Les U19 Féminines se regroupent en effet ce week end à l'occasion de la Scania Women's Cup, pour l'un des derniers rendez vous de la saison.

Ce tournoi, ayant lieu chaque année à Sablé-sur-Sarthe, se déroule sur un week end et oppose parmi les meilleures équipes du continent. 
Ainsi 8 équipes Françaises seront opposées à 8 équipes Européennes, disposées en 4 groupes, l'année dernière la finale avait opposé l'En Avant de Guingamp au FC Barcelone, pour une victoire Catalane.
Des bretonnes que les jeunes pousses vertes retrouveront dès les poules puisqu'elles se trouvent dans le même groupe C en compagnie du FC Rosengard et de l'Atletico de Madrid.


Vous pourrez suivre le parcours des filles, entrainées par Jean-Charles Cirilli tout le week end sur la page facebook du tournoi,

Allez les Vertes !
Ramenez nous une coupe belle comme son sponsor !

Sur la liste des engagés de l’Europa League 2020, on compte pas moins de 14 clubs que nous avons affrontés dans notre longue histoire.
L’occasion de s’offrir un petit feuilleton en 14 épisodes, en forme de flash back.

Pour le douzième épisode, nous franchissons le Rhin, pour le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, où le Borussia Mönchengladbach s’est qualifié comme nous pour les poules de l’Europa League grâce à sa cinquième place en Bundesliga.

Pour moi, encore enfant, Mönchengladabch c’est Ipswich. Et Ipswich c’est Mönchengladbach. Deux fessées que je situe vaguement à la fin des années 70. L’examen précis des contextes valide ce rapprochement. En fait tout les réunit. Dans les deux cas il s’agit d’une piteuse élimination sans suspense, dans les deux cas avec naufrage dans le chaudron, dans les deux cas en mars, dans les deux cas en quart de finale de la Coupe de l’UEFA. Dans les deux cas, nous tombions de haut après un parcours qui, jusque-là, nous avait plongé dans l’euphorie (il y avait eu Eindhoven en novembre 1979, et Hambourg en novembre 1980).
Comme nous encaisserons un sévère 1-4 à GG contre Ipswich en mars 1981, nous nous inclinons 1-4 à Sainté ce 5 mars 1980 lors du match aller contre ‘Gladbach de Lothar Matthäus devant 40 000 personnes médusées. Carsten Nielsen inscrit un doublé, et Platoche claque sur pénal notre seul pion alors que le score est déjà de 0-4. Alea jacta est. Le retour ne permettra même pas de sauver l’honneur puisque nous nous inclinons 2-0.

On l’a presque oublié aujourd’hui, mais si la claque est terrible, elle est alors infligée par un des cadors européens. Gladbach, c’est bien-sûr 5 titres de champion d’Allemagne dans les années soixante-dix, mais une domination étendue à l’Europe puisque les Teutons sont finalistes de la Coupe de l’UEFA 1973 (défaits par Liverpool), puis la remportent en 1975, avant d’atteindre la finale de la Coupe des Champions en 1977 (face à … Liverpool encore), puis de perdre (toujours contre Liverpool) en demi-finale de la C1 1978, et gagner une seconde fois la Coupe de l’UEFA en 1979. Les Verts s’inclinent donc contre le tenant du titre, qui ira ensuite jusqu’en finale en mai 1980. Vous comptez bien, ça fait 5 finales européennes en 8 ans. Nous nous inclinons face à une équipe et une nation qui dominent le foot européen et mondial comme l’EDF de 1982 en fera la douloureuse expérience.

Gladbach nous ressemble un peu : une ville moyenne (250 000 habitants), un club qui a connu son apogée dans les années 70, qui a connu deux descentes en 1999 et 2007 et qui est depuis une dizaine d’année redevenu un abonné du Top 10 en bundesliga : 6ème en 2013, 3ème en 2015, 4ème en 2016, 9ème en 2017, 8ème en 2018 et donc 5ème la saison dernière. Même son coefficient UEFA est proche du nôtre, grâce notamment à un passage en poule de Ligue des Champions 2017. S’il est légèrement supérieur (29 contre 23), il pourrait nous empêcher de nous affronter en poule, si les deux équipes sont dans le pot 2. Auquel cas, il faudrait attendre un peu avant de se retrouver, pourquoi pas en mars 2020, 40 ans après ?

Lundi, pour le treizième épisode de notre feuilleton nous nous offrirons un voyage nettement plus court dans le temps !

