
Bodmer était en guerre
11/03 07:55

So Foot a publié hier une longue et belle interview de l'ancien milieu de terrain stéphanois Mathieu Bodmer. Extraits.
"Sans public, ce n'est plus du foot. Pour les arbitres, les joueurs, les dirigeants, les téléspectateurs... pour personne. On se disait : « Il n’y a pas de monde au stade, il y en aura plus devant la TV. » Faux. Ce matin, je regardais le reportage Netflix sur Pelé par exemple. Je vois le Maracanã, 200 000 personnes, je me dis : « Ah ouais il y avait du monde dans le stade. » Les journalistes qui entrent sur le terrain, les mecs qui se font la bise, qui s’enlacent, tu oublies même que tu as connu ça. Je suis fan de NBA. Les Lakers ont gagné le titre, le premier après le décès de Kobe Bryant. Il aurait dû y avoir une fête. Là, ils ont gagné devant les écrans.
Toute ma vie, j’ai regardé la remise des trophées. Là, je n'ai pas regardé. Ça n’avait pas d’intérêt, il n'y avait pas de partage avec les supporters, l’émotion, le discours. J’ai regardé une vidéo de Gambardella il y a quelques jours, un Saint-Étienne-Lyon, il y a quelques années, il y avait 3000-4000 personnes à l’Étrat pour un match de jeunes. Mes deux fils de 17 et 15 ans sont en centre de formation. Quand l’aîné joue, on ne peut pas aller le voir. C’est à huis clos. Je ne l’ai pas vu jouer depuis 6 mois. Je le vois toutes les semaines, car c’est filmé. Mais j’ai envie de retourner au stade, de prendre le vent et la pluie dans la tête, de voir des gens.
Outre mon rôle dans l'associatif, j'ai été président du club d’Évreux. C’était compliqué. J’ai pris le poste quand j’avais 28 ans. C'est pour ça qu’en 2013, j’ai arrêté quand je suis parti à Saint-Étienne. Ça demandait trop d’énergie. J’ai dû gérer tout. Du minibus pas à l’heure le vendredi aux packs d’eau pas là le samedi, au coach qui ne vient pas, à la licence pas payée, au trou dans les caisses de dizaines de milliers d’euros à combler rapidement, aux prud’hommes avec certains employés. Vingt minutes avant un match de Paris ou de Lyon, ça m'est déjà arrivé d'être dans le vestiaire et de devoir régler un problème de minibus à Évreux. Je n'ai jamais fait de burn-out, je n’ai pas besoin de faire ça. (rires) Parfois j’étais fatigué, c’est tout."
Moi but avec le PSG contre l'OL à Gerland ? J’étais en guerre avec le club à propos de mon départ. J’avais fait la grève. J’avais laissé ma voiture à Lyon, j’étais monté dans un train et j’avais dit à Puel : « Je monte à Paris. Trouvez une solution. Je ne reviendrai pas. » C’était parce que c’était Paris. Parce que je jouais derrière. Il me restait un an de contrat, fallait que je parte et c’était Paris. Ce jour-là, ils sifflent l’équipe. S’ils perdent, Claude Puel est limogé. C’était compliqué pour eux. Je suis en guerre avec lui, donc je traverse le terrain pour aller le voir. C’est un ensemble de choses. On en a reparlé, on s’est arrangé. Je ne suis pas rancunier.
La réaction, je n’y ai pas pensé. Ça sort tout seul. C’est plein de choses enfouies en moi. Quand tu rentres aux vestiaires, tu te dis : « Ah ouais, je suis parti loin quand même. » L’année dernière avec Amiens, contre l’OL, j’ai marqué et j’ai fait une célébration comme si j’avais 20 ans. Tu me demandes pourquoi, je ne sais pas. Je n'ai rien contre Lyon. J’étais remplaçant, j’étais fâché peut-être. Sur les buts comme ça, comme beaucoup de joueurs de foot, quand tu es au stade, tu perds ton cerveau."
Trop Pauly pour être honnête ? (9)
11/03 07:31

Souhaitant reprendre l'ASSE aux côtés de Jacques Pauly, Laurent Roussey s'exprime dans Le Progrès du jour.
"J'ai connu Jacques lors de mon intronisation au FC Rouen en 1995. Il pouvait être l’un de ceux qui pouvaient sauver le club à ce moment-là. Quand le club a déposé le bilan, je l’ai contacté et depuis on ne s’est plus quitté. La première tentative pour reprendrel l'ASSE remonte à 2009/2010. Jacques démontre qu’il est accrocheur. Il n’a pas envie de se laisser faire. Dans notre relation, je suis l’homme football. Jacques Pauly n’abdique pas. Il ne laissera pas tomber l’affaire. Notre ambition est de redonner vie à ce club. Je veux refaire de l’ASSE ce qu’elle était quand j’ai débuté : vice-championne d’Europe.
Je suis d’autant plus dans la peine que j’ai travaillé cinq ans avec Claude à Lille. On avait eu des résultats extraordinaires puisqu’on était arrivé jusqu’en Champion’s League. Claude a son caractère mais on ne peut pas dénier sa connaissance du football, son investissement, sa réflexion sur son sport. Quelque part, je pense qu’il est victime de ce que représente l’ASSE en 2021, à savoir un club qui a très peu de moyens, ou en tout cas qui a réalisé des investissements qui n’amènent pas une grosse sérénité financière. L’ASSE aujourd’hui, c’est un ensemble qui fait peine à voir. On a pourtant le meilleur public de France. Geoffroy-Guichard doit se remettre à vibrer."
Moueffek va-t-il jouer la prolongation ?
10/03 23:29

