Papy privé de rugby

05/02 23:57

Suspendu ce soir par la commisssion de discipline pour abus de biscottes, Fabien Lemoine ratera le 8e de finale de Coupe de France contre le Red Star programmé ce mardi à 21h00 à Jean-Bouin, l'antre du Stade Français. Convoité sans succès par Galette, le néo-girondin Clément Chantôme ratera quant à lui pour le même motif le Bordeaux-Sainté programmé le dimanche 15 février à 14h00.

On prend (presque) les mêmes, et on recommence (pas) !

05/02 20:19

Christophe Galtier a convoqué un groupe de 18 joueurs pour la réception de Lens demain soir à GG (20h30). Ce groupe est - sans surprise compte tenu des nombreux absents - quasiment identique à celui du week-end dernier. À noter tout de même le retour de Mevlut Erding, qui n'a pas été inscrit sur la feuille de match dimanche, au détriment de Dylan Saint-Louis.

 

Le groupe : Ruffier, Moulin - Théophile-Catherine, Baysse, Perrin, Karamoko, Tabanou, Brison - Clément, Lemoine, N'Guémo, Madianga - Hamouma, Erding, Mollo, Van Wolfswinkel, Saint-Maximin, Bamba.

 

Audoniens, au repos !

05/02 16:28

Alors que Météo France prévoit une température nettement en dessous du zéro demain à Saint-Etienne, à Epinal, on ne fait pas dans la dentelle : devant les conditions climatiques, la mairie a décidé la fermeture du stade qui devait accueillir le Red Star ce week-end pour le compte de la 20e journée de National. Voilà qui donne quelques jours de préparation supplémentaire au futur adversaire des Verts en Coupe de France.

La touche décisive de Ghoulam

05/02 08:20

Eliminé dimanche de la CAN par la Côte d'Ivoire de Max Gradel et Ismaël Diomandé, Faouzi Ghoulam a retrouvé le sourire hier soir en quart de finale de Coupe d'Italie contre l'Inter de Fredy Guarin. Entré en jeu à la 84e minute, l'ancien latéral gauche stéphanois a délivré d'une touche en profondeur une passe décisive à Higuain, auteur du but de la qualification dans le temps additionnel.

 

Stats en stock

05/02 07:52

Avant le Sainté-Lens qui ouvrira demain soir la 24e journée de L1, l'agence de statistiques Opta nous bombarde de stats.

 

- Sainté a l’occasion de remporter ses 2 matchs de Ligue 1 face à Lens lors d’une même saison pour la 1ère fois depuis 1981/82.

 

- Aucune des 7 dernières confrontations entre les Verts et les Sang et Or ne s’est soldée par un score de parité (4 succès lensois, 3 stéphanois).

 

- Lens s’est incliné lors de 4 de ses 5 derniers déplacements à St Etienne en L1 (1 victoire).

 

- Les 4 derniers matchs de L1 entre l'ASSE et le RC Lens à Geoffroy-Guichard ont produit 16 buts, soit une moyenne de 4 par match.

 

- Les 17 derniers buts de Lens face à Sainté en L1 ont tous été marqués en seconde mi-temps.

 

- Avec l'ETG, Sainté est la seule équipe à avoir remporté tous ses matchs face aux actuelles 5 dernières équipes de Ligue 1 cette saison

 

- L'ASSE a gagné 8 de ses 9 derniers matchs de L1 à domicile face à des promus (1 nul), son dernier revers datant du 3 mars 2012 contre l'ETG (0-2). L’ASSE a toujours gardé sa cage inviolée lors de cette série de 9 matchs.

 

- Les Sang et Or n’ont remporté que 3 de leurs 19 dernières rencontres de Ligue 1 (6 nuls, 10 défaites).

 

- Lens n’a gagné que 3 de ses 30 derniers matchs à l’extérieur en Ligue 1 (contre Montpellier en 2010/11, contre Lyon et Toulouse en 2014/15).

 

- Lens a concédé l’ouverture du score à 15 reprises en Ligue 1 cette saison, total le plus élevé. 

 

Galtier n'est pas frustré

05/02 07:29

En conférence de presse relayée par Le Progrès, Galette a évoqué hier la fin du mercato et les ambitions de fin de saison. Extraits.

