Spahic et nunc ?

30/12 09:24

La commission de discipline de la LFP a infligé hier à Emir Spahic (Montpellier) cinq matches femes de suspension suite à son violent coup de coude sur Nolan Roux : https://www.youtube.com/watch?v=KYqHQmyP1do. Forfait à Geoffroy-Guichard au match aller, le poète serbe devrait en principe rater le match retour programmé le 5 février prochain à la Mosson si les Héraultais se font éliminer de la coupe de France à Reims. Reste à savoir maintenant si le MHSC va faire appel de cette décision...

Soupe de poisson, soupe à la grimace

30/12 06:27

Les poissons portent la poisse dans le Chaudron !

 

A l'extérieur, Lorient est l'antépénultième équipe avec cinq petits points. Hors de leur base, les Merlus n'ont gagné qu'un seul match : à Geoffroy-Guichard.

 

André-Pierre Gignac alias "Dédé la Sardine" est l'un des flops de la L1 à la mi-saison. Si l'attaquant marseillais a tiré 52 fois au but, il n'a trouvé qu'une seule fois le chemin des filets (grâce à Stéphane Bré) : dans le Chaudron.

Nilsson en perte de Vitesse

29/12 21:00

Relégué sur le banc de Vitesse Arnhem, 15ème du championnat néerlandais à la trêve, Lasse Nilsson ne fera sans doute pas de vieux os aux Pays-Bas. Passant les fêtes de fin d'année en Suède, "Fifi brin d'acier" s'est confié au quotidien Expressen.

 

"Je suis ouvert à toute proposition et un retour à Elfsborg pourrait vite devenir d'actualité. Il est peu probable que je reste en Hollande. Elfsborg, c'est devenu mon club. J'ai des contacts réguliers avec les joueurs et avec l'entraîneur. Vitesse Arnhem a été surnommé le FC Hollywood, actuellement il est à la hauteur de cette appellation. Il vient d'y avoir un nouveau propriétaire et un nouvel entraîneur, c'est le chaos total. L'équipe est peu expérimentée cette année, de nombreux joueurs ont 18-19 ans. J'ai commencé la saison comme titulaire mais j'ai eu une inflammation de l'estomac en septembre. J'ai raté quelques matches et quand j'ai été rétabli, je n'ai pas eu beaucoup de temps de jeu. Vitesse a un système de jeu qui ne me convient pas, on joue souvent avec une seule pointe. De nouveaux joueurs vont débarquer, et encore plus cet été. Par conséquent il faut que trouve une autre solution."

Pour Araujo, ça ne s'arrange pas (2)

29/12 15:13

Juste avant Noël, Ilan a appris que l'Internacional ne comptait plus sur lui*. En vacances à Paris, l'ancien attaquant stéphanois a réglé ses comptes avec le club de Porto Alegre hier sur Radio Gaucha :

 

"A l'extérieur, l'Internacional est une chose. A l'intérieur, c'est totalement différent. Je me suis fait opérer du pied car je n'étais pas utilisé. Avant cela j'étais tout le temps disponible, même pour le Grénal (derby gaucho entre l'Internacional et Grêmio) alors que l'entraîneur a affirmé que j'étais blessé. Il a menti. Je n'ai jamais eu l'occasion de joueur devant notre public. Je me suis senti très frustré, cette saison aurait pu être très positive pour moi. Dans ces circonstances, je regrette d'avoir refusé d'autres clubs. En contact avec Sao Paulo, j'ai choisi l'Inter avec pour objectif le mondial des clubs, c'est ce qui a fait la différence."

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B7620101224140447-Pour-Araujo,-ca-ne-s'arrange-pas..html

76 pays accrochés aux poteaux !

29/12 12:59

Le chiffre a valeur de symbole pour le site poteaux carrés : sur le seul mois de décembre, les potonautes se sont connectés depuis 76 pays différents. On sera toujours là. Partout, toujours...

 

Europe (33) : Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Danemark, Ecosse, Eire, Espagne, Estonie, Finlande, France (y compris DOM-TOM), Hongrie, Irlande du Nord, Islande, Italie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Monaco, Montenegro, Norvège, Pays-Bas, Pays-de-Galles, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Russie, Serbie, Slovaquie, Suisse, Suède, Ukraine.

 

Afrique (15) : Afrique du Sud, Algérie, Burkina Faso, Cameroun, Côte d'Ivoire, Djibouti, Gabon, Gambie, Ile Maurice, Mali, Maroc, Niger, Sénégal, République Démocratique du Congo,Tunisie.

 

Asie (15) : Arabie Saoudite, Chine, Emirats Arabes Unis, Hong-Kong, Inde, Indonésie, Israël, Japon, Liban, Malaisie, Qatar, Singapour, Taïwan, Thaïlande, Turquie.

 

Amérique (11) : Argentine, Brésil, Canada, Chili, Colombie, Costa Rica, Etats-Unis, Mexique, République Dominicaine, Uruguay, Venezuela.

