Un million pour Jorginho

26/11 10:20
Image

 

Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2019 mais prêté à Chaves (L1 portugaise) sans option d'achat, Jorginho (22 ans) n'a claqué qu'un petit pion et délivré une passe décisive en neuf matches (dont seulement trois titularisations) depuis le début de saison. Dans le quotidien sportif portugais Record, son ancien président Carlos Pinho précise que sa vente à l'ASSE pour plus d'un million d'euros a permis au petit club d'Arouca de renflouer ses caisses et présenter cette saison un budget de 2,5 M€.

Brandao a marqué Marquinhos

26/11 09:47
Image

 

Auteur de 2 pions en 9 matches cette saison avec Levadiakos (Grèce), Brandao (37 ans) aura marqué Marquinhos, comme l'attestent les propos du défenseur parisien parus dans Le Journal du Dimanche.

 

"Des joueurs qui font mal, il y en a pas mal en Ligue 1 ! Mais je me souviens surtout de Brandao. À chaque ballon, il y allait vraiment fort. Pas forcément avec l’intention de faire mal, mais il aimait bien le contact. Utiliser son corps, s’appuyer sur toi, ça faisait partie de sa panoplie. Franchement difficile à gérer."

Les Girondins sont mal en point(s)

26/11 09:17
Image

 

L'ASSE n'a pris que deux points lors des cinq dernières journées mais deux équipes ont fait pire : les Grenats... et les Girondins, qui n'ont chopé qu'un tout petit point sur quinze. Beaucoup plus forts que les Stéphanois selon Guéguette, les Bordelais sont à deux longueurs de l'ASSE avant le match qui opposera les deux clubs après-demain au stade Matmut Atlantique. Défait par la bande à Garande hier à D'Ornano, Jocelyn Gourvennec invite son équipe à réagir dans la dernière édition du quotidien Sud-Ouest.

 

"On a retrouvé une équipe plus cohérente par rapport à nos dernières sorties à l’extérieur. La première période a été à sens unique, mais on n’a pas concrétisé. On n’est pas récompensé. L’arbitre a revu et l’a reconnu, il y a deux penaltys non sifflés en notre faveur. On a été menés contre le cours du jeu, c’est paradoxal car l’équipe a mieux fonctionné. On a eu la main sur le match, mais ça n’a pas été suffisant. Il faut persévérer, continuer à avancer comme ça. On doit garder notre unité, quand ça ne va pas, il faut faire corps. Notre total de points est très insuffisant, il va falloir retourner cette situation dès mardi contre Saint-Etienne."

Un bon point pour les Alsaciens (2)

26/11 08:50
Image

 

Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Jonas Martin revient à son tour sur le point pris par son équipe à Sainté avant-hier soir.

 

"Prendre un point ici chez une bonne équipe de Saint-Étienne, c’est toujours bien. On a un peu bonifié la victoire contre Rennes. Après, au regard des occasions que nous nous sommes créées, nous aurions pu rapporter les trois points en étant un peu plus décisifs. On aurait pu l'emporter mais on ne va pas faire la fine bouche. J'ai pris mes responsabilités après l’accrochage de Florentin Pogba sur Bakary Koné. Ce n’était pas décidé avant, mais je me sentais de le tirer. Le jour où Kenny a inscrit le sien, je voulais déjà le faire. Mais je le lui avais laissé parce qu’il n’avait pas marqué de la saison. J’aime bien cette responsabilité. Je ne tremble pas trop dans cet exercice. Là, je le mets au fond et ça rapporte un point. C’est positif et encourageant, car on a souvent du mal quand on est mené à l’extérieur. Il y a quelque temps, nous aurions peut-être perdu. Mais là, nous avons montré du caractère, joué en équipe, fait des efforts ensemble et été récompensés, même si nous pouvions faire mieux encore."

Anto avait connu pire

26/11 08:28
Image

 

Après avoir commenté en direct sur Canal Plus Sport le premier match à domicile de Julien Sablé en tant qu'entraîneur, Frédéric Antonetti revient dans Le Progrès du jour sur ses propres débuts dans le Chaudron. 