 

"Recruter pour recruter n’a jamais été la marque de fabrique de l’ASSE. Si on avait trouvé un joueur, voire deux, qui auraient pu amener une plus-value pour la suite de la saison, on aurait fait les choses. Mais on n’a pas pu les trouver. À partir de là, il n’y a pas de frustration. On n’allait pas prendre des joueurs pour remplir un vestiaire qui s’est vidé du fait des blessures et de la CAN. On fera avec les forces vives qui sont à ma disposition. L’effectif va revenir au fur et à mesure. Pour l’instant, il est affaibli. Mais c’est dans ces périodes qu’il faut savoir faire le dos rond afin de passer cette période avec le moins de dégât possible. Attention à ne pas s’éparpiller, restons unis ! On doit avoir une réflexion collective et non pas individuelle.

 

On est dans une période difficile, ça coince un peu. On est moins bien. Mais les joueurs sont déterminés à stopper cette mauvaise série. Je n’ai aucun doute concernant l’envie du groupe à vouloir continuer à avancer. Après neuf matchs en décembre et sept en janvier, il peut y avoir de la fatigue. La fatigue engendre de la nervosité, de la crispation. Il existe aussi un autre facteur important. Quand je dispose d’un effectif au complet, je peux faire jouer le levier de la concurrence. Comme il y en a moins actuellement, à moi d’en trouver. Il est loin le podium, et les Monégasques qui arrivent derrière sont les favoris. Mais on va se battre. Pour l’instant, on l’a cette quatrième place. J’espère aussi que la cinquième débouchera sur une place européenne."

Les Éléphants piétinent les Léopards

04/02 21:49

La Côte d'Ivoire s'est qualifiée pour la finale de la CAN en dominant 3-1 la République Démocratique du Congo ce soir à Bata. Alors qu'Ismaël Diomandé a encore ciré le banc, Max Gradel était une nouvelle fois titulaire à l'instar de Siaka Tiéné.

 

Moins en vue qu'à l'accoutumée, le petit poulet d'Abidjan a été remplacé à la 62e minute par Salomon Kalou. En finale, les Éléphants affronteront dimanche soir le vainqueur du match Ghana/Guinée équatoriale.

 

"J'espère qu'on rapportera la coupe. On a très très faim de titres. On a vraiment envie de remporter enfin cette coupe pour notre pays. On espère que cette année sera la bonne" a déclaré Maxou à France 24. "Avant de partir à la CAN, Saint-Etienne m'avait déclaré blessé. Je l'ai été, mais par la grâce de Dieu, tout va bien. Je me sens super bien. C'est le plus important." 

Ricky c'est les plus forts ?

04/02 21:19

"Je veux devenir champion de France avec Saint-Etienne" déclare Ricky Van Wolfswinkel dans la dernière édition du mensuel néerlandais Elf Voetbal. L'attaquant stéphanois émet également le désir de jouer dans un des meilleurs clubs de son pays. "J'aimerais tenter cette expérience. J'apprécie le jeu offensif pratiqué en Eredivisie (L1). Avec mon expérience acquise à l'étranger, je pense pouvoir apporter un plus à des équipes comme l'Ajax, Feyenoord, le PSV ou Twente. Ces clubs sont ce qui fait de mieux aux Pays-Bas." 


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On refait le Mastre n°34

04/02 15:14

Rappel : c'est ce soir qu'On Refait le Mastre sur la chaîne Youtube du site.

Rendez-vous à 21h. 

Vous pouvez participer à cette émission, munissez vous de votre casque/micro et rendez-vous sur le Forum pendant l'antenne. Vous pourrez alors vous manifester sur le post créé à cette occasion.

A ce soir!

 

Comptons les défaites

04/02 12:57

On a suffisamment fait le compte des bonnes séries pour s'attarder un peu sur les mauvaises.

 

Deux défaites de suite : on n'était plus habitués, faut dire. Il faut remonter à mars 2014 (défaites à Lorient puis au Parc), et encore, ces deux revers-là s'inséraient entre une bonne série (5V/3N/1D + élimination en coupe de France depuis janvier) et un final proprement excellent (3N et 6V, dont le derby). En championnat seulement, la dernière série de deux défaites est plus récente : Marseille et Toulouse, à cheval sur septembre et octobre 2014 ; mais un 0-0 européen s'intercale au milieu.

 

Mais voyons un peu plus loin, par exemple en cas de nouvelle désillusion vendredi. Trois défaites d'affilée : personne ne l'a oublié, la dernière édition de cette triste performance remonte à l'enchaînement Esbjerg/Lille/Esbjerg d'août 2013. Mais pour trouver traces de trois défaites de rang en championnat sur une même saison, il faut se remémorer le mois de mars 2012, avec deux ratés à la maison (Lyon et Nice), entrecoupés d'une chute dans les poubelles.