 

Océanie (2) : Australie, Nouvelle-Zélande.

Payet rêve d'habiller le Stade de France en vert

29/12 06:27

Revenant aujourd'hui dans Le Parisien sur la bonne première moitié de saison de l'ASSE, Dimitri Payet rêve d'habiller en vert un Stade de France qu'il a illuminé lors de sa première apparition en bleu.

 

"Si nous avons 29 points à la trêve, c’est que nous avons fait le nécessaire, mais nous ne pensions pas démarrer aussi bien. L’idée, ça reste d’assurer le maintien rapidement et, ensuite, on réajustera nos objectifs petit à petit. Accrocher la Ligue Europa, ce serait exceptionnel. Après les deux années qu’on a vécues, on est encore en reconstruction. Mais avec les prolongations de contrat de Christophe Galtier et de Loïc Perrin, on voit que le club veut miser sur la stabilité. C’est comme ça que Saint-Etienne retrouvera sa place.

Ce qui m’a vraiment marqué, comme tout le monde, c’est ce derby gagné après seize ans sans victoire. Avec ce groupe, on écrit notre propre histoire. On était même leaders à Gerland grâce à ce succès ! Et puis, à notre retour, il-y avait les supporteurs en ville… On sent beaucoup d’attente et d’engouement. Il faut absolument que cela continue, parce que c’est une pression positive. Quand on joue à Geoffroy- Guichard, c’est très différent des dernières saisons. Cela fait vraiment partie des trois ou quatre grands stades en France. Quand on arrive à communier avec notre public, c’est un atout. Il y a quelque chose de bien à faire ici. La Coupe de France est un de nos objectifs. Si on pouvait jouer la finale, le Stade de France serait habillé de vert, ce serait magnifique.

J’ai vécu une période où tout est allé très vite, où j’ai marqué pas mal de buts et découvert la sélection. Aujourd’hui, c’est normal qu’on me demande d’être beaucoup plus performant. Ce n’est pas une pression, c’est une motivation supplémentaire. Désormais, je sais ce qu’il faut faire pour être performant, qu’il faut confirmer à chaque match. Je bosse pour être le plus régulier possible. Et j’ai progressé sur le plan mental."

Allez Gonzalo !

29/12 06:01

Alors que les rumeurs d'un prêt du côté du Racing ou de San Lorenzo commençait à ressortir sur le net argentin, Gonzalo Bergessio dément une nouvelle fois son retour au pays sur le site Diaroshow.

"J'aimerais retourner au Racing mais pas dans l'immédiat. J'ai été blessé mais je me bats pour retrouver une place de titulaire". Cité pour renforcer les grands d'Argentine à chaque marché des transferts, il privilégie les offres venant d'Europe. "Nous verrons bien si une bonne proposition se présente mais pour l'instant je veux rester a Saint Etienne". Gonzo aimerait que 2011 lui donne la possibilité de retourner en sélection. "Ce sera difficile vu la quantité de joueurs et le niveau de jeu mais je lutte constamment pour ça."

Marchal ombre

28/12 20:22

Dans son onze type des flops à la mi-saison, So Foot a associé Sylvain Marchal et le vilain Pape Diakhaté en défense centrale : Pelé (Toulouse), Grichting (Auxerre), Marchal (Saint-Etienne), Diakhatè (Lyon), Savic (Bordeaux) - Ben Khalfallah (Bordeaux), Kovacevic (Lens), Mandjeck (Rennes) - Tafer (Toulouse), Gignac (Marseille), Mbokani (Monaco).

 

A l'inverse, Dimitri Payet et Sylvain Armand font partie du onze type des meilleurs joueurs selon Sport24 : Carrasso (Bordeaux) - Debuchy (Lille), Mangane (Rennes), Armand (PSG), Trémoulinas (Bordeaux) - Chantôme (PSG), Cabaye (Lille), Martin (Sochaux) - Payet (Saint-Etienne), Nenê (PSG), Sow (Lille).

Le bonheur est dans le prêt ?

28/12 18:56

Dominique Rocheteau a évoqué le mercatal hivernal aujourd'hui sur RMC.

 

 "Pour prendre un ou deux joueurs, il faudrait qu’il y ait quelques départs. Bergessio ou N’Daw pourraient être de ceux là. On y travaille. Mais c’est compliqué parce qu’ils n’ont pas beaucoup de temps de jeu en ce moment. On a actuellement un effectif qui vit bien. Il ne s’agit pas de casser cet équilibre. On va donc le faire par petites touches. Si on fait venir un joueur, il faut vraiment qu’il apporte un gros plus à l’équipe. Dans le secteur offensif évidemment.