Lié actuellement avec les Verts jusqu'en juin 2022 et courtisé par de nombreux clubs européens, Aïmen Moueffek s'est vu proposer une prolongation de son contrat jusqu'en 2025 selon Mohamed Toubache-Ter.
"Lors du match face à la réserve, il a mangé ses adversaires. Il défend, il attaque, il bosse dans son coin, il dépanne même au poste d’arrière droit. Saint-Étienne lui propose de prolonger son contrat de 3 ans. En ce qui concerne Romain Hamouma, le club a promis de faire une proposition, qui n’arrive toujours pas."
L'ASSE a bouffé du Lions (2)
10/03 19:08

Sur France Bleu, Bernard Lions a réagi ce soir suite au communiqué publié cet après-midi par l'ASSE à son encontre.
"Je m'étonne que l'ASSE ait communiqué 6 jours après la sortie de mon livre, ça fait beaucoup. Ils ont eu largement le temps de le lire et de le relire. Je m'étonne fortement que le communiqué tombe juste après la conférence de presse de Jacques Pauly et de Laurent Roussey. Je trouve cet amalgame nauséabond et déplacé. Le procédé est intellectuellement malhonnête car ça laisse entendre qu'il y a un complot général visant à déstabiliser l'ASSE. Si l'ASSE lutte pour sa survie, le club n'a qu'à s'en prendre qu'à lui-même. Je ne vois pas ce que j'ai à faire avec Pauly et Roussey. C'est essayer de dire qu'il y a une cinquième colonne, des forces obscures visant à déstabiliser le club. Si la seule excuse qu'ils ont trouvée pour répondre à la sortie de mon livre, c'est de faire cet amalgame-là...
Franchement, ce n'est pas très classe et pas digne d'un club comme l'ASSE. Je veux bien comprendre qu'ils ne soient pas contents mais il ne faut pas raconter tout et n'importe quoi et faire des associations d'idées que je trouve dangereuses. Saint-Etienne a l'habitude des alliances, des copinages, des réseaux. En étant pro l'un, on est anti-l'autre. Moi je suis journaliste à L'Equipe, je fais mon métier le plus honnêtement possible et je n'ai jamais roulé pour personne. Pas plus pour Romeyer ou Caïazzo que pour Pauly et Roussey. Essayer d'infuser ça dans la tête des gens, c'est malhonnête et totalement infondé. Franchement, c'est un coup bas."
Trop Pauly pour être honnête ? (8)
10/03 18:28

Comme le rapporte But !, Jacques Pauly est intervenu aujourd'hui en conférence de presse entouré de Laurent Roussey et Philippe Miozzo à l'hôtel Ibis La Terrasse de Saint-Etienne.
Jacques Pauly : "Nous sommes preneurs, pas acheteurs. Je ne vais pas acheter l'ASSE alors que j'ai déjà versé 400 M€ pour en acheter des parts en 2009. On va voir comment on peut récupérer le club. On m'avait dit que j'avais remis des faux mais la validité des documents m'avait ensuite été confirmée au Luxembourg et à Londres. Des personnes sont intervenues pour empêcher les investissements et tout est tombé à l'eau. Mais les actifs de X3 à la cotation aujourd'hui, c'est 69 Milliards. J'ai gagné la confiance de gens très puissants. On a les moyens. Je suis très motivé pour récupérer mes 400 M€."
Philippe Miozzo : "En tant que directeur général de X3 France, nous sommes là pour développer notre projet de reprise du club, un club qui m'est cher puisque je suis supporter. Certains avaient dit il y a deux ans que nous étions le Cirque Pinder [ndp2 : Nanard sur France Bleu le 31 mai 2018], mais on voit bien aujourd'hui, malheureusement, que le Cirque Pinder est à l'intérieur du club. Il est grand temps que les choses changent, que des gens sérieux reprennent l'ASSE. Ce n'est pas nous qui prendrons des dividendes. L'ASSE, c'est le club idéal pour nous permettre de nous développer, pour développer le protocole X3, avec tous ses supporters. Il faut que le supporter se sente aussi important individuellement que le club l'est pour lui."
Laurent Roussey : "X3 France est une association à but non lucratif. Le but ne sera donc pas de faire du fric. On a des idées différentes. Notre argent, ce sera uniquement pour faire rayonner à nouveau l'ASSE. L'ASSE, c'est ma seconde famille. Je réside toujours ici, à La Tour-en-Jarez, entre Geoffroy-Guichard et L'Etrat. J'ai été joueur, j'ai fait partie de la dernière équipe championne de France, avant la caisse noire. Ensuite, comme entraîneur, j'ai eu un certain succès puisqu'on avait ramené l'ASSE en Coupe d'Europe après 26 ans d'absence. Mais il s'était passé beaucoup de choses sur la fin, ça a été une blessure pour moi. Aujourd'hui, Jacques Pauly, dont je suis les travaux depuis 25 ans, dispose de grandes capacités financières. On peut permettre à Saint-Etienne de retrouver la lumière, de briller à nouveau au plus haut niveau européen. Ça peut paraître prétentieux mais ce n'est pas utopique. On peut rendre à l'ASSE tout son prestige."
L'ASSE a réagi sur son site officiel.
"L’AS Saint-Etienne déplore des tentatives de déstabilisation qui se succèdent au moment précis où le club est confronté à des enjeux économiques et sportifs majeurs. Ainsi, Jacques Pauly et Laurent Roussey se sont lancés dans une nouvelle démarche nuisible et malveillante en convoquant, aujourd’hui mercredi, des médias à une conférence de presse destinée à entretenir l’illusion d’un projet de reprise pharaonique. Cette conférence de presse abracadabrantesque survient juste après la publication du livre de Bernard Lions, jalonné de raisonnements aussi fallacieux que ceux du très mystérieux repreneur."
L'ASSE a bouffé du Lions
10/03 17:54

