La coupe est pleine...
21/12 08:55
... mais le stade sera vide ! En marge de la victoire contre Arles-Avignon, Galette s'est plaint à l'AFP de l'horaire tardif du 32ème de finale de Coupe de France Sainté/Clermont programmé le samedi 8 janvier : "Nous nous sommes entendus avec Michel Der Zakarian pour jouer à 15h00 afin de permettre aux spectateurs de venir dans de bonnes conditions mais la télé veut diffuser le match. A 20h45, c'est nul ! On va faire 5.000 spectateurs."
La brusque arrivée de José
20/12 22:37
Ejecté du Brasiliense FC il y a dix jours*, José Aloisio (35 ans) va débarquer soudainement à Brusque FC pour s'engager demain avec ce club de série D (4ème division) situé dans l'état brésilien Santa Catarina.
*http://www.poteaux-carres.com/potin-B2620101211070533-Jose'jecte.html
In Nanardamus we trust !
20/12 18:07
Ravie d'avoir prolongé de trois ans les contrats de Galette et Loïc Perrin, l'ASSE se projette déjà sur l'année prochaine : http://www.tres-bonne-annee.com/2011/asse/.
2011, année du titre selon les prédictions de Nanardamus !
Hip hip hip Houri !
20/12 16:21
Tandis qu'Eric Bauthéac a reçu samedi le trophée "Téméraire" récompensant le meilleur joueur dijonnais de la première partie de saison, Samy Houri a été sacré hier par les supporters d'Ostende (L2 belge) meilleur joueur des matches aller.
Machado a la tête près du bonnet (2)
20/12 15:47
Auteur d'un doublé samedi soir contre Lorient*, le facétieux Paulo Machado revient sur le coup du bonnet aujourd'hui dans La Dépêche du Midi.
"C'était prémédité, je dirais. A l'échauffement j'ai bien frappé, j'avais de bonnes sensations. Je sentais que j'allais marquer ; je l'ai d'ailleurs dit à Panche (Sirieix) et Dan (Congré). Alors, comme c'est bientôt les fêtes, j'avais décidé de cacher le bonnet dans le short et de le sortir au cas où… ça a marché. En plus, cela fait des photos d'enfer !
On était dominés, il fallait absolument scorer pour inverser la tendance. à la suite d'une action surpersonique : toute la semaine, on avait travaillé les contres. Au moment où je pousse le ballon, Romao tacle et la balle tape sur mon tibia. Le rebond m'est favorable ; ensuite je prends mon temps, j'attends qu'Audard parte d'un côté afin d'ajuster. Je ne me suis pas précipité. Le penalty ? Pour la petite histoire, Fodé (Mansaré) ne faisait que m'appeler pour m'inciter à tirer sur la gauche. La télé zoome sur mon visage ; là, je lui réponds oui. Et je frappe de l'autre côté, à droite. Forcément. J'ai dédié le premier but à mes parents, le second à mon futur enfant. Je vais être papa l'année prochaine. C'est prévu pour le mois de juin. Un garçon, je suis ravi - nous sommes ravis avec ma copine qui travaille au Portugal.
Je justifie pourquoi Toulouse m'a pris. Je monte en puissance, mais il faut continuer à travailler. Ne jamais se relâcher. J'étais sorti de l'équipe à Auxerre puis face à Caen. Disons que j'étais rentré de sélection un peu la tête dans les étoiles - m'entraîner avec Ronaldo… -, il fallait me ''calmer''. Le coach l'a fait et cela m'a permis de revenir en forme. Une petite piqûre de rappel. J'ai changé mes angles de frappe. Je ne me positionne plus face au ballon, mais légèrement de façon oblique ; je ne fais plus de grandes enjambées, mais des petits pas."
Perrin... deux, trois ans de plus!
20/12 13:43
Loïc Perrin a prolongé aujourd'hui son contrat avec l'ASSE pour trois ans. Le capitaine stéphanois, qui avait émis le souhait de partir à Monaco cet été, est finalement tombé d'accord avec les dirigeants stéphanois. Un beau cadeau de Noël avant l'heure pour tous les supporters des Verts!
Bartholomé se la joue Synaeghel
20/12 11:41
Tristement célèbre pour son unique apparition sous le maillot vert synonyme d'élimination en coupe de France contre Louhans-Cuiseaux, l'ancien milieu de terrain stéphanois Anthony Bartholomé (28 ans) se lance dans la bijouterie, comme son illustre prédécesseur Christian Synaeghel. Il s'en explique dans la dernière édition du quotidien belge L'Avenir.