 

Frau ? On le connait. C’est un joueur confirmé. C’est sûr qu’il serait intéressant pour nous parce qu’il connait le championnat et qu’il peut jouer à plusieurs postes. Mais c’est un joueur qui flambe en ce moment à Lille. A mon avis, il n’y a donc pas de raison pour qu’il parte de son club. Gameiro ? On ne peut pas faire de folies. On est dans la rigueur et la restriction. On cherche à se renforcer sous forme de prêt. On n’a pas les moyens de faire un transfert. Almafitano ? Il intéresse beaucoup de clubs parce qu’il fait une bonne saison. Mais on suit son parcours."

Sako en correctionnelle !

28/12 18:44

Suite à son écart de conduite d'hier soir*, Bakary Sako sera jugé le 18 février prochain devant la troisième chambre du Tribunal correctionnel de Saint-Etienne pour "défaut de permis de conduire" et "transport d'arme de sixième catégorie", un délit passible de trois ans de prison et de 4.000 euros d'amende.

 

* http://www.poteaux-carres.com/potin-B5920101228122245-L'ecart-de-conduite-de-Bakary-Sako.html 

Alain Perrin encore à Al-Khor

28/12 15:27

Tandis que son ancien adjoint va jouer le titre avec les Verts (soyons fous !), Alain Perrin joue le maintien au Qatar avec Al-Khor.  Dans la dernière édition de L'Est Républicain, l'ancien entraîneur de l'ASSE commente son expérience dans le Golfe.

 

"Je suis venu ici l’été dernier parce que j’avais envie d’exercer mon métier et qu’il n’y avait pas d’opportunité de le faire en France à ce moment-là. Je ne me voyais pas plus longtemps sans équipe, je n’avais pas envie d’attendre tranquillement qu’un collègue se fasse virer en Ligue 1. Je dirige une équipe qui pourrait évoluer dans le championnat National en France. Mais ça ne me gêne pas. Ce qui compte, c’est de pouvoir tirer le maximum de mon groupe. C’est le raisonnement qui guide un entraîneur quel que soit le niveau où il exerce.

 

J’ai déjà entraîné dans la région, à Al-Aïn aux Emirats Arabes Unis en 2004. Je me sens bien ici, il y a un cadre paradisiaque qui a compté dans ma décision. Je n’ai vraiment pas à me plaindre. En ce moment, c’est le plein hiver au Qatar où les températures descendent rarement sous les 25 degrés. En été, la moyenne est plutôt d’une quarantaine de degrés, voilà pourquoi la FIFA envisage de faire jouer le Mondial 2022 exceptionnellement juste après les fêtes de fin d’année.  Il faut reconnaître que la chaleur demande une organisation très spéciale."

Mirallas va se faire voir chez les Grecs !

28/12 12:47

Selon la Pravda, Kévin Mirallas, prêté cet été par l'ASSE à l'Olympiakos Le Pirée,  va être définitivement transféré au club grec. Ce dernier a en effet décidé de lever l'option d'achat de 2,5 millions d'euros. L'international belge, auteur de 8 buts cette saison, est le deuxième meilleur buteur du championnat grec derrière Djibril Cissé (qui a déjà scoré à 13 reprises).

 

Amateur de bonne zic et d'incrustations discrètes, le site Gravos nous propose une compilation des pions grecs du Diable Rouge : http://minilien.fr/a0lkvd.

L'écart de conduite de Bakary Sako

28/12 12:24

Sur le site du Parisien, on apprend que Bakary Sako a été placé en garde à vue dans la nuit de lundi à mardi à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) après un contrôle routier. Il a été interpellé au volant de son véhicule, une Porsche Panamera, à la suite d’un «défaut de permis de conduire». Dans l’habitacle, les policiers ont également saisi une matraque télescopique et une poignée à impulsion électrique. L'attaquant stéphanois a été libéré dans l'après-midi.

Metsu touché par Sainté

28/12 10:31

Entraîneur du Qatar depuis 2008, Bruno Metsu évoque ses contacts avec l'ASSE dans un entretien paru ce jour dans France Football.

 

"Je crois que le Qatar sera ma dernière expérience dans les pays du Golfe. Mais j’ai moyennement envie de rentrer en France. Je ne suis pas dans le trip. Mais tout dépend du club. Il faut déjà que ça me plaise. Aujourd’hui, j’ai une chance unique : je décide de mon avenir. Or, en tant qu’entraîneur, vous n’avez pas toujours le choix. Moi, je reçois pratiquement des propositions tous les ans, de France et d’ailleurs. Et c’est moi qui les refuse. Marseille, c’est moi qui ai décliné (...) J’ai eu également des touches avec Lens et Saint-Etienne. De vraies opportunités."

Le potin Morestin

28/12 10:16

Laurent Morestin (34 ans) n'a pas le talent d'un Scifo ou d'un Francescoli. C'est juste quelqu'un de bien, le cœur à portée de main. Juste quelqu'un de bien, sans grand destin. Un joueur à qui l'on tient... et qui mérite un potin !  Entraîneur du FC Bords-de-Saône, l'ancien défenseur central de l'ASSE se confie dans un entretien publié aujourd'hui sur football01. 

