Nanard alarmiste

20/03 15:37
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Dans le dernier numéro du magazine Ecofoot, notre inénarrable Nanard évoque à nouveau les grosses difficultés financières des clubs de L1.

"Si l’État ne nous aide pas, le football français va exploser ! La crise du Covid-19 provoque un manque à gagner de 500 M€ concernant les recettes matchday et de 400 M€ pour la vente des joueurs. Les clubs devront mettre en place des modèles de salary cap."

Makhtar défie son petit frère

20/03 14:37
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Auteur de 12 buts cette saison dont 10 en L1 belge, l'ancien attaquant stéphanois Makhtar Gueye (Ostende) s'est confié au quotidien La Dernière Heure avant d'affronter ce soir son petit frère El Arfang (Mouscron).

"J’ai manqué le match aller à cause d’une suspension. C’est la première fois de ma vie que je risque de jouer contre mon petit frère. J’évoluais déjà en D1 sénégalaise quand El Arfang est parti passé un test à l’Olympique Lyonnais. Il n’était pas encore professionnel. Le jour où il est revenu à Dakar, c’était mon tour de rejoindre la France pour passer un essai au Havre. Il m’a prévenu qu’il faisait très froid dans l’Hexagone et cela me faisait rire. Je trouvais qu’il exagérait. Je n’avais plus le même discours en posant les pieds sur le sol français. Il y avait 40 degrés de différence avec le Sénégal. Je n’avais jamais connu cette sensation ! J’ai finalement signé à Saint-Etienne.

J’ai toujours empilé les buts dès mon plus jeune âge, notamment grâce à mon jeu de tête. Oliver Bierhoff était mon idole même si je ne l’ai jamais vu jouer. On m’appelait tout le temps comme ça. La Belgique m’a rapproché d’El Arfang. J’habite à Ostende mais je viens régulièrement surveiller le petit ! Dès qu’il s’est fait expulser contre Courtrai, il m’a appelé pour savoir si le carton rouge était mérité. Il y avait rouge 1000 fois ! (rires) Mais  cela  arrive et je lui ai dit d’oublier et de se concentrer sur les prochaines échéances. El Arfang est un jeune joueur et c’est normal qu’il éprouve des difficultés. Il doit apprendre et patienter comme je l’ai fait lors de mon passage à Saint-Étienne.

Je suis quelqu’un qui ne se prend pas la tête. Quand je suis arrivé chez les Verts, ils m’ont fait jouer avec les pros. Je marque directement et, le match suivant, je ne suis plus dans le groupe. Je n’ai rien demandé et j’ai continué à travailler. Ce qui m’importait, c’était ma relation avec Jean-Louis Gasset. Il était comme un papa pour moi. Il me parlait régulièrement et c’était cela le plus important. Au Sénégal, mes parents, mon grand frère et mes deux sœurs vont regarder mon match contre El Arfang. Mon père me dit sans cesse de tirer comme s’il avait été un attaquant alors qu’il évoluait au même poste qu’El Arfang ! (rires)"

Quand le Chaudron devient une passoire (3)

20/03 09:59
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L'ASSE n'a pris qu'un point par match à domicile cette saison (15 sur 45 possibles). Les protégés de Claude Puel ont déjà pris 25 pions à la maison cette saison. On aura noté que seul le Nîmes Olympique fait pire (29 buts encaissés). Ça tombe bien, le prochain match des Verts aura lieu aux Costières ! (le dimanche 4 avril à 17h05).

Maïga fan d'Anto

20/03 08:57
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Comptant actuellement 9 points d'avance sur les Verts avant d'accueillir aujourd'hui le Stade Rennais, le milieu de terrain des Grenats Habib Maïga s'est confié à Onze Mondial. Extraits.

"C'est à l’ASSE que j'ai découvert le monde professionnel en 2017. J'ai marqué mon premier but face au FC Metz, c’est le destin (rires) ! Je me suis un peu fait chambrer en arrivant en Lorraine ! Je leur ai dit : "Vous savez, au football, il n’y a pas d'état d’âme. Si c’était mon frère en face de moi, et que je dois lui rentrer dedans pour récupérer le ballon, je le ferai ! Après, on réglera ça dans le vestiaire. Sur le terrain, pas d'état d’âme."

Avec Oscar, ça se passait super bien ! Ensuite, Jean-Louis Gasset est arrivé dans un moment où le club était en difficulté. Il devait sauver l’équipe. Dès le départ, il a été clair avec moi. Je le remercie pour sa franchise et son honnêteté. J’ai montré de bonnes choses aux entraînements, mais il était dans une situation très difficile.