L'ASSE a publié cet après-midi un communiqué suite à la parution du dernier bouquin de Bernard Lions.
"Sous un titre peu reluisant - voire même scabreux - « Derrière la porte verte », le journaliste du quotidien L’Équipe a, lui, écrit un manuscrit prétendant dévoiler les histoires secrètes de l’ASSE des vingt dernières années.
Le livre relève en réalité d’un genre littéraire, le roman, qui n’a rien d’une enquête journalistique. À travers des contrevérités, des inexactitudes, des approximations ou de fausses révélations parfois injurieuses ou diffamantes, l’auteur laisse entendre qu’il est en mesure de dévoiler, aux lecteurs, des informations secrètes sur la vie du club.
L’ouvrage de Bernard Lions est construit sur du sensationnalisme. La mise en scène sous forme de dialogues est une supercherie visant à rendre le récit plus vrai alors que l’auteur n’a assisté à aucun des pseudos faits et/ou échanges racontés. L’auteur prête des propos à des personnes qui n’ont pas été interrogées. Le recoupement d’informations, brandi comme un étendard, est donc une affirmation sans fondement.
Plus grave, l’auteur s’autorise à remettre en cause le travail de collaborateurs de l’ASSE qui ont toujours fait preuve de compétence et d’honnêteté dans l’exercice de leurs missions. Le club apporte bien évidemment son soutien à tous les salariés injustement exposés.
Car la prétendue volonté de relater des faits laisse place à une fiction dont le seul but est de porter atteinte à l’image et à l’honneur du club mais aussi à tous ceux – dirigeants, entraîneurs, joueurs ou collaborateurs - qui en ont défendu ou en défendent encore les valeurs.
Si l’ASSE se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires appropriées, ces tentatives de déstabilisation confortent toutes les composantes du club dans leur volonté d’en assurer sa pérennité."
Bouanga avec les Panthères contre les Léopards et les Antilopes Noires
10/03 15:40

A l'instar de Pierre-Emerick Aubameyang et Kévin Mayi, Denis Bouanga fait partie des 24 Gabonais retnus pour affronter les sélections de République Démocratique du Congo (le 25 mars) et de l'Angola (le 29 mars) lors des éliminatoires de la CAN.
Et Anto vira Caïazzo
10/03 13:36

"Derrière la porte verte" n’est pas qu’un célèbre film porno. C’est aussi le titre d'un bouquin de Bernard Lions paru jeudi dernier aux éditions Solar, qui raconte le jour où Anto a viré du vestiaire de GG l'inénarrable Nanard.
"Le 31 janvier 2004, l’ASSE a fini par venir à bout de Créteil (3-2). Au coup de sifflet final, Caïazzo passe féliciter les joueurs dans le vestiaire, accompagné de Michel Thiollière, sénateur-maire de la ville. Caïazzo livre à Antonetti son analyse du match, insiste sur la piètre prestation générale de l’équipe et critique certains joueurs, dont Mickaël Dogbé, remplacé à la mi-temps par Gomis.
Antonetti ne supporte pas les critiques du nouveau dirigeant dans son vestiaire où les joueurs peuvent l’entendre. Fou de rage, il aboie à la face de Caïazzo, devant un maire aussi médusé que gêné : « Oh, vous vous prenez pour qui ? Je suis le seul à pouvoir critiquer mes joueurs ! Vous vous prenez pour qui ? Vous connaissez le football, vous ? Sortez de mon vestiaire ! »
Caïazzo et Thiollière s’exécutent piteusement. Seul avec ses joueurs, Antonetti se calme. (Sur)réagir ainsi illustre son tempérament. C’est sa façon de montrer que, quoi qu’il arrive, il restera toujours de leur côté. Mais il va payer très cher sa communication interne. Malgré la remontée en Ligue 1, cet incident marque le début de ses relations houleuses avec Caïazzo, dont la montée en puissance va avoir raison du triumvirat corse."
Ce soir, on refait le mastre!
10/03 13:05
On Refait le Mastre, l'émission de radio de Poteaux Carrés, c'est ce soir à 20h45, en direct de la chaine Youtube du site:
https://www.youtube.com/user/poteauxcarres
Soyez au rendez-vous!
Le SCO montre l'exemple
10/03 07:14

