Dans le Dimi-trio de tête

19/04 08:02

Avec 12 buts marqués sur la saison, Dimitri Payet monte sur la 3ème marche du podium des meilleurs marqueurs Verts en championnat depuis notre remontée en Juin 2004.

Bafé Gomis (16 buts en 2008) et Pascal Feindouno (13 buts en 2005) devancent pour l'instant Payet, qui a 7 matches pour faire mieux.

Si on remonte à l'après première descente (celle de 1984), on retrouve Garande (17 buts en 1988), Lolo Blanc (13 buts en 1995), et bien entendu Alex (15 buts en 2000, 13 buts en 2001).

Vitoria Abril pour Salabiakou

19/04 06:56

Selon le site portugais Mais Futebol, Kevin Salabiakou est à l'essai depuis hier au Vitoria Guimarães, club classé actuellement à la cinquième place de la Liga Sagres. En fin de contrat à Sainté, cet ailier n'a marqué qu'un petit but cette saison lors de ses 24 matches avec l'équipe réserve de l'ASSE.

Zigzag file droit vers la présidence !

18/04 19:38

Actuellement directeur sportif du centre de pré-formation de l’AS Grand Nord, Jacques Zimako (59 ans) a expliqué hier qu’il briguait le poste de président de la Fédération calédonienne de football. "Zigzag" dévoile les raisons de sa candidature lors d'un entretien publié aujourd'hui dans Les Nouvelles Calédoniennes. Extraits.

 

"C’est une décision qui est mûrement réfléchie et qui fait suite à ce que j’ai pu observer depuis plusieurs années. Le football calédonien a un peu progressé au niveau de la sélection seniors. Pour ce qui concerne le reste, on est plus dans l’ombre que dans la lumière. Je veux dire par là que lorsqu’il y a des échéances internationales importantes qui se profilent pour nos sélections de jeunes, on doit les préparer du mieux possible. C’est quelque chose que l’on doit faire sérieusement. Et ce n’est pas le cas actuellement.

 

On a toujours eu tendance à privilégier les seniors. Ce que je comprends. Mais la Fédération a oublié les petits alors que c’est le contraire qu’il faut faire. A partir du moment où l’on travaille avec les jeunes, on est sûr que cela va finir par porter ses fruits. Un club comme Baco, qui a été plusieurs fois champion de Calédonie, connaît des difficultés car il n’a pas pu ou su former des jeunes.

 

Le temps où l’on partait en France tenter sa chance est fini. Le niveau est tellement élevé maintenant que les jeunes Calédoniens ne peuvent plus le faire sans passer avant par un centre de pré-formation ici. C’est pour cela qu’avec Philippe Hummel on a mis notre centre en place. Et ce qu’on a réussi à faire dans le Nord, on veut le développer partout en Calédonie. Il n’y a qu’en multipliant ces exemples que l’on pourra alors parler de formation au centre technique de Païta qui, actuellement, ne sert à rien. On ne peut pas l’alimenter. Ce qu’on a réalisé avec l’AS Grand Nord devrait normalement être du ressort de la Fédération.

 

La Fédération actuelle a semé la pagaille et a monté les clubs les uns contre les autres. Ce que je souhaite, c’est l’inverse. Je souhaite fédérer les clubs pour rendre les comités plus forts. Car la Fédération ne peut fonctionner correctement que si les clubs se portent bien. Je suis tous les week-ends sur les terrains et je peux vous dire que je croise toujours les mêmes personnes, mais jamais ceux de la Fédération. Pour critiquer, ils sont forts, mais dès que l’on parle de terrain il n’y a plus personne."

Non Galette, ce n'est pas in the pocket !

18/04 19:17

"Le maintien est assuré maintenant" a affirmé Galette après la victoire des Verts contre Nancy. Statistiquement, c'est inexact : selon les savants calculs du chercheur Fabien Torre*, Sainté peut encore descendre en L2. Cette probabilité est certes très faible : 0,03 % ! On notera que l'ASSE a 0,01% de chance de décrocher un onzième titre, 0,79% de se qualifier en Ligue des Champions, 12,53% de finir dans les 5 et 35,38% de terminer dans les 6 !

 

*http://www.grappa.univ-lille3.fr/~torre/Football/L1/2010-2011/SaintEtienne.php

Ben va bene !

18/04 11:39

Trois mois après sa dernière apparition dans le onze de départ de Cesena, Yohan Benalouane a été titularisé hier soir pour la dixième fois de la saison. Victorieux 1-0 contre la lanterne rouge Bari, l'ancien défenseur stéphanois sort de la zone rouge, pour le plus grand bonheur des dirigeants stéphanois.* Avant ce match, Big Ben s'est confié au site Il Resto Del Carlino. Extraits.

 

"On m'avait toujours dit que le championnat italien faisait partie des plus difficiles au monde et je m'en suis rendu compte. Il est certain qu'il est plus insidieux que la Ligue1. On m'avait parlé de schémas tactiques stricts mais je ne m'attendais pas à des schémas aussi complexes. Les entraînements sont physiquements plus lourds mais je m'y suis habitué.

