
Ils nous ont pendus haut et court
17/02 08:03
Auteur du deuxième but de la victoire de Brest contre Sainté hier à Francis Le Blé, Gaëtan Charbonnier s'est confié au Télégramme à l'issue de ce match la 25e journée de L1. Extraits.
"On a l'habitude de mal commencer et bien finir, c'était l'inverse. On a montré un très beau visage en première période. Dans le jeu, on a été cohérent. On était tous haut, tous disponibles, on a essayé de jouer court, on sait qu'on est capable de le faire. Vous dites que Saint-Etienne est malade et inquiétant et qu'il est difficile de tirer des enseignements de ce match irrationnel ? Mais c'est le foot ! Vous avez trouvé qu'Amiens-PSG, c'était rationnel ?"
Crédit photos : Ouest-France
Un peu inquiétant
17/02 07:42
Auteur hier de son 9e but sous le maillot vert, le numéro 9 de l'ASSE s'est confié en zone mixte comme le rapporte la dernière édition du Progrès. Extraits.
"J’aurais préféré être titulaire mais le coach aime beaucoup changer l’équipe car on enchaîne les matches. J’accepte sa décision. Il m’a donné l’opportunité de lui montrer qu’il s’était peut-être trompé à la mi-temps en me faisant entrer. C’est ce que j’ai fait. En ce moment, tout va contre nous. Chaque occasion, c’est un but. Il reste encore beaucoup de matches mais ça commence à devenir un peu inquiétant. Il ne faut pas paniquer. On a un super groupe et quand les blessés reviendront, ils vont nous faire du bien. On a le même groupe que l’an dernier avec lequel on a fait une super saison. Personnellement, ça me fait mal de dire que je joue le maintien avec Saint-Étienne."
Crédit photo : Fred Tanneau, AFP
Y'a le feu !
17/02 00:23

Auteur d'une bonne entrée en jeu juste après la pathétique première mi-temps de son équipe à Francis Le Blé, Franck Honorat a commenté le nouveau revers des Verts au micro de RMC.
"Cela fait sept ou huit matches qu'on ne gagne pas, on n'arrive pas à mettre un pied devant l'autre. Il serait temps de gagner car ça commence à être très inquiétant. Y'a le feu ! On sait que ça va vite. On le voit aujourd'hui, on sait qu'on est dans les derniers. C'est compliqué, c'est une situation qui est difficile et embarrassante pour le club, pour les joueurs. Tout le monde est inquiet. Tout le staff, tous les supporters ont peur de la situation et nous les premiers. On n'a pas envie de finir en Ligue 2. Moi je suis descendu en Ligue 2 il y a trois saisons, avec l'objectif de remonter en Ligue 1. Quand on m'a parlé de Saint-Etienne, j'ai dit "waouh !", c'était quelque chose d'incroyable de rebondir en Ligue 1. Je ne m'attendais pas à un club comme Saint-Etienne. Mais voilà, c'est fait. Je ne me suis jamais dit - et je pense que personne ne s'était dit - qu'on serait à ce stade-là aujourd'hui."
Cabella et Malcuit derrière les Verts
16/02 23:54


Deux anciens Verts s'étant fait les croisés cette saison ont tenu à afficher ce soir sur twitter leur soutien à l'ASSE, qui a perdu 8 des ses 9 derniers matches de L1. "Courage les Verts ! Ne lâchez rien !" a écrit Rémy Cabella (Krasnodar). "Courage les Verts ! Ne lâchez pas !" a embrayé Kévin Malcuit (Naples).
Aubame écrase Allan
16/02 23:23

Auteur de son 15e pion de la saison en Premier League, Pierre-Emerick Aubameyang a marqué ce dimanche le premier but de l'écrasante victoire (4-0) d'Arsenal contre le Newcastle United d'Allan Saint-Maximin, qui a lui aussi joué l'intégralité de cette rencontre de la 26e journée.
Les U18 ont décramponné Chaponnay
16/02 22:47
Clément Moulineau, auteur d'un arrêt décisif (Photo de Thomas99)
Les U18 de Sylvain Gibert s'étaient imposés le 13 octobre dernier à Chaponnay. Ils se devaient donc de l'emporter à domicile contre un concurrent direct dans une poule où quatre voire cinq équipes pourraient être reléguées. Ils ont rempli leur contrat en s'imposant largement sur le score de 5 à 1, mais d'une manière qui n'a pas totalement satisfait leur coach.
La première mi-temps a été très pauvre, dans le jeu et dans les opportunités de marquer. A la 20ème minute, Keryann Merat, alerté dans la profondeur, éliminait son vis-à-vis puis le gardien : son tir était repoussé sur la ligne, sur Mohamed Moueffek qui tirait au-dessus. Chaponnay ne se montrait guère plus dangereux, mais aurait pu marquer à la 40ème, la barre s'opposant à un tir d'un de ses attaquants.