 

"C'était contre Le Havre, en octobre 2001. Des ultras avaient forcé les grilles et tenté d’accéder aux salons. Il y avait du sang. Le kop sud avait déployé une banderole qui ne m'avait pas plu du tout  : "Un berger corse pour garder des chèvres."  On avait perdu 1-0, Julien Sablé s’en est mieux tiré avec ce nul contre Strasbourg. C'est un passionné, un travailleur qui a beaucoup d’énergie et d’enthousiasme. Jean-Louis Gasset va lui apporter beaucoup. Julien n’a pas d’expérience, c’est normal quand on est en jeune mais s’ils trouvent le bon fonctionnement… J’aurais pu revenir à l'ASSE... si j’avais été contacté. On parle toujours de notre bon parcours, de la remontée, mais avant cela, nous, c’est pour ne pas descendre en National qu’on se battait."

Loïc remercie le public

26/11 08:06
Image

 

Dans Le Progrès du jour, le capitaine des Verts livre son analyse du match nul contre Strasbourg et souligne l'attitude positive des supporters. Extraits.

 

"Quand on mène deux fois au score, c’est quand même rageant de faire match nul. Il y a eu de bonnes choses mais on a trop subi d’occasions à mon goût. Surtout sur des erreurs individuelles ou des pertes de balle un peu bêtes quand on avait le ballon. On prend encore trop de buts, Dans les périodes un peu compliquées, comme actuellement, on est assez vite sanctionné. On donne le bâton pour se faire battre.

 

Les supporters ont été présents. Merci. De toute façon, on aura besoin d’eux. C’est primordial. Sur l’état d’esprit, je pense qu’ils n’ont rien à nous reprocher. On a essayé de faire le maximum. Maintenant, il faut qu’on gomme ces petites erreurs individuelles qui nous coutent cher. Cela se travaille, tout comme le fait de retrouver de la confiance. Une victoire pourrait nous faire du bien. J’espère qu’elle va vite arriver."

Herbin tacle Pogba et Bamba

26/11 07:53
Image

 

Revenant sur le match nul contre Strasbourg, le Sphinx tacle Florentin Pogba dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

 

"Honnêtement, je n'ai pas vu de progrès vendredi. L’absence de cohésion dans cette équipe m’interpelle. Je trouve cette équipe soucieuse, nerveuse. Il faudrait peut-être lui faire un lavage de cerveau. Elle n’inspire pas confiance pour l’instant. Elle commet beaucoup d’erreurs. La faute de Florentin Pogba qui amène le penalty pour Strasbourg est inadmissible. Je me suis dit “mais qu’est-ce qu’il va faire là ?”. Il est clairement fautif. L’arbitre a sauté sur l’occasion, ce qui me semble juste. il faut que Bamba modifie son jeu. Il est trop personnel. Il aime trop le ballon. Le football se joue avec un ballon, c’est vrai, mais il faut le donner aux autres. Les absences de Cabella et Hamouma pèsent lourd."

 

 

 

 

Bravo Spano et les Ponots !

25/11 22:16
Image

 

Mené 2-0, Andrézieux a fait match nul chez les Spinaliens ce soir grâce à un péno de l'ancien attaquant stéphanois Romain Spano (photo), auteur de son 9e pion de la saison en National 2. Confortant son statut de leader, l'équipe de Romain Revelli compte désormais sept points d'avance sur la réserve de vilains battus en banlieue par les Ponots.

Tourdre magie !

25/11 19:16
Image

 

Notre club est magique ! Alors que l'ASSE compte déjà deux présidents et deux entraîneurs, RMC nous apprend qu'il y a désormais deux team managers...

 

"A l’été 2016, Bernard Caïazzo avait réussi à faire entrer Éric Blondel dans le vestiaire en tant que "Team Manager". Éric Blondel avait été des années durant le secrétaire et l’ami fidèle de Bernard Caïazzo. Sa venue avait été perçue au sein du clan Romeyer comme "l’œil de Moscou" dans la maison verte (...). Depuis le départ d'Oscar Garcia et le retour de Baptiste Girard, qui officiait sous Garcia comme traducteur entre le coach, les adjoints du coach et les joueurs, au service communication, Franckie Tourdre [ndp2 : arrivé au service de communication en août dernier] a été parachuté au sein du groupe pro pour occuper un rôle de… team manager auprès des joueurs étrangers. Le club se retrouve donc avec deux "Team Manager" là où il n’y en avait pas un seul il y a 18 mois."

Aubame, numéro 17 !

25/11 17:44
Image

 

Auteur de son 17e pion de la saison toutes compétitions confondues, le numéro 17 de Dortmund Pierre-Emerick Aubameyang a ouvert le score cet après-midi lors du derby de la Ruhr. Le Borussia, qui menait 4-0 à l'heure de jeu, a concédé le nul 4-4 face à Schalke 04, l'ancien attaquant stéphanois ayant été expulsé à la 72e minute.

