Charléty enfin plein !

01/03 14:35

"La rencontre Paris FC – Saint-Etienne se jouera à guichets fermés ce samedi (15h). Les 18 963 places disponibles du Stade ont été acquises" a annoncé aujourd'hui le club parisien sur son site internet. Conscient qu'une grande majorité des spectateurs sera pour les Verts, le milieu offensif Julien Lopez a commis un joli lapsus hier en conférence de presse. "Il faut aller gagner ce week-end à Saint-Etienne."

Auxerre tire (un peu) la langue

01/03 14:20

Prochain adversaire des Verts à GG (samedi 9 mars, 15h), l'AJ Auxerre de Christophe Pélissier (3 victoires et 4 nuls en 2024) qui reçoit Valenciennes demain se veut prudent sur l'issue de la saison :

"Il faut déjà penser à passer le match de Valenciennes. On a trois matches avant la dernière trêve internationale, ce qui lance habituellement le sprint final. Si on arrive à gagner ce week-end, on serait sur deux points de moyenne. Ce serait vraiment un objectif pour une équipe qui veut être dans les deux premières places. J’ai lu qu’Auxerre était en Ligue 1 à 98%, c’est une très grosse bêtise. J’ai parlé de mon expérience avec Amiens. A six matches de la fin, on va à Brest avec huit points de retard sur eux. A la fin, on a fini devant eux. Pour moi, on sera en Ligue 1 le jour où on ne pourra plus être rattrapé par le troisième. Même si on a notre destin entre nos mains, il faut rester calme et serein, ça peut aller vite dans un sens ou dans l’autre. Mensah est forfait. Il doit repasser une IRM lundi pour voir la durée de son indisponibilité. On y va semaine après semaine avec lui, il fait un travail de renforcement. Colin Dagba est toujours en reprise, tout comme N’Gatta. On a eu beaucoup de pépins cette semaine, inhérents aux matches et au moment de la saison. Flo Ayé se plaint des adducteurs, Raveloson de son genou. Ado Onaiwu a aussi des problèmes au genou. Il y a beaucoup de pépins et ça nécessite de l’individualisation. Cela complique parce qu’on n’a jamais l’effectif au complet sur le terrain. Espérons qu’on puisse retrouver tout le monde sur le sprint final."

Blessé au genou, le latéral gauche Mensah, titulaire à 18 reprises cette saison devrait rater le match dans le Chaudron. Pour les autres latéraux forfaits demain contre Valenciennes (Dagba - 4 titularisations cette saison et N'Gatta - 1 titularisation), pas de certitude pour l'instant quant à leur présence dans 8 jours à GG.

Koré s'échine

01/03 09:50

Auteur d'une solide prestation dans le Chaudron au match aller et vivant toujours chez sa mère Cité Jardin à Cachan, le capitaine de l'équipe de France U20 Yoan Koré s'est confié au Parisien avant le match retour programmé demain après-midi à Charléty. Extraits.

"L'été 2021, je sortais d’une saison en U17, j’avais commencé ma prépa avec la N3, j’ai juste fait un entraînement avec la L2 et je me suis retrouvé sur le banc en L2. Titularisé pour le 32e de finale de Coupe de France contre Lyon, j’avais tout juste 17 ans. J’ai affronté des gars que je prenais à la PlayStation quelques mois avant. Sur mon côté, il y avait Emerson et Moussa Dembélé. Ce match, ça a été du pur plaisir même s’il n’a duré qu’une mi-temps [le match a été définitivement arrêté à la mi-temps suite à de violents incidents en tribune, ndp2].

J’ai réussi à grandir en peu de temps. Ce qui change aussi, c’est que cette saison je joue davantage dans l’axe, mon vrai poste, qu’en latéral droit. En défense centrale, si on se loupe, ça fait but… Mais j’arrive à un moment où je n’ai plus peur. J’ai moins d’appréhension, je sens qu’on compte sur moi. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de coachs qui osent mettre un jeune de 18 ans dans l’axe de la défense pour les gros matchs, comme à Saint-Étienne, alors qu’on était en position délicate au classement.

Je suis arrivé au Paris FC à l’âge de 11 ans en provenance du CO Cachan. Je n’étais pas le plus avancé de ma génération, pas le plus attendu. Dès les U13, beaucoup étaient déjà suivis par les clubs pros, moi pas forcément. Mais rester à Paris à côté de chez moi a été le meilleur choix. Je suis d’ici, j’ai réussi à gravir les échelons avec mon club formateur, il n’y a rien de mieux. Mon exemple peut donner de l’espoir et de l’envie. Ça montre que rien n’est impossible. 

Je n’oublie pas d’où je viens. Je retourne souvent dans mon club du CO Cachan, je leur ramène des maillots du Paris FC. Même si je gagne de l’argent, que ma situation n’est pas ordinaire, j’ai le train de vie classique de quelqu’un de mon âge : les séries, la Play, m’acheter des vêtements… J’ai gardé mes potes d’enfance mais je viens quand même d’un endroit où il faut faire parfois le tri dans ses connaissances. Pour avancer droit, il faut savoir avec qui tu marches

Mes proches, jessaye de les rendre fiers. Dans les tribunes, ils sont toujours beaucoup de ma ville et de mon quartier à venir m’encourager. C’est pour ça que lorsque j’égalise à la 94e minute contre Pau, devant ma mère et tous mes potes, l’émotion était très forte, certainement la plus belle de ma jeune carrière…"

Pourvu que demain il en chie, Koré !

