Fredy n'a pas refroidi

08/12 23:19

En coupe comme en championnat, Fredy Guarin est chaud ! Trois jours après avoir marqué contre Trapani, l'ancien milieu de terrain stéphanois a encore trouvé le chemin des filets ce soir d'une frappe du gauche contre le Parme de Yohan Benalouane, resté une fois de plus scotché sur le banc. Ce match de la 15ème journée de Série A s'est soldé sur un match nul 3-3.

U17 : les Verts remontés, leurs entraîneurs aussi

08/12 22:51

Alors qu'il menaient de deux buts à une grosse demi-heure de la fin, les U17 stéphanois ont concédé un courrouçant match nul 3-3 sur le terrain d'Annecy lors la treizième journée du championnat.

 

Fidèles à leurs mauvaises habitudes, les Verts ont mal démarré la rencontre. Après avoir encaissé un pion au bout de trois minutes, les Stéphanois ont pris l'avantage grâce à un doublé sur corner en deux minutes (27ème et 29ème) de l'international U16 Rayan Souici, repositionné aujourd'hui en sentinelle.

 

Sur pénalty, Augustin Bangoura a permis à Sainté de faire le break à la 49ème minute. Mais les locaux ont réduit le score à la 56ème avant d'égaliser sur un but gag (lob sur un ballon contré). Les Hauts-Savoyards ont même eu la balle de match dans le temps additionnel mais Alexandre Loubet a réalisé un arrêt décisif.

 

A l'issue de cette phase aller, les Verts comptent 9 points de retard sur les leaders sochaliens et 6 sur les Auxerrois et les vilains.

 

La compo : Loubet - Mendy, Nadrani, Pétrot, Rahmani - Souici, Bangoura (Chambost, 60'), Jencel (Aguir, 80') - Nordin, Hachani (Lubino, 68'), Aulagnier.

 

La réaction de Gilles Rodriguez, co-entraîneur avec Lionel Vaillant : "C'est un match très décevant. On prend un but d'entrée de jeu par manque d'agressivité. On a certes pris l'avantage avant la mi-temps mais on a été assez peu rigoureux et appliqué. On a perdu pas mal de duels, on a concédé des coups francs inutiles et bêtes. Avec Lionel on a fait part aux joueurs de notre mécontentement à la pause. On n'a pas su préserver un avantage de deux buts, ce n'est pas normal. On est déçu du manque d'investissement des garçons. Quand on a des ambitions, il faut montrer autre chose. On est dépité et en colère quand on assiste ce type de prestations."

Spano a déchiré Echirolles

08/12 20:43

En ce week-end de 8ème tour de Coupe de France (marqué notamment par le pion du Sang et Or Alaeddine Yahia), l'équipe réserve de l'ASSE a joué hier matin en amical contre Echirolles à Chasse-sur-Rhône (Isère). Derniers du groupe D de CFA2, les protégés de Thierry Oleksiak se sont imposés 2-0 grâce à un doublé de Romain Spano. Cette rencontre a permis à l'ancien Manceau Karl Madianga de faire ses débuts en vert.

 

Le onze de départ stéphanois : Vachoux - Nyemeck, Thalamy Dekoke, Polomat - Madianga, Birkelund, Milla -  Aouacheria, Bamba, Spano.

Les joueurs entrés en jeu : Mendy, Nicaise, Saint-Louis, Traoré

Bafé corse l'addition

08/12 20:04

Les vilains se sont refait une Beauté en s'imposant 3-1 à Bastia en fin d'après-midi. Douze minutes après son entrée en jeu, Bafé Gomis a claqué à la 85ème son 5ème pion de la saison d'un petit extérieur du droit. Les banlieusards (10èmes avec 23 points) restent dans le rétro des Verts (8èmes avec 24 points).

U19 : Sainté n'a pas pris l'eau au Puy

08/12 18:07

Les U19 de l'ASSE se sont imposés 2-0 au Puy-en-Velay cet après-midi lors de la 14ème journée du championnat.

 

Malgré un terrain très difficile car partiellement gelé, les Verts ont eu une bonne maîtrise en première mi-temps. Après avoir mis en danger les Ponots sur des percées d'Eliott Gattier, les Stéphanois ont ouvert le score à la 35ème sur un tir du gauche d'Alexandre Assaf, bien servi par Dylan Saint-Louis

 

Moins convaincants dans le jeu en seconde période et mis en danger par une équipe combative, les Verts ont fait le break à la 70ème minute sur un centre au second poteau d'Alexandre Assaf pour Arsène Elogo, dont le plat du pied droit n'a laissé aucune chance au portier local.

