Comme prévu, Roland Romeyer s'est rendu chez les Ponots pour signer une convention de partenariat avec Le Puy Foot 43 Auvergne en présence de Laurent Wauquiez, député-maire de la ville. Accompagné de Georges Bereta, le président du directoire de l'ASSE en a profité pour présenter la coupe de la Ligue remportée par Sainté. "Je fier d'être de Haute-Loire" a déclaré Roro à La Montagne avant d'ajouter : "Je dédie à nos clubs partenaires une partie de ce trophée car ils sont les yeux et les oreilles de l'ASSE en sortant des jeunes qui viendront rejoindre le centre de formation."

Le président de l'Union sportive de Brioude Bernard Lescop s'est confié également au quotidien auvergnat.  "Nous avons signé un partenariat voilà trois ans. Les Vets nous apportent le côté professionnel, l'encadrement, nous aident dans nos démarches administratives. Et en échange, chaque fois que nous avons des jeunes prometteurs dans les catégories U12 et U13, nous le signalons à l'ASSE. Ils leur font passer des tests. Cette saison, nous en avons détecté trois : Louis Fraysse, Léo Morel et Quentin Castel. Nous devons aussi prévenir les dirigeants de tout contact de clubs extérieurs. Saint-Étienne n'a pas voulu prendre notre attaquant Vincent Roche, le considérant trop âgé. Monaco et le Clermont-Foot se sont intéressés à lui. Aujourd'hui, il évolue à Clermont-Ferrand."

Dans un entretien accordé à la radio algérienne Chaîne III et relayé par Le Buteur, Faouzi Ghoulam est revenu sur la qualification des Fennecs pour le barrage de la coupe du Monde 2014.

"On a prouvé durant ces dernières semaines, qu’on avait une bonne équipe et qu’on pouvait faire encore mieux et cela malgré la grande déception de la précédente CAN. On est prêts désormais à affronter n’importe quel adversaire qui se dressera sur notre chemin lors du barrage. On tâchera de reproduire les mêmes prestations que celles fournies face au Bénin et le Rwanda pour passer ce tour et se qualifier au Mondial. On sait qu’en Afrique, c’est toujours difficile, mais on va tout faire pour bien se préparer et être prêt le jour J. On a un match amical en août et un autre face au Mali en septembre, qui nous serviront à bien progresser.

On a un groupe exceptionnel, très uni, et l’ambiance y est magnifique. Tous les joueurs s’entendent parfaitement bien et je peux vous dire que pour la majorité des joueurs, l’équipe nationale constitue une deuxième famille. On est comme des frères et on a tous cet amour du pays et du maillot, qui nous permet d’aider l’équipe ationale à aller de l’avant et faire de bons résultats. Vous savez, partir en stage durant trois semaines, ce n’est jamais évident, mais à chaque fois quand on se rappelle de la bonne ambiance qu’on va retrouver, on devient super motivés.

Je pense qu’on a une équipe assez jeune, qui manque encore d’expérience. Cela s’est vu lors de la CAN, où malgré le beau jeu qu’on a produit et les sacrifices qu’on a faits, il nous a manqué au final ce brin de réussite. Il faut laisser du temps à cette équipe pour qu’elle puisse grandir. La CAN, c’est chaque deux ans, mais le Mondial, c’est tous les quatre ans. On a su se relever après la claque qu’on a reçue en Afrique du Sud, et maintenant, on n'a qu’un seul objectif, c’est d'aller au Brésil et prendre part à cette Coupe du monde."

Ancien réserviste de l'ASSE (de 2004 à 2006), Nabil El Zhar (26 ans) a prolongé hier d'une année son contrat avec Levante. Le milieu offensif marocain a joué 31 matches cette saison en Liga mais il n'a claqué que deux petits pions, contre l'Athletic Bilbao.

Tenus en échec à domicile par le Rwanda et le Bénin, les Aigles ne s'envoleront pas pour le Brésil l'été prochain. Dans un entretien paru aujourd'hui sur Mali Football, Fousseni Diawara épargne son ex-sélectionneur Patrice Carteron et taille les dirigeants de sa fédération. Extraits.

