Blessés pour compte
12/02 07:45
Le potonaute Cleminem a comptabilisé depuis 27 semaines 26 blessures entraînant une absence d'au moins 10 jours. Edifiant !
11 Août: Fofana (douleur à un genou) - indisponibilité réelle de 6 semaines
16 Août: Saliba (pubalgie) - indisponibilité réelle de 6 semaines
02 Septembre: Aholou (lésion au long adducteur droit) - indisponibilité réelle de 7 semaines
02 Septembre: Palencia (entorse cheville) - indisponibilité réelle de 6 semaines
17 Septembre: Moulin (rupture d'un ligament du poignet droit) - indisponibilité réelle de 10 jours
26 Septembre: Ruffier (fracture de l'auriculaire) - indisponibilité réelle de 3 semaines
14 Octobre: Monnet paquet (ligaments croisés d'un genou) - indisponibilité en cours
31 Octobre: Abi (fissure à l’os, sur le pied gauche) - indisponibilité réelle de 7 semaines
03 Novembre: Cabaye (délicatesse à une cheville) - indisponibilité réelle de 7 semaines
06 Novembre: M’Vila (phlébite du mollet) - indisponibilité réelle de 3 semaines
07 Novembre: Saliba (fissure du cinquième métatarse) - indisponibilité réelle de 10 semaines
09 Novembre: Fofana (tendon rotulien du genou) - indisponibilité réelle de 3 semaines
17 Novembre: Hamouma (douleur au tendon rotulien) - indisponibilité réelle de 3 semaines
22 Novembre: Khazri (fracture à la main droite) - indisponibilité réelle de 6 semaines
23 Novembre: Gabriel Silva (raison non connue) - indisponibilité réelle de 3 semaines
12 Décembre: Hamouma (claquage au mollet droit) - indisponibilité réelle de 6 semaines
19 Décembre: Correia (étirement du ligament interne d’un genou) - indisponibilité réelle de 2 semaines
19 Décembre: Boudebouz (étirement du ligament interne d'un genou) - indisponibilité réelle de 7 semaines
20 Décembre: Bouanga (trait de fracture de la base du 5ème métatarsien) - indisponibilité réelle de 5 semaines
20 Décembre: Gabriel Silva (douleur à une cuisse) - indisponibilité réelle de 5 semaines
21 Décembre: Youssouf (ligament latéral interne du genou gauche) - estimation à 6 mois
15 Janvier: Boudebouz (déchirure soléaire du mollet) - indisponibilité réelle de 3 semaines
25 Janvier: Camara (nez fracturé) - indisponibilité en cours
30 Janvier: Nordin (raison non connue) - phase de reprise
05 Février: Khazri (lésion musculaire à l'ischio-jambier de la cuisse gauche) - estimation à 5 semaines
05 Février: Hamouma (lésion au niveau de l'adducteur de la cuisse gauche) - estimation à 5 semaines
Zaydou Yous'souffre et nous avec (2)
12/02 07:33
Le Progrès reprend aujourd'hui une info dévoilée hier par Didier Bigard puis confirmée par Mohamed Toubache-Ter : Zaydou Youssouf va se faire opérer sera indisponible au moins six mois. Le quotidien régional précise que le numéro 28 s'était déjà blessé au même genou gauche il y a 14 mois lors d'un match contre les Verts.
"C’est à gauche que le bât blesse. Le milieu de terrain stéphanois s’était blessé contre Strasbourg le 21 décembre dernier. En phase de reprise mi-janvier, il était pour la première fois dans le groupe face à Metz, il a effectué une courte apparition. Lors d’un récent choc à l’entraînement, il a dû quitter précipitamment ses coéquipiers. Blessé au genou gauche en décembre 2018, contre Saint-Etienne avec Bordeaux, Youssouf souffre-t-il de même mal ? On lui avait diagnostiqué à l’époque une entorse interne… Sans qu’il se fasse opérer. Toujours est-il, qu’un an plus tard, il doit passer sur le billard. Simple coïncidence ?"
Quel csc de Moukoudi !
11/02 23:14
Sur le terrain du relégable Wigan, Middlesbrough a failli renouer avec un succès qui le fuit depuis le 1er janvier. Mais les Latics, en infériorité numérique, ont réussi à égaliser à la 76e grâce à un joli but contre son camp de Harold Moukoudi (tête plongeante barre rentrante). Sur l'ouverture du score des locaux, le ballon était passé entre les jambes du défenseur prêté par l'ASSE à Boro, toujours 18e de Championship (L2 anglaise).
L'adversaire en demi connu avant le quart !
11/02 22:10

Juste avant de défier Epinal lors du dernier quart de finale de Coupe de France, Sainté connaîtra son potentiel adversaire pour les demi-finales programmées les mardi 3 et mercredi 4 mars. Le tirage au sort du dernier carré aura lieu en effet ce jeudi à 20h50 sur le plateau de l'émission ''Tout le sport'' diffusée sur France 3.