"J'ai laissé tomber le foot depuis la fin de mon contrat à Courtrai en juin dernier. Là-bas j''ai vécu deux ans de galère. J'ai été souvent blessé au cours de la première saison et au terme de celle-ci, j'ai fini par me faire opérer. Un problème de cartilage, conséquence d'une arthroscopie que j'avais subie il y a dix ans, à Saint-Étienne. Une semaine après l'opération, le staff courtraisien a décidé que je devais partir. Alors qu'ils m'avaient conseillé l'opération. J'ai refusé, j'avais encore un an de contrat. Ils me proposaient une somme dérisoire pour m'en aller et quel club allait vouloir de mes services alors que j'étais en pleine revalidation ? C'est parti en vrille. On me payait la moitié de mon salaire. On m'a envoyé dans le noyau B, puis interdit de jouer en réserve. J'ai fait appel au syndicat Sporta et j'ai gagné mon procès. Là, le foot commence à me manquer, je l'avoue. Mais on est en train de mettre quelque chose en place avec le père de mon épouse. Il est bijoutier, on va travailler ensemble, créer une collection. À Glasgow. Alors, rejouer... Paradoxalement, j'ai eu plus de sollicitations ces derniers mois que lors de précédentes saisons. D'Angleterre, des Émirats aussi, mais cet épisode coutraisien m'a un peu dégoûté du football. Il y a quelques temps, avec mon épouse, on a tenté de développer un projet à Lyon. Une école d'apprentissage de l'anglais. Mais il y a eu quelques soucis avec l'administration française et c'est au frigo pour l'instant. Si Virton venait à m'appeler ? J'en garde un bon souvenir. J'ai encore quelques contacts avec Simon Carmignani. Il a arrêté aussi, il est trop souvent blessé."
Alonzo en pleine lucarne
20/12 10:53
Le blog En pleine Lucarne publie aujourd'hui une longue interview de Jérôme Alonzo, consultant sur Orange Sport. Morceaux choisis.
"Prends les n°1 du foot actuel, Canal+, tu te rends compte que le seul qui ait une légitimité à ce poste est Elie Baup... qui a joué gardien dans sa jeunesse, en amateur, bref, il y a très longtemps. Je trouve hallucinant qu'il n'y ait pas d'autres gardiens de but consultants. Il y a quand même, à chaque match, des choses à dire sur les gardiens, que ce soit pour des boulettes ou pour des exploits, pour analyser l'éclosion d'un jeune talent, pour le crépuscule d'un vieux fringant, etc. J'ai donc une chance d'occuper seul le créneau pour le moment car il y a vraiment des opportunités à saisir pour moi dans le domaine. Tout ce qui est prise de balle, placements tactiques sur coups de pied arrêté qui sont des phases de jeu super importantes dans le jeu actuel, mais aussi les boulettes, pourquoi on la fait ou comment on aurait pu l'éviter, les techniques de face-à-face avec l'attaquant sur action de jeu ou penalty... Il y a plein de choses à raconter. Je commente donc les phases qu'on me demande d'analyser comme quand j'étais joueur, avec une vision et un recul que possèdent les gardiens de buts et qu'un consultant qui a joué attaquant n'aura peut-être pas.
Orange a annoncé son retrait du foot en 2012. C'est un choix des grands patrons, c'est comme ça. Moi, je me défonce, d'abord pour donner aux autres l'envie de continuer, puis, pourquoi pas, pour me faire repérer. La situation est plus motivante que déprimante donc. La radio est un média qui m'intéresse énormément et, pour être honnête, c'est actuellement en pourparlers. Je suis en contact avec deux stations nationales. Ca a capoté avec l'une d'elles, parce qu'aujourd'hui je ne suis plus footballeur, je suis un salarié et ce que l'on me proposait financièrement ne me convenait pas. Je ne veux pas me prostituer, je ne veux pas travailler à n'importe quel prix parce que, mine de rien, ça prend énormément de temps. Des négociations sont en cours avec l'autre, un autre gros du sport à la radio qui s'intéresse à moi pour tout début 2011. On peut mettre une petite pièce sur le fait que l'on me retrouvera à la radio très vite, pour du football, mais aussi peut-être pour la première émission Live Poker, concept qui n'existe pas encore en France.