 

 

Un mauvais quart d'heure

01/03 08:04

Selon une stat d'Opta relayée par Le Progrès, l'ASSE a encaissé 39% de ses buts dans le dernier quart d'heure (9/23), la proportion la plus élevée du championnat de L2.

Le Puy a fait vibrer Geoffroy-Guichard

01/03 07:42

La Pravda rapporte les propos tenus hier soir par Stéphane Dief, entraîneur du Puy (N2) défait 3-1 hier soir en quart de finale Coupe de France au terme d'un très bon match.

"Des regrets ? Un peu, mais surtout énormément de fierté parce qu’on a fait ce qu’on voulait. Après, c’est Rennes qui a été clinique. On le savait que pour envisager quelque chose, il fallait qu’eux soient moins bien et nous excellents. On a fait vibrer Geoffroy-Guichard. C’était un objectif. À la mitemps, j’ai dit aux joueurs de ne pas lâcher parce que ce public ne nous lâcherait pas. On l’a bien vu quand on revient au score. On est tombés avec nos armes. On voulait jouer, on l’a fait. On voulait emmener le public et c’est allé au-delà de nos espérances. Il y a beaucoup de compétences à notre niveau en France et si on a pu être un porte-parole de ce foot, j’en suis ravi."

L'Eveil de la Haute-Loire a receuilli de son côté les propos tenus par le meneur de jeu ponot Jules Meyer (ex-U15 de l'ASSE).

"On a fait une belle prestation. On a réussi à marquer contre une équipe du haut de tableau de Ligue 1, alors on est très fier de nous et de notre parcours. Merci aux gens d’être venus, car ce n’est pas facile de remplir un stade comme ça. Il y a beaucoup de fierté et plein d’étoiles dans les yeux. Le retour en championnat ne va pas être trop dur car on a un objectif à aller chercher. On est à un point du premier, on est en train de creuser l’écart sur les poursuivants, alors on a un nouveau but à atteindre."

31 413 spectateurs ont assisté à cette rencontre. Un seul match a attiré plus de monde cette saison dans le Chaudron. Le 4 novembre, 35 563 spectateurs avaient assisté à la défaite des Verts face au Paris FC. Nul doute que ce record sera battu vu l'exaltante fin de saison qui attend l'ASSE !

Revoir un Printant

29/02 22:25

La Provence a mis aujourd'hui à l'honneur l'ancien entraîneur stéphanois Ghislain Printant (62 ans), qui fait aujourd'hui le bonheur de Marseille. Extraits.

"Quand Jean-Louis Gasset a accepté le défi marseillais, il a tout naturellement pris son fidèle adjoint avec lui. Comme c'est le cas depuis 2017 et leur aventure commune avec le MHSC (suivront les Verts, les Girondins, les Eléphants et donc les Phocéens). Estampillé Montpellier, l'ex-portier à la modeste carrière amateur a rejoint le club héraultais en tant qu'entraîneur des gardiens dans le staff de Henryk Kasperczak puis dans celui d'Aimé Jacquet. En tant qu'assistant, il a aussi bossé pour Robert Nouzaret.

C'est en Corse qu'il a connu sa première expérience professionnelle dans la peau d'un numéro 1, quelques années avant son passage chez les Verts. "J'en garde un souvenir très positif car si on se sauve en L1 et qu'on fait une finale de Coupe de la Ligue, on le doit en grande partie à Ghislain" rembobine François Modesto. "On était avant-derniers quand il a remplacé Makélélé. Il a été droit, nous a mis devant nos responsabilités d'hommes et ça nous a touchés au plus profond. Comme Gasset, c'est un mec qui sait rentrer dans la tête des joueurs. On a fait un miracle grâce à ses qualités psychologiques et tactiques. On a terminé 12e et on a éliminé de grosses équipes comme Monaco pour arriver en finale. La causerie d'avant-match de Ghislain contre l'ASM est l'une des meilleures que j'ai entendues dans ma carrière. On en avait presque les larmes aux yeux."

Aujourd'hui directeur technique de Monza, l'ancien défenseur se rémémore un renversant succès de Bastia contre le PSG. "On était mené 2-0 mais on a fini par gagner 4-2. Blanc était l'entraîneur de Paris et Gasset son adjoint. Avant le match, un journaliste de Canal a demandé notre compo à Ghislain et est allé la donner à Blanc. Ghislain a vu le manège et a modifié son 11 de départ. On a gagné alors qu'on avait des absents, nos attaquants étaient à la CAN. On a joué avec Romaric et Maboulou devant ! Le côté humain de Ghislain est très important mais il n'y a pas que ça. J'insiste sur l'aspect tactique car il était très bon. On jouait parfois à 3 derrière, parfois à 4, en fonction des matches on allait presser très haut. Tactiquement, c'était travaillé. Il était tout le temps dans l'échange. On se régalait et on allait s'entraîner avec le sourire."