Ancien défenseur central de l'ASSE (de 1992 à 1996) et ex-entraîneur de Savigneux-Montbrison (de 2009 à 2012), Patrick Moreau est selon Le Progrès fortement pressenti pour intégrer le centre de formation de l'ASSE, dont l'organigramme va changer suite aux départs de Laurent Batlles et Christophe Chaintreuil.

Agé de 45 ans, le natif de Cognac vient de passer sept ans au centre de formation de l'ASNL. Après y avoir entraîné les U15 pendant six mois, il a succédé à Vincent Hognon à la tête des U19 lorsque l'actuel entraîneur messin a été promu chez les pros en février 2013.

L'ancien joueur de Bastia, Metz, Nancy et Châteauroux vient de quitter la Lorraine sur une relégation. Si l'équipe première de l'ASNL a réussi à se maintenir grâce à Vagner, la réserve et les U19 ont bouclé leur triste saison par une descente...

Le Progrès du jour fait un point sur le gros chantier en cours au centre de formation de l'ASSE. Extraits.

"La salle de musculation, grande de 95 m², fera désormais 170 m². Un espace de récupération avec notamment un sauna et un bain froid est en cours de création. Les vestiaires font peau neuve et une salle sera dédiée au pôle médical. Le réfectoire et la cuisine subissent également un gros lifting. Ces travaux devront être achevés courant juillet pour accueillir les joueurs au moment de la reprise.

La plaine des jeux ne sera praticable que fin septembre car la pousse est longue. Les terrains seront dotés d’une technologie hybride. Un brin de synthétique est planté tous les deux centimètres environ. Un système d’arrosage automatique et de chauffage, jusqu’à 8 °C, sera également installé. L’aire de jeux pourra être plus sollicitée et résistera mieux aux températures hivernales. 

Dans une autre phase, l’an prochain, le terrain Aimé-Jacquet et la partie supérieure (chambres, salle TV, salles de classe…) du centre de formation seront également refaits. Le synthétique couvert, déjà terminé, entre dans le cadre de tous ces travaux dont l’investissement total s’élève à 5,6 millions d’euros."

Ayant résilié son contrat avec Sainté en octobre dernier pour rejoindre la Jeanne d'Arc de Drancy, Clément Cabaton (23 ans) n'aura pas pu empêcher le club partenaire de l'ASSE de descendre en National 2. Mais l'ancien champion de France des U17 stéphanois jouera encore en National 1 la saison prochaine. Il s'est en effet officiellement engagé aujourd'hui avec le FC Villefranche-Beaujolais, où il retrouvera un autre ancien pensionnaire de la maison verte, Sami Belkorchia (24 ans).

Auteur du but égalisateur des Nîmois qui avaient éliminé les Verts de la Coupe de la Ligue le 27 novembre dernier aux Costières, l'international offensif gabonais Denis Bouanga (24 ans) est à nouveau dans les petits papiers de l'ASSE selon Manu Lonjon.

"Les pistes Fabien Tait et Rémi Oudin sorties dans la presse ne sont pas d'actualité. Par contre la piste Bouanga l'est. Ces dernières heures, Sainté a rencontré l'entourage du joueur. C'est quelque chose qui peut se faire très rapidement, avant la fin du mois, Rennes étant également sur le coup."

Pour rappel, le compatriote de Pierre-Emerick Aubameyang était déjà pisté par Sainté quand il évoluait à Tours puis à Lorient et son nom avait encore circulé l'hiver dernier.

Le site 20 minutes revient aujourd'hui sur la rencontre insolite qui a eu lieu hier à 17h au stade Salif Keita de l'Etivallière et qui a opposé des "Grannies" d'Afrique du Sud, les Vakhegula Vakhegula, à une équipe composée de « mamies foot » recrutées à travers toute la France. Extraits.

"Au final, « une belle rencontre », souligne Tina, 79 ans, propulsée au poste de milieu défensif. « Nous avons partagé nos cultures et créé des liens très forts. Mais j’espère qu’elles seront assez fair-play pour ne pas nous écraser d’entrée de jeu », éclate de rire la septuagénaire. Car en face, il y a de l’expérience. Et balle aux pieds, ça ne plaisante pas. « Elles n’ont que 4 grands-mères de notre âge dans leur équipe. Les autres, ce sont des championnes », poursuit Tina, hilare."