 

 

Féfé vu par Passe-Partout

25/11 17:13
Image

 

Sur le plateau de SFR Sport1, Geoffrey Dernis a évoqué hier le cas de Pascal Feindouno.

 

"C'est le meilleur joueur avec qui j'ai joué. Tout simplement. C'est unanime. Tous ceux qui me posent la question, je réponds en trois secondes : le meilleur joueur avec qui j'ai joué c'est Pascal Feindouno ! Il est passé à côté d'une carrière phénoménale. C'était un magicien. Mais lui, ce n'était pas le plus sérieux du monde. C'était un fêtard, il croquait la vie, il s'en foutait de sortir la veille d'un match jusqu'à trois heures du matin ! Mais par contre, quand il avait décidé de te faire gagner un match, il te l'annonçait avant le match et tu savais que tu l’avais gagné. Un jour, il est arrivé et il nous a dit : "Bon, les gars, cette semaine j'ai un peu déconné, ce soir je vous fais gagner". Au bout de vingt minutes de jeu, il avait déjà mis deux buts, c’est fini ! Quand il avait décidé de nous faire gagner, c'était un magicien. Je trouve qu'il est passé à côté de quelque chose de grand. 

 

On a essayé de le titiller en disant « ce soir tu seras incapable de nous faire gagner. » On a essayé plusieurs fois mais ça ne marchait pas. Il était parfois dans des états où il ne pouvait pas… « Oh Pascal, c’est pas tes chaussures ! (rires). « Ah OK je me disais aussi, elles sont grandes ! » Le problème de Pascal, c'est que tu ne sais pas à quel moment il avait décidé de te faire jouer. Même à l'entraînement, quand il avait décidé de te faire gagner les petits jeux, tu les gagnais forcément. Quand tu regardes les images, tu te rends compte que même sur une feinte de corps, il arrivait à t’envoyer deux mecs à droite, il partait à gauche et c’était fini. On sait pourquoi il était irrégulier. C'était le mec qui n'était pas forcément bien accompagné, il n'avait peut-être pas envie non plus. Mais lui, ce que l’on pensait, ça l’importait peu. Il faisait ce qu’il voulait. Il avait un talent né. Le pire, c'est que c’était inné, il n'a pas eu besoin de bosser. Quand tu vois ce qu'il faisait dans la semaine et comment il jouait, c'est un gâchis total."

Des amendes salées avec Sablé ? (4)

25/11 16:31
Image

 

Après Raymond Domenech, c'est au tour de Pierre Repellini de rappeler sur le site Sports que l'ASSE devra payer des amendes salées si Julien Sablé est maintenu à son poste d'entraîneur numéro un, le fait de coucher le nom de Jean-Louis Gasset sur les feuilles de match ne changeant rien à l'affaire.

 

"Je ne juge pas. Ils ont 30 jours pour se mettre en règle. Il faut que tout le monde se mette au diapason. Il n’y a plus de prête-noms. Tant qu’on n’a pas les contrats, on ne sait pas ce qu’ils vont faire. L’ASSE sera sanctionnée si elle n’est pas dans les clous."

 

 

Même vilain, Clerc était gentil !

25/11 15:17
Image

 

Sur le plateau de SFR Sport 1, Geoffrey Dernis est revenu hier sur son déroutant duel avec François Clerc lors du derby du 28 janvier 2008 (1-1).

 

"Il était très fair play ce garçon ! Moi j'étais un peu bavard sur un terrain, j'aimais bien chambrer. Je parlais beaucoup, le but c'était de faire craquer l'adversaire. Je l'ai en face de moi, j'arrive à lui faire un petit pont et je lui mime un baiser. Moi je voulais faire un peu le kéké. Je voulais le faire dégoupiller. Et lui il vient me voir et il me dit : "putain, bien joué, je ne l'avais pas vu venir !"  A un moment donné, pareil, en milieu de première mi-temps, je reçois un ballon, je me retourne, je le vois arriver, je crochète. Mais je fais un crochet super long, le ballon va loin, et volontairement je me jette sur lui. Je m'écroule et l'arbitre lui met un jaune. François Clerc vient me voir dix minutes après et me dit : "putain, t'as bien joué le coup, à cause de toi j'ai pris un jaune." Lui il était très cool, il m'a mis zen tout le match. "Salut, ça va ? Et la famille ? Tu fais quoi après le match ?" Très gentil ce garçon mais du coup le derby n'avait plus la même saveur. En plus t'avais un peu l'ambiance, dès que tu rentres sur le terrain, t'es chaud. T'as envie de le vivre, t'as envie que ça se bouscule un peu. Sans que ça aille trop loin. Mais alors lui, il était très poli ! "Pardon si je t'ai touché." C'était énorme !"