Chardonnet veut faire trinquer les Verts
11/02 21:46
Dans l'équipe type de la dernière journée de L1 suite à sa très bonne prestation au Roazhon Park, le défenseur central brestois Brendan Chardonnet a évoqué ce soir sur France Bleu Breizh Izel son prochain match contre Sainté.
"Après un bon match nul et vierge à Rennes, on a envie de renouer avec le succès devant notre public ce dimanche face aux Verts. On sait que Saint-Etienne n'est pas aux mieux et en plus les Stéphanois jouent jeudi en Coupe de France contre Epinal. On ne sait pas comment cette bête blessée peut réagir. Au bout d'un moment, ils vont finir par se réveiller. L'ASSE a un collectif de haut niveau pour la Ligue 1. Il faut se méfier car ils ont quand même de gros joueurs."
Ntep quitte la meute
11/02 16:53
Selon le communiqué officiel des loups de Wolfsburg, Paul-Georges Ntep a résilié son contrat avec le club allemand d'un "commun accord".
L'attaquant de 27 ans était arrivé à Wolfsburg en janvier 2017 et aura disputé seulement 19 matchs toutes compétitions confondues avec le VFL.
Après son prêt peu concluant à l'ASSE en 2018, il était retourné en Allemagne puis avait fait l'objet d'un nouveau prêt cette saison à Kayserispor en Süperlig turque (5 matchs joués seulement).
L'international camerounais est donc libre de tout contrat.
Zaydou Youss'ouffre (et nous avec)
11/02 14:31
Selon une indiscrétion de Didier Bigard, Zaydou Youssouf, sur lequel le club n'a jamais communiqué depuis sa blessure à Strasbourg il y a deux mois, devrait être opéré du genou et être absent au moins six mois.
Fofana privé de Rémois
11/02 12:52
Averti à la Mosson, Wesley Fofana sera comme Wahbi Khazri suspendu pour la réception de Reims comme l'atteste l'incontournable tableau des cartons mis à jour par notre fidèle potonaute ozzy.
.... le tableau complet des suspensions (depuis le début de saison) .... ici
quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure
quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure
Alain Perrin sait d'où il vient
11/02 12:38

Dans la dernière édition du Parisien, Alain Perrin revient sur sa carrière. Extraits.
"L'adrénaline du terrain ne me manque pas. Je m'en tiens à un choix fait voici déjà deux ans. J'avais juste accepté, la saison passée, d'y déroger pour aider Nancy à se maintenir en Ligue 2. J'ai travaillé énormément. Presque même plus que d'habitude, je suis un peu un fou là-dessus, il n'était pas question pour moi d'échouer. À une époque pas si lointaine, j'aurais pu être sensible à des challenges sur de courtes périodes, à des dépannages voire à une opération commando à l'étranger pour un tournoi comme CAN ou l'Asian Cup par exemple. J'ai même fait l'objet de sollicitations récentes au Qatar ou aux Émirats, mais maintenant c'est bel et bien terminé.
Je sais d'où je viens. Je n'ai pas été pro. J'ai construit, pierre après pierre, ma carrière pour remporter des trophées et toucher au très haut niveau avec notamment la Ligue des champions. Plus généralement, je n'avais pas choisi ce métier pour la gloire, le pouvoir ou l'argent. J'étais plutôt guidé par la passion, la transmission ou la problématique du jeu. J'avais ressenti très tôt dans ma pratique du sport des bienfaits en termes d'épanouissement personnel et de rencontres. Je voulais les partager. De formateur, à mes débuts, à sélectionneur en Chine, j'ai exploré toutes les facettes de cette profession passionnante.
À Lyon, j'ai réussi le doublé en 2008 et l'aventure s'est pourtant achevée. On ne m'a pas laissé le temps. J'ai payé cash des rivalités internes au sein du staff avec les historiques. Au regard des bons résultats obtenus, les choses auraient pu, j'en demeure persuadé, se normaliser. Chacun, à sa place, avait fait le boulot. J'ai essayé, en vain, de convaincre Jean-Michel Aulas. Il avait peur de reconduire l'expérience une seconde saison. Il en reste une certaine frustration mais pas de regret. La fin d'une expérience donne naissance à une nouvelle. Pour moi, ça a alors été Saint-Etienne quelques mois plus tard à peine. J'étais un peu le coach à la mode dans la seconde partie des années 2000.