J’avais besoin de temps de jeu, j’étais un jeune joueur. C’est pour cela que je suis allé en Russie. À l’époque, c’était une belle opportunité de jouer une dizaine de matchs en quelques mois. Je n’ai pas hésité et je suis parti. Je me suis dit que, quoi qu’il arrive, ça me permettrait de grandir.

Dès la 35e minute de mon premier match en Russie, j’ai connu une blessure qui m’a éloigné des terrains pendant huit mois. Avec le recul, ça m’a servi mentalement. J’ai grandi. Désormais, je vois la vie autrement. Je ne regrette pas mon choix. C’est l’expérience la plus difficile de ma carrière. J’étais loin de ma famille, dans un pays où ça ne parle pas français. Je m’en suis sorti, c’est le principal !

Est-ce que je regrette de ne pas avoir plus joué avec l’ASSE ? Je me dis que c’est le destin. J’aurais bien aimé en faire plus, mais c’est la vie, le destin en a décidé autrement. Est-ce qu'à l’époque il existait des signes avant-coureurs de la situation actuelle chez les Verts, des tensions en interne ? Pas du tout ! Vu les joueurs qu’il y avait à l’époque, on ne pouvait pas imaginer cela.

On connaît tous l’importance du coach Frédéric Antonetti avec son exigence du haut niveau. Ça nous a apporté un plus. C’est un éternel insatisfait. Tu peux gagner 5-0 le dimanche, le lundi, c’est comme si on avait perdu. Ça nous permet d’aller chercher encore plus. Il n’a pas perdu sa voix malgré les années ! Son message était simple : il faut y croire. Il était persuadé de nos qualités. Il fallait désormais les exploiter au maximum par le travail. C’est ce qu’on a fait.

Frédéric Antonetti est un super entraîneur, il savait qu’on pouvait aller plus haut. Le groupe a rapidement adhéré à son propos. C’est lui qui m'a fait venir au FC Metz. À l’époque, j’avais d’autres choix. Mais la manière dont il m’a parlé, ça m’a touché. J’avais des possibilités pour rejoindre d’autres équipes, avec des conditions financières beaucoup plus intéressantes. Mais je suis allé à Metz grâce à lui.

Ce club est parfait pour continuer d’apprendre, aller plus haut. C’était un challenge très grisant. Le club m’a pris en 2018 alors que j’étais blessé. Il me restait encore trois mois de convalescence, mais ils m’ont fait confiance. J’aime le club, je me sens super bien ici. Je veux continuer l’aventure. Jusqu’en 2024, je suis grenat !"

Monaco ne réussit pas à Puel

20/03 08:22
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Comme le souligne aujourd'hui Nice-Matin, l'AS Monaco est l'équipe contre laquelle Claude Puel affiche le pourcentage de victoires le plus faible en Ligue 1 (25%, 7 succès en 27 confontations). Depuis qu'il a été nommé entraîneur de l'ASSE en octobre 2019, l'ancien milieu de terrain monégasque a concédé pas moins de 27 défaites toutes compétitions confondues dont 20 rien qu'en championnat.

Surclassés

20/03 07:54
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Souvent pris de vitesse hier lors de son 90e match sous le maillot vert, le capitaine stéphanois Mathieu Debuchy a livré sa réaction au Progrès.

"On a été surclassés par une très belle équipe de Monaco. On a essayé de donner le maximum, de se battre mais on était limités. On a vu la différence entre une équipe à la lutte pour la Ligue des Champions et une autre qui joue le maintien. Jusqu'ici, on avait réussi à faire des résultats face aux gros de L1 mais là, on n'a pas mis les ingrédients nécessaires, techniquement et tactiquement. On est passé à côté de notre sujet, il n'y a pas beaucoup de choses à retenir. On se doit d'avancer, travailler pendant la trêve et réagir dès notre prochain match à Nîmes."

Dépassés

19/03 23:51
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Dépassés dans tous les domaines (techniquement, physiquement, tactiquement mais aussi dans l'envie après le but du break), les Verts ont été corrigés 4-0 par Monaco ce soir à Geoffroy-Guichard.

Après avoir tiré sur la barre puis sur le poteau, Jovetic a concrétisé l'écrasante domination des visiteurs en trompant Stefan Bajic à la 13e minute de jeu. Inoffensifs, les Verts ont sombré après le but du break inscrit par Tchouaméni à la 55e. Diop a tué le match dix minutes plus tard et Diatta a corsé l'addition à l'entame du dernier quart d'heure.