Francine, 84 ans est la doyenne française. Elle est venue d’Aix en Provence et a découvert ses coéquipières de jeu pour la première fois au mois de mai. « Mes petits enfants me soutiennent à fond. Mon fils m’a disputée. Il pense qu’à mon âge, ce n’est pas raisonnable de jouer car j’ai deux prothèses de hanche », sourit-elle, précisant qu’elle sera remplaçante au coup d’envoi. L’octogénaire avoue n’avoir jamais joué au foot de sa vie bien qu’elle suive chaque édition de la coupe du monde à la télé. « A midi, on a très bien mangé mais je crois qu’avant un match, c’est un peu imprudent… Là, je suis un peu stressée mais ça ira mieux ce soir car ils ont prévu un dîner de gala où l’on pourra danser », ajoute-t-elle.

Adriana, 67 ans, aura la lourde tâche d’être le renard des surfaces, postée à la pointe de l’attaque tricolore. « J’espère que j’arriverai quand même à marquer un but… car jusque-là, je n’ai jamais réussi », expose-t-elle.

Edith, 69 ans, qui vient de Pont-Aven en Bretagne, n’aura pas cette chance. Elle s’est blessée au mollet et le kiné lui a suggéré de rester sur le banc de touche. « J’en ai pleuré car je me suis entraînée d’arrache-pied pour réaliser quelque chose. C’est dur de ne pas pouvoir jouer car c’est tellement motivant de vivre cette aventure exceptionnelle. Et le foot, c’est loin d’être inné. Je me suis accrochée pour être au rendez-vous », raconte-t-elle.

Quant au score, il est sans surprise : 

Sur le bord des terrains, les encouragements redoublent. L’addition sans surprise est un peu salée. 7-0 pour les Sud-africaines à la mi-temps. 10-0 à l’arrivée. Qu’importe le résultat. L’essentiel est ailleurs. « Ma mère a 82 ans et je ne le vois pas jouer au foot », lâche dans le public un spectateur impressionné. « J’aimerais bien en faire autant, poursuit une pimpante septuagénaire. J’ai le même âge qu’elles mais je serais incapable de courir sur un terrain ». « Le foot n’est finalement qu’un prétexte. Le plus important c’est l’échange et la rencontre », conclut Tina.

Sur la liste des engagés de l’Europa League 2020, on compte pas moins de 14 clubs que nous avons affrontés dans notre longue histoire.
L’occasion de s’offrir un petit feuilleton en 14 épisodes, en forme de flash back.

Pour le onzième épisode, nous partons à Lisbonne, où le Sporting Portugal s’est qualifié comme nous pour les poules de l’Europa League grâce à sa victoire en Coupe du Portugal.

Dans nos mémoires « épopéennes », il y a les matchs de légende, et ceux pourtant tout aussi essentiels dans nos parcours, qui vivent dans leur ombre. Le 1/16ème de finale de la Coupe des Champions 1975 contre le Sporting est de ceux-là. Pour vous situer, c’est le match d’avant Split. Tout de suite plus clair non ?
S’il ne nous a pas marqués, c’est aussi peut-être qu’on a franchi l’obstacle sans trembler. Hervé Révelli et Georges Bereta nous ont offert le score souvent considéré comme idéal à l’issue du match aller (2-0). Un principe de score idéal que contesteront des Ukrainiens dépités lors de l’édition suivante mais c’est une autre histoire…
Si en ce 18 septembre 1974, GG n’était pas rempli (à peine 22 000 spectateurs), les Portugais se montreront encore moins enthousiastes au retour (moins de 20 000 personnes au stade José Alvalade), et Christian Synaeghel, vêtu de rouge pour l’occasion, leur donnera raison en claquant à la 25ème un pion qui mettra fin au suspense. L’égalisation ne changera rien à l’affaire (1-1), les Verts ont la banane avant d’affronter Split.

Le Sporting, troisième gros club portugais derrière Benfica et Porto compte mine de rien 18 titres de champion. Celui glané en mai 1974 qui permettait aux Vert et Blanc de défier les Vert et Blanc était le 14ème. Même si le Sporting est toujours à l’affut Il lui est devenu plus dur depuis quarante ans de contester l’hégémonie des deux grands.
Au-delà de ses frontières, il s’est également construit un palmarès estimable avec une Coupe des Coupes en 1964 mais aussi une finale de Coupe de l’UEFA en 2005.

Dans un passé nettement plus récent, nos Verts sont retournés à Lisbonne affronter le Sporting dans un stade Alvalade nettement plus garni qu’en 1974. C’était pourtant un match amical en ce 28 juillet 2012. Les hommes de Galette s’inclinent 3-1 (but de Sako) dans une partie qui aura surtout permis à Ricky de taper dans l’œil de Galtier.
En septembre prochain, le Sporting arrivera en poule d’Europa League avec un élan certain né de sa solide troisième place en championnat et d’une victoire en coupe obtenue en triomphant du Benfica en demi-finale et de Porto en finale. Son coefficient UEFA lui garantit une place dans le premier chapeau et nous offre donc une chance sur douze d’avoir des retrouvailles 45 ans après !