 

L'irrégularité de mes prestations ? J'ai deja expliqué que la langue était une barriere. Je pense qu'au début j'ai mal commencé. J'ai raté mes matches contre Bari et Bologne, et malheureusement dans la carriere d'un joueur ces mauvais matchs comptent. J'espere avoir payé le prix de mon inexpérience. J'espere pouvoir prouver dans les semaines qui arrivent mes vraies qualités. J'espère et que les supporters comprendront que ce n'est pas facile pour un jeune joueur quand on change de pays et d'ambiance.

 

Contre Bologne, je me suis comporté car ca m'a fait mal de sortir et surtout de sentir les supporters me huer. J'étais très mal. Ce geste fut le fruit de colère sur le coup, mais je tiens à dire que je ne voulais pas manquer de respect à qui que ce soit. Quand j'ai réalisé l'ampleur de mon geste, je me suis excusé auprès des supporters. Je me sens bien à Cesena, les gens sont gentils, ma copine Alessandra et moi vivons bien.

La rumeur concernant l'intérêt du PSG ? J'ai entendu parler de ça, mais ca ne me fait rien. Je pense uniquement à Cesena : J'ai un contrat de quatre ans que je souhaite honorer et au plus haut niveau. Je dois convaincre le staff et les supporters. Saint Etienne c'est un grand club. J'ai joué sous les couleurs vertes durant une douzaine de saisons. J'ai préféré venir jouer en Italie par choix de carriére. J'avais entendu dire de la bouche de Zidane qu'en Italie on y travaille bien, j'en ai aussi discuté avec ma famille car c'etait un choix important pour le reste de ma carriere.


Le coach Ficcadenti fait du bon travail, nous parlons souvent de ce qui ne va pas dans mon jeu. Il me conseille d'etre moins virulent sur l'homme. Les attaquants italiens sont des grands cascadeurs et de temps en temps les arbitres se laissent prendre au jeu, en France ça joue plus à l'anglaise."

* http://www.poteaux-carres.com/potin-B8520100904091753-Forza-Cesena-!.html

Tavla la ramasse face à Mirallas

18/04 11:22

Sacré champion depuis plusieurs semaines, l'Olympiakos a clôturé hier son championnat à la sauce Larisa. A la ramasse face à Mirallas, Tavla - déjà condamné* - a cédé sa place à la mi-temps. Si le compteur de Kevinou est resté bloqué à 14 pions, il a contribué au carton de son équipe en adressant une passe décisive : https://www.youtube.com/watch?v=yRCXrnt2cE4.

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B7620110411195343-Tavlaridis-de-der-!.html

Un futur Parisien dans Le Parisien ?

18/04 08:27

Présent hier au Parc des Princes*, Dimitri Payet se confie aujourd'hui dans Le Parisien.

 

"Ces deux buts sont importants parce qu’on était menés et qu’ils permettent d’assurer le maintien, qui était l’objectif cette saison. On a un calendrier difficile avec les réceptions de Lille, Rennes et Paris. A nous d’être sérieux, et on ne pourra qu’être agréablement surpris à la fin de saison.

Je me suis réconforté par le travail et j’ai insisté sur le physique. Aujourd’hui, je me sens bien. Je m’étais défini comme un passeur et j’ai fait ce qu’il fallait pour devenir un buteur. Les buts inscrits m’ont donné confiance, et c’est ce qui fait qu’aujourd’hui je tente plus. Ça me réussit. La joie du buteur est différente de celle d’un passeur, et j’y ai pris goût. Je ne cherche pas spécialement à me montrer, ce serait égoïste par rapport à mes coéquipiers. J’ai tout simplement envie de faire mon jeu et de rester comme je suis sur le terrain depuis le début.

Je suis flatté par l'intérêt des clubs qui me suivent. C’est toujours plaisant de savoir qu’on est suivi. Après, on verra quelles seront les propositions à la période voulue. La France reste ma priorité même si, un mercato, c’est long. Mais c’est vrai que j’aimerais bien rester en Ligue 1."

 

* http://www.poteaux-carres.com/potin-B6220110417192447-Dimitri-von-Paris.html

Un Ange passe, un Coq reverdit (3)

18/04 05:21

Le Coq Sportif sort aujourd'hui sa ligne de vêtements "L'Ange Vert". Grande icône de la marque, Yannick Noah en profite pour rendre hommage à l'ASSE de Dominique Rocheteau dans La Gazette du Coq.

 

"A l’automne 1975, lors du début de la grande épopée de Saint-Etienne en Coupe d’Europe, j’étais pensionnaire à Nice. La pension, ce n’est pas toujours drôle. Sauf lorsqu’il y a un match. Car cette année-là, les seuls soirs où l’on nous autorisait à regarder la télévision, c’était lorsque Saint-Etienne disputait une rencontre de Coupe d’Europe. Alors dès qu’ils gagnaient, on savait qu’on avait une autre soirée de folie en perspective. Autant vous dire que c’est comme cela et pour cela que je suis devenu supporter de Rocheteau. Pour nous, les matches de Saint-Etienne, c’était un peu la « perm » ! On en parlait deux ou trois jours avant, on faisait des pronostics sur les buts qu'allait marquer Dominique, on était comme des dingues !