Sermonnés par le coach, les Verts allaient, malgré cela, se faire punir dès la reprise : sur un ballon anodin dans le dos de l'axe droit de la défense, un attaquant rhodanien plaçait, à la suite d'un bel enchaînement, une frappe dans la lucarne opposée. (0-1, 47ème)
Le tournant du match allait survenir dans la minute suivante : les Verts se faisaient prendre en contre-attaque et, heureusement, Clément Moulineau remportait son face-à-face, permettant aux siens de rester dans le match qui allait basculer dans les minutes suivantes. Mohamed Moueffek récupérait un ballon assez haut, le transmettait à Rossi Bozi, qui, dans un numéro de soliste, résistait à plusieurs défenseurs avant de placer une frappe victorieuse sous la barre. (1-1, 51ème)
Deux minutes plus tard, Mohamed Moueffek, tirait un coup-franc obtenu par Alpha N'Gongar : sa frappe rentrante était coupée, de la tête, par Noham Abdellaoui. (2-1, 53ème)
Peu après, sur un nouveau coup-franc, tiré cette fois par Antoine Gauthier, la reprise de Kaïs Bendriss passait entre les jambes du gardien. (3-1, 55ème)
Le match était quasiment plié, mais les Verts affichaient encore du déchet dans leur jeu et perdaient trop de ballons. Il est vrai que l'adversaire semblait avoir capitulé, ne se créant plus d'opportunités de marquer. Au contraire, les Stéphanois allaient aggraver le score : à la suite d'un beau mouvement, sur le côté, entre Antoine Gauthier et Keryann Merat, ce dernier s'infiltrait dans la défense adverse, voyait sa frappe contrée revenir sur Rossi Bozi dont le tir en force au premier poteau faisait mouche. (4-1, 65ème)
En toute fin de match, sur une contre-attaque, le ballon parvenait à Rossi Bozi, excentré. Il centrait au deuxième poteau pour Marwan Ouroui qui concluait dans le but vide. (5-1, 88ème)
La composition : Moulineau -Zarzour, Bendriss, Abdellaoui (Marwan Ouroui, 75ème), Alpha N'Gongar - N'Gongolo (cap) (Nzuzui, 70ème), M.Moueffek - Merat, Nzuzi (Bozi, 45ème), Marwan Ouroui (Ali Diadie, 55ème).
La réaction de Sylvain Gibert : "Si l'on s'en tient au score, c'est un bon résultat. Mais je dirais que c'est un score flatteur par rapport au contenu du match. Il fallait confirmer la victoire de la semaine dernière contre Rhône Crussol et prendre des points contre un concurrent pour le maintien. La première mi-temps a été très pauvre de notre part, avec trop de suffisance technique, avec beaucoup de déchet dans le jeu. Nous n'avons pas mis l'intensité nécessaire dans l'impact physique et nous n'avons eu que de trop rares opportunités pour marquer. A la mi-temps, j'ai fait part aux joueurs de mon mécontentement et leur ai demandé une réaction. Mais ce sont les visiteurs qui ont ouvert la marque avant que mes joueurs, piqués au vif, ne renversent la situation en quelques minutes. Nous avons eu le mérite de réagir. Nous n'aurions peut-être pas gagné ce match dans la première partie de saison. C'est le point positif à retenir. Mais on se doit de faire mieux au niveau de l'abnégation."
Les Verts en rade à Brest
16/02 21:48

Les Verts se sont inclinés 3-2 en début de soirée au stade Francis-Le Blé.
Sur un centre de Samuel Grandsir, Paul Lasne a ouvert le score à la 20e minute de jeu.
Gaëtan Charbonnier a doublé la mise à la 38e sur un nouveau centre côté gauche.
Suite à une perte de balle de Yann M'Vila, Irvin Cardona a enfoncé le clou deux minutes avant la mi-temps.
Les Verts ont réduit le score à la 54e minute sur un penalty obtenu par Ryad Boudebouz et tansformé par Denis Bouanga.
Sur une passe de Yohan Cabaye, Loïs Diony a redonné un peu plus d'espoir à son équipe à la 69e minute.
Ayant concédé sa 13e défaite de la saison en 25 journées, l'ASSE (16e) n'a plus que deux points d'avance sur le barragiste (Dijon).
Crédit photo : Eurosport
Les U15 plein pot chez les Ponots
16/02 21:37
Lorenzo Bertrand et Louis Pama, auteur de quatre buts (Photo de Thomas99)
Pour les U15 de Jean-Philippe Primard, la victoire au Puy était indispensable, car, après la petite déconvenue de la semaine dernière contre Annecy (match nul : 2-2), les Verts avaient vu le vilain voisin revenir dans leur sillage. Contre un adversaire qu'ils avaient largement battu à l'aller (7-0),ils ont rempli leur mission en s'imposant sans trembler par 6 à 1.