Auteur du but égalisateur des Bastiais à GG à la 95e minute sur un hors jeu flagrant le 28 septembre 2013, celui que Galette avaient vainement tenter de recruter à Sainté nous permet de revoir sous un angle nouveau un entraîneur dénigré à Sainté par la Pravda comme par Roro, qui l'avait viré après une victoire à Nîmes suivi d'un nul méritoire contre Wolfsbourg.

Alemdar revient sur son cauchemar à Geoffroy-Guichard

29/02 21:19

L'international turc n'avait jamais encaissé autant de buts en un match depuis la début de sa carrière... En conférence de presse, le gardien troyen Dogan Alemdar est revenu ce jeudi sur la manita qu'il a prise à Geoffroy le 12 février.

"Après le match, j’étais énervé. Ce n’était pas facile de perdre 5-0 contre Saint-Etienne. J’étais très déçu, très énervé parce que pour le gardien, prendre 5 buts ce n’est pas facile d’en parler… En plus, après le match, j’ai regardé les vidéos, on n’était pas bien, moi aussi je n’ai pas arrêté quelques ballons..."

On a sorti Mayi, on sort Mayilla (2)

29/02 20:37

La signature du premier contrat professionnel d'Enzo Mayilla donne l'occasion de revenir sur les propos de Marc Leclere, responsable de l'école de foot du RC Joinville, le club francilien d'où est issu le futur Vert, lors de la signature de l'ANS (Accord de Non Sollicitation), le 2 décembre 2017. Enzo Mayilla avait alors 11 ans : "Enzo est au club depuis 2 ans. Il était supervisé par d'autres clubs de L1. C'est un attaquant axial, athlétique, grand, fin, très souple. Sa croissance n'est sûrement pas encore terminée. Il a un vrai sens du but. Même s'il a de grosses qualités athlétiques, il a une bonne technique générale. Ce n'est pas seulement un attaquant auquel on jette le ballon loin devant. Il aime aussi demander le ballon dans les pieds, il est capable de s'intégrer entre les lignes et se retourner pour percuter ou relayer. Evidemment, il a encore des progrès à faire, notamment dans les techniques d'appuis et aussi dans l'approche mentale propre à son poste. En résumé, c'est un joueur à fort potentiel avec une grosse marge de progression. Il a des lacunes à gommer, mais c'est bien là le but de la formation."

Achouri passeur puis buteur

29/02 20:36

Ancien attaquant des U17 de l'ASSE, Elias Achouri (25 ans) est devenu un joueur incontournable au Danemark, qu'il a rejoint en septembre 2022 après 7 ans passés au Portugal. Auteur de sa 10e passe décisive et de son 5e pion de la saison toutes compétitions confondues, l'international tunisien a été en début de semaine le principal artisan de la victoire (2-0) du FC Copenhague contre Nordsjaellen.

 

 

 

Charléty enfin plein ? (2)

29/02 19:58

Comme le rappelle la Pravda, le stade Charléty va connaître son record d'affluence samedi après-midi à l'occasion de la venue des Verts.

"Dotée d'une capacité de 18 933 places pour les matches de Ligue 2 du PFC cette saison, l'enceinte sportive du XIIIe arrondissement parisien avait déjà accueilli 13 472 spectateurs lors de la venue des Girondins de Bordeaux, le 25 novembre dernier (1-2). Cette belle affluence n'avait toutefois pas permis au PFC de battre son record en la matière. Il s'élève à 14 653 spectateurs et date du 21 mai 2019, lorsque le club francilien avait reçu le RC Lens, en pré-barrage pour l'accession en Ligue 1 (1-1, 4-5 aux t.a.b.).

Ce record va, cette fois-ci, tomber. Alors que le club francilien, actuel 12e de Ligue 2, tourne habituellement à une moyenne de 4 500 à 5 000 spectateurs pour ses matches à domicile, 17 800 billets ont déjà été bloqués et édités pour le match de samedi, comptant pour la 27e journée de Ligue 2. Il n'en reste plus que 500 à écouler après du grand public."

C’est maintenant que ça se joue

29/02 19:47

Ayant battu Angers en début de semaine et s'apprêtant à défier dans le Béarn des Palois requinqués par leur récent succès à Grenoble, l'entraîneur de Caen (6e à 2 longueurs de l'ASSE) Nicolas Seube a cité Sainté aujourd'hui en conférence de presse. Extraits.

"C’est gratifiant de battre le deuxième, encore faut-il regarder le contexte dans lequel il était. Ils viennent de perdre cinq matches sur sept... Je pense que le match de Pau va être bien plus difficile que ce qu’on a vécu lundi. On s’est donné le droit de rêver encore. Maintenant, il faut montrer de la régularité. Il reste 1/3 du championnat. C’est la dernière ligne droite, c’est maintenant que ça se joue. Les équipes les plus régulières, les plus fortes mentalement, qui seront capables d’appréhender au mieux les contextes, seront devant à la fin.