Ne pas avoir joué en Angleterre, c'est un regret éternel. En même temps, moins attisé aujourd'hui parce qu'il n'y a pas de gardien français en Angleterre. Il y en a eu un, Fabien Barthez à Manchester United et ils ont quand même réussi à le virer ! Bon, il faut voir que les Anglais ils sont capables d'hésiter sur un mec comme Hugo Lloris ! Tu le crois ça ? Ils n'ont que des truffes Islandaises ou polonaises dans leurs cages et ils hésitent sur un mec comme Lloris. Un jour, je suis allé faire un essai à Crystal palace. Et le recruteur vient me voir et me dit : "tu es pas mal mais tu plonges trop !" Tu plonges trop ! J'hallucine. Et il rajoute "vous les Français, les espagnols et les italiens, vous plongez trop." Déjà je lui ai répondu : "Je t'emmerde, et puis si j'ai une balle près du poteau, je plonge, c'est plus pratique que de l'arrêter au pied.". On s'est engueulé. Et ce recruteur m'a expliqué qu'en Angleterre ils préféraient les mecs meilleurs dans le corps à corps, physiques. Ils n'aiment pas trop le style spectaculaire à la Lama, Joseph Antoine Bell, Mandanda, etc.. C'est dommage car la Premier League était un championnat pour moi, en rapport avec mon sens du spectacle et du rapport à la foule.
Un avenir dans l'encadrement d'un club, ça va bien au-delà du fait que ça me plairait ou me tenterait. Il est sûr, à moyen ou court terme, que ça va finir comme ça. Le terrain me manque trop, le rapport aux joueurs me manque trop. Depuis que je suis à la retraite, c'est génial car j'apprends le football d'une autre manière, je le regarde d'un peu plus haut d'une certaine manière et évidemment, je repartirai un jour dans un staff de l'un de mes anciens clubs, c'est sûr. Avec une préférence entre le PSG, Saint-Etienne ou Marseille ? Comme ça à l'instinct, je te dis Paris ou Saint-Etienne. Concernant le PSG, je déplore le manque d'anciens joueurs dans l'encadrement du club. Mais Paris se reconstruit. Aujourd'hui, il y a un ancien à la tête de l'équipe (Antoine Kombouaré), c'est déjà bien, mais pas grand chose d'autre. Moi, je milite pour qu'il y ait un ancien gardien du PSG qui devienne entraîneur des gardiens, un mec qui n'a pas beaucoup de cheveux par exemple (rires).
Ma cote de sympathie, je ne l'ai pas cherchée. Si j'avais été un lèche-cul... d'ailleurs si je l'avais été, j'aurais certainement fait une autre carrière... mais j'ai refusé les concessions. Pourtant, je ne suis pas un gars qui se plaît dans le conflit, je suis même plutôt consensuel. Mais tu peux être consensuel et dire merde quand tu as envie. Je peux donc avoir la prétention d'être celui qui a fait Marseille, Saint-Etienne et Paris et d'y avoir laissé de bons souvenirs, alors que les supporters de ces clubs ne sont pas tendres avec les anciens passés à l'adversaire en général. Au-delà de tout, ma réussite est là : avoir été aimé dans ces trois clubs. Et quand je retourne dans ces stades, je reçois un accueil qui me donne parfois envie de chialer. Ma victoire, elle, est là, au-delà des chiffres, du pognon et tout ça. Et j'en suis fier."
Un 13 porte-bonheur pour Manu ?
20/12 09:55
Soutenu par le kop Sud qui a intelligemment scandé son nom, Manu Rivière a marqué son 4ème but en championnat cette saison, son 13ème depuis ses premiers pas en L1.
Dans l'effectif actuel, seul Payet, avec 14 buts, a plus marqué que Rivière sous le maillot vert en L1.
4 buts, cela représente la moitié du total atteint par Manu l'an dernier. On notera également que Manu est notre meilleur passeur cette saison, avec 3 passes.
Gelson impoli avec la vieille dame
20/12 08:41
Hier Gelson s'est mal comporté avec une vieille dame. Il a donc été averti par l'arbitre d'un Chievo-Juventus qui s'est terminé à 1-1. Le Chievo est 10ème de série A avec 21pts.
De son côté, Benalouane a tâté du banc -par un temps très forezien en Emilie Romagne- pour la première fois depuis quelques semaines. Et il n'est pas dit qu'il en sorte rapidement car Cesena en a profité pour renouer avec la victoire à domicile contre Cagliari 1-0. Cesena remonte à la 18ème place avec 15pts.
Dabo voit rouge contre le Real
19/12 22:34
S'il a souvent remporté son duel face à Cristiano Ronaldo ce soir à Bernabeu lors de la 16ème journée de la Liga, Mouhamadou Dabo a été expulsé ce soir à la 90ème minute pour un geste démoniaque sur Angel Di Maria, auteur du seul but de la rencontre : https://www.youtube.com/watch?v=0-tfSUdWINQ. Titulaire lui aussi, Didier Zokora avait quitté la pelouse quelques minutes auparavant après avoir pris une biscotte.