A l’époque, on passait aussi notre temps libre à jouer au Subbuteo. C’était un jeu avec des figurines de joueurs de foot, qu’on faisait avancer ou tirer avec l'ongle, d'une sorte de pichenette. A chaque fois qu’on y jouait, je disais que mon équipe s’appelait Saint-Etienne et mon attaquant Dominique Rocheteau. C’est vous dire si j’étais fan. Et en plus, je gagnais à tous les coups ! Mais revenons-en à mon pensionnat à Nice. Les gamins qui étaient là-bas avec moi venaient d’un peu partout. Mais, comme moi, ils supportaient tous Saint-Etienne. Il faut se remettre dans le contexte. En 1975, rien n’était dilué : on n’avait pas des matches de foot tous les soirs à la télé. Alors quand les Verts jouaient, c’était un évènement. Ces mecs avaient un capital sympathie énorme. Pourquoi ? Parce qu’ils avaient tous des tronches pas croyables. Rappelez-vous des potes de Rocheteau. Curkovic, Piazza, Janvion, Repellini, Lopez, Bathenay, Larqué ou encore les frères Revelli. Ils avaient tous des gueules extraordinaires. Ce n‘est pas comme aujourd’hui où vous avez parfois la douloureuse impression que tous les joueurs sont des clones.

Et je ne parle même pas de Dominique Rocheteau, avec ses cheveux longs et son look d’enfer. Je me souviens encore d’avoir lu dans un magazine de foot l’un des seuls reportages qu’il ait accepté de faire chez lui. Ce mec était une star et alors que tous ses coéquipiers vivaient dans des super baraques, lui s’était installé dans un chalet en bois dans les montagnes au-dessus de Saint-Etienne. Et pendant que ses potes claquaient leurs salaires en s’achetant des énormes bagnoles et en flambant dans les boites de nuit, il passait son temps libre à jouer de la batterie dans son petit chalet. Ça m’avait vraiment marqué parce que cela dénotait une personnalité hors-norme, complètement à part. J’étais trop jeune pour le réaliser mais quelques années plus tard, j’ai compris que Dominique Rocheteau était le meilleur ambassadeur du sport qui soit. Qu’il incarne le sport de haut niveau en France était d’une logique implacable. D’être représenté par lui était une fierté.

Je dis ça en connaissance de cause car nos chemins se sont croisés quelques années plus tard, grâce à un ami commun, le joueur du PSG Michel N'Gom, qui s’est tué en voiture en 1984, alors qu’ils étaient tous deux avec Dominique les attaquants vedettes du PSG. Quand j’ai connu Dominique Rocheteau, j’ai pu juger par moi-même de sa personnalité hors norme. Par la sa suite, on m’a souvent comparé à lui , à cause de nos goûts culturels ou de notre sens politique. Au niveau caractère, pourtant, nous sommes très différents. Cela n’aura échappé à personne que je suis nettement plus extraverti que lui ! En plus, Dominique Rocheteau est un mec pur, il est droit. Pas comme moi, qui ait déconné de temps à autre ! Lui, il est toujours resté le même. Ce titre lui va si bien, parce qu’en dehors du terrain, lorsqu’il n’y a plus de lumière, il reste toujours le même. Alors, oui, j’ai envie d’être nostalgique. Même si la nostalgie, ça fait du bien !

Peut-être, me direz-vous, que je revois tout cela avec le prisme de mes années de pensionnat. Mais depuis la folle épopée de Rocheteau et des Verts en Coupe d’Europe durant la saison 1975-76, je n’ai jamais rien ressenti de tel pour un club, même en 1993, lorsque Marseille est devenu champion d’Europe. Sur le papier pourtant, Robert Herbin, l’entraîneur des Verts, n’avait peut-être pas la meilleure équipe qui soit. Mais il avait su rassembler sur le terrain des joueurs comme Rocheteau, qui jouaient pour le plaisir, l’éclate et qui avaient une niaque pas possible. C’était le début de quelque chose qui a fait dire à toute une génération de sportifs français derrière eux : « mais mince, nous aussi, nous pouvons être les meilleurs !"

Merci Papus !

17/04 21:00

Gomis et ses vilains coéquipiers ont sans doute dit adieu au titre ce soir en s'inclinant au Parc des Princes. Si Bafé a tiré sur la barre, c'est son ancien coéquipier Zoumana Camara qui a inscrit l'unique but de la rencontre à la 77ème minute : https://www.youtube.com/watch?v=ShMCvadQaO4.

Dimitri von Paris

17/04 19:31

Après avoir piteusement reluqué le Parc des Princes le 31 janvier, Dimitri Payet y assiste ce soir au match du PSG contre les Vilains. La prochaine fois qu'il pénètrera das l'enceinte parisienne, portera-t-il le même maillot que son pote Hoarau ?