Tous derrière Juju ! (8)

25/11 14:26
Image

 

Sur le site de France Football, Robert Nouzaret a validé hier la nomination de Julien Sablé au poste d'entraîneur de l'ASSE.

 

"Quand j'entraînais les Verts, il a connu l'épreuve du décès de sa mère. C'était très difficile pour lui, mais il m'a dit qu'il voulait continuer à jouer. La plupart des joueurs m'auraient dit : "Je ne veux pas jouer, laissez-moi me reposer". Son seul souci c'était d'être sur le terrain pour aider l'équipe. Il en avait envie pour passer à autre chose le plus rapidement possible. Très rapidement je me suis aperçu qu'il était dans le style des bons joueurs de club, c'était un soldat, avec une bonne mentalité. Il avait à peu près le même profil que moi quand j'étais joueur, je me reconnaissais en lui. C'était difficile de lui trouver un défaut sur et en dehors du terrain. Avec moi il s'est imposé doucement et sûrement dans le vestiaire. Il s'investissait beaucoup tout en restant à sa place parce que c'était un jeune. Il avait la sagesse d'écouter et de ne pas péter plus haut que son cul. Pour moi c'était un joueur modèle : le joueur que tout entraîneur souhaite avoir. Comme quand il était joueur, on ne l'a pas mis en place par rapport à ce qu'il a fait avec les jeunes, mais pour sa mentalité, sa qualité d'homme volontaire, qui ne calcule pas sa présence, un mec qui est voué au club et qui l'adore. Il n'y a pas une autre personne à l'heure actuelle qui incarne mieux que lui l'AS Saint-Etienne. Un joueur formé là-bas, qui a joué là-bas, qui a permis la remontée en première division, qui a participé à beaucoup plus de choses positives que négatives et qui revient dans son club pour s'occuper des jeunes et on lui donne la responsabilité des pros."

Des amendes salées avec Sablé ? (3)

25/11 13:49
Image

 

Président de l'UNECATEF (syndicat des entraîneurs), Raymond Domenech a indiqué hier soir sur la chaîne de la Pravda que l'ASSE s'expose à des amendes de 25 000 € par match à compter du 15 décembre si Julien Sablé est confirmé comme entraîneur. Le fait d'avoir indiqué sur la feuille du match contre Strasbourg que Jean-Louis Gasset était l'entraîneur de l'ASSE ne changera rien à l'affaire selon l'ancien vilain.

 

Comme le rappelle aujourd'hui BFM TV, "Jean-Louis Gasset reste considéré comme un "prête-nom" aux yeux de l’UNECATEF, de la charte du football et du statut des éducateurs du football modifié en 2015 à la demande de la Direction Technique Nationale. Une modification voulue justement pour faire la chasse aux entraîneurs "de paille" mettant leur diplôme au service du véritable numéro 1 du club."

 

 

Vendroux enfonce le clou

25/11 13:31
Image

 

Comme la semaine dernière, le patron du service des sports de Radio France Jacques Vendroux a taclé Nanard et Roro aujourd'hui sur la chaîne C News lors de l'émission 13h Foot.

 

"Toute la pagaille à l'ASSE vient du début de saison. Les dirigeants stéphanois ont mis un temps fou à trouver un entraîneur. Ils ont trouvé Oscar Garcia, tout le monde était extrêmement surpris de sa venue. Dominique Rocheteau, avec qui j'en ai parlé 10 000 fois, m'a dit "je cherche, je cherche, je cherche, je m'investis pour trouver un entraîneur digne de Saint-Etienne mais soit c'est Romeyer qui n'était pas content, soit c'est Caïazzo qui n'était pas d'accord avec Romeyer." Il y a une pagaille à la tête de ce club qui est invraisemblable."

Lesage itère

25/11 12:20
Image

 

Mikaël Lesage, qui était au sifflet il y a un mois à la Meinau lors de la piteuse élimination des Verts de la Coupe de la Ligue, arbitrera de nouveau l'ASSE mardi prochain (21h00) à Bordeaux lors de la 15e journée de L1.