Les Stéphanois démarraient plein pot cette rencontre. Sur un bon ballon en profondeur d'Abderraouf Guechi, Kenzo Kies s'en allait dribbler le gardien et ouvrir la marque. (1-0, 7ème)
Peu après, ce même Kenzo Kies se faisait faucher à l'entrée de la surface de réparation. Louis Pama transformait le penalty. (2-0, 15ème)
Dix minutes plus tard, Tom Meyer alertait Louis Pama sur le côté droit. Ce dernier revenait en arrière, contournait la défense et inscrivait le 3ème but d'une frappe au sol. (3-0, 26ème)
Les Ponots réagissaient à la demi-heure en convertissant un centre en retrait en retrait venu du côté gauche de la défense verte. (3-1, 29ème)
Les Verts ne s'en laissaient pas conter et Louis Pama, encore servi par Tom Meyer, repiquait vers l'intérieur et plaçait, du gauche, une frappe enroulée dans la lucarne. (4-1, 35ème)
Le repos survenait sur ce score parfaitement mérité. A la reprise, les Verts ne lâchaient rien, et selon un scénario déjà vu, Tom Meyer servait une nouvelle fois Louis Pama qui, cette fois du droit, plaçait une frappe enroulée au sol, au ras du poteau. (5-1, 51ème)
Enfin, à quelques minutes de la fin, Lorenzo Bertrand pénétrait dans la surface et adressait un centre parallèle au but, centre qu'Israël Josué Zemangui (U14) reprenait victorieusement. (6-1, 73ème)
La composition : Gonnet-Léard - Bertrand (Kies, 74ème), Jetishi, Gay, Makhloufi - Legros, Samy Achour (U14) - Meyer (Zemangui, U14, 55ème), Pama (Guechi, 68ème), Guechi (Chalabi, 50ème), Kies (Rasit Makine U14, 64ème)
La réaction de Jean-Philippe Primard : "Nous avons fait un match sérieux. La victoire du Puy, il y a deux semaines, contre Lyon nous avait rendu méfiants. J'avais demandé aux joueurs de démarrer fort ce match pour ne pas laisser d'espoir à notre adversaire. C'est ce qu'ils ont fait puisque nous menions 3-0 au bout de vingt-cinq minutes de jeu. Nous n'avons pas été vraiment inquiétés et le Puy a marqué sur sa première occasion. Nous étions bien dans la maîtrise collective, dans les ressorties de balle, nous avons alterné le jeu dans l'intérieur ou en trouvant, dans la profondeur, nos attaquants qui se montraient dangereux par leur vitesse. J'ai demandé de continuer dans ce sens-là et de ne rien lâcher. Notre deuxième mi-temps, du même acabit, très sérieuse nous a permis d'ajouter deux nouveaux buts. Je suis satisfait de ce résultat acquis avec une équipe dans laquelle figuraient trois U14, plusieurs U15 s'étant blessés mercredi à l'occasion d'un match amical contre le Pôle espoir d'Aix en Provence (match nul : 2-2). On a fait du jeu, inscrit des buts : c'est ce que j'attendais de ce match bien abouti."
U19 : les Verts costauds à Castelnau
16/02 21:27
Les U19 se sont imposés 3-1 cet après-midi en déplacement face à Castelnau-Le Crès.
Dans un match engagé, les Verts ont ouvert la marque sur un coup-franc de Lucas Calodat (0-1, 15e). Plus fragiles défensivement ces derniers temps, les Stéphanois ont cédé sur corner à la demi-heure (1-1, 30e).
Après le retour des vestiaires, Louis Mouton a rapidement redonné l'avantage aux siens d'une frappe aux 18 mètres (1-2, 55e). Malgré leur infériorité numérique - Bryan Djilé Nokoué ayant été expulsé - les Verts ont finalement fait le break en contre grâce à Yanis Lhéry (1-3, 80e).
Les Stéphanois confortent leur troisième place au classement du groupe D, à 4 points de Montpellier et à 6 de Monaco.
La composition : Bourbia - Djilé, Bakayoko, Roubat, Calodat - Ah. Sidibé, Mouton, Lopes Koné (Lhéry, 46e) - Urie, Saban (Bonnemain, 80e), Ab. Sidibé
Batlles n'a pas oubié Galette... et Jolan42 !
16/02 15:02

Cinquième donc barragiste actuellement en L2, Laurent Batlles décrit sur le site de 20 Minutes le management de Christophe Galtier et évoque la vidéo du potonaute Jolan42 qui avait été diffusée aux Verts avant l'inoubliable 100e derby de l'histoire.
"Je me souviens bien de la causerie que Christophe avait faite avant le 100e derby contre Lyon. Il s’était servi de certaines vidéos, avait fait faire des montages pour faire monter la pression. Quand il a un message à faire passer, il le dit devant tout le monde ou alors il en discute avec les cadres du vestiaire. Par contre, ce n’est pas quelqu’un de cassant, il ne va pas sur ce terrain-là. Il a un passé d’adjoint qui fait qu’il a toujours été assez proche de tout le monde. Je l’ai toujours vu dans le besoin d’accompagner, de rassurer son groupe et de lui apporter sérénité et confiance. Christophe s’appuyait beaucoup sur son staff. Il essayait de concerner tout le monde. Il ne se mettait pas à part et laissait pas mal de libertés tout en disant ce qu’il avait à dire."
Il se trompe, Le Monde !
16/02 14:15
Si ce n'est toi, c'est donc ton frère... Le Monde se mélange les pinceaux aujourd'hui dans son papier intitulé "Le drôle de match des frères Revelli." Extraits.