U19: ça se Corse

17/04 19:04

Les U19 de l'ASSE se sont inclinés cet après-midi 1-0 en Corse, face à Ajaccio. Dans un match marqué par le manque d'engagement de certains joueurs stéphanois, les Corses ont marqué l'unique but de la rencontre d'une frappe puissante sous la barre à la suite d'un corner, un joueur insulaire profitant d'une mésentente de deux joueurs foréziens.


La composition: Sanou - Muroni (Chapuis, 45ème); Thalamy; Albert; Djéridi - Argaud; El Moudane; Nyemeck; Aouacheria (Nassuf, 20ème) - Tack (Mayi, 70ème); Mahaya

La réaction d'Abdel Bouhazama: "Je vais faire court: on a été nuls. Je n'ai pas aimé l'image du club que certains ont donné à la centaine de spectateurs présents. Il y a eu un manque d'investissement, le but qu'on prend en est l'illustration: j'ai deux joueurs à un mètre du ballon qui se regardent, et c'est un adversaire qui lui est à quatre mètres qui finit par la mettre au fond. On a joué jeune avec sept 94 qui ont un peu souffert dans l'impact physique face aux 92. Mais ça c'est normal, ce n'est pas ce que je regrette... Le classement m'inquiète, je le dis depuis longtemps. Si certains pensent qu'on va se maintenir tout seul, ils se trompent. Ceci étant dit, avec le match de retard qu'on jouera face au même adversaire dimanche prochain, on a encore notre avenir entre les pieds."

Un ancien Vert claque contre Anvers

17/04 18:16

Sur péno, Samy Houri a marqué aujourd'hui contre le Royal Antwerp FC son cinquième pion de la saison. Malgré ce but de l'ancien lutin stéphanois, Ostende a concédé sa 14ème défaite de la saison et reste englué dans le ventre mou de la L2 belge.

Planté las

17/04 18:05

Titularisé pour la 15ème fois de la saison, Vincent Planté a encaissé ce soir contre Valenciennes son 34ème pion, synonyme de relégation pour Arles-Avignon. Pour rappel, l'ancien gardien caennais est sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2012.

U15 : des Verts luisants à Caluire

17/04 17:07

Cet après-midi, les U15 de l'ASSE se sont brillamment imposés 3 buts à 2 sur le terrain des durs à cuire de Caluire, 2ème du championnat derrière les petits vilains.

 

Dans la banlieue de la banlieue, les Verts ont ouvert le score à la demi-heure de jeu par Florent Indalecio sur un coup franc de Kenzo Gacem. Les locaux ont égalisé en début de seconde période mais les Stéphanois ont repris l'avantage à l'heure de jeu sur une tête de Geoffroy Jensel, bien servi par Victor Dutreive. L'ASSE a fait le break dans la foulée sur un corner de Kenzo Gacem repris par Florent Indalecio. Si Caluire a réduit le score à la 75ème minute, les protégés de Philippe Guillemet sont repartis du Rhône avec les quatre points de la victoire, consolidant ainsi leur troisième place.

 

La compo : Daures - Pouyet, Gardon, Contrino, Clément - Bon, Jensel, Gacem - Di Piazza, Zerguine, Dutreive. Sont entrés en jeu : Kalala, Indalecio, Berne.

U17 : en Hérault malheureux

17/04 13:54

Les U17 de l'ASSE se sont inclinés 3-1 hier après-midi à Montpellier. Profitant de grosses erreurs de couverture de la charnière centrale stéphanoise, les Héraultais ont plié le match en menant 3-0 au bout de 18 minutes de jeu !

 

Assommés d'entrée, les p'tits Verts ont réagi mais Florian Milla a eu la malchance de voir son tir repoussé par le poteau. Déçu de ne pas être retenu dans l'équipe de France U16 qui jouera le Mondial à Montaigu, Selim Kayaci a sauvé l'honneur d'une frappe lointaine à un quart d'heure de la fin.

 

La compo : Beccu - Chausse, Sigot, Belkorchia, Peillon - Kayaci, Vandamme (Milla, 46'), Ejenavi, Bouillon (Dauphin, 75') - Siradjidine, Touati.

 

La réaction de Romain Revelli : "On a perdu face à une équipe plus vieille que la nôtre, emmenée par un excellent attaquant auteur d'un hat-trick. Montpellier avait de meilleures individualités et a profité de nos erreurs défensives pour faire la différence. Ensuite, on a montré de belles choses dans le contenu mais on n'a pas réussi à combler ce handicap. On va maintenant essayer de faire bonne figure au tournoi de Montaigu mais ce ne sera pas évident cette année car la priorité est donnée à la Gambardella et au maintien des U19. Du coup nos meilleurs U17 ne seront pas en Vendée."

Du flouze pour le Nouz !

17/04 13:36

Comme le révèle aujourd'hui le site algérien Compétition, le Tribunal Arbitral du Sport de Lausanne a condamné le Mouloudia d'Alger à verser 93.000 € à son ancien entraîneur Robert Nouzaret.