 

"Le bilan est forcément très satisfaisant, et ce à tous points de vue. Au niveau sportif, tout d'abord, puisque nous pointons à la seconde place derrière le FC Limonest, avec six victoires pour deux nuls et deux revers. On travaille bien, globalement je pense que l'équipe est à sa place.

 

L'équipe est jeune, elle s'est solidifiée au fil des matchs. Le groupe vit bien. Sa force, c'est son état d'esprit. Les joueurs sont tous des compétiteurs. Cet été, on partait un peu dans l'inconnue, avec le départ de quelques cadres. Individuellement, l'équipe est peut-être moins forte, mais au niveau collectif, elle est meilleure. Le groupe dispose en outre d'une belle marge de progression. C'est très encourageant pour l'avenir.

 

On va essayer de terminer le plus haut possible, de tout donner à chaque match. L'important sera de ne pas avoir de regrets. Le FC Limonest a justifié son statut d'épouvantail de la poule, et à moins d'un cataclysme, évoluera en Honneur la saison prochaine. De notre côté, nous n'avons aucune obligation de montée, on fera de notre mieux." 

Matsui en pince pour la Pincenardière

28/12 09:33

Dans la dernière édition Ouest-France, on aprend que Daisuke Matsui est revenu il y a quelques jours à la Pincenardière (centre d'entraînement du Mans).  Pourquoi ? Parce que la plus grande chaîne de télévision japonaise lui consacre un reportage et lui a demandé de choisir l'endroit où il s'est le plus plu. Après une brève et peu concluante expérience à Tom Tomsk (Sibérie), l'international nippon a émis le souhait de rejouer au Mans. Un voeu pieux selon le quotidien : "Comme il y a un transfert à la clé, le club n'a de toute façon pas les moyens de le faire revenir..."

Titi est gros ministre

28/12 09:05

Titi Camara a été nommé hier par décret ministre des sports de la Guinée. L'ancien attaquant stéphanois a confié ses premières aux Dernières Nouvelles de Guinée.

 

"Je voudrais d’abord remercier le professeur Alpha Condé pour la confiance, ensuite remercier le peuple de Guinée. En tant que footballeur, le peuple de Guinée sait imaginer le respect que j’ai pour le rouge-jaune-vert, le respect que j’ai pour ma patrie. C’est une autre mission qui commence pour moi entant que ministre des sports ; ma priorité c’est le peuple de Guinée. Certes pendant ma carrière sportive, je n’ai pas pu remporter un trophée pour la Guinée mais j’ai fais mon mieux pour la Guinée et les Guinéens. La tâche est énorme et la mission qui m’est confiée n’est pas impossible, à savoir rehausser le sport au sommet. Cela se ferait avec l’appui de l’équipe qui va m’accompagner. Nous allons aider le professeur Apha Condé dans ses projets ; nous allons l’aider dans l’accomplissement de tous le bien qu’il veut pour ce pays.

En tant qu’en ancien du Syli national, je viens dans ce département pour toutes les disciplines confondues, c’est vrai que je connais mieux le football, mais j’ai pratiqué beaucoup d’autres disciplines comme le basket, le tennis, le volley. Ma mission d’abord c’est de donner goût du sport à la nouvelle génération, pour faciliter cela, il faut des infrastructures. Le professeur l’a dit pendant sa campagne, il fera tout pour que les jeunes puissent exercer leur passion et que cette passion soit leur métier pour qu’ils en vivent. Quant à l’équipe nationale, la discipline doit être de rigueur, c’est pour cela que je lance un appel à tous les sportifs qui sont en activité ou en retraite de nous donner la main pour faire avancer le sport car c’est la première fois en Guinée même dans la sous région qu’un ancien sportif soit nommé à ce poste."

Yahia, le faucheur et le chevaucheur

28/12 08:55

Défenseur des Sang et Or, Alaeddine Yahia révèle aujourd'hui au site lensois.com qui est son idole. " Petit, j’adorais Carlos Mozer. C’était un guerrier, un peu comme mon style de jeu. J’aimais bien le voir car avec lui, on pouvait être certain qu’il irait toujours à la bagarre. Il ne lâchait rien ! Dans le même genre, on m’a aussi parlé d’Oswaldo Piazza. Il parait que c’était un élément rugueux et en plus buteur. Je n’ai pas eu la chance de le voir jouer mis à part sur des cassettes vidéo mais, en revanche, j’ai pu le croiser quand j’évoluais à Saint-Etienne."

Anto retient Perrin pour jouer la C1 !

27/12 22:20

Si on figeait le temps et les transferts, quels joueurs, passés sous ses ordres, retiendrait Frédéric Antonetti pour briller en Ligue des Champions ? L'ancien entraîneur des Verts s'est prêté au jeu proposé aujourd'hui par la Pravda. Parmi les 26 joueurs retenus par Anto, on retrouve Loïc Perrin mais aussi Zoumana Camara, Sébastien Perez, Vincent Hognon, Lubomir Moravcik, Piotr Swierczewski et Bafé Gomis.