Tous les matches seront difficiles. Il faudra être régulier. Cela passe par des performances tous les week-ends. On part de tellement loin qu’on n’a pas trop de jokers en mains. Si on avait ce rythme depuis le début, on serait devant Angers. Il faut louer la capacité des joueurs à avoir redressé sérieusement la barre. On est à plus de deux points de moyenne par match, c’est quand même énormissime. C’est quand il faut confirmer que ça devient de plus en plus difficile. Cela demande une telle énergie, mentalement et physiquement…

Pour certains, Laval et Saint-Etienne, la deuxième place s’est réouverte. Pour nous, on est encore à sept points, c’est encore loin. Ce qui est intéressant, c’est qu’on est là, à portée de fusil du cinquième, du quatrième et du troisième Quand on est à ce niveau-là de jeu, de concentration et d’exigence, on est capable de battre tout le monde. J’en suis intimement convaincu. On sait qu’à l’extérieur, il faut qu’on soit ultra-exigeant et ultra-concentré. On n’a pas le droit à l’erreur, il faut qu’on soit à 100 % à chaque fois. Auxerre, même quand ils sont moins bien, ils accrochent des points. Nous, on n’en est pas encore capable."

Pour rappel, le Stade Malherbe défiera l'ogre stéphanois dans 2 mois à Geoffroy lors de la 35e journée.

On a sorti Mayi, on sort Mayilla

29/02 18:37

Ayant évolué comme Ayman Aiki et Meïvyn Agesilas  au RC Joinville (Val-de-Marne) sous les ordres du scout francilien de l'ASSE Hamdane Karouni, Enzo Mayilla a signé son premier contrat professionnel à Sainté jusqu'en 2027 comme l'indique le site off.

Agé de 18 ans, le longiligne néo-pro s'est illustré dans les catégories U17 et U19 avant de faire plusieurs apparitions très remarquées en réserve où il a déjà inscrit 5 buts dont 1 dimanche dernier lors de la belle victoire contre les vilains.

Enzo Mayilla : "Je suis très fier de signer ce premier contrat professionnel, mais je sais que ce n'est qu'une étape. Je remercie mes coachs pour leur soutien et j'ai également une pensée pour ma famille."

Loïc Perrin : "Enzo est un joueur qui a pris conscience de ses nombreuses qualités ces derniers mois, progressant très rapidement. Il a un profil atypique, avec de la taille, de la vitesse et de la précision devant le but. Comme pour Meïvyn Agesilas, ce contrat professionnel représente pour lui une première étape. Il ne faut pas s'y arrêter, ce n'est que le début."

Cardona imité Cavani !

29/02 17:41

Auteur de 3 buts lors de ses deux dernières sorties, Irvin Cardona en a dit plus en conférence de presse aujourd'hui sur sa spéciale, et sur sa relation avec Dall’Oglio :

« Jouer cette zone au premier poteau peut être un atout pour moi. C’est une zone que j’aime bien attaquer. Pour  l’anecdote à Monaco je suivais beaucoup ce que faisait Cavani qui aime bien faire ça et je m’en suis inspiré. Mon jeu de tête, je l’ai travaillé, ce n’était pas un point fort. Aujourd’hui c’est dans mes qualités, mais c’est du travail. C’est un timing entre le tireur, l’appel, le déplacement (…)

J’ai perdu des ballons que je n’aurais pas dû perdre. On en a encore parlé aujourd’hui. C’est un axe sur lequel je dois progresser (…)

C’est un coach qui m’aimait bien quand j’étais à Brest, avec qui j’avais des facilités à échanger. Ca fait du bien de sentir cette confiance, de pouvoir échanger. C’est important. C’est un coach qui ne lâche pas, qui trouve toujours les mots pour rebooster les joueurs. C’est important dans les périodes difficiles. C’est un grand plus pour le groupe. Il garde tout le monde concerné quoi qu’il arrive. C’est un travail quotidien. Il veut qu’on montre tous les jours à l’entrainement qu’on peut jouer le week-end.

L’objectif, tout le monde le connaît, c’est de remonter en Ligue 1. On ne regarde que nous. Les cartes sont dans nos mains. La priorité c’est nous. »

 

Govou ne déteste pas Sainté

29/02 17:27

Né au Puy, l'ancien vilain Sidney Govou sera à fond derrière le club partenaire de l'ASSE ce soir dans le Chaudron, comme il l'explique dans Le Parisien. Extraits.

"Moi, j’étais à Brives-Charensac, qui était un très bon club pour les jeunes. Le Puy, c’était le gros club de la grande ville. En jeunes, j’ai toujours joué dans la division la plus élevée de ma catégorie d’âge. Je suis parti au Puy en grande partie parce qu’ils étaient en U17 nationaux et que Brives-Charensac n’avait pas d’équipe de ce niveau. Je serai toujours un Ponot. Quand on a grandi quelque part jusqu’à 18 ans, ça marque et ça reste. J’y vais régulièrement, mes potes d’enfance sont toujours là-bas.

La suite logique, c’était Saint-Étienne, à moins d’une heure. À mon époque, tous les Ponots étaient supporters des Verts, de père en fils, et le grand-père avant eux. Aujourd’hui, avec l’émergence de Clermont, ça serait davantage partagé entre Clermont et Sainté. Mais Lyon, ça n’est pas une destination naturelle. Comment l'OL m'a soufflé à l'ASSE ? Bonne question… J’arrivais un peu sur le tard, à 17 ans. L’OL a été meilleur, plus rapide. Et puis, peut-être que je n’intéressais pas Saint-Étienne, comment savoir. Il y a d’autres facteurs aussi. Mon oncle a vécu longtemps à Lyon, je venais régulièrement en vacances chez lui. C’est un tout.