Payet ne fait pas la tête

17/04 13:15

Auteur d'un doublé hier soir d'un doublé contre Nancy*, Dimitri Payet explique dans la Pravda pourquoi il n'a pas manifesté sa joie sur le but égalisateur. "On était menés, on n'avait pas bien géré la première mi-temps, alors j'étais un peu énervé, c'est tout. Sur le premier but, c'est surtout un gros travail d'Alex (Alonso). Sur le second, je suis un peu de dos, j'essaie surtout de la cadrer. Je suis ni soulagé, ni revanchard. Je suis heureux pour le club qu'on ait assuré le maintien. Je suis bien au club, mes partenaires m'ont toujours réconforté et accepté. Après, c'était à moi de travailler et de prouver que je méritais de jouer. Cette histoire m'a forgé un caractère et m'a appris beaucoup de choses. Mon bon de sortie ? Je ne pense pas à ça. Je veux bien finir, d'abord pour l'équipe. Mais je veux finir fort quand même."

 

Le retour en grâce de Dim ne laisse pas indifférents son entraîneur et ses coéquipiers. "Il faut du talent pour gagner un match" résume Galette. "Dimitri bénéficie du travail de l'équipe, et l'équipe bénéficie de son talent. Je suis content pour lui. Il est déterminé, qu'il continue comme ça !"  Faouzi s'exprime aussi : "Dimitri, il est comme il est, mais on ne voit pas toujours tout le travail qu'il fait pour l'équipe. Après, il cherche un peu la perfection, et quand il ne l'atteint pas, il s'en veut." C'est cela Sly ? "Il est parfois grincheux mais c'est son caractère. Il est resté le même, il y a eu cette histoire avec le club mais ça ne lui a pas fait perdre ses qualités. Il était triste mais il s'est remis au travail. Il nous fait beaucoup de bien et on est tous contents pour lui."

 

* Le résumé vidéo de sept minutes issu de Jour de Foot : http://www.footytube.com/video/saint-etienne-nancy-apr16-79330

Un Ange passe, un Coq reverdit (2)

17/04 09:11

Le Sphinx, qui pense à nous tous les jours,  encense Dominique Rocheteau dans La Gazette du Coq à l'occasion de la sortie demain de la ligne de vêtements du Coq Sportif "L'Ange Vert".

 

"Je me revois encore sur le banc d’Hampden Park à Glasgow, en train de gesticuler et de hurler. C’est comme si c’était hier. Cette finale perdue face au Bayern de Munich, J’y pense tous les jours depuis 35 ans. Parce que cela reste le souvenir le plus cuisant de toute ma carrière. Il y a eu ces fameux poteaux carrés, bien-sûr, sur lesquels sont venus se perdre le tir de Bathenay et la tête de Santini. Et ce fichu coup-franc allemand, tiré alors que l’arbitre était encore en train de faire reculer notre mur, et qui nous a coûté le titre. Celui-là, je ne l’ai toujours pas digéré… Et je ne le digèrerai jamais, je crois. Mais heureusement, il y a aussi eu tout le reste : les 25.000 supporters stéphanois qui avaient fait le déplacement en Ecosse, et notre retour triomphal en France, malgré la défaite. La descente des Champs-Elysées, la réception à l’Elysée et l’incroyable amour du public.

Nous formions une équipe, dans ce que le terme a de plus noble. Je crois que le public ressentait l’extraordinaire solidarité qui existait entre les joueurs. C’est ce qui manque aujourd’hui dans le football. Maintenant, pour former une équipe, on croit qu’il suffit d’acheter à prix d’or des stars, où plutôt des joueurs qui se prennent pour des stars et qui n’en sont pas. Or on ne construit rien de solide comme ça. C’est bancal. Parce qu’il manque les bases, les fondations. Dans le football moderne, on a complètement oublié de cultiver cette notion de collectif, ces valeurs de groupe, d’égalité, de respect.

Dominique était un modèle, en tous points. Il avait un talent exceptionnel. Un style de jeu très particulier, qui lui était propre, mais qui désorientait tous ses adversaires. Et c’était un vrai meneur sur le terrain. Alors que dans la vie, il était plutôt réservé. Je me souviens de ses premiers entraînements, lorsque je l’ai fait venir en 1972. Il avait 17 ans, c’était un adolescent vraiment timide. Il ne la ramenait jamais. Il ne fanfaronnait pas. Mais dès qu’il foulait la pelouse, il se métamorphosait en leader. C’était naturel et les joueurs l’écoutaient tout de suite. En même temps, il n’a jamais abusé de ça. Dès que le match était terminé, il ne s’imposait jamais auprès des autres. C’est un type bien. Ça l’a toujours été. C’est une anti-star, l’exact contraire des joueurs d’aujourd’hui qui font plus de bruit en dehors que sur les terrains…