Les U19 de l'ASNL bottent Hognon

27/12 21:08

Juste avant le centième derby, Vincent Hognon nous avait parlé de sa reconversion au poste d'entraîneur des U19 nancéiens.* Il commente à nouveau ses nouvelles fonctions dans un entretien publié aujourd'hui sur le site officiel de l'ASNL. Extraits.

 

"Au niveau du management, je suis quelqu’un qui parle beaucoup au cours des séances ou des matchs. C’est quelque chose qui est venu naturellement au fil de ma carrière car j’étais plutôt timide au début. Au centre de formation, nous devons d’abord respecter des critères communs à toutes les équipes et sommes obligés de passer en revue les différents systèmes de jeu pour que les gamins ne soient jamais perdus. Ils doivent être prêts et connaître leurs missions quelle que soit l’organisation tactique. Ensuite, dans ce que tu leur demandes, tu peux quand même imposer ton style. J’étais défenseur et j’aime bien quand on s’appuie sur une base solide. Mais, avec des jeunes en formation comme ici, on ne doit jamais fermer le jeu. Parfois, on peut être forcé à défendre parce que le match est difficile mais on doit toujours demander aux joueurs de s’exprimer. C’est notre politique à l’ASNL.

Même si je garde encore un peu l’âme d’un joueur, j’étais prêt à devenir entraîneur. C’est un métier complètement différent qui occupe à plein temps. Même quand je suis chez moi et que je regarde la télévision, je continue à réfléchir à ce que je pourrais améliorer dans mes séances. Il faut vraiment être passionné car on ne peut pas exercer ce job à 50%. Il faut sans cesse s’adapter car cela reste des adolescents. C’est une période importante qui demande un gros travail psychologique. Il faut leur imposer de la rigueur tout en les laissant respirer un peu car leurs journées sont très chargées avec les entraînements et les heures de cours. Ce n’est pas facile de trouver le juste milieu.

Si je devais m’inspirer d’une caractéristique de chacun des entraîneurs qui t’ont dirigé en pro ? La rigueur, l’état d’esprit et tout l’aspect défensif de Lazlo Bölöni. Il était très performant dans ces domaines. Ce n’est pas un hasard si nous n’avons encaissé que 23 buts en 42 matchs lors de la saison 1995/1996. Élie Baup est davantage psychologue. Il cerne parfaitement le profil du joueur et s’adapte en conséquence. Cela m’a donné beaucoup de confiance. Enfin, j’ai beaucoup appris tactiquement avec Frédéric Antonetti. Avec lui, il y avait cette solidité mais aussi toujours la recherche du jeu.


Quand il manque un joueur, je fais le nombre. Le terrain me manque un peu mais j’ai toujours mal au genou. C’est la vieillesse (rires). Et plus que le jeu, c’est la compétition qui me procurait un maximum de plaisir. Je retrouve un peu cela sur le banc même si on ne joue pas forcément la gagne au centre de formation. On doit tout de même leur inculquer cette envie de gagner mais toujours avec la manière. J’apprends le métier et ne sais pas jusqu’où je vais aller. Aujourd’hui, je m’éclate mais je ne sais pas combien de temps cela va durer. Je n’ai pas de plan de carrière. Je me découvre et je suis très bien là. Me connaissant, je pense que j’aurais peut-être un jour envie d’aller entraîner des seniors mais je ne sais pas à quel niveau…"

 

*http://www.poteaux-carres.com/pototheque.html?page=9

JC dans la Bible

27/12 18:32

Diplômé en psychologie, Jacques Crevoisier est un "profiler" chargé d'évaluer les aptitudes psychologiques d'un jeune à faire carrière professionnelle dans le football. Une mission qu'il effectue pour Arsenal, Tottenham, Sochaux, Monaco, Lens… et Sainté. Suivi par France Football le 5 novembre dernier au cours d'une de ses séances d'évaluation psychologique à L'Etrat, JC est à l'honneur dans la dernière édition de la bible du football. Morceaux choisis.

Sa méthode ? Un questionnaire de 117 questions à l'attention des apprentis footballeurs. "Mes résultats sont confirmés à 90% par les observations des formateurs. Comme le délai accordé pour répondre est très bref, les gamins n'ont donc pas le temps de bluffer sur l'ensemble du test. Si la méthode est fiable, elle est encore perfectible. "C'est Arsène Wenger qui m'a dit qu'évaluer l'amour du foot n'était pas suffisant mais qu'il fallait aussi déterminer le désir de vaincre, le sens du sacrifice pour le collectif. D'ailleurs, dans le cahier des charges de la formation espagnole, il y a désormais la prise en compte de "l'intelligence émotionnelle", c'est-à-dire la capacité à s'adapter en tenant compte des disparités d'un groupe.

