
Gomis régale contre Tunis
14/12 19:10

Si l'ASSE manque encore cruellement d'un avant-centre efficace cette saison, Bafé Gomis démontre à 34 ans qu'il n'a rien perdu de ses qualités de buteur. D'un superbe enchaînement coup du sombrero frappe croisée du droit, il a marqué aujourd'hui huit minutes après son entrée en jeu l'unique but de la victoire d'Al Hilal contre l'Espérance Sportive de Tunis en quart de finale du championnat du monde des clubs.
Auteur de son 19e pion de la saison en 25 matches, l'ancien attaquant stéphanois affrontera Flamengo mardi en demi-finale dans l'espoir d'affronter Liverpool ou Monterrey en finale.
Des Loups et délits
14/12 17:09

Le Wolfsburger Allgemeine Zeitung rapporte que 23 des 900 supporters stéphanois présents avant-hier soir à Wolfsbourg ont été interpellés pour détention de drogues et de fumigènes, 6 d'entre eux ayant été placés en détention provisoire. Soulignant que des fans des Verts se sont battus entre eux, le quotidien allemand précise que l'après-match a été assez calme grâce aux 500 forces de l'ordre mobilisées chez les Loups pour encadrer ce triste épilogue de la campagne européenne stéphanoise.
Paris sans Cavani
14/12 16:21
N'ayant claqué que deux petits pions en huit matches cette saison en L1, Edinson Cavani avait retrouvé le chemin des filets mercredi soir contre Galatasaray. Mais Thomas Tuchel a annoncé ce samedi en conférence de presse que l'attaquant uruguayen sera forfait demain soir (comme Presnel Kimpembe, Idrissa Gueye, Julian Draxler, Ander Herrera et Eric Choupo-Moting) car il a ressenti une douleur après une frappe contre l'ancien club turc de Bafé Gomis. Les Verts ne se plaindront pas de l'absence du numéro 9 du QSG : comme le rapporte Opta, Sainté est sa proie favorite dans l'élite (8 buts et 3 passes décisives).
On a déconné avec Da Cunha (4)
14/12 14:01
Restés sur le banc avant-hier à Wolfsbourg, Marvin Tshibuabua et Victor Petit risquent d'attendre un bon moment avant de faire leur première apparition avec les pros. Mais on aura noté qu'un autre U19 ligérien a été titularisé jeudi en Europa League.
Né à Roanne et supporter des Verts comme ses parents, le milieu offensif Lucas Da Cunha a réalisé une belle prestation lors de la victoire du Stade Rennais contre la Lazio. "Son volume de jeu est intéressant, sa justesse technique l'est tout autant. Il n'a pas eu froid aux yeux. Ses courses, son activité offensive et sa générosité lors des replis défensifs en témoignent" a souligné Ouest-France à l'issue de la rencontre.
Pour rappel, le coéquipier de Stefan Bajic en équipe de France U19 n'avait pas transformé l'essai qu'il avait fait à l'ASSE au grand dam de Dominique Rocheteau.
Un Leicester made in Puel
14/12 12:28

Après Claude Puel himself, c'est au tour de son adjoint Jacky Bonnevay de mettre aujourd'hui en avant dans 20 Minutes le bilan de l'actuel entraîneur des Verts à Leicester, solide deuxième de Premier League.
"Les joueurs étaient marqués par cette aventure ponctuée d'un titre de champion d'Angleterre en 2016, la ville en ébullition totale pendant des semaines. Quand on arrive après ça, qu’est ce qu’on peut faire de mieux ? C’est tout sauf confortable pour le staff qui prend le relais, on se fait tout sauf des amis. L’instigateur de ce qui se passe actuellement à Leicester, c’est Claude Puel. Il est arrivé pour faire le travail ingrat. Régénérer un effectif qui avait réussi un tel exploit puis changer le style de jeu même s’il reste parfois des transitions, c’était un rôle difficile.
Claude a poussé dehors Christian Fuchs pour faire progresser Chilwell. Il s’est attiré les foudres de tout le monde, mais aujourd’hui le petit, il est international. Ricardo Pereira, qui a été élu joueur de l’année par les fans, c’est lui qui le fait venir. Soyunçu, qui est considéré comme un des très grands espoirs du championnat en défense, il va le chercher en Allemagne et lui dit " Travaille, l’an prochain tu joueras ". Maddison, il va le chercher pour rien à Norwich. Choudhury, il le fait monter de l’académie. Sur le onze qui joue tout le temps cette saison, il y en a sept qui sont made in Puel !
On fait un bon début de saison, et pourtant Claude est toujours en tête de liste de la sack race, le classement des parieurs sur le premier entraîneur à être viré. Dès qu’on perdait deux matchs ça repartait, on parlait de Henry, tout ça n’était pas très juste. On a beaucoup exagéré les relations entre le staff et Vardy. Ce sont des bons gars faciles à entraîner. Je n’ai jamais vu de clash. Là-bas, la discipline et la motivation viennent toutes seules. En un an, je n’ai jamais vu personne arriver en retard à l’entraînement. Je continue à les regarder avec bienveillance et je les vois finir dans les quatre premiers sans problème."
La valeur de Maupay a décuplé chez les Anglais
14/12 11:00