Les U19 oublient leurs bobos à Bobo
19/12 18:31
Sainté a terminé à la dernière place du tournoi international U20 qui s'est déroulé au Burkina Faso du 1er au 10 décembre. Entraîneur des U19 de l'ASSE, Abdel Bouhazama revient pour nous sur la performance de ses protégés.
"L'ancien ministre Jacques Toubon nous a proposés de représenter la France à ce tournoi international organisé dans le cadre du cinquantenaire du Burkina Faso. Comme on déjà un centre partenaire dans ce pays à Bobo Dioulasso, Gérard Fernandez et Damien Comolli ont tenu à ce qu'on honore cette invitation. Dix équipes devaient participer à ce tournoi mais compte tenu de la défection tardive du Ghana et de la Juventus de Turin, il n'y a eu finalement que huit participants répartis en deux poules de quatre.
Lors du premier match contre le pays hôte, on a bien joué mais on a perdu 1-0. Le deuxième match a été très difficile. Beaucoup plus athlétiques que nous, les Camerounais nous ont battus 5-1. Le score était déjà acquis à la pause, on a pris quatre buts en un quart d'heure. Lors de notre troisième et dernier match, on a fait match nul 0-0 contre le Legia Varsovie. On aurait pu l'emporter, Elian Tack ayant tiré sur le poteau.
Nos résultats ne sont pas très probants mais le tournoi était d'un niveau relevé. On a fait jouer de nombreux U18 et U17 alors que c'était un tournoi U20. Je ne suis pas sûr que tous les joueurs qu'on a affrontés avaient moins de 20 ans ! (rires) Les sélections africaines qui ont participé à ce tournoi ont aligné leur meilleure équipe en vue de la prochaine CAN junior qui se déroulera en février en Lybie.
De notre côté, on a mis à profit ce tournoi pour mettre à l'essai trois joueurs burkinabés issus du centre de Bobo Dioulasso : Traoré, Malo et Paro. Mais a priori, aucun des trois ne rejoindra Germain Sanou l'Etrat. Sur ce qu'ils nous ont montré, ils ne sont pas supérieurs aux joueurs évoluant déjà chez nous aux mêmes postes. Gérard Fernandez a assisté à tous les matches du tournoi. Il étudie le dossier d'un joueur malien, sachant que le Mali a remporté la finale du tournoi contre le Burkina aux tirs au but. L'attaquant camerounais qui a planté un quadruplé contre nous est déjà sous contrat avec un club suisse.
Ce tournoi aura été une expérience enrichissante pour nos garçons, sportivement et culturellement. J'ai été agréablement surpris par le niveau des sélections africaines. J'ai bien aimé leur organisation, leur discipline de jeu. Dans notre équipe, certains n'avaient jamais quitté la France. Ils ont pu voir dans quelles conditions évoluent les joueurs en Afrique. Ils se sont rendus compte qu'avec peu de choses, les Africains arrivent à faire de grandes choses. Je pense que nos joueurs ont pris conscience de la chance qu'ils ont d'évoluer à l'ASSE. Cette expérience leur aura permis de relativiser leurs petits bobos..."
CFA : vilaine défaite avant les fêtes
19/12 15:39
Vous avez pu suivre ce derby en direct sur notre forum grâce à notre envoyé spécial Yacine : l'équipe réserve de l'ASSE s'est inclinée 1-0 chez les banlieusards cet après-midi lors de la 15ème journée de CFA. L'unique but de ce match très moyen a été marqué sur péno par le vilain Novillo à la 51ème minute. Pour son premier match officiel sous le maillot vert, le jeune et puissant attaquant gambien Ebrima Bojang est à créditer d'une prestation encourageante.
La compo de l'ASSE : Coulibaly - Cros, Balp, Sagna, Ghoulam - N'Daw, Guilavogui, Mahaya (Argaud, 82'), Salabiakou - Bojang, Saadi.
Kameni puni
19/12 11:43
Un mois et demi après avoir écrasé 5-0 le FC Séville de Dabo et Zokora, le Barça a puni l'Espanyol de Kameni 5-1 hier soir lors du derby : https://www.youtube.com/watch?v=D33tYQErVsA.
Et Rivière se dégela...
19/12 08:29
Les Verts ont battu la lanterne rouge 2-0 hier soir sur le terrain partiellement gelé de Geoffroy-Guichard. Après avoir croqué une belle occase en début de match, Emmanuel Rivière s'est bien rattrapé en seconde période. Passeur décisif sur l'ouverture du score de Laurent Batlles, Manu a doublé la mise la minute suivante.