Privé de Souleymane Doumbia (fatigue musculaire), Sofiane Boufal (malade), Sada Thioub (cheville), Mohamed Ali Cho (ischio) et Vincent Manceau (cheville) pour écraser le Club Franciscain en Coupe de France, le SCO d'Angers devrait enregistrer le retour de ces cinq joueurs pour la réception de Sainté selon la dernière édition du quotidien Ouest-France. Seuls Jimmy Cabot (genou) et Enzo Ebosse (ligaments croisés) se sont entraînés à part hier en compagnie de Benoît Pickeu, le préparateur physique.
Comme le souligne aujourd'hui la Pravda, les joueurs et le staff du SCO ont accepté de baisser leurs salaires jusqu'en juin prochain pour tenir compte des difficultés financières du club.
"Pilotées par le président-délégué Philippe Caillot et le directeur sportif Sébastien Larcier, les négociations se sont déroulées en février, le temps de trois réunions. « Au début, quand j'ai exposé la situation et les difficultés financières, certains n'y croyaient pas », reconnaît Caillot. « Ç'a été un processus assez long car on n'est pas chez les Bisounours. Au départ des gars refusaient », admet le défenseur Romain Thomas, qui a payé de sa personne pour convaincre ses partenaires de participer à cet effort collectif.
L'ultime réunion, fin février, a abouti à un accord, reposant sur une base collective (baisse de 10 % des salaires) et une part individuelle (laissée à l'appréciation de chaque joueur et membre du staff) qui peut monter jusqu'à 30 %. Le 1er mars, chaque joueur et membre du staff a donc signé, individuellement et de gré à gré, un avenant à son contrat de travail. « C'est important qu'on sache que tout le monde a fait un geste », apprécie Thomas.
« C'est fini, c'est un soulagement car ça nous a pompé du jus, reconnaît Thomas. On n'arrêtait pas d'en parler entre nous, en marge des entraînements, en déplacements... » Hasard ou coïncidence ? Durant cet âpre mois de négociations en coulisses, Angers a vécu une passe délicate sur le terrain, ne grappillant que 3 points sur 15 (3 nuls, 2 défaites). Avant de reprendre sa marche en avant, mercredi dernier à Metz (1-0), deux jours après que chacun a signé l'avenant à son contrat de travail..."
Reste à savoir si les discussions actuellement en cours à l'ASSE sur ce thème vont connaître la même issue...
Bravo Krasso ! (4)
10/03 06:50
Dans la dernière édition mancelle du quotidien Ouest-France, Didier Ollé-Nicolle se réjouit à nouveau de l'apport de Jean-Philippe Krasso, passeur décisif puis buteur vendredi dernier contre Villefranche-sur-Saône.
"Son premier match contre Bastia, il l’avait fait à l’énergie. Il avait l’entraînement de Saint-Etienne, mais ensuite il a été un peu plus court. Il court avec moi en forêt pour faire un peu plus de préparation athlétique. À un moment donné, il a manqué de rythme, d’énergie, de compétition. Là, je l’ai retrouvé comme quand il est arrivé, qu’il avait du gaz. On va encore l’utiliser comme joker, mais je pense qu’il va monter en puissance ces prochaines semaines."
Diony contre Modeste, ça va être marrant
10/03 00:27

Christophe Lagrange, qui s'était longuement confié à nous en décembre dernier avant le match aller contre le SCO, s'exprime plus brièvement dans la dernière édition du Progrès avant le match retour programmé ce samedi dès 13h00 à Angers. Extraits.
"Les Verts vivent une saison difficile, je suis triste de les voir à cette place. Avant, le public les aidait pas mal. L’ambiance, c’est quelque chose qui doit leur manquer. À Saint-Etienne, à certains moments, les supporters ont fait gagner des matches. Si l’on se réfère au classement, Angers part favori. Mais sur un match, tout est possible. L’ASSE ne va pas venir en victime. Il faut prendre des points rapidement pour le maintien.
Ce match sera un duel d’attaquants, avec d’un côté Loïs Diony passé par l’ASSE et de l’autre Anthony Modeste qui s’est révélé à Angers. Ça va être marrant. Diony a eu des débuts difficiles. Il a fallu un peu de temps pour qu’il retrouve son niveau. Là, il fait des matches courageux. Il lui manque encore un petit truc : l’efficacité, la réussite dans le dernier geste. C’est un attaquant, il est jugé sur les buts. Mais ses prestations sont de mieux en mieux. Quant à Modeste , qui manque de compétition, on pense qu’il va être le sauveur mais lorsqu’on arrive dans une équipe malade, ce n’est pas évident."
Capitaine femme
09/03 13:34

Capitaine des Amazones, Charlotte Gauvin s'est confiée hier à If Média Saint-Etienne à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes. Extraits.
"Après la Coupe du monde féminine, on a vu de plus en plus de filles rejoindre l’école de foot. Même si on aimerait beaucoup plus de gens qui viennent nous voir dans les stades, on a cette chance que le peuple vert nous connaît quand même un petit peu. Notre championnat de D2 devait reprendre mais le Ministère a fait machine arrière. On l’a un peu de travers. On ne comprend pas car la semaine précédente on nous avait annoncé la reprise. Cela fait quand même depuis octobre que nous sommes arrêtées.
On continue de s’entraîner entre 3 et 5 fois par semaine. On fait les efforts qu’il faut. On a un protocole sanitaire qu’on respecte. On se donne les moyens. Cette annonce nous a mis un petit coup au moral. Malgré tout on espère reprendre, en tout cas on fait tout pour. On se tient prêtes, le club et la ville nous mettent à disposition le terrain, les entraînements, les séances. On suit le protocole, on passe des tests une fois par semaine.
Le joueur que j’admire, c’est Loïc Perrin. Comme moi, il a fait toute sa carrière à l’ASSE. J’ai rejoint à 15 ans le RC Saint-Etienne, qui ensuite a fusionné avec l’ASSE. Ça va donc faire bientôt 16 ans que je joue avec ce maillot vert. J’ai toujours admiré Loïc, par son caractère, par les quelques échanges qu’on a pu avoir lors de rassemblements. Il est toujours souriant, à l’écoute. On a toujours eu son soutien."
Soder, des débuts très (anthony) modestes
09/03 09:15
Alexander Soderlund aura 34 ans en août prochain. Même si sa fin de carrière approche inexorablement, il a gardé le goût du voyage.
Rentré au pays et dans son club de Rosenborg en 2018 où il a claqué 16 buts en 2 saisons, il avait fini par refaire son baluchon fin 2019, direction la Suède et le club de Häcken où il a claqué 8 fois en 23 matchs de championnat.
Et puis cet hiver, la bougeotte l'a de nouveau repris : après la Belgique, l'Islande, l'Italie, la Norvège, la France et donc la Suède, direction la Turquie et le club de Rizespor (ex-club d'Isma Diomandé, 17è du championnat et premier non relégable).
Depuis son premier match le 30 janvier Alexander a participé à 7 matchs de championnat pour 4 titularisations. Pour l'instant la greffe ne prend pas puisqu'à l'instar de notre recrue offensive de fin de mercato, Soder n'a toujours pas trouvé le chemin des filets.
Chez nous, faut-il le rappeler, il n'avait pas attendu longtemps pour trouver le délicieux, l'extatique, le paradisiaque chemin des filets...
Un Horjak peut en cacher un autre
09/03 08:45