Le Daily Mail a mis hier à l'honneur l'ancien attaquant stéphanois Neal Maupay (23 ans), qui a déjà claqué 6 pions cette saisons avec Brighton en Premier League.
"En juillet 2017, Brentford l'a acheté à Saint-Etienne pour seulement 1,6 M£ (moins de 2 M€). L'été dernier, ils l'ont vendu pour dix fois plus à Brighton. Cela symbolisait les progrès d'un joueur qui aura marqué 41 buts en 95 matches avec Brentford. Le montant de ce transfert montrait aussi à quel point l'attaquant est considéré en Angleterre. Après tout, le président de Brighton Tony Bloom, qui a fait fortune au poker, sait quelle carte jouer. "Quand je l'ai rencontré, il s'est moqué du prix qu'il a payé pour moi", rit Neal Maupay."
Pour rappel, l'ASSE avait acheté le joueur à Nice pour 500 000 euros (plus des bonus plafonnés à 500 000 euros) et le Gym avait négocié un intéressement sur la plus-value aux dires de son président. Sainté en avait fait de même, le pourcentage s'élevant à 20% selon RMC. Les Verts auront donc au final fait une plus-value de 5 M€ sur un joueur qui en vaut le quadruple aujourd'hui. C'est mince au regard des 8 M€ (+ 2M€ de bonus) investis pour recruter Loïs Diony...
Paris prend souvent des coups de Puel
14/12 10:10

Si l'ASSE avait fait chuter le QSG aux tirs au but en quart de finale de Coupe de la Ligue il y a sept ans, les Verts n'ont remporté aucun de leurs dix derniers matches à domicile contre Paris en L1 (5 nuls, 5 défaites). Mais Le Figaro nous rappelle que Claude Puel a gagné 10 fois contre le club de la capitale, aucun autre entraîneur actuel de l'élite n'a fait mieux.
Razik veut rattraper Trélissac
14/12 09:36

Dans Le Progrès du jour, Razik Nedder a conscience que la réception ce samedi à 18h00 du premier non relégable Trélissac (13e avec 13 points en 12 matches) est importante pour son équipe (antépénultième avec 10 points en 13 matches).
"Il y a une dynamique positive dans le contenu que l’on propose. Les joueurs prennent conscience des améliorations à effectuer et le projet se met en place doucement, bien que ce ne soit pas toujours beau à voir. Trélissac est à trois points de nous. À chaque journée, nous espérons prendre de l’air, d’autant plus à domicile. Ces opportunités doivent être saisies car c’est là que se joue le maintien. Nous devrons donc le faire contre une équipe, qui, contrairement à la majorité du groupe, joue en 4-4-2."
Et Mouss tomba dans les bras d'Ibra
14/12 09:12