 

Enfin, trois matches de championnat sans marquer : ce n'est plus arrivé depuis le trou d'air de la fin d'année 2012, où les Verts enchaînent Ajaccio, Lyon, Bordeaux, Lorient et Marseille sans trouver le chemin des filets - série horrible à laquelle on peut ajouter la qualif aux pénos contre le PSG en coupe de la Ligue. Gageons que celle-ci, de série à l'envers, ne sera pas égalée de sitôt.

Sarra veut bâtir, pas subir !

04/02 08:36

Directeur sportif de Cholet (CFA2) depuis juillet 2014, le mythique ailier gauche de l'épopée des Verts Christian Sarramagna (63 ans) a accordé un long et intéressant entretien au site Footengo. Extraits.

 

"Après ma dernière expérience tunisienne, j'en ai eu vraiment marre d'endosser ce rôle si ingrat de coach qui est le meilleur quand il gagne et le pire quand il perd. J'entraîne depuis 1982, dans des clubs pros, des clubs amateurs, en sélection nationale, j'ai débuté entraîneur-joueur au Grau du Roi... je connais tout ça par coeur. Le milieu du football a beaucoup évolué, pas dans le bon sens, et je n'ai plus envie de subir. Je préfère aujourd'hui prendre du recul pour mettre en place une vraie politique sportive, intervenir dans un domaine que je maîtrise et où je vais pouvoir choisir les compétences. J'entends utiliser mon carnet d'adresses, mon expérience du foot pro et du foot amateur pour aider Cholet à avancer dans de bonnes conditions. 

 

Quand j'étais à Bayonne, nous sommes passés de DHR au National en six saisons avec un parcours fantastique en coupe de France jusqu'en 8ème de finale ! J'avais vécu comme joueur pas mal d'épopées mais les vivre de l'autre côté de la barrière, avec les amateurs, je pense qu'il n'y a rien de plus beau. Malheureusement, dans une région profondément marquée par la culture rugby, cette émergence du football a fait peur à beaucoup de monde. Et clairement, le foot a été mis de côté car on commençait à déranger l'ordre établi. Et comme il n'était pas question, ni viable, de végéter en National, j'ai préféré arrêter. C'est dommage car entre Toulouse et Bordeaux, il y avait la place pour un autre club pro. Nous nous préparions à signer une convention avec l'AS Saint-Etienne.

 

Lorsque j'étais encore en activité, à Saint-Etienne, nous étions tellement sollicités, que le président Rocher nous avait permis de nous investir dans des clubs de la région stéphanoises. Nous étions ainsi quelques-uns à entraîner des équipes amateur. J'étais avec Saint Bonnet le Château, Jean-Michel Larqué était à l'Etrat, Hervé Revelli à Feurs... C'est là que j'ai pris conscience que j'aimais transmettre, que j'ai découvert en moi cette envie, cette vocation peut-être. Par la suite, même si j'ai souvent été dans des clubs pros, j'ai toujours su que j'allais revenir un jour ou l'autre dans le foot amateur car ça me manquait trop. L'approche est complètement différente et même si ça engendre des relations parfois compliquées, parce qu'il faut gérer des situations individuelles très diverses, je trouve les joueurs plus à l'écoute. Je me retrouve davantage dans les contacts qu'on peut avoir, plus directs, plus authentiques. Et puis j'ai une dimension de bâtisseur qui parvient à mieux s'exprimer dans ce contexte."

Jean-Bouin, mauvais terrain

04/02 07:33

Selon la dernière édition du Parisien, Dominique Rocheteau a grimacé en découvrant samedi l'état déplorable de la pelouse du stade Jean-Bouin, qui sera changée après le 8e de finale de Coupe de France programmé mardi prochain à 21h00.

 
"Sur la terre et les bosses, le club de Ligue 1 sera forcément en difficulté face au 3e du National, comme le Stade Français, équipe joueuse, l'a été face à Oyonnax, vainqueur (15-13)" prévient le quotidien. "Consciente du problème, la mairie de Paris a décidé, comme l'an dernier, de changer son gazon. Cela sera fait à partir de la mi-février. Le Stade Français disposera d'une nouvelle pelouse le 14 mars pour recevoir Grenoble. Une bâche toute neuve la protégera des intempéries et des pigeons mangeurs de graines."

Roro maintient le (salary) cap

03/02 23:30

France Football a publié aujourd'hui un long entretien de Roland Romeyer. Extraits.

