Les Verts qui doivent affronter les crocodiles Nîmois le 27 novembre pour le match reporté des 16ème de finale de la Coupe de la Ligue connaissent déjà l'adversaire pour les 8ème de finale. En effet, le vainqueur de la rencontre se déplacera au stade Océane du Havre le 18 ou 19 décembre pour défier l'équipe ciel et marine.

Pour rappel, les Verts avaient déjà éliminé le HAC lors d'un 8ème de finale de coupe de la ligue le 21 décembre 2004 grâce à un but de David Hellebuyck. La dernière confrontation entre les deux équipes remonte au 13 mai 2009. Elle s'était déroulée au stade Jules-Deschaseaux pour le compte de la 35ème journée de Ligue 1. L'équipe Stéphanoise qui luttait pour son maintien dans l'élite avait battu les Havrais sur le score de 4 buts à 2.

Les numéros 10 et 17 de l'ASSE sont dans l'équipe type de la 13e journée du site Du Stade au Stats, qui met en avant les qualités de passeurs des deux joueurs (6 passes avant un tir pour Khazri, 92% de passes réussies pour Khazri. On aura noté que deux dangereux vilains figurent également dans ce onze...

Arrivée cet été en provenance de Brest (D2 Féminine), Anaïs Ribeyra est repartie en Bretagne selon Laurie Jouanou, journaliste locale qui est à l'origine du projet "un an avec les Vertes". L'information a été confirmée dans l'émission TL7 Club ASSE diffusée hier soir. L'attaquante axiale qui avait déjà porté les couleurs de l'ASSE lors de la saison 2012-2013, a disputé 5 matchs et marqué 2 buts en ce début de saison pour les Amazones.

C'est ce qui ressort de ces extraits d'un article paru ce mercredi dans la Pravda

"Presque traumatisée par les exemples des départs de Jérémie Aliadière (Arsenal), Mourad Meghni (Bologne) ou Vincent Péricard (Juventus Turin) au crépuscule des années 2000, la France du football est confrontée, dix-huit ans plus tard, à une problématique bien plus large. L'enjeu est connu : comment attirer ou conserver les meilleurs espoirs formés dans leurs centres ? Ce qui a changé, ce sont les méthodes mais aussi les sommes en jeu, désormais considérables. Pour les clubs d'abord : « Il y a encore dix ans, au-delà du fait que c'était rare de voir un jeune sous contrat aspirant partir, ces mecs-là n'avaient pas de forte "valeur", détaille un agent spécialiste des jeunes. Aujourd'hui, un solide espoir de seize ou dix-sept ans a plus de valeur qu'un joueur moyen de L 1 qui a cinq ans de professionnalisme. »

Si les équipes les plus modestes restent attachées aux tarifs de la charte du football professionnel - 2 800 €, 3 500 €, 4 200 € (sur les trois premières années professionnelles) -, Bordeaux, Rennes, Saint-Étienne se sont adaptés depuis deux ou trois ans en gonflant les premières propositions. De 5 000 à 10 000 € mensuels brut et très souvent une prime à la signature à six chiffres. Les talents - par exemple le Stéphanois William Saliba, les Rennais Yann Gboho et Lucas Da Cunha (tous 17 ans) - sont à ces niveaux-là.

Une obligation pour des clubs confrontés à la concurrence de structures étrangères très organisées pour accueillir des jeunes joueurs (RB Leipzig, Juventus Turin, Mönchengladbach) et perçues, notamment grâce aux parcours des Pogba, Griezmann ou Laporte, comme des tremplins efficaces : « Prenons l'exemple Saliba. Saint-Étienne a été obligé de faire l'effort car il savait qu'il y avait une concurrence allemande, détaille un autre agent. Des clubs comme Mönchengladbach sont capables de verser des primes de 500 000 € à 3 M€. Au final, le calcul est simple pour "Sainté". Avant même qu'il pose un pied sur le terrain, Saliba vaut déjà 5-6 M€. Même s'ils lui offrent une forte prime, ils feront une plus-value. »

Parfois, cela ne suffit pas. S'il est parvenu à faire signer le jeune Adil Taoui (17 ans), Toulouse, qui a fait évoluer sa grille salariale pour Jean-Clair Todibo (18 an]), ne parvient pas à convaincre son espoir, qui dispose d'autres sollicitations en Angleterre (Wolverhampton) et en Allemagne (RB Leipzig) à des hauteurs déjà exceptionnelles."