Cousin de Cédric (l'ancien milieu de terrain des Verts et ex-capitaine des Crocodiles) et passé comme lui par l'Olympique de Saint-Etienne et le centre de formation de l'ASSE, Patrice Horjak a créé la FMC Academy, comme le rapporte la dernière édition ligérienne de l'hedomadaire L'Essor. Extraits.
"Après 25 ans d'expériences sportives et professionnelles, Patrice Horjak est sur le point d'ouvrir les portes d'une école de football privée à Saint-Etienne. La première promotion intégrera les bancs de la FMC Academy en septembre 2021. Les candidatures sont ouvertes.
Protéiforme, l'académie est destinée aux joueurs de 16 à 23 ans. Cinquante-quatre candidatures ont été reçues à ce jour provenant de Guinée, du Sénégal, d'Angleterre, de France, du Nigeria, des Pays Bas ou encore de Corse. L'une des conditions pour rejoindre cette formation certifiante de 20 places est de s'engager pour une durée minimum de dix mois.
Les phases de détection ont démarré début mars en Guinée en présence de Pascal Feindouno, qui devrait rejoindre l'équipe salariée composée de Christian Yao (directeur marketing), Bruno Daumur (directeur pôle football), Laurent Canonico (directeur pôle médias), Stéphane Zanga (directeur pôle suivi joueurs) et Nezir Delikaya (directeur administratif).
Un partenariat entre l'ASSE et la FMC est envisagé afin d'établir une complémentarité entre l'école et le centre de formation du club. Une rencontre avec Roland Romeyer se tient cette semaine pour discuter des formalités de la collaboration. L'académie disposera à terme de son propre campus, au stade Roger-Rocher à Saint-Etienne."
Mayi marque contre le leader
09/03 07:55

Portant toujours un vilain numéro 69 sur son maillot, Kévin Mayi (28 ans) a marqué avant-hier le deuxième but de la victoire d'Umraniyespor contre le leader de D2 turque Giresunspor. C'est seulement le 3e pion claqué cette saison en 20 matches par l'ancien attaquant stéphanois.
Compliqué jusqu'à la fin selon Perrin
09/03 00:15

Dans la dernière édition du Progrès, Loïc Perrin évoque la fin de saison des Verts.
"On avait un peu sorti la tête de l’eau mais aujourd’hui, on est toujours en difficulté. La défaite à Lorient, contre un concurrent direct, a fait mal. Quand ça part comme ça, c’est compliqué jusqu’à la fin. Il faut être inquiet, ça fait un moment qu’on l’est, mais il ne faut pas s’affoler non plus.
Un bon compromis est à trouver pour garder la confiance, cette force mentale. Il ne faut pas s’enflammer quand ça se passe bien et être trop défaitiste quand ça se passe mal. C’est dans ces moments-là où les joueurs d’expérience ont leur importance. Quand ça va mal, on n’a pas la réussite avec soi. Il faut savoir la provoquer, aller la chercher."
La quotidien régional confirme que Dieu a de bonnes chances de retrouver prochainement sa maison verte.
"Rien n’est encore officiel mais les discussions pour une reconversion à l’ASSE, prévue de longue date, vont dans le bon sens. Il a rencontré ses anciens dirigeants dernièrement. L’entrevue s’est bien passée."
Aguilar élimine Saliba
08/03 23:40

Monaco s'est imposé 2-0 à Nice ce soir lors du dernier 16e de finale de Coupe de France. Ruben Aguilar a inscrit le but du break au grand dam de William Saliba, lui aussi titulaire. Le latéral droit international recevra le FC Metz de Frédéric Antonetti en 8e de finale. Christophe Galtier va devoir une fois de plus se coltiner le QSG dans le seul autre choc entre équipes de L1.
Auf Wiedersehen Aïmen ?
08/03 22:31

Selon France Football à paraître demain, le numéro 34 de l'ASSE est convoité par plusieurs clubs européens dont deux de première moitié de tableau de Bundesliga.
"Saint-Étienne va avoir du mal à conserver Aïmen Moueffek (19 ans). À un peu plus d’un an de la fin de son contrat, il est courtisé par des clubs allemands (M’Gladbach, Leverkusen), belge (Anderlecht) et autrichien (Salszbourg)."
Sainté court à Millot
08/03 22:14