Tous derrière Juju ! (7)

25/11 10:43
Image

 

Sur le site de France Football, Elie Baup ne tarit pas d'éloges sur Julien Sablé.

 

"Il n'avait pas peur d'exprimer ce qu'il ressentait, c'était vachement intéressant. Il n'y avait pas de calcul chez lui, parce que j'ai connu des capitaines qui voulaient un peu infléchir par rapport à leurs propres intérêts... Lui pas du tout. Il ne faisait pas de différences d'investissement ou de dialogue : que ce soit un titulaire, un remplaçant, un jeune, un vieux... Plus j'étais en contact avec lui, plus je voyais bien qu'il prenait à bras le corps des situations individuelles du vestiaire. Quand il y avait un de ses copains qui était dans l'excès d'euphorie ou inversement dans des moments difficiles, il avait cette faculté à aller vers les autres. Il avait ça en lui, cette dimension altruiste. C'est un joueur qui a toujours perçu le football comme un jeu d'équipe et un travail d'équipe. Il n'y avait pas d'interrogations par rapport au fait qu'il porte le brassard. C'était Julien, et il faisait l'unanimité. Il me fait toujours penser à un autre joueur que j'ai eu avec un caractère aussi fort : Michel Pavon. Comme lui, je savais que Julien deviendrait entraîneur. J'en aurais mis ma main à couper. Il cherchait des explications, toujours en quête de savoir pourquoi on faisait certaines choses, pourquoi pas d'autres. C'était quelqu'un qui était vraiment concerné par le travail et la vie du groupe, il allait au-delà de son rôle."

Un Chaudron à moitié vide

25/11 08:32
Image

 

21282 spectateurs ont assisté au match nul entre l'ASSE et le RC Strasbourg hier soir en match d'ouverture de la 14e journée de L1. C'est de loin la pire affluence depuis le début de saison dans le Chaudron.

 

1. ASSE-Vilains : 38993

2. ASSE-Rennes : 31043

3. ASSE-Amiens : 30004

4. ASSE-Angers : 29740

5. ASSE-Nice : 25879

6. ASSE-Metz : 24613

7. ASSE-Montpellier : 24004

8. ASSE-Strasbourg : 21282

Ultras remontés

25/11 08:17

S'ils ont encouragé les Verts contre Strasbourg, les ultras stéphanois n'ont pas oublié le derby et n'ont pas épargné Nanard, Roro, Wantier, Lyonnet and co.

 

Image

 

Image

 

Image

Image

Image

Image


Image

Les regrets de Laurey

25/11 07:57
Image

 

En conférence de presse, Thierry Laurey a livré hier son analyse du match nul qui a ouvert hier soir la 14e journée de L1.

 

"Sur la première période, on peut avoir des regrets, on n’a pas été forcément récompensé mais on est satisfait de prendre un point. Plus le match avançait, plus on avait des difficultés à maîtriser le jeu. On a réagi à deux reprises, c’est une satisfaction même si c’est contre une équipe, qui, on l’a senti, doutait un peu. C’est positif car on sent que l’on peut se créer des occasions, que l’on peut revenir au score. D’une manière générale je suis satisfait même s’il y a des choses à corriger. On grandit. On pensait que la rentrée de Bahoken allait nous apporter de la vitesse en fin de match. Si on est loin d’être parfait, on s’améliore, pas suffisamment pour gagner à Saint-Etienne mais on prend un point, ce n’est pas mal. On aime bien enchaîner les matches, on va essayer de continuer. On ne prend qu’un seul point mais, en face, il y a des joueurs de qualité qui actuellement sont un peu moins bien après un bon début de saison. L’équipe stéphanoise doutait un peu mais il me semble qu’il y a quelques internationaux alors que nous, on est Strasbourg et promu."

Hernani n'est pas ravi

25/11 07:43
Image

 

S'il est satisfait d'avoir claqué hier soir son troisième but en vert (le deuxième contre Strasbourg), Hernani regrette dans Le Progrès que l'ASSE ait concédé un nul à domicile face au promu alsacien.

 

"On a cherché la victoire jusqu’au bout. On la méritait. Cela ne nous a pas souri. C’est clairement décevant de ne pas avoir pris les trois points. On était à domicile. Nous avons manqué de concentration. A chaque fois qu’on a marqué, on a encaissé un but quelques minutes plus tard. Nous venons de traverser une période un peu moins bonne. Mais ce soir, on a vu qu’il y avait du mieux. Nous avons de bons joueurs, les victoires vont vite revenir. J’étais très heureux de débuter en tant que titulaire à Geoffroy-Guichard. J’attendais ça, j’ai travaillé pour cela. Mais la joie n’est pas complète. J’aurais aimé qu’on s’impose contre Strasbourg."

