontres du 30 novembre 2016, du 16 janvier 2019, du 3 mars 2019, à l'occasion de la rencontre entre Andrézieux-Bouthéon et l'OM à laquelle assistaient des supporters stéphanois et, en dernier lieu, lors de la rencontre ASSE-OM du 5 février 2020 au cours de laquelle onze membres des forces de l'ordre ont été blessés."

Le natif de Valenciennes considère en outre que "les forces de l'ordre sont toujours particulièrement mobilisées pour faire face à la menace terroriste qui demeure actuelle et prégnante sur l'ensemble du territoire national et qu'elles doivent en outre assurer des missions de surveillance routière en période de grande affluence estivale, en particulier durant le week-end précédent la rentrée scolaire, et ne sauraient être détournées de leurs missions prioritaires pour répondre en outre à des débordements liés au comportement de supporters."

Gérald Darmanin interdit donc le 28 août "le déplacement individuel ou collectif, par tout moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter de l'ASSE ou se comportant comme tel, entre les communes de la Loire, de l'Isère, de la Drôme, du Rhône, de l'Ardèche, de la Haute-Loire, du Puy-de-Dôme, de l'Allier, de la Saône-et-Loire d'une part et la commune de Marseille d'autre part."

Monaco, qui menait 2-0 et a raté des occases de 3-0, de 3-1 et de 3-2, a concédé ce soir en Ukraine un match nul 2-2 après prolongation synonyme d'élimination de la Ligue des Champions car le Chakhtar s'était imposé 1-0 à l'aller en Principauté. Entré en jeu à la 99e minute, Ruben Aguilar a marqué contre son camp le but fatal à la 114e. On aura également noté que Kévin Théophile-Catherine ne jouera pas non plus la C1, ayant été victime (comme Loïs Diony au tour précédent) des Moldaves du Sheriff Tiraspol.

Le CSC de Ruben Aguilar pic.twitter.com/spzYbh0nKq

— Franklin Saint. (@Skeeeend) August 25, 2021

Confirmant l'intérêt porté par le fonds d'investissements américain Terrapin pour l'ASSE, Le Progrès rebondit sur l'article publié hier soir par La Pravda en publiant des déclarations anonymes d'un proche de Roro et d'un proche de Nanard. Extraits.

"Olivier Markarian est un vrai vert, qui adore ce club. Il ne veut pas que le club tombe dans les mains de l’étranger", assure cet ancien joueur de la grande époque qui pousse pour que le Franco-Arménien devienne le nouveau patron. "L’avantage, c’est qu’il n’y aurait pas de cassure. L'institution serait entre de bonnes mains. Mais il attend que des gens qui aiment le club se greffent autour de lui."

Les 100 €M qui seraient injectés ne permettraient pas de rivaliser sur la durée avec les grosses écuries. C’est l’argument que l’on défend dans le camp du président du conseil de surveillance : " Ce qui est important, ce n’est pas la vente du club, c’est le projet sportif. Quelle est l’ambition, stagner entre la 5e et la 10e place ou investir pour rivaliser avec Nice, Rennes, Bordeaux, Lille ou Monaco ?"

Dans son petit livre Le vert paradis des dieux trop humains parus le 20  août dernier aux éditions Médiapop, l'auteur couramiaud Lionel Bourg revient sur la finale du 12 mai 1976 à Hampden Park. Extraits.

"L'affaire, qui fit couler beaucoup d'encre, mérite-t-elle une nouvelle explication ? Je ne l'affirmerai pas mais, au point ou j'en suis, reculer ruinerait mon crédit auprès des lecteurs peu au fait des succès et déboires de l'Association Sportive de Saint-Etienne, si bien que la dérobade, voire la lâcheté du chroniqueur hanté par des spectres, serait pire qu'une version désinvolte de l'infernale calamité.

Dernier stade européen pourvu de cages dont les montants présentaient une section anguleuse partout bannie au bénéfice de profils circulaires, son archaïsme, sympathique s'était-on dit, et on n'est trahi que par les siens, intimement complice des moeurs chères au public ouvrier de Geoffroy-Guichard, devrait être fatal à l'escouade emmenée par Jean-Michel Larqué, les coups de boutoir de Dominique Bathenay et Jacques Santini, servis par un Christian Sarramagna de gala, s'écrasant avec les espoirs du club sur la transversale sise à l'orée de ce maudit enclos des Enfers.

La légende, le mythe naîtraient dans la foulée : une barre, des poteaux ronds n'auraient pas eu l'impudence de repousser la balle et, traduisant en chiffres éloquents la domination des petits hommes verts, le tableau d'affichage se serait affolé si la municipalité calédonienne avait investi son pécule ailleurs que dans les distilleries environnantes. "Glasgow, Glasgow, morne plaine..."

Acquis à prix d'or, les fameux poteaux, plus sacrés aux yeux des fidèles que la croix où fut cloué leur Seigneur, sont maintenant exposés au musée des Verts. Relique providentielle, certains esquissent un signe d'intime dévotion en sa présence, d'autres essuient une larme ou, tout sourire de commisération, toute remarque désobligeante seraient aussitôt châtiés d'une réplique cinglante, pestent contre le jugement céleste qui fit pencher la balance du côté munichois."

Mathis Amougou, passeur sur le 3ème but.

Les U18 de Kevin De Jesus poursuivaient cet après-midi leur série de matchs amicaux en se mesurant à leur homologues de l'Etrat La Tour. Ils ont continué sur leur lancée, puisque, après avoir fait le nul contre Montpellier (1-1), battu l'AS Montferrand R2 (4-3), ils l'ont facilement emporté sur le score sans appel de 6 à 0.

Face à un bloc compact, les Verts ont dû attendre la demi-heure pour trouver l'ouverture : Mathéo Haon s'infiltrait dans son couloir droit et son centre au sol était repris en deux fois par Israël Zemangui. (1-0, 30ème).
Dix minutes plus tard, Keryann Merat récupérait le ballon à la suite d'un pressing haut et concluait. (2-0, 40ème). C'était le score au repos.
Peu après la reprise, Enzo Mayilla corsait l'addition, bien servi par Mathis Amougou. (3-0, 51ème), imité quelques minutes plus tard par Israël Zemangui, alerté par Maxime Gaudry. (4-0, 58ème).
Kevin De Jesus procédait à l'heure de jeu à de multiples changements, histoire de donner du temps de jeu, à tous ses jeunes, notamment les 2004 qui n'avaient pas joué samedi en U19. Mais cela n'entamait pas l'allant de son équipe puisque Maxime Pérard, servi par Yanis Mimoun, piquait le ballon au-dessus du gardien. (5-0, 70ème).
Enfin, bien décalé par ce même Maxime Pérard, Kylian Venière-Jusseron concluait victorieusement. (6-0, 81ème).

La composition : Boustouler - Haon (Makengo, 60ème), N'Gongar Christ (Achour, 60ème), Taiar (Ali Ahamada, 60ème), N'Gongar Alpha (Germany, 60ème) - Fernandes (Ramirez, 60ème), Gaudry (Mimoun, 60ème), Amougou (Sissoko, 60ème) - Zemangui (Venière-Jusseron, 60ème), Merat (Mayilla, 45ème), N'Geleka (Pérard, 60ème). 

La réaction de Kevin De Jesus : "On a continué sur les mêmes principes de jeu mis en place depuis le début de la saison, à savoir ressortir proprement le ballon face, aujourd'hui, à un bloc plutôt compact, pas simple à manoeuvrer au début. Nous avons d'ailleurs dû attendre la demi-heure pour ouvrir la marque. Au fil du match, la fatigue de l'adversaire aidant, nous avons eu beaucoup plus d'ouvertures et nous en avons profité, tout en gardant une certaine rigueur, ce qui a donné un score assez conséquent au final." 

Prochain match : samedi 28 août, à Montferrand contre les U18 R1 de l'AS Montferrand.

Comme l'a rappelé ce soir La Provence, l'OM et l'ASSE s'affronteront pour la 113e fois ce samedi à 21h00. Le bilan est lègèrement défavorable aux Verts : 41 victoires, 22 nuls, 49 défaites.

Kévin Monnet-Paquet, qui s'est engagé il y a huit jours avec les Verts de l'Aris Limassol et a suivi depuis le banc dimanche dernier la victoire de sa nouvelle équipe sur le terrain de l'Olympiakos Nicosie, a livré sa réaction au média chypriote Kerkida.

"Je rejoins un club ambitieux, qui vient de remonter en première division et qui veut se structurer pour grandir petit à petit. C’est un club qui a des ambitions. J’ai passé beaucoup d’années en France, je cherchais un nouveau challenge. L’Aris me fait confiance, m’a sollicité et après réflexion j’ai décidé de rejoindre l’Aris. C’est un club ambitieux qui veut se donner les moyens de faire une bonne saison. C’est pour ça que j’ai rejoint Chypre. J’ai eu des approches de quelques autres clubs. Après, je voulais vivre aussi une expérience à l’étranger donc tout était réuni pour que je signe à l’Aris.

Comme a dit le coach, l’objectif est de gagner le plus de matches possibles et d’arriver à être dans les cinq ou six premiers pour pouvoir jouer pourquoi pas le haut du classement. Mais c’est vrai que ça va être une saison difficile, on le sait. Il y beaucoup de nouveaux joueurs, il faudra que l’alchimie de l’équipe prenne. Mais il faut avoir des ambitions même si ça va être dur et croire en nos chances.

Vous me dites qu’il n’y a pas de stars à Chypre comme en Ligue 1 où il y a Messi, Neymar et Mbappé ? Mais c’est normal, la France, c’est un très grand pays de foot, on sait que Paris a beaucoup de moyens pour avoir de grands joueurs. Chypre, c’est un championnat qui grandit, je pense qu’il y a de bonnes équipes dans ce championnat. Il est un peu méconnu en France mais on m’a dit qu’il y avait de bonnes équipes et que le niveau était assez homogène. Je ne sous-estime pas ce championnat, j’espère le découvrir rapidement et grandir avec lui.

J’ai joué sept ans à Saint-Etienne. J’ai connu des belles choses, des moments un peu moins bien. Je retiens beaucoup de bonnes choses avec le public. C’est un club mythique en France avec un très gros public. Après sept années passées là-bas, il était temps pour moi de découvrir autre chose, d’atterrir sur un autre projet. C’était écrit, je ne pouvais pas continuer là-bas mais j’en garde de très bons souvenirs.

Mon poste préferentiel ? J’ai été formé pour jouer offensif mais j’ai déjà évolué à différents postes sur le terrain. Quasiment à tous les postes mais je préfère jouer sur un côté."