"Les deux anciens footballeurs des Verts défendent chacun leur équipe aux municipales à Saint-Etienne. Patrick, le cadet, est tête de liste LRM ; Hervé, son aîné, un soutien actif du maire LR sortant, Gaël Perdriau (...) Il fallut convenir d’un rendez-vous près de la gare. L’hôtel-bar-restaurant s’appelle Les Poteaux carrés, du nom de l’excuse ressassée depuis 1976 pour expliquer la finale européenne perdue contre le Bayern Munich : deux fois, les Verts avaient frappé les montants qui auraient laissé passer le ballon s’ils avaient été ronds, disent les mauvais perdants ; sur le premier de ces tirs, Patrick Revelli avait manqué une reprise de la tête, seul face au gardien… On n’échappe pas à son passé."
Après avoir attribué à Patrick un raté de Hervé, le quotidien se permet de glisser un petit tacle à Dieu et à un ancien chouchou du Chaudron.
"Ce sont moins leurs alliances politiques que conjugales qui ont éloigné les deux frères et ils s’agacent tous deux quand les gazettes réduisent leur engagement à un "On refait le match" familial. "Un engagement citoyen – je préfère ce mot à “politique” – est plus sérieux que ça", lâche Hervé, regard tranchant sous la crinière grise. C’est aussi l’avis de Gaël Perdriau, pour qui "ce serait réduire à peu de chose l’avenir de la ville". Ce qui ne l’empêche pas d’énumérer ses "amis footballeurs", de l’ancien gardien Jérémie Janot à Loïc Perrin, l’actuel capitaine des Verts. A défaut du palmarès, ils ont la jeunesse…"
Sainté surcoté manque de fluidité
16/02 09:25
Ancien défenseur des Verts et actuel consultant pour beIN Sports, Patrice Ferri donne son point de vue sur Sainté dans la dernière édition Nord-Finsitère du quotidien Ouest-France. Extraits.
"Je pense que l'on a un peu surcoté cet effectif. Le seul qui donne vraiment satisfaction, c'est Bouanga. Boudebouz n'est pas arrivé au top de sa forme. Il y a beaucoup d'internationaux mais ça fait longtemps qu'ils ne jouent plus en sélection, que ce soit Ruffier, Cabaye, M'Vila, Debuchy... Après la 4e place de la saison dernière, est-ce qu'il n'y a pas eu un petit relâchement, un manque de vigilance ? Il ne faut pas oublier non plus le départ de Rémy Cabella, qui était un peu le Dimitri Payet de Saint-Etienne. C'était un buteur, un passeur, il débloquait des situations.
Les premiers résultats de Claude Puel ont été l'arbre qui a caché la forêt, ça a masqué les problèmes de fond au niveau de la qualité de jeu. On s'en rend compte aujourd'hui, il manque quand même beaucoup de choses sur le plan de l'expression collective, dans les enchaînements. On a l'impression que ce sont des garçons qui se connaissent peu, qu'il n'y a pas de fluidité. L'équipe reste toujours sur le même rythme. Vu leur classement et ce championnat insaisissable, je pense que les joueurs stéphanois ont conscience qu'il peut y avoir un danger."
Une forteresse à Brest
16/02 08:49
Le Télégramme met aujourd'hui en exergue les performances des Brestois à domicile. Extraits.
"En 12 rencontres, ils ne se sont inclinés qu’une fois devant leurs supporters, en toute fin de match face au PSG. C’est le plus petit total de défaites à la maison en Ligue 1, à égalité avec le leader parisien, Marseille (2e) et Lille (4e). Cette saison, Brest est parvenu à égaliser cinq fois après avoir concédé un but à domicile (Lyon x2, Paris, Nantes, Bordeaux) et a arraché deux fois la victoire dans les dix dernières minutes (contre Reims et Amiens). "C’est vrai qu’il y a une sorte de force supérieure à domicile", reconnaît Olivier Dall’Oglio. "Les joueurs se sentent chez eux, il n’y a pas de notion de stress. Il y a l’engouement du public, près du terrain, bien sûr, ça aide. L’adversaire se sent un peu étouffé, et ça, c’est bien."
Les Verts, qui restent sur cinq défaites consécutives à l'extérieur en L1, parviendront-ils à faire tomber la forteresse de Brest ?
Crédit photos : Côté Brest
Les Brestois voulaient Honorat
16/02 08:23
Dans sa dernière édition, Le Télégramme confirme que le Stade Brestois convoitait le numéro 14 de l'ASSE. Extraits.
"Franck Honorat a été désiré ardemment par le Stade Brestois lors des deux derniers mercatos, cet été et en janvier. Le staff breton aurait voulu profiter de sa vitesse sur le côté droit. "C'est sa principale qualité, explique Johan Gastien, qui l'a côtoyé une saison en Auvergne. Je n'ai jamais évolué avec quelqu'un d'aussi rapide. Brest joue un peu moins au ballon qu'en L2, il auraut pu être utile dans les transitions. Franck Honorat a progressé dans le dernier geste, il est devenu plus décisif et il dispose d'une belle marge de progression."