Un bon point pour les Alsaciens

25/11 07:27
Image

 

Trois joueurs de Thierry Laurey commentent dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace le point obtenu hier soir à Geoffroy-Guichard.

 

Ernest Seka latéral gauche du Racing : "Notre égalisation rapide avant la pause nous a permis d’aborder la deuxième période en confiance. Malheureusement, on prend le deuxième but sur un temps faible qu’on n’a pas su gérer. On égalise sur penalty avant de souffrir sur la fin. Mais on a tenu. C’est quand même un bon point, même si je pense personnellement qu’on pouvait faire un meilleur résultat."

 

Dimitri Liénard : "Quand on marque deux buts à l’extérieur, c’est toujours dommage de ne pas gagner. On a eu en première mi-temps pas mal d’occasions de faire mieux, moi le premier. Mais c’est quand même de bon augure pour la suite parce qu’il y a quelque temps, nous aurions peut-être perdu. On saura mardi soir après la réception de Caen si c’était un bon point ou s’il aurait été préférable de gagner ici. Mais les progrès sont là. Si on veut se maintenir, il faudra mieux maîtriser les moments clefs des matches, savoir être costaud défensivement quand il le faut."

 

Jean-Eudes Aholou : "Il y a forcément un peu de déception parce que nous étions venus pour gagner. Mais c’est tout de même un bon point qu’il faudra bonifier contre Caen. On a su revenir deux fois au score, on a eu du caractère. On aurait peut-être perdu en début de saison. Maintenant, on prend des points à l’extérieur. Il faut continuer sur cette lancée."

Juju positive avec Paga

24/11 23:59
Image

 

Au micro de Laurent Paganelli, Julien Sablé a commenté sur Canal Plus Sport le match nul concédé par les Verts face au barragiste strasbourgeois.

 

"On est des compétiteurs. Pour les efforts consentis dans la période qu'on est en train de vivre, j'avais vraiment envie que mes joueurs soient récompensés d'une victoire. On est tombé sur une bonne équipe de Strasbourg, c'était un match qui était très ouvert. Il y a eu du mieux. On sent que les gars se sont battus mais on est encore en convalescence. On ne pourra pas du jour au lendemain retrouver la confiance qui est inhérente pour le sport de haut niveau. On a bien préparé ce match avec le staff et les joueurs, ils sont très réceptifs. Ils ont vraiment envie de montrer leur vrai visage. Ce qui est malheureux, c'est qu'on marque deux fois, et derrière dans la foulée on se fait égaliser sur des erreurs et des détails qu'on doit éviter. Aujourd'hui on paye tout cash. Mais on s'est battu, on s'est vidé les tripes. Je ne peux rien reprocher par rapport à l'état d'esprit de l'équipe. On aurait pu arracher la victoire à, la fin, maintenant on a un match important à, Bordeaux. Jean-Louis Gasset, c'est une aubaine pour un jeune entraîneur comme moi. Cela fait trois jours qu'on bosse ensemble et avec tout le staff. Avec Jean-Louis, il y a déjà beaucoup de complicité, ça va grandir de jour en jour et d'heure en heure car on ne s'est pas lâché depuis son arrivée. C'est quelqu'un qui a un grand coeur, c'est une bonne personne, ça a matché tout de suite. C'est un renfort de choix pour notre satff et notre club. Maintenant il faut qu'on arrive à aller regagner un match."

Un Ange passe avant le match (2)

24/11 23:35
Image

 

Dans la foulée de sa brève intervention sur la chaîne de la Pravda, l'Ange Vert s'est brièvement confié à Canal Plus Sport ce soir juste avant le match nul contre Strasbourg.