Le long résumé vidéo de la rencontre : http://minilien.fr/a0lkd9.
En attendant le menu peu ragoûtant de ce soir (sardines et quenelles), les Verts sont cinquièmes !
Larios avant la rose
18/12 23:17
Lors d'un entretien publié aujourd'hui dans France Soir, le porte-parole du PS Benoît Hamon révèle qu'il avait envie de ressembler à un ancien Vert quand il était plus jeune. "Je faisais du foot mais, aujourd’hui, c’est plutôt le rugby que je pratique. Ce n’est pas très raisonnable, mais ça me plaît. J’étais, à l’époque, fan de Jean-François Larios, un milieu défensif de l’équipe de Saint-Etienne."
Machado a la tête près du bonnet
18/12 21:24
Déguisé en Père Noël, Paulo Machado a fait le show au Stadium ce soir contre Lorient (victoire de Toulouse 3-1). Auteur d'un doublé, l'ancien milieu de terrain stéphanois a fait briller ses petits souliers : http://minilien.fr/a0lkdb.
Belkebla dans l'oeil du Tigre
18/12 15:56
Né et formé à Aubervilliers, Youssef Belkebla (45 ans) est aujourd'hui directeur administratif de ce club du 93 promu en CFA. L'ancien joueur offensif de l'ASSE s'est confié au bimensuel francilien Le Tigre.
"Aubervilliers, c’est comme si je ne l’avais jamais quitté. Ce club ressemble à sa ville. Dans les années 50-60, Aubervilliers était une ville d’immigration espagnole. C’étaient des espagnols qui dirigeaient le club et qui ont été nos formateurs. Après, ça a été la vague d’immigration maghrébine. Demain, ça sera peut-être l’immigration africaine qui prendra le club en mains. C’est ça, l’histoire d’Aubervilliers. Il faut savoir à qui on parle et comment se faire comprendre. Car le milieu extérieur peut-être très nocif. Certains joueurs, s’ils se font remplacer par l’entraîneur, vont se faire chambrer dans leur quartier. Et s’ils le prennent mal, ils peuvent finir par pourrir l’ambiance. C’est vrai que le chambrage, ça fait aussi partie de la culture du club. nos joueurs sont soit étudiants, soit travailleurs. Pour certains, peut-être, au chômage. On en a même un qui travaille la nuit. Le soir une fois l’entrainement terminé, il part au boulot. Et il reprend le lendemain à six heures avec un autre boulot.
Dans un club comme Drancy, il y a sept ou huit mecs qui sont embauchés par la ville, le sponsor ou le président. A Auber, on n’a jamais eu cette possibilité. Il y a un salaire minimum qui commence à 700 euros environ. C’est pas avec ça qu’un joueur va gagner sa vie. A Auber, on a pris qu’une fois un joueur sous contrat. Mais à Créteil ou Villemomble par exemple, certains contrats de joueurs montent jusqu’à 4000 ou 5000 euros mensuels. A la grande époque, la plupart de nos joueurs étaient là depuis l’enfance. Même si c’était pour toucher mille balles de plus ailleurs, ils préféraient rester au club. C’était leur club, leur maillot. Aujourd’hui, même pour 50 euros, les mecs partent. L’amour du maillot, on entend beaucoup parler aujourd’hui, surtout au niveau professionnel. Mais ça n’existe plus. Le changement des mentalités et l’individualisme sont même encore plus forts au niveau amateur."
Encore un goal de Golliard !
18/12 15:36
Ancien pensionnaire du centre de formation de l'ASSE, le défenseur central cristollien Ludovic Golliard (27 ans) avait déjà claqué quatre pions cette saison en National. Hier soir, il a qualifié son équipe en 32ème de finale de la Coupe de France aux dépens des Verts du Stade Lavallois Toto Losilla (titulaire) et Fred Mendy (non retenu, Kirikou n'est plus dans le coup) : http://www.uscl.fr/spip.php?article2262.
One, two, three, viva Faouzi !
18/12 09:12
Le site du trihebdomadaire algérien Le Buteur publie aujourd'hui une intéressante interview de Faouzi Ghoulam, le Vert qui rêve des Verts. Extraits.
"Je suis né le 1er février 1991 à Saint-Etienne. J’ai commencé ma première année de football dans un petit club local avant de rejoindre 8 mois plus tard l’ASSE chez qui j’ai fait toutes mes classes pendant 12 ans, jusqu’à mon intégration en début de cette saison dans l’équipe première. Je suis latéral gauche de formation, mais je joue également aisément en milieu du terrain. J’occupe, en fait, le flanc gauche. J’ai joué mon premier match en Ligue 1 à Valenciennes et j’espère que je vais pouvoir enchaîner d’autres apparitions à l’avenir.