La saison dernière, déjà directement qualifié pour les poules d’Europa League, le Sporting, avec 13pts, avait fini 2ème derrière Arsenal et s’était aisément qualifié pour les 1/16èmes de finale où il s’est incliné contre Villareal (défaite 0-1 à domicile, nul 1-1 en Espagne). La saison précédente, qualifié en poule de la Ligue des Champions, il n’avait pu aller plus loin, finissant 3ème derrière le Barça et la Juve.

Demain pour le douzième épisode de notre feuilleton, nous continuerons dans le costaud, et ouvrirons une série de souvenirs qui piquent un peu.

Dans un long entretien paru avant-hier sur le site officiel des Gunners, Pierre-Emerick Aubameyang a rappelé que c'est à Sainté que sa carrière a décollé.

"En 2011 j'ai rejoint Saint-Etienne et tout a changé pour moi. Christophe Galtier m'a donné beaucoup de confiance quand j'étais là-bas. J'avais toujours été prêté, mais après mes six premiers mois à l'ASSE, le club m'a acheté, j'étais vraiment heureux. C’est à ce moment-là que je me suis dit :  "OK, je dois maintenant m’améliorer, travailler encore plus fort que je ne l’ai fait auparavant". C'est ce que j'ai réussi à faire. C'est à partir de là que les choses ont vraiment commencé à bien se passer pour moi. J'ai gagné la Coupe de la Ligue avec les Verts."

Selon la dernière édition du quotidien Ouest-France, l'ASSE et le Stade Rennais convoitent le talentueux numéro 10 lorientais Alexis Claude-Maurice, qui vient de fêter ses 21 ans. Préformé par Torcy comme les pros stéphanois Lamine Ghezali et Alexandre Valbon, l'actuel coéquipier de Fabien Lemoine a claqué 14 pions et délivré 4 passes décisives cette saison en L2.

Ancien partenaire d'Arnaud Nordin à l'INF Clairefontaine, le natif de Noisy-le-Grand a déclaré dans la Pravda du jour qu'un ancien bourreau européen des Verts avait sa préférence. "Je veux rejoindre Mönchengladbach, c'est un club qui s’appuie sur les jeunes. Il y a une bonne structure, l'équipe va jouer la Ligue Europa. Ce projet me plaît et me correspond."

Selon le quotidien sportif et le quotidien régional le plus diffusé de France, les Merlus ont refusé l'offre de 8 M€ formulée par le club allemand car ils espèrent vendre leur pépite au moins le double. Il y a donc peu de chances de voir ACM sous le maillot vert...

Sur son site internet, l'Express indique qu'Arsenal va faire une offre à l'ASSE pour le transfert de William Saliba. A noter que les Gunners ne souhaiteraient pas prêter le défenseur central à Sainté pour la saison à venir car l'entraineur Londonien Unai Emery veut se renforcer immédiatement. Le club de Pierre-Emerick Aubameyang suivrait également Dayot Upamecano (RB Leipzig) et Joachim Andersen (Sampdoria) en cas d'échec avec William Saliba. 

De son coté, Manu Lonjon annonce sur son compte twitter que "les choses devraient s’accélérer. Si à cette heure, les clubs n’ont pas encore discuté concrètement, de source proche, Arsenal pourrait formuler une première offre à l’ASSE d’ici la fin de la semaine ! Arsenal veut William Saliba."

Comme l'avait annoncé Le Parisien le 23 mai dernier, une rencontre insolite a eu lieu ce mercredi à 17h au stade Salif Keita de l'Etivallière.  Elle opposait des "Grannies" d'Afrique du Sud, les Vakhegula Vakhegula, aux "Mamies" de la résidence Senioriales de Saint Etienne. Les "Super Mamies" en ont profité pour visiter le musée des Verts, assister à quelques affrontements entres les équipes féminines de l'ASSE, avant de chausser elles-mêmes les crampons en fin de journée. Nul doute que le spectacle était au rendez vous !

Présentée hier, la milieu de terrain Lalia Storti qui n'a connu que la première division avant de s'engager avec l'ASSE s'est exprimée sur son arrivée à Sainté. Extraits :

"J’ai été conquise par le projet que m’ont proposé le coach Jérôme Bonnet et le Président Jean-Marc Barsotti. Je voulais retrouver un club qui jouait une montée plutôt qu’un maintien en D1. L’ASSE m’offre cette possibilité de vivre un beau défi. C’est une chance que j’ai voulu saisir dès que l’on a entamé les discussions.