Je suis admiratif du boulot de Christophe Galtier. Au début, il a eu du mal à franchir le cap. Il est demeuré longtemps numéro 2 avec Gérard Gili ou avec moi. À Sochaux, on avait eu une discussion à ce sujet. Je l'avais alors incité, à court ou moyen terme, à voler de ses propres ailes. Lui il aimait le terrain, le contact avec les joueurs. Il était moins fan des rapports avec les agents ou les dirigeants… La maturité venant, il a eu l'opportunité d'assurer un intérim à Saint-Etienne après mon éviction en décembre 2009. Ça a bien marché et à partir de là, il a su apprivoiser ces contraintes et tracer un brillant chemin."
Picot va vibrer
11/02 11:12
Interviewé hier par Vosges Matin, le coach spinalien Xavier Collin a évoqué l’engouement autour du ¼ de finale de jeudi :
«Il y a beaucoup de sérénité, le groupe est plutôt détendu. On va se préparer tranquillement sans mettre de pression.
Il faut faire preuve d’humilité. C’est un quart de finale de coupe de France, face à Saint-Etienne. Le danger c’est de penser que parce que cette équipe-là est dans une mauvaise passe, on a beaucoup plus de chances de gagner. On reste un club amateur de Nationale 2. On va rencontrer une équipe de très haut niveau, de qualité. On a tout fait pour que ce soit une belle fête du football. Il y a un engouement exceptionnel autour de ce match-là. On va jouer dans un stade avec du monde, de l’ambiance (ndp² : 12 000 places étaient vendues hier, les deux tribunes latérales sont pleines, une troisième tribune, derrière les buts est donc ouverte à la vente). »
La capacité du stade Marcel Picot est aujourd’hui de 20 000 places, son record d’affluence date d’un certain Nancy-Saint-Etienne du 16 septembre 1976, avec 30 384 spectateurs !
Woodgate encense Moukoudi
11/02 08:08

Malgré sa défaite sur le terrain de Brentford lors de sa première apparition sous le maillot de Boro, Harold Moukoudi a droit aux éloges de son nouvel entraîneur Jonathan Woodgate dans la dernière édition du quotidien The Northern Echo.
"Je trouve qu'il a été très bon bon, je pense qu'il a le profil pour évoluer en Premier League. Au vu des quelques entraînements et du match qu'il a fait avec nous, j'estime qu'il a les qualités pour jouer en Premier League."
Sarramagna soutient Nicolin
11/02 07:47
A l'instar de son ancien coéquipier Patrick Revelli (tête de liste LREM à Sainté), Christian Sarramagna s'engage lors des prochaines élections municipales. Comme le rapporte la dernière édition du Progrès, le mythique ailier gauche de l'épopée des Verts est sur la liste LR d'Yves Nicolin, maire de Roanne candidat à sa réélection.
Dernis a envie d'y croire
11/02 07:35

Après avoir commenté en direct la défaite des Verts à Montpellier sur France Bleu Hérault, Geoffrey Dernis s'est confié hier soir à l'antenne stéphanoise de cette radio. Extraits.
"Les Stéphanois ont eu le dessus en seconde période et le monopole du ballon. Il a manqué ce petit grain de folie ou de précision pour venir embêter les Montpelliérains. A part la reprise de Diony, les Verts n’ont pas eu de très, très grosse situation à 11 contre 10. C’est malheureux à dire mais, dans les têtes, il faut qu’ils se disent d’aller chercher le maintien au plus vite parce que ça devient compliqué.
Les Verts doivent aller à Épinal avec de grosses armes. Et s'il y a victoire, aller chercher un résultat derrière pour amorcer une série positive. J’ai envie d’y croire. Il faut retrouver la confiance, le goût de la victoire. Qu’on le veuille ou non, la victoire va amener le calme au niveau du club et du groupe. Ça serait vraiment bien qu’il le fasse en coupe de France car ça peut être une belle bouffée d’oxygène.
Claude Puel est quelqu’un de travailleur, qui demande énormément d’abnégation, d’envie aux entraînements ou en match. Il ne faut pas croire qu'il cherche la fracture et la confrontation avec les anciens. Il sait simplement où il veut aller et le fait clairement comprendre, comme à Timothée Kolodziejczak. Il n'a pas apprécié son attitude à l'entrainement et lui a fait comprendre. Mais dès qu'il se sera mis au diapason, il sera disposé à le faire jouer."
Les Verts ne sont pas déter
11/02 07:23
Dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin déplore le manque de détermination des Verts.
"On a une équipe qui n’est pas toujours sur le terrain avec beaucoup de détermination. C’est un manque d’application. On a du mal à conclure de belles actions, il y a toujours un petit raté, qui enraye ce qui était prometteur. Il faut travailler collectivement aux entraînements, il faut se montrer précis, efficace afin que les gestes soient plus perfectionnés. On bricole un petit peu à chaque match. On doit y croire quand même ! Il y a du talent, de la qualité, j’ai l’impression que ce qu’il manque à cette équipe, c’est de la cohésion."