 

"En plus de leur traitement de base, des joueurs peuvent monter jusqu’à 500 000 euros de primes collectives et personnelles par saison. Deux joueurs sont actuellement au plafond du salary cap, qui est de 90 000 euros brut par mois chez nous. Au départ, en 2010, on est parti avec des primes qui débutaient dès la 17e place, puis la 10e place. Le système commence désormais à la 8e place car on considère que l’outil de travail et l’image de l’ASSE se sont améliorés. Le club doit raisonnablement se situer dans cette fourchette, le premier tiers du classement. Mais plus on grimpe et plus les primes deviennent intéressantes quand on se rapproche de l'Europe. Pour signer à Saint-Etienne, tout joueur doit adhérer à ce projet, dont nous avons été les précurseurs en France. Je sais que beaucoup de clubs y viennent aujourd'hui. Tous sont en difficulté financièrement, sauf Paris. Nous on fait désormais partie des mieux gérés.

 

Avant, on passait deux fois devant la DNCG. Maintenant, c'est une seule fois dans la saison. En décembre 2009, quand je reprends les commandes opérationnelles avec Bernard, on ne brillait pas ! On avait 16 points, un pied en L2 et un trou financier de 14,5 M€ ! On passait devant la DNCG avec des couches ! On a alors changé de gouvernance, avec Bernard à la présidence du conseil de surveillance et moi à celle du directoire. Il fallait être un peu fada ! On a redressé la situation en deux saisons.Ma plus grande réussite, c'est d’avoir choisi Christophe Galtier en décembre 2009. C’est un choix que je revendique. C’était culotté, mais nous n’avions pas d’autres moyens. On lui a fait un cadeau empoisonné. Christophe a joué le jeu en passant numéro 1 avec son salaire d’adjoint. Ce fut le véritable tournant sportif du club ces dernières années. Derrière, on n’a plus cessé de progresser. »

 

J'ai mis des millions d’euros dans l'ASSE, mais je ne regrette rien. Je n’ai d’ailleurs jamais rien regretté dans ma vie. J'ai mis plusieurs fois au pot, notamment en 1996 et en 2003 pour sauver le club. Je ne suis pas là pour gagner de l'argent dans le club ! Mes dividendes, c'est quand on gagne et que je vois tous ces gens heureux ! Je suis heureux quand les supporters sont heureux, c'est ma plus grande richesse avec l'ASSE. Avec Bernard, nous ne sommes pas des businessmen ! On n’a pas pris ce club pour gagner du fric. On pourrait bien le revendre, récupérer de l’argent, mais ce n’est pas notre but. On veut le faire encore grandir, comme avec le nouveau stade, mais dans une croissance intermédiaire, en continuant de faire plaisir aux gens, en rendant heureux ceux qui sont derrière nous.

 

L'idée est d'agrandir la famille. On va donc essayer d’intégrer les supporters dans le développement du club. Avant d’en arriver au modèle des socios des clubs espagnols, on a lancé depuis deux mois une carte de membre actif. L’objectif premier est d’asseoir la plus grande communauté de supporters. On veut atteindre les 100 000 membres en trois ans. Cette carte coûte 20 euros, mais donne de nombreux avantages exclusifs. On connaît notre potentiel. Avec les réseaux sociaux, on estime notre potentiel de sympathisants entre 1,8 et 2 millions de fans à travers le monde. Nos valeurs étalons sont l'identité populaire et la proximité. Entre le grand-père, le père et le petit-fils, l'ASSE est le seul club en France à pouvoir réunir trois générations de supporters. Mon rêve ultime, c'est de continuer à faire bander les supporters."

Heureux comme un Pape !

03/02 21:42

Pape Sarr, qui coule des jours heureux dans la banlieue d'Arras, s'est confié au site lensois.com à trois jours du choc entre ses anciens clubs. Extraits. 

 

"Je réside toujours à Saint-Laurent Blangy où je vis paisiblement. Je joue toujours au football au sein du club local, notamment pour m’amuser un peu avec mes amis. Et puis, je n’ai pas quitté le monde du ballon rond puisque je passe actuellement une formation de remise à niveau dans le but d’attaquer mes diplômes afin de devenir entraîneur. Enfin plutôt formateur, puisque je préfère encadrer les plus jeunes, comme la catégorie U15 par exemple. 