Christophe Castaner ne redoute pas que les (guillaume ?) gilets jaunes. Il craint également les maillots verts au Cochonou Stadium. Selon la dernière édition de la Pravda, le ministre de l'intérieur s'apprête en effet à édicter un arrêté qui interdira le déplacement des supporters stéphanois en banlieue le vendredi 23 novembre. Reste à savoir si l'ASSE l'attaquera, comme elle l'a fait hier en contestant l'arrêté préfectoral du 12 novembre et la décision de la commission de discipline du 7 novembre

La Ligue, comme Whoscored, a choisi Mathieu Debuchy (2^e buteur le plus rapide de la saison – 65 ballons joués (2^e total du match) – 1 tir tenté)  et Whabi Khazri (Impliqué sur les 2 buts de l’ASSE (1 but, 1 passe décisive), une première depuis septembre 2015) pour figurer dans le onze de la 13ème journée. Ils sont accompagnés par 4 Parisiens, 2 vilains, 1 Nantais, 1 Strasbourgeois et 1 Marseillais.

L'équipe : Sels - Debuchy, Kehrer, Rami, M.Diaby - Rabiot, Aouar, Khazri - Depay, Sala, Cavani.

Yoann Greco a quitté l'ASSE en fin de la saison 2015-2016 au cours de laquelle il avait inscrit 13 buts (pour 18 matchs) avec les U15 Elite de Philippe Guillemet (18 matchs) et 2 buts (pour 2 matchs) avec les U17 régionaux de Mickaël Pontal.

Après une longue blessure aux adducteurs, Yoann Greco a disputé dimanche son 2ème match officiel de la saison, un match de premier League Cup des moins de 18 ans, notre Coupe Gambardella, contre Sunderland, équipe que Derby County avait déjà battue en championnat la semaine précédente. 
Il n'a pas mis longtemps à se mettre en évidence, inscrivant avec opportunisme un doublé aux 2ème et 9ème minutes. Il est également l'auteur dela passe décisive du 4ème but, d'une belle talonnade.
Les Béliers (The Rams) de Derby se sont imposés par 4 à 0, et prennent ainsi la tête de leur groupe. (La coupe se dispute selon une formule de groupes).

Le site Sportune.fr s'est demandé si le classement actuel des clubs de L1 reflétait le montant de leurs dépenses sur le marché estival des transferts.

Derrière les surperformants lillois (14ème budget mercato/2ème de L1,+12) et montpelliérains (15ème/3ème,+12), on retrouve nimois (20ème/14ème,+6) et stéphanois, également dans le vert (10ème/5ème,+5).
Sans surprise, les monégasques (2ème/19ème,-18) ferment la marche, malgré un investissement 10 fois plus important que celui de l'ASSE cet été.

Saint-Pryvé Saint-Hilaire a mis fin à une série de cinq matches sans marquer de la plus belle des manières, en s'imposant, samedi dernier, devant les jeunes de Laurent Batlles (3 - 0). De quoi plaire à Baptiste Ridira, le coach, qui s'exprime pour le site Actufoot.

"On était sur une série qui n’était pas vraiment positive et on a mis sur ce match beaucoup d’abnégation, de courage et de l’intensité. Ce fut un très bon match avec une très bonne équipe de Saint-Etienne qui a joué, qui n’a pas fermé le jeu, ce qui nous a permis de placer des attaques rapides même si on n’avait pas prévu de se poser bas. On a exploité les espaces laissés lors de leurs attaques et ça nous permis d’avoir un score plutôt flatteur. On a fait une grosse partie dans tous les secteurs, du gardien aux attaquants. Quand on est à 100% comme ça, on peut battre tout le monde. On s’impose contre un gros de la poule et c’est très positif pour nous. On a vraiment fait une bonne entame où on a marqué dans nos temps forts, ce qui n’était plus arrivé depuis le match contre Andrezieux. Ça nous a donné de la confiance et du courage pour défendre. C’était le match à faire et on a fait ce qu’il fallait. "

France Football met auhjourd'hui à l'honneur l'ancien Vert et actuel pailladin Ruben Aguilar. Extraits.