Il était comme moi, il n’aimait ni les interviews, ni les mondanités. Il mettait beaucoup de soin à protéger sa vie privée. Et il continuait à vivre très simplement, alors qu’il était courtisé de partout. J’ai trouvé ça remarquable. Parce qu’à sa place, bien des joueurs auraient pris la grosse tête. Ce qui fascinait tant chez lui ? Sa personnalité vraiment hors-norme. Les journalistes avaient du mal à le cerner. Au départ, ils ont focalisé sur son physique. Mais ils se sont vite aperçus que l’Ange Vert avait aussi un cerveau. Il était très cultivé, il avait des tas de centres d’intérêt, des convictions politiques. C’était un footballeur citoyen. Lorsqu’il m’a annoncé qu’il partait jouer au PSG, en 1980, j’ai ressenti un très grand moment de solitude. Parce que je savais que c’est le genre de joueurs qu’on n’a pas la chance de croiser deux fois dans une carrière de coach. Mais j’ai eu ce privilège et aujourd’hui encore, je suis fier d’avoir été son entraîneur."

PEA évoque son placement

17/04 08:48

Le site Espoirs du Football a publié hier un entretien de Pierre-Emerick Aubameyang. Souhaitant s'investir à long terme à Sainté, PEA évoque notamment son placement.

 

"A Saint Etienne, les gens sont agréables et super accueillants. Ils vivent football, et on le sent. Mon premier match à domicile avec les Verts, c’était contre Lyon et l’ambiance était exceptionnelle ! C’est l’une des meilleures ambiances avec le Parc des Princes.

 

Mes ambitions avec les Verts ? Tout d’abord, c’est de m’imposer dans l’équipe et de trouver ma place. C’est important de prendre les choses une par une. Ensuite mon objectif, c’est que mon option d’achat soit levée.  Aujourd’hui, j’ai besoin de stabilité. Ca fait trois ans que je suis prêté et je suis passé par plusieurs clubs : Dijon, Lille, Monaco et Saint-Etienne. Il faut toujours recommencer à zéro, ce n’est pas toujours facile. Mais j’ai confiance, je crois en mes qualités.Concernant les ambitions de Saint Etienne, si on est toujours bien placés, pourquoi pas aller chercher l’Europe ?

 

Mon poste de prédilection c’est dans l’axe. Mais à force de jouer à droite, je me suis habitué. Depuis tout petit, je joue dans l’axe. A Dijon, à Milan, les entraîneurs m’ont mis à ce poste et j’ai marqué pas mal de buts dans cette position. Après, je me suis bien adapté au couloir droit. Ma vitesse peut vraiment faire la différence.

 

Je joue avec la sélection du Gabon. C’est surtout un choix de cœur, un choix de famille. Mon père (ndlr : Pierre-François Aubameyang) a été international gabonais (82 sélections) et a même été capitaine. Mes frères aussi. C’est d’ailleurs pour jouer avec Willy que j’ai choisi le Gabon. Priorité à la CAN ! Ce sera une CAN très importante car c’est le Gabon qui l’organise. D’où notre volonté de réaliser une très belle compétition à domicile. Il faudra donner du plaisir au public, jouer un beau football. Pour ce qui concerne l’objectif, viser les demi-finales me semble envisageable."

Hernandez répond à Pontal

16/04 22:05

Deux anciens défenseurs centraux de l'ASSE se sont illustrés  ce soir en marquant lors de la 27ème journée du groupe D de CFA2. Mickaël Pontal a inscrit le but de la victoire d'Andrézieux contre Imphy-Decize (2-1). Une heure plus tard, Stéphane Hernandez a mis le quatrième pion du succès de Chambéry à Montceau-les-Mines (2-4). Leaders, les hommes de Stéphane Santini comptent deux points d'avance sur les protégés de David Guion, sachant que ces derniers comptent un match en retard.

Renversant, Payet !

16/04 21:32

Menés 1-0 à la mi-temps, les Verts se sont imposés contre Nancy ce soir à Geoffroy-Guichard grâce à un joli doublé de Dimitri Payet : http://minilien.fr/a0krw0.

CFA : Sainté malgré Yoric craque

16/04 20:39

Menant 3-1 à Agde à un quart de la fin grâce à un triplé de Yoric Ravet, l'équipe réserve de l'ASSE aurait pu faire un grand pas vers le maintien en s'imposant ce soir dans l'Hérault. Las, les Agathois ont réduit le score à la 76ème minute sur coup franc avant d'arracher l'égalisation à la 88ème.

 

Si ce résultat nul est rageant, il n'est pas totalement immérité tant les Verts ont déjoué en première période. Apathiques en début de match, ils ont cédé dès la 12ème minute. Après avoir frôlé deux fois la correctionnelle, les Stéphanois ont égalisé à la 39ème sur un magnifique coup franc lointain en pleine lucarne de Yoric Ravet. L'ancien joueur grenoblois a doublé la mise en deux temps à la 65ème avant de transformer un péno à la 68ème. Kevin Mayi s'est ensuite procuré une belle occasion de 4-1. La suite, vous la connaissez...

 

La compo : Coulibaly - Russier (Djeridi, 46'), Sagna, Polomat, Zouma - Garric, Chergui, Mansaly (Mze M'Baba, 20') - Bulut, Saadi (Mayi, 46'), Ravet.