C’était pour moi un immense bonheur de pouvoir enfin être titularisé sous le maillot des Verts. Vous savez, j’ai toujours été supporteur de Saint-Etienne. J’ai même été ramasseur de balles, comme tous les gamins de cet âge. C’est donc une grande fierté de pouvoir défendre le maillot de mon club. J’ai senti un réel plaisir d’être enfin sur le terrain, car j’avais attendu près de 8 matchs sur le banc des remplaçants en espérant avoir ma chance. Maintenant que c’est fait, j’en attends d’autres avec beaucoup d’impatience. Je ne suis en fait qu’à mes premiers pas en Ligue 1. Je dois surtout me battre pour gagner ma place au sein de l’ASSE et rien d’autre.
En latéral gauche, je dirai que mon jeu s’apparente un peu à celui de Nadir Belhadj, car je monte beaucoup en attaque. Je suis assez rugueux sur l’homme. En milieu du terrain, j’occupe également le flanc gauche et je me sens aussi à l’aise que comme latéral. Je pense être assez bon techniquement, j’ai de l’endurance et de la puissance dans mon jeu. Pour ce qui est des points faibles, je dirai qu’il me reste à améliorer un peu mon positionnement défensif, car entre les deux postes que j’occupe, je n’ai pas encore huilé la machine, si j’ose dire.
Je suis totalement acquis pour l’Algérie. Chez moi, la question ne se pose même pas. Aujourd’hui, je suis encore jeune et je viens tout juste de faire ma première apparition en Ligue 1. Je ne prétends pas encore postuler chez les A. Mais si j’arrive à enchaîner les matchs comme titulaires avec l’ASSE, c’est sûr que je me positionnerai à jouer en sélection d’Algérie. Je répondrai à l’appel de l’Algérie avec un immense bonheur. Jouer pour l’Algérie a toujours été un rêve pour moi. Si on m’appelle, j’irai en courant en sélection olympique. Il n’y a aucun doute à cela.
Mon père est de Batna et ma mère d’Annaba. Mes parents nous parlent en arabe tout le temps. Je comprends très bien, même si je dois encore parfaire mon arabe. Nous avons été élevés dans les traditions du bled et dans la religion musulmane. Pour moi, jouer pour l’Algérie est comme un devoir. Je ne me pose même pas de question. Je vais en première intention ! Pas besoin de me forcer pour cela. Je suis trop fier d’être Algérien pour hésiter. Ce serait un grand honneur de défendre les couleurs de mon pays.
Je suis né en France et j’y ai passé toute ma vie. Je ne renie pas mon côté français. Je ne crache pas dans la soupe. Quand l’Equipe de France joue, j’aime bien la voir gagner, car c’est également mon pays. Mais quand je vois un match de l’Algérie, je dois avouer que ça ne me fait pas le même effet. Voir l’Algérie jouer est nettement plus puissant, car cela incarne, à mes yeux, la famille et les sensations merveilleuses du bled. C’est plus fort que moi. Je n’y peux rien. On est très attachés au bled dans ma famille. Avec mes parents, on est 8 frères et 2 sœurs. On est pratiquement tous sportifs. Il y en a qui ont joué au foot et d’autres comme mon frère Nabil qui a été un athlète de demi-fond. Il a participé même aux championnats du monde avec l’Equipe de France.
Quand on veut jouer pour l’Algérie, il vaut mieux le faire en première intention. C’est le cœur qui doit parler avant tout. Il y a deux ans de cela, mon ami Lounis Lanseur, qui jouait avec moi à l’ASSE, m’a dit beaucoup de bien de la sélection des Espoirs. J’avais tant voulu être avec lui en sélection. Je brûlais d’envie d’y aller. Il m’a dit qu’il avait même parlé de moi au coach, mais j’ai été déçu de ne pas être appelé. Mais je pense que cela était dû à mon très jeune âge. Aujourd’hui, je me sens prêt à défendre l’autre maillot des Verts, celui de l’Algérie. L’Algérie, c’est le cœur. Quand on joue pour son pays, on n’a pas le droit de ne pas se donner totalement. Celui qui n’a pas l’Algérie dans son cœur, il vaut mieux qu’il aille voir ailleurs."
Le Crom de Picot à Picot (2)
18/12 08:19
*/potin-B9320101215055912-Le-Crom-de-Picot-a-Picot-.html
Les Vertes privées de vilaines
17/12 19:20
Prévu initialement ce samedi à 15h00 à Léon Nautin (Etivallière), le derby de la 11ème journée de D1 féminine a été reporté à cause des intempéries. Cinquièmes, les Vertes devront attendre avant de faire trébucher les vilaines premières !
Bompard partagé (2)
17/12 18:39
Après le site Avignews*, La Provence a recueilli les impressions d'un Alain Bompard heureux de replonger dans le Chaudron.
"Saint-Étienne, c’est quelque chose d’inouï ! C’était des moments de bonheur total. Avignon est ma ville de cœur et l’ASSE, le club de mon cœur. Alors forcément, samedi, je serai tiraillé. Ce sera déchirant. Je ne pense pas que les supporters stéphanois soient méchants avec moi… Je vais retrouver des centaines de copains. Un nul serait parfait mais cela ne contenterait aucune des deux équipes.
L'affaire des faux passeports ? Ça restera mon cancer. Mais j’ai été blanchi. J’ai vécu sept années de folie furieuse, mais ce fut usant et difficile. Sept ans à Saint-Étienne, ça vaut 35 ans ailleurs. Ce n’est ni une ville, ni un club comme les autres. C’est une évidence de dire que c’est le meilleur public de France. Mais il fallait passer la main, on avait fait notre temps."
* http://www.poteaux-carres.com/potin-B6320101215125105-Bompard-partage.html
18 vifs brillants verts et une lanterne rouge
17/12 17:16
Galette a retenu les 18 joueurs suivants pour la réception d'Arles-Avignon : Janot, Moulin - Bayal, Bocanegra, Ghoulam, Marchal, Monsoreau, Néry - Matuidi, Guilavogui, Perrin, Landrin, Batlles, Payet, Sako - Bergessio, Rivière, Saadi.
Andreu, Ebondo et Sanogo sont à l'infirmerie. Coulibaly, Cros, N'Daw et Sagna sont à la disposition de la CFA.
Galette vise la fève !
17/12 15:30
Une victoire samedi contre Arles permettrait à Galette d'afficher le meilleur bilan en L1 de tous les entraineurs verts depuis notre remontée.
Ainsi à ce jour, avec 12 victoires pour 14 nuls et 12 défaites, Galette affiche une moyenne de 1,32pt en 38 matches de L1, ce qui le place juste derrière Roussey (1,33pt), à égalité avec Baup (1,32pt), juste devant Hasek (1,29pt), Perrin fermant d'assez loin la marche (1,07pt).
Alors Galette décrochera-t-il la courronne dès samedi ?
Comolli tacle Nanard et Roro
17/12 10:57
Taclé par Nanard dans le News of the World du 30 novembre dernier*, Damien Comolli réplique aujourd'hui dans la Pravda.
"Début octobre, je suis parti trois jours à Londres pour participer à une conférence, j’avais averti tout le monde par écrit un mois avant. Et, quand je suis rentré, j’avais une lettre recommandée de Roland Romeyer, qui me reprochait une absence injustifiée. Pendant cette conférence, j’ai rencontré les dirigeants de Manchester City pour leur demander de nous aider sur le paiement de Gelson, donc j’ai travaillé pour le club. Ç’a été la goutte d’eau. C’est dur de laisser les éducateurs, la formation, de laisser Christophe Galtier. On s’était promis d’aller jusqu’à la fin de la saison, mais je ne pouvais plus.
On m'avait mis au placard. On m'avait demandé de baisser mon salaire, sinon Bernard Caïazzo n'aurait pas accepté que je reste. (...) Roland Romeyer m'explique qu'on me rendra la différence en primes si on finit dans les 10 mais qu'il ne faudrait surtout pas le dire à Bernard Caïazzo. Là, tu te demandes dans quel monde tu es. Quand j'ai remis ma lettre de démission à Roland Romeyer, il m'a dit : "Tu me mets dans l'embarras. Caïazzo va vouloir mettre quelqu'un à lui à ton poste." Ce n'est que ça, de la stratégie. (...) La bataille se concentre sur le sportif, le recrutement, l'entraîneur. C'est une guerre d'influence en permanence.
Le fonctionnement du club à deux têtes, avec un qui dit noir et un qui dit blanc, c’est à se taper la tête contre les murs. Il y a eu tellement de choses... Par exemple, quand je suis revenu en novembre 2008, au bout d’une semaine, Bernard Caïazzo m’appelle et me dit : “J’ai eu l’agent de tel joueur, on s’est mis d’accord, appelle-le.” Je n’étais au courant de rien, Alain Perrin non plus. Je passe voir Roland Romeyer et je lui dis : “Ça recommence.” Il me répond : “Mais si je t’ai fait revenir, c’est justement parce que je sais que, toi, tu peux lui dire non (...) Une autre fois encore, Stéphane Tessier nous demande, à Christophe et moi, de nous réunir avec Roland. Le thème de la réunion, c’était : trouver du travail à Dominique Rocheteau. On s’est retrouvés de 8 heures à minuit à se demander comment l’intégrer. Et Roland nous expliquait qu’il ne voulait faire venir personne, mais que Bernard Caïazzo avait fait venir Rocheteau et donc qu’il fallait s’en accommoder."