"«Je n’aime pas jouer aux comparaisons, mais Debuchy, c’est une bonne voie à suivre pour lui.» Dans un sourire un peu gêné, Cédric Daury ne veut passe mouiller. L’ancien coach de Ruben Aguilar à l’AJ Auxerre ne tarit pas d’éloges sur son ancien poulain. Il faut dire que le latéral droit ne cesse de surprendre depuis son arrivée la saison passée du côté du Montpellier Hérault. Sur son flanc droit, le joueur formé à Grenoble frappe sérieusement à la porte de l’équipe de France au vu des performances mitigées des deux champions du monde Benjamin Pavard et Djibril Sidibé. Comme l’ancien Gunner à son époque, c’est avec beaucoup de boulot et d’abnégation que le natifde l’Isère en est arrivé là. Après la liquidation du GF38, Aguilar pense trouver un point de chute au centre de formation de l’ASSE, mais son contrat aspirant ne sera jamais prolongé.

«Son parcours lui confère beaucoup de fraîcheur, souligne Daury. Il a tout le temps envie et faim parce qu’il sait ce que ça coûte d’en arriver là. Il a su braver les difficultés pour devenir professionnel. Aujourd’hui, il l’a fait et il n’a plus envie de lâcher. Ruben, tout le monde vous le dira, c’est un mec qui ne calcule pas et ne rechigne à rien.» Bourreau de travail comme le champion de France 2011 avec le LOSC de Rudi Garcia, le Montpelliérain partage beaucoup d’autres points communs avec son aîné. Très offensif, il aime prendre son couloiret proposer sans cesse une solution offensive. Daury abonde :« Il a du volume, de l’explosivité, il est capable d’enchaîner facilement les courses à haute intensité. Au MHSC, il est dans son élément. Parfois trop fougueux, comme pouvait l’être Debuchy auparavant dans ses jeunes années nordistes, le latéral droit de vingt-cinq ans doit encore gagner en maturité. «Il a une telle énergie qu’il faut parfois le canaliser, affirme Cédric Daury. La Ligue 1demande beaucoup de justesse. Mais je ne me fais aucun souci. C’est un garçon àl’écoute."

Le club va tout faire pour que ses supporters puissent se rendre chez les vilains, comme l'atteste ce communiqué paru ce matin sur le site officiel.

Rappelé en sélection suite à la suspension de Fabian Schär est suspendu et aux blessures de Johan Djourou et Manuel Akanji, Léo Lacroix pourrait faire ses débuts internationaux contre le Qatar (mercredi) ou contre la Belgique (dimanche). Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2020, le défenseur central parle de son expérience à Hambourg dans la dernière édition du quotidien suisse Le Matin.

"Cela fait un an que n’avais plus été appelé en équipe de Suisse. La dernière fois, c’était lors du barrage face à l’Irlande du Nord. J’ai vu qu’il y avait tous ces forfaits, bien sûr. Je me tiens à disposition du coach. Je suis prêt à jouer. je revenais en Suisse pour passer quelques jours lorsque j’ai reçu l’appel de l’équipe nationale, dimanche. Du coup, pas de vacances, mais c’est bien mieux comme ça, je suis vraiment content de retrouver ce maillot. Je me tiens à disposition. J’espère jouer, bien sûr, et si c’est le cas, je donnerai mon maximum.