"Après la CAN, le coach avait eu des propositions, en a parlé à Moussa Konaté, en disant que le Mali était sa priorité mais il voulait que sa situation contractuelle soit améliorée. Imaginiez-vous que Patrice Carteron avait un épée de Damoclès sur sa tête, à la moindre défaite, il était démis de ses fonctions ! Je ne suis pas là pour le défendre mais pour l'intérêt de l'équipe nationale, il faut que tout le monde ait l'esprit tranquille, travaille dans la sérénité et dans de bonnes conditions pour gagner. Carteron n'a rien caché à Moussa Konaté, c'est lui qui a fait venir Carteron et c'est lui son interlocuteur. Comme rien ne venait de sa part, Carteron a voulu prendre les devants.

Malgré cela c'est le coach qui avait mis sur pied le stage de préparation en Bretagne. Il nous a appelés, nous joueurs, pour expliquer la situation. Il souhaitait conduire ce stage et les deux matches du Mali face au Rwanda et au Benin. Patrice Carteron s'est présenté et Moussa Konaté ne lui pas laisser faire son travail tout en faisant croire que Carteron a trahi le Mali, ce n'est pas vrai ! Tous les joueurs voulaient que Carteron reste pour ces deux matches car on allait gagner ces deux matches, avec tout le respect que l'on doit à Amadou Pathé Diallo.

Il y a eu tellement de problèmes dans cette sélection. Par exemple, le soir du match amical face à la Bretagne, nous n'avions pas mangé car rien n'était prévu pour nous l'hôtel ! Comment expliquer que des sportifs de hauts niveaux n'aient pas à manger après un match ? C'est même dangereux pour notre santé ! (...) Il faut arrêter avec l'amateurisme, c'est une équipe nationale pour tout un peuple, il faut arrêter de s'amuser avec cela. À Kabala, nous n'avons pas mangé de nourriture de sportifs. Il y a une nourriture spécifique pour les sportifs du haut niveau à laquelle nous sommes habitués, comme des sucres lents, que le sportif doit manger afin de maintenir son niveau de forme physique. Mais à Kabala ce n'était pas de la bonne nourriture qui nous était destinée. Raison pour laquelle je n'ai pas joué le second match car j'en suis tombé malade.

Au delà de cela, il y a eu l'affaire Cheick Diabaté et les dirigeants ont tout fait pour nous diviser à Bamako. On a fait croire à tout le monde que Diabaté à refuser de venir jouer alors que c'est faux. Quand Diabaté est venu, il nous a tout expliqué : il n'avait pas reçu de billet pour venir en sélection ! Comment est ce possible alors qu'il est sur la liste ! Quelqu'un a bien bloqué son billet ... pourquoi ? L'argent est passé où ? Nos dirigeants ont tout mis en œuvre pour qu'on ne se qualifie pas pour la Coupe du Monde et je crois qu'il faut faire le ménage. Les dirigeants de la fédération malienne de football ne sont pas à la hauteur ! En ces moments cruciaux du Mali, il faut que des hommes compétents et valables soient à la tête de la fédération afin de gérer notre football pour lui permettre de se développer et d'avantage."

Accompagné de Christian Synaeghel et Rudolph Douala, Roland Romeyer a rendu visite aujourd'hui aux enfants de l'Ecole Notre-Dame du Rond-Point. "Je suis venu faire une surprise à tous les petits, pour leur présenter la coupe de la Ligue !" a déclaré Roro au Progrès.

Comme Pierre-Yves Polomat, Kurt Zouma est resté sur le banc des remplaçants ce soir, ce qui n'a pas empêché la France de réussir son entame de coupe du monde U20 en dominant le Ghana 3-1 à Istanbul.

Ménagé par Pierre Mankowski, le défenseur central des Verts et des Bleuets était à l'honneur aujourd'hui dans Le Monde. Pas insensible aux rumeurs de transfert le concernant ("cet intérêt me donne encore plus envie de travailler"), il esquive la question sur un éventuel départ vers le richissime et sulfureux club russe Anzhi Makhachkala : "Je m'apprête à disputer la Coupe du monde des moins de 20 ans avec la France et pour l'instant, je préfère me concentrer sur cette échéance sportive."