Le SAS n'est pas plein aux as
11/02 07:10

Prochain adversaire des Verts (après-demain soir à Nancy), le Stade Athlétique Spinalien est à l'honneur aujourd'hui dans la Pravda. Extraits.
"La réussite exceptionnelle d'Epinal en Coupe de France explique la présence, à l'issue d'un entraînement du SAS, d'un représentant d'une marque de crampons, prêt à offrir aux joueurs des produits, qui, à l'écouter, amélioreraient grandement leurs appuis. "Si l'un de vous marque contre Sainté, qu'il n'hésite pas à citer notre marque face aux médias après le match, hein", ajoute notre VRP. "Votre truc, ça marche aussi avec ceux qui ont les pieds carrés ?", lance, goguenard, Djamel Menaï, un des coaches adjoints d'Épinal. La scène illustre à quel point le club de N2 a été récemment confronté à une série de situations étonnantes, voire un brin surréalistes, auxquelles il a fait face dans la mesure de ses maigres moyens : le budget du SAS s'élève à un million d'euros, soit cent fois moins que celui de l'ASSE, son futur adversaire.
Malgré l'aide apportée l'AS Nancy-Lorraine, qui lui prête son enceinte cette semaine, le SA Épinal n'a pas toujours réussi à préparer sereinement un événement inédit pour lui. Yves Bailly, l'élégant président du SAS, nous a confié, dans une brasserie près de la gare d'Épinal, avoir découvert avec effroi l'imposant cahier des charges envoyé par la FFF en amont des quarts de finale : "Il y a des exigences très élevées, avec à chaque fois une dizaine de pages sur la billetterie, la vidéo, la sonorisation..." Depuis quelques semaines, le staff vosgien tente de protéger au mieux ses troupes des sollicitations extérieures, incarnées par exemple par ces agents rôdant autour des jeunes joueurs qui ont brillé en Coupe de France. Au sein de cette équipe, personne ne gagne plus de 2 200 € net et la majorité concilie les entraînements quotidiens avec un travail. Les Spinaliens sont nombreux à oeuvrer dans des cantines scolaires.
Le bilan en championnat d'Épinal, actuellement septième en National 2, n'est guère plus favorable, puisque son précédent succès en N2 remonte au 30 novembre. Explications de Xavier Collin, le manager du SAS, juste après la séance qu'il vient de diriger : "La Coupe, c'est énergivore. Après notre qualification face au LOSC, on a longuement fêté la victoire ensemble : c'était important, ce sont des moments rares dans une carrière. Mais trois jours plus tard, on accueillait Bobigny et, même moi, j'ai eu du mal à remobiliser tout le monde pour ce match (perdu 0-2)". Jean-Philippe Krasso, double buteur contre Lille, se fait désormais régulièrement apostropher. "Jipé c'est devenu la mascotte du club... Il tire toute la gloire vers lui, mais on ne lui en veut pas", constate en riant son coéquipier Souleymane Sangaré. Son président, Yves Bailly, est lui estomaqué par l'enthousiasme manifesté par les employés de la papeterie qu'il dirige : "Même des personnes qui ne savent pas faire la différence entre un ballon de foot et de rugby m'ont demandé comment avoir des places pour le match contre Sainté."
Epinal opiniâtre
10/02 22:57

Ancien latéral pailladin et actuel entraîneur spinalien, Xavier Collin a évoqué ce soir sur France Bleu Hérault son prochain match contre Sainté programmé ce jeudi à Marcel-Picot en quart de finale de Coupe de France.
"On a regardé le match de Sainté à Montpellier, on a été très attentif. Après les avoir vus contre Marseille mercredi, on a eu la chance de voir aussi un bon match dimanche. Rassuré ? Non. Autant on les a vus en difficulté dans le Chaudron contre l’OM, autant j’ai trouvé que Saint-Etienne a fait une bonne première mi-temps à la Mosson. Le scénario du match était plutôt favorable à l'ASSE mais on sent une équipe qui manque un peu de confiance, c’est sûr. Il y aura quand même des joueurs de qualité en face, il faut preuve d’humilité quand on pense au match qui arrive jeudi. Il faut faire preuve de prudence car il y a des garçons à Sainté certes en manque de confiance sur les derniers matches mais on ne veut pas changer notre façon de jouer.
Il faut continuer d’essayer de faire déjouer l’équipe adverse, l’empêcher d’avoir du temps. On ne veut pas garer le bus devant notre but, ce n’est pas notre façon de voir, ce n’est pas notre façon de faire. On a fait un début de saison très moyen même si on était cohérent. Rapidement Bastia et Sedan ont pris les devants et beaucoup d’avance sur des équipes comme la nôtre. On a vite senti que ce serait compliqué d’aller les chercher et on a fait de la Coupe de France un objectif prioritaire. On avait un matelas de points qui nous permettait aussi de se concentrer sur la Coupe de France. Avec un effectif plutôt réduit, on a basculé rapidement sur la Coupe de France. On a mis un peu de côté certains matches de championnat pour privilégier la Coupe de France.