J’ai vécu un début de saison un peu bizarre. Je n’ai pas fait une bonne préparation, vu que je cherchais une porte de sortie à Saint-Étienne. Après, j’ai joué, puis moins. Et là, je suis de nouveau entré dans l’équipe et je compte bien y rester. Lors de notre match au sommet contre Cologne, il y avait une ambiance phénoménale, comme très souvent. Hambourg est vraiment un grand club, on le voit à domicile où on joue dans un stade plein, avec 54'000 spectateurs, mais aussi à l’extérieur où ils sont des milliers à nous suivre. Le soutien des fans est impressionnants. Je ne regrette absolument pas ce choix, Hambourg est une excellente adresse."

Rémy Cabella évoque à nouveau le derby dans la dernière édition du Progrès.

"Bien sûr qu’on l’a dans la tête, c’est logique mais il y avait Reims avant tout et on l’a bien fait. Le derby arrive à présent, on peut se concentrer à 100 % dessus. Ce sera un gros match face à un concurrent direct. Il faudra aller gagner là-bas pour les distancer. On a eu un moment difficile mais là, on reste sur deux victoires. On voulait gagner pour aller là-bas un peu plus costaud. Dans les têtes, on est bien. Ça va être un match très, très chaud. Je regrette qu’il n’y ait pas nos supporters. Ça ne nous était jamais arrivé de gagner deux matches avant une trêve depuis le début de la saison. Là, on est libérés. J’ai failli à un moment donné prendre un carton qui aurait été synonyme de suspension contre Lyon… Si l’arbitre me met jaune, là, je pleure mais je suis resté concentré. Je n’ai pas levé le pied pour autant car ça pénalise l’équipe. J’ai joué comme je devais le faire. Et Whabi aussi. On voulait le jouer ce derby !"

Déjà honoré par l'autoproclamée "bible du football" la semaine dernière suite à son bon match à Nancy, Franck Honorat est à nouveau dans l'équipe type de la 14e journée de L2, où il s'est distingué en marquant un bien joli but contre Orléans.

Oukidja (Metz) - Rose (Lorient), Guidi (GFC Ajaccio), Spano (Grenoble), N'Simba (Clermont) - Mostefa (Béziers) - Honorat (Clermont), Roudet (Valenciennes), Nouri (Béziers), Mauricio ( Valenciennes) - Ayé (Clermont)

Sans club depuis son lucratif licenciement d'il y a deux ans et demi, Laurent Blanc évoque ses envies dans la dernière édition de France Football et se réjouit pour Jean-Louis Gasset. Extraits.

"J’ai été marqué par le PSG. J’ai considéré, peut-être à tort, que je n’aurais pas l’énergie suffisante pour un autre challenge immédiatement. Mais le temps file et on se dit qu’on a peut-être été trop exigeant dans ses choix. Ce n’est pas forcément une bonne chose de trop attendre. J'ai eu de belles propositions,qui auraient mérité plus d’attention de ma part. J’en ai eu dans tous les grands Championnats et même des destinations plus éloignées. Mais je le répète, le PSG, ça t’impacte ! Je pensais qu’une ou deux années de repos me redonneraient l’énergie nécessaire pour relever un gros challenge. J’ai peut-être manqué de lucidité sur ma situation à ce moment-là.

J’attends un bon projet, avec un club qui a de l’ambition, des bons joueurs et dans un Championnat qui me plaît. Mais j’ai toujours des exigences par rapport au club. À travers mes aspirations, je suis aussi très exigeant avec moi-même. Ce serait très prétentieux de ma part d'être fermé à un nouveau projet en L1. C'est mon Championnat. Elle a perdu beaucoup de son suspense car on connaît le nom du champion à l’avance. L’autre objectif, désormais, est la deuxième place. Il y aquelques clubs qui font du bon boulot, avec des moyens moins importants que le PSG, mais qui peuvent espérer s’en rapprocher. Il y a encore de beaux projets en France.

Je ne suis pas intéressé par une sélection nationale. Je veux du quotidien. Je ne veux pas faire celui qui a croulé sous les propositions mais j’ai eu de belles offres de fédérations, juste après le PSG et encore après la Coupe du monde. J’ai été flatté mais ça ne correspond pas au défi que j’ai envie de relever. Si je rebondis, ce sera sans mon bras droit, même plus, sans mon double. C’est la vie. Avec Jean-Louis, on avait la même philosophie du foot,le même ADN. Mais je suis content de le voir numéro1 à Saint-Étienne, faire ce qu’il aime et être heureux. Je n’allais pas perturber tout ça en lui demandant d’attendre qu’on ait un club. C’était très clair entre nous."