Averti hier lors du match nul de son équipe (Lyon Duchère, 5e de N1) à Toulon, Moustapha Bayal Sall revient sur ses matches avec les Verts contre le QSG dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"En novembre 2012, lors de notre victoire au Parc, j'ai empêché Zlatan de jouer son foot, de faire ce qu’il voulait. Ce match-là a tout relancé pour moi. Avec Loïc, on formait une charnière de fer, on n’avait pas besoin de se parler. Se regarder, se replacer, ça suffisait pour savoir ce qu’on avait à faire. On se complétait beaucoup lui et moi. A chaque fois que j'empêchais Ibra de jouer son jeu, de dribbler, de sauter, il m’insultait en anglais, en suédois. Il donnait des coups de coude que personne ne voyait. Tout ce qu’il me donnait, je le rendais. Je répondais. Il s’est dit que je n’étais pas un défenseur comme les autres, que j’allais le chercher.
Parfois, après les rencontres, il m’appelait dans le vestiaire, il me donnait son maillot. Ça fait plaisir. Lors du match retour de la saison 2012-2013, on était mené 2-0 et on avait arraché le nul. Je parlais avec Blaise Matuidi après le match. Il est venu, il m’a pris dans ses bras, m’a demandé mon maillot, m’a donné le sien. C’était sympa. Je me souviens d’un match où il me voit boiter, il me demande ce qu’il se passe. Je lui dis que j’ai mal à l’adducteur et que je vais sortir. Il me dit : “Non ! Si tu sors, je sors.” Je suis remplacé et il l’est à son tour quelques minutes plus tard. Ce n’est pas donné à tout le monde de gagner le respect de Zlatan."
Angel, c'est oui ou bien c'est non ? (2)
14/12 01:54

Alors qu'Angel Di Maria était annoncé très incertain à Sainté par RMC jeudi, la Pravda de ce samedi assure que l'Argentin devrait faire partie du groupe du QSG à GG.
"Pour le déplacement à Saint-Etienne, Thomas Tuchel va enregistrer plusieurs retours dont celui d'Angel Di Maria. Ménagé mercredi contre Galatasaray pour une gêne musculaire, il s'est entraîné ce vendredi. Idem pour Colin Dagba, qui souffrait du même mal. Thoams Meunier, gêné en milieu de semaine par un syndrome grippal, a pris part lui aussi à la séance du jour. Kimpembe et Gueye, touchés tous les deux à la cuisse gauche, sont forfait pour Saint-Etienne.
Composition probable de Paris à Geoffroy-Guichard : Navas - Meunier, Thiago Silva, Diallo (ou Marquinhos), Bernat - Verratti, Marquinhos (ou Paredes), Draxler - Di Maria, Mbappé, Neymar."
Guil'a la foi !
13/12 15:56
Interviewé par France Bleu à l'issue de la défaite verte hier, Josuha Guilavogui a eu des mots sympa pour les (vrais) Verts :
"Quand on joue un match sans enjeu, on a la tête déja à dimanche, donc c'est normal qu'aujourd'hui ils n'aient pas donné toutes leurs forces mais on a pu quand même voir leur justesse technique, leur maîtrise dans les 20-25 premières minutes, je pense que c'est encourageant.
Après il manque des joueurs clé, je pense notamment à mon ami Loïc, il manque aussi Wahbi, Denis Bouanga, qui en ce moment est sur un petit nuage, ce sont des joueurs qui peuvent faire la différence. Après avec les supporters je pense que c'est possible de faire une grosse prestation contre Paris.
Paris cette année n'a plus cet avantage psychologique, les équipes qui jouent contre eux sont décomplexées, c'est pour ça qu'ils ont perdu chez le dernier, Dijon. Saint-Etienne, avec la saison qu'ils font, ils ont réussi à se sublimer contre Lyon et à gagner ce derby donc pourquoi pas réitérer la même prestation."
Batlles fait l'unanimité
13/12 13:53
L'Est-Eclair fait l'éloge de Laurent Batlles, 4e de L2 avec l'Estac avant d'affronter l'En Avant Guingamp de Nolan Roux au Roudourou puis l'AC Ajaccio d'Olivier Pantaloni au Stade de l'Aube. Extraits.
"Laurent Batlles, au caractère bien affirmé, reste très sobre en privé mais peut être cash dans le vestiaire. Profondément humain, il attire la sympathie et semble faire l'unanimité. Il y a les résultats, d'abord, qui plaident en sa faveur; il y a son attitude, ensuite, souvent positive; ses analyses, toujours pertinentes. Il place l'humain au centre des ses préoccupations, se focalise sur le jeu autant que sur l'enjeu. Il veut gagner mais pas à n'importe quel prix. En quelques mois, il a redonné corps au projet, qu'il porte avec force.
"La mayonnaise a pris assez vite" souligne le président Daniel Masoni. "Il m'a prouvé que l'on ne s'était pas trompé à son sujet. C'est un garçon très pro, qui apporte énormément de sérénité et qui a parfaitement géré le gros chantier qui lui était proposé, avec 15 départs et 16 arrivées. Le choisir était un petit pari mais à chaque fois que nous prenons un entraîneur, nous faisons un pari." Comme l'explique Philippe Beury, le docteur de L'Estac, "Laurent Batlles est franc, direct. Il sait ce qu'il veut. Quand un problème est connu, il est vite résolu. Une fois résolu, il est oublié. D'autres, avant lui, ruminaient. Lui passe vite à autre chose."
Fouss croit en Puel et au podium
13/12 12:46