J’évolue en tant que milieu défensive. J’ai davantage les qualités d’une numéro 8 que d’une numéro 6. Ce que je préfère, c’est avoir le ballon, jouer vers l’avant. Ça correspond à mes qualités techniques. Je suis combattive et revancharde car je sors de deux saisons compliquées. Maintenant, il va falloir le prouver sur le terrain.

Quand on parle de l’ASSE, on est obligé d’évoquer l’équipe masculine, qui fait partie des meilleures en France. J’ai aussi pu suivre les résultats de la formation, dont on m’a dit beaucoup de bien. Au niveau des féminines, c’est un club que j’ai connu en D1 et qui veut y retourner. Le projet, c’est d’obtenir la montée. Au niveau de l’effectif, je connais très bien Léonie Multari, avec qui j’ai évolué à Marseille. Sportivement et humainement, c’est une fille exceptionnelle. Je suis très heureuse de la retrouver."

Comme l'avait annoncé le président messin dès le 27 avril dernier et conformément au souhait exprimé par le joueur le 16 mai, le FC Metz va lever l'option d'achat de Habib Maïga. Evoquée sur le site officiel du promu lorrain il y a une semaine, l'info est confirmée ce soir par la Pravda, qui rappelle que le montant avoisine un million d'euros. Actuellement sous contrat jusqu'en juin 2020 mais n'entrant pas dans les plans des Verts, le milieu de terrain ivoirien a disputé dix-sept matchs toutes compétitions confondues cette saison sous le maillot grenat et marqué deux buts en Ligue 2.

Sur la liste des engagés de l’Europa League 2020, on compte pas moins de 14 clubs que nous avons affrontés dans notre longue histoire.
L’occasion de s’offrir un petit feuilleton en 14 épisodes, en forme de flash back.

Pour le dixième épisode, nous retournons nous faire voir chez les Grecs, du côté d’Athènes, ou l’AEK s’est qualifié pour le 3ème tour qualificatif de l’Europa League prévu les 8 et 15 août prochains grâce à sa 3ème place en championnat.

L’AEK, c’est encore chaud. Ca date précisément du 28 juillet 2016. La campagne verte démarre au 3ème tour des qualifications, avec une affiche un peu plus sexy que les habituels Milsami ou Targu Mures. Avec l’AEK Athènes, on a en effet affaire à un habitué de l’Europe, troisième plus grand club grec avec onze titres au compteur (douze avec celui conquis en 2018).

L’affiche est donc sympa en cette fin juillet, mais nos Verts qui reçoivent lors du match aller ne sont manifestement pas prêts, pris en sandwich par ces Grecs entre des matchs amicaux et le début du championnat. S’ils ne sont pas réellement bousculés derrière, Tannane, Hamouma et Roux devant ne se montrent guère plus inquiétants pour la défense adverse et les Verts démarrent sur un score face au Héllènes vierge (0-0). Beric, rentré en fin de match, n’a pas eu vraiment d’occasion de faire parler son réalisme. Il attendra le retour pour cela. Dès la 23ème minute, il calme de près et de la tête sur un beau centre d’Hamouma les 25 000 supporters du stade olympique (0-1).
Le ton de cette campagne est donné. Sans briller, souvent à l’arrache, souvent grâce à nos perfs loin du Chaudron, et toujours avec une assise défensive solide, les Verts, qualifiés pour les barrages emploieront les mêmes recettes pour (péniblement) sortir le Beitar Jérusalem, puis sortir de leur poule.

Pour l’AEK, même éliminés prématurément, ils ne sont pas coupés dans leur élan, puisqu’ils finiront 4ème du championnat en 2017, puis champion en 2018 et donc 3ème en mai dernier. Un joli sursaut pour un club relégué en D3 en 2013 suite à des soucis financiers.
La saison dernière, qualifié pour le 3ème tour des qualifications de la Ligue des Champions, les Athéniens atteignent la phase de poule, après avoir tapé le Celtic, puis les Hongrois du Vidi FC en barrages. Ils intègrent donc le grand barnum de la Ligue du Pognon pour n’y claquer que deux buts en 6 matchs et finir à zéro point dans une poule clairement trop relevée (Bayern, Ajax et Benfica).
Son joli coefficient UEFA et le statut de tête de série qui va avec pourrait l’aider à franchir les deux tours qui mènent aux poules. Pas sûr pour autant que nous les recroisions car il ne serait pas impossible qu’on se retrouve dans le même chapeau au tirage au sort.