Pas au niveau contre Monaco

19/03 23:32
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Claude Puel a commenté au micro de Canal Plus sa 23e défaite en 50 matches de L1 à la tête des Verts.

"C’est difficile. On ne boxe pas dans la même catégorie. Cette équipe de Monaco a mis beaucoup d’intensité dans le jeu que ce soit à travers le ballon et aussi physiquement. Il y a eu beaucoup d’intensité, de pressing. On a beaucoup couru dans le vide. Sur les ballons récupérés, on n’a pas su être juste et avoir des temps de jeu donc ça a permis à cette équipe monégasque de s’exprimer.

Notre première période était intéressante mais quand même pas suffisante car on ne tient pas assez le ballon. On l’a perdu après les phases de récupération et sous pression on n’a pas su être juste. On a perdu presque de suite des ballons et on n’a pas su enchaîner. On a eu pas mal de coups francs qu’on n’a pas su exploiter réellement or ça doit faire des occasions.

On a été en manque d’intensité et de qualité technique. Il y a beaucoup de matches cette saison où on a pu ressortir frustrés ou déçus car on avait fait vraiment de belles productions. Là tout simplement la marche était trop haute. On n’était pas au niveau ce soir. Il faut passer très vite à autre chose, même si on a quinze jours qu’il faudra meubler. Le plus important sera le prochain match à Nîmes, il faudra bien se concentrer dessus."

Zaydou, c'est dur

19/03 23:02
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Zaydou Youssouf a commenté au micro de Canal Plus la déroute de son équipe contre l'AS Monaco de son grand ami Aurélien Tchouaméni.

"C’est dur, c’est dur. C’est dommage car on avait fait un bon match contre Angers, on avait été solide et on avait ramené les trois points. Ce soir on a été surclassés. Il faut retourner au travail car le maintien n’est pas encore assuré, il nous manque des points. Il faut se remettre au boulot car sinon ça risque d’être dangereux pour nous."

Krasso perd contre Concarneau

19/03 22:07
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Remis de la blessure qui lui avait fait rater un déplacement à Sète le week-end dernier, Jean-Philippe Krasso a joué l'intégralité du match perdu ce soir à domicile par Le Mans contre Concarneau. A la demi-heure de jeu, il a raté une belle occasion d'ouvrir le score.

Du Bordeaux après le digeo

19/03 19:04
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La Ligue qu'on adule a calé le Sainté-Bordeaux de la 32e journée le dimanche 11 avril à 15h00. L'occasion pour Claude Puel de battre à nouveau ses deux prédécesseurs !

Gasset agacé

19/03 17:45

Le coach des Girondins, Jean-Louis Gasset, a laissé planer le doute sur son avenir sur le banc bordelais ce jour en conférence de presse :

"On m'avait annoncé un challenge difficile mais, en fin de compte, on m'a menti. C'est encore plus dur que ce que je croyais. J'ai connu des situations que je n'avais encore jamais rencontrées. C'est un tout, une ambiance générale. Il faut que tout le monde soit sur la même longueur d'onde. Là, on souffre. On a vécu un mois de février où on a souffert. Je veux d'abord bien finir la saison. Ensuite ? Il y aura une discussion avec les hauts responsables pour savoir ce que tout le monde veut faire."

Puel dans le top 5

19/03 08:32
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Si son équipe doit encore cravacher pour assurer son maintien, Claude Puel a un salaire mensuel de club européen, comme l'atteste le classement paru aujourd'hui dans la Pravda.

1. Pochettino : 940 000 €

2. Kovac : 400 000 €

3. Sampaoli : 300 000 €

4. Garcia : 280 000 €

5. Puel : 225 000 €

6. Galtier : 180 000 €

7. Genesio : 150 000 €

8. Gasset : 120 000 €

9. Kombouaré : 100 000 €

10. Laurey : 85 000 €

11. Antonetti : 80 000 €

12. Pélissier : 70 000 €

13. Der Zakarian, Dall'Oglio : 60 000 €

15. Guion, Moulin : 50 000 €

17. Ursea : 35 000 €

18. Haise : 27 000 €

19. Linarès : 21 500 €

20. Plancque : 7 500 €

Honorat pense avoir fait le bon choix

19/03 07:58
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Auteur de 8 buts et 5 passes décisives cette saison en L1 avec le Stade Brestois, Franck Honorat évoque son expérience stéphanoise dans Onze Mondial. Extraits.