 

La compo : Kacou - Massimi, Cabaton, Durieu, Boumali - Vandamme (Dauphin, 85'), Elogo, Assaf (Suljic, 75') - Gattier, Lebon, Saint-Louis (Malumandsoko, 70').

 

La réaction de Jean-Philippe Primard : "Dans l'ensemble, la victoire est logique. Mais on a quand même manqué de maîtrise en deuxième mi-temps. On est tombé sur équipe du Puy qui n'a rien lâché et qui nous a mis en difficultés sur quelques situations. On va s'efforcer de bien finir l'année. On va d'abord recevoir Monaco dimanche prochain avant de jouer nos deux matches en retard, à Andrézieux le mercredi 18 et contre Montpellier le dimanche 22." 

7 inquiétant pour les Vertes !

08/12 17:13

Malgré l'ouverture du score par l'internationale Rose Lavaud dès la 4ème minute de jeu à l'Etivallière, les Vertes ont concédé leur septième défaite consécutive cet après-midi face à Soyaux. Avant-dernières du championnat, les protégées de Hervé Didier présentent un bilan inquiétant après 11 journées de championnat : 2 victoires, 1 nul et 8 défaites !

U15 : des Verts luisants contre Caluire

08/12 15:29

Sans pitié, les U15 de l'ASSE ont atomisé (5-0) la lanterne rouge Caluire à Terrenoire en début d'après-midi.

 

Mal entrés dans le match, les Verts ont concédé un penalty arrêté par Ryan Bouallak dès la 7ème minute de jeu. Gabay Allaigre a ouvert le score à la 20ème minute d'un plat du pied sous le ventre du gardien après avoir subtilisé le ballon à un défenseur. Ayant éliminé plusieurs adversaires, Elias Achouri a doublé la mise à la 66ème dune magnifique frappe dans la lunette.

 

Les visiteurs ont complètement craqué lors des cinq dernières minutes. Lancé en profondeur par Gabay Allaigre, Zinedine Touati a marqué à la 75ème. Antoine Baumel a trouvé à son tour le chemin des filets à la 79ème sur une frappe du gauche à ras du poteau suite à bon décalage de Naïs Djouarha, qui a claqué à la dernière minute le dernier pion d'un plat du pied sous la barre sur un centre en retrait de Zizou Touati.

 

Bouallak - Courault, Dalbin (Halaimia, 60'), Cali (cap), Vieira - Fejzo (Bensalem, 65'), Bensalem (Baumel, 50'), Djouarha - Touati, Allaigre, Achouri.

 

Leaders et invaincus les petits Verts comptent 7 victoires et 2 nuls, avant le dernier match de l'année contre un autre club de banlieue de la banlieue, Saint-Priest.

Kevin qui gagne ... aux pénals

08/12 12:10

Lors du 8ème tour de la Coupe de France hier, Kevin Mayi et les Chamois Niortais sont passés par un trou de souris face à Luçon (National). Entré en jeu à la 64ème Kevin Mayi a été très actif, en réalisant notamment le centre pour le 4ème pion de Niort, et par quelques belles percées en prolongation. Il a cependant raté son pénal, ce qui n'a pas empêché les Chamois de sauter l'obstacle et de se qualifier pour les 1/32èmes de la Coupe de France.

Reporté glacé !

08/12 11:21

Il faisait -2° hier peu avant 20h et la grève annoncée en tribunes n'allait certainement pas réchauffer l'ambiance. Et puis, alors que les deux groupes terminaient leur échauffement sur une pelouse dont la Linda Blair de l'Exorciste n'aurait pas renié la couleur, la nouvelle du report du match fut devinée (il faudra penser à revoir la qualité de la sono d'ici 2016 hein...) par le maigre, frigorifié et courroucé public. Selon le Progrès, Roro, qui aurait voulu jouer hier à 15h mais a essuyé le refus des dirigeants d'Evian,  regrette cette décision en pensant au public  : "Je trouve ça regrettable. L’un des caractères de Saint-Etienne, c’est que les supporters viennent de partout et de loin pour nous voir jouer. Je ne sais pas s’ils repartiront ce soir, s’ils vont rester. Mais ils risquent de rater le match. Ce n’est pas normal. Il faut respecter les gens. Cette décision donne une mauvaise image du foot (...) Je suis sûr que la pelouse lors du match Evian-PSG était encore plus gelée que ça". Le site officiel annonçait d'ailleurs hier soir qu'une place pour l'un des 5 derniers matchs à GG serait offerte à tous les détenteurs d'une place ou d'un abonnement qui se sont déplacés pour rien hier. Le match contre Evian sera joué à une date "ultérieure" mais pas aujourd'hui à 15h, la ville refusant de financer la bâche chauffante pour dégeler la pelouse. Comme souvent en ce moment, pour se réchauffer, les supporters Verts devront donc compter ce week end sur l'adversaire des Vilains. Forza Bastia !