Si je suis dans la détestation de Sainté en tant qu'ancien Lyonnais ? Personnellement, non. Eux, un peu plus que moi… Le plus simple aurait été de jouer ce quart de finale à Rennes, qui aurait pris en charge le coût et partagé la recette. Mais il y a les gens qui ont suivi les Ponots depuis le début de leur épopée qu’il faut récompenser. Aussi, le choix de Sainté me paraît cohérent. Il faut voir combien il y aura de spectateurs. J’espère que le stade ne sera pas loin d’être plein. Le Puy aura fait une belle recette et les gens seront contents d’avoir vu un match près de chez eux.

Si ç’avait été Paris ou Lyon, ç’aurait été plein. Bon, Lyon, on n’aurait pas pu jouer là-bas. Rennes, je ne dis pas que ce n’est pas une belle affiche, mais ça ne fait pas déplacer les foules autant qu’on le voudrait. Ma présence à Geoffroy-Guichard ce jeudi soir ? Ça dépend si mon pote Phil m’a trouvé une place appropriée… Il y aura forcément des supporters stéphanois. Or, la bêtise étant humaine, il n’est pas question pour moi, par exemple, d’accompagner des potes en tribune populaire."

Briançon est entré dans la lésion

29/02 14:10

Ce week-end, les Verts devront faire sans leur capitaine à Paris. En conférence de presse, Olivier Dall'Oglio a en effet précisé qu'Antho Briançon, sorti à l'heure de jeu contre Annecy, souffrait d'une "petite lésion" aux adducteurs.

N'Guessan marque contre le Danemark

29/02 12:53

Djylian N'Guessan (photo Philippe Le Brech) a un doublé hier en Turquie lors de la victoire de l'équipe de France U16 contre le Danemark. Le prometteur avant-centre stéphanois a claqué cette saison 20 pions avec les Verts (14 avec les U17, 4 avec les U19 et 2 en Gambardella) et 6 avec les Bleuets ! Nul doute qu'il aura à coeur de faire encore tourner son compteur buts demain contre l'Espagne et lundi contre le Japon lors de ce tournoi UEFA...

Anto a choisi son camp

29/02 12:37

Frédéric Antonetti, qui avait joué  le 23 août 1985 à Sainté avec Le Puy un match de D2 resté dans les mémoires pour son exceptionnelle affluence (42 584 spectateurs) a aussi entraîné le Stade Rennais pendant quatre ans (de 2009 à 2013). Rendant à nouveau un bel hommage à un Chaudron qu'il avait fait vibrer il y a 20 ans la saison de la remontée verte, Anto a choisi son camp pour le quart de finale de ce soir, comme il l'explique dans L'Eveil de la Haute-Loire.

"J’ai passé deux années formidables au Puy-en-Velay. C’est une très belle ville qui gagne à être connue. On avait vécu une superbe saison, en 1985-1986, et je reconnais que l’ambiance était particulière. Je ne sais pas comment ils se débrouillaient ? mais ils arrivaient à faire rentrer 7 000 ou 8 000 personnes dans le stade Lafayette (rires)

Des coéquipiers m’ont marqué durant cette période. Il y avait forcément Carlos Acosta, qui était un personnage et une très bonne personne. Notre équipe était très équilibrée et complémentaire. Il y avait une bonne charnière centrale avec Hector Bargas. Nous avions aussi dans nos rangs de bons manieurs de ballons, je pense à Jean-Luc Lemonnier ou Jean-Jacques N’Domba.

Mon passage au Stade Rennais ? C’était un club bien constitué et un bon souvenir sur le plan professionnel. Je garde quand même un goût d’inachevé. Souvent, nous avons été proches de gagner un titre ou une qualification en Ligue des Champions, mais il a toujours manqué un petit quelque chose. [Anto avait notamment perdu en finale de Coupe de la Ligue contre Sainté, ndp2]. Ça continue de bien travailler, mais c’est le cas depuis que la famille Pinault est au club. C’est déjà un grand club français, mais il y a beaucoup de concurrence en France. Il faut du temps pour franchir le palier qui permettrait de jouer régulièrement le podium.

Le quart entre Le Puy et Rennes va se jouer à Geoffroy-Guichard, un stade que vous avez connu lors de mon passage à Saint-Étienne. Franchement, c’est quelque chose. J’estime que c’est une des plus belles ambiances de France et d’Europe ! Je crois que ce sera une belle fête du football régional. Les Ponots sont des supporters inconditionnels de l’ASSE, c’était incroyable pour eux de voir l’équipe de leur ville se frotter aux Verts, dans les années 1980. Il n’y a jamais eu de rivalité.

Je garde de bons souvenirs de ces deux clubs, mais ma préférence va au petit poucet pour cette rencontre. Normalement, une équipe de N2 face à un club de Ligue 1 qui a le vent en poupe, sur un très bon terrain, a peu de chances. Ça reste quand même la quand même la Coupe de France, ce sera donc une belle fête où tout deviendra possible."