11h45. Tout juste arrivé au centre d'entraînement de Saint-Etienne, il croise Christophe Galtier, la mine légèrement soucieuse. Les deux hommes s'éclipsent une bonne demi-heure dans le bureau du technicien stéphanois. Rien ne filtre mais une chose est sûre : Jacques Crevoisier a ses entrées au club et un avis qui compte.

12h30. A la cantine du club, il est à la table des entraîneurs des jeunes. Au beau milieu du repas, débarque Roland Romeyer. Souriant, le président décline en quelques minutes la politique sportive du club : plus de transfert fracassant et pari à fond sur les jeunes de la région.

13h45. C'est l'heure du debriefing avec les entraîneurs des jeunes à propos de son travail d'évaluation. Objectif : confronter les résultats du questionnaire avec les observations des techniciens du club. Un cas pose problème : très doué mais incapable de tout donner, il illustre cet exemple en comparant Benzema à Higuain. "Karim est peut-être meilleur. Mais l'argentin se surpasse dans l'effort. A l'arrivée, qui est sur le banc quand il n'est pas blessé ? "

15h30. Toutes les classes d'âge ou presque de l'ASSE sont sur le pont. Ateliers de passes chez les U13, coordination chez les U15 et opposition pour les U17. Il repère de suite un jeune très prometteur, milieu défensif "maousse" d'une maturité technique et tactique étonnante. "Regardez le travail d'appuis, il est fréquent, jamais à l'arrêt, un peu comme M'Vila. Dans l'idéal, il faudrait que je puisse assister régulièrement aux séances pour affiner mon éducation."

Dis-moi pas qu'CPA vrai ?!

27/12 14:50

C'est l'une des stats les plus étonnantes à la trêve : inoffensifs sur coups de pied arrêtés depuis de trop longues années, les Verts sont en tête au nombre de buts marqués sur coup francs directs ! Grâce à Dimitri Payet (contre Montpellier et les vilains) et Bakary Sako (contre Monaco), l'ASSE a mis 3 des 11 pions claqués sur ce type d'action cette saison en L1 ! Grâce à son pagayeur Marama Vahirua, Nancy occupe la deuxième place de ce classement. L'un des deux coups francs directs du Tahitien a d'ailleurs été mis contre Sainté...

Rio n'aime que le brio

27/12 14:22

Le LOSC a établi contre Sainté le record de possession de balle des matches aller : 71%. Du coup, Rio Mavuba ne digère toujours pas le match nul concédé par les Dogues. En vacances dans l'île Maurice, le Dogue se confie aujourd'hui dans le quotidien local L'Express :

 

"Ça m’a énervé. Saint- Etienne n’était venu que pour défendre. C’est dommage, surtout que Lille est une équipe qui joue. On ouvre le score et derrière on prend un penalty qui est quand même dur, sur une faute peu évidente… Bon, c’est vrai que ça dépend de l’arbitre (...) On a une équipe joueuse, on aime bien toucher le ballon, jouer du bon football avec Gervinho et Hazard sur les côtés. On a un entraîneur qui aime ça aussi. On n’est pas très physique, on a des petits gabarits… Comme moi tiens ! (rires) On a beaucoup de joueurs de ballon, on marque beaucoup de buts.

 

Le spectateur paie et n’a pas envie de voir des équipes défensives, comme Saint-Etienne face à nous l’autre jour. Mais beaucoup de clubs font avec les moyens du bord et n’ont pas le choix. Je crois que les gens veulent voir des matches comme celui qu’on a fait contre Lorient, avec beaucoup de buts (Ndlr : 6-3 début décembre). On a attaqué pour gagner, mais on aurait pu perdre aussi… Il y a des entraîneurs qui viennent avec beaucoup de pression et ils cherchent plus à bien défendre qu’à attaquer. Après, tout le monde n’a pas les moyens d’attaquer non plus. Il faudrait peut-être mettre un challenge pour motiver ceux qui gagnent par deux buts d’écart…"

Tholot dans les pas de Sarramagna

27/12 07:32

Après avoir joué sous les ordres de Christian Sarramagna à Sainté puis à Martigues, Didier Tholot entraîne la Berrichonne de Châteauroux, club coaché il y a deux ans par le mythique ailier gauche de l'épopée des Verts ! Dans son édition d'hier, La Nouvelle République a eu l'idée de recueillir les impressions des deux hommes.

 

Didier Tholot : "J'avais fini ma saison à Reims (D2) avec quatorze ou quinze buts et j'avais pas mal d'opportunités en L1. Le choix a été facile quand Saint-Etienne s'est présenté. Je gagnais bien ma vie à Saint-Etienne mais j'ai déchiré mon contrat et je suis parti à Martigues où j'ai divisé mon salaire par trois et demi. L'assurance et le plaisir de jouer ont été plus forts."