Sain, Denis !
16/02 07:56

Comme le rapporte la Pravda, Claude Puel n'a pas tari d'éloges sur son numéro 20 hier en conférence de presse.
"Denis possède un très gros potentiel. Désormais, il doit retrouver la fraîcheur et la légèreté qu'il avait avant sa blessure. C'est vrai qu'il a enchaîné très vite, avec beaucoup de temps de jeu puisque nous avons des blessés dans le secteur offensif. Donc on s'appuie beaucoup sur Denis. C'est quelqu'un de sain, travailleur, qui a de très bonnes dispositions techniques et physiques. Denis aime bien ce positionnement de piston qui lui permet d'avoir de l'espace, de pouvoir partir de loin, de ne pas être serré au marquage. Il peut se retrouver dans des un contre un, et il est très intéressant quand il rentre sur son pied droit. C'est sûr que, de temps en temps, j'aimerais le soulager, lui donner plus de repos."
L'international gabonais devrait toutefois être titularisé à Francis Le Blé. Placé en vigilance orange, le Finistère résistera-t-il à la tempête Denis ?
Une bonne opération
15/02 22:10

Razik Nedder nous a livré sa réaction suite à la nette et importante victoire de son équipe contre le Stade Bordelais.
"Ce n’était pas un match de tout repos. La première mi-temps était très disputée, notamment les vingt premières minutes. On a ensuite réajusté notre jeu, dans l’animation offensive on s’est amélioré. Le coup franc d’Edmilson nous a permis de décanter la situation. Quand il arme il frappe très fort, il sait mettre des coups de canon. On connaissait l’importance de ce match, on ne s’en était pas caché, on l’avait dit aux garçons. On s’était mis la pression.
C’était un match-clé, une journée surtout importante car il y avait des confrontations directes entre équipes qui jouent le maintien et d’autres équipes jouant le maintien qui jouaient chez des très gros. Il y avait l’opportunité que ce championnat se resserre et c’est ce qui s’est passé. On a gagné et les autres résultats nous sont favorables. On est revenu à hauteur de Chamalières, on n’a plus qu’un point de retard sur Andrézieux et deux sur Montpellier. On fait une bonne opération.
On avait des armes offensives aujourd’hui avec des joueurs capables de faire des différences. On avait aussi un banc de touche de qualité notamment avec Maxence qui rentrait de sélection et qui nous a facilité cette fin de match en délivrant deux passes décisives. Max a fait une excellente entrée en jeu, il a joué juste. C’est important de bénéficier de joueurs capables de créer du déséquilibre. Ce week-end était facilité par notre effectif et le fait qu’on ait pu se déplacer en avion. On était dans les conditions optimales, ça nous a aidé à gagner en efficacité."
N2 : les Verts enfoncent la lanterne rouge
15/02 19:53
Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum grâce au potonaute Gilleus, envoyé spécial au stade Sainte-Germaine du Bouscat (Gironde) : la réserve a gagné 4-0 ce soir contre le Stade Bordelais, lanterne rouge qui en avait déjà pris 5 le week-end dernier à Andrézieux.
Sur un coup franc excentré obtenu par Lamine Ghezali, Edmilson a ouvert le score à la fin d'une première mi-temps marquée par un coup franc de Victor Petit et par une parade décisive de Stefan Bajic.
En supériorité numérique les 25 dernières minutes suite à un fauchage sur Lamine Ghezali, les Stéphanois ont fait le break grâce à un csc provoqué par Lamine Ghezali à la 74e avant de tuer le match à la 81e grâce à Tyrone Tormin sur une passe décisive de Maxence Rivera, qui a permis à Baptiste Gabard de corser l'addition à la 88e.
Bajic - Durivaux, Kouyaté, Leleux (Nadé, 87'), Llort - Petit, Gourna, Edmilson (Rivera, 73') - Hérelle (Gabard, 64'), Ghezali, Tormin.
Blachon a du sang vert
15/02 17:57

Lors d'un intéressant entretien de 42 minutes à écouter en intégralité sur le site Dessous de Verts, Alain Blachon est revenu cette semaine sur ses vertes années. Extraits.
"J’ai du sang vert qui coule dans mes veines. Je suis désormais guide bénévole pour des visites du stade Geoffroy-Guichard. Ce qui m’intéresse dans cette activité, c’est le plaisir de partager la passion des gens, et d’être avec les gens qui ont certainement applaudi Christophe Galtier et son équipe. J’ai du sang vert qui coule dans mes veines.
Christophe Galtier a longtemps été numéro deux avant de succéder à Alain Perrin. Quand tu passes numéro un, c’est à toi prendre des décisions, de faire les compos d’équipe. Il faut être couillu pour titulariser Manu Rivière plutôt qu’Ilan à Grenoble. Au début Christophe ne savait pas trop comment faire, il avait besoin d’être rassuré, conseillé, orienté.