Kurt Zouma évoque également ses souvenirs d'enfance à Vaulx-en-Velin et son expérience au Pôle Espoirs de Dijon, où il a été formé pendant deux ans avant de rejoindre l'ASSE l'été 2009. "A la maison, On ne parlait que de foot, on mangeait foot, on dormait foot... On s'organisait des petits duels en un contre un devant la maison. On jouait aussi chez nous dans le couloir à se mettre des tacles, il y a parfois eu quelques égratignures, mais rien de grave. Au Pôle Espoir, j'avais une très grande confiance en moi et le soutien de ma famille. Mais au début, il m'arrivait de pleurer dans ma chambre parce que mes proches me manquaient."

Notre Jérémie Janot national passe en ce moment son diplôme universitaire de gestion des organisations sportives (DUGOS), et a choisi pour son mémoire un sujet loin d'être anodin : "Projet et simulation de l'introduction en bourse du club de football de l'ASSE".

Sur une image de la couverture mise en ligne aujourd'hui, on voit notre président Romeyer désigné comme tuteur. De là à dire que ce mémoire ne servira pas qu'à impressionner le jury, il y a un pas que nous ne franchirons pas...encore.

Quoi qu'il en soit, bonne chance Jérémie !

Zoumana Camara n'a pas fini de cirer le banc. L'ancien défenseur Vert a en effet prolongé son contrat d'un an avec le QSG. Papus n'a participé la saison dernière qu'à 9 rencontres, toutes compétitions confondues. Reste à savoir s'il aura plus de temps de jeu avec Laurent Blanc, qui devrait succéder à Carlo Ancelotti selon Le Parisien.

Interrogé par Le Monde sur son "objectif bac", Bafé Gomis revient sur sa scolarité compliquée lorsqu'il était encore en formation à l'ASSE.

J'ai en effet arrêté l'école à 14 ans, après une quatrième et une troisième dans un collège privé à mon arrivée au centre de formation de l'ASSE. J'avais beaucoup de retard, l'envie de devenir footballeur professionnel était forte. Mes parents sont issus de l'immigration sénégalaise, j'ai grandi dans un quartier difficile à Toulon... Ils avaient certaines limites, c'était compliqué d'avoir un suivi scolaire efficace. J'étais livré à moi-même sur ce plan-là.

Jusqu'à 16 ans, au club, on suivait des cours d'informatique, de communication et de français. C'était juste pour nous occuper, pour dire que l'on allait à l'école. On ne mesure pas l'importance de suivre une belle scolarité. On pense toujours à la réussite, à la carrière de rêve... Mais dans ma génération, à l'ASSE, seuls deux autres camarades sont devenus pro : Loïc Perrin et Carl Medjani.

J'ai débuté à 17 ans en pro. Je n'en veux pas au club. Ils ont beaucoup fait pour moi, mais quand tu as du retard scolaire, que tu n'as pas la volonté d'étudier, c'est délicat. Il aurait fallu un prof particulier, mais mon obsession footballistique était totale. Je me rappelle d'ailleurs une phrase d'un conseiller d'orientation qui m'avait marqué : "On n'en fera jamais rien s'il ne réussit pas dans le football."

Et pour finir, un clin d'oeil à son "petit frère" : "A mon sens, l'évolution [du soin accordé à la scolarité des jeunes en formation] est bonne, le suivi est plus poussé. Josuha Guilavogui a eu son bac ES avec mention par exemple. Il a pourtant grandi dans le même quartier, mais il a bénéficié d'un entourage plus favorable."

En voilà une bonne nouvelle ! Sur leur page officielle Facebook, les Green Angels annoncent : "Concernant notre mise en sommeil, nous reprenons l'ensemble de nos activités dès le début de saison." En revanche, ils ne s'occuperont pas de la campagne d'abonnement pour l'année à venir.

David Venditelli, l'agent (entre autres) de Kurt Zouma, a donné à Footmercato un entretien qui n'est pas pour nous rassurer. Extraits choisis :

"Concernant l’approche du club russe : oui c’est vrai, comme il y a plein d’autres clubs dans tous les championnats qui nous ont demandé des renseignements sur l’avenir de Kurt. Moi, je voudrais revenir sur l’approche de l’Anzhi (…) Je veux juste assumer le fait que l’on puisse discuter avec un club russe qui a des grands joueurs dans un championnat où finalement, il y a des grands joueurs dans chaque équipe. Il ne faut pas qu’on mette de côté l’aspect économique.