Apparu à trois reprises cette saison de L1, le  jeune numéro 4 de l'ASSE est à l'honneur dans la dernière édition de France Football. Extraits.

"Du haut de son 1,93 m, William Saliba a de quoi impressionner ses adversaires. À seulement dix sept ans, le natifde Bondy fait déjà parler de lui. Issu du même club qu’un certain Kylian Mbappé, le défenseur de l’AS Saint-Étienne compte déjà trois rencontres en Ligue 1 sous la liquette des Verts. Il n’est pas sans rappeler le destin d’un autre central français qui a fait bien du chemin depuis : Raphaël Varane. «C’est pas idiot comme comparaison, mais William est hermétique à tout cela, confesse Jean-Luc Vannuchi, son coach en équipe de France U18. Après, chacun son petit bonhomme de chemin.»

Dans le quotidien régional le Populaire du Centre, le Bondynois de naissance décrivait d’ailleurs sa principale qualité: «Ressortir les ballons proprement.» Une caractéristique qui le rapproche du champion du monde 2018. Le port altier, la tête haute, Saliba possède une certaine aisance balle au pied. «Il est au-dessus au poste dans sa génération, mais il a parfois tendance à prendre trop de risques, tranche Vannuchi. Il aime tellement le foot qu’il veut toujours ressortir propre. Mais il y a des situations où il se met en difficulté, et même si ça part d’un bon sentiment, il faut trouver un juste milieu.» Son sens du placement lui permet aussi de couper les trajectoires et d’anticiper les mouvements offensifs adverses.

Avec une telle lecture du jeu, difficile de ne pas voir de mimétisme avec le Merengue. Physiquement, Saliba en impose et son leadership a sauté aux yeux de Vannuchi : «Il dégage beaucoup de choses. C’est un sacré morceau... Je lui ai tout de suite donné le brassard. Ce n’est pas un hasard. J’ai eu un bon ressenti avec lui très rapidement.» Vient désormais une période charnière pour le Francilien d’origine. Les premiers pas en Ligue 1 à dix-sept ans, surtout en défense centrale, c’est bien, enchaîner les matches, c’est mieux. Pas encore titulaire, Saliba accumule les présences sur le banc et ne redescend donc plus chez les jeunes. Un équilibre à trouver pour Jean-Louis Gasset entre les intérêts des Verts et ceux de ce gamin prometteur."

Dans L'Union de Reims, David Guion revient à nouveau sur la défaite de ses protégés dans le Chaudron.

"Lorsqu’on perd, on n’est jamais contents. Mais face à un adversaire qui vise le podium, on a été capables de dominer en première mi-temps. C’est le signe que l’équipe progresse. En deuxième, on a tenté le tout pour le tout en finissant avec quatre attaquants. On doit construire notre saison avec ce genre de match afin que le scénario ne se reproduise plus. e ne veux pas tirer sur les joueurs qui ont été alignés parce qu’ils ont fait leur match, mais à ce niveau-là, l’expérience est primordiale, poursuit l’entraîneur rémois. Un seul joueur de mon équipe (Pablo Chavarria) avait déjà évolué à Geoffroy-Guichard. Or, pouvoir appréhender le stade et le public, ce n’est pas négligeable."

Selon la dernière édition de la Pravda, Franck Ribéry a agressé l'ancien latéral stéphanois Patrick Guillou ce week-end suite à la défaite du Bayern à Dortmund. Extraits.