On a la chance d’avoir un groupe qui vit bien, insouciant, qui ne se pose pas de questions. On est dur avec eux, rigoureux dans tout ce qu’on fait. Mais les garçons sont réceptifs à notre discours, ils sont combatifs, généreux, ils courent beaucoup. C’est vraiment sympa, on vit une aventure extraordinaire, magnifique ! Hélas on n’aura pas un effectif au complet contre les Verts. C’est le côté très négatif. On a deux garçons très importants qui ne pourront pas jouer ce quart de finale : un blessé, Jérémias Tango, milieu défensif formé à Sochaux et un suspendu, le défenseur central Paul Léonard. Comme on n’a pas un effectif très fourni, il faudra trouver des solutions. Montpellier nous a montré la voie ? J’espère qu’on fera aussi bien."
Le très vert entraîneur des gardiens spinaliens
10/02 21:26
Entraîneur des gardiens spinaliens, John Panfili s'apprête à affronter son club de coeur, comme il l'explique dans la dernière édition de Vosges Matin. Extraits.
"J’ai la fibre verte mais pendant deux heures, j’aurai la fibre jaune et bleue. Vers, 7, 8 ou 9 ans, j’habitais dans un bar dans le village à Bologne, en Haute-Marne. On sortait de l’épopée de 1976. Le peuple français était vert. On ne se posait pas de questions, c’était Saint-Etienne et c’est tout. Mon premier déplacement, c’était à Nancy, pour le retour de Michel Platini à Marcel-Picot avec le maillot de Sainté. Derrière ça, ce sont plus de 40 ans de soutien. J’ai connu toutes les étapes.
A Geoffroy-Guichard, les ambiances sont extraordinaires. J’ai vu le PSG ou encore Manchester United en Ligue Europa. Là-bas, c’est un spectacle permanent. Tout le peuple stéphanois est acquis à la cause verte. Même ceux qui ne sont pas pour Saint-Etienne et qui viennent à Geoffroy-Guichard ne sont jamais déçus. Quand je reviens dans le but de l’ES Avière, je mets le maillot des Verts. Cela fait partie de moi. J’ai poussé le bouchon en rencontrant une Stéphanoise vraie de vraie."
Kader fier et vert
10/02 19:45
Lors d'une conférence sur l'ASSE animée par Philippe Gastal hier matin aux Sénioriales de Saint-Jean-de-Védas (Hérault), Kader Ferhaoui s'est remémoré la remarquable saison 1998-1999.
"Ce que j'ai vécu cette saison-là à Saint-Etienne a été le plus fort moment de ma carrière professionnelle. Né en 1965, j'ai suivi gamin l'épopée européenne de l'ASSE. On n'avait pas de maillot vert, on n'avait pas les moyens. On voyait jouer les Verts à la maison, il n'y avait qu'une télé en noir et blanc. Saint-Etienne, c'était le seul match qu'on pouvait voir à la télé. Les Verts nous ont fait vibrer. Je regardais leurs matches avec mon père qui aimait le foot. C'est le seul moment où on avait le droit de se coucher plus tard. Quand j'ai signé à l'ASSE, je me suis remémoré ces moments. C'était une fierté d'avoir signé à Sainté car ce club avait gardé une image familiale.
Le club était presque à la dérive car il avait failli descendre en National, il ne s'était sauvé qu'à la dernière journée. On est arrivé avec un projet sur deux ou trois ans. Avec la mentalité qu'on y a mis, avec le coeur, avec les gens qu'il y avait, on s'est rendu compte qu'on pouvait faire revivre Saint-Etienne. On avait envie que les supporters reviennent au stade pour prendre du plaisir. On leur a donné cette envie car on s'est battu sur le terrain. Les supporters nous ont retransmis cette envie de gagner. Cette communion entre le public et son équipe était extraordinaire. Cette année-là on a fait une grosse saison, on avait un vrai groupe solidaire et complet. Le public a suivi et on est monté."
Di Rocco revient sur ses vertes années
10/02 19:14
Ancien attaquant d'Epinal et de Saint-Etienne, Alex Di Rocco s'est confié à L'Est Républicain avant le match qui opposera ses deux anciens clubs ce jeudi en quart de finale de Coupe de France. Extraits.
"En France, il y a des clubs mythiques comme Marseille ou Saint-Etienne avec le poids de leur histoire. J'aurais pu rejoindre Strasbourg mais Saint-Etienne, çe ne se refuse pas ! A Sainté j’étais le bouche-trou. Je devais remplacer les Brésiliens Alex et Aloisio durant leur suspension. J’ai vécu les débuts de Rudi Garcia comme coach. Il partageait le banc avec Jean-Guy Wallemme mais ils avaient deux personnalités bien différentes.