 

"Je comprends le grand mécontentement des supporters, on connaît la passion du public à Saint-Etienne. Ils nous font savoir qu’ils sont mécontents des résultats, mécontents surtout de ce derby qui a fait très mal. Tu prends 5-0… Mais bon, on ne va pas revenir encore là-dessus car ça fait déjà quinze jours qu’on en parle partout. Ça a fait très mal à Saint-Etienne. Et puis tout ce changement qu’il y a eu, bien sûr, le départ d’Oscar Garcia, l’arrivée de Julien Sablé, puisqu’on a fait le choix d’un jeune entraîneur qui connaît bien le club. Pour moi, Jean-Louis Gasset, je le connais bien, il a de l’expérience. Il va accompagner Julien comme il a accompagné Laurent Blanc. C’est quelqu’un qui connaît beaucoup le football, qui va apporter une certaine sérénité à l’intérieur du club et du staff. Pour nous c’était important que Julien ait cette personne à côté de lui. Le mercato d’hiver va vite arriver, c’est dans un mois. Il nous reste six matches. On traverse une période très compliquée, très difficile. Pour nous c’est un challenge, entre nous, à l’intérieur du club, on s’est donné un objectif pour ces six prochains matches. Au mercato d’hiver, on va tout faire pour améliorer l’équipe. Mais on sait qu’au mercato d’hiver, ce n’est pas évident de faire des bons coups."

Deux fois rejoints, un petit point

24/11 22:58
Image

 

Opposés à la pire défense du championnat, encouragés par leurs supporters, arbitrés par leur porte-bonheur, les Verts étaient dans les meilleures conditions pour renouer enfin avec le succès ce soir à Geoffroy-Guichard. Las, après avoir mené deux fois au score grâce à Hernani puis Kévin Monnet-Paquet, les Stéphanois ont concédé le nul à cause d'une "faute bête" (dixit KMP) de Florentin Pogba.

 

Un Ange passe avant le match

24/11 21:54
Image

 

Avant le match contre Strasbourg, Dominique Rocheteau a clarifié à sa façon la hiérarchie entre entre Julien Sablé et Jean-Louis Gasset sur la chaîne de la Pravda.

 

"C’est très clair, on a fait le choix en interne de Julien, qui est pour nous l’avenir, qui est un entraîneur en devenir, bien sûr. Il a tout pour lui. Moi je l’ai côtoyé pendant huit jours, depuis le match à Lille. Et je sais que ça va devenir un très bon entraîneur. Mais à côté de ça, il n’a pas l’expérience. L’idée, c’était de lui associer un homme d’expérience. Et tout de suite le nom de Julien, euh, de Jean-Louis Gasset est arrivé. Jean-Louis était libre donc ça s’est passé très rapidement. Jean-Louis, euh, Julien, est le numéro un et Jean-Louis est le numéro deux. Et voilà ! En fait pour moi Jean-Louis va accompagner Julien comme il a accompagné Laurent Blanc pendant des années avec les résultats qu’on sait à Bordeaux, à Paris, en équipe de France. Je souhaite à ce duo, mais quand je dis duo il y a numéro un et numéro deux, j’espère que si on a autant de résultats qu’il a eus avec ses équipes précédentes, ce serait bien. On a trente jours pour se mettre en conformité, Julien va le faire, on va l’inscrire pour la prochaine session du diplôme et voilà, y’a aucun souci !"

Laurey et Saadi se remettent au vert

24/11 08:24

Avant de retrouver le Chaudron, l'entraîneur strasbourgeois et son numéro 9 replongent dans leurs vertes années dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.

 

Thierry Laurey : "J’ai toujours eu de bonnes relations avec Saint-Étienne. La preuve, c’est que lorsque j’ai postulé pour devenir recruteur, ça s’est super-bien passé. J’ai habité à l’Etrat dans la partie hôtelière. Je vivais au quotidien ce que vivaient les Stéphanois. C’est un club assez familial, même s’il traverse en ce moment quelques soubresauts. C’est aussi un grand club avec une grosse ferveur populaire. Mais dans l’ère nouvelle dans laquelle est entré le foot, avec de riches actionnaires étrangers, c’est un peu plus difficile pour lui. Malgré tout, les Verts ont réussi des saisons extraordinaires avec Christophe. Quand tu termines 4e , 5e ou 6e , ça prouve la qualité de ton club et ton effectif. Mon premier match dans le Chaudron, le club était dernier de D1. Mais il y avait beaucoup de monde et une très bonne ambiance. Nous avons battu Cannes et fini 13es. Les gens sont très gentils, en ville, dans les villages. Ils parlent beaucoup foot, un peu comme ici. C’était bon enfant. Mon plaisir, c’est de jouer des matches avec les anciens Verts, de toutes générations. Même si ça fait un moment que je ne l’ai plus fait, c’est toujours dans un esprit de camaraderie extraordinaire. J’ai joué avec Jacques Santini, Christian Lopez, Yves Triantafilos, Éric Bellus, Jean-Louis Zanon et plein d’autres. Des super mecs contents de se revoir. Souvent, quand tu joues des matches d’anciens, ils croient avoir encore 25 ans. Là, non. Il n’y a pas un mot plus haut que l’autre, pas de prise de tête. C’est un régal."

 

Idriss Saadi : "Revenir à Geoffroy-Guichard, c'est forcément particulier. Je n’y ai pas enchaîné les saisons, mais j’y ai vécu de magnifiques ambiances. J’ai toujours un lien étroit avec le centre de formation et mes formateurs, mais pas avec les pros. J’ai commencé mon histoire à Saint-Étienne, mais je ne l’y ai pas écrite. J’y connais Jonathan Bamba, Stéphane Ruffier et Loïc Perrin. Mais j’appartiens à la génération des Pierre-Emerick Aubameyang, Josuha Guilavogui, Faouzi Ghoulam et Loris Néry. Mes années au centre ont été les meilleures. On vit, on galère, on fait plein de belles choses entre collègues, comme battre Lyon dans les derbies."

Les Blésois sont blasés (2)

24/11 07:34
Image

 

Ancien scout francilien de l'ASSE et ex-référent du partenariat avec le Blois Foot 41, Ludovic Paradinas a tenu à réagir après avoir lu notre potin Les Blésois sont blasés.

 

"Depuis le début du partenariat, je me déplaçais deux fois par an pour évaluer les joueurs de 12 à 15 ans. J'ai vu des joueurs intéressants mais je ne pense pas que ces derniers étaient plus forts que des Ghezali, Benkhedim, Tormin, Fleury, Rocha, Abi, Valbon, Nade, Pierre-Gabriel, Nordin, Bajic, Bamba... Notre rôle est de signaler les joueurs et de les évaluer, c'est ce que nous avons fait. L'an passé je n'ai pas pu venir en début de saison car vous n'avez pas pu organiser la manifestation... ce n'est pas de notre faute! Président, si vous étiez venu sur les regroupements de jeunes, vous auriez pu constater notre présence et notre travail... Désolé, je ne suis pas venu voir votre équipe seniors, j'aurais pu vous y croiser. Concernant les anciens Verts qui parlent de la Cellule Recrutement du Centre, je voudrais juste dire que l'ASSE dispose en son sein de très bons jeunes à fort potentiel...mais pour le savoir il faut se rendre sur les terrains de l'Etrat le week-end. L'ASSE n'a pas eu depuis très longtemps autant de bons jeunes, et ça on le doit au travail que nous avons fait avec Gérard Fernandez depuis plus de dix ans. Nous sommes fiers du travail accompli, qui lui n'est pas fictif, et permettez-moi d'ajouter que nous n'avons pas besoin de dénigrer le travail des autres pour nous donner de l'importance et justifier de notre réussite... Pour finir, quand on se dit supporter ou soutien des Verts, on ne balance pas ce genre de choses pendant une période si délicate pour le club... mais bon, certains aimeraient peut-être récupérer des postes... ou un salaire."

Après les claques, Loïc veut un déclic (2)

24/11 07:23
Image

 

En conférence de presse relayée par Le Progrès, Loïc Perrin invite à nouveau son équipe à réagir. Extraits.

 

"Il faudra peut-être un déclic. J’espère qu’il va arriver dès ce vendredi à nous de faire le nécessaire. Julien Sablé depuis qu’il est arrivé insiste beaucoup sur l’état d’esprit et l’attitude. Quand les résultats sont moins bons, une petite perte de confiance s’installe et on est moins performant. J’espère que l’on va vite repasser dans un état positif. Ça va être une atmosphère un peu particulière. C’est aussi à nous d’emmener le public et d’insister sur le début du match, parce que si l’on n’emmène pas le public avec nous ça va être vraiment compliqué. Il faut vraiment avoir du caractère pour jouer dans ces ambiances-là.

 

Il faut emballer le match, avoir un état d’esprit de conquérants, ce qui doit nous caractériser aussi à domicile. Essayer d’étouffer l’adversaire de jouer dans son camp, de se procurer des occasions. Parce que l’on sait qu’à Geoffroy-Guichard quand ça pousse, le public en général vient avec nous. Donc ça va être bien, c’est cela qu’il faut trouver vendredi soi. On est septièmes, nous avons dix-huit points, c’est bien mais ça peut aller très vite dans un sens comme dans l’autre. Il faut arriver à stopper cette grosse série négative. Il est important de le faire dès vendredi."

Partager