 

Xhemo pense à nous

29/02 06:45

Le milieu de terrain ponot Renald Xhemo, qui va jouer ce soir dans un Chaudron où 30 000 spectateurs sont attendus, s'est confié en conférence de presse avant ce quart de finale de Coupe de France contre le Stade Rennais (diffusé ce soir sur beIN Sports 1). Extraits.

"Je ne pensais pas qu’on allait ramener autant de monde, c’est magnifique. Cela donne envie de jouer au foot devant autant de monde.  On va jouer en plus dans un stade mythique français. Je ne suis pas de la région à la base mais je connais toute l’histoire qu’il y a dans ce stade. Quand je pense à Saint-Étienne je pense toujours aux poteaux carrés alors que je n’étais même pas né. Tout le monde connait l’ambiance et les supporters de cette ville.  Ce n’est pas donné à tout le monde de jouer un quart de finale de Coupe de France, encore moins en tant que footballeur amateur. Même certains pros n’auront jamais cette chance là donc on va y croquer dedans et profiter de ces 90 minutes."

 

Bouhazama rejoint les Lions de l'Atlas

28/02 23:53

Après 10 années au SCO où il aura longtemps dirigé le centre de formation et entraîné la réserve avant d'assurer un intérim peu concluant à la tête de l'équipe première marqué par une causerie déplacée qui aura précipité sa chute, Abdel Bouhazama (55 ans) a quitté le club angevin le 17 avril dernier.

Le quotidien marocain Le Matin nous a appris ce mercredi que l'ex-coach des U19 stéphanois (de 2007 à 2013), finaliste malheureux de la Coupe Gambardella (en 2011 contre Monaco et en 2012 contre Nice), va intégrer dès le mois prochain le staff de Walid Regragui, sélectionneur des Lions de l'Atlas.

Un nouveau latéral gauche pour la réserve !

28/02 22:47

Comme l'avait fait Arnaud Demanche samedi au centre de Congrès de Sainté, un autre comique s'est mis aux Verts hier, toujours dans le cadre du sympathique festival ArkomiK. Humoriste, troubadour et chroniqueur sur France Inter, Djamil Le Shlag s'en effet produit à la salle Jean Dasté de Rive-de-Gier.

Dans une story postée aujourd'hui sur son compte instagram, on le voit chanter "allez les Verts" et poser aux côtés de Razik Nedder avec un maillot de l'ASSE portant le numéro 3 et floqué à son nom, offert par l'entraîneur de la très performante équipe réserve des Verts.

Raveyre, brillant, qualifie Milan

28/02 21:57

Mis au placard à l'ASSE dès l'automne 2022 pour avoir refusé de signer pro dans son club formateur, Noah Raveyre (18 ans) s'est engagé avec le Milan AC début juillet 2023. S'il n'a pas encore été convoqué en équipe première des Rossoneri (actuellement sur le podium de la Série A derrière l'Inter et la Juve), le gardien de l'équipe de France U19 a joué une douzaine de matches avec la réserve et maîtrise déjà très bien la langue de Giovanni Bia, comme l'atteste cette vidéo :

 

Le natif du Puy-en-Velay s'illustre également sur la scène européenne. Après avoir battu 3-2 le QSG le 6 novembre, il a été héroïque aujourd'hui en Youth League contre Braga. Après avoir réussi 8 arrêts dans le temps réglementaire, l'ex-champion d'Europe U17 a arrêté 2 tirs au but dans la séance fatale aux Portugais. Celui qui n'aura joué qu'1 match en équipe première avec les Verts (lors de la déroute 0-6 à GG contre le HAC) affrontera dans 2 semaines le Real Madrid en quart de finale.

Pas mauvais ce Maupay !

28/02 20:44

S'il s'est incliné 4-2 avant-hier sur le terrain du West Ham de Kurt Zouma (lui aussi titulaire), Neal Maupay (Brentford) a profité de ce match de clôture de la 26e journée de Premier League pour marquer le 33e but de sa carrière en Premier League (son 6e de la saison).

Pour rappel, le natif de Versailles n'a claqué que 7 pions en Ligue 1 : 6 pour Nice et 1 seul pour Sainté, le 9 avril 2016 contre Troyes à Geoffroy. Sur un corner de Valentin Eysseric, il avait trompé un certain Matthieu Dreyer pour délivrer les Verts à l'entame du dernier quart d'heure.

 

Angers a plongé

28/02 19:11

Si les Verts ambitionnent désormais ouvertement de jouer la montée directe, c'est qu'ils ont rattrapé en 3 journées 9 des 14 points d'écart qui les séparaient du SCO juste avant la manita contre Troyes. Une édifiante infographie publiée aujourd'hui par Le Courrier de l'Ouest montre à quel point Angers a plongé depuis la trêve hivernale. Pourvu que ça dure !

 

Douze finales pour le Graal

28/02 17:46

Avec 41pts en 26 matchs, les Verts viennent de grimper à la 4ème place et il n'est plus interdit de rêver de la 2ème place (Angers est à 5pts).