 

Les souvenirs que je gardes de l'ASSE et du RC Lens ? En tout premier lieu, les deux publics. Ils sont toujours derrière les joueurs, que ce soit à l’entraînement ou pendant les matches. Partout où nous allions, nous avions le soutien de nos supporters. Ca, honnêtement, ça reste encore dans ma tête. D’ailleurs, j’ai eu l’occasion de retourner à Saint-Etienne voici deux semaines. Les fans m’ont parfaitement accueilli. Je ne peux les oublier les Verts et les Sang et Or. Ils m’ont tout donné, mes enfants, ma famille…"

Faye dans la porcelaine

03/02 17:50

Disparu des écrans radars depuis son passage en CFA2 à Aurillac au cours de la saison 2012/2013, Maodomalick Faye (27 ans) vient de s'engager jusqu'en juin au Limoges FC, club évoluant dans le groupe D de CFA. L'ancien attaquant sénégalais arrivé en janvier 2006 à Saint-Etienne en provenance de l'ASC Yeggo, n'avait jamais pu s'imposer ches les pros (8 matchs seulement de Ligue 1 en vert) et avait vu son contrat ne pas être prolongé en juin 2010.

 

Sa mission ne sera pas simple non plus pour cette fin de saison, Limoges étant bon dernier de son groupe après 17 journées. Remplaçant face à Concarneau (défaite 0-2) et Nantes (victoire 1-3), il a tout de même inscrit son premier but ce week-end face aux Canaris. Malgrès tout, il pourra toujours se rappeler ses vertes années avec un autres ancien de la maison, en la personne d'Eric Blanchet (Entraîneur des gardiens) qui a joué 3 saisons entre 1987 et 1990 pour la réserve de l'ASSE.

Les U11 à l'assaut de La Mygale

03/02 09:59

Les 14 et 15 février, les U11 de l'A.S.S.E participeront au 25e challenge Cabièces ELA qui se déroulera dans le Tarn (81). Quinze clubs de L1 sont représentés. Les poules ont été tirées samedi : Saint-Etienne se retrouve avec Montpellier et le club organisateur de La Mygale du Séquestre. Cinq émissaires de clubs professionnels sont annoncés. L'an passé, c'est le Paris Football Club qui l'avait emporté.

Herbin chagrin

03/02 08:13

Dans Le Progrès, Le Sphinx revient aujourd'hui sur le revers des Verts à d'Ornano. Extraits.

 

"Avant le but caennais, les Verts ont quatre occasions superbes, énormes pour prendre l’avantage. C’est de la maladresse à 100 % et je trouve ça incroyable. Est-ce qu’ils sont angoissés à l’idée de se retrouver dans de telles situations ? Ce qui me chagrine c’est la réaction du joueur après avoir raté l’immanquable. J’ai l’impression qu’il n’est pas du tout marqué par la maladresse dont il a fait preuve. Ça me fait dresser les cheveux sur la tête. Quand j’étais joueur, je m’insultais lorsque ça m’arrivait. Je m’en voulais à mort. Eux, non, ils n’ont pas l’air d’être traumatisés.

(...)

Avec le recul, je n’arrive toujours pas à comprendre comment on peut perdre un match comme ça. Ça me perturbe. Je trouve qu’on n’est pas assez ambitieux. Depuis le début de saison, on a toujours occupé le haut du classement. Or, dans toutes les déclarations que j’ai pu lire, c’était comme si les trois premières places étaient déjà distribuées. C’est fou de raisonner ainsi. Il y a encore quinze jours, les Verts étaient au contact des premiers et complètement dans le coup. Maintenant, l’écart s’est creusé. On ne peut plus rêver pour les belles places."

 

 

Le plaisir de Vésir

03/02 07:58

Apparu deux fois en D1 avec l'ASSE lors de la mythique saison 1975-1976, l'ancien milieu de terrain Dominique Vésir (59 ans) revient sur ses vertes années sur le site indépendant Stade Rennais Online

 

"Depuis l’âge de 7 ans jusqu’à 16 ans, j’ai été accompagné par mon entraîneur, monsieur Jean Larqué. J’ai vécu l’exigence des entraînements, les joies du jeu avec mes copains d’enfance et la fierté des premiers succès. C’est cet homme - monsieur Jean Larqué, véritable éducateur bénévole - qui m’a amené à remporter le concours du plus jeune footballeur en 1970 puis le concours du jeune footballeur l’année suivante. À 17 ans à Saint-Étienne, après avoir obtenu mon baccalauréat (condition imposée par mon père), j’ai rencontré l’impératif du résultat, la dure réalité de la concurrence des professionnels mais également tout ce qui est nécessaire à une discipline sportive de haut niveau.

