Biancarelli a transformé Green

14/10 07:04

Dans son autobiographie Libre parue aujourd'hui aux éditions Solar, Claude Puel évoque le cas d'Etienne Green. Extraits.

"Lors de mon arrivée, c'était un garçon timide, introverti, d'une belle stature mais devant travailler son jeu au pied et bien d'autres aspects. Nous l'avions fait signer un an professionnel pour lui donner une chance supplémentaire de passer un cap, mais à travers notre décision de ne pas étendre son contrat perçait notre interrogation à son sujet. L'arrivée d'André allait le transformer, l'émanciper. Etienne se révélait, progressait, montrait enfin son caractère et son autorité.

Je m'étais toujours dit qu'avec un nom et un prénom pareils, s'il réussissait à s'imposer dans son club formateur, ce serait énorme. L'occasion lui en était donnée, je n'avais pas d'appréhension particulière à son sujet pour l'aligner. Il saisissait sa chance en réussissant une grosse prestation à Nîmes, stoppant un penalty et multipliant les parades pour garder le score et sceller une victoire contre un concurrent direct pour le maintien.

Son baptême était plus que réussi. Etienne Green, portier des Verts de Saint-Etienne, devenu coqueluche des supporters, cela ne s'invente pas ! Il gardait les cages jusqu'à la fin de saison, confirmant lui aussi son potentiel et de bien belles promesses. De par sa double nationalité française et britannique, les portes de la sélection Espoirs s'offraient à lui des deux côtés de la Manche. Il choisissait la sélection anglaise."

Gare à Guilavogui !

14/10 06:47

Morgan Guilavogui (24 ans), qui n'avait fait que 4 apparitions avec les U17 du duo Gilles-Rodriguez-Lionel Vaillant lors de son unique saison verte (2013-2014), avait décliné une proposition de l'ASSE au printemps 2020 avant de s'engager avec le Paris FC. L'attaquant guinéen, qui a marqué 3 pions cette saison de L2 après avoir marqué 11 fois la saison dernière, s'est brièvement confié au Progrès avant de jouer à Geoffroy pour la première fois demain après-midi en ouverture de la 12e journée.

"Josuha en équipe de France et moi avec la Guinée, on a comblé nos deux parents. Mon passage à l'ASSE ? L’équipe venait d’être sacrée championne de France et je me suis heurté à une forte concurrence. De ce fait, je n’ai pas beaucoup joué, je n’ai pas pu exprimer mes qualités. Josuha m’a dit de ne jamais rien lâcher, de croire en mes qualités et que la roue finirait bien par tourner. On doit reprendre notre élan après une intersaison où l’effectif du Paris FC a beaucoup changé avec les rotations arrivées/départs. Il a fallu reconstruire l’équipe. En enchaînant les victoires, on ira de nouveau de l’avant."

Ayant joué 7 matches de Bundesliga dont 4 en tant que titulaire avec Wolfsbourg (13e), Josuha Guilavogui prévient les supporters stéphanois dans le même quotidien régional.

"Morgan sait réfléchir quand il a le ballon et quand il se déplace. C’est un attaquant moderne qui peut tout faire. De plus, comme il a évolué à plusieurs postes, il se montre influent sur le jeu.Il a mal vécu son passage à l'ASSE. Au départ, il devait signer à l’OM mais il y a eu un changement de gouvernance à la formation. Alors j'ai intercédé auprès de Saint-Etienne pour qu’il poursuive son apprentissage. Ça ne s’est pas passé comme prévu. Il m’a dit qu’il voulait marquer des buts contre Saint-Etienne. Il a un esprit revanchard, cela prouve que c’est un compétiteur."

Puel encense Sow

14/10 00:31

Si Laurent Batlles n'a plus fait appel à Saidou Sow depuis que ce dernier a concédé le penalty qui a permis à Valenciennes d'arracher l'égalisation à la 93e minute le 27 août dernier, le défenseur central de 20 ans a droit aux éloges de Claude Puel dans le bouquin Libre écrit par le Castrais et paru ce jeudi aux éditions Solar.

"Nos prestations n'étaient pas dénuées de qualité, bien au contraire. Nous continuions à développer un effectif où de nombreux jeunes joueurs débutaient et obtenaient des temps de jeu, comme Sow, Gourna, Maçon, Neyou, Aouchiche, Moueffek, Lhéry, Saban, Krasso, Rivera, Tormin, Tshibuabua, Sissoko... et d'autres, perfectionnés, tels Camara, Abi, Nordin. Nous alimentions beaucoup de sélections nationales avec, lors des périodes internationales, 16 joueurs retenus. L'équipe alignée était constituée pour près de 40% de jeunes joueurs du centre de formation - beaucoup allaient être suivis par des clubs étrangers -, ce qui situait l'ASSE au premier rang en France et au troisième en Europe.