L’ASSE est au courant qu’on a été contactés par de nombreux clubs, puisqu’on ne peut pas faire les choses sans tenir au courant le club propriétaire du joueur. Ils savent aujourd’hui qu’on a discuté avec Liverpool, avec l’Atletico Madrid, avec le Bayer Leverkusen ; ils savent que MU est intéressé mais ne peut pas mettre en indemnité de transfert le montant désiré par l’ASSE. Ils savent que la Juventus de Turin suit Kurt Zouma. (…)

Peut-être que Kurt Zouma restera à l’ASSE, et j’en serais très content – Kurt aussi. Simplement aujourd’hui on a des sollicitations."

Le site officiel nous apprend que la DNCG n'a émis "aucune réserve" sur les comptes (2012/13 révisés et prévisionnel 2013/14) présentés hier par l'équipe dirigeante de l'ASSE.

Directeur du centre de formation et entraîneur de l'équipe réserve du Stade de Reims depuis le 23 juillet 2012, David Guion vient d'être sacré champion de DH. L'ancien directeur du centre de formation de l'ASSE et ex-adjoint de Laurent Roussey tire un bilan positif de sa première saison en Champagne sur le site officiel de son club.

"Inévitablement, lorsque l’on a une équipe en Ligue 1, c’est tout de même mieux d’avoir une équipe Réserve en CFA 2. C’est important pour la progression des jeunes, mais aussi pour les professionnels qui reviennent de blessure, ou qui ont besoin de temps de jeu. C’est toujours mieux de valider ce temps de jeu à un niveau de compétition plus intéressant. On peut s’apercevoir que la plupart des Réserves de Ligue 1 évoluent en CFA 2. La plupart des équipes qui jouent à ce niveau ont également un vécu en CFA. On rencontre des garçons qui s’entraînent 4/5 fois par semaine et qui sont souvent passés par des Centres de formation professionnels.

Il n’est pas préférable de viser la montée à l’étage supérieur. Nous n’en avons pas forcément les moyens. Le CFA est un championnat très exigeant. On s’aperçoit que peu d’équipes, sur leur seul centre de formation, donc sans renfort, parviennent à se maintenir. Pour le Stade de Reims, aujourd’hui, le CFA 2 me convient très bien. Cela va me permettre de mettre en place une certaine philosophie. Je souhaite que les jeunes jouent en Réserve, qu’ils aient leur chance. De cette manière, les garçons qui parviendront à franchir le palier en CFA 2 seront  sur la bonne voie pour aller s’entraîner éventuellement avec les pros.

On sent que le club est désormais totalement tourné vers la formation. Nous sommes heureux de voir que le Stade de Reims a une très belle image. Le club a une vraie place dans le paysage français au niveau de la formation. Les objectifs seront de renforcer nos positions. Ce que j’aimerais, c’est développer une identité de jeu, un projet de jeu « Stade de Reims ». Tous nos éducateurs sont très motivés pour atteindre cet objectif, que très peu de Centre de Formation parviennent à mettre en place. Nous serons vraiment performants et prêts à prendre notre envol quand nous intégrerons notre futur lieu de vie, dans un an. On sentira une véritable unité entre toutes les composantes, à savoir l’Ecole de foot, la Pré-formation et la Formation. Ce qui est essentiel." 

Le quotidien ivoirien Le Mandat publie aujourd'hui une interview de Max Gradel, qui se remet doucement de sa rupture des ligaments croisés survenue le 20 mars dernier. Extraits.

"Ce genre de blessure, ça n'arrive pas toujours. J'en profite, je me repose bien. J'espère revenir plus fort. Mon absence en club s'est fait sentir. C'était difficile au départ de vivre cela. Après, mes coéquipiers ont fait le nécessaire. Nous avons remporté un trophée. C'est très positif, car ce n'était pas dans les objectifs du club en début de saison.

En Championnat, on a fait mieux que la saison dernière. On a travaillé dur pour y arriver. La saison prochaine, on va se remettre au boulot. On espère qu'on fera mieux que cette année. Je ne suis pas obnubilé par un retour en Angleterre. Le plus important, c'est d'être dans un bon club et gagner des titres. Peu importe le championnat. Si j'avance et j'évolue, c'est le plus important.