*http://www.poteaux-carres.com/potin-B9920101128214558-Nanard-tacle-Comolli.html
Joyeux anniversaire ?
17/12 08:54
Demain les Verts fêteront leur 3ème mois sans victoire à Geoffroy-Guichard en championnat.
En effet depuis la fessée 3-0 infligée au FC Poubelles le 18 Septembre, Marseille, Caen, Auxerre et Bordeaux sont venus arracher un point dans le Chaudron et Lorient a commis l'affront de nous en prendre trois.
Trois mois et cinq matches sans victoires c'est trop long. On dirait qu'on arrêterait la plaisanterie domani et que cet anniversaire serait joyeux ?
Ilunga gaga du Nouz
17/12 06:58
Lors d'un entretien publié hier par Jeune Afrique, le capitaine des Léopards Hérita Ilunga a tenu à apporter son soutien à son sélectionneur Robert Nouzaret.
"Il m’est arrivé de vouloir arrêter en raison des différents problèmes d’organisation. Mais j’aime mon pays et ma sélection. Et quand j’arrive à un stage, je suis tellement heureux d’être là que je ne pense plus à stopper ma carrière internationale. La RDC a un passé riche, mais aujourd’hui, elle ne se qualifie même plus pour la CAN ! Il faut repartir à zéro. Nous avons avec Robert Nouzaret un bon sélectionneur, qui a du charisme, de la personnalité. Il a aussi l’avantage de connaître l’Afrique et d’être un excellent tacticien. Il faut lui laisser le temps de travailler, car même si la RDC n’a pas de star comme Essien, Eto'o ou Drogba, elle a de très bons joueurs.
Les relations entre Robert Nouzaret et le président de la fédération Constant Omari sont difficiles ? Ce sont deux fortes personnalités, mais je crois qu’elles souhaitent la même chose, à savoir la réussite du football congolais. Je ne pense pas qu’il existe de problème entre eux. Les soucis viennent plutôt de certaines personnes appartenant l’entourage de la sélection. Ce serait une erreur de se séparer de Robert Nouzaret, car il est en train de mettre quelque chose en place. La RDC a besoin de stabilité et de travailler dans la durée. Il y a un super état d’esprit au sein de la sélection, malgré les difficultés. Si on veut progresser, il ne faut pas tout casser à la moindre défaite !"
Cartons verts : Bayal et Marchal sous la menace
17/12 06:42
Bayal ayant été averti à Monaco, il est comme Marchal sous la menace d'une suspension en cas de nouveau carton contre Arles ou Lille.
Le tableau des cartons verts magistralement mis à jour par notre fidèle et dévoué ozzy :
- en jaune avec une croix, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- en hachuré, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur sera suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match (réception de Arles-Avignon)
- en rouge, les joueurs indisponibles pour blessure
- en orange, les joueurs incertains pour le prochain match
Allez Jean-Guy !
16/12 20:48
Mis en cause par une partie des supporters lensois, Jean-Guy Wallemme s'est confié aujourd'hui dans La Voix du Nord à quelques jours d'un match contre Caen déjà crucial pour le maintien des Sang et Or.
"Il y a pire comme métier et je ne vais pas me plaindre. Après, j'assume ce qu'on est train de vivre. Je peux comprendre la déception des supporters. Mais on ne peut pas passer au-dessus des insultes entendues à Lorient. Il faut aussi penser à l'intérêt général du club. Quand j'ai débuté ici, en 1986-1987, certains des supporters qui nous ont alpagués n'étaient pas nés. Certains l'ont d'ailleurs peut-être oublié mais je n'ai plus à prouver l'attachement qui est le mien à ce club. J'ai connu évidemment des moments de tension, je suis descendu en L2 en tant que joueur ici. A Saint-Etienne, plus tard, j'étais dans la même situation et j'ai connu des moments compliqués. J'ai entendu quelques « Wallemme démission » à Lorient. Oui, ça m'a touché. Mais c'est le métier qui veut ça. On est dans une position compliquée. On doit surtout se concentrer sur notre football. Quant aux joueurs, qu'ils arrêtent de croire qu'ils trouveraient du boulot facilement si on descendait en fin de saison."