Fort de mes dix années d’expérience aux côtés de Guy Lacombe, j’ai apporté ma patte sur les montages. On a varié. Ça a aidé Christophe à faire les choses avec beaucoup plus de professionnalisme, plus de recul. Il avait confiance en moi. Ça lui permettait de s’attarder sur la communication et le relationnel avec les joueurs.
Cette première victoire 2-1 à Grenoble nous a fait énormément de bien. On a été malmené, balloté mais Manu a marqué. Ce n’était pas un joueur qui était programmé pour jouer en équipe première et il a survolé cette seconde partie de saison en marquant une dizaine de buts. C’était inespéré pour nous, ça a permis à Christophe de s’imposer en tant qu’entraîneur.
Avec Christophe on est parti de rien du tout et on a sauvé le club. Souvent quand on est en contact on parle de cette période qui a été charnière pour lui. On sait très bien – on l’a vu avec d’autres entraîneurs qui ont moins de réussite – au bout de deux ou trois matches, si vous ne faites pas de bons résultats en tant que jeune entraîneur, on dit que vous n’avez pas le niveau.
Il fallait faire front. On a eu la chance d’avoir des résultats, de bien travailler, et de permettre à l’équipe de se sauver. Ça, c’est une fierté incommensurable. On est parti sur les bases d’une belle aventure, quelque chose de positif. Christophe a ensuite énormément travaillé pour améliorer son équipe, pour améliorer un vestiaire qu’on estimait en manque d’expérience.
Toutes les années avec Christophe ça n’a été que du bonheur car on a eu beaucoup de réussite. Je lui ai souvent dit que c’était un entraîneur avec pas mal de réussite. Si Guy Lacombe avait eu la chance de Christophe en plus de son talent, il aurait fait des choses merveilleuses aussi.
Christophe a fait des choix déterminants, cruciaux à certains moments, à l’image d’une victoire à Lyon alors qu’on n’était pas au mieux. Il décide au dernier moment de faire une défense à trois, qui nous permet de gagner. Ce sont des choses fantastiques et inoubliables.
Le baiser à Christophe à l’issue du 100e derby ? Moi je suis un intuitif. J’avais dit aux joueurs avant le match : c’est le 100e derby, il n’y a pas de hiérarchie et on rentre dans l’histoire. On restera pour toujours les vainqueurs du 100e derby. Personne ne pourra l’enlever, on en parlera tout le temps.
Au bout de vingt minutes, je me suis retourné vers Christophe et lui a dit : « ne t’inquiète pas, aujourd’hui rien ne peut nous arriver. La suite m’a donné raison. J’étais tellement heureux à la fin du match que je l’ai pris par surprise. Ce baiser, on en reparlé depuis et on en a bien rigolé. Il ne s’attendait pas à ça.
Au début, Christophe avait des soucis dans les préparations de match, il ne savait pas comment aborder les choses, il n’arrivait pas à se projeter dans le futur. Mais au niveau des analyses c’était déjà un gars très pertinent et performant, surtout à la mi-temps des matches. C’était vraiment super, il pouvait transformer l’équipe à la pause.
Quand tu es entraîneur adjoint, tu as des rapports particuliers avec les joueurs. Tu es proche d’eux, tu les écoutes. On fait passer des messages entraîneur>joueur mais aussi des message joueur>entraîneur. On est au milieu de tout. Ça oblige à avoir des relations à la fois d’autorité mais on doit être aussi des copains pour savoir par exemple pourquoi un joueur n’est pas bien en forme.
Ghislain devait être très proche des joueurs en tant qu’adjoint, peut-être que cette proximité a fait que ça l’a mis en difficulté quand il est devenu numéro un. Soit il a pris du recul et les joueurs se sont dit qu’il avait changé, soit il est resté proche d’eux pour être copains et eux pensaient que c’était toujours un adjoint et ils ne le voyaient pas comme un numéro un. Ghislain l’a pourtant été à Bastia. Mais Bastia n’est pas Saint-Etienne. Saint-Etienne est une grande équipe, dès que tu perds un match t’es tout de suite en première ligne, en ligne de mire des médias.
Christophe était l’adjoint de Perrin avant de lui succéder en tant que numéro un. Et ça a marché avec lui car tout de suite il a pris des décisions fortes, il a fait des compos d’équipe, il a eu un peu de chance et il a su s’affirmer comme numéro un avec la réussite qu’il faut pour avoir la chance de prouver à tout le monde qu’on a le niveau. Ce qui a peut-être manqué à Ghislain, c’est d’avoir un peu de temps."
Anfield, des frissons (5)
15/02 14:09
Deux des anciens Verts ayant joué à Anfield le 16 mars 1977 ont évoqué ce mythique quart de finale retour de Coupe d'Europe des Clubs Champions dimanche dernier lors d'une conférence aux Sénioriales à Saint-Jean-de-Védas.