"Je fais une préparation moyenne, je ne joues pas spécialement. Ghislain Printant ne me prend pas dans le groupe au premier match, je joues en CFA et je me fais une fracture de la mâchoire avec commotion cérébrale. Du coup je suis arrêté environ un mois en raison du protocole. Je reviens et 2-3 semaines après je prends un coup à la cheville. On me recoud, je m’entraine et je continue d’avoir super mal. Un matin je me réveille je n’arrive pas à poser le pied par terre. En fait l’os s’était infecté, j’ai dû prendre des comprimés. Puis quand je reviens, Saint-Etienne a changé de coach et je retrouve Puel ! C'est Jean-Louis Gasset qui m'a fait signer à l'ASSE. Je l’avais rencontré à Saint-Etienne. Je l’ai revu cette saison avec Brest contre Bordeaux, il m’a dit "oh je fais signer un joueur et je ne l’ai même pas vu" (rires).

Je me dis qu’au pire des cas, avec un changement de coach tout repart à zéro. J’ai commencé à faire de bons entrainements, à être mieux physiquement même si c’était dur car je m’entraînais pendant des mois et les veilles de match je faisais l’échauffement puis avec 2-3 joueurs on partait sur le côté faire du physique pendant que les autres faisaient de la mise en place. On faisait des frappes avec le 3ème ou 4ème gardien et je revenais le dimanche avec d’autres joueurs s’entraîner. J’étais un peu à la cave quoi. Puis il y a dû avoir un blessé et j’ai été dans le groupe. Mon premier match face à Nantes je joue piston, pas du tout mon poste donc, je n’y avais presque jamais joué de toute ma vie. J’ai fait un bon match et j’ai enchainé presque tous les matchs jusqu’au confinement.

J’étais content de retrouver Claude Puel, c’est lui qui m’avait fait signer pro, m’avait donné ma chance et je l’en remercie. Il m’a permis de me faire voir, mais vu comment la saison s’est terminée, je suis parti. En interne et niveau football je n’étais plus heureux, je ne prenais plus de plaisir. Je savais que j’allais avoir moins de temps de jeu, que ce serait plus compliqué pour moi, et vu la tournure que prenaient les choses à Saint-Etienne… On l’a vu depuis deux ans avec ces changements de coach, depuis le départ de Jean-Louis Gasset, c’est parti un peu en cacahuète. Personnellement je pense que j’ai fait le bon choix. Ici je suis épanoui, je suis heureux. Je fais la meilleure saison de ma carrière pour le moment. je marque, je fais des passes dé, je prends du plaisir aux entraînements, c’est familial, c’est chaleureux. Tout est réuni pour que je continue à m’épanouir, et à continuer sur ma lancée. Si j’étais resté à Saint-Etienne, je ne pense pas que j’aurais fait une saison comme celle-ci à Brest.

Le climat actuel à Saint-Etienne empêche les joueurs de s’élever ? Ouais, tout ce qu’il se passe en interne, ces changements… Et puis je ne jouais pas mon poste. Ici je suis arrivé, j’ai appris à jouer à l’intérieur du jeu, ce que je n’arrivais pas trop à faire auparavant. Je restais plus sur le côté et j’accélérais tout droit. Maintenant je sais alterner, j’ai ma vitesse qu’il ne faut pas que je perde mais j’arrive aussi à rester à l’intérieur et marquer des buts. A Saint-Etienne, je jouais piston. Je ne pouvais pas jouer piston et montrer mes qualités. On me demandait de défendre et d’attaquer comme un fou, c’est impossible de tenir un match comme ça.

Les critiques concernant le discours de Claude Puel ? Je comprends que ça puisse être compliqué car j’ai été à l’intérieur du vestiaire. Quand on arrive et qu’on essaye de tout changer, ça fait une vague qui bouleverse tous les joueurs, tout ce qu’il se passe en interne. Je pense et je l’ai déjà dit, que Puel est venu, et qu’il essaye de changer des choses, les faire à sa manière, mais ce n’est pas en un claquement de doigts que tout va changer. Je pense que tout ce qu’il est en train de faire et ce qu’il veut mettre en place, ça ne se verra pas avant deux ans. On l’a vu à Nice, mais ça a marché parce qu’il était là depuis longtemps et qu’on avait un vrai bon centre de formation, de vrais bons joueurs, et la façon dont il met en valeur les jeunes, leur fait confiance, il faut du temps. Chaque coach a sa manière de bosser.