Demain, pour le onzième épisode de notre feuilleton nous ferons un grand saut dans le temps et poursuivrons notre tour des ports du Sud de l’Europe.

Le site de Rodez Aveyron Football nous apprend que David Douline s'est définitivement engagé avec le club aveyronnais qui vient d'accéder à la Ligue2. Il était l'an dernier prêté par Clermont Foot 63, mais une incertitude planait sur son avenir, incertitude à laquelle il vient de mettre fin en s'engageant pour une année avec une autre en option.

Joueur clé du système de Laurent Peyrelade cette saison 2018/2019, il aura effectué 26 matches sous le maillot sang et or (sur 29 possibles).Il s’est notamment distingué en inscrivant son premier but lors de son premier match sous le maillot ruthénois. Il aura inscrit 3 buts cette saison. Il retrouvera donc d'autres anciens Verts, tels Nassim Ouammou, Nathanaël Dieng, dans un club qui en a vu passer bien d'autres, tel Alexandre Barthe, Mickaël Gaffoor, Jérémy Mellot, Jessim Mahaya. 

L'acteur franco-américain Timothée Chalamet revendique une nouvelle fois son statut de supporter des Verts dans la dernière édition du Progrès.

"Mes amis sont fans des New York Red Bulls ou des Los Angeles Galaxy en MLS, moi je suis un ardent supporter des Verts de Saint-Étienne. Loïc Perrin incarne les valeurs stéphanoises : travail, humilité, abnégation. Je suis son grand fan. Mon meilleur ami est un Franco-américain comme moi, Axel Muyl, qui est professionnel aux New York Red Bulls. Nous avions débuté le foot ensemble dans un club à Manhattan. Je ne connais pas tous les joueurs de l’effectif actuel de l'ASSE mais je suis les résultats du club via internet."

Dans le même quotidien régional, son père Marc l'incite à devenir l'ambassadeur des Verts à New York.

"Je le pousse pour qu’il s’en occupe. Cela lui plairait et nous en avions évoqué l’idée. Seulement, pour l’instant, il a un timing de dingue. La colonie stéphanoise est moins nombreuse que celle des Gones dans la Big Apple mais il existe un petit noyau dur qui ne demande qu’à se fédérer. Timmy sera parfait dans ce rôle de rassembleur."

Selon la dernière édition du Télégramme, l'ASSE s'intéresse à Ibrahima Diallo (20 ans), suivi également par le SCO, le LOSC et le Stade Rennais. Venant de disputer la Coupe du monde U20, ce milieu de terrain gaucher et longiligne est actuellement sous contrat avec Monaco mais sort d'une belle saison avec le promu brestois, qui souhaiterait le conserver.

Fort de ses 31 matches disputés dans le club de Kévin Mayi, le natif de Tours s'était confié il y a un mois dans la Pravda. "J'ai progressé l'utilisation du ballon. Je suis quelqu'un d'intense à la récupération mais je dois progresser dans l'utilisation. Je sens que dans la variété, jeu vertical, horizontal, dans mon jeu long, j'ai évolué. Je pense que j'ai le niveau pour jouer à Monaco mais tout dépend du recrutement que le club veut faire."

Revenu l'été dernier au QSG en tant que manager général de la formation après deux ans à Monaco, Bertrand Reuzeau devrait repartir en Principauté selon la Pravda du jour. Le quotidien sportif assure que l'entraîneur monégasque Leonardo Jardim a contacté l'ancien directeur du centre de formation de l'ASSE (de 2000 à 2003) pour lui demander de revenir dans un club qui lui propose presque de doubler son salaire.

"Sollicité par Saint-Etienne et Angers, le milieu de terrain monégasque Kévin N'Doram (23 ans) est en discussion avancée pour un prêt avec Metz" selon la dernière édition de la Pravda.

Sévèrement taclé à la cheville lors du match opposant l'Angleterre à la France dans le cadre de l'Euro Espoir, Jonathan Bamba est sorti sur civière à la 66ème minute. La Pravda indique que l'ancien Stéphanois a été hospitalisé pour subir des examens.

Son sélectionneur Sylvain Ripoll est revenu sur la blessure de Jo' en fin de rencontre : "Jonathan est parti à l'hôpital faire des examens mais le docteur avait l'air assez confiant malgré tout. On espère qu'il n'y a rien de cassé. Je n'ai pas vu les images, je ne peux pas commenter mais on me dit que le carton rouge était amplement justifié."