Alain Merchadier : "Ce match est un excellent souvenir : j'y ai laissé le nez. Dans un duel, dans une conquête de balle, j'ai sauté avec John Toshack. Il était beaucoup plus grand que moi le garçon, il devait faire 1m90. J'ai pris un coup et le nez est parti. J'ai dû céder ma place à un gros quart d'heure de la fin et dans le même temps Fairclough est entré en jeu. Christian Lopez n'a pas pu l'attraper et on a pris le but du 3-1 synonyme d'élimination. Liverpool, c'est deux choses : la patrie des Beatles et ce match des Reds contre les Verts. L'engouement qu'il y avait autour de cette équipe de Saint-Etienne par rapport à l'adversité de Liverpool reste quelque chose d'extraordinaire, difficilement comparable à l'époque actuelle des réseaux sociaux et du n'importe quoi. Les gens faisaient de gros efforts pour nous, c'est le monde ouvrier qui était venu jusqu'à Liverpool. Il faut rendre hommage à ce peuple vert présent à l'extérieur comme à Geoffroy-Guichard."
Dominique Rocheteau : "Liverpool et Saint-Etienne étaient deux clubs qui se ressemblaient en termes de philosophie de club et d'état d'esprit de la ville. C'est l'un de mes plus grands souvenirs si ce n'est le plus grand au niveau de l'ambiance. A Liverpool, c'était fabuleux. C'est aujourd'hui encore l'un des grands clubs européens, ce club a un palmarès énorme, et quand on va au musée à Liverpool, ce match reste dans les quelques matches de légende des Reds. On a quand même pas mal marqué l'Angleterre à cette époque-là."
Crédit photo : Onze
N2 : les Verts chez la lanterne rouge (2)
15/02 09:36
L'entraîneur du Stade Bordelais et son champion de France (en 1999 avec les Girondins) repositionné en défense centrale évoquent la réception des Verts (ce samedi à 18h00) dans la dernière édition du quotidien Sud-Ouest.
Alexandre Torres : "Notre lourde défaite à Andrézieux le week-end dernier, c'est clairement un coup d'arrêt, un vrai, qui nous met dans une situation très compliquée. J'avais été obligé de remodeler le groupe et on a reproduit les erreurs individuelles de la première partie de saison. Face aux Verts, la victoire est obligatoire. Nous n'avons plus beaucoup d'espoir mais si nous ne faisons pas le plein à domicile contre des concurrents directs, la tâche risque d'être impossible. Je vais disposer d'un groupe plus étoffé contre Sainté et je sens mes joueurs déterminés à ne rien lâcher. Des qualités sur lesquelles nous devrons nous appuyer."
Pierre Ducasse : "Ce 5-0 qu'on a pris à à Andrézieux nous a cassé les pattes. Ce score lourd est surprenant, nous ne nous attendions pas du tout à ça. Nos dernières prestations contre Romorantin et Nantes avaient été plutôt convaincantes mais nous sommes retombés dans nos travers. Ce n'était peut-être qu'un accident, nous le saurons très vite. Ce match contre Saint-Etienne va conditionner notre fin de saison. Le groupe devra retrouver certaines vertus telles que la solidité, l'envie, un état d'esprit conquérant et la volonté d'aller de l'avant. Cete fois il s'agit de notre dernière chance, ne la laissons pas passer."
Crédit photo : Actufoot
Dall'Oglio sans Diallo
15/02 08:43

Déjà privé de Jean-Charles Castelleto, Olivier Dall'Oglio devra également se passer des services d'Ibrahima Diallo contre Saint-Etienne. Pisté l'été dernier par Sainté et convoité en vain par Leicester cet hiver, le prometteur milieu de terrain de 20 ans ne s'est pas encore remis de sa blessure à la cuisse selon Le Télégramme. Le quotidien breton nous apprend par ailleurs que le passeur décisif du match aller Mathias Autret est incertain pour le match retour programmé ce dimanche à 17h00 à Francis Le Blé. Grippé mercredi et jeudi, le natif de Morlaix est en effet resté en salle ce vendredi.
N2 : les Verts chez la lanterne rouge
15/02 08:24
Avant-derniers, les réservistes stéphanois jouent ce samedi à 18h00 en Gironde sur le terrain du Stade Bordelais, lanterne rouge. Razik Nedder aborde cette importante rencontre de la 19e journée de N2 dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Il ne faut pas se mentir, c’est un match clé. C’est une équipe que nous avons battue à l’aller et reste un concurrent pour le maintien. L’objectif est de bonifier notre match nul contre Nantes en prenant trois points à l’extérieur. Nous avons une équipe peu athlétique, nous sommes obligés de nous en sortir par le jeu. Le retour de Lamine Ghezali va nous faire du bien. Il retrouve du rythme et vient avec un bon état d’esprit. Nous comptons sur lui pour marquer les buts importants qui nous ont fait défaut sur la phase aller."
Une anomalie pour Benjamin Guy
15/02 08:07
Préparateur physique du Stade Brestois, Benjamin Guy s'est confié au Télégramme avant d'accueillir les Verts ce dimanche à 17h00. Extraits.
"On n'a fait aucun aucun non-match à la maison. Les joueurs sont portés par leurs supporters, leur famille. On est réguliers à Le Blé, c'est une force et on peut s'appuyer là-dessus. C'est quelque chose qu'on peut reproduire et qui existait déjà la saison passée. Cela fait aussi venir le public qui est capable de nous pousser, de nous transcender quand on en a besoin.