 

La réaction de Jean-Philippe Primard : "Il y a plusieurs phases dans ce match. A la mi-temps, c'est un petit miracle qu'on soit à 1-1. Agde aurait pu mener 2-0 ou 3-0. On a fait une première mi-temps catastrophique, à tous les niveaux. Aussi bien sur le plan défensif que dans le jeu. On a été à la limite du ridicule. Par contre on fait une belle deuxième mi-temps, on arrive à marquer deux beaux buts. En menant 3-1 à un quart de la fin, on fait la mi-temps parfaite. Mais on a fait des erreurs. Il y en une petite sur le premier but d'Agde. Leur deuxième but intervient sur un coup franc vraiment évitable. Quant au troisième, on a dégagé n'importe où au lieu de jouer long comme on l'avait demandé. C'est rageant car le maintien était pratiquement assuré avec une victoire. Ça aurait été un gros coup. Maintenant, on était venu pour faire un résultat positif, il est là. Il faut quand même relever qu'on a fini le match avec de nombreux 17 ans : Djeridi, Polomat, Chergui, Zouma, Mayi. On fait des erreurs de jeunesse. On marque beaucoup de buts mais on en prend aussi. On est jeunots, on est naïfs. Même à 3-3, il me tardait que le match se termine car je craignais qu'on en prenne un quatrième. On souffre en CFA comme beaucoup d'équipes réserves car on est jeune et on le paye. A l'aller, on menait 2-0 et Agde était revenu à 2-2. Le triplé de Yoric ? C'est le cinquième match qu'il fait. Les trois premiers avaient été prometteurs mais il n'y avait pas eu de but ou de passe décisive. En terme d'efficacité il lui manquait un petit truc mais on sentait déjà un gros potentiel, il apportait beaucoup. Le dernier match contre Ajaccio, il a obtenu un penalty. Aujourd'hui il fait un match plein. Il est percutant et il a été récompensé de ses efforts en mettant trois buts. Yoric a 21 ans, c'est l'un des vieux de l'équipe, c'est presque le doyen (rires)."

Bafé made in Sainté

16/04 14:15

Dans la Pravda Mag d'aujourd'hui, le vilain Bafé Gomis revient sur ses vertes années.

"Je savais que, à chaque ballon que je toucherais à Gerland, le public allait me guetter. Un mauvais contrôle, un mauvais choix et j'allais être sifflé. En choisissant de passer de Saint-Etienne à Lyon, je relevais un double défi : rejoindre un club de standing européen et me faire adopter par le rival du club qui m'a aidé à devenir un homme. J'étais persuadé de posséder le mental pour m'imposer, même si, autour de moi, on en doutait.

A Saint-Etienne, j'ai développé le sens du partage, de la solidarité, que je vivais déjà chez moi au quotidien. On est une famille de dix enfants. On vivait ensemble au neuvième étage d'un HLM à la Beaucaire, près de Toulon. Une fois arrivé au centre de formation des Verts à l'Etrat, j'ai dû apprendre à conjuguer respect de l'autre et nécessité de réussir. Heureusement, on vivait à l'écart de la ville et de ses tentations. Malgré les valeurs que m'a inculquées mon père, qui, comme moi, est très croyant, j'aurais pu disjoncter. J'en ai vu arriver des jeunes pleins d'humilité et qui, une fois devenus les petites stars du coin, ont oublié leurs principes. Avec l'argent qui arrive, tu peux vite déraper. Je ne cesse de me répéter : "gros sacrifices, grosses récompenses."

Je ne descendais pas en ville et jamais je ne suis allé en boîte de nuit ! Je savais ce que je voulais. Je ne me suis jamais laissé entraîner. Sauf une fois, après une finale perdue en championnat des 15 ans, contre l'INF. L'entraîneur nous avait promis, battus ou pas, un bon de sortie. Je ne suis pas retourné en boîte avant l'âge de 19 ans et mon contrat pro signé. Ça ne m'empêche pas d'être un bon vivant, mais toujours en conscience. Je bois un verre de temps à autre, mais je choisis avec qui je trinque. J'ai la chance d'être footballeur pro à Lyon, d'être très bien payé et à l'abri du besoin. Je ne me vois pas gâcher tout ça. Je cherche aussi à inculquer aux autres les valeurs qu'on m'a données. J'ai d'ailleurs un "petit frère" à Saint-Etienne, Josuha Guilavogui, un jeune international Espoirs. Je l'ai pris sous mon aile."

Paga sait ramer

16/04 10:19

Laurent Paganelli sait se marrer... et ramer pour rejoindre son île, comme il le rappelle aujourd'hui dans La Voix du Nord.