Hamidou Keyta était arrivé à l'ASSE en juillet 2016, en provenance de Trélissac après avoir été formé à Auxerre puis au Havre. Vert durant la saison 2016-2017, il avait marqué en Coupe de France contre Croix le 700ème but de l'ASSE dans cette compétition à l'occasion du 300ème match de l'ASSE (victoire 4-1). Il avait également disputé comme titulaire le 16ème de finale de triste mémoire (défaite 3-0 à Auxerre). En championnat, Christophe Galtier l'avait titularisé contre Angers (victoire 2-1) et à Toulouse (victoire 0-3). Il était entré en jeu à Lille (match nul 1-1) et à Nice (défaite 1-0). Il avait par ailleurs disputé 11 matchs en CFA2 et inscrit 3 buts.

A l'issue de cette saison, après un essai au Stade Brestois, il avait rejoint Chambly (National)., sans succès puisqu'il n'avait participé qu'à 16 matchs de championnat, sans inscrire un seul but. L'an dernier, en juillet 2018, il était parti en Roumanie, dans le club de Dunarea Calarasi, un club de Ligue 1 qui a été relégué à l'issue de cette saison. 

Mais Hamidou Keyta restera dans cette Ligue 1 roumaine puisque le club de Viitorul Constanta, le club de Gheorghe Hagi vient d'annoncer sa signature pour deux ans (plus un en option).  

Officiellement nommé entraîneur des vilaines, Jean-Luc Vasseur a été présenté aujourd'hui lors d'une conférence de presse où il a fait part de sa satisfaction de rejoindre le club de la banlieue : "Je suis très heureux d'être ici. Je soupèse la chance d'arriver dans un club aussi énorme sur le plan européen. J'ai visité le stade et le musée. On sent le poids de l'histoire de ce club. C'est un honneur. Je remercie le président de m'avoir donné sa confiance. La barre est haute mais je l'accepte, car gagner est dans l'ADN du club. C'est une machine de précision qu'on me confie. Je serai dans la continuité. Bien jouer est quelque chose que j'ai toujours défendu. J'aime échanger, partager. Je suis ravi d'être à la tête d'une équipe féminine. Je ne me mets pas de limite dans la vie. Ce challenge est arrivé et il est très intéressant. C'est une très grande fierté de venir à l'OL. Le club a toujours eu des équipes qui m'ont plu ... Nous sommes entrés en contact il y a une quinzaine de jours. On a fait connaissance. Tout s'est passé de manière progressive."

Déjà évoqué ce matin par la Pravda, le PFC Ludogorets confirme via son site internet qu'un accord a été trouvé avec l'ASSE pour le transfert de Jorginho. L'attaquant devrait rejoindre son nouveau club bulgare après avoir disputé la CAN avec la Guinée-Bissau.

Comme nous l'annonce l'extrait rapporté par le potonaute Ultrasrouge,

C'est en raison d'une joueuse non qualifiée pour la rencontre face à l'Etrat La Tour, que les vertes ont vu leur écrasante  victoire 11 à 0 transformée en défaite sur tapis vert.


AFFAIRE N°90
ETRAT LA TOUR 1 N°504775 contre AS ST ETIENNE 2 N°500225
Coupe de la Loire féminine
Match n°21419027 du 12/06/19
Cette évocation a été communiquée le 13/06/19 au club du AS ST ETIENNE qui nous a fait part de ses remarques.
Après vérification, la Commission des Règlements constate que la joueuse, Mme. MUSTAFA Floresa, du club de AS ST ETIENNE
2, était suspendue le jour de la rencontre et ne pouvait participer à celle-ci (Art.150- 187- 226- de la FFF et Art 66 et 6A6bis des règlements sportifs du District).

A noter un point amusant de cette finale, le district ayant commandé les maillots en avance, même si les filles s'étaient qualifiées, elles auraient finalement joué avec les maillots prêtés, pas en vert donc, mais en bleu ou en rouge.

Sur la liste des engagés de l’Europa League 2020, on compte pas moins de 14 clubs que nous avons affrontés dans notre longue histoire.
L’occasion de s’offrir un petit feuilleton en 14 épisodes, en forme de flash back.

Pour le neuvième épisode, nous partons au bord de la mer Caspienne, où le  FK Qabala s’est qualifié pour le 2ème tour qualificatif de l’Europa League prévu les 25 juillet et 1er août grâce à sa victoire en Coupe d’Azerbaïdjan.