Alors qu’il reste 12 matchs à jouer et donc 36pts à distribuer, que nous dit la dernière décennie sur le nombre de points nécessaires pour décrocher cette fameuse 2nde place ?

Sur les 10 derniers championnat étant allés à leur terme (donc hors saison 2020 covidée), en moyenne le second du championnat a récolté 70,2pts. Concrètement atteindre cette barre des 70pts suppose qu’on marque 29pts en 12 matchs soit une moyenne de 2,4pts par match. 29pts cela correspond à 9 victoires, 2 nuls et 1 défaite, soit un quasi sans faute qui paraît quasi inaccessible.

Pour se rassurer il faut noter que sur ces 10 derniers championnats, on compte 3 équipes ayant décroché cette 2nde place avec moins de 70pts : Troyes en 2017 (66pts), mais aussi le Gazélec en 2015 (65pts) et Lens en 2014 (65pts). Le record du plus faible nombre de points du 2nd au 21ème siècle est détenu par Ajaccio avec 64pts en 2011.

Moralité, dans des championnats plus serrés, où tout le monde peut battre tout le monde, ce qui semble être le cas cette saison, la 2nde place n’est plus si utopique puisque pour atteindre 65pts, il faudrait aux Verts marquer 24pts en 12 matchs, soit par exemple 7 victoires, 3 nuls et 2 défaites.

Pas utopique certes, mais pas si simple non plus. Allez les Verts, vous pouvez le faire !

Paris mollit !

28/02 10:57

12ème du championnat avant de recevoir les Verts le PFC de Stéphane Gili avance lentement depuis la reprise (1 victoire, 5 nuls, 1 défaite).

Le coach a pointé à l'issue de leur dernier nul à QRM (0-0) le poids des absences dans le domaine offensif : 

« Le point du nul est équitable. On ne concrétise pas comme souvent ces derniers temps. Il va falloir faire plus, on a un gros match qui nous attend la semaine prochaine.

Ce n'est pas suffisant. On stagne depuis le début d'année 2024. On n'est pas assez consistant dans le jeu. Il faut un peu plus offensivement. Il faut faire plus, on ne peut pas se contenter de ces résultats. Derrière, ça gagne. Il falloir vite se ressaisir. Sur l'effectif, il nous manque pas mal de joueurs, surtout offensivement. Il nous manque des joueurs majeurs, notre meilleur buteur notamment (ndp² : Pierre Yves Hamel, 8 buts). »

Hamel est supposé reprendre l’entraînement collectif cette semaine.

 

Charléty enfin plein ?

28/02 08:55

Lors de leurs précédents passages à Charléty, les Verts avaient attiré 8 057 spectateurs ( victoire 3-2 en Coupe de France en 2020) et 10 727 spectateurs (succès 4-2 en L2 en avril dernier). L'enceinte parisienne devrait cette fois faire le plein samedi après-midi selon la Pravda du jour. Extraits.

"Il faudra arriver tôt samedi aux abords du stade Charléty pour Paris FC-Saint-Étienne (15 heures). Le match a donné lieu à une forte demande sur le site du club parisien. L'enceinte de la porte de Gentilly (XIIIe) devrait afficher complet (entre 18 000 et 19 000), en raison de la popularité des Verts et de la gratuité des places décidée par le PFC depuis l'automne.

Classé en risque moyen (2 sur 5) lundi lors de la réunion de sécurité, ce match verra le déploiement de deux à trois unités de forces mobiles (environ 150 CRS), auxquelles il faut ajouter 140 stadiers. À noter aussi que le Paris FC, profitant des calendriers et en accord avec l'ASSE, va proposer un double match. Celui des garçons à 15 heures et celui des féminines qui se rencontreront à 19 h 30 pour la 16e journée de D1 Arkema. Le PFC, entre les deux matches, a organisé des animations pour faire patienter les spectateurs qui resteront."

Sakhi veut remettre ça

28/02 07:10

Pisté en vain par Claude Puel l'été 2021, Hamza Sakhi avait ouvert le score pour l'AJA dans le Chaudron lors du barrage fatal aux Verts le 29 mai 2022.

Faisant désormais le bonheur de l'AC Ajaccio (8e à 3 points des Verts avant de défier le SCO à Angers lundi prochain), le milieu de terrain espère franchir une nouvelle fois les barrages cette saison, comme il l'explique dans un entretien paru hier soir sur le site Ma Ligue 2. Extraits.

"Je suis venu pour aider l’équipe, il y a ce projet de finir dans les cinq premiers et de gratter plus si c’est possible. On vise au moins les play-offs. Finir troisième, ça peut être une bonne chose pour que ce soit plus facile pour nous par la suite. On a une équipe qui peut prétendre à la montée je pense. J’ai connu cette situation avec Auxerre,c’est mieux de finir à la troisième place. On reçoit le vainqueur du match entre le quatrième et le cinquième, et en cas de victoire on est directement sur la double confrontation avec le 16e de Ligue 1.

On est invaincu cette saison à François-Coty, je pense que ça va être très difficile de nous battre [Sainté tentera de le faire le 13 avril lors de la 32e journée, ndp2]. J’espère qu’on va continuer sur cette série, et ramener plus de supporters à la maison. Pour avoir plus de monde, ça passe par le jeu et  produire du spectacle, c’est ce qu’on essaye de faire. Les supporters y sont pour beaucoup dans notre série actuelle.