Assisté de Stéphane Bré et Christian Guillard, Benoît Millot sera au sifflet ce samedi à 13h00 à Angers pour le match de la 29e journée qui opposera le SCO à l'ASSE. Agé de 39 ans, le natif de Châtenay-Malabry (92) n'a pas encore arbitré les deux clubs cette saison.
Losilla le leader
08/03 21:46

A bientôt 35 ans (il les fêtera après-demain), l'ancien réserviste stéphanois Anthony Losilla continue d'être un des tauliers de D2 allemande, où il évolue depuis 9 saisons. L'Appelou, qui avait scoré cette année contre le Karlsruher SC et Osnabrück, a marqué avant-hier en bon capitaine le premier but de la victoire du leader Bochum sur le terrain de Greuteh Früth lors de ce match au sommet de la 24e journée.
Galette le toxico
08/03 18:42

Dans une interview à écouter en podcast sur le site de la Pravda, Christophe Galtier est revenu sur son expérience stéphanoise. Extraits.
"Je suis un toxicomane du football. Ma came ? La gestion du groupe, la préparation des matches, l’adrénaline du match. Mais il n’y a qu’une obsession, c’est la gagne. Gagner. On ne choisit pas un entraîneur pour entraîner. Ce n’est pas vrai. Au niveau professionnel, on choisit un entraîneur pour gagner. Quand on est sur un match où les force sont équilibrées, que ça ne passe pas et qu’on perd, c’est très douloureux mentalement et physiquement parce que j’en prends une énorme part de responsabilité.
Je ne revois pas le match de suite, je le revois 24 heures après, jamais dans la nuit. Mais je réfléchis, je n’ai pas sommeil, je prends des notes. Je réfléchis sur le plan de jeu, sur ce qu’on a travaillé la semaine, sur les choix que j’ai faits avant et pendant le match. Je cherche ce qui n’a pas fonctionné. Ça fait mal au ventre et à la tête. Mais je suis comme ça ! La première remise en cause, elle est là ! Après, il y a l’image. On a beaucoup de données, beaucoup de datas.
Je veille sur la contreperformance collective et individuelle. C’est toujours ce même processus. Ce serait trop facile de dire « le joueur n’a pas compris, le joueur n’est pas bon en ce moment. » Ton métier est de faire en sorte qu’il soit bon, de lui faire comprendre les choses. Peut-être que c’est toi qui n’as pas trouvé le bon chemin pour lui faire comprendre les choses.
Après notre élimination de la Coupe de France à Cannes avec Saint-Etienne, je me suis dit : « Comment j’ai pu autant me tromper ? » Ça a été très difficile de me lever le lendemain matin. Comment j’ai fait pour faire autant d’erreurs dans la préparation de ce match, dans le choix de l’équipe, dans tout… Évidemment que j’ai une colère envers moi terrible, que je veux arrêter. J’ai un peu un sentiment de honte.
À Bâle, quand on perd dans les dernières minutes en 16e de finale de l’Europa League… Là, t’es seul dans ta douche. Silence total. Là tu es livide et tu te dis : « comment on est passé d’un moment d’extase à un moment où une minute après tu es éliminé ? » Là on n’est pas dans le « est-ce que j’ai bien fait les choses ou pas, est-ce que je me suis trompé. » Là tu prends un coup de marteau sur la tête. Le jouet se casse. Parce que l’Europe c’est bon. Jouer des matches de Coupe d’Europe, c’est bon. C’est très bon. Mais là en une minute tout bascule.
Un entraîneur est seul. Rapidement, j’ai découvert la solitude d’un entraîneur après un match. La solitude dans une prise de décision. Prendre la décision de titulariser Kurt Zouma en finale de la Coupe de la Ligue à la place de Bayal, les gens ne peuvent comprendre tout le questionnement qu’il y a autour de ça. C’est une décision forte, importante, j’ai l’intime conviction que c’est la bonne.
Après, je recherche à quel moment je vais annoncer ça pour à la fois ne pas mettre la pression à un jeune joueur de 18 ans et tenir motivé Mouss dans la préparation de la finale pour qu’il soit à fond derrière le projet de l’équipe. Là, tu es seule et après il faut entrer dans la chambre du joueur. Il sait le joueur que lorsque je vais entrer dans la chambre, ça va lui tomber dessus.
Ça dure 20 secondes, il n’y a pas de débats, je donne l’information. Je ferme la porte, je marche dans le couloir et j’entends la chambre se faire démonter (rires). Humainement c’est dur. Ça ne reste qu’une finale de Coupe de la Ligue mais pour Saint-Etienne c’est quelque chose et pour un joueur c’est quelque chose. Pour moi aussi c’est quelque chose !
Je suis l’un des rares à parler de la préparation mentale, d’avoir quelqu’un sur qui je peux m’appuyer pour décharger beaucoup de choses. C’est Pier Gauthier, une personne que j’ai découverte à l’époque de Saint-Etienne. C’est un ancien joueur de tennis qui avait du mal à être bien sur les finales ou les demi-finales. Il s’est formé comme « préparateur mental » et on a commencé à collaborer, non pas pour me découvrir, mais pour avoir des techniques, certaines clés. Parfois, t’as beau être dans l’humain, ça ne passe pas avec un joueur, tu n’arrives pas à aller chercher un déclic, à entrer un peu dans sa tête.
Il m’a donné aussi des techniques pour évacuer un peu la pression, m’alléger sur un plan mental C’était aussi pour avoir des techniques visant à libérer la parole et faire parler les gens. C’est très important de faire parler les gens, tu trouves 80% des solutions aux problèmes. Si tu ne les fais pas parler, un jour ça explose.
L’écoute, c’est aussi accepter de changer d’orientation quand ton vestiaire t’a parlé. Ce n’est pas un signe de faiblesse, bien au contraire ! Il faut écouter le vestiaire, le staff technique, le staff médical, les dirigeants. À un certain moment, s’il y a X personnes qui te disent directement ou indirectement que ça ne peut pas le faire comme ça, c’est que tu es en train de te tromper.
La victoire en Coupe de la Ligue, c’est un moment exceptionnel. Le stade vert et blanc, la folie dans Saint-Etienne. Un trophée qui était attendu, un parcours incroyable avec un groupe extraordinaire (…) Mon break m’a permis de remuer mes deux dernières saisons à Saint-Etienne, notamment la dernière qui été pour moi très difficile. L’équipe comme elle jouait, ça ne me plaisait pas. J’ai regardé les matches quand je me suis arrêté et je me suis dit « les gens devaient s’emmerder… »
Tu es dans la compétition, tu veux atteindre les objectifs par n’importe quel moyen. Même si je ne suis pas bon, je m’en fous, je veux gagner. C’est terrible. Il y a une personne en toi qui dit « je fais comme ça pour gagner, je suis pragmatique, s’il faut jouer à onze derrière, allons-y ! » Non. Plus jamais ! Plus jamais. Mais je ne suis pas le seul responsable. Je dois avoir des garde-fous. Les garde-fous, c’est ta direction. Mais quand ça fait sept ou huit ans que t’entraînes, je crois sincèrement que les gens ne veulent plus te dire les choses."
Gourna, numéro 9 !
08/03 16:25