 

C’était le premier club de l’époque au niveau des infrastructures, des équipements techniques et médicaux. Et surtout il était, avec Nantes, le club à aligner sur le terrain le plus de joueurs formés dans son centre de formation. Pour ma part, j’ai très peu joué en équipe première puisque je suis parti de Saint-Étienne à 21 ans pratiquement après notre titre de champion de France en 3e division. J’ai conservé de ces années d’apprentissage avec notre entraîneur monsieur Robert Philippe de vraies bases que j’ai pu faire fructifier lors de mon service militaire au Bataillon de Joinville avec monsieur Guy Briet, entraîneur de l’équipe de France militaire et autre « accoucheur » de joueurs. Sans faire partie de la légendaire équipe des Verts, j’ai eu bien du plaisir à 18 ans de pouvoir assister à des rencontres de coupe d’Europe devenues presque légendaires.

 

De 16 ans à 30 ans, j’ai joué au football. De 31 ans à 50 ans, j’ai travaillé dans l’assurance. À 51 ans, j’ai fait un choix de vie ! J’ai tellement entendu les gens dire : "à la retraite, je ferai tout ce dont j’ai rêvé pendant que je travaillais" que j’ai préféré anticiper ! En traversant l’Espagne à pied, j’ai lu un jour sur un mur : "Mieux vaut vivre ses rêves que rêver sa vie !". Comment vous dire ? Un peu comme si j’avais décidé de travailler moins pour vivre mieux... Il serait trop long d'expliquer tout ce que je fais aujourd’hui. Disons que l’océan, les voyages, la moto, le théâtre, la pelote basque qui me passionne, la lecture, la pratique de l’aïkido avec l’étude de Gérard Blaize, et quelques autres choses que je continue à apprendre et à transmettre accompagnent mes journées."

Clément, Jérémy !

03/02 07:34

Jérémy Clément revient sur la défaite des Verts à Caen dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

 

"Si on avait mené à la mi-temps, le match aurait été différent. On a des situations. Caen, aussi, en étant objectif. La vérité des surfaces c’est qu’il faut être décisif. On ne l’a pas été. On n’a pas été performant non plus dans les duels, dans l’impact. Sur ce point aussi, les Caennais ont été meilleurs que nous.

 

Il s’agit d’une deuxième défaite de suite mais le contenu est pas mal quand même. Il y a certains matchs où l’on n’a pas été bon et on a gagné. D’autres fois, on est bon et on perd. Quand on est mené, on veut revenir au score. Du coup, on est un peu désorganisé et on prend des contres. Je ne sais pas si les contenus avant le match de Caen étaient mauvais mais, là, je n’ai pas trouvé qu’on avait été si mauvais que ça.

 

Devant ça avance mais on a toujours dit qu’on était à notre place. On essaye de faire le maximum pour rester au contact des équipes de devant. Malheureusement, il y a des périodes un peu compliquées. On a perdu contre Paris. On perd contre Caen. Mais ce n’est pas non plus la fin du monde. Il faut se rappeler des saisons auparavant, c’est important."

 

Bell encense Gradel et tacle Blanc

02/02 23:44

Consultant à la CAN pour RFI, Joseph-Antoine Bell était ce lundi l'invité du Debrief de France Bleu Saint-Étienne Loire. Jojo en a profité pour encenser Max Gradel avant de tacler son ancien coéquipier Laurent Blanc.

 

"Après sa victoire contre l'Algérie, la Côte d'Ivoire peut être considérée comme favorite. Elle ne l'était pas avant, elle ne jouait pas bien. Max-Alain Gradel n'est pas arrivé ici comme titulaire. Je l'ai vu entrer en cours de partie et aider son équipe à être meilleure. C'est lui qui a battu le Cameroun. Il retrouve la forme ici et je ne crois pas qu'il la perdra en prenant l'avion pour revenir à Saint-Etienne.

(...)

Ça m'attriste de voir à quel point on peut être égoïste. Vous vous souvenez du service militaire, personne ne s'est jamais plaint que les joueurs ne pouvaient pas jouer pendant un an. On oublie tous quand il s'agit de nous que les autres aussi existent (..) Ca m'attriste parce que j'ai entendu ça précisément dans les vestiaires des Verts. J'ai entendu Laurent Blanc demander à Titi Camara de ne pas aller jouer pour la Guinée."

Le Tallec marque et craque

02/02 23:33

En clôture de la 22e journée de Ligue 2, Valenciennes s'est inclinée 3-1 sur le terrain du Havre ce soir. Après avoir réduit l'écart à la 50e minute sur penalty, Anthony Le Tallec fut expulsé moins d'une minute après, suite à une echauffourée juste après le but. En 20 apparitions en championnat cette saison, l'ancien attaquant stéphanois a inscrit 5 buts. Valenciennes glisse dangereusement à la 16e place au classement avec un seul point d'avance sur le premier relégable.