On jouait le maintien mais il y avait une pression sportive que tu ne ressens pas ailleurs. Je me retrouvais bien dans la mentalité de Saint-Etienne, la même qu’à Sedan : deux villes ouvrières, deux villes de foot. En Ligue 2, il y avait 25 000 personnes au stade !
Je n’irai pas jusqu’à dire que je n’ai que des bons souvenirs chez les Verts mais tout a été bon à prendre. La saison de D2 n’a pas été extraordinaire sur le plan sportif mais le public oui. J’ai aussi eu la chance de vivre un derby Saint-Etienne - Lyon à Geoffroy-Guichard en Ligue 1. La veille à l’entraînement, il y avait 300 personnes pour te pousser. Tu ressentais une petite haine…
J’ai été surpris d’apprendre qu’Epinal avait éliminé Lille en huitième de finale de Coupe de France mais je ne sera pas au stade Marcel-Picotce jeudi. Je serai à Paris pour le travail mais je suivrai le match sur mon téléphone. Sur un terrain comme celui de Nancy, ça va être difficile pour Epinal alors qu’à la Colombière… Le stade n’a pas changé depuis mon époque !"
Letexier pour se qualifier
10/02 14:00
C'est François Letexier qui a été désigné pour siffler le quart de finale de coupe de France contre Epinal, ce jeudi à Marcel-Picot.
Ce Breton de 30 ans n'avait pas encore arbitré les Verts cette saison en L1, mais on se souviendra qu'il était le référé lors de la qualification face au Paris FC en 16èmes de finale de cette même coupe de France (victoire 3-2).
Il a, par ailleurs, un assez bon bilan avec l'ASSE en L1 puisque, sur les 5 derniers matchs joués sous sa direction, nous restons sur 2 victoires, 2 nuls et une seule défaite (1-2 à Montpellier en 2017).
A noter que la VAR fera son apparition en coupe à partir de ces quarts de finale, et que ce sont Stéphanie Frappart et Hamid Guenaoui qui officieront dans ce putain de camion.
Quand tu n'es pas tueur, tu te fais tuer
10/02 06:09
Comme le rapporte la Pravda, Loïs Diony a brièvement commenté la défaite des Verts à Montpellier.
"Je me sens de mieux en mieux avec plus de confiance. J'ai la réussite qui me fuit, ma reprise de volée est trop parfaite, elle va sur le gardien. Il faut qu'on soit plus tueurs. C'est ça le haut niveau. Quand tu n'es pas tueur, tu te fais tuer. Je ne ne suis pas inquiet car on a un vestiaire d'expérience donc on sait comment aborder cette mauvaise passe."
Des Canaris mal accueillis ?
09/02 21:50

Dans la dernière édition nantaise du quotidien Ouest-France, l'entraîneur de l'équipe réserve des Canaris Pierre Aristouy glisse un petit tacle à son homologue stéphanois.
"Le 30 août dernier, on avait accueilli l’AS Saint-Etienne le vendredi avec un match à 16 heures. C’était une demande de l’entraîneur stéphanois afin que son équipe puisse faire le voyage aller/retour dans la journée. On avait accepté en espérant qu’il nous rendrait la monnaie de la pièce au match retour. On espérait ne pas jouer le samedi à 18 heures.
Si notre résultat est positif, ce déplacement ne restera pas dans les mémoires. On avait demandé s’il était possible d’avancer le match à vendredi, mais on nous a répondu non. Quand tu te déplaces en avion, l’usage veut que le club adverse te fournisse les ballons pour l’échauffement. Or, sur les dix ballons prêtés par Saint-Etienne, huit étaient mal gonflés ou crevés ! Ils étaient pourris.
On a concédé l'ouverture du score sur un ballon perdu dans notre moitié de terrain mais on a réussi à ramener le point du nul. Globalement, on a contrôlé le match face aux Verts mais on a encore pêché dans la finition. On n’a pas fait les bons choix, on ne prend pas les bonnes décisions. Mais je reste satisfait car on avait encore une équipe jeune et je trouve que les joueurs progressent."
Dirty sheets
09/02 21:03
Qu'elle est loin l'époque où Stéphane Ruffier enchainait les clean sheets ! Comme l'a relevé cet après-midi Opta, Sainté a encaissé au moins 1 but lors de chacun de ses 10 derniers matches de Ligue 1 (21 au total), sa plus longue série du genre dans l’élite depuis janvier-avril 2009.