Non, malgré les grosses lacunes offensives de son équipe, Claude Puel ne va pas repositionner son très jeune et prometteur milieu de terrain à la pointe de l'attaque. Mais Lucas Gourna-Douath est n°9 au classement des joueurs les plus prometteurs au monde nés depuis 2003 établi par l'Observatoire du Football du CIES et basé sur l'approche du capital expérience (celle-ci pondère les minutes de championnat disputées par les footballeurs avec le niveau sportif de leurs clubs d’emploi à l’échelle globale).
1. Florian Wirtz (Bayer Leverkusen)
2. Jude Bellingham (Borussia Dortmund)
3. Isak Johannesson (Norköping)
4. Harvey Elliott (Blackburn)
5. Fabrico Diaz (Liverpool Montevideo)
6. Jamal Musial (Bayern Munich)
7. Youri Regeer (Jong Ajax)
8. Wahid Faghir (Vejle)
9. Lucas Gourna-Douath (Saint-Etienne)
10. Loizos Loizou (Omonia)
Si Adil Aouchiche est absent du top 25 des 2002, on aura noté que Wesley Fofana se classe 15e dans la génération des 2000 et William Saliba 23e dans la génération des 2001.
Faouzi est maudit
08/03 12:45

Faouzi Ghoulam, qui s'était fait les croisés du genou droit le 1er novembre 2017 lors d'un match de Ligue des Champions contre Manchester City, a subi hier contre Bologne la même blessure au genou gauche comme le rapporte aujourd'hui Sky Sport Italia. Un coup dur pour l'ancien latéral gauche stéphanois, qui venait enfin d'enchaîner deux titularisations. Prompt rétablissement à l'enfant de Montreynaud !
Papy a retrouvé Capi
08/03 08:47

Journaliste de Radio Scoop, Anthony Perrel a immortalisé avant-hier sur son compte twitter les retrouvailles entre Fabien Lemoine et son ancien capitaine Loïc Perrin, qui a commenté la défaite des Merlus en Coupe de France sur Eurosport.
A l'issue de la rencontre, Papy s'est montré fair play et s'est projeté de suite sur le championnat. "Le Puy a fait un très bon match, bravo à eux, j’espère qu’ils iront le plus loin possible. Maintenant, on est focus sur le maintien. Le match de Montpellier doit nous servir pour la suite, ça va être dur. On n’allait pas gagner la Coupe de cette façon, on a déjà évacué. Nice et Nantes sont très importants."
L'occasion de rappeler le calendrier de fin de saison des équipes luttant pour le maintien.
ASSE (16e, 30 points) : va à Angers, reçoit Monaco, va à Nîmes, reçoit Bordeaux, va à Paris, reçoit Brest, va à Montpellier, reçoit Marseille, va à Lille, reçoit Dijon.
FC Lorient (17e, 27 points) : reçoit Nice, va à Nantes, reçoit Brest, va à Lens, va à Marseille, reçoit Bordeaux, reçoit Angers, va en banlieue, reçoit Metz, va à Strasbourg.
Nîmes Olympique (18e, 25 points) : reçoit Montpellier, va à Lille, reçoit Sainté, va à Brest, reçoit Strasbourg, va à Lens, reçoit Reims, va à Metz, reçoit les vilains, va à Rennes.
FC Nantes (19e, 24 points) : va à Paris, reçoit Lorient, reçoit Nice, va à Rennes, reçoit les vilains, va à Strasbourg, va à Brest, reçoit Bordeaux, va à Dijon, reçoit Montpellier.
Anto regrette la suppression la Coupe de la Ligue
08/03 08:11