 

"L'île de la Barthelasse, c'est sympa, c'est juste à côté du pont Bénézet. J'ai la seule maison en zone inondable mais j'ai un lit pneumatique, alors ça va ! Tout est tellement tranquille... Je suis assez content de ma vie. Canal+, Avignon... L'un va bien avec l'autre. J'adore Paris mais qu'est-ce c'est difficile de vivre dans la capitale ! Entre Canal et moi, il n'y a jamais eu d'ambiguïté, ni de problème de salaire lié à mon éloignement. Ils ont compris que j'avais besoin de me ressourcer. J'aime être là, sur mon île, seul. Je sais, je suis un peu "casse couilles". Mais c'est dans ma nature d'être dans la vie comme je suis à l'antenne : simple. Au final, on est tous pareils, alors pourquoi se prendre pour une vedette ? Je n'ai pas le culte de la personnalité. Loin de moi, tout ça ! 

 

Aux dernières élections, "Marie-Jo" (Marie-José Roig, la maire d'Avignon) m'a demandé d'intégrer le conseil municipal. Elle voulait, en parallèle de la culture, créer une relation avec le foot. Je suis donc aux sports, je colmate, je parle, j'initie des relations mairie-club pour éviter, à l'avenir, ce qui s'est passé : le changement de président, la crise, le recrutement à gogo, etc. J'étais là pour le match de la montée et j'avais épaté les gens en disant qu'il aurait mieux valu le perdre, celui-là, car il n'y avait rien en place. Ça sentait déjà la débandade mais tout le monde avait tellement envie de connaître l'élite... Le côté positif de cette accession, c'est qu'on est sûr d'être en L2 la saison prochaine !"

Marama pas gai

16/04 09:30

Titularisé seulement quatre fois depuis le début de l'année, Marama rame plus qu'il ne pagaie. Mais Vahirua a retouvé le sourire lors de la dernière journée en claquant un pion contre Valenciennes. Le Tahitien n'avait plus marqué depuis la 15ème journée (coup franc égalisateur contre... Sainté le 27 novembre 2010).

 

L'attaquant de L1 que Jérémie Janot redoute le plus évoque le match de ce soir dans les colonnes du Républicain Lorrain : "Avec les Verts, c’est tout ou rien. Soit ils sont en pleine confiance et ils vont nous balader dans tous les sens, soit ce sera l’inverse. J’ai beaucoup de respect pour cette équipe, en particulier pour ses joueurs offensifs qui peuvent faire la différence à tout moment mais c’est vrai qu’on ne sait plus comment les prendre."

Fabrice de Nice

16/04 08:29

Fabrice Mège donnera ce soir avec Miss Côte d'Azur le coup d'envoi fictif du derby Nice-Monaco. Rappelons que l'ancien milieu de terrain de l'ASSE (saison 1991-1992) a porté le maillot des Aiglons pendant neuf ans et celui de l'ASM pendant deux ans. Julien Sablé ne retrouvera pas sur le terrain son pote Pascal Feindouno, une nouvelle fois absent du groupe monégasque.

Faouzi de l'ASSE à l'ASA

15/04 21:36

Sur le site de l'Association Sportive des Algériens (ASA) du Chambon-Feugerolles, on apprend que Faouzi Ghoulam a rendu visite mercredi à l'école de foot de ce petit club ligérien dans lequel évoluent ses grands frères Samir et Mohamed.

Hautcoeur pas vaillant

15/04 16:37

Le Maine Libre consacre aujourd'hui un article à Yohan Hautcoeur, qui n'a participé qu'à huit matches sur seize depuis son retour au Mans début janvier. Rappelant que le milieu de terrain n'avait fait que neuf apparitions sous le maillot vert la saison dernière, le quotidien explique son temps de jeu réduit par "une certaine fragilité physique entravant sa remise à niveau."

 

L'ancien Merlu est forfait pour la réception du Havre lundi en raison d’un décollement de l’aponévrose aux ischios-jambiers survenu en toute fin de match à Istres. "Pour moi, là, c’est ma première véritable blessure. Parce qu’avant, c’est plus la faute à pas de chance, que ce soit le virus ou l’entorse à Nancy qui est due à une agression de N’Guémo", tempère l’intéressé.

 

"Il faut du temps pour ramener à son meilleur niveau un joueur qui a peu joué depuis plusieurs saisons. Mais ça aurait pu mieux se passer pour lui, c’est certain. S’il n’avait pas été retardé par ces blessures, il serait à un niveau plus compétitif aujourd’hui et il aurait déjà plus joué" constate son entraîneur Arnaud Cormier. 

Sans Perrin ni Bayal contre Nancy

15/04 16:06

Galette vient de divulguer son groupe pour affronter Nancy demain à 19h00: Janot, Moulin - Bocanegra, Ghoulam, Ebondo, Marchal, Monsoreau, Néry - Alonso, Batlles, Guilavogui, Landrin, Matuidi, Payet, Sako - Aubameyang, Rivière, Sanogo.



CFA : Coulibaly, Ravet, Saadi, Sagna.
Soins : Andreu, Bayal, Bojang, Cros, Perrin

Nancy sans Youssouf, ouf !

15/04 14:42

Trois absents de marque dans le groupe convoqué par Pablo Correa pour venir prendre une olivier derrouillée à Sainté : Chretien (suspendu), Alo'o Efoulou, et le meilleur buteur du club, Hadji (6 buts) tous deux convalescents.

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