"Bild l'a révélé dimanche et la chaîne qatarienne l'a confirmée lundi après-midi, dans un communiqué : "Franck Ribéry a eu des propos injurieux vis-à-vis de Patrick Guillou et s'en est pris à lui physiquement." Le Bayern a reconnu les faits en parlant d'une "altercation" mais c'est plus qu'une simple prise de bec qui a opposé les deux hommes. Samedi soir, le match était terminé depuis une heure quand Ribéry, titulaire et resté sur le terrain jusqu'au bout, a croisé Guillou à la sortie du vestiaire. L'ancien joueur de Saint-Étienne venait de commenter le match pour beIN Sports. L'attaquant français a aperçu Guillou, qu'il connaît depuis plusieurs années, et l'a entraîné dans un coin un peu à l'écart, près du car de son équipe. C'est là que la colère de Ribéry a explosé.

Selon des témoins, l'ancien international a insulté le consultant avant de lui frapper la poitrine et de lui asséner trois gifles. Guillou avait les mains dans les poches et il n'a pas réagi à l'attaque de Ribéry. Pas plus que Jean-Pierre Papin, lui aussi présent à Dortmund pour beIN Sports et qui est resté interdit devant la scène. Les services de sécurité des deux clubs sont en revanche intervenus et ont éloigné le joueur, qui est monté dans le car sans avoir fini d'exprimer toute sa fureur : une fois dans le véhicule, il a encore été vu vociférant jusqu'aux marches, adressant une fournée de doigts d'honneur.

Que reprochait Ribéry à Guillou ? L'attaquant était plus occupé à s'expliquer par le geste que par la parole mais il en voulait visiblement au consultant pour ses propos à l'antenne. A-t-il été alerté par sa femme, qui s'était plainte des commentaires de Guillou sur les réseaux sociaux pendant la rencontre ? Il semble en tout cas que faire remarquer une perte de balle conduisant à un but de l'adversaire, comme celui du 3-2 de Dortmund, ne soit guère au goût de la star bavaroise. Pour le Bayern, l'heure est plutôt à régler l'affaire discrètement et les dirigeants ont prévu de recevoir Guillou cette semaine. Soutenu par sa direction, le consultant se réserve le droit de porter plainte."

La préfecture de la Région Auvergne Rhône-Alpes vient d'emboiter le pas à la Ligue qu'on adule. Suite à l'interdiction de stade par cette dernière, "L'accès au Groupama Stadium de Décines et à ses abords est interdit le vendredi 23 novembre de 8h à 24h à toute personne se prévalant de qualité de supporter de l'ASSE ou se comportant comme tel.", précise la préfecture. Le Progrès nous précise les zones visées par cet arrêté.

Gageons que ces embûches qui visent à briser les ailes des supporters en donneront à nos joueurs pour cette rencontre.

Déjà absent lors du derby-déroute de novembre 2017 à domicile, Loïc Perrin manquera le prochain derby en banlieue. Pire, comme nous l'indique le site officiel, son indisponibilité est estimée à 5 semaines minimum, suite à une déchirure de l'ischio-jambier gauche.

Le site hongrois csakfoci nous apprend aujourd'hui que Florentin Pogba est mis à l'essai par l'historique club du Ferencváros Budapest (29 fois champion de Hongrie).

Si le test est concluant, il se verra proposer un contrat, sachant qu'il est libre depuis le non renouvellement de son engagement avec le club turc de Genclerbirligi (saison terminée dans un certaine confusion...).

Si on prie tous les jours tous les Perrin du foot pour que les Vilains n'aient pas le moral vendredi 23 novembre vers 23h, on sait déja qu'ils n'auront pas le Morel.

En effet, averti samedi, leur défenseur central utilisé depuis 2 matchs dans une défense à trois (ou à cinq) et titulaire à 7 reprises en Ligue 1 cette saison a récolté son 3ème jaune et sera donc suspendu contre nous.

Sa passe décisive a été saluée comme il se doit par son destinataire, Whabi Khazri ("Sur mon but, il faut surtout parler de la passe exceptionnelle d’Ole").
C'était mine de rien la 4ème de la saison pour Ole Selnaes, qui pointe à la 6ème place des passeurs de Ligue 1 derrière Di Maria (6 passes), Neymar, Diaby, Payet et Pepe (5 passes).
Si souvent passeur, il ne reste plus à Ole qu'à scorer. Dans 11 jours, au hasard...