(...)

Le groupe vivait bien malgré un traitement médiatique souvent négatif, les plus anciens tenaient leur rôle, les plus jeunes progressaient, montrant de belles promesses pour le futur. Combien de belles histoires pourraient être narrées sur beaucoup de ces gamins... Saidou Sow était l'un d'eux. J'assistais à une opposition entre la réserve et les U19, Saidou évoluait avec les plus jeunes, mais sa facilité à gagner les duels, son gabarit, sa lecture et son anticipation sur les phases défensives étaient déjà marquantes. Immigré de Guinée avec sa maman, il avait connu très jeune la misère. Son parcours de vie, très difficile, lui avait forgé un caractère. Saidou avait obtenu le baccalauréat avec deux ans d'avance.

Son intelligence lui permettait de comprendre et de progresser très vite. Sa réussite, il ne la devait qu'à lui-même. Son ascension, son passage des U19 au groupe pro en sautant la case réserve, lui permettait d'être appelé aussi jeune en équipe nationale de Guinée. Saidou était une éponge et un plaisir à entraîner. De par ses blessures et des cas de Covid dans l'équipe, il obtenait des temps de jeu et son match de championnat à Paris où il dominait son sujet et s'imposait à l'armada de talents offensifs parisiens, montrait un très gros potentiel en devenir. Cette promotion fulgurante ne l'avait pas changé, il restait toujours respectueux, à l'écoute et débordant de plaisir d'apprendre."

Le Paris perdu de Jean-Guy

13/10 23:39

Après avoir entraîné successivement l'ASSE, le Racing Paris, Rouen, Renaix, Roye, le Paris FC, Lens, Auxerre, le White Star Bruxelles, le RWMB Bruxelles, l'ASM Bel-Abbès, la JS Kabylie, l'ASO Chlef, le WAC Kenitra, Dieppe, Chartres et Fréjus, Jean-Guy Wallemme (55 ans) est bien parti pour conforter un peu plus son statut d'ancien Vert le plus viré de l'histoire. Alors qu'il avait été nommé entraîneur du Paris Atlético 13 il y a quatre mois, il a selon Le Parisien été mis à pied ce jeudi par ce club promu en N1. Antépénultième, son équipe n'a gagné qu'un seul match après neuf journées...

Puel stupéfié par les réactions de Ruffier

13/10 23:12

Dans son autobiographie Libre parue aujourd'hui aux éditions Solar, Claude Puel revient une énième fois sur le cas de Stéphane Ruffier. Extraits.

"Le comportement de Stéphane Ruffier, lors de notre première collaboration sur mon deuxième match, à Bordeaux, m’avait pour le moins surpris. Il m’avait interpellé en plein match, me demandant, à mots crûs de me taire, gestes à l’appui, après une intervention de ma part sur son jeu au pied. Ne voulant pas faire de vagues pendant la rencontre, je recevais Stéphane dans mon bureau le lendemain, en présence de Fabrice Grange. Stéphane s’excusait, mettait son attitude sur le compte de son caractère et de la tension du match. Je comprenais que, forte personnalité, il pouvait avoir eu un coup de chaud, comme l’on dit. Je profitais de l’occasion pour lui soumettre de participer au moins, la veille du match, à une séance collective pour travailler avec ses défenseurs et perfectionner sa relance au pied. Stéphane avait pris l’habitude de ne suivre que des entraînements spécifiques.

Quelques rencontres plus tard, lors du huis clos contre Nantes à domicile, le Chaudron étant suspendu pour jets de fumigènes, un nouveau fait venait perturber notre relation. Sans le soutien de sons supporters, nous avions anticipé avant la rencontre que les Nantais cherchereiant sûrement à ralentir le jeu. C’était le cas. De mon banc, je demandais à Stéphane de mettre plus de rythme dans nos reprises de jeu. « Oh toi, là-bas, tu ne vas pas recommencer, tu ne vas pas fermer ta grande gueule ! » Il m’apostrophait à nouveau avec des mots déjà proférés auparavant que je n’avais jamais entendus de la part d’un de mes joueurs et plus de vingt ans de carrière et pour une remarque qui ne me paraissait ni désobligeante, ni incongrue.

Je gardais mon calme pour que cet incident n’ait pas de répercussions sur les joueurs. Il semblait que ce n’était pas une « première » et ceux-ci faisaient la part des choses. C’était une gestion à laquelle je n’avais pas été habitué ou même confronté. Je mettais, cette fois-ci encore, l’intérêt de l’équipe en priorité, tout en demandant une nouvelle fois à Stéphane plus de mesure. Lors des entraînements et dès qu’il était appelé à être titulaire, Jessy montrait beaucoup d’enthousiasme et de compétences. Je décidais de lui confier la garde du but en Coupe de France, tout en ayant prévenu bien en amont Stéphane. Pour préparer Jessy, je le titularisais pour le dernier match de Coupe d’Europe dont nous étions éliminés.