Non seulement le FC Metz fait une une très belle saison en championnat (il est actuellement 6e avec 11 points d'avance sur l'ASSE), mais en plus il fait partie des 8 clubs de L1 qui joueront les 8e de finale de Coupe de France après son écrasant succès à Valenciennes. A l'issue de cette rencontre, Frédéric Antonetti a déclaré en conférence de presse qu'il regrettait la disparition de la Coupe de Ligue.
"Quand on a la chance de faire un parcours en Coupe, cela permet de créer une dynamique. Cela crée une atmosphère, un bien-être. Cela fait vivre le groupe. Ceux qui sont méritants, à un moment donné, ils ont la possibilité de se montrer. J’ai beaucoup d’exemples, dans ma carrière, de joueurs qui ont débuté en coupe puis se sont imposés et ont fait une très belle carrière.
La coupe permet de donner sa chance un peu plus facilement. C’est pour cela que j’ai regretté la décision d’arrêter la Coupe de la Ligue. Pour moi qui suis formateur, je pense que c’est une erreur. Cela donne beaucoup de chance à des joueurs qui n’ont pas assez de temps de jeu. Je pense que c’était une erreur de nos instances d’arrêter la Coupe de la Ligue. Les matchs c’est quand même important pour faire vivre tout un groupe."
Pour rappel, Anto s'est hissé quatre fois en finale de cette compétition sans parvenir à remporter le trophée. En 1995 il s'est incliné avec Bastia contre le PSG. En 2006 avec Nice contre Nancy. En 2013 avec le Stade Rennais contre l'ASSE. Et en 2016 avec le LOSC contre le QSG.
On ne lui refera pas deux fois le coup de Fofana
08/03 00:50

Le Progrès de ce lundi rappelle les difficultés financières de l'ASSE.
"La baisse des revenus est estimée entre 30 et 35 M€, conséquence de l’absence de recette du stade et de la chute de Mediapro. L’objectif du club est d’arriver à des pertes finales comprises entre 10 et 15 M€ en s’attachant déjà à réduire une masse salariale conséquente. Outre des réductions de coûts sur les frais de fonctionnement, l’ASSE compte aussi une hausse des exonérations de charges patronales ou encore sur l’instauration du droit à l’image individuel."
Selon le quotidien régional, "les discussions d'une revalorisation des jeunes joueurs en devenir comme Neyou, Maçon et Gourna est une priorité. Sans l’arrivée d’ici à juin d’un investisseur avec une surface financière suffisante, l’ASSE risque de céder à la tentation de vendre ses pépites. On ne refera pas deux fois à Claude Puel le coup de Fofana", avance un proche du technicien."
Trop Pauly pour être honnête ? (7)
08/03 00:22

Selon la dernière édition du Progrès, "Laurent Roussey a envoyé un SMS à quelques journalistes les invitant ce mercredi dans un hôtel stéphanois à une réunion d’information avec Jacques Pauly qui souhaite toujours reprendre l’ASSE et évoquer le protocole X3". Pour rappel, ce dernier avait prétendu le 30 juillet 2018 que le Crédit Agricole Loire Haute-Loire avait détourné les 400 millions d’euros d’euros qu’il aurait déposé à la banque en 2009 pour reprendre 40% des parts du club stéphanois.
Platoche fort et vert
07/03 23:41

Canal Plus a diffusé ce soir "Michel Platini, le dernier romantique". Dans cet excellent documentaire tiré d'images d'archives, on a pu revoir ses verts doublés contre le PSV Eindhoven, le HSV Hambourg et les Girondins de Bordeaux.
On a entendu le meneur de jeu expliquer sa signature à Sainté : "J’ai été contacté honnêtement par tous les grands clubs français et beaucoup de clubs étrangers. J’avais une quinzaine de clubs. J’aurai pu me fixer un seul objectif mais au contraire je les ai tous accueillis et ça m’a posé beaucoup de problèmes. L’élément déterminant a été bien sûr la carrière sportive de l’ASSE, la Coupe d’Europe."
Dans l'entretien diffusé après ce documentaire et accordé à Hervé Mathoux, Platoche a rappelé ce que le football français doit aux Verts.
"J'ai joué à Saint-Etienne, la meilleure équipe de France, puis à la Juventus, la meilleure équipe du monde. C’est l’avènement de Saint-Etienne qui a fait que la France a commencé à s’intéresser au football. Les Verts puis l’équipe de France ont porté le football français vers les sommets mondiaux. Saint-Etienne ainsi que Georges Boulogne, Fernand Sastre et Michel Hidalgo ont laissé des traces dans le football moderne."
Oui Michel !
Et de 9 pour Max !
07/03 20:27

A l'instar de son ancien coéquipier stéphanois Pierre-Emerick Aubameyang, Max-Alain Gradel a marqué ce week-end son 9e but de la saison en championnat. Sur le terrain de Galatasaray (privé de Mostafa Mohamed, expulsé quatre jours plus chez un Assane Diousse encore resté sur le banc d'Ankaragücü), le petit poulet Abidjan a ouvert le score en renard des surfaces (score final : 2-2).
DEVRE: Galatasaray 1-2 Sivasspor
— Bay Bahis (@baybahisresmi) March 7, 2021
⚽9' Gradel
⚽14' Falcao
⚽38' Boyd#GSvDGS #Galatasaray pic.twitter.com/1Gbe2I42J9