Qabala, c’est d’abord un sentiment désagréable lié au souvenir encore bien vivace des deux nuls en forme de purges deux ans plus tôt contre le voisin et presque homonyme de Qarabag. Des noms de clubs à coucher dehors, des destinations lointaines à dormir dans l’avion, l’éclatement de l’URSS nous offre des affrontements européens qui ont tout du tue-l’amour.
Qabala, en ce mois d’octobre 2016 c’est néanmoins synonyme de tournant bien négocié, sans émotions, mais sans briller non plus. A l’aube de la 3ème journée de la phase de poules, les hommes de Galette, diminués et en mal d’allant offensif, ont arraché deux nuls à Mayence (1-1) et contre Anderlecht (1-1). Ils reçoivent les Azéris avec un besoin impérieux de victoire pour éviter de rejouer le scénario des poules de 2014. S’ils s’imposent, ce n’est qu’en fin de match (70ème) sur un pauvre csc (1-0). 15 jours plus tard, grâce à Tannane et Beric, les Verts gagnent 2-1 en Azerbaïdjan malgré l’ouverture du score de Qabala et confirment que s’ils ne font rien dans la facilité, ils ont toujours le dernier mot. Avec le recul, on se réjouira de cette double victoire obtenue avec une équipe bis où M’Bengue, Pogba et Roux étaient titulaires, et contre un adversaire qui avait mine de rien muselé les Dogues Lillois d’Anto au troisième tour.
C’est donc en poule, considérant qu’on avait Azéri, que les Verts ont mis fin à la mauvaise blague de Qabala…

Quant à l’émotion, lors de cette dernière campagne européenne verte, on attendra l’ultime match à Anderlecht, et le tirage au sort des 1/16èmes de finale pour y goûter.

Depuis Qabala renouvèle sans éclat son abonnement à l’Europa League. La saison dernière, les Azéris se sont inclinés dès leur entrée dans la compétition, au premier tour des qualifications face aux Luxembourgeois de Progrès Niederkorn.
En mai dernier, leur victoire en coupe d’Azerbaïdjan leur a permis de sauver leur saison, par ailleurs achevée à la 4ème place (sur 8) de leur championnat avec seulement 9 victoires en 28 journées. Il leur faudra passer trois tours pour imaginer nous retrouver, perspective pour le moins alléchiante.

Demain pour le dixième épisode de notre feuilleton nous nous offrirons un retour au pays du 7ème épisode, dans un passé également très récent.

Venant d'enchaîner des prêts à Chaves et au CSKA Sofia mais actuellement sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2021, Jorginho redeviendra très probablement vert et blanc la saison prochaine sans passer par la case Sainté. Selon la Pravda, qui évoque un transfert infériueur à un million d'euros, l'attaquant va en effet s'engager pour quatre ans avec Ludogorets, sacré champion de Bulgarie pour la 8e fois d'affilée. La pépite dénichée par David Wantier aura marqué un but et délivré une passe décisive lors de ses 7 matches disputés avec l'ASSE. Avant de rejoindre le club qui a permis à Alexandre Barthe de se construire un beau petit palmarès, le petit ailier de 23 ans va disputer la CAN avec la Guinée-Bissau.

L'ancien défenseur Jean-Luc Vasseur (50 ans), qui a joué 13 matches avec les Verts lors de son unique et médiocre saison à l'ASSE (1995-1996), a été officiellement nommé hier entraîneur des vilaines.

Ancien joueur offensif de l'ASSE (de l'école de foot aux U19) passé par Andrézieux, Maritimo, Marseille Consolat et Boulogne-sur-Mer, le Stéphanois Nassim Ouammou se réjouit dans Le Progrès d'avoir enfin signé son premier contrat pro à Rodez, promu en L2, où il devrait retrouver ses anciens coéquipiers stéphanois David Douline et Nathanaël Dieng.

"Ça a été long. Je n’ai pas eu un chemin facile mais je n’ai jamais lâché. J’ai fait un ou deux mauvais choix dans ma carrière qui m’ont freiné. Aujourd’hui, je savoure. Mon souhait était d’être pro en France. À un moment donné, j’étais lassé du National. Je pense que j’ai fait le tour. Là, c’était la Ligue 2 ou je partais à l’étranger pour découvrir autre chose. A Rodez, où j'ai joué la saison 2017-2018 en National, on est vraiment un groupe de potes, une famille. Quand tu joues à Rodez, tu t’attaches très vite à ce club. À part trois ou quatre joueurs, on va tous découvrir la Ligue 2. On est excité mais on y va sans pression. À l’ASSE, j’ai appris les bases de mon football. Depuis, les années se sont écoulées, j’ai progressé et j’ai mûri, dans mon jeu et dans la vie."