Fabrice me prévenait, personne ne l’avait jamais fait auparavant. Au-delà de cette évolution de management, Stéphane n’était plus assez décisif depuis un certain moment alors que Jessy alignait de bonnes prestations en Coupe. Je m’en inquiétais auprès de Fabrice et à la suite d’autres productions non conformes à ses qualités, je décidais de le faire souffler le temps d’un match. Je lui proposais, en présence de Fabrice, de se reposer ou d’être sur le banc pour rester proche de l’équipe. Ce n’était pas, pour moi, une défiance envers les qualités de Stéphane. Je voulais simplement qu’il réagisse derrière, retrouve toute son efficacité et mon souhait était de le repositionner dès le match suivant.

Je n’ai pas eu le temps de lui donner de plus amples explications. Il se levait précipitamment, saisissait son téléphone pour appeler son agent. Dans la foulée, celui-ci se répandait dans toutes les rédactions et émission sportives avec violence, en proférant insanités et calomnies. Je ne comprenais pas que le fait d’annoncer à un joueur qu’il ne serait pas titulaire pour le match suivant, une décision sportive en l’occurrence, puisse déclencher une telle fureur. Même après cette scène, dans l’intérêt de l’équipe, je n’avais pas fait une croix sur lui, mais son absence de recul par rapport à cette situation ne faciliterait pas un rapprochement entre nous. D’autant que Jessy répondait présent.

(…)

Le cas de Stéphane Ruffier n’était pas anodin. Avant notre reprise de l’entraînement, je m’étais entretenu avec Jessy et Stéphane pour leur signifier la hiérarchie de ce début de saison 2020-2021. J’étais satisfait des performances de Jessy sur les dernières rencontres précédant l’arrêt du championnat, qu’il avait confirmées en réalisant une très grosse finale de Coupe de France contre le PSG. Je ne reproduirai pas ici les propos tenus par Stéphane à l’annonce de ce choix qui ne le privilégiait pas. Mais il était évident que ça n’incitait pas à mettre une certaine fluidité dans notre relation."

Les Aveyronnais verront le vrai Geoffroy

13/10 22:58

L'ASSE recevra le Rodez Aveyron Football le samedi 12 novembre à 15h00 en match d'ouverture de la 12e journée de L1. Les Ruthénois, qui comptent actuellement 3 points d'avance sur les Verts, auront l'honneur de découvrir le vrai Geoffroy avec la réouverture du Kop Sud.

C’était implacable et si sournois...

13/10 22:43

Dans son autobiographie Libre parue aujourd'hui aux éditions Solar, Claude Puel revient évidemment sur ses vertes années. Extraits.

"Saint-Etienne avait conclu sa saison 2018-2019 sur une très bonne quatrième place. Jean-Louis Gasset décidait de souffler et de ne pas débuter l’exercice suivant. Les dirigeants devaient prospecter pour son remplacement. En ce mois de juin, indirectement, j’étais approché et des intermédiaires venaient tester mon intérêt. L’équipe avait pour moi « superformé » magnifiquement. Son environnement, dans le club, les médias, les supporters, devait être plein d’espoir de confirmation et d’ambition à titiller les clubs au-dessus. Je n’avais pas cette analyse. Je trouvais l’équipe un peu vieillissante et l’effectif pas assez calibré pour enchaîner matches de championnat et de Coupe d’Europe. Cette attente ne me paraissait pas saine et des premiers résultats non conformes auraient suscité très vite de l’incompréhension. Je ne répondais pas à ces premières approches.

Le club faisait une promotion interne, confiant cette lourde tâche à Ghislain Printant. Les débuts difficiles de l’ASSE amenaient les dirigeants à un changement d’entraîneur. Etant toujours libre, ceux-ci demandaient à me rencontrer, me présentaient le club, son potentiel, leur désir de me confier les rênes de l’équipe. Ma réflexion évoluait, et, cela peut paraître paradoxal, le classement, 19e, me laissait penser que l’attente serait moindre, l’environnement plus compréhensif et propice à accompagner le club sur un travail de fond. Je répondais par l’affirmative à leur proposition à la condition que Jacky Bonnevay m’accompagne comme adjoint ainsi que Xavier Thuilot en tant que directeur général.