 

Christian Sarramagna : ""Je l'ai récupéré deux fois. Lorsque j'entraînais Saint-Étienne, je l'ai fait venir en 1991-1992 mais, ensuite, j'ai quitté le club et ça ne s'est pas bien passé avec Jacques Santini. A Martigues, je l'avais associé à Patrick Colot et ça l'a relancé. Il n'avait pas de concurrence en attaque et il a inscrit 14 buts, ce qui nous a permis de nous maintenir avec le plus petit budget. Didier n'était pas pétri de qualités naturelles mais il compensait par son travail et son abnégation. Il a toujours aussi dégagé beaucoup de positif pour le groupe qu'il tirait vers le haut. Il a toujours eu un comportement exemplaire et je me suis toujours dit qu'il méritait de réussir. Je ne regrette pas de lui avoir tendu la main. C'est un garçon qui était toujours à l'écoute et très réceptif, qui avait envie d'apprendre. Il avait une certaine ambition pour préparer une carrière d'entraîneur. Il l'a d'ailleurs plutôt bien débutée avec Libourne où il a réalisé de l'excellent travail. Aujourd'hui, il rebondit à Châteauroux où il effectue un travail de fond. J'espère que l'équipe va poursuivre sur sa lancée."

Folly sort de son hibernation

26/12 20:26

Auteur d'un affreux début de saison avec Aberdeen (avant-dernier du faiblard championnat écossais), Yoann Folly (25 ans) s'est réveillé lors du Boxing Day en inscrivant le premier but de la victoire (2-1) de son équipe sur le terrain d'Hibernian : http://minilien.fr/a0lkqq.

Fêtons Saint-Etienne avec Jolan42 !

26/12 19:50

Auteur de la mythique vidéo pré-derby diffusée par Galette à ses joueurs avant l'inoubliable soirée du 25 septembre, Jolan42 nous fait revivre dans son dernier montage les images fortes de la belle première moitié de saison  de Saint-Etienne : http://jolan42.free.fr/.

Sauget agit comme JJ

26/12 16:21

Jérémie Janot et David Sauget font partie des treize joueurs de L1 ayant disputé l'intégralité des 19 matches aller. Comme le gardien stéphanois, le défenseur sochalien (s')investit également en dehors du rectangle vert selon une information parue ce jour dans L'Est Républicain. Si JJ a fait équipe avec Loïc Perrin pour inaugurer leur Club 42 le 30 septembre dernier*, l'ancien latéral grenoblois a décidé de s'associer avec son beau-frère Camel Meriem pour financer un complexe sportif de 5000 m2 près de l'Axone, dans le pays de Montbéliard.

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B2220101001070648-Bienvenue-au-Club-42-indoor-!.html

Boxing Day : l'esclave assomme Fulham

26/12 14:34

West Ham s'est imposé 3-1 cet après-midi sur le terrain de Fulham lors du traditionnel Boxing Day. Menés 1-0 dès la onzième minute, les Hammers ont pris l'avantage juste avant la mi-temps grâce à Frédéric Piquionne, auteur de son quatrième pion de la saison : http://www.dailymotion.com/video/xgal2z_ful-1-2-wes_sport.

Passi passe ses diplômes

26/12 14:00

Les Verts ont redonné envie à Gérald Passi de travailler dans le milieu du foot, comme le reconnaît l'ancien milieu de terrain stéphanois lors d'un entretien publié aujourd'hui dans La Dépêche du Midi.

 

"Je vis à Annecy, en Haute-Savoie. Je suis en train de passer mon brevet d'état d'entraîneur. L'année dernière, j'ai été employé comme recruteur par l'AS Saint-Etienne. C'était une très bonne expérience. Je me suis dit qu'il fallait quelques connaissances supplémentaires pour l'entraînement, le recrutement, la perception des joueurs… J'ai mis ma société de design entre parenthèses pour me consacrer à mes diplômes d'entraîneur. Je me suis donné six mois pour arriver à décrocher ce brevet. Je verrai ensuite si des clubs me font des propositions.

 

Je n'avais pas tiré un trait sur le foot, disons plutôt que je m'en étais éloigné. J'ai travaillé dix ans dans le design, j'avais monté une société d'import-export. Et puis suite à des considérations d'ordre professionnel et familial, ma vie a un peu changé. Je me suis remis en question. J'ai eu l'opportunité de faire du recrutement de joueurs, ça m'a plu et je me suis réengagé dans cette voie-là.

 

Je n'ai pas de regrets, ce n'est pas dans mes habitudes. La seule chose qui laisse un doute dans mon esprit, c'est la carrière que j'aurais pu avoir si je n'avais pas été autant blessé. J'étais un footballeur, j'aimais ça. Tout ce qui m'intéressait, c'était le jeu. Je regrette tous les moments que je n'ai pas pu passer à jouer au foot. Regarder jouer les autres m'a presque traumatisé.