Les barrages que j'ai joués avec Auxerre, ce sont des moments inoubliables. On se dit que tout se joue sur des détails, et quand on monte à la fin, on est passés par toutes les émotions. Lorsqu’on a joué contre l’ASSE, je sentais qu’on allait monter après le match à l’Abbé-Deschamps. On est allé à Saint-Étienne déterminé, et ça nous a réussit. Sur le moment on ne réalise pas, ça vient plus tard. Quand Bibi marque le dernier tir au but, on ne réalise pas qu’on monte là-dessus. C’était fou. Monter en Ligue 1 en finissant premier ou deuxième c’est bien. Mais passer par les play-offs, c’est encore mieux !

La veille du match à Geoffroy-Guichard, j’avais mal au cou. Ma mère me massait, et elle me disait : « Demain, tu vas marquer de la tête ». Et c’est un peu grâce à elle, aux mains de la maman. Je ne m’attendais pas du tout à marquer ce but. Le centre d’Autret arrive tellement fort que je ne pouvais pas le contrôler, je ne pouvais rien faire. J’ai mis ma tête. Et puis j’ai réalisé peut-être trois ou quatre secondes après que le ballon était rentré (rires). Si on regarde la vidéo, on voit que j’étais surpris."

 

Allez Allée ! (2)

28/02 06:48

Si Saïdou Sow n'a pas cédé hier en banlieue mais s'est fait éliminer aux tirs au but par les vilains à l'issue d'un match nul et vierge, un autre joueur passé par l'ASSE tentera ce soir de rejoindre le dernier carré de la Coupe de France : l'international irakien du FC Rouen Ahmad Allée (27 ans).

Avant de recevoir le VAFC (lanterne rouge de L2) à Robert-Diochon, l'ex-milieu de terrain de la réserve rennaise de Laurent Huard et de la réserve stéphanoise de Laurent Batlles évoque dans la Pravda son court passage en vert (11 matches en CFA2 la saison 2016-2017).

"Saint-Etienne, je n’en garde pas un grand souvenir, à part le stade Geoffroy-Guichard et le public. Mais je n’ai fait que deux séances avec les pros. À mon arrivée, Kevin Théophile Catherine m’a demandé ce que je faisais là. En gros, il m’a expliqué que Christophe Galtier préférait jouer avec des joueurs physiques au milieu."

Les Ponots à Geoffroy à la fin du mois (9)

27/02 22:25

En conférence de presse, l'entraîneur ponot Stéphane Dief a évoqué ce mardi le quart de finale de Coupe de France que son équipe jouera après-demain soir dans le Chaudron contre le Stade Rennais (près de 28 000 billets ont déjà trouvé preneurs pour cette affiche).

"Pour nous il n’y aura pas de round d’observation, il faudra commencer cette rencontre pied au plancher. Il faudra se servir de la force générée par le public, du fait de se retrouver dans un stade qui est pour moi un vrai stade de foot. Finalement il faut transformer ce qui pourrait être des éléments différents pour nous en ondes positives. On parle quand même de 30 000 spectateurs, c’est important par rapport aux prévisions qu’on avait pu s’imaginer. J’ai envie de dire que même s'il y a moins de monde au Stade Massot, l’équipe a gagné une belle côte sympathie. Ils montrent de belles valeurs sur le terrain et beaucoup de gens de la ville, du département ou même de la région peuvent se reconnaître là dedans. Cela va au delà de l’aspect football et il y a aussi l’effet Coupe de France qui est important à prendre en compte."

Cafi crème

27/02 22:04

A l'instar du Palois Moussa Sylla, Ibrahim Sissoko a profité de la 26e journée pour rejoindre l'Angevin Loïs Diony et le Ruthénois Andréas Hountondji à la 4e place du classement des buteurs de la L2 (10 pions). Si l'avant-centre stéphanois peut légitimement viser le podium (le Quevillais Sambou Soumano et le Grenoblois n'ont mis qu'un but de plus que lui), il aura du mal à détrôner le Malherbiste Alexandre Mendy (16 réalisations).

S'il confirme sa très bonne dynamique actuelle, Mathieu Cafaro peut désormais caresser l'espoir de décrocher le titre de meilleur passeur du championnat que Jean-Philippe Krasso avait raflé la saison passée grâce à ses 12 offrandes. Le natif de Saint-Doulchard, qui a délivré contre Annecy sa (magnifique) 7e passe décisive de la saison, a rejoint son adversaire de samedi dernier Nordine Kandil à la 5e place.

 

Le numéro 18 de l'ASSE n'est devancé que par l'Auxerrois Gauthier Hein (9 galettes) et d'un trio composé du vilain Icaunais Gaëtan Perrin, du Tango Thibault Vargas et du Parisien Alimami Gori (8 passes). Pour rappel, ce dernier avait inscrit le but victorieux de son équipe dans le Chaudron le 4 novembre dernier et a claqué 3 autres pions depuis. Les Verts sont prévenus pour samedi.... Gare au Gory !

 

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