La méthode de Pascal Gastien à Clermont me convenait vraiment. Il était plus dans le côté humain, il parlait vraiment avec ses joueurs. Il te criait dessus, mais derrière t’expliquait ce qui n’allait pas. Il y avait aussi de la déconnade, de la bonne ambiance… C’était cool, on prenait du plaisir. Quand je suis repassé à Puel, je me suis dit que ce n’était pas cette méthode qui me convenait. C’est pour ça que j’ai décidé de partir. Ici à Brest c’est un coach qui me fait confiance, j’ai besoin de ce côté humain, de voir qu’on me fait confiance. Mais partout où on passe, on apprend. Même si dans certains endroits ça se passe moins bien, on apprend de chaque entraîneur, chaque entraînement. J’ai appris partout."

Des prêts vraiment payants

19/03 07:43
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Selon la dernière édition de la Pravda, c'est grâce au système du prêt payant que l'ASSE a pu attirer ses deux recrues du dernier mercato hivernal. Extraits.

"À 25 000 € brut par mois, Pape Abou Cissé n'est vraiment pas cher. Seule son option d'achat (non obligatoire) - 13 M€ au sortir de ses cinq mois de prêt dans le Forez - l'est. Elle est plus en adéquation avec son statut de joueur de Ligue des champions et ses émoluments en Grèce : Cissé touche un salaire brut mensuel de 75 000 € (hors bonus) à l'Olympiakos avec lequel il reste sous contrat jusqu'en 2024.

L'ASSE a accepté de prendre entièrement à sa charge son salaire. Pour y parvenir, les dirigeants stéphanois ont utilisé l'artifice du prêt payant. Ce système, parfaitement légal, permet au club "acheteur" de payer directement une partie du salaire au club "prêteur". Cela évite à l'ASSE de devoir s'acquitter de lourdes charges sociales et patronales tous les mois et surtout, d'en payer beaucoup moins. La fiscalité se révèle nettement plus avantageuse en Grèce qu'en France.

Ce complément de salaire s'effectue sous la forme d'une indemnité compensatoire versée à l'Olympiakos. Mais le prêt payant de Cissé comprend également un dédommagement payé par l'ASSE. Au total, c'est-à-dire entre son salaire et son prêt payant, Cissé coûtera ainsi 675 000 € sur cinq mois aux Verts. Soit 135 000 € brut mensuels, dont 75 000 € de salaire. Le reste s'apparentant à des frais de "location "du joueur.

Contrairement à l'Olympiakos, Cologne a accepté de garder une partie du salaire d'Anthony Modeste à sa charge : 125 000 € de ses 315 000 € brut par mois. Pour être en capacité d'assurer le paiement des 190 000 € restants, l'ASSE a, une fois encore, eu recours au système du prêt payant.

Sur sa fiche de paie stéphanoise, l'attaquant émargera seulement à 30 000 € brut par mois. Mais deux paiements à Cologne de 400 000 € lui permettront de continuer à percevoir l'intégralité de son salaire. Au total, le Martiniquais coûtera donc 950 000 € sur cinq mois aux Verts. Soit bien 190 000 € de salaire brut mensuels."

Que les gros salaires lèvent le doigt !

19/03 07:28
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La Pravda du jour publie le top 10 des plus gros salaires des joueurs stéphanois :

1. Khazri : 290 000 €

2. Boudebouz : 200 000 €

3. Modeste : 190 000 €

4. Debuchy : 130 000 €

5. Moukoudi : 120 000 €

6. Kolodziejczak : 110 000 €

7. Bouanga et Gabriel Silva : 90 000 €

9. Trauco : 85 000 €

10. Aouchiche, Retsos, Youssouf : 80 000 €

Le quotidien sportif ajoute que le salaire moyen mensuel brut des joueur stéphanois est de 65 000 €.

L'ASM presque au complet

18/03 20:08

Alors que l'ASSE risque d'être une nouvelle fois diminuée par le covid, l'AS Monaco de Niko Kovac se présente presque au complet à Geoffroy-Guichard. Suspendu contre Lille, Krepin Diatta est de retour. Seuls Pellegri, Gelson Martins et Geubbels sont toujours blessés.

Le groupe : Lecomte, Mannone - Aguilar, Badiashile, Ballo-Touré, Caio Henrique, Disasi, Maripan, Matsima, Sidibé - Diatta, Diop, Fabregas, Fofana, Golovine, Matazo, Millot, Tchouaméni - Ben Yedder, Jovetic, Volland.