Le TFC, c'était la période la plus belle en tant que footballeur et post-adolescent. C'était l'insouciance. Je me souviens de l'accueil, humain voire familial, que m'avait réservé Marcel Delsol, le président du TFC de l'époque. Et puis c'était le début de ma carrière internationale. Les joueurs avaient de véritables liens entre eux. On avait tous le même âge, on a vécu une histoire commune. J'ai gardé des liens forts avec Despeyroux, Delpech, Oliver, Espanol, Huc, Durand… Parfois, on était capable de sortir du terrain pour faire jouer un copain ; aujourd'hui, ce serait inconcevable.

Comme j'avais brillé contre le Spartak de Moscou, on m'avait présenté comme le successeur de Michel Platini. Moi, je n'y ai jamais cru. Je savais qui était Platini, qui était Passi. Je ne suis jamais rentré dans son costume, ni dans la tête ni sur le terrain. Il faut rester soi-même. Personnellement je n'ai jamais ressenti de pression."

Kastendeuch défend toujours ! (2)

26/12 13:42

Réélu le 13 décembre dernier à la co-présidence de l'UNFP*, Sylvain Kastendeuch se félicite aujourd'hui dans La Nouvelle République de fédérer 87% des joueurs professionnels en France.

 

"Le secret de ce taux record ? C'est d'abord une tradition. L'UNFP accompagne la vie professionnelle des footballeurs sous ses différents aspects depuis presque cinquante ans. Et surtout, nous avons toujours mené un travail au plus près du terrain. Par l'intermédiaire de nos délégués régionaux, nous sommes au coeur des préoccupations de la profession. C'est tout cela qui explique notre taux record de syndicalisation, même si le métier de footballeur est une niche. Concernant les joueurs français, on dépasse même les 95 % d'adhérents. La seule population qui nous échappe toujours un peu, ce sont les joueurs étrangers fraîchement arrivés en France. Mais globalement, la profession est avec nous. C'est aussi un démenti à l'idée reçue qui veut qu'un sportif professionnel soit un individualiste. En vérité, nous avons une population très réceptive à l'intérêt collectif.

 

L'économie du sport est fragile par nature et la crise que nous traversons accroît encore cette fragilité. Cela implique la vigilance pour la défense des droits de ceux qui vivent du sport. Concernant le football, il y a l'image souvent véhiculée dans l'esprit des gens, qui ne montre que des milliardaires et des nantis. En réalité, il y a surtout un métier où la précarité est forte, où les remises en cause sont fréquentes, où le chômage sévit.Lorsqu'arrive l'intersaison, nous avons régulièrement entre 250 et 300 joueurs sans club, que nous accueillons et auxquels nous permettons de continuer à s'entraîner afin de retrouver un employeur. En fin de saison, on pourrait être dans une fourchette haute, puisqu'on se projette sur 310 à 320 joueurs en fin de contrat qui devraient passer par l'UNFP.


Les joueurs qui quittent la vie sportive aujourd'hui sont-ils mieux armés que leurs aînés à l'heure de l'après-football. Il faut saluer les efforts fournis dans ce domaine par les centres de formation et les clubs. Jadis, il y avait un déficit de formation scolaire dans la population des sportifs professionnels. Aujourd'hui, la moitié des joueurs sont bacheliers, ce qui est un préalable précieux à la démarche de reconversion et de qualification. Après le football, il y a ceux qui passent leurs diplômes d'entraîneur, ce qui est un prolongement naturel de la carrière sur le terrain. Bien sûr, nous les accompagnons. Mais il y a aussi des reconversions qui n'ont rien à voir avec le sport, parfois des reprises d'études, et l'UNFP s'efforce d'accompagner le maximum de projets. Personnellement, j'encourage toujours les joueurs à envisager leur reconversion le plus précocement possible afin d'avoir les meilleures chances de réussite, l'heure venue. Et puis, il est révolu, le temps où les dirigeants de clubs étaient eux-mêmes des patrons de boîtes qui pouvaient embaucher leurs joueurs fidèles. Aujourd'hui, le contexte économique s'est durci pour tout le monde.

 

En ce qui concerne la renégociation des droits télévisés par la Ligue de football, nous sommes pleinement aux côtés du président Thiriez et des patrons de clubs. Nous devons être très vigilants sur cette question, car les droits télévisés représentent environ 60 % du budget des clubs, ce qui en fait une ressource indispensable, chez nous comme dans les autres pays. Dans le contexte de concurrence européenne que nous vivons, personne ne sortirait gagnant d'un appauvrissement. Nous sommes également attentifs à la répartition des moyens, notamment entre la Ligue 1 et la Ligue 2. La tradition du football français, c'est la solidarité avec le monde amateur et c'est aussi une justice dans l'attribution des ressources aux différents niveaux de compétition. En Ligue 2, nous pouvons compter sur des dirigeants déterminés et efficaces, qui savent faire entendre leur voix."

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B3120101213185110-Kastendeuch-defend-toujours-!.html

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