Happy Fleury !

02/02 21:50

S'il n'a pas été décisif en équipe de France U16 lors de l'Aegean Cup, Adrien Fleury garde la confiance de son sélectionneur Laurent Guyot. Le milieu offensif des U17 stéphanois effectuera des tests médicaux à Clairefontaine du mardi 10 au samedi 14 février avant de se rendre en Angleterre jusqu'au dimanche 22 février. Il y affrontera la Suisse, la Slovaquie et le pays hôte.

Un droit de cité pour City ? (2)

02/02 21:16

Sur le site de la Pravda, Nanard a donné aujourd'hui quelques précisions sur le projet de partenariat avec Manchester City évoqué par Le Progrès du 28 janvier dernier.

 

"Ça fait déjà quatre ou cinq fois que Dominique Rocheteau les rencontre, ça a l’air très sérieux. Ce sont des gens qui ont la volonté de travailler en profondeur. City est impressionné par la capacité des Verts à former des joueurs niveau Ligue des champions : Ghoulam à Naples, Guilavogui à Wolfsburg et Zouma à Chelsea. Dans les 18 derniers mois, quel autre club a sorti autant de joueurs titulaires dans de gros clubs. City souhaiterait profiter de ce savoir-faire pour aguerrir ses jeunes. City pourrait également participer financièrement à l’achat de jeunes joueurs, qu’il laisserait ensuite dans le Forez, en copropriété. Contrairement à Monaco ou Lyon, on ne met pas d’argent sur les jeunes de 13-14-15 ans. Une fois, on avait l’accord d’un jeune, mais derrière, Monaco a mis 200 000 euros et il est parti là-bas. A l’avenir, on peut imaginer que cet argent, ce serait City qui le mettrait."

clean sheet et déprime sheet !

02/02 12:24

Le match d'hier, au delà de la déception, a confirmé les tendances vertes de la saison 2015.

La solidité défensive reste, l'incapacité à (vincent) planter aussi. Si on a pu bomber le torse en comptant notre nombre de "clean sheets" (19 en 35 matchs officiels), un chiffre tout aussi parlant gonfle (à tous égards) dangereusement : celui du nombre de matchs sans marquer.


Il est monté à 14 hier.


En 35 matchs, cela nous donne statistiquement 40% de "chances", quand on regarde les Verts, de ne pas les voir marquer.


Reviens Max, reviens !

Balmont le rodomont

02/02 11:35

Dans La Voix du Nord, le Dogue Florent Balmont critique la façon dont les Verts ont abordé leur dernier match contre le QSG. L'ancien vilain évoque également son inoubliable tir au but de janvier 2013.

 

"Cette demi-finale contre le PSG, je ne veux même pas penser qu’on peut la perdre. On sait très bien que ça peut créer un élan. Je le dis depuis quelque temps que ça peut avoir un impact très positif pour l’équipe. Il faut tout tenter, aller les chercher. J’ai regardé le dernier match entre Saint-Étienne et Paris et je trouve que les Verts les ont trop laissés jouer. Contre une équipe comme ça, avec autant de qualités, c’est mort.

 

Cette balle de qualification pour la finale que j'ai manquée à Saint-Étienne, il y a deux ans, ça m’a tracassé, mais je ne suis pas le seul à avoir raté ce soir-là dans le Chaudron. J’ai eu la balle de match, c’est vrai, et c’est dommage qu’elle aille sur le poteau. Ça fait partie des aléas du football. Je ne suis pas un roi du penalty. Pendant deux jours j’y ai pensé, et puis j’ai rapidement tourné la page."

Parano'yahia

02/02 10:29

Contrairement à ce qu'il avait annoncé, Alaeddine Yahia n'a pas trompé Stéphane Ruffier. Et l'ancien défenseur des Verts n'a hélas pas concédé de péno hier à d'Ornano, alors que Caen est pourtant le leader européen dans ce domaine (12 pénalties depuis le début de saison). Dans la Pravda du jour, l'international tunisien parle de la paranoïa qui a gagné le Stade Malherbe.

 

"Globalement, j'ai l'impression que les arbitres sifflent facilement péno cette saison. Les deux que j'ai provoqués étaient incontestables mais on en a pris deux ou trois qui n'y étaient pas, en particulier celui qui a été sifflé contre Appiah face à Lille. Sur cette action comme sur beaucoup d'autres, la vidéo pourrait aider. Les arbitres doivent prendre leur décision en un dixième de seconde et c'est de plus en plus compliqué pour eux.