Elie miné !

07/12 14:21

Comme d'hab, sa deuxième saison au club lui a été fatale : Elie Baup a été démis de ses fonctions d'entraîneur de l'OM, éliminé des Coupes d'Europe et largué en championnat après sa défaite à domicile contre les Canaris.

Les Verts dans le top 3 !

07/12 12:41

Le défenseur central Rayan Souici a été appelé pour des tests médicaux de l'équipe de France U16 qui se dérouleront du 16 au 19 décembre à Clairefontaine. Rayan rejoint au sein de cette liste de 35 joueurs deux cadres de cette sélection, Anthony Maisonnial et Arnaud Nordin. Le contingent de l'ASSE arrive en 3ème position derrière Rennes et le QSG (4 éléments). A noter qu'Archimède Colo, joueur des U17 Nationaux de l'AS Montferrandaise, club partenaire des Verts a également été appelé.

 

La liste complète : http://www.fff.fr/actualites/57470-550701-les-joueurs-selectionnes

"Continuons !" dit Trotignon

07/12 12:06

Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, le président d'Evian-Thonon-Gaillard Patrick Trotignon évoque le match que son équipe jouera ce soir à Geoffroy-Guichard.

 

"Notre victoire contre Paris donne un coup de projecteur sur notre club, c'est évident. Mais il va falloir poursuivre et arriver, comme le disait Pascal Dupraz, à cette constance qui nous permettrait d’être encore plus en lumière. Indéniablement, on peut craindre un petit relâchement à Saint-Etienne. Mais il faut voir aussi le côté positif. Quand on vient de battre le PSG comme on l’a fait, il y a une sacrée dose de confiance qui s’installe dans les têtes. Autant, après la défaite contre Lorient, on était dans le néant, abattus. Malgré la défaite à Bastia, on avait joué une première mi-temps génératrice d’espoirs. Contre le PSG, les joueurs ont laissé des forces. Mais l’effet-confiance de notre côté et le fait que nos adversaires vont nous craindre permettront peut-être d’équilibrer les débats à Saint-Etienne."

Sissoko se secoue

07/12 11:35

Dans un entretien publié par Sport-Ivoire, Ibrahim Sissoko se dit décidé à se battre pour s'imposer à Sainté. 

 

J’avais une grande gêne aux adducteurs et en plus de la maladie j’étais obligé de garder le lit durant plusieurs semaines. Mais à présent, ça va et j’ai retrouvé l’entraînement. J’espère retrouver mon niveau, gagner plus de temps de jeu et  aider le club à aller encore plus haut. J’ai le soutien du coach comme tout le groupe. Je crois qu’il compte sur tout le monde pour faire une belle saison. Les rumeurs sur mon départ cet hiver ? Je ne suis pas au courant. Je ne sais pas où ils sont allés chercher cela mais moi je me sens bien ici. Et comme je l’ai indiqué je me remets au travail pour faire avancer le club. Par contre, je n’ai pas envie de rester un an sans jouer. C’est pourquoi je vais tout donner pour retrouver la forme."

Manu a la rage !

07/12 11:19

Consacrant un dossier au grand gâchis du sport antillais, la Pravda Mag publie aujourd'hui une intéressante interview de Manu Rivière. Extraits.

 

"Sur le plan footballistique, je viens de loin (...) il fallait que je rattrape mes lacunes techniques. A Sainte-Luce, ce n'était pas élaboré du tout : on envoyait une longue balle devant et moi je faisais la différence grâce à ma vitesse. J'ai progressé avec la sélection de la Martinique : je me suis calmé devant le but, j'ai amélioré ma façon de me déplacer. A la Coupe Nationale Cadets, à Clairefontaine, j'étais capitaine de la Martinique. J'ai marqué des buts, j'ai été bon dans les tests. Plusieurs clubs m'ont contacté, j'ai choisi Saint-Etienne, un nom mythique chez nous car c'était le club de Gérard Janvion. A 15 ans, je débarquais au centre de formation de l'ASSE. 

 

J'ai eu la chance que Frédéric Piquionne, un ancien du championnat martiniquais, me prenne sous son aile. Il me poussait à toujours être le premier dans les exercices physiques, à être le premier dans l'engagement. Je venais du foot loisirs, il m'a fait comprendre que sortir du centre de formation ressemblait à une compétition incroyable. Il m'a débarrassé de ma naïveté. J'ai compris que je devais rester focalisé sur le foot pour réussir. Jusqu'à 18 ans, je ne sortais pas le soir à Saint-Etienne. Je restais au centre de formation à l'Etrat. Ensuite j'ai vécu dans une chambre d'hôtel, sur le site, plutôt que de prendre un appartement en ville.

 

J'ai subi un choc culturel, je n'étais pas dans le moule. D'entrée, tout le monde a ri de mon accent. Comme j'ai l'esprit ouvert, j'ai pris les moqueries en dérision. J'étais étiqueté "antillais", donc nonchalant, mou, fainéant. Cela m'a endurci. Moi, je suis cool dans la vie mais sur le terrain j'ai la rage ! (...) En Martinique, je n'étais pas le meilleur de ma génération. Même à Sainte-Luce, il y avait des joueurs plus doués mais ils n'ont pas passé le cap par manque de mental. Les clubs français préfèrent prendre des jeunes Africains sous prétexte qu'ils ont plus faim que nous. Il y en avait beaucoup au centre de formation de l'ASSE. Là encore, c'est un stéréotype vu ce que les Antillais ont apporté au foot français et à l'équipe nationale.

 

Comme je ne m'entraînais qu'une fois par semaine en Martinique, j'ai débarqué à Saint-Etienne brut de décoffrage. Heureusement, je suis tombé sur de bons formateurs qui m'ont fait travailler mes lacunes, fréquentes chez les jeunes Antillais : le jeu dos au but, en remises, dans les petits espaces, le replacement, la vision tactique... En vitesse et en puissance, j'étais au-dessus du lot, mais je manquais de finesse balle au pied (...) Je m'efforce de bien représenter les Antillais, mais je ne suis pas assez côté pour être leur ambassadeur. Ce sera peut-être le cas si un jour je suis en équipe de France. Ce serait magnifique, ça donnerait un modèle aux jeunes de chez moi."

 

Quatre à la suite pour Erding ?

07/12 10:29

Ayant marqué lors des trois derniers matches des Verts, Mevlut Erding espère poursuivre sa série ce soir contre Evian comme il l'explique dans la Pravda du jour.

 

"Cela me fait vachement de bien de marquer. Ces buts m'ont libéré. Contre Valenciennes, j'avais eu la malchance de tirer sur le poteau. Contre Bastia, je me suis fait une déchirure sur un appel. J'ai dû arrêter ma course et frapper d'où j'étais. Landreau a détourné mon tir. je suis sorti et Bastai a égalisé. A Marseille, je n'ai pas tiré le péno. Il y a des tireurs de penalty et de coups francs dans l'équipe, je respecte cette hiérarchie. Je joue tantôt dans l'axe, tantôt à droite, je suis parfois sur le banc. C'est perturbant mais quand tu es dans le système de l'entraîneur, tu écoutes ses consignes et tu t'adaptes. Devoir prouver à chaque match te fait progresser et c'est bien pour l'équipe. 

 

Les matches en sélection m'ont fait du bien. La Turquie étant éliminée de la Coupe du Monde, ça m'a permis de jouer deux matches sans pression et de marquer le but de la victoire contre l'Irlande du Nord. J'ai découvert un nouveau groupe dans lequel je suis l'un des plus anciens. J'ai ramené cette confiance. et ce qui est bénéfique pour moi l'est pour mon club. Evian-Thonon-Gaillard est la première équipe à avoir battu le PSG cette saison mais ça ne nous fait pas stresser. Pensons plutôt à gommer notre grosse défaite à Rennes et notre manque de constance."

 

La défense contre-attaque

07/12 09:13

Les avocats des supporters stéphanois arrêtés suite à la baston de l'Allianz Arena ont donné hier une conférence de presse dont Le Progrès du jour donne les principaux extraits.

 

"On nous a prévenus jeudi matin que nos clients seraient jugés dans l’après-midi à Nice. C’était matériellement impossible pour nous d’y être. Nous ne pouvions pas les assister au procès, c’est un manquement grave aux droits de la défense. Depuis le début, tout a été organisé pour aller très vite. Nos clients n’ont été entendus qu’une fois (il y a souvent deux auditions minimum), l’avion avait été réservé… On sent bien qu’il y a une forte pression médiatique et politique. La dernière fois qu’un détenu a pris l’avion après son arrestation, c’était Yvan Colonna. On voit habituellement ce déploiement de forces dans des dossiers d’anti-terrorisme. On estime le coût de l’avion à 8 000 euros. Alors que, dans des dossiers criminels, on limite les prélèvements ADN parce que ça coûte trop cher…

 

On nous annonçait des dizaines d’interpellations, il y en a eu huit parmi les supporters stéphanois. Dont deux n’ont pas abouti parce que l’un n’a pas été reconnu sur les photos, et l’autre n’était même pas à Nice le jour des incidents…Nous ne savons pas ce qu’il leur est reproché exactement puisque nous n’avons pas eu accès au dossier. Le procès aura lieu le 26 décembre, la pression sera retombée. On peut se féliciter de l’indépendance de la justice. Les juges ont su prendre le recul nécessaire pour examiner cette affaire en toute sérénité. Un supporter avait été condamné à un an de prison ferme en comparution immédiate, suite aux incidents de Reims-ASSE en février dernier. Nous sommes passés le mois dernier devant la Cour d’appel de Reims. Les juges, en examinant calmement les faits, ont ramené la peine à six mois avec sursis." 

Keita, 67 ans et toujours vert !

06/12 23:16

Salif Keita, qui a fêté aujourd'hui ses 67 ans, est toujours vert d'avoir perdu plusieurs fois en finale avec les équipes de son pays. Des échecs à l'origine de sa venue à l'ASSE, comme le rappelle aujourd'hui "Domingo" dans le quotidien malien L'Indépendant.

 

"Le seul regret de ma carrière, c’est d'avoir perdu les quatre finales que j’ai jouées avec le Stade, l’AS Réal et le Mali. Jusqu’à présent, je n’arrive pas à expliquer comment nous avons perdu ces finales alors que nous étions les meilleurs. Beaucoup de gens m’accusent pour cela. Après la finale de la Coupe d’Afrique à Abidjan en 1966, j’ai eu beaucoup de problèmes avec le public malien, au point que j’ai dû m’exiler. Je suis parti à Saint-Etienne, où j’ai remporté le Championnat de France trois fois et où j'ai gagné deux coupes de France.

 

Ce que les gens ne savent pas, c’est que j’aime beaucoup mon pays et je suis un patriote. Si on pouvait acheter une Coupe, je le ferais pour mon pays parce que c’est mon regret aujourd’hui. Moi, je pense que j’ai fait tout ce que Dieu m’a donné la chance de faire pour mon pays. J’ai mis mon talent au service de mon pays et de l’Afrique. Chaque fois qu’il a été question du Mali, je me suis toujours trouvé en première ligne. Je ne place rien au-dessus de mon pays. J’ai toujours su faire prévaloir ma fibre patriotique que ce soit à Bamako où ailleurs dans le monde."

So Brandao

06/12 21:01

Dans son édition de décembre 2013, le magazine SoFoot consacre un article à Brandao sous le titre "La Brandade". Brossant le portrait de l'attaquant des Verts, le journal retrace sa carrière.

 

Le n°9 actuel de l'ASSE parle de ses débuts au Brésil, fait remarquer qu'avant de se mettre au football il "était surtout dans la musique" et avoue que lors de son transfert à Donetsk il n'avait que trois années de football en club dans les jambes. L'un de ses entraîneurs, Mircea Lucescu, le décrit ainsi : "C'est un garçon très intelligent, un peu en dehors du système. Un gars différent de ce que l'on voit habituellement dans le football. Pour lui le foot est une passion et un métier, mais le monde ne s'arrête pas là. Il a toujours été très curieux". Du reste, Brandao a déjà envisagé la suite et assuré ses arrières pour l'après-football : "je possède déjà un supermarché et une ferme au Brésil (...). On produit du soja, du millet et du blé et tout est distribué à une coopérative qui se charge de vendre tout ça".

 

Brandao évoque aussi son arrivée en Ukraine, au Shakhtar Donetsk en 2002 : "je ne vais pas te mentir : pour moi l'Europe, c'était l'Allemagne, la France, l'Espagne, mais pas l'Ukraine. (...) la première chose qu'on a faite avant d'analyser l'offre, ça a été de situer l'Ukraine sur une carte". Le froid et les difficultés d'adaptation ont alors fait vivre au Brésilien une sale période ("les six premiers mois en Ukraine, j'ai fait une dépression, j'ai pleuré. J'avais la saudade"). Heureusement, l'arrivée de l'entraîneur Roumain Lucescu, conjuguée à celle d'un partenaire offensif brésilien, Matuzalem, vont relancer Brandao, qui avoue : "j'étais content qu'il [Matuzalem] soit à mes côtés. Je me sentais moins seul et c'était plus facile de communiquer". Débarquent dans la foulée à Donetsk plusieurs autres Brésiliens, notamment Fernandinho, Elano et Willian ("j'ai été un pionnier. S'il y a eu autant de Brésiliens dans ce club par la suite, c'est un peu grâce à moi", dit Brandao, qui confesse avoir même songé un temps à prendre la nationalité ukrainienne). Après avoir inscrit 65 buts et remporté trois titres de champion avec Donetsk, Brandao met le cap sur la Canebière en signant à Marseille en 2009.

 

 

A l'OM, les relations avec les supporters sont compliquées mais Brandao se forge une carapace : "Avec tout le respect que j'ai pour le public, ce n'est pas lui qui fait les compositions d'équipe mais le coach. Les supporters ne voient pas l'importance d'un joueur dans le vestiaire ou les déplacements d'un joueur sans ballon (...). Avec des buts et du travail, tout s'arrange. La critique, c'est comme la boxe. C'est un combat. Si tu te manges des coups de poing dans le visage, il faut réagir, pas vrai ?". Lucescu (encore) abonde dans son sens : "sa priorité, ce ne sont pas ses statistiques personnelles, mais celles de l'équipe. Brandao, c'est un joueur d'entraîneur, pas un joueur de public". Après avoir dû faire face à une plainte pour viol et être reparti un an se mettre au vert au Brésil, Brandao revient à Marseille en janvier 2012. Deux mois plus tard, il marque le but décisif contre l'Inter Milan après un contrôle....du dos et permet à l'OM de jouer un quart de finale de Ligue des Champions.

 

A l'été 2012, laissé libre par l'OM, Brandao est contacté par Saint-Etienne. Bernard Caïazzo se vante d'avoir flairé la bonne affaire : "on cherchait un costaud en attaque. Il a accepté de diviser son salaire par trois et il a signé chez nous pour 60 000 € par mois". Le Brésilien ne regrette pas d'avoir rejoint le Forez : "A Saint-Etienne, je ne sors pas beaucoup car il n'y a pas grand chose à faire (...). Et puis, les gens m'aiment bien ici, je crois. Je suis un guerrier et je sens que ça leur plaît".

 

19 Verts à l'eau de Rose

06/12 18:30

Un groupe sans grande surprise a été retenu par Galette pour affronter les buveurs d'eau minérale demain soir. On retiendra qu'Allan Saint-Maximin fait son retour et remplace numériquement Jérémy Clément.
A Evian-Thonon-Gaillard, Fabrice Ehret est de retour mais Kevin Berigaud, le goléador du début de saison est encore considéré comme blessé, bien que convalescent

Les groupes:


ASSE : Ruffier, Moulin - Clerc, Sall, Perrin, Pogba, Ghoulam, Brison - Lemoine, Diomandé, Cohade, Corgnet -Tabanou, Mollo, Gradel, Hamouma, Erding, Brandao, Saint-Maximin.

ETG FC : Hansen, Laquait – Dja Djédjé, Mongongu, Angoula, Mensah, Sabaly, Tié Bi, Koné, Sorlin, Cambon, Ruben, Ehret, Sougou, Wass, Nistor, Nsikulu, Escobar.

Lavilliers de GG aux GG

06/12 08:20

Supporter de l'ASSE, Bernard Lavilliers avait donné le coup d'envoi de Sainté-Rennes (1-2) le 15 mai 2011. Invité des GG hier sur RMC, le chanteur stéphanois a comparé les Verts à la Seleção.

 

"Le Brésil gagnera la Coupe du monde car c'est le pays qui reçoit. J'espère bien car j'aime bien les Brésiliens. Moi j'aime le jeu de Saint-Etienne à l'époque. Ils jouaient un peu comme les Brésiliens, assez finement, avec des passes courtes très précises. J'aime ce jeu là, ce jeu de danseurs me plaît. Je n'aime pas tellement les coups de marteau, les asommeurs. J'aime beaucoup le jeu rapide qui finit dans les filets comme une danse, ça me plaît. Les Brésiliens jouent comme ça. Maintenant, peut-être qu'ils ont pris un petit côté allemand ou suédois, je ne sais pas. Mais moi j'aime ce jeu qui n'est pas forcément très athlétique mais tout en finesse, comme la boxe. Ce n'est pas toujours le plus gros qui gagne, loin de là."

 

 

Le Sphinx tacle les Verts

06/12 07:53

Comme il le fait savoir dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin n'a vraiment pas apprécié le comportement des Stéphanois à Rennes.

 

"On doit, en toutes circonstances, avoir un maximum d’attention, de rigueur et un marquage beaucoup plus strict. Il me semble que le bon résultat contre Reims a un peu tourné la tête aux joueurs. Parfois j’ai eu le sentiment que les Stéphanois s’étaient déplacés à Rennes pour faire un match amical. Même lorsque le ballon circulait bien, ils ne donnaient pas le sentiment de vraiment vouloir prendre l’avantage. C’est une forme de suffisance qui leur est retombée sur le nez. Il n’y a pas eu cette envie de prendre les choses en mains pour imposer son jeu. Je pense que Galtier va corriger cela, leur souffler un peu dans les bronches. Sur ce match, les Verts n’ont pas eu le comportement de véritables professionnels."

Ajinça alors !

05/12 23:28

Champion d'Europe avec l'équipe de France de basket, Alexis Ajinça est actuellement meilleur marqueur de l’Euroligue et deuxième à l’évaluation. Invité aujourd'hui par Les Dernières Nouvelles d'Alsace a commenter les rumeurs l'annonçant sur le départ pour une grosse cylindrée européenne, le pivot de Strasbourg a révélé l'identité du club qui l'a contacté.

 

"J’ai effectivement été approché par… le club de Saint-Étienne. On m’a proposé un contrat d’avant-centre pour mettre des têtes sur les corners (rires). Plus sérieusement, il y a beaucoup de rumeur mais je ne sais pas d’où elles viennent. Je ne suis pas au courant, mes agents non plus (...) Disons qu’il y a peu de chances pour que je parte (...) Si j’ai fait le choix de resigner à la SIG, c’était pour pouvoir continuer à progresser au contact de Vincent Collet. Je ne me vois donc pas partir en cours de route alors que j’avais prévu de travailler avec lui toute l’année."

 

Pour rappel, ce très grand fan des Verts avait annoncé le 29 mai dernier sa signature à Sainté... comme doublure de Stéphane Ruffier. 

 

Pas dupe, Dupraz !

05/12 22:11

Alors qu'Evian vient de battre des Parisiens qui restaient sur 36 matches sans défaite toutes compétitions confondues, Pascal Dupraz craint que son équipe ne soit pas capable de confirmer samedi soir dans le Chaudron. 

 

"J'ai un groupe de joueurs difficile à cerner, capable du néant comme de livrer des productions comme contre Paris. Lorsque notre équipe manque de constance, cela ajoute à ma colère et quand je la vois livrer un tel match je me dis, que mes joueurs sont pénibles. Qu'est-ce qu'ils vont me réserver pour le déplacement à Saint-Etienne ? Vont-ils me faire un non match, s'endormir, choper le cigare ?"

Loulou annonce un électroc

05/12 21:49

Après avoir débarqué Jean Fernandez dans la matinée, Louis Nicollin a évoqué ce soir sur L'Equipe 21 la prochaine réception des Verts (le 13 décembre à 20h30). Extraits.

 

"Je connais le football depuis 40 ans, je savais qu'on en arriverait là où on est est arrivé. On n'a plus d'équipe, faut voir les choses en face. Mais je pense qu'il va y avoir un électrochoc. Il n'aura pas lieu dimanche à Toulouse, je ne pense pas. Il aura lieu vendredi contre les Verts, ça je ne me fais pas de souci. Comme Jean Fernandez a parlé à ses joueurs ce matin, s'ils n'en n'ont pas un peu dans le pantalon, c'est que ce sont des vrais gonzesses. Quand tu vois ton entraîneur qui te quitte et qui se met à pleurer... S'ils n'ont pas de réaction ces types, ça vaut rien du tout !"

Encore des ballons dans les tribunes !

05/12 16:56

Vous n'aimez pas vous ennuyer pendant la mi-temps ? Vous pensez que le trophée Orange c'est toujours un grand moment ? Vous trouvez les T-shirts Winamax à votre goût ? Vous n'en avez jamais assez de voir des joueurs de poker tenter de tirer sur la barre transversale ?
Alors réjouissez-vous car une nouvelle animation de supermarché va faire son apparition lors du match contre Evian-Thonon-Gaillard à l'initiative de Mister-Auto.com, partenaire de l'ASSE: une machine spéciale va envoyer 40 ballons dans la tribune Henri-Point dont l'un sera dédicacé par les joueurs de l'ASSE !
Le vainqueur, celui qui l'aura rattrapé, pourra alors rejoindre la pelouse et y recevoir une tablette tactile.

Les 39 autres malchanceux remporteront quand même... le ballon qu'ils ont réussi à attraper.
Esperons quand même que les attaquants stéphanois ne s'amusent pas trop à imiter cette machine...

Le sort ne lui est pas clément

05/12 12:00

Sorti hier sur blessure ("vive douleur en haut de la cuisse" dixit Galette) à la 58è, Jérémy Clément est forfait pour le prochain match contre Evian. Le Progrès annonce même huit semaines d'indisponibilité. Il faut espérer que Lemoine et Diomandé se tiennent à pascal carreau car ils sont tous deux à la merci d'une suspension en cas de 3ème carton jaune. Notre milieu pourrait vite être dépeuplé dans l'axe.

Guarin fait passer Trapani à la trappe

05/12 08:43

Quatrième de Série A, l'Inter de Milan a éliminé hier Trapani (Série B) de la Coupe d'Italie. Sur coup franc, l'ancien milieu de terrain stéphanois Fredy Guarin a marqué dès la 4ème minute le premier but de la victoire (3-2) des Nerazzurri.

Le Stade renaît

05/12 07:50

Le Stade Rennais, qui n'avait remporté que trois rencontres de L1 à domicile cette année 2013 et qui n'avait pas gagné le moindre match depuis le mois d'octobre, a profité des largesses stéphanoises pour renaître hier soir. La vidéo des buts est disponible ici.

Quatre Verts sursitaires

05/12 07:34

Comme l'atteste l'indispensable tableau des cartons mis à jour par le potonaute ozzy après la défaite de Sainté à Rennes, quatre joueurs stéphanois sont sous le coup d'une suspension en cas de nouveau carton jaune : François Clerc, Ismaël Diomandé, Fabien Lemoine et Yohan Mollo.

Les Rennais n'ont pas ronronné

04/12 22:17

Agacé par le manque de détermination de son équipe, Galette a commenté la défaite de son équipe à Rennes en conférence de presse.

 

"On a sûrement confondu jouer au ballon et jouer au football. Le football c'est vouloir faire mal à l'adversaire dans les attaques, savoir bien défendre, savoir rester équilibrés, et à chaque fois qu'on a voulu aller vers l'avant on s'est retrouvé dans un gros déséquilibre à ne pas gagner les duels qu'on devait gagner pour enrayer les contres rennais. Sur les deux premiers buts on était arrêté, le symbole de ce qu'on était ce soir : une équipe gentille. On a peut-être pensé que Rennes allait continuer à ronronner. Mais non, j'en avais parlé, c'est un concurrent, une équipe de qualité. Et quelles que soient les équipes, si on ne met pas les ingrédients nécessaires on est lourdement puni. On a eu un manque de détermination incroyable sur le plan offensif et on a subi. Ces erreurs de positionnement sur les phases arrêtées... Pour un entraîneur il n'y a rien de plus énervant !

(...)

Quand on perd on n'est jamais heureux, mais là quand même... Évidemment si on se penche sur les statistiques on a eu la possession de balle, on a eu des situations, des centres, on a tiré au but... Les spectateurs ont dû se régaler entre deux équipes dont l'une se projetait vite et faisait mal et qui mérite de gagner, et une autre qui a joué au ballon mais sans jamais pouvoir accélérer, sans être déterminé à maintenir le doute présent avant le match chez l'adversaire. Elle a su nous faire mal, et j'ose espérer qu'elle nous a mis d'aplomb et que les joueurs vont dormir pour bien récupérer car dans trois jours on a un match important à domicile samedi (...)On s'est pris une belle gifle, une belle droite, j'ose espérer que ce que nous avons fait en quatre jours dans un sens on pourra le faire dans l'autre en trois jours. Voilà, c'est le charme du football."

 

 

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