Un groupe élargi pour contrer le Rocher

18/03 20:04

Alors que l'insider Mohamed Toubache annonce que 3 joueurs stéphanois sont touchés par le covid et incertains pour le match vendredi contre Monaco, Claude Puel a décidé de convoquer un groupe élargi de 24 joueurs, notamment côté gardiens. On notera les absences de Panos Retsos et de Romain Hamouma et les retours de Mathieu Debuchy, Harold Moukoudi, Lucas Gourna et Yvan Neyou.

Gardiens de but

1. Stefan BAJIC; 30. Jessy MOULIN; 40. Étienne GREEN; 40. Boubacar FALL. 

Défenseurs

2. Harold MOUKOUDI; 5. Timothée KOLODZIEJCZAK; 6. Pape Abou CISSÉ; 13. Miguel TRAUCO; 26. Mathieu DEBUCHY; Saïdou SOW.

Milieux de terrain

7. Ryad BOUDEBOUZ; 8. Mahdi CAMARA; 17. Adil AOUCHICHE; 19. Yvan NEYOU; 28. Zaydou YOUSSOUF; Lucas GOURNA; Aïmen MOUEFFEK. 

Attaquants

9. Charles ABI; 10. Wahbi KHAZRI; 14. Anthony MODESTE; 18. Arnaud NORDIN; 20. Denis BOUANGA; 22. Kévin MONNET-PAQUET; Maxence RIVERA. 

Dieu rentre à la maison

18/03 18:56

Huit mois après son dernier match en Vert au Stade de France, Loïc Perrin est de retour à l'ASSE "pour de nouvelles missions" précise sans précision le club. Selon le communiqué officiel :

"Loïc Perrin apportera ainsi son expertise à toutes les composantes du club. Celui qui n’a porté qu’une seule couleur durant toute sa carrière (470 matches, 30 buts) représentera en outre l’ASSE dans des opérations de relations publiques avec ses partenaires et supporters. Par ailleurs, il animera des actions pédagogiques auprès des jeunes joueurs issus du centre de formation."

Il a livré son sentiment au site off :

"L’ASSE a déjà représenté 23 années de ma vie. Je suis très attaché à ce club et à Saint-Étienne. J’en partage les valeurs depuis toujours et j’ai envie de les transmettre du mieux possible. En tant que joueur, j’aimais déjà le contact avec les supporters, les partenaires et les salariés du club. J’ai envie de renforcer ce lien car le club n’est rien sans cet environnement. Il est important de faire vivre cette identité populaire, l’une de spécificités de l’ASSE. Je suis très fier de participer à la mise en œuvre d’actions qui serviront le club."

KTC préfère Zagreb à Sainté

18/03 15:53

Parti en Croatie à l'été 2018 après 4 saisons dans le Forez, Kévin Théophile-Catherine s'éclate avec le Dinamo Zagreb. Le défenseur affronte Tottenham en 8e de finale d'Europa League et il est revenu pour la Pravda sur son adaptation à un nouveau pays :

"Difficile de quitter la France ? Non parce que quand on connaît la Croatie au niveau touristique, il y a plein de choses, on peut aller dans plein d'endroits. C'était plus "on y va" que "on reste à Saint-Etienne"

"Mon départ s'est fait rapidement. J'étais en fin de contrat avec Saint-Etienne. J'ai reçu un appel du Dinamo vers janvier-février. Il y avait un de mes ex-coéquipiers qui jouait déjà au club, Tongo Doumbia, que j'ai connu au Stade Rennais. Je lui ai demandé comment se passait ses journées, comment était la vie, la ville ... Je connaissais aussi quelqu'un du staff, Marko Maric qui était à Lille et qui est maintenant à la retraite. C'était plus facile pour avoir des infos. Tout ce qu'il m'a dit était positif donc à mon arrivée, c'était top."

Le rocher ne s'effrite plus

18/03 10:42

Longtemps accusée d'être un obstacle à des ambitions de podium, la défense du club princier s'est nettement améliorée.
Monaco reste ainsi sur 4 clean sheets en 5 rencontres de championnat, dont deux chocs contre le QSG et Lille.
En conférence de presse l'international espoir Benoît Badiashile explique : "On a appris de nos erreurs. On a un staff qui nous aide beaucoup pour nous améliorer. Au fil du temps, nous gommons certaines choses. On s’améliore et cela se ressent sur les derniers matchs. Nous avons beaucoup de séances vidéo pour voir nos erreurs. Le coach nous donne un maximum de consignes, c’est pour notre bien."
Sur les cinq matchs précédents, l'équipe avait encaissé 8 pions. On compte sur la forme retrouvée de Khazri pour remettre en cause cette spectaculaire progression.