Sur le site de 20 Minutes, Fousseni Diawara tient un discours optimiste.
"Je ne pense pas que les Verts fassent un complexe face au PSG, d’autant que les effectifs évoluent d’une saison sur l’autre. Les footballeurs sont des professionnels et des compétiteurs, ils ne se posent pas la question. Au contraire, on n’a pas envie de tendre l’autre joue et quand on a été battu plusieurs fois par la même équipe, ça donne encore plus de motivation.
Dimanche les Verts devront avoir de la réussite et marquer les premiers. Il faudra mettre beaucoup d’engagement et d’intensité défensive pour essayer de stopper les stars parisiennes. Je crois beaucoup en Claude Puel. Pour cette saison, c’est prématuré mais connaissant ses qualités de compétiteur, je suis persuadé que c’est l’homme qui pourra emmener Saint-Etienne en Ligue des champions."
La défaite ne l'affecte pas
13/12 07:32
Comme le rapporte Le Progrès, Claude Puel a minimisé sa troisième défaite stéphanoise hier soir en conférence de presse.
"On jouait à l'extérieur avec une équipe par certains côtés expérimentale. Il y a des joueurs qui ont pris de la confiance et du temps de jeu. On a donné par moments de bonnes choses dans la construction. Sincèrement la défaite ne me fait pas grand chose parce qu'on a respecté l'adversaire et la compétition. Le but c'était de voir certains joueurs, d'éviter les blessures. Mais deux joueurs sont sortis sur blessure. Jean-Eudes et Romain, qui devrait même être out pour dimanche."
Le quotidien régional précise que 34 000 billets ont d'ores et déjà été vendus pour ce match de clôture de la 18e journée de L1.
Et ils sont là les Stéphanois !
13/12 07:19
Si les joueurs de l'ASSE ont complètement raté leur campagne européenne, leurs supporters auront jusqu'au bout fait honneur à leurs vertes couleurs. Près d'un millier lors de ce match pour du beurre, ils ont mis le feu dans la froide Volkswagen Arena, qui a attiré moins de 11 000 spectateurs hier soir. Merci au site Furania Photos pour ces jolis clichés !
La défaite l'affecte
13/12 07:04
Comme le rapporte Le Progrès, Yann M'Vila a commenté hier soir en zone mixte la troisième défaite de l'ère Puel.
"Ça fait mal de perdre. ce n'est jamais agréable, c'est douloureux. On avait à coeur de gagner un match. C'était nouveau pour moi ce poste de défenseur central mais je me suis bien entendu avec Harold. C'est plus exigeant car tu n'as pas le droit à l'erreur. Pour dimanche, je ne suis pas inquiet car on pourra compter sur notre douzième homme."
Hamouma blessé et forfait contre le QSG ?
12/12 23:28

"A la défaite à Wolsfbourg s'ajoute une mauvaise nouvelle. Romain Hamouma est sorti blessé, non pour être préservé. Il est probablement "out" pour la réception du PSG. Aholou doit également passer des examens" indique ce soir Le Progrès. Décidément, notre Gai Luron aura passé une mauvaise soirée à l'occasion de sa 200e titularisation sous le maillot vert.
Les Verts quittent l'Europe par la petite porte
12/12 22:55
Ce soir à Wolfsbourg, les Verts ont conclu leur calamiteuse campagne européenne comme ils l'avaient commencée, par une triste défaite.
Dans les cages d'une équipe stéphanoise expérimentale marquée par le repositionnement de Yann M'Vila en défense centrale et la première titularisation de la saison d'Assane Diousse, Jessy Moulin, décisif au quart dheure de jeu, a été sauvé à deux reprises par ses poteaux en première période face à des Loups privés de la plupart de leurs cadres dont Josuha Guilavogui, resté sur le banc.
Approximatifs et inoffensifs (un seul tir cadré à la 84e par Arnaud Nordin), les Stéphanois ont craqué à la 52e sur un contre faisant suite à une perte de balle de Romain Hamouma, qui portait le brassard ce soir en l'absence de Loïc Perrin et Stéphane Ruffier. Malgré les encouragements incessants de 800 supporters dans la parcage de la Volkswagen Arena, Sainté quitte l'Europa League par la toute petite porte.
Crédit photo : Getty Images - Eurosport
Denis degoûté veut s'inscrire dans la durée
12/12 21:57
Très déçu d'avoir été prématurément éliminé de l'Europa League alors qu'il rêvait d'aller en finale, Denis Bouanga s'est confié à So Foot. Extraits.
"Passer de Nîmes à Saint-Étienne, c’était l’occasion de voir si j’avais le niveau pour passer un cap. Il fallait que je me lâche un peu plus. C’est ce que me répétait Ghislain Printant, puis Claude Puel. Aujourd’hui, je ne me pose plus de questions. Je m’entends bien avec tout le monde, mais j’ai de vraies affinités avec Ryad Boudebouz et Zaydou Youssouf.
Contre Lyon, le coach a eu les mots qu’il fallait. Il m’a dit : "À chaque fois qu’on a la balle, tu joueras comme un ailier ; et quand on ne l’aura pas, tu défendras comme tu le faisais à Nîmes." C’est pour ça que ça a marché. Quand je suis arrivé ici, c’était pour jouer en tant qu’ailier, mais les coachs m’ont dit que j’avais les moyens d’élargir ma panoplie. Le premier à avoir dit ça, c’était Ghislain Printant, et Claude Puel m’utilise aujourd’hui à différents postes, que ça soit sur un côté ou plus axial. Pour l’instant, ça me va très bien.
Je trouve que tout se joue sur des détails en Coupe d’Europe. Je suis dégoûté de ne pas avoir passé cette phase de poules, parce que je pense qu’on avait les moyens pour battre ces équipes et que se mesurer à des grosses écuries, découvrir de beaux stades, nous aurait été bénéfique. C’est dommage, mais j’espère pouvoir renouveler l’expérience la saison prochaine.
On m’a souvent reproché de changer beaucoup de club, mais si on y regarde de plus près, c’est souvent lié à une logique de progression. Mais en arrivant à Saint-Étienne, j’ai envie de m’inscrire dans la durée. Il va me falloir plus d’un an et peut-être plus que les quatre ans prévus dans mon contrat pour montrer tout mon potentiel."
Angel, c'est oui ou bien c'est non ?
12/12 19:44
Angel Di Maria sera-t-il dans le groupe du QSG qui se rendra dimanche soir à Geoffroy-Guichard selon RMC. Tout est devenu flou depuis son absence contre Galatasaray en raison d'une "gêne musculaire."
"LArgentin est resté au repos ce jeudi, et n'a pas participé à l'entraînement au Camp des Loges. A priori, Di Maria ne s'entraînera toujours pas vendredi. Si le club prend beaucoup de précautions avec son joueur, c'est aussi parce que Di Maria a été très utilisé depuis le début de la saison. Il a participé à 15 matchs sur 16 en Ligue 1, et donc à 5 sur 6 en Ligue des champions. Pour un total de 8 buts et 10 passes."
Un tirage de toute Beauté (4)
12/12 17:57

Comme pressenti, la FFF a indiqué aujourd'hui sur son site que le 32e de finale de Coupe de France qui opposera Bastia-Borgo à l'ASSE le dimanche 5 janvier à 14h15 aura lieu au stade Armand-Cesari de Furiani.
L'ailier du club corse Mohamed Ouadah a évoqué cette rencontre aujourd'hui sur le site Actufoot.
"Ça sera un très beau match, c’est la première fois que je jouerais contre une Ligue 1. C’est une mise en lumière pour les joueurs mais surtout pour le club. Mais notre priorité, c’est le championnat. On se concentre uniquement sur les 2 matches (Villefranche, Stade Lavallois) qui nous reste à jouer. On se focalisera après sur ce match mais pas avant."
Les Verts roulent en 125
12/12 14:37
Ce soir, malgré le peu d'entrain pour un match hélas sans enjeu (merci la formule des poules...), les Verts joueront leur 125è match de Coupe d'Europe.
Pour l'instant leur compteur victoires reste encore bloqué à 49, pour 39 nuls et 36 défaites.
Si Ruff et Perrin (36 matchs européens chacun), non convoqués, ne pourront pas se rapprocher de Janvion et Lopez (43 matchs européens chacun), Romain Hamouma peut, lui, espérer disputer son 31ème match sur la grande scène en Vert, et, qui sait, y marquer son 8ème but.
La bonne expérience du vilain Andersen
12/12 13:39
Recruté 24 M€ (+ 6 M€ de bonus) par les vilains en juilet dernier, le défenseur central danois Joachim Andersen revient sur le derby du 6 octobre dernier dans la dernière édition de Onze Mondial.
"C’était une bonne expérience. On m’en avait parlé, c’était une bonne atmosphère. On a vraiment senti qu’ils nous détestaient. Mais pour moi c’est un match comme les autres. On avait besoin de prendre trois points, nous n’avons pas réussi donc c’était une déception. Tu parles d’une bonne atmosphère, mais c’était négatif étant donné que vous jouiez à l’extérieur… Oui, mais j’aime ça, quand les gens te détestent (sourire). C’est marrant parfois. Enfin quand on gagne, car quand on perd c’est moins marrant (rires)."
L'amour foot de Zaydou et Nawëal
12/12 13:07

Dans sa prochaine édition, la Pravda Mag dépeint l'amour foot de Zaydou Youssouf et Nawëal Ouinekh, mariés en juin dernier et défendant tous les deux les couleurs de l'ASSE dans l'entrejeu avec le numéro 28. Extraits.
"Entre les matches de Championnat et la Coupe d'Europe, je ne suis pas trop à la maison en ce moment. Alors, dès que je le peux, je viens voir Nawëal jouer à l'Etivallière. Parce que, si je ne suis pas le foot féminin,- je ne suis qu'elle -, il faut quand même que je sache ce qui se passe. "On a la même célébration après un but, les deux poings serrés, ajoute-t-elle. Quand on s'est mis ensemble, en 2017, on a pris une photo comme ça. Ce check est vraiment devenu important pour nous. Notre devise, c'est le "NZ" et le "TPLG", "tout pour le gang". On en forme un, à tous les deux."
Gamins, ils ont joué l'un contre l'autre. "C'était l'époque où les garçons étaient avec les filles, se souvient Zaydou. Je m'en rappelle car il s'agissait de mon premier match sur un grand terrain, avec les moins de 14 ans des Girondins. Nawëal jouait à Mérignac-Arlac, où tout le monde parlait de la fille qui dribblait. C'était rare de voir une fille jouer au foot et être si forte balle au pied. Elle était déjà la plus technique de nous deux. Moi, je suis un milieu plus défensif. Elle, elle ne peut pas jouer 6. En toute vérité, en termes de talent pur, elle est la plus forte. On sent qu'elle a un don. Mais j'avais gagné 1-0."
"C'est la première fois que je sors avec un footeux", confie Nawëal. "Je n'ai pas voulu une fille qui faisait du foot. C'est venu comme ça, s'étonne presque Zaydou. C'est fou comme le foot nous a rapprochés. Il a créé un lien entre nous deux. Sans lui, je ne l'aurais pas épousée. On ne serait même pas ensemble." Sitôt après avoir signé à Saint-Étienne ce 5 juillet, il a oeuvré pour un rapprochement familial. Nawëal : "Zaydou a dit à ses nouveaux dirigeants que sa femme jouait également au foot et qu'elle était la meilleure buteuse d'Orléans". Ils ont accepté que je fasse un essai. J'avais la pression car j'avais déjà résilié à Orléans, et Saint-Étienne joue la montée en D1."
Vingt ans après
12/12 09:29

Sur le site comme sur le forum, nous vous invitons à revivre la mémorable fessée infligée à l'OM il y a vingt ans. Les acteurs de l'époque n'ont pas oublié cette sacrée soirée du 12 décembre 1999, comme l'attestent ces extraits tirés du site d'Eurosport.
Gérard Soler : "C’est Jésus-Christ qui emballe Geoffroy-Guichard. En quelques semaines, cet inconnu sur lequel nous sommes tombés par hasard au fin fond du Brésil terrasse à lui tout seul l’OM."
Alain Bompard : "A côté de moi, le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin est blême et me dit : ‘Mon dieu M. Bompard, quelle catastrophe ! Je ne vais pas rentrer à Marseille, ils vont tout casser.’ Je persiste à croire que si le match n’avait pas été arrêté, on aurait mené 7-0 à la pause, l’OM était pétrifié."
Robert Nouzaret : "J’ai failli l’étrangler dans le vestiaire aprè son match à Nancy. Voilà deux mois qu’il ne faisait rien à l’entraînement et il nous sort ce match. Il me fait penser à Depay : des mecs avec une valeur technique incroyable mais qui n’ont rien dans la tête. Après même s’il est con comme un balai, s’il vous fait gagner des matches… Il estimait que ça ne servait à rien de travailler à l’entrainement. Il ne m’a jamais donné envie de le faire jouer. Il faut dire que ça ne volait pas bien haut avec Alex…Aujourd’hui, je peux passer pour un imbécile mais j’ai toujours privilégié l’humain. Or ses coéquipiers ne l’aimaient pas parce qu’il ne faisait pas les efforts et ça n’aurait pas été juste de le faire jouer."
Alex : "Moi ne pas vouloir m’entraîner ? C’est une légende ! Je m’entraînais. Évidemment, l’hiver, la neige, c’est plus compliqué pour nous, les Sud-Américains, on ne s’entraînait pas de la même façon que les Français et les Européens. Ce match contre Nancy a montré aux dirigeants et aux supporters que j’avais ma place dans l’équipe. Il fallait que j’explose tout. But, sombrero, petit pont, c’était un match incroyable pour moi. Inoubliable mais je n’avais rien à prouver à Nouzaret. J’avais vu dans la semaine du match contre Marseille une plaque au club avec une panthère. Du coup, je me suis dit que j’allais l’imiter. J’ai vu ensuite plusieurs joueurs la reproduire. Gomis et d’autres. Mais ce ne sont que des imitations ! Cette célébration, c’est moi ! Aujourd’hui encore, j’ai gardé contact avec beaucoup de supporters des Verts, nous renseigne celui qui défendra les couleurs de Cruzeiro ou Fluminense. Il y en a même un qui m’envoie chaque année le nouveau maillot. Je les ai tous. Et il faut savoir qu’à l’époque, certaines femmes enceintes donnaient mon nom à leur bébé.""
Julien Sablé : "Je m’entendais bien avec Alex. Je sais que c’était l’amour vache avec Robert. Alex est arrivé hors de forme. Aloisio avait une connexion, un côté empathique, enthousiaste d’entrée. Alex avait un côté star. Je me souviens qu’un de ses amis lui portait ses sacs à l’entrainement. A l’époque, ça ne se faisait pas et c’est le genre de comportement qui ne plaisait pas au coach. Tout nous réussit ce soir-là contre l'OM, on a un début de match fébrile. Mais sur notre première action, on déclenche et c’est parti pour le festival. Je n’ai pas vécu beaucoup de soirées comme celle-là dans ma carrière. Tout ce qu’on espérait se réalisait sous nos yeux. Le public, les émotions ressenties : ce moment restera gravé à jamais. Alex, il pouvait être énervant parce que vous courriez pour lui, l’équipe jouait pour lui. Mais il a l’instinct du buteur, créatif que personne n’avait. Il sublimait notre travail. Il pouvait nous irriter à l’entrainement, il n’aimait pas s’entrainer mais il plantait donc on l’adorait. Dans le foot, il y a des architectes et des ouvriers. J’étais un ouvrier au service des architectes. Alex était le meilleur architecte qu’on ait eu."
Loïc adore les pandores
12/12 07:23

Comme le rapporte Le Progrès du jour, 120 gendarmes ligériens ont participé mardi après-midi à un tournoi de foot indoor au complexe sportif andrézien Club 42 dont Loïc Perrin est l'un des actionnaires. Photo à l'appui, le quotidien régional nous apprend que le capitaine des Verts a remis un chèque Bertrand Duclos, délégué de l’association Gendarmes de cœur, qui œuvre en soutien aux familles des gendarmes blessés ou qui ont des enfants malades.
Benkhedim et/ou Tshibuabua titulaires ?
12/12 07:05


Selon la dernière édition du Progrès, Claude Puel va titulariser Bilal à Wolfsbourg aux côtés de Franck et Loïs dans un 4-2-3-1 :
Moulin - Palencia, Moukoudi, Kolodziejczak, Silva - Youssouf, M'Vila - Honorat, Benkhedim, Nordin - Diony.
De son côté, la Pravda met Marvin mais aussi Jean-Eudes et Robert dans un onze de départ aligné en 3-5-2.
Moulin - Moukoudi, Tshibuabua, Kolodziejczak - Palencia, Youssouf, M'Vila, Ahoulou, Silva - Nordin, Beric
Acclamez Chalamet ! (6)
11/12 22:34
Sur le plateau de C à vous ce soir sur France 5 pour faire la promo du film Les filles du Docteur March, Timothée Chalamet a revendiqué une nouvelle fois son statut de supporter de l'ASSE... avant de filer au Parc des Princes et d'avouer qu'il avait eu dans sa chambre le poster d'un futur vilain bourreau des Verts !
"Saint-Etienne, c'est l'équipe dans mon coeur. C'est la fierté de ma famille française, c'est la fierté de la région, de la ville. J'adore le foot, je suis de passage à Paris donc ce soir je vais au Parc des Princes. Je suis content d'être reçu là-bas mais mon coeur est vert. Il est vrai que j'étais fan de Jimmy Briand quand il était à Rennes, j'avais un poster de lui dans ma chambre."
Batlles reste attaché à Sainté
11/12 21:13
Auteur d'une très bonne première moitié de saison avec l'Estac (4e de L2 à 4 points du leader lorientais), Laurent Batlles s'est longuement confié dans l'avant-dernière édition de L'Est Eclair. Extraits.
"Sur la fin de ma carrière de joueur, je savais déjà que je voulais devenir entraîneur. J’ai souvent été un relais sur le terrain. On m’a régulièrement confié le brassard, en même temps que des responsabilités. Si j’étais capitaine, c’était aussi pour donner mon avis. Certains de mes anciens coaches me disaient que j’embrayerai, moi aussi, sur une carrière d’entraîneur. J’ai eu la chance d’obtenir mes diplômes en trois ou quatre ans. A Saint-Etienne, j’ai été adjoint de Christophe Galtier et j’ai entraîné l’équipe réserve. J’aurais pu rester à l’ASSE mais je souhaitais voir ce que j’étais capable de faire dans un rôle de numéro un chez les pros. Je n’avais pas de possibilité d’entraîner plus haut et je ne voulais surtout pas me griller. Il me fallait, comme je l’ai fait durant ma carrière de joueur, procéder par étapes, faire les choses dans l’ordre.
J’essaye d’être dans l’humain, de beaucoup déléguer, d’offrir des responsabilités aux personnes qui m’entourent, ce qui nous permet à tous d’avancer. Quand je dois être dur, je peux l’être. Mais si je suis dur, je me dois d’expliquer pourquoi au joueur. Il a le droit de savoir. Je sais où aller. Je déteste la défaite et encore plus l’injustice et le mensonge ou le manque d’investissement. Quand je suis confronté à ça, mon caractère ressort. Parfois avec virulence. Tout le monde a le droit de s’exprimer, sans dépasser certaines limites. Certaines réactions me mettent hors de moi. Je ne suis pas carriériste mais je veux réussir. Troyes n’est pas un tremplin. Je suis dans l’apprentissage du haut niveau. Mon objectif est de grandir avec le club, de faire grandir l’Estac et être le plus performant possible. Après, on verra où tout cela nous mènera.
J’ai fini ma carrière de joueur chez les Verts. Au départ, je n’étais pas enchanté. Sainté sortait de saisons difficiles. J’ai quand même tenté le coup. Tout le monde a envie de jouer dans le Chaudron. J’ai pu finir ma carrière là-bas avant d’y entamer ma reconversion. Ma femme Sophie et mes enfants Ilona (18 ans), Lia-Rose (15 ans) et Louis (5 ans) sont restés à Sainté pour le moment. Je ne voulais pas tout remettre en cause. Imaginez que ça ne se passe pas bien à Troyes, que je sois débarqué. Il aurait fallu à nouveau tout changer. On s’est donc donné une année pour voir. J’essaye de descendre presque chaque week-end. Sophie a créé son entreprise il y a trois ans, elle est praticienne de feng shui traditionnel chinois à Saint-Galmier. J’aurais pu rester à Sainté où il me restait deux ans de contrat, cela aurait permis à Sophie d’être plus tranquille. Mais après discussion, on a conclu que de rejoindre l’Estac était la meilleure chose pour moi."
Un tirage de toute Beauté (3)
11/12 17:38

Le 32e de finale Coupe de France que les Verts joueront en Corse contre Bastia-Borgo a été fixé par la FFF au dimanche 5 janvier à 14h15. Reste à savoir dans quel stade se jouera la rencontre, le stade Armand-Cesari de Furiani (16 000 places) étant fortement pressenti car le complexe sportif de Borgo peut accueillir maximum 2 000 spectateurs.