U18 : le rayon de soleil
09/02 20:52
Rossi Bozi, l'auteur du but (Photo de Thomas99)
Sombre week-end pour l'ASSE ! Heureusement les féminines victorieuses contre Thonon-Evian-Genève et les U18 de Sylvain Gibert vainqueurs aujourd'hui de Rhône Crussol (1-0) sur le terrain synthétique Georges Bereta ont apporté un rayon de soleil dans la morosité ambiante. Face à une solide équipe de Rhône Crussol, classée en quatrième position et qui avait contraint les Verts au nul lors du match aller (1-1), équipe possédant de surcroît la meilleure défense de la poule avec seulement douze buts encaissés, la partie n'était pas gagnée d'avance. Et ce d'autant plus que les problèmes d'effectif des équipes de catégorie supérieure impactent les autres équipes. Mais les poulains de Sylvain Gibert ont su faire front et se sont imposés le plus logiquement.
Les Verts attaquaient la rencontre pied au plancher, étouffant un adversaire qui en était réduit à procéder en contre. C'est au moment où cet adversaire commençait à sortir la tête de l'eau que les Stéphanois allaient ouvrir le score. Sur une attaque de Rhône Crussol, Noham Abdellaoui récupérait le ballon transmis dans le dos de la défense à Rossi Bozi qui, devançant le défenseur central, partait au but, côté droit, et mettait un plat du pied dans le petit filet opposé. (1-0, 35ème).
Sur leur lancée, les Verts terminaient fort cette première mi-temps : ils se voyaient refuser un but pour un hors-jeu loin d'être évident de Marwan Nzuzi, alerté par Abdoulaye Bakayoko, qui avait centré pour Rossi Bozi dont la reprise avait fait mouche. Quelques minutes plus tard, une main adverse dans la surface de réparation n'était pas sanctionnée comme elle aurait dû l'être.
Rhône Crussol réagissait dès la reprise, exploitant un flottement dans la défense verte, mais Yanis Bourbia s'interposait avec à-propos. Les Stéphanois auraient pu faire le break sur deux situations de contre où Darling Bladi, entré à la mi-temps, apportait sa vitesse dans le couloir gauche. Ils restaient costauds jusqu'au bout, faisant preuve d'une belle solidarité. Yanis Bourbia rassurait tout le monde par ses sorties aériennes sur les coups de pied arrêtés et permettait à l'ASSE de préserver une victoire somme toute méritée.
La composition : Bourbia - Zarzour, Abdellaoui, Bakayoko, Moyo - N'Gongolo (cap) (Gauthier, 82ème), M.Moueffek, Gauthier (Ali Diadie, 75ème) - Nzuzi, Bozi, Ali Diadie (Bladi, 45ème);
La réaction de Sylvain Gibert : "Malgré des problèmes d'effectif, j'ai pu présenter une équipe cohérente. Je suis satisfait du match car le groupe a répondu présent, un groupe sérieux et irréprochable dans l'état d'esprit. Je savais que le match ne serait pas facile vu la prestation de Rhône Crussol du match aller. Cette équipe, très athlétique, affiche quand même la meilleure défense de la poule. L'entame du match a été à notre avantage : nous avons récupéré pas mal de ballons, empêché l'adversaire de ressortir, mais nous avons manqué de justesse dans les vingt-cinq derniers mètres. Nous avons su faire face à ses attaques rapides et aux coups de pied arrêtés. C'est au moment où l'adversaire commençait à réagir que nous avons ouvert le score. Avant le repos, nous avons eu deux situations qui auraient dû nous permettre de faire le break. Malgré notre domination, je restais méfiant. Le contenu avait été satisfaisant et j'ai demandé aux garçons de continuer à faire vivre le ballon en milieu de terrain. C'est ce qu'ils ont fait en maîtrisant la deuxième mi-temps. Je pense que la victoire est méritée, sutout au vu de notre première mi-temps. Nous n'avons pas reproduit l'erreur du match aller où nous nous étions fait rejoindre en toute fin de rencontre. Là, nous avons été consistants tout au long du match."
Victoire chez les dames de Haute-Savoie
09/02 19:41

Les Amazones ont gagné 2-1 cet après-midi en Haute-Savoie contre Thonon-Evian-Genève. Les protégées de Jérôme Bonnet ont rapidement ouvert le score à la 12e minute grâce à Laurey Jesus mais les locales ont égalisé à la 69e. Audrei Chaumette (photo) a permis aux Vertes d'arracher la victoire à la 90e grâce à. Elles conservent la tête du groupe B de D2 à égalité de points avec les Havraises, qui ont écrasé les Grenobloises 4-0.
U17 : encore un vilain derby
09/02 19:21

Ecrasés 5-1 au match aller en banlieue, les U17 nationaux ont encore perdu le derby cet après-midi à Georges-Bereta. Mais ils ont cette fois tenu la dragée haute à leurs vilains voisins.