Aubameyang est comme un petit frère pour moi. Il est Gabonais, donc un Africain au même titre que moi. On s'entend super bien. Mais, je m'entends avec tout le monde. Aussi bien avec Guilavogui, Ismaël Diomandé que tous les autres coéquipiers. Avec Aubameyang, ça passe plus parce que je suis au service de l'attaque. Et lui est attaquant. Mieux, il y a son père qui est toujours avec nous, il nous prodigue de sages conseils."

Dans la dernière édition du Progrès, l'entraîneur des U15 stéphanois Philippe Guillemet évoque la politique de partenariat de l'ASSE. Extraits.

"On part du principe qu’il faut donner pour recevoir. Pour certains clubs, on fournit du matériel. Les clubs ont le droit aussi d’utiliser notre logo. Trois fois par an, on les invite pour venir voir des matchs. Mais ces partenariats, ce sont avant tout des actions, comme le tournoi des clubs partenaires qui s’est tenu à Côte-Chaude il y a dix jours. Des matchs amicaux, des prêts de terrain, des éducateurs qui viennent à l’Etrat pour assister à des séances d’entraînement. Ce sont aussi des détections, souvent lors des vacances d’octobre, elles concernent les catégorie U12/U13. Elles se passent à la fois à l’Etrat et chez nos partenaires. L’intérêt c’est qu’ils nous donnent des renseignements sur leurs joueurs mais pas uniquement. Cela peut être également des enfants qui jouent dans des clubs voisins.

Nos clubs partenaires doivent nous signaler ces joueurs-là par un système de retour de documents. Ils sont nos yeux et nos oreilles. Cela nous permet d’étendre notre réseau de recrutement. Lors des détections, les clubs nous envoient leurs meilleurs joueurs. On leur fait confiance. Ils jouent le jeu. Quand on a détecté un jeune, qu’on lui propose un contrat mais qu’il choisit un autre club, on l’admet. Ce qu’on n’aime pas, c’est passer à côté d’un très bon joueur dans une région où on a un club partenaire qui aurait dû nous le signaler.

Ces partenariats ont porté leurs fruits. Loris Néry était passé par Andrézieux. Florian Milla, qui joue en CFA, vient de Firminy. Adrien Valente, un U19, de Saint-Chamond. Parmi les U17 champions de France, on retrouve Hachani et Mendy (Toulon), Petrot, Guendouz et Brun (Olympique), Pouyet (Andrézieux), Barthelemy (Firminy)... Cette année, on a recruté beaucoup de joueurs issus de nos clubs partenaires. L’un vient de Domtac, deux autres de Valence. Ils ont 13 et 14 ans. Un petit de Saint-Chamond, un autre d’Andrézieux, vont aussi nous rejoindre. Ils sont tous les deux nés en 2000. Deux jeunes de Toulon vont intégrer le centre de formation. Chez les petits, beaucoup sont issus de Firminy."

En vacances au Sénégal, Bayal Sall en a profité pour accorder une interview au quotidien local Tout Le Sport. Mouss explique pourquoi Alain Giresse ne l'a pas convoqué pour les deux derniers matches du Sénégal.

"Le sélectionneur m’a appelé et m’a dit qu’il allait me laisser me reposer avec mon club. Comme j’avais aussi mal, je lui ai dit qu’il n’y avait aucun problème. Je ne me sentais pas prêt pour jouer. J’ai été blessé au genou, en plus de cela, mes adducteurs me faisaient mal depuis plus de 6 mois. Même quand je suis parti en Guinée, j’ai raté 4 matchs à mon retour à cause de mes adducteurs."

Pierre Mankowski a évoqué aujourd'hui pour l'AFP le cas de Kurt Zouma, touché lors du dernier match amical des Bleuets contre la Colombie.

"Il y a toujours une incertitude car il a une micro lésion musculaire à un genou et on a décidé de suivre un protocole et de ne prendre aucun risque. Car derrière, il y aura encore pas mal de matches. Mais il ne ressent plus de douleurs, il va bien. Ce qui est sûr c'est qu'on ne prendra aucun risque.  Kurt va très bien, il ne ressent plus rien mais nous ne voulons pas risquer une rechute."

Le défenseur central stéphanois sera donc très probablement forfait pour le match de coupe du monde U20 que l'équipe de France jouera vendredi contre le Ghana.

De la même famille qu'un certain Bafé, le défenseur central de La Seyne-sur-Mer William Gomis fait partie des 4 recrues nées en 1998 qui évolueront avec les U17 de l'ASSE la saison prochaine.

Il reprendra l'entraînement à l'Etrat le 29 juillet en compagnie du milieu relayeur martégal Mahdi Camara, du milieu offensif guadeloupéen Elie Lubino (buteur contre les Verts en décembre dernier) et de l'attaquant cristolien Arnaud Nordin.

Né en 1997, un autre joueur varois viendra renforcer le groupe entraîné par Lionel Vaillant et Gilles Rodriguez : l'attaquant Nicolas Giudicelli, qui évoluait cette saison à Toulon, club partenaire de l'ASSE.

Le Dauphiné Libéré publie aujourd'hui une interview de Roland Romeyer. Extraits.

"Je suis un président heureux et le club se porte bien. L’année à venir, je m’attends à une saison difficile. Quand on est arrivé à un bon niveau, il faut y rester. Pour moi, le plus dur reste à faire. Je suis optimiste et avec Christophe Galtier, l’objectif est clair : être prêt dès le mois d’août, qui s’annonce chargé entre les matchs de championnat et la Ligue Europa.

Nous avons 27 clubs partenaires partout en France. L’objectif est d’avoir une toile qui soit tendue dans tout l’hexagone. Chaque club partenaire a son référent. Et un club partenaire, ce sont des supporters, des amis ; et ce sont nos yeux et nos oreilles. Le relationnel aussi nous fait avancer (...) On attend toujours l’extra-terrestre car les bons joueurs peuvent devenir très bons. C’est là l’importance du club partenaire : pouvoir être en contact permanent.

Je suis heureux de voir des supporters qui nous suivent de partout. Je suis comblé comme président car au dernier sondage IFOP, nous sommes le club le plus aimé de France ; et cela me touche beaucoup parce que je tiens à l’image de ce club comme à la prunelle de mes yeux. J’ai un seul regret car nous n’avons pas pu emmener tous les supporters au Stade de France. Je suis heureux de cette saison mais déçu par rapport à tous ceux qui n’ont pas pu partager avec nous ce grand moment à Paris."

Victime d'une rupture des ligaments croisés du genou droit lors d'un entraînement avec les Eléphants le 20 mars dernier, Max Gradel vient de donner de ses nouvelles sur Sky.

"On annonce mon retour en Angleterre, mais pour être honnête, je suis plus intéressé à la guérison de ma blessure. J'espère être rétabli dans un délai de deux mois. Cela a été difficile pour moi de ne pas pouvoir aider Saint-Etienne à remporter la Coupe. Je fais partie de l'équipe, mais je n'étais pas là pour jouer la finale. Nous avons terminé cinquième, si bien que nous allons jouer en Ligue Europa. J'aime l'Angleterre, mais pour le moment je me plais ici en France."

Christophe Galtier évoque ses "vacances" dans la dernière édition de France Football.

"Quand tu es le premier responsable d'une équipe, tes vacances tournent à l'obsession. En fait tu es obsédé par deux choses : la composition de ton effectif et la manière dont tu vas t'y prendre pour mettre en place une philosophie de jeu et insuffler un état d'esprit. Après, il y a les joueurs que tu aimerais conserver, ceux que tu aimerais attirer et d'autres que tu aimerais voir partir pour libérer de la place et alléger la masse salariale. En fait tu ne penses qu'à ça tous les jours. Il y a un an, par exemple, j'avais revu tous nos matches du dernier mois de la saison pour trouver ce qui n'avait pas fonctionné."

Selon L'Eveil de la Haute-Loire, Roland Romeyer sera au Puy-en-Velay ce vendredi 21 juin,pour la signature officielle de la convention de partenariat entre l'ASSE et Le Puy Foot 43 Auvergne. Roro en profitera pour présenter la Coupe de la Ligue aux Ponots.