Dans la dernière édition du Progrès, le numéro 7 des Verts évoque le prochain match de son équipe, le 23 novembre prochain chez les vilains en match d'ouverture de la 14e journée.

"Il était important de gagner avant la trêve et surtout avant le derby. Avec ce deuxième succès consécutif à domicile, on va aller plus costaud à Lyon. Il faut avoir des objectifs de haut niveau. Ce sera un gros match face à un concurrent direct. Il faut être revanchard et on va mettre les moyens."

Buteurs contre le Stade de Reims avant-hier soir, les numéros 10 et 26 de l'ASSE sont dans l'équipe type du week-end des cinq grands championnats européens selon site de statistiques footballistiques WhoScored.

Gurtner (Amiens) - Debuchy (ASSE), Rami (OM), Baumgartl (Stuttgart), Sandro (Juventus) - T.Hazard (Monchengladbach), Depay (vilains), Ilicic (Atalanta), Pléa (Monchengladbach) - Cavani (QSG), Khazri (ASSE).

Dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin souligne l'apporte de Mathieu Debuchy. Extraits.

"Son but de la tête fut un régal. Ça devient sa spécialité ! Il prend vraiment bien le ballon, le timing est remarquable et il positionne son corps parfaitement pour ajuster sa reprise. Je vous le répète souvent, il est indispensable que l’équipe montre de la détermination d’entrée de jeu et il le fait parfaitement. C’est un garçon que j’apprécie beaucoup. C’est un joueur qui a permis au club de montrer un autre visage. Il ne conteste pas les décisions et montre l’exemple. Il a une belle tenue. J’ai du plaisir à le voir évoluer. C’est un exemple de détermination et non pas d’agressivité. C’est un terme que je déteste car il a un côté négatif. J’ai bien aimé Ole Selnaes aussi. C’est un gars très déterminé également et très posé à la fois. Il a une belle qualité technique."

Le milieu de terrain norvégien des Verts fait partie de l'équipe type de la 13e journée selon France Football à paraître demain.

Gurtner (Amiens) - Manceau (Angers), Rami (OM), Thomas (Angers), Capelle (Angers) - Blin (Amiens), Selnaes (ASSE), Diaby (QSG) - Depay (vilains), Cavani (QSG), Sala (Nantes).

Pour rappel, l'autoproclamée "bible du football" avait déjà sacré le numéro 17 des Verts comme deux autres de ses coéquipiers lors de 6e journée (victoire 2-1 contre Caen).

... mais Mathieu Debuchy est son plus sérieux rival !

C'est qui ressort d'une infographie parue ce lundi dans la Pravda. Alors qu'il n'a plus trouvé le chemin des filets depuis son but égalisateur de la 95e minute contre Metz du 12 mars 2017 (soit 45 matches de disette en championnat), le capitaine des Verts est le défenseur encore en activité en L1 ayant claqué le plus de pions dans l'élite (26).

Son dauphin n'est autre que Mathieu Debuchy. Le latéral droit stéphanois a en effet marqué contre Reims son 22e pion en L1 (son 6e sous le maillot vert). Le vétéran Vitorino Hilton (41 ans) complète le podium (20 buts), l'ancien vert Mathieu Bodmer et Christophe Jallet se partageant la médaille en chocolat (14 réalisations).

Pour la première fois de la saison, le numéro 10 des Verts figure dans l'équipe type de la Pravda, qui récompense aussi son entraîneur à l'occasion de cette 13e journée :

Sels (Starsbourg) - Kehrer (QSG), Rami (OM), Thomas (Angers) - Atal (Nice), Draxler (QSG), Aouar (vilains), Diaby (QSG) - Depay (vilains), Cavani (QSG), Khazri (ASSE). Entraîneur : Gasset : (ASSE)

Comme le souligne la dernière édition du quotidien valaisan Le Nouvelliste, Meyrin (D4 suisse) a gagné 3-1 samedi contre le FC Martigny-Sports grâce à un hat-trick réalisé en neuf minutes par Matt Moussilou (36 ans). L'ancien attaquant stéphanois a claqué pas moins 13 pions cette saison !