 

En particulier sur les mains, là je n'y comprends rien ! Il y a des cas où il ne faut même pas chercher à savoir. On pourra m'expliquer ce qu'on veut, on aura toujours du mal à interpréter une main dans la surface. Il n'y a pas d'harmonisation, comme on l'a vu contre Lorient. Je le reconnais, la main de mon coéquipier Damien Da Silva, qui n'avait pas été sanctionnée par l'arbitre, était sans doute plus flagrante que celle de Lamine Gassama, qui nous avait permis d'avoir un pénalty.

 

On a subi une hallucinante série de pénalties, même les arbitres commencent à être désolés de devoir siffler contre nous, ils s'excusent presque ! Notre façon de défendre a évolué, car une véritable paranoïa s'est installée chez nous. Surtout, on sent bien que nos adversaires le savent et qu'ils essaient d'en profiter un maximum en se jetant systématiquement au moindre contact. Alors, on fait particulièrement attention, on défend debout, on tacle moins et on essaie d'anticiper au maximum."

 

 

 

 

Il est bien, Tintin !

02/02 09:12

Mythique buteur du légendaire match retour contre Split, Yves Triantafilos nous donne de ses nouvelles dans les pages altiligériennes du Progrès. Extraits.

 

"J’étais rentré à l’ASSE en 1964, à l’âge de 16 ans. C’est Pierre Garonnaire qui était venu me chercher à Sail-sous-Couzan. L’année d’après, j’ai pu jouer mes premiers matches en pro, sous les ordres de Jean Snella. Avec Georges Bereta, Gérard Farison, Christian Synaeghel et Hervé Revelli, on faisait partie des plus jeunes, et on adorait jouer pieds nus sur la pelouse du Chaudron après les entraînements… J'ai marqué contre Split lors d'un match souvent considéré comme l’acte fondateur de "l’épopée des Verts" mais je n’ai pas pu participer à la finale de Glasgow en 1976, j’étais parti à Nantes sept mois plus tôt. Ici on m'appelle "Tintin" ou "le Grec", en Grèce on m'appelle "le Français". Je vis au Chambon-sur-Lignon où ma femme dirige une pharmacie. Elle avait tenu une officine pendant neuf ans au Cannet et on voulait se rapprocher de nos familles originaires du Montbrisonnais. J'ai travaillé dans la Loire, j’ai été agent immobilier et patron de bar. Pendant deux ans, j’ai même élevé des chèvres et des chevaux." 

Garande s'amende

02/02 07:14

Toujours aussi bouillant, Patrice Garande a été expulsé à la 42e minute du match Caen-Sainté (1-0) après avoir vertement contesté le carton jaune infligé à son défenseur Damien Da Silva. Selon la Pravda du jour, l'ancien buteur des Verts a traité l'arbitre de "plus grosse truffe de l'arbitrage français." L'entraîneur du Stade Malherbe a fait amende honorable à l'issue de la rencontre. "Après tout ce que l'on m'a dit sur Monsieur Varela, j'ai eu un jugement en employant un terme, pas une insulte, et je n'aurais pas dû dire ça. Mon expulsion est normale et j'ai présenté mes excuses aux arbitres."

Les Éléphants piétinent les Fennecs

01/02 22:30

La Côte d'Ivoire a battu l'Algérie 3-1 ce soir lors du dernier quart de finale de la CAN. Alors qu'Ismaël Diomandé est resté sur le banc et que Siaka Tiéné a été remplacé à la 67e, Max Gradel a joué l'intégralité de la rencontre. D'un superbe centre côté droit, l'attaquant stéphanois a permis à Wilfried Bony d'ouvrir le score à la 26e.

 

A noter qu'après l'égalisation de Soudani, le buteur de Swansea a redonné l'avantage à sa sélection en prenant le meilleur sur Faouzi Ghoulam et Carl Medjani. Gervinho a scellé le sort de le rencontre dans le temps additionnel.

 

En demi-finale, les Éléphants affronteront mercredi soir les Léopards de la RDC. Un choc que ne devrait pas rater Robert Nouzaret, qui a dirigé ces deux sélections.

 

Attention Papy et Jérémy !

01/02 21:07

Avertis aujourd'hui à d'Ornano, Fabien Lemoine et Jérémy Clément sont comme Franck Tabanou et Jonathan Brison sous la menace d'une suspension s'ils mangent une nouvelle biscotte lors des prochains matches, comme l'atteste l'indispensable tableau des cartons du potonaute ozzy.


Image

.... le tableau complet des suspensions (depuis le début de saison) .... ici

quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension 
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune 
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match 
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure

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