Cette équipe de Saint-Etienne est en difficulté en ce moment en championnat. Je pense qu'elle va réagir mais si on veut prendre des points à cette équipe, on va les prendre, on ne va pas se gêner. C'est une anomalie de voir les Verts à cette 15e place mais maintenant qu'ils sont là, il faut les considérer comme des concurrents directs. Et avoir l'ambition de gagner pour les laisser derrière nous."
Le rachat de Bouanga
15/02 07:48
Comme le rapporte la dernière édition du Progrès, Denis Bouanga est content de s'être racheté à Nancy après son match raté à Montpellier.
"La célébration de mon but contre Epianl en faisant mine de me laver ? J'ai enlevé le mal que j’avais. J’avais l’habitude de faire ça quand j’avais des trous. Je devais me rattraper par rapport à Montpellier. J’ai eu des occasions que je n’ai pas l’habitude de louper. En les revisionnant à la maison, j’en ai vraiment raté beaucoup…
J'ai demandé au staff de travailler devant le but. Mercredi j'ai pu bosser et à force de marquer à l’entraînement, tu arrives à le faire en match même si ce n’est pas pareil. Je l’ai tenté jeudi et ça m’a réussi. Cela me donne beaucoup de confiance pour la suite."
Wantier bientôt écarté, Cotte et Bouzaabia menacés ? (2)
15/02 06:52
David Wantier sur la sellette, son successeur aurait pu être Jean-Luc Buisine (photo) selon le compte twitter de Bilel Ghazi (journaliste de la Pravda) : "Ces dernières semaines, les dirigeants stéphanois ont également pris attache avec Jean-Luc Buisine pour prendre l’éventuelle succession de David Wantier. Mais l’ancien responsable de la cellule de recrutement de Lille et Rennes avait dû décliner pour raisons de santé."
Erding est aussi en demi
15/02 00:05

Auteur du but victorieux de Fenerbahce contre Kirklarelispor, Mervlut Erding s'est qualifié il y a trois jours pour les demi-finales de Coupe de Turquie. L'ancien attaquant stéphanois tentera de décrocher une place en finale aux dépens de Trabzonspor tandis qu'Antalyaspor et Alanyaspor se disputeront l'autre ticket.
Mahdi privé de derby
14/02 21:59
Déjà averti en coupe contre les deux clubs parisiens, Mahdi Camara a mangé hier contre Epinal une nouvelle biscotte qui le privera du derby programmé le dimanche 1er mars en banlieue, comme l'atteste le tableau des cartons mis à jour par ozzy.
Wesley veut la soulever
14/02 21:45
Comme le rapporte France Bleu Saint-Etienne Loire, Wesley Fofana est brièvement revenu sur la victoire des Verts contre Epinal.
"On savait que ça allait être un combat, il y a eu beaucoup de duels. On savait qu'ils allaient être hargneux. On a répondu présents et on est qualifiés. Cette coupe nous fait du bien, comparé au championnat ou ça ne se passe pas très bien. En coupe, on ne calcule pas. On joue à fond. Désormais, on veut continuer notre parcours jusqu'au Stade de France, et essayer de soulever la coupe. Rennes est une bonne équipe, tenante du titre. Mais la demi-finale va se jouer chez nous, dans le Chaudron. On aura nos supporters avec nous. Ce sera à nous de faire le job après."
Des canailles à la Couaille
14/02 21:12
Selon la dernière édition du quotidien Ouest France, six ultras stéphanois ont été interpellés en début de semaine dans le bassin stéphanois puis placés en garde à vue pour avoir pillé une station-service de la Couaille (Maine-et-Loire) au retour du match nul des Verts à Angers du 24 mai dernier. Poursuivis pour vol en réunion, les quatre majeurs impliqués devront s’expliquer prochainement devant la Justice.
Wantier bientôt écarté, Cotte et Bouzaabia menacés ?
14/02 20:18
La Pravda évoque l'avenir incertain des responsables du recrutement, du médical et de la préparation physique de l'ASSE. Extraits.
"David Wantier pourrait se voir destitué de ses prérogatives avant la fin du mois. L'idée de son éviction a même déjà été actée par ses dirigeants, soucieux de nommer son successeur avant la fin de la saison pour mieux préparer le prochain mercato estival, notamment dans le sens des sorties.
C'est Gérard Bonneau qui est aujourd'hui le favori pour prendre l'éventuelle relève de Wantier. Actuel responsable de la cellule de recrutement du Servette Genève, l'ancien recruteur emblématique de l'Olympique Lyonnais (65 ans) connaît bien Puel pour l'avoir côtoyé dans le Rhône.
Ciblés en raison de la cascade de blessures vécues par l'ASSE ces dernières semaines, le médecin Tarak Bouzaabia et le préparateur physique Thierry Cotte sont également dans le collimateur. Mais le premier est très apprécié des joueurs et les deux hommes sont surtout proches de Roland Romeyer, le président du directoire du club. Ce qui n'est pas forcément le cas de Wantier. Cela pourrait peser."