Si Jordan Morel a eu l'occasion d'ouvrir le score en milieu de première période, Noah Raveyre (photo) a été sauvé par son poteau à la 35e avant de s'incliner juste avant l'heure de jeu. A l'entame du dernier quart d'heure, Jibril Othman a raté une énorme occase seul face au gardien en tirant au-dessus. A l'issue de cette 18e journée, Sainté reste 6e mais compte désormais 20 points de retard sur les leaders banlieusards.
La compo : Raveyre - Hilaire, N'Gongar, Kinunga, Ahmane - Bouyadel (Ouroui, 65'), Watel (Fethiddine, 57'), Morel - Njoya, Othman, Seda Mfukumoko (Merat, 74').Seda Mfuku Seda MfukumokoSeda Mfukumoko
La réaction de Patrick Moreau : "On perd au terme d'un match très équilibré, on a fait jeu égal avec eux. Il nous a manqué un peu de justesse dans le dernier geste pour pouvoir marquer. C'était un match très intéressant, un nul aurait été mérité au vu de la physionomie du match. Les deux équipes se sont rendu coup pour coup. On a su répondre présent dans la détermination, dans l'engagement. Il n'a pas manqué grand chose si ce n'est un petit but qui aurait récompensé nos efforts."
Ici c'est la panade
09/02 18:27
Grâce à un but marqué de la tête par Andy Delort à la 25e minute de jeu, Montpellier a battu Sainté cet après-midi à la Mosson, malgré les débuts sous le maillot vert d'Yvann Maçon, remplacé dès la 50e minute. En supériorité numérique dès la 41e suite à l'expulsion de Junior Sambia, les Verts ont encore affiché d'inquiétantes lacunes offensives.
L'ASSE reste 15e mais ne compte plus que 4 points d'avance sur le barragiste nîmois. Dans la panade, les Stéphanois devront réagir dès jeudi à Nancy contre Epinal en quart de finale de Coupe de France puis dimanche à Brest lors de la 25e journée de Ligue 1.
Printant est toujours vert
09/02 13:43
Son aventure à Sainté s'est mal finie mais Ghislain Printant reste un supporter des Verts. S'il n'assistera pas au match que son ancienne équipe jouera cet après-midi à La Mosson, l'ex-entraîneur de l'ASSE est intervenu en fin de matinée aux Sénioriales de Saint-Jean-de-Védas (près de Montpellier) lors d'une conférence animée par Philippe Gastal en présence de plusieurs autres anciens Verts (Dominique Rocheteau, Alain Merchadier, Eric Bellus, Pascal Carrot, Kader Ferhaoui).
"Je remercie mes parents, c'est grâce à eux que j'ai pu assister à beaucoup de matches des Verts en Coupe d'Europe. J'ai une idole qui est Monsieur Ivan Curkovic, j'ai eu l'honneur d'échanger avec lui à Sainté. C'est un grand Monsieur, comme il l'était sur le terrain. Mes parents m'emmenaient avec mes frangins voir les matches des Verts. Ici les gens dans la région étaient supporters de Nîmes mais nous on était supporters de Saint-Etienne. Le fameux match retour contre Kiev, on était présents. Je me rappelle que la première séance d'entraînement qu'on a faite avec Jean-Louis Gasset à Geoffroy-Guichard, on est arrivé une heure avant les joueurs. J'ai pris un ballon, et j'ai fait l'action de Dominique sur le troisième but qu'il marque en prolongation contre Kiev. Je suis parti et j'ai levé les bras. Dominique a asssité à la scène et on a évoqué cette situation-là. Saint-Etienne a marqué les coeurs de millions de Français. Quand on se déplace, on retrouve des supporters des Verts partout. Je tiens à remercier tous les personnages de l'ASSE qui ont su développer un état d'esprit et des qualités. Ils ont surtout su faire rêver les gens."
Epinal au pinacle
09/02 09:27

Les Verts, qui n'avaient attiré que 3 485 spectateurs à Louis-II en 8e de finale, joueront jeudi soir leur quart de finale de Coupe de France devant un public bien plus nombreux à Marcel-Picot. Comme le rapporte aujourd'hui Vosges Matin, plus de 9 000 billets ont déjà été vendus pour ce match qui sera diffusé en direct par Eurosport 2.
Tenu en échec à domicile par la réserve rémoise hier soir lors de la 18e journée de National 2, le SAS Football Epinal évoque sur sa page facebook la réception des Verts qui lui fera atteindre un sommet d'affluence. "Au vu de l'engouement exceptionnel et du nombre de billets déjà vendus à l'heure actuelle, le club vous informe de l'ouverture de toute la Tribune Piantoni du Stade Marcel-Picot."
Roro à Roanne
09/02 08:49
Mutique depuis son massacre du Printant, Roland Romeyer a assisté hier à Roanne à la défaite (87-93) de la Chorale face à Dijon comme le rapporte Le Progrès du jour.