Kovac évoque une grosse bataille

18/03 06:46
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L'entraîneur monégasque Niko Kovac a évoqué hier en conférence de presse le gros combat que va devoir livrer son équipe demain soir à Geoffroy-Guichard. Extraits.

"Personne ne s’attendait à la défaite du PSG face à Nantes. On connaît le football, il se passe parfois des choses surprenantes, la Ligue 1 est une compétition relevée. On s’attend à une grosse bataille ce week-end à Saint-Etienne. Donc ce n’est pas gagné d’avance, on verra selon le résultat. Si nous gagnons, ce sera effectivement un moyen de mettre la pression sur les équipes du top 3.

Quand vous jouez aujourd’hui contre des équipes du bas de classement, ce n’est vraiment pas facile en deuxième partie de saison, car elles ont besoin de points pour se sauver. La Ligue 1 est un championnat très difficile, je le répète. Il ne suffit pas de dire on se déplace et on prend les trois points. Nous avons été très compétitifs contre les tops équipes depuis janvier, mais il faut aussi se battre avec d’autres équipes qui ont des objectifs différents. Il y a aussi Lens, Rennes, Angers, Saint-Etienne, qui sont des équipes très compliquées à jouer."

Tout est devenu flou

18/03 00:23
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Entraîneur des Amazones, Jérôme Bonnet déplore dans la dernière édition du Progrès la supension du championnat de D2. Extraits.

"L’annonce de la reprise avait redynamisé le groupe, remis du baume au cœur aux filles et on s’est retrouvé avec une décision incohérente. Je ne comprends pas que la D1 puisse continuer. Pendant que nous, on est à l’arrêt, eux, à la fin ils établiront un classement. Qu’adviendra-t-il du dernier et de l’avant-dernier ? Si nous, on s’arrête, je ne comprendrais pas que deux clubs de D1 ne descendent pas. Ce serait injuste et ça créerait encore plus de frustratio.

Cela fait cinq mois qu’on a arrêté et durant les cinq mois, on n’a jamais eu de communication claire de la part de la FFF. C'est important de communiquer aux clubs les différentes solutions et surtout un échéancier. J’aimerais qu’on nous dise : si à partir de telle date on n’a pas pu reprendre, on proclamera une saison blanche ou, pour la D2 on se laisse jusqu’à telle date… Là, la communication que l’on a, c’est par les réseaux sociaux. C’est dommageable et ça entretient le flou."

Dans le même quotidien, la capitaine stéphanoise Charlotte Gauvin tient le même discours.

"On est dans la frustration, l’incompréhension. Comme on l’a dit dans la lettre qu’on a écrite lors de la journée internationale des droits des femmes, on ressent un écart entre nos homologues masculins et nous-mêmes. Ici, on a des internationales qui sont là pour jouer au foot, pour faire leur métier et elles ne peuvent pas. On a aussi des filles qui viennent de toute la France, dont c’est le métier et elles ne peuvent pas l’exercer aujourd’hui. Il y a également une inégalité avec d’autres sport comme le handball ou le basket où ça joue en D2 féminine alors qu’on est sur des sports de salle."

Neyou, faux départ ?

17/03 15:49

En conférence de presse Claude Puel a fait le point sur l'effectif à sa disposition. S'il ne s'est pas engagé sur la présence vendredi soir contre Monaco (21h) des blessés ("On fera le point avec Neyou, Gourna et Moukoudi"), il a confirmé qu'Hamouma était encore forfait et que Debuchy, suspendu contre Angers, serait là.
Il a par ailleurs évoqué les convocation de nos internationaux et informé qu'ils ne seraient pas libérés par le club si une période d'isolement leur est imposée à leur retour. Cela concerne notamment Neyou qui vient de dire oui au Cameroun mais également Moukoudi (Cameroun), Cissé (Sénégal), Bouanga (Gabon), Khazri (Tunisie) et Sow (Guinée).

Monaco à l'extérieur, c'est tout ou rien !

17/03 08:17
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Alors que toutes les autres équipes de l'élite ont fait au moins deux matches nuls à l'extérieur cette saison (trois pour l'ASSE et six pour les vilains et les pailladins), Monaco n'a jamais partagé les points hors de ses bases. Hors de la Principauté, l'équipe de Ruben Aguilar a gagné 8 fois (à Metz, Nice, Dijon, Lorient, Montpellier, Nantes, Nîmes et Paris) mais concédé 6 défaites (à Rennes, Brest, Lyon, Lille, Marseille, Strasbourg). Gageons que la 7e est pour ce vendredi !

Pas de désespoir chez Youssouf

17/03 07:49
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A l'instar d'Arnaud Nordin, Zaydou Youssouf n'a pas été sélectionné pour l'Euro Espoirs alors qu'il avait joué lors des éliminatoires contre la Géorgie le 15 novembre 2015 (victoire 3-2) et contre la Suisse le 19 novembre 2019 (défaite 3-1).

Le numéro 28 de l'ASSE, qui s'attendait à ne pas être du voyage en Hongrie, s'est brièvement commenté au Progrès. "Je respecte ce choix. Je suis conscient que je ne fais pas une super saison, il y a des hauts et des bas. Je n’ai pas su retrouver le niveau que j’ai pu avoir. Il n’y a pas de déception. Les joueurs dans la liste le méritent, ils font une saison au top niveau."

Avec nos internationaux contre Monaco ?

17/03 07:35
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Absents à Angers, nos Lions Indomptables et notre matru surclassé en équipe de France U19 devraient faire leur retour à l'occasion de la réception de Monaco (après-demain à 21h00) selon la dernière édition du Progrès.

"Yvan Neyou a effectué l'intégralite de la séance d'entraînement de mardi matin. Harold Moukoudi et Lucas Gourna ont eux intégré le groupe pour le dernier exercice. Romain Hamouma, qui poursuit son travail individuel, pourrait être encore un peu juste."

Moukoudi et Neyou sélectionnés contre Kenny et Vagner

17/03 00:21
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Pré-sélectionné il y a six mois pour affronter le Japon avec les Lions Indomptables, Yvan Neyou avait jugé prématuré le fait de rejoindre la sléection. C'est donc sans lui que son coéquipier stéphanois Harold Moukoudi avait tenu en échec les Nippons.

Se sentant prêt désormais à faire ses débuts internationaux, le milieu de terrain a cette fois répondu favorablement à l'appel de son sélectionneur.

Pré-sélectionnés il y a deux semaines, les numéros 2 et 19 font partie des 25 joueurs retenus ce mardi pour va affronter le Cap Vert de Kenny et Vagner (le 26 mars à Praia) et le Rwanda (le 30 Mars à Douala) lors des élimnatoires de la CAN 2022.

En conférence de presse, Antonio Conceiçao a dommenté la présence d'Yvan Neyou.

"Il est vrai que par rapport à la dernière convocation, on avait inclus le nom d'Yvan Neyou dans une pré-liste. Par la suite j'ai contacté personnellement Yvan. Il nous a dit à l'époque que ce n'était pas la meilleure période, qu'il avait besoin de s'affirmer en club avant de pouvoir penser à la sélection. Il m'avait dit qu'il ne se sentait pas dans les meilleures dispositions pour venir représenter les Lions. J'ai respecté et accepté le choix du joueur. On l'a de nouveau inscrit sur la pré-liste pour les deux prochains matches. J'ai reçu un message de la part du joueur Neyou : "coach, après avoir mûrement réfléchi, vous pouvez compter sur moi dans le futur si vous décidez de me convoquer."

Gourna surclassé en équipe de France U19

16/03 22:37
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Comme l'a révélé ce soir le compte twitter Futurcrack, Lucas Gourna-Douath fait partie des 3 joueurs 2003 (avec le défenseur parisien Jaouen Hajdam et le vilain Rayan Cherki) surclassés en équipe de France U19, qui se rassemblera du 22 mars au 28 mars 2021. Apparu à 24 reprises cette saison de L1 dont 10 fois en tant que titulaire, le milieu de terrain stéphanois était capitaine de l'équipe de France U18 en octobre dernier contre Valenciennes. Pour rappel, le numéro 33 de l'ASSE avait également porté le brassard avec les U16 et les U17.

Trois Verts chez les U20

16/03 18:42

Le sélectionneur U20 de l'Equipe de France, Jean-Luc Vannuchi, a retenu trois Stéphanois pour le stage du 23 au 28 mars à Clairefontaine. Ils affronteront Le Havre le 27 mars à 14h30. Parmi les sélectionnés on retrouve Stefan Bajic, Aïmen Moueffek et Adil Aouchiche. 

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