(…)

Le club, pour suivre son projet ambitieux et coûteux, avait investi, emprunté, cédé son meilleur jeune William Saliba et s’était endetté pour répondre à une attente importante en menant une politique de joueurs confirmés. Mais ce modèle n’était plus viable pour le futur du club qui vivait au-dessus de ses moyens. Il fallait redimensionner le projet, baisser la masse salariale et créer des actifs. C’est-à-dire développer de jeunes joueurs du centre de formation qui pourraient représenter une manne financière en cas de besoin pour le club. Il en allait du devenir du club. C’est vrai, j’avais formulé beaucoup d’ambition lors de ma venue pour aider l’ASSE à performer et à pouvoir la situer à un niveau hiérarchique plus conforme à son glorieux passé. Mais je devais me rendre à l’évidence...

Je me retrouvais face à une situation ô combien périlleuse qui allait automatiquement, un jour, déboucher sur une incompréhension. Dans de précédentes aventures, à Lille et à Nice, nous étions partis d’une page blanche avec un tout petit budget, parfois avec  une interdiction de recrutement à titre onéreux, mais sans antécédents à supporter. Là, il s’agissait d’un tout autre challenge. Je ne cache pas que ma première pensée a été : « Mais dans quoi je me suis mis ? »(…)  Je n’avais pas le droit de réagir ainsi. Après un très court atermoiement, il n’y avait pas de place à la frustration, je me devais de relever ce défi et ne pas me polluer l’esprit avec une quelconque pensée négative. Je me mettais au travail.

Dès mes premières interviews, je ne cachais pas notre situation, je voulais jouer franc jeu pour essayer d’obtenir, sinon une adhésion, du moins une certaine compréhension. Il fallait également protéger le sportif pour que les joueurs puissent s’exprimer et ne soient pas confrontés à un environnement trop contraire. Par obligation, je positionnais le club sur un nouveau modèle avec le développement de jeunes joueurs de son centre de formation. C’était revenir à l’ADN du club en quelque sorte et retrouver des valeurs du passé. C’est un discours qui, dans un premier temps, trouvait un écho favorable auprès des supporters.

Beaucoup moins dans certains médias où je remarquais, dès ma prise de fonctions, une volonté farouche d’opposer les jeunes et les moins jeunes des joueurs, puis de stigmatiser ma propension à vouloir imposer des débutants, coûte que coûte. Non, ce n’était pas une action menée en dehors de toute considération ou réflexion. Je n’étais pas là pour me faire plaisir mais pour prendre les décisions qui s’imposaient dans l’intérêt général du club. Comment pouvait-on penser qu’en ma qualité d’entraîneur je ne pouvais pas performer, avoir des résultats, pouvoir m’appuyer sur une équipe mature, recruter des éléments lui permettant d’être toujours plus forte ?

L’un de ces médias avait dénigré les plus âgés, annonçant que maintenant le club des « peignoirs-claquettes » était bien révolu, et cherchait systématiquement à établir un conflit de générations. J’avais lancé et développé certains d’entre eux dans mes précédents clubs, tels Debuchy et Cabaye à Lille, Kolodziejczak à Lyon puis à Nice, ou encore Honorat à Nice. Comment pouvait-on s’exprimer de telle manière sur des joueurs qui accomplissaient une remarquable carrière ? Cette soi-disant opposition quotidiennement distillée et l’ouverture que je procédais de l’équipe, à de jeunes joueurs, ont pu nourrir frustration ou interrogation et alimenter beaucoup de fake news…

Dès mon arrivée, on m’avait alerté sur le fait que Saint-Etienne était un club très ouvert, de par sa stature médiatique mais également par sa propension à diffuser des informations réelles parsemées d’autres complètement farfelues. Puisque des membres du club avaient été témoins de certains faits, c’est alors que tout le reste était vrai aussi… C’était implacable et si sournois... Le travail effectué la veille du match était systématiquement relaté dans les médias et la composition d’équipe dévoilée. Chaque matin, nous découvrions une nouvelle «affaire », du moins était-elle aussi présentée, qui pouvait toucher l’un des présidents comme l’un des salariés du club. Cette communication off instaurée bien avant ma venue et que nous subirions, ne facilitait pas le quotidien. A qui pouvait profiter tous ces éléments déstabilisateurs ? J’avoue que n’ai pas su pacifier ce secteur-là."

Dans les Alpes pour rester au sommet

13/10 20:38

Après cette trève internationale, retour au championnat pour les Amazones avec un déplacement à Grenoble, ce dimanche à 15h au stade Stijovic. 

Avec un sans faute depuis le début de la saison (4 victoires sur 4 matchs) et avec une moyenne de plus de 6 buts par match, les protégées de Laurent Mortel partent largement favorites dans ce 2ème derby rhônalpin de la poