Payet met KO le PAOK
14/04 23:32
Titulaire comme William Saliba et auteur de son 14e pion de la saison, Dimitri Payet a inscrit l'unique but de la victoire de l'OM sur le terrain du PAOK Salonique. "L’objectif a été atteint ce soir. On savait que ça allait être chaud, on a déjà vécu ça à Saint-Etienne récemment" a déclaré le numéro 10 à l'issue de la rencontre. En demi-finale de la Conference League, les Phocéens joueront contre le Feyenoord. S'ils passent ils joueront en finale contre la Roma de Jordan Veretout (entré en jeu à la 85e contre Bodo Glimt) ou le Leicester de Wesley Fofana (titulaire et vainqueur 2-1 sur le terrain du PSV Eindhoven).
ENCORE Dimitri Payet qui donne l'avantage à l'OM ! ⚽️💪#PAOKOM #UECL ▶️ : https://t.co/zCpw9j88r0 pic.twitter.com/jkD33VgWQc
— Canal Football Club (@CanalFootClub) April 14, 2022
Schadenfreunde ! En quart de finale de l'Europa League, malgré le forfait pour blessure à la cheville de Kurt Zouma, l'ancien club anglais du buteur du mythique 100e derby a mangé 3-0 les quenelles en banlieue, provoquant la colère des vilains ultras qui ont défoncé les barrières du Cochonou Stadium et déployé une banderole "Allez vous faire enculer" pour saluer la bonne prestation de leurs joueurs, qui recevront les Girondins dans trois jours...
On aura noté que le Barça de Pierre-Emerick Aubameyang (discret et remplacé à l'heure de jeu) s'est fait éliminer par l'Eintracht Francfort, victorieux 3-2 au Camp Nou.
Papa croit en Dupraz
14/04 22:01
Ancien attaquant de l'ASSE et du Stade Brestois, Patrick Parizon alias "Papa" nous a livré ses impressions avant le match qui opposera les deux clubs ce samedi dans le Chaudron.
"J’ai passé des bons moments dans les deux clubs. Mais vu le classement et compte tenu de la situation des deux équipes, ce serait préférable que Saint-Etienne gagne. Les Verts ont davantage besoin des trois points, les Brestois ne sont plus trop loin du maintien. Ce serait mieux que l’ASSE l’emporte. Je l’espère en tout cas !
Je souhaite d’autant plus que Saint-Etienne s’en sorte que je connais très bien Pascal Dupraz. Je l’ai connu quand je jouais à Sochaux, il était alors au centre de formation des Lionceaux. Ça ne nous rajeunit pas ! (rires) J’en garde un excellent souvenir car malgré nos douze ans d'écart, on était très proches l’un de l’autre, très amis.
D’ailleurs je suis un peu à l’origine de sa venue à Brest. Je l’avais placé car j’avais joué avec Alain de Martigny qui était devenu l’entraîneur du Stade Brestois. J’avais déjà joué à Lille avec Alain, on avait d’excellentes relations. Je lui avais dit que ce serait pas mal de faire venir Pascal à Brest. Du coup on s’est retrouvé dans le Finistère.
On n’est plus trop en contact depuis mais je suis avec attention son parcours d’entraîneur. Il a fait de bonnes choses à Evian, le maintien qu’il a obtenu avec Toulouse est resté dans les mémoires. A mon avis ça va le faire aussi avec Saint-Etienne. Je pense que les Verts vont se maintenir, je le souhaite de tout mon cœur !
Certes, le dernier résultat des Verts est très surprenant. Mais ce 6-2, c’est peut-être un mal pour un bien. Que tu perdes 6-2 ou 1-0, dans les deux cas c’est zéro point. Il vaut mieux perdre une fois 6-2 que six fois 1-0. Les Verts sont moins bien depuis ou trois matches mais chaque équipe connaît un passage à vide et Saint-Etienne va s’efforcer de resserrer les boulons en défense.
Je pense que Pascal va faire le nécessaire pour aider l’équipe à rebondir et à renouer avec le succès. C’est toujours embêtant de perdre contre un concurrent direct comme ça s’est passé vendredi dernier mais il ne faut pas oublier que les Verts ont battu Metz, sont allés gagner à Clermont et ont su revenir contre Troyes. Et avant ces matches-là, ils avaient réussi à gagner à Angers et à renverser Montpellier.
J’ai vu que Wahbi Khazri va faire son retour contre Brest et que Pascal enregistrera très probablement les retours de Romain Hamouma et Yvann Maçon pour l’important déplacement à Bordeaux. Comme par ailleurs les Verts auront à cœur de réagir devant leur public suite à la claque qu’ils ont pris à Lorient, je suis confiant. Pascal et ses joueurs vont trouver les ressources pour aller chercher le maintien."
Les Brestois quasiment au complet
14/04 14:25
Si les Verts seront privés de 8 joueurs après-demain (Falaye Sacko, Yvann Maçon, Saidou Sow, Joris Gnagnon, Aimen Moueffek, Yvan Neyou, Romain Hamouma, Enzo Crivelli), l'entraîneur brestois Michel Der Zakarian s'est réjoui en conférence de presse de pouvoir compter sur un groupe quasiment au complet à GG.
"À part Satriano qui est suspendu, tout le monde est apte pour cette rencontre. On attaque une semaine à trois matches donc c'est important d'avoir tout le monde disponible. Romain Del Castillo a été handicapé par sa pubalgie. Il a été opéré et est revenu trois mois après. Il a retrouvé de la force, du mental même s'il n'est pas encore au top niveau. Il va mieux mais n'est pas encore à 100%.
On s'attend à un match difficile à Saint-Etienne. Le stade sera plein et chaud. J'espère qu'on sera vite dans le match pour faire quelque chose de bien là-bas. Il faudra qu'on soit présent dans tous les domaines. On va affronter une équipe de l'ASSE qui joue sa survie. Ça peut être bon pour eux comme ça peut être difficile, le public peut aussi se retourner contre eux. On le sait depuis X années, que Sainté c’est un club qui a des supporters fidèles. Même s’ils ont des mauvais résultats depuis 2-3 ans, le stade est souvent plein, comme à Lens. Pour se maintenir, il faut qu’ils soient en capacité de faire une série mais quand tu es en bas, c’est toujours difficile.
Il y a eu beaucoup de matches où on a été transparents sur certaines mi-temps, c'est le lot de notre saison. On va essayer d'être dans la continuité de notre deuxième période contre Nantes durant laquelle on a mieux utilisé le ballon. On doit vouloir prendre le maximum de points pour essayer de battre le record que le club a déjà atteint par le passé. Si on gagne ce week-end, le championnat ne s'arrêtera pas pour nous. Quand on est compétiteurs, on joue jusqu'à la 38e journée."
Wahbi est en pleine paluche !
14/04 13:41
Pascal Dupraz a confirmé aujourd'hui en conférence de presse que Wahbi Khazri sera apte contre Brest et que Romain Hamouma et Yvann Maçon pourraient faire leur retour à Bordeaux.
"L’objectif, c’est que Wahbi soit de retour pour les sept matches à venir. J’ai compris cette semaine… C’est la première semaine où je vois Wahbi en pleine paluche. Moi ce que je veux c’est que Wahbi soit présent les sept matches qui viennent et qu’on ne le perde pas. Il est en pleine paluche, bien disposé, agréable à regader. Ça fout le moral. Quand vous avez votre meilleur buteur qui est devenu capitaine et que j’ai conservé capitaine – il faut rendre à César ce qui est à César, c’est Julien qui l’a nommé capitaine, moi à un moment donné j’avais envie de changer et tout compte fait je me suis dit non – qui est absent… Je crois qu’il n’a débuté que quatre ou cinq matches depuis que je suis là. Il a manqué quand même une des armes importantes de l’équipe ! S’il est de retour, vous êtes contents de le revoir. Je suis très content de le revoir et je vois la mine presque réjouie du renard argenté, Romain Hamouma. Je suis content de le revoir lui aussi, il sera bientôt là. J’espère pouvoir l’utiliser pour la semaine prochaine. Pareil pour le petit Maçon, croyez-moi, il vole ! Enfin un arrière droit de retour ! Je vois ça avec beaucoup d’optimisme."
Du spectacle mais on s'en passerait...
14/04 10:35
L'ASSE est 4e au classement des clubs qui assurent le spectacle selon le classement publié hier par le site de la Ligue qu'on adule. On s'en passerait vu comment sont répartis les buts des matches des Verts...
1. Girondins de Bordeaux : 112 buts (41 buts marqués, 71 buts encaissés)
2. Paris Saint-Germain : 99 buts (70 buts marqués, 29 buts encaissés)
3. Stade Rennais : 98 buts (67 buts marqués, 31 buts encaissés)
4. AS Saint-Etienne : 94 buts (33 buts marqués, 61 buts encaissés)
5. Clermont Foot : 91 buts (31 buts marqués, 60 buts encaissés)
6. RC Lens : 88 buts (48 buts marqués, 40 buts encaissés)
-. Montpellier Hérault SC : 88 buts (44 buts marqués, 44 buts encaissés)
8. RC Strasbourg Alsace : 85 buts (52 buts marqués, 33 buts encaissés)
-. FC Metz : 85 buts (28 buts marqués, 57 buts encaissés)
10. Olympique Lyonnais : 84 buts (44 buts marqués, 40 buts encaissés)
-. Stade Brestois 29 : 84 buts (39 buts marqués, 45 buts encaissés)
12. FC Lorient : 81 buts (31 buts marqués, 50 buts encaissés)
13. Olympique de Marseille : 80 buts (51 buts marqués, 29 buts encaissés)
-. Angers SCO : 80 buts (35 buts marqués, 45 buts encaissés)
15. AS Monaco : 79 buts (47 buts marqués, 32 buts encaissés)
16. LOSC : 75 buts (39 buts marqués, 36 buts encaissés)
17. FC Nantes : 74 buts (40 buts marqués, 34 buts encaissés)
18. ESTAC Troyes : 73 buts (29 buts marqués, 44 buts encaissés)
19. Stade de Reims : 69 buts (34 buts marqués, 35 buts encaissés)
20. OGC Nice : 67 buts (40 buts marqués, 27 buts encaissés)
Moussiti Oko tire son chapeau à Krasso
14/04 09:30
Remis de sa fracture au tibia et ayant remplacé Jean-Philippe Krasso samedi dernier après le doublé victorieux inscrit par le joueur stéphanois, l'attaquant congolais Bevic Moussiti-Oko lui tire son chapeau dans Corse-Matin.
"C'est pile le joueur qu'il nous fallait ! C'est l'un des éléments forts en ce moment, il peut nous permettre de maintenir notre bonne dynamique. C'est très bien pour l'équipe ! En ce qui me concerne, je sais que pour l'instant je ne peux gratter qu'un peu de temps de jeu mais je vais tout donner pour augmenter celui-ci. Franchement, on ne peut pas parler de concurrence entre Jean-Philippe Krasso et moi car je ne suis pas apte à en installer une actuellement."
Deuxième de L2 avec 3 points d'avance sur le 3e (Auxerre, qui va défier Stefan Bajic à Pau après-demain), l'AC Ajaccio d'Olivier Pantaloni et du potonaute Galette89 joue ce samedi à Dijon contre une équipe du DFCO qui est également sur une très bonne dynamique (les hommes de Patrice Garande ont gagné 3 matches et concédé 3 nuls sur leurs 6 derniers matches).
Cheyrou ne nous voit pas dans la charrette
14/04 08:39
Ancien milieu de terrain du LOSC, de l'AJA et de l'OM, Benoît Cheyrou commente la lutte pour le maintien dans la dernière édition du quotidien Sud-Ouest.
"Déjà, lorsqu'on regarde les deux dernières journées, les Girondins m'inquiètent beaucoup moins. En revanche, j'ai trouvé le FC Metz très pauvre dans ce qu'il a produit offensivement. Les Grenats ont aussi des manques défensifs, au-delà de la tactique et de la technique. Sur le plan mental, quand on mène après une première période solide contre le dernier, et qu'on craque complètement en seconde avec beaucoup moins d'efforts... Clermont reste sur cinq défaites d'affilée. Saint-Etienne était bien revenu mais reste sur deux défaites et s'est écroulé à Lorient. Ce sont des indicateurs très inquiétants. Il y a de bons joueurs dans ces équipes, mais quand il s'agit de se maintenir, il n'y a plus de pression.
Les Girondins sont avant-derniers et les Verts sont dix-huitièmes ? il n'y a pas de hasard. On ne parle pas d'une épopée en coupe où il peut y avoir de la réussite. Après 31 journées, on est forcément à la place qu'on mérite. Cela ne se joue pas forcément sur cette saison, plutôt sur deux, trois ou quatre ans. Il y a eu beaucoup de turnover au niveau des coachs, une politique à moyen terme compliquée de la part des dirigeants. Cela a beaucoup tourné à Bordeaux et on ne sait pas toujours pas si Saint-Etienne va être vendu ou pas. C'est dommage pour de tels clubs. Mon pronostic ? Je vois bien Metz et Clermont aux deux dernières places. Pour celle de barragiste, je pense que ça va se jouer entre Lorient et Bordeaux."
Landreau veut s'inspirer de Sainté
14/04 07:41
Alors que le projet Socios Verts vient de dépasser les 200 000 euros de promesses de dons, le porte-drapeau du Collectif Nantais Mickaël Landreau a fait le point hier pour Ouest-France sur l'avancée du projet de reprise du FC Nantes. L'ancien gardien des Canaris souhaite s'inspirer de l'ASSE dans la façon d'impliquer les supporters dans le choix d'un nouveau logo. Extraits.
"Le simple fait d'avoir lancé le crowdfunding constitue une réussite. C’est très ouvert. Il y a des associations. Des chefs d’entreprise sont soutenus par leurs salariés. En soutenant le Collectif nantais, on soutient le club à travers des valeurs, un cheminement. Ça commence à s’ouvrir aux PME, c’est important. On doit avoir atteint 1 250 souscripteurs. D’autres sont en attente.
Aujourd’hui, on pourrait aller voir Waldemar Kita mais on souhaite consolider l’actionnariat. On est sûrs d’avoir au moins 10 millions d’euros disponibles. On n’est plus dans la démarche de se dire qu’il nous faut absolument un investisseur majeur, mais plutôt trois ou quatre investisseurs minoritaires comme cela se fait de plus en plus.
Notre première décision en cas de rachat du club ? On travaillerait le blason. Il serait clairement remis à l’ordre du jour. Ce serait un travail collectif essentiel à mes yeux. Le cœur du projet, c’est le sportif. Mais le blason doit être validé et même co-travaillé par et avec les groupes de supporters."
Nanard et Roro veulent toujours vendre ?
13/04 23:25
A l'instar de la Pravda, Le Progrès a sorti un papier sur la vente de l'ASSE pour meubler ce milieu de semaine. Extraits.
"Romeyer et Caïazzo balayent d’un revers de main la rumeur selon laquelle ils chercheraient désormais un 3e actionnaire, minoritaire en l’occurrence. Ils veulent toujours vendre. Là-dessus, au moins, ils sont d’accord. "La position des actionnaires n’a pas changé" confirme Patrick Chêne, mandaté pour gérer la communication sur la vente du club en lien avec KPMG.
L’ASSE est sur le marché, KPMG poursuit sa mission. Des réunions ont lieu chaque semaine avec les actionnaires pour les tenir informés de l’avancée des dossiers. Aux dernières nouvelles, le cabinet d’audit et de conseil, chargé de vérifier la solvabilité des candidats à la reprise de l’ASSE, en garderait certains au chaud en attendant la fin du championnat."
La vente repoussée au 30 juin 2023 a minima ?
13/04 23:00
La Pravda fait le point ce soir sur le vente de l'ASSE, "vieux serpent de Verts." Extraits.
"Bernard Caïazzo était ravi de retrouver Olivier Markarian au conseil de surveillance du 30 mars. Les mots laconiques de l'homme d'affaires d'origine arménienne lui sont allés droit au coeur : "Je me remets au service de mon club." Désireux de le racheter, Markarian s'était mis en retrait de son mandat d'administrateur depuis neuf mois. Le voir de nouveau siéger dans l'instance présidée par Caïazzo montre que Markarian est rentré dans le rang.
Ce n'est pas rien, quand on constate avec le recul que le dossier de Markarian, épaulé par d'autres entrepreneurs locaux et Fuchs, une société financière du Luxembourg, se révélait le plus crédible. Sitôt après avoir salué le retour d'un homme avec lequel il ne s'entend pas, Caïazzo aurait annoncé avoir trouvé un repreneur. Le fameux troisième actionnaire minoritaire fort capable d'injecter de l'argent frais dans le club. Puis, quand Loïc Perrin a été invité à brosser les contours de la prochaine saison, Caïazzo l'a coupé pour lui dire qu'il ne serait plus là et que Roland Romeyer non plus. Ce dernier aurait préféré en rire.
La vente serait désormais repoussée au 30 juin 2023. A minima. Les actionnaires de l'ASSE semblent en tout cas considérer que les 33 M€ obtenus de la part de la LFP grâce à la création d'une société commerciale avec le fonds luxembourgeois CVC figurent déjà sur les comptes du club. Or, en cas de descente, Saint-Étienne n'en percevra que la moitié, soit 16,5 M€. Depuis que ce dossier sensible a rejailli dans la coulisse, lors du conseil de surveillance du 30 mars, l'équipe de Pascal Dupraz subit de nouveau une panne de résultats. Une coïncidence ? Le hasard faisant parfois mal les choses, il ne faudrait pas que cette vente devenue un voeu pieux participe à la descente des Verts en L2."
J'suis enfant de Terrenoire, une très bonne mémoire
13/04 21:53
"J'suis enfant de Terrenoire, une très bonne mémoire" chante Raphaël Herrerias dans Jusqu'à mon dernier souffle, belle chanson rendue populaire par une pub d'Intermarché. Son jeune frère Théo a parfois la mémoire qui flanche quand il parle des Verts, comme l'attestent ces extraits de l'interview accordée par le sympathique duo de frangins Terrenoire à Dessous de Verts.
Raphaël :
"Mon meilleur pote est le neveu de Jean Déès, qui a été pendant très longetmps l’entraîneur des gardiens de l’ASSE, le mentor de Grégory Coupet et Jérémie Janot. C’est un historique de l’ASSE donc gamin j’allais au stade avec cette famille. Je suis attaché à l’AS Saint-Etienne car on est de la ville et que j’allais beaucoup au stade gamin. Nos parents n’étaient pas spécialement bien le foot, mon père aimait bien le foot mais ce n’était pas un supporter. Notre mère non plus. Il y en qui vont au match tout le temps, on a des cousins dans ce cas. Nous on aime le foot, le sport et on a un attachement à ce qui dépasse même le sport. Le club, c’est une forme d’héritage culturel, une fierté de la ville, des valeurs presque ouvrières, un sens du collectif, une idée d’unité qui fait que quand on est un supporter de l’ASSE, on appartient à un état d’esprit d’une certaine manière.
J’étais au stade à l’époque des Lucien Mettomo, Lionel Potillon, Fabien Boudarène, Pape Sarr. J’atais là pour le match de la remontée. Je ne rêve pas, le stade a été envahi. J’étais au stade ce jour-là. C’était un souvenir extraordinaire ce Geoffroy-Guichard en liesse, une émotion pure ! Après, Alex-Aloisio, c’était un moment assez dingo. L’équipe avait un panache pas possible. On a eu beaucoup d’attaquants avec du panache comme Feindouno, Aubame. Il y a eu beaucoup de joueurs assez marquants, avec des personnalités assez fortes. Jérémie Janot… Même Ruffier !
Théo :
"On est parti de la ville vers 19 ou 20 ans donc on a eu le temps d’aller au stade. Je me souviens de derby et de matches de Coupe de la Ligue, il y avait tellement de bruit que je chopais des migraines. Je me souviens d’un Saint-Etienne-Nantes qui s’était fini en 4-2. Les Verts avaient complètement retourné la tendance. Ils étaient menés 2-0 et avaient gagné 4-2. Il était formidable ce match, c’était il y a 7 ou 8 ans. [il fait sans doute allusion à un match disputé il y a 10 ans non pas contre Nantes mais contre Lorient, remporté 4-2 mais les Verts n'étaient pas menés 2-0 mais 1-0, comme nous le souffle le potonaute kekezevert]. On a été invité par le club à Geoffroy-Guichard le 21 décembre dernier. On a perdu 1-0, but inscrit à la 72e minute [le 22 décembre, but de Kolo-Muani à la 83e, ndp2]. C’était un peu triste mais c’est la vie, c’est la saison !
On a eu des milieux de terrain formidables comme Blaise Matuidi, Dimitri Payet. Moi j’ai plutôt grandi avec les Fabien Lemoine, Laurent Batlles, Renaud Cohade… Josuha Guilavogui. J’ai connu cette formidable épopée de 2013 jusqu’à la finale et cette belle tête de Brandao à la 38e [Brandao a marqué en fait du pied gauche dès la 18e minute, ndp2]. J’ai vu la finale à Jean-Jaurès, Place Marengo pour les intimes, avec les dizaines de milliers de personnes qui nous entouraient. C’était une sacrée soirée, un des meilleures que j’ai eu la chance de vivre à Saint-Etienne. Le moment de liesse collective à la fin. Waouh ! C’était fabuleux. Je me souviendrai toujours du lendemain. Je devais me réveiller très, très tôt et il y avait du verre pilé partout place Jean-Jaurès. On marchait comme des fakirs sur la plus grande place de la ville ! C’était drôle.
Je me souviens aussi du 100e derby avec le coup franc de Payet, c’était vraiment extraordinaire. C’était déjà un excellent. Je me souviens aussi le moment où on réussit à gagner au Parc le PSG d’Ibra et Beckham [ce dernier n’était pas encore Parisien à l’époque, ndp2]. Je me souviens qu’on était au cinéma lors de ce match, on regardait le cumul des scores minute par minute. C’était rigolo ! C’est vraiment les souvenirs les plus marquants des vingt dernières années."
Anfield, des frissons (7)
13/04 19:22
Bourreau des Verts le 16 mars 1977 à Anfield, l'ex-supersub des Reds David Fairclough revient pour So Foot sur ce mythique quart de finale retour de la Coupe d'Europe des Clubs Champions.
"Nous savions que l'AS Saint-Etienne était une bonne formation. Nous les connaissions pour les avoir vus jouer la finale de C1 la saison précédente face au Bayern. Les noms de Larqué, Janvion et Rocheteau ne nous étaient donc pas inconnus. D’ailleurs, Saint-Étienne était au-dessus lors du match aller. Mais étonnement, nous étions confiants pour la manche retour. Personne ne se sentait en danger dans l’équipe parce que nous ne nous sentions pas inférieurs à eux. Et puis, à l’époque, Liverpool n’était pas encore vu comme une réelle puissance en Europe. Nous étions vainqueurs de la Coupe de l’UEFA en titre et toujours en lice pour remporter un deuxième championnat de suite. Mais on nous voyait plutôt comme une force émergente de la scène européenne. Peut-être que Saint-Étienne nous a donc pris un peu de haut.
Oui, mais je dois t’avouer que nous ne pensions pas connaître une telle ambiance. On pointe souvent le match contre l’Inter en 1965 comme premier match de référence à Anfield en matière d’atmosphère. Mais ce que nous avons vécu contre Saint-Étienne, c’était du jamais-vu. On ne pensait pas que l’ambiance ferait une telle différence. Il y avait plus de drapeaux, plus de bruit. L’énergie venue des tribunes a été un vrai plus, on avait un réel douzième homme. Je pense, et je ne suis pas le seul, que Saint-Étienne a été le match qui a lancé la réputation d’Anfield. J’en ai des frissons rien que d'y repenser. Cette nuit-là, Anfield s’est élevé à un autre niveau.
Kevin Keegan marque très rapidement, l’atmosphère est donc devenue folle. Le match s’est ensuite tendu, et je me souviens me dire sur le banc des remplaçants : « Je ne veux pas entrer sur le terrain. » Saint-Étienne a failli égaliser deux fois, mais Clemence a sorti deux arrêts de grande classe. On pensait que le score ne bougerait plus et qu’on irait jusqu’aux tirs au but, mais Saint-Étienne a recollé au score en début de deuxième mi-temps. Tout le stade s’est dit que c’était terminé. On devait inscrire deux buts supplémentaires à cette excellente équipe. Heureusement, Ray Kennedy nous a relancés très rapidement. À ce moment-là, j’ai voulu rentrer.
Mon but inscrit à la 84e minute ? Je voyais le Kop en face de moi. Le défenseur qui me marquait tente de me déstabiliser, on se bouscule, mais je parviens à rester en possession du ballon. Au moment où Ćurković sort, je me souviens me dire : "Cadre ton tir et n’essaye pas de faire le malin." J’ai frappé à ras de terre et ça a marché. Tu n'es jamais préparé à ce type de situation. Tu dois être calme, c’est tout. Au moment du but, le commentateur anglais du match a dit : "Super Sub strikes again." Cette phrase est désormais liée à mon histoire et celle du club. Il n’y a pas une semaine sans qu’on ne me parle de ce but et de cette réplique du commentateur.
Chaque année, je reçois des messages de « Happy Saint-Étienne’s Day » à la date du match retour. C’est incroyable ! Éliminer une telle équipe nous a fait grandir. On a réalisé qu’en éliminant une top équipe, on pouvait aller au bout. Nous avons gagné en confiance à un moment clé de la saison avec un effectif qui mélangeait des joueurs des années 1960 et des gars de la nouvelle génération des 70s. On s’est dit : « On peut le faire. »"
Le serpent répressif se mord la queue
13/04 18:50
L'Association Nationale des Supporters, les Merlus Ultras et les Green Angels ont publié aujourd'hui un communiqué bien senti.
Tous en Vert !
13/04 16:06
Tous en maillot du club, c’est ainsi que Magic, Green, USS et Indépendantistes concluent leur communiqué commun exhortant tous les supporters à venir en vert samedi contre Brest (17h).
Une initiative bienvenue de la part des groupes qui ont compris que la priorité était de soutenir l'équipe, malgré les 2 cuisantes claques contre Marseille et Lorient.
Ce Bordeaux-Sainté vaudra cher !
13/04 11:12
Ancien joueur et coach des Girondins de Bordeaux, Gernot Rohr a évoqué hier sur France Bleu Gironde le match très important pour le maintien que les Verts joueront dans une semaine au Matmut Atlantique.
"A Lille, à dix contre onze et pour la première fois, sans but encaissé on pouvait déjà laisser espérer un léger mieux pour Bordeaux. Et il fallait absolument confirmer. Contre Metz, ça a été fait. Donc, je pense que la tendance maintenant est redevenue positive et qu’en revanche, les deux clubs qui nous précèdent, c'est à dire Saint-Etienne et Clermont qui ont encaissé des grosses défaites, sont sur une tendance négative. Même si on ne gagne pas à Lyon, c'est quand même important de continuer avec cet état d'esprit et de faire un bon match pour faire les points nécessaires dans les rencontres à venir.
Contre Metz, David Guion a mis une composition qui était complètement inédite comparé aux autres. Tout le monde a été un peu surpris par ce qu'on a vu qu'Adli n'était pas titulaire. Il a joué avec deux 6, à quatre et non pas à cinq comme le dernier match donc il a changé aussi son fonctionnement. On sent que Guion commence vraiment à percevoir chaque joueur. Et moi, je suis confiant contre Lyon parce que je sais que les grosses équipes, on arrive toujours à trouver cette motivation, alors que les petites équipes sont très dures à jouer.
Il faut aller à Lyon avec un esprit conquérant contre une équipe fatiguée, peut être qualifiée et qui va avoir en tête la Coupe d'Europe plus que le championnat où elle est distancée. Un bon coup à jouer. Il ne faut surtout pas se cacher. Il faut y aller oser et être conquérant. Ensuite il faudra surtout gagner contre Saint-Etienne. On va aussi recevoir Lorient lors de l'avant-dernière journée. Il faut vraiment remporter ces deux confrontations contre des concurrents directs."
La Metz est dite ? (2)
13/04 07:23
Si l'ASSE n'est pas au mieux, le FC Metz est encore bien plus mal en point(s), comme le souligne aujourd'hui Le Républicain Lorrain. Extraits.
"Le groupe est touché, proche de l'abattement et de la résignation. Une partie de l'effectif n'adhère plus aux méthodes de Frédéric Antonetti, dont la personnalité et le management peuvent s'avérer usants sur la durée. "A force d'appuyer sur les mêmes ressorts, à un moment donné, ça ne marche plus. Une distance s'est créée entre le coach et certains joueurs." glisse un familier du vestiaire.
Entre Antonetti et le staff médical, le lien de confiance est rompu. Le coach peste, s'agace des nombreuses blessures et rechutes subies par ses joueurs ses derniers mois. Un point de non-retour semble avoir été atteint. Autre source de crispation en interne : le recrutement. Antonetti en veut à la cellule concernée pour les travaux réalisés cet été et le mercato hivernal illustre bien les choses : l'entraîneur s'est séparé d'éléments arrivés à l'intersaison (Alakouck, Bassi) et s'est tourné vers ses propres réseaux pour renforcer l'effectif (Amadou, Kana-Biyik, Mafouta).
Les relations sont souvent très tendues entre Frédéric Antonetti et Philippe Gaillot, directeur général adjoint. Cette tension se propage jusqu'au centre de formation, où certaines piques adressées par le Corse en conférence de presse ont été mal perçues. D'un côté, le coach est insatisfait du niveau de la pépinière messine. De l'autre, il lui est reproché un manque de considération et de communication. Le départ annoncé du directeur du centre, Sébastoen Muet, en direction de Monaco, traduit là aussi un certain malaise."
C'est l'insoutenable légèreté de l'être
13/04 06:59
Comme le rapporte le site Girondins4ever, François Grenet a parlé sur Girondinside TV des meilleurs joueurs qu'il a côtoyés à Bordeaux.
"Zinédine Zidane en premier, évidemment. Et l’autre, c’est Pascal Feindouno. Lui, s’il s’était foutu un peu plus de plomb dans sa cervelle, ce branleur, il aurait dû jouer dans les plus grands clubs d’Europe et il aurait fait rêver tout le monde. Non seulement il avait un talent pur, une facilité au niveau de l’aisance technique, mais en plus, physiquement, c’était un monstre. Il avait une caisse incroyable, il avait tout. Mais le talent ne suffit pas. Les plus grands joueurs n’ont pas fait ces immenses carrières qu’avec le talent. Il y a toujours beaucoup de travail, de persévérance.
Mais Pascal, pfff… Il faisait des choses… Et toujours avec la banane, ce branleur, en plus. On faisait les tests en début de saison, il finissait toujours premier. C’est l’insoutenable légèreté de l’être, c’est lui, quelque part (rires). C’est un mec en or. Il est drôle, c’est un phénomène. Mais il a eu la carrière qu’il devait avoir, c’est un électron libre, un branleur. C’est lui, c’est comme ça. J’aurais eu ses qualités techniques et son aisance, j’aurais eu 150 sélections putain… (rires)"
Cela fait du bien de prendre une bonne raclée
13/04 06:43
Membre de l'équipe stéphanoise qui avait perdu 7-0 contre Bordeaux le 31 mars 1984, Eric Bellus évoque celle qui a perdu 6-2 à Lorient dans Le Progrès du jour. Extraits.
"Contrairement à nous qui étions menés 5-0 après 28 minutes, les joueurs de Pascal Dupraz avaient deux buts d’avance à Lorient. C’est perturbant et ça pose question. Y’a-t-il eu un relâchement, un manque de volonté de garder ce score ? Les joueurs doivent avoir suffisamment de fierté pour se remettre en question et faire le maximum afin de sauver le club. Parfois, cela fait du bien de prendre une bonne raclée. Ça pique les ego. Si les joueurs ne veulent pas se battre comme des chiens les uns pour les autres, ça devient très compliqué. L’esprit d’équipe est primordial. Aux joueurs de montrer que c’était juste un accident.
L’objectif, c’est de passer devant Clermont. Les matchs face aux mal-classés sont hyper importants. C’est contre Brest, Bordeaux et Reims qu’il faudra faire la différence et prendre, au moins, sept points. Après, le reste c’est du bonus. Il va falloir voir comment va réagir le public après ce 6-2. Est-ce qu’il va continuer à appuyer ? Je pense que oui. Les supporters ont toujours été à la hauteur. Il va falloir que les garçons soient solides dans la tête et surtout qu’ils fassent abstraction de la pression. Il faut transformer la peur en énergie positive, rentrer sur le terrain comme si on repartait de zéro et que l’on recommençait un championnat."
Angers se sent moins en danger
12/04 22:32
"À un moment, on a vraiment été dans le dur. On a repris du poil de la bête, on avance tous dans la même direction. Depuis trois journées, notre pécule de points d’avance sur Saint-Etienne a doublé, on a désormais six points d'avance sur le barragiste" déclare le défenseur angevin Romain Thomas dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. "La victoire contre Brest a clairement fait du bien aux têtes de tout le monde, elle était primordiale, il fallait arrêter cette spirale pénible." On espère entendre la même phrase dans la bouche des joueurs stéphanois ce samedi peu avant 19h00...
Matuidi et Payet anciens Verts et Bleus mais pas Marine
12/04 22:17
A l'instar de la pentathlète stéphanoise Elodie Clouvel et du cycliste altiligérien Romain Bardet, Blaise Matuidi et Dimitri Payet font partie des nombreux sportifs qui ont signé aujourd'hui dans Le Parisien une tribune appelant à voter pour l'actuel président de la République le 24 avril.
Clermont est clairement mal barré
12/04 21:27
Trois semaines après avoir perdu son meilleur défenseur jusqu'à la fin de saison (Cédric Houtondji, bras cassé), le Clermont Foot devra se passer aussi de son meilleur passeur (Jason Berthomier, pubalgie) selon La Montagne.
Restant sur une série de 5 défaites consécutives, les Auvergnats devancent pour l'instant le barragiste stéphanois d'un tout petit point mais s'apprêtent à jouer deux matches à l'extérieur contre des concurrents directs (Metz et Lorient).
La Metz est dite ?
12/04 19:51
Défenseur d'une équipe lanterne rouge grenat restant sur 10 matches sans victoire (6 défaites et 4 nuls) et comptant seulement 23 points soit 4 de moins que le barragiste stéphanois à 7 journées de la fin du championnat, Kiki Kouyaté s'exprime dans la dernière édition du Républicain Lorrain.
"Comme à Saint-Etienne le mois dernier, Bordeaux avait plus envie que nous. On a du mal à digérer cette défaite. Cela fait mal, c'est la honte pour nous. Peut-être que des joueurs, dans leur tête, sont déjà descendus. Beaucoup ont ça dans leur tête. Faut-il écarter ceux qui n'y croient plus ? Cela se voit sur le terrain, on n'est pas là. Saint-Etienne était présent, Bordeaux était là. Mais nous, on est à la rue. Il faut qu'on se bouge. On a trois matches importants qui arrivent : on reçoit Clermont, on va à Lorient et on reçoit Brest. Il faut les gagner, c'est ça l'objectif."
Di Piazza entraînera
12/04 17:54
Passé par le centre de formation de l'ASSE (de 2009 à 2012) et jouant sa deuxième saison à Montceau-les-Mines (N3), l'ancien milieu offensif stéphanois Hugo Di Piazza (25 ans) s'est confié hier au Journal de Saône-et-Loire. Extraits.
"Montceau je m'y plais bien. C'est la même mentalité qu'à Saint-Etienne en plus petit. Cela ne me dérange pas vu que je suis assez casanier. Je jouerai tant que je pourrai, j'ai encore quelques saisons devant moi. J'aimerais bien rejouer à un niveau supérieur mais je ne quitterai Montceau que pour un club de N1 ou de N2. Depuis cette année je prépare mes brevets pour devenir entraîneur. Actuellement je prépare le BMF (Brevet Moniteur de Football) au Creps de Dijon. C'est le premier des cinq diplômes nécessaires pour devenir entraîneur professionnel. Il y a beaucoup de travail à faire en dehors du terrain."
Noah et Ayman contre l'Espagne
12/04 17:21
Sélectionneur de l'équipe de France U17, José Alcocer a convoqué deux joueurs stéphanois pour une double confrontation contre l'Espagne à Madrid les 19 et 21 avril : le gardien Noah Raveyre et l'attaquant Ayman Aiki.
Wattellier, malheureux présage ?
12/04 13:21
Assisté de Karim Abed et Christian Guillard à la vidéo, Eric Wattellier sera au sifflet ce samedi dès 17H00 à Geoffroy-Guichard. Ce chirurgien-dentiste de 34 ans a déjà arbitré un match entre les Verts et les Brestois mais c'était à Francis-Le Blé. Malgé les réductions du score par Denis Bouanga et Loïs Diony, Sainté s'était incliné 3-2. Ce soir-là, le 16 février 2020, Stéphane Ruffier ne savait pas encore qu'il disputait le dernier match de sa carrière...
Les U17 à Montaigu
12/04 07:21
Détrônés ce week-end par l'AC Ajaccio, les U17 ne joueront plus en championnat avant leur derby du 27 avril contre Andrézieux car les Verts vont participer ce week-end pascal (pas Dupraz) au prestigieux tournoi de Montaigu, 9 ans après leur dernière virée en Vendée.
Le vendredi 15 avril, les protégés de Patrick Moreau joueront leur premier match de poule contre Rennes aux Treize-Septiers à 18h30. Le lendemain, ils défieront une sélection vendéenne à Saint-Hilaire-de-Loulay (à 10h30) avant d'affronter Toulouse à Saint-Georges-de-Montaigu (16h30). Les phases finales se dérouleront les dimanche 17 et lundi 18 avril, sachant que Marseille, Nantes, Lens et Bordeaux s'affronteront dans la deuxième poule.
Pour rappel, l'ASSE a déjà remporté ce tournoi à trois reprises (1997, 1998 et 2009).
A l'extérieur, Brest n'est pas en reste
12/04 07:00
Attendu ce samedi à 17h00 dans le Chaudron, le Stade Brestois est la 7e meilleure équipe de l'élite à l'extérieur cette saison. A l'instar de l'OM, dernière équipe à être venue à GG, la formation de Ronaël Pierre-Gabriel et Franck Honorat fait partie des rares clubs ayant pris davantage de points hors de leurs bases (20) qu'à la maison (19).
Loin de Francis Le Blé, les Finistériens se sont imposés 5 fois (à Lorient, Bordeaux, Marseille, Lens et à Montpellier) et ont décroché 5 matches nuls (en banlieue, à Clermont, Lille, Troyes et Reims). On aura noté que 5 de leurs 6 défaites ont été concédées contre des équipes de haut de tableau (Strasbourg, Nantes, Nice, QSG et Rennes).
Angers est la seule équipe de la seconde moitié de tableau à avoir gagné à la maison contre les protégés de Michel Der Zakarian. L'ASSE sera la deuxième ?
Moulin a gaffé
12/04 06:34
Ayant disputé avant-hier contre Monaco son premier match de L1 sous le maillot troyen, Jessy Moulin se fait tacler par L'Est-Eclair.
"Comment ne pas penser que Gauthier Gallon n'aurait pas pris ce coup franc ? Jessy Moulin n'a pas fait oublier le gardien numéro un des Troyens. Il a gaffé en se laissant abuser sur le coup franc de Caio Henrique en anticipant du mauvais côté. Un pas sur la droite qui l'empêche de pousser suffisamment sur les appuis au moment de se détendre vers la gauche. Résultat, le ballon, brossé, vient se loger plein axe sous la barre. Un but évitable à ce niveau. Par contre Jessy Moulin ne peut absolument rien sur le second but victorieux des Monégasques."
Krasso croit au maintien
11/04 19:30
Si grâce à son indéniable apport (déjà 4 buts et 2 passes décisives), l'AC Ajaccio (2e avec 4 points d'avance sur le 3e) a désormais plus de chances de monter en L1 que l'ASSE n'en a de rester dans l'élite, Jean-Philippe Krasso croit au maintien des Verts, comme il l'a indiqué ce soir sur France Bleu RCFM. Extraits.
"Individuellement, je me suis vite fondu au groupe jaccien. L'équipe se connait déjà, et du coup quand j'arrive, c'est facile, j'ai juste à amener ma pièce à l'édifice. Dans la vie en général, j'arrive à bien me sociabiliser, à bien communiquer avec la personne que j'ai en face de moi. J'essaie de varier. Mon jeu est entre la profondeur et le décrochage. J'aime beaucoup décrocher, pour aussi servir mes partenaires.
Si on monte et que les Verts descendent, comment je réagirai ? Au début je ferai la fête avec l'ACA, et bien sûr, si Saint-Etienne descend, je serai malheureux. J'ai aussi des très bons amis là-bas. Je ne leur souhaite pas et je pense qu'il vont se maintenir, parce que je connais leurs capacités. Si l'opportunité de rester à Ajaccio, qui plus est en Ligue 1 se présente ? Je n'ai pas eu d'offre sur le papier. Je pense que ce sera vu en été, pour l'instant je me concentre sur le terrain."
Les U17 ont perdu la tête
11/04 19:15
Les U17, qui avaient perdu la veille à domicile contre l'OM et le cours du jeu, ont perdu la tête du championnat hier. Mais l'AC Ajaccio, qui n'a pu faire mieux qu'un match nul à Toulon pourtant lanterne rouge au coup d'envoi, ne devance l'ASSE qu'à la faveur de sa victoire (3-1) au match aller, les deux équipes comptant le même nombre de points (47) et la même différence de buts (+20).
Si les Verts ont un match en retard à Andrézieux (le 27 avril), les Corses auront joué entretemps leurs deux matches en retard à domicile, contre Lyon La Duchère le 17 avril et contre Andrézieux le 20 avril. Quatre jours après son derby ligérien, l'ASSE recevra l'ACA lors du match au sommet de l'avant-dernière journée le 1er mai.
Si les Corses sont en ballotage favorable pour finir premiers, les Stéphanois pourraient malgré tout se qualifier pour les plays-offs. Pour rappel, la phase finale réunit les clubs classés premiers de chacun des six groupes mais aussi les deux meilleurs deuxièmes issus des six groupes, les clubs classés deuxièmes étant départagés selon les points obtenus pour chacun d’eux dans les rencontres aller et retour qui les ont opposés aux cinq autres clubs les mieux classés de leur groupe.