
Bathenay reparle des poteaux carrés
13/05 09:01

A l'occasion du 45e anniversaire de la finale de la Coupe d'Europe à Glasgow, Dominique Bathenay a reparlé des poteaux carrés hier soir sur France Bleu Saint-Etienne Loire. Extraits.
"Les poteaux carrés font partie des images de cette finale de 76. On a perdu, c’était de la faute des poteaux carrés. C’est la légende. Mais on a perdu car ils ont marqué un but et pas nous. Je pense qu’on a fait un bon match. J’avais revu le match une fois, on a fait jeu égal avec le Bayern de Munich mais eux aussi ont eu des occasions. Ce n’était pas flagrant non plus qu’on puisse gagner. On aurait pu gagner ce match, on ne l’a pas fait.
Mais en définitive, on en parle encore parce qu’il y a eu les poteaux ou parce qu’on a perdu, parce que toute la France était là, parce que tous les supporters étaient derrière les joueurs de Saint-Etienne, parce qu’on représentait des valeurs. Je pense que c’est ça le plus important. Après, avoir gagné… Oui, on aurait bien aimé mettre une grosse ligne sur notre CV. Mais la vie est comme ça, on ne va pas vivre avec des regrets.
Tous les gens qui ont vécu ces épopées, avec qui on discute, parlent des voyages, des déplacements, de ce qu’ils ont fait, où ils sont allés boire un verre, où ils sont allés manger, de l’ambiance qu’il y avait dans les stades. C’est tout ce qu'il y avait autour, que nous on n’a pas connu car on était malheureusement confinés dans notre hôtel. Eux ils l’ont connu et quand ils nous le racontent, ça nous fait du bien."
Armand méfiant
13/05 08:22

A l'instar de son entraîneur et de son président, le coordinateur sportif lillois Sylvain Armand se méfie des Verts avant de les recevoir ce dimanche soir, comme il l'explique dans la dernière édition du Progrès.
"Cela m’aurait bien plu de jouer en charnière centrale avec Loïc. Nous sommes très proches et il est venu récemment nous voir avec Jérémy Clément. C’est une personne qui a la même philosophie que moi, cela aurait pu faire une belle association. A Lille, notre but c’est de tout mettre en œuvre pour décrocher le titre.
Christophe Galtier et Claude Puel ont un point commun : le degré d’exigence. Il n’y a pas de mystère, c’est la clé du succès. Ils sont sur cette même ligne. On redoute tous les matches. Il n’y a pas d’opposition facile, pas de certitude. Mais ça ne dépend que de nous, nous avons les cartes en mains et nous devons jouer avec nos valeurs."
Jacky cause de Kiki
13/05 07:59
Adjoint de Claude Puel, Jacky Bonnevay a rappelé hier au Midi Libre que Kylian Mbappé a été le bourreau des Verts le 18 avril dernier au Parc.
"Quand il accélère, c’est un dragster. Face à nous, il obtient un penalty que lui seul peut provoquer car il a une vitesse que les autres n’ont pas. S’il n’y a pas Mbappé, on gagne. Il a mis le feu, fait la différence à lui seul et a aussi mobilisé tout le monde. Au-delà de ses qualités, j’ai été étonné par son mental. Il amène une énergie positive, ne veut pas perdre. On n’a pas fait que défendre. Si on reste dans son camp, ils possèdent une telle qualité devant le but qu’il est difficile de résister."
La régularité est sa fierté
12/05 21:54
En juillet dernier, Fatsah Amhgar nous faisait partager sa joie de servir de sparring partner aux Stéphanois avant leur finale de Coupe de France contre Paris. Demain soir, l'entraîneur de Rumilly-Vallières (N2) tentera à son tour de décocher son billet pour le Stade de France. Avant de défier la grosse armada monégasque, ce ligérien fan des Verts s'est confié au Dauphiné Libéré. Extraits.
"Très jeune, j’avais été repéré par l’Olympique de Saint-Etienne qui était un bon club formateur. Mais mon père préférait que je reste dans le club du coin. C’était une barrière. On avait aussi des difficultés financières, on n’avait pas de voiture donc ça explique aussi les choses. J’avais fait une super saison à L’Etrat, quand j’avais 21 ans, on était en R1. Je m’étais fait connaître. On était partenaire de Saint-Etienne, le président m’avait dit de rester un an de plus et que j’aurai ma chance à Saint-Etienne. Mais j’ai fait un mauvais choix et je suis parti. Mais je n’avais pas le caractère, j’étais assez effacé, je restais un peu dans mon coin.
Je suis travailleur et exigeant avant tout, avec moi-même et les joueurs. L’aspect tactique est très important aussi pour moi. Je m’y suis intéressé au fur et à mesure, c’est un domaine qui m’intéresse beaucoup, j’aime chercher le détail. Au niveau du jeu, j’aime un jeu tourné vers l’avant, offensif, où on va essayer de ressortir proprement de derrière quand c’est possible, tout en mesurant les risques. Un jeu qui va plaire aux spectateurs. J’aime Mourinho pour le charisme, Klopp pour la gestion humaine, Guardiola pour la philosophie de jeu et le fin tacticien qu’il est. Sinon, j’ai pris un peu de tous les coachs que j’ai connus et j’y ai mis ma patte.
J'ai connu sept accessions. Ma fierté, c’est la régularité. Monter avec plusieurs clubs, c’est encore plus appréciable. Ça récompense le travail. Ma passion du foot dépasse le stade de la passion (sic). C’est ma vie. J’ai cette exigence, je déteste perdre. J’ai la soif de victoires et ça demande beaucoup de minutie dans le travail. Ça prend beaucoup de temps, dans l’analyse de l’adversaire notamment. Quand on a match le samedi, je ne passe pas le dimanche en famille, je vais voir des matchs, des adversaires. Et il faut aussi de la compétence je pense. Je gagne aussi en expérience aussi car ça fait un moment que j’entraîne (12 ans) même si je reste un jeune coach.
Le travail d’un coach et sa compétence, on les voit à travers des montées en championnat car c’est un marathon. Selon moi, c’est plus compliqué. Ça dure dix mois, c’est une remise en question semaine après semaine. La fierté de la Coupe de France, c’est l’aventure humaine, les émotions car chaque match est une finale. C’est particulier mais c’est à vivre. Individuellement et collectivement, ça nous a fait progresser. J’avais fait un 32e en tant que joueur contre une Ligue 2, c’était déjà quelque chose. Alors là… Mais, si le championnat avait continué, je ne pense pas qu’on aurait réussi à faire ça, avec des mecs qui bossent. ça aurait été trop compliqué."
Vendroux toujours vert !
12/05 20:50
La Ligue qu'on adule a diffusé aujourd'hui un court-métrage dans le cadre de la journée mondiale contre l'homophobie du 17 mai.
La vidéo s'ouvre par un but de Denis Bouanga (celui inscrit contre Strasbourg sur une passe de Mahdi Camara) commenté par Jacques Vendroux. Dans la foulée, on a le droit hélas comme trop souvent à un penalty pour Lyon.
« Homos ou hétéros, on porte tous le même maillot. »
— Ligue de Football Professionnel (@LFPfr) May 12, 2021
Découvrez en avant-première le court-métrage réalisé par @onteniente_f, sur une idée originale de @EnsembleFoot @PanamboyzUtd.#17mai⚽🏳️🌈 #JouonsLaCollectif pic.twitter.com/LRhhSWy2fz
Comme le rappelle Christophe Verneyre (alias "Parasar" sur P2) dans le savoureux chapitre "Et but... Et non !" de La Passion selon Saint-Etienne (à commander sur le site de l'éditeur En Exergue ou sur le site de la Fnac), Jacques Vendroux a créé en 1972 le premier multiplex radiophonique de Football en France.
Agé de 73 ans, celui qui a fait défiler les Verts sur les Champs-Elysées préside le Variétés Club de France qui inaugurera un stade Charles-de-Gaulle à Colombey-les-Deux-Eglises le 6 juin prochain en présence de Jean-Michel Larqué, Dominique Rocheteau, Laurent Blanc et Claude Puel.
Un évènement qui tient à coeur à Jacques Vendroux, l'un des petits-neveux par alliance de Charles de Gaulle. En effet, son grand père, qui fut député-maire de Calais, était le frère d'Yvonne de Gaulle, née Vendroux.
Polo gagne et tremble
12/05 15:58
Lors de l’avant dernière journée de la Süper Lig turque, Polomat et Diousse ont, comme Soder vécu des matchs animés.
Le Genclerbirligi de Polo (titulaire pour la 26è fois de la saison) s’est imposé 5-3 chez lui, tandis que le Ankaragücü de Diousse (remplaçant et entré à la 89è) s’est incliné 1-3.
Nos deux ex partagent désormais la même place au classement (la 19e), un même destin et une même angoisse, celle de la relégation. La différence de buts plombe encore plus Genclerbirligi. Les quatre derniers du championnat sont relégués et Genclerbirligi et Ankaragücü ont 3pts de retard sur le premier non relégable, Kayserispor, 17e.
Tout se jouera samedi pour la dernière journée, qui verra les potes de Polo se déplacer à Trabzonspor (4e et assuré de le rester) tandis que ceux de Diousse recevront Alanyaspor (7e et n’ayant plus d’enjeu majeur). A minima l’un des deux sera relégué samedi soir.
Loin de ces craintes, le Sivasspor de Max Gradel (titulaire pour la 38e fois et auteur d'une passe décisive) l'a emporté hier 2-1 sur la pelouse de Fenerbahce et a conforté sa 5e place, la première non qualificative pour l'Europe.
Alex, il a marqué !!
12/05 10:16
A 33 ans, l'inoubliable héros du derby du 17 janvier 2016, Alexander Söderlund, vient enfin de claquer son premier pion avec sa nouvelle équipe de Rizespor.
Pour sa 5ème titularisation, il a contribué à la très prolifique victoire 5-4 remportée hier sur la pelouse de Gaziantep.
Son pion, claqué dans les arrêts de jeu de la première période, a permis à son équipe de retourner au vestiaire en menant 3-0.
Sorti à la 91ème minute, Alex appréciera d'autant plus son but qu'il était temps d'ouvrir son compteur : Rizespor, 12è de Süper Lig, jouera en effet son dernier match de championnat samedi.
Osvaldo, 45 ans après
12/05 07:54
45 ans après la finale de Coupe d'Europe des Clubs Champions à Glasgow, Osvaldo Piazza s'est confié à l'AFP, comme le rapporte le média argentin Infobae. Extraits.
"Grâce à Saint-Etienne, il y a eu changement de mentalité dans le football français. On misait sur les entraînements, 90% des joueurs de l'équipe étaient formés au club. Nous faisions les voyages en avion, nous avions les meilleurs vestiaires, les meilleures baignoires, les meilleurs massages ...
J'étais ravi de jouer pour Saint-Etienne, j'ai eu une opportunité dont j'avais toujours rêvé. Même si la ville n'était pas très jolie, l'équipe était importante à cause de ses titres précédents et c'était un club sérieux. Le championnat de France n'était pas un football d'équipe, l'individualisme régnait. À Saint-Étienne, cependant, il n'y avait pas de stars, c'était une équipe qui se battait, solidaire.
Jusqu'ici, en Europe, le football français appliquait la citation de Pierre de Coubertin, père des Jeux Olympiques modernes : "L'important, c'est de participer." Tout le monde voulait avoir les Français pour rivaux, ils étaient très faibles. Mais à Saint-Étienne il fallait concourir, l'important était le résultat.
Je n'étais pas rapide, je ne dribblais personne, mais quand je récupérais le ballon, je me projetais dans le camp adverse. Ils appelaient ça "les chevauchées d'Osvaldo". Je ne me suis jamais coupé les cheveux en France. Je pense que j'atteignais facilement le camp adverse parce que les adversaires me voyaient comme grand, ils m'évitaient, me heurter était comme entrer en collision avec une montagne.
Nous avions bien préparé la finale de Coupe d'Europe, nous avons combattu, nous avons livré tellement de duels pendant le match que je ne suis même pas allé recevoir la médaille de finaliste. Je ne l'ai jamais eue, je ne sais même pas qui l'a prise. Les joueurs du Bayern n'étaient pas supérieurs à nous mais ils avaient une force et une concentration qui les ont fait gagner.
On a descendu les Champs-Elysées après notre finale de Coupe d'Europe. Aujourd'hui, nous sommes étonnés de l'impact que cela a eu. Jusque-là, le rugby était le sport le plus suivi en France, ça a changé avec l'ASSE.
Luis Menotti m'a appelé plus tard pour participer à la Coupe du monde 1978 en Argentine. Ce fut une grande déception de na pas pourvoir la jouer car je voulais terminer ma carrière en disputant ce Mondial. Je n'ai pas eu de chance car ma femme a eu un très grave accident de voiture en France, avec notre deuxième fille nouveau-née à bord."
Une chance sur cinq de gagner à Lille
12/05 07:05
Maître de conférences en informatique à l'Université Lille 3, Fabien Torre a évoqué hier sur France 3 Hauts-de-France le match que les Verts joueront ce dimanche soir chez le leader lillois.
"Le LOSC a 78% de chances d'être champion. Ce dimanche, Lille a 55% de chances de l'emporter contre Saint-Etienne, 25% de faire match nul et 20% de perdre."
Mémé triste pour Jojo
12/05 06:37
Dans la dernière édition du Progrès, Aimé Jacquet évoque avec des trémolos dans la voix le cas de son ancien coéquipier Georges Bereta, atteint par la maladie de Charcot.
"Mon Jojo, je n’ose pas venir le voir. J’ai peur que cela me fasse un choc. C’est la première fois de ma vie que je suis un lâche. J’ai tellement de merveilleux souvenirs avec lui. Une fois nous avions emmené Salif Keita courir avec nous au Bessat dans la forêt. Il avait une frousse bleue qu’on le perde et qu’il reste tout seul dans les bois. Avec Jojo qui n’engendrait pas la mélancolie nous avions bien rigolé. C’était ça mon Jojo, toujours de bonne humeur, un véritable boute-en-train."
Trauco sacré par la bible
11/05 23:40
Auteur d'une bonne prestation contre l'OM, le latéral péruvien des Verts figure dans l'équipe type de la 36e journée de L1 selon France Football.
Navas (PSG) - Celik (Lille), Pavlovic (Angers), Hilton (Montpellier), Trauco (Saint-Étienne) - Guimaraes (Vilains), Claude-Maurice (Nice), Ferhat (Nîmes), Laborde (Montpellier) - Yilmaz (Lille), Kolo Muani (Nantes).
Pagaie pas gaie
11/05 22:50
Entraîneur des attaquants du centre de formation des Aiglons, Marama Vahirua, qui a marqué il y a 20 ans le but du titre des Canaris aux dépens de Verts relégués en L2, revient sur ce moment fort de sa carrière dans la dernière édition de Presse-Océan. Extraits.
"Un an avant, on avait failli descendre en L2. On a tout vécu. C’était donc la consécration de toute une génération. Personne ne nous voyait là. On est venu inscrire nos noms sur le mur du FC Nantes. C’est une marque indélébile.
Durant ce match contre Saint-Etienne, la lumière est venue de Marama car mon prénom signifie lumière en tahitien. (Rires) On avait une équipe de malades, j'étais juste à la finition de l'action. Sur le moment, je voulais tout faire : la pagaie, sauter en même temps, le va’a… Je me souviens avoir fait le signe de souffler mon gâteau car je fêtais mes 21 ans ce jour-là.
Après le match, on s’est mis sur l’estrade et on a tous chanté. C’est ce que j’ai dit à mes potes au pays : "Je suis le seul Tahitien qui ait fait pagayer 25 000 personnes "(rires)". C’est un record, les gars !" Je devrais rentrer dans le Guinness car j’ai mis à genou 25 000 personnes "(rires)". C’est un exploit.
Après ça, vu ma notoriété, je n'allais plus au resto ou faire mes courses… Des mecs me suivaient même en voiture, des gens klaxonnaient. Ils faisaient la pagaie. C’était en conduisant, au cinéma… c’était horrible ! Je ne sortais plus de chez moi. J’avais peur en fait. J’ai dit stop. C’est un peu la rançon de la gloire. Il faut l’accepter, ça fait partie du métier."
Diony score plus qu'Abi ? Oui mais non !
11/05 18:49
L'info est passée inaperçue mais Loïs Diony a claqué le week-end dernier son 5e pion de la saison de L1 aux dépens du DFCO, le club où il s'est révélé. Il égale ainsi son record stéphanois de la saison 2018-2019.
56e ex aequo au classement des buteurs, l'avant-centre angevin devance celui qui a hérité de son numéro 9 à l'ASSE. Charles Abi, qui n'a trouvé le chemin des filets que 3 fois en 23 matches, n'est en effet que 88e ex aequo.
On aura noté toutefois que le protégé de Claude Puel affiche un ratio certes médiocre (1 but toutes les 292 minutes) mais meilleur que l'ex-Dijonnais (1 but toutes les 324 minutes). Des stats très modestes mais supérieures à celles d'Anthony...
Des anciens nommés aux Trophées UNFP
11/05 15:39
Si aucun joueur de l'équipe de Claude Puel n'est nommé aux trophées UNFP, des anciens Verts sont parmi certaines listes.
Ainsi, Christophe Galtier, leader avec le LOSC, est nommé dans la catégorie meilleur entraîneur.
En L2, Laurent Batlles, sacré avec Troyes et Patrice Garande sont nommés dans la catégorie meilleur coach.
Enfin, Dimitri Payet pour son but contre Lorient est nommé dans la catégorie du plus beau but.
📂Ligue 1 Uber Eats
— UNFP (@UNFP) May 11, 2021
└ 📁Saison 20/21
└📁Plus beau but
└ ⚽️ @AndyDelort9
└ ⚽️ @dimpayet17
└ ⚽️ Irvin Cardona
└ ⚽️ @ArmandLauriente
└ ⚽️ @yilmazburak17
À vous de voter 📥 #TropheesUNFP
27 ans de disette
11/05 15:31
Dimanche pour la 37e journée de L1, les Verts ont l'occasion de mettre fin à une disette de plus de 27 ans sur la pelouse de Lille. En effet, hormis la victoire en Coupe de la Ligue en 2003, les stéphanois ne se sont plus imposés dans le Nord depuis le 18 septembre 1993.
A l'époque, Jean-Pierre Cyprien et Etienne Mendy avaient donné la victoire 2-0 aux Verts de Jacques Santini face au LOSC entraîné par Pierre Mankowski et dans les rangs duquel on retrouvait Jean-Luc Buisine, l'actuel directeur du recrutement des Verts.
Jouan aura joué la manita
11/05 15:24
Nommé nouvel entaîneur adjoint de Granville en N2 pour la saison prochaine, l'ancien joueur du SM Caen, Matthias Jouan est revenu pour actu.fr sur son seul match en L1, à Geoffroy-Guichard en 2004, au soir d'une défaite 5-0 :
"Ces premiers pas restent un bon souvenir. Personne ne pourra me les enlever. J’aurais évidemment aimé en disputer plus mais, pour cela, il faut aussi un peu de chance. Pour être dans les choix du coach, il aurait sans doute fallu que je me booste davantage pour corriger mes défauts".
Avec Brisard pour briser les lillois
11/05 15:16
L'arbitre de la 37e journée de L1 entre Lille et Saint-Etienne sera Jérôme Brisard. On retrouvera François Letexier et Stéphane Bré à la vidéo.
Cet arbitre du Maine n'a pas encore croisé la route des Verts cette saison. En revanche, il a déjà arbitré l'ASSE à 8 reprises pour 5 victoires, 2 nuls et 1 seule défaite lors du dernier match où il a officié, contre l'OM en février 2020 (0-2).
Retour aux sources pour Cordonnier (3)
11/05 08:11
Nommé vendredi dernier directeur du recrutement de la Berrichonne de Châteauroux, Julien Cordonnier commnente dans La Nouvelle République son imminent départ de l'ASSE, que "Claude Puel a modérément apprécié" selon ce quotidien régional.
"A l'ASSE, je suis scout en chef, sous la responsabilité du directeur sportif, Jean-Luc Buisine, qui finalise les dossiers. En plus de prospecter sur le terrain, je dois aussi organiser la cellule de recrutement du club. On est quatre avec des zones prédéfinies en France et en Europe, il faut être mobile et croiser les informations pour avoir un rapport complet sur un joueur ciblé. J’ai de bonnes conditions de travail à Sainté, je m’entends bien avec les gens avec qui je bosse, Une cellule de recrutement, c’est un travail collectif et de collaboration. J’ai aussi une très bonne relation avec le coach Claude Puel, et des responsabilités
Mais je ne l’ai jamais caché, la Berrichonne, c’est mon club de cœur. La Berri avait besoin d’un nouveau virage, il a été pris aujourd’hui. Il y a un projet intéressant sous l’égide d’un nouveau groupe qui possède d’autres clubs filiaux. C’est important pour Châteauroux d’avoir un club au plus haut niveau. Surtout, il faudra refidéliser les gens. Se déplacer, aller voir des joueurs, c’est un truc que j’aime beaucoup. Tu es dans le rôle d’identification de profils qui sont capables de correspondre à la philosophie de ton club et de ton coach. La partie négociations avec les agents, j’aime beaucoup aussi. Ce n’est pas toujours facile, mais passionnant.
La première phase, c’est un travail large où tu explores pas mal de championnats. À partir de là, tu arrives à cibler les profils qui t’intéressent. Dans un deuxième temps, c’est un suivi dans la régularité. Le joueur que tu as ciblé, tu vas le voir plusieurs fois dans différents contextes, à domicile, à l’extérieur, face à des équipes fortes, face à des équipes moins fortes. Et puis, il y a tout un travail de renseignement sur la personne, sa mentalité, son cadre familial, tout ça.
Il y a la partie terrain, mais pas seulement. Il faut avoir le maximum d’infos pour minimiser au maximum les erreurs. Ce sont des enquêtes de fond et c’est un boulot qui prend du temps. Mais quand tu es passionné, ce n’est pas un souci. Le recrutement, ce n’est pas une science exacte. Il faut assumer en toutes circonstances, quand il y a eu de bons choix, mais aussi quand il y en a eu de moins bons."
Mémé soutient Fatsah
11/05 07:43

Avant de recevoir Monaco après-demain en demi-finale de Coupe de France, Fatsah Amghar (entraîneur ligérien et fan des Verts de Rumilly-Vallières) reçoit le soutien d'Aimé Jacquet dans Le Dauphiné Libéré. Extraits.
"Je suis toujours l'actualité du football bien sûr, c’est ma passion de toute une vie. J’ai encore beaucoup de contacts avec le milieu du football. Mais voir tous ces stades vides, ça me fait de la peine, vous ne pouvez pas imaginer… Il manque incontestablement une grosse pièce au puzzle. C’est tellement beau de voir des tribunes remplies, l’engouement que cela crée. Le football rassemble en temps normal.
Le parcours de Rumilly-Vallières en Coupe de France, c’est formidable. C’est la belle histoire, la Coupe est et restera magique. Même avec le grand Bordeaux, j’ai vécu des confrontations très dures. La Coupe prend alors toute sa valeur, c’est-à-dire que l’on est confronté au football de base et il n’y a rien de plus beau que ça. Cette opportunité qui est donnée au football amateur de se frotter aux professionnels, c’est magnifique.
Je suis devenu Haut-Savoyard, j'aime tellement cette région ! J’aime bien aller me balader dans les stades, le week-end, incognito. J’y vois quand même un football de qualité. J’aime bien ce football. J’espère que les Rumilliens n’auront aucune retenue contre Monaco. Ça ne veut pas dire jouer de manière brutale mais avec confiance, détermination, avec les armes qui sont les leurs et le verdict viendra tout seul."
Guillou n'est pas Jacquet
11/05 07:06

Le Progrès du jour rapporte les propos tenus par Aimé Jacquet juste avant les victoires de l'ASSE à Montpellier et contre Marseille. "Les Verts sont immortels. Claude Puel a fait un boulot monstrueux comme on ne peut pas imaginer. Il a réalisé un tour de force énorme, je lui tire mon chapeau."
Dans la même édition du quotidien régional, Patrick Guillou ne peut pas s'empêcher d'ironiser. "Maintien officiel obtenu à 2 journées de la fin. Même Pep Guardiola n’aurait pas fait mieux ! 17 joueurs issus du centre de formation ont foulé les pelouses de l’élite. Numéro 1 en Europe ! 38 joueurs utilisés. Numéro 1 en France ! Espérons qu’au mois de juin, il n’y ait pas un nouveau loft."
"
Puel parti pour rester
11/05 00:33
La Pravda de ce mardi évoque l'avenir de Claude Puel. Extraits.
"Etant donné ses émoluments (225 000 € brut mensuels, record pour un entraîneur du club) et ses bons résultats en cette fin de saison (5 victoires sur les 8 derniers matches), la probabilité de le voir démis de ses fonctions au cours de l'été est faible. A 59 ans, alors qu'il rêve d'aller entraîner en Espagne, il se murmure que le Castrais se verrait même prolonger d'un an.
Il y a plus de chances que son contrat reste en l'état, sauf en cas de changement de propriétaire du club dans ces tout prochains mois. La position de l'homme fort des Verts se retrouverait alors fragilisée. Au moins trois candidats au rachat des Verts auraient déjà budgété son licenciement et le salaire de son remplaçant, mais on n'est pas encore là. Jusqu'à la vente du club, si vente il y a, Puel est toujours là et bien là."
Krasso est chaud !
10/05 23:31
Jean-Philippe Krasso a marqué ce soir son 5e but de la saison, le 4e en 15 jours !
Encore lui, bravo JP et allez Le Mans ! ⚽
— 𝑨𝑺𝑺𝑬 - 𝒂𝒃𝒐𝒖𝒕𝒔𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆 (@AboutSainte) May 10, 2021
(Brahimi quel crack)@TribuneMancellepic.twitter.com/xbpRmMF1ca
Mais Le Mans, qui s'est fait rejoindre à la 95e minute à Cholet, n'a quasiment plus aucune chance de jouer les barrages pour accéder en L2. L'ancien club de Stephen Vincent devra s'imposer contre Annecy en espérant que Villefranche perdra à domicile contre le SC Lyon.
Les Caladois, qui ont arraché la victoire à Saint-Brieuc dans le temps additionnel, comptent désormais 3 points d'avance sur les Sarthois et recevront un club qui reste lanterne rouge malgré sa victoire 2-1 contre Bourg-Péronnas.
Auteur de son 7e pion de la saison, Nathan Dekoké a trompé Anthony Maisonnial, Lamine Ghezali étant entré en jeu en fin de match. Le match au sommet entre les deux promus en L2 a permis de sacrer le SC Bastia, le but égalisateur de Mickaël Nadé ayant été annulé.
On aura noté qu'Annecy a assuré le maintien grâce à son écrasante victoire contre Boulogne-sur-Mer, Romain Spano ayant réalisé un doublé.
Djouahra régale
10/05 21:56
Ancien pensionnaire du centre de formation de l'ASSE (de 2012 à 2018), Naïs Djouahra (21 ans) a inscrit hier le but victorieux de Mirandés contre Fuenlabrada lors de la 38e journée de L2 espagnol après avoir réussi un magistral coup du sombrero. Ole !
Létang méfiant
10/05 21:20
A l'instar de son entraîneur, le président du LOSC se méfie des Verts. "Il ne faut surtout pas penser que Saint-Etienne va venir en victime ce dimanche. Les Stéphanois veulent bien finir, ils vont être tranquilles et relâchés" déclare Olivier Létang dans La Voix du Nord à paraître demain.
Primard se souvient de Dimitrov
10/05 20:08
Entraîneur des U15 de l'ASSE, Jean-Philippe Primard se souvient pour nous de son ancien coéquipier Georgi Dimitrov, emporté avant-hier par un cancer à l'âge de 62 ans.
"C'est quelqu'un que je connaissais à travers le foot mais pas en dehors. Je me souviens qu'à l'époque je jouais stoppeur et lui libéro. Moi j'étais plus dans le duel avec mon adversaire et lui avait un très bon placement et une bonne lecture de jeu. Il était dans l'anticipation. Ce n'était pas un joueur qui allait super vite mais il compensait par sa très bonne vision du jeu. Il y avait une bonne complémentarité entre nous. Il me parlait beaucoup sur le terrain, il m'apportait son expérience car il avait trois ou quatre ans de plus que moi et était international.
Techniquement, il était simple et efficace. Aux entraînements, au centre, c'était quelqu'un d'assez calme, de gentil. On s'entendait bien. Il y avait une relation assez forte à l'époque entre un stoppeur et un libéro. On était l'un à côté de l'autre ou plutôt l'un derrière l'autre (rires). Aujourd'hui ça a changé, on joue à deux. Je me souviens de son but contre Paris le 15 août 1986, il avait marqué en trompant Joël Bats suite à un cafouillage. C'était le PSG champion de France en titre, celui des Safet Susic, Dominique Rocheteau et Jules Bocandé.
Malgré ce bon résultat, cette saison-là, on avait joué le maintien. C'était la dernière saison de Henryk Kasperczak. On a fini à la 16e place mais avec la deuxième meilleure défense. Cela ne tenait pas qu'à Dimitrov et moi, c'est toute l'équipe qui oeuvrait à ce qu'on prenne peu de buts. Notre gardien était Jean Castaneda, nos latéraux étaient Patrice Ferri, Eric Clavelloux, Thierry Gros. La saison d'après, marquée par le retour de Robert Herbin au club, on a moins souvent été associés Georgi et moi."
Privé de Verts, il s'est mis aux verres
10/05 19:13
Sacré il y a 20 ans champion de France avec les Canaris et gérant désormais une cave à vin à Orvault (Loire-Atlantique), Olivier Monterrubio s'est confié à Ouest-France. Extraits.
"Le dernier match contre Saint-Étienne, je suis remplaçant et je ne suis pas rentré, ça, je le garderai toujours en moi : ne pas être rentré une dernière fois à la Beaujoire pour le titre. Je n’en ai pas reparlé avec le coach. C’est passé. Je n’ai pas non plus reparlé avec Christian Gourcuff qui ne m’a pas pris dans le groupe pour le dernier match de ma carrière à Lorient.
Ne pas avoir disputé le match face à Saint-Etienne pour le titre a été vraiment dur pour moi. C'est frustrant. Même si, vingt ans après, on y pense un peu moins, sur le coup j'ai eu les boules. La joie des supporters envahissant le terrain contre Saint-Etienne, c’est une image forte. C’était extraordinaire. Je voulais asperger tout le monde. J’ai ouvert une bouteille de champagne et aucune mousse n’est sortie… Je ne sais pas pourquoi. C’était peut-être une bouteille de cidre. C’est peut-être pour ça qu’ensuite, j’ai ouvert une cave.
On est heureux et triste à la fois d'être les derniers à avoir gagné un titre avec le FC Nantes. Heureux parce qu’on parle toujours de nous vingt ans après. Mais triste car un club comme Nantes, c’est une institution. C’est un club formateur, Enfin, c’était… Triste de ce que le club représente désormais en France. Quelque part, on sera heureux le jour où une nouvelle génération nous effacera des tablettes. Sous lère Kita, ce ne sera jamais le cas. Après, on verra..."
Les bougnats à Geoffroy ?
10/05 17:26
Interrogé ce matin par France Bleu sur la perspective de montée historique du Clermont Foot en Ligue 1, le maire de Clermont-Ferrand a évoqué le besoin pour mettre le stade Gabriel Montpied aux normes, de réaliser des travaux (pelouse, éclairage, sécurité) pour lesquels une enveloppe de 3M€ a été votée par la métropole. Compte tenu de la durée de ces travaux, le maire a évoqué la possibilité que son équipe joue ses premiers matchs dans le Chaudron :
"La LFP ne veut plus de dérogation, y compris pour rester en Ligue 2 (...) On a déjà l'autorisation de nos voisins de Saint-Etienne, à Geoffroy-Guichard. Mais on va tout faire pour réduire l'échéance."
Avec 4pts d'avance sur Toulouse, et une différence de buts très favorable à une journée de la fin, Clermont est idéalement placé pour monter directement même si Toulouse gagne son match en retard contre Pau.
Nordin, 4 à 4 !
10/05 15:06
S’il n’est pas encore l'atout offensif n°1 de Sainté, Arnaud Nordin, qui n’a pas encore 23 ans, continue cette saison sa progression en vert comme en attestent ses stats personnelles.
Ainsi, outre ses 4 buts en Ligue 1, il compte également 4 passes décisives cette saison ce qui fait de lui, avec Adil Aouchiche, le co-meilleur passeur de l’équipe.
Titularisé à 18 reprises, il a donc été décisif huit fois.
Pour sa 4ème saison en vert depuis ses débuts son temps de jeu et son efficacité ont assez nettement progressé comme le montre ce récapitulatif :
- 5 titularisations (15 matchs) et 2 buts lors de la saison 2017
- 11 titularisations (25 matchs) et 3 buts lors de la saison 2019 (il a passé la saison 2018 à Nancy)
- 9 titularisations (18 matchs) et 1 but lors de la saison (tronquée) 2020
- 18 titularisations (30 matchs) et 4 buts cette saison.
De quoi donner envie aux dirigeants de lui proposer une prolongation à un an de la fin de son contrat ?
A Sainté, les jeunes jouent beaucoup ! (4)
10/05 10:24
Dans sa dernière lettre hebdomadaire, l’Observatoire du football CIES révèle le taux d’emploi des joueurs formés au club (ceux ayant été pendant au moins trois saisons entre 15 et 21 ans dans leur club d’emploi) dans les équipes de 27 premières divisions d’associations membres de l’UEFA.
En France, l’ASSE (35% des minutes par 17 formés au club - record européen sur ce dernier point) arrive en tête devant les vilains (21,2%, 8) et les Crocodiles (20,2%, 7). Dans les cinq grands championnats européens, seulement trois clubs, tous espagnols, précèdent les Verts : le Celta Vigo (48,97%, 13), la Real Sociedad (48,54%, 16) et l'Athletic Bilbao (40,65%, 12).
Khazri, numéro 10 !
10/05 07:19
Wahbi Khazri a délivré hier contre l'OM sa 10e passe décisive sous le maillot vert. La précédente datait du 29 septembre 2019. Ce jour-là, Mathieu Debuchy avait inscrit l'unique but d'une victoire à Nîmes insuffisante pour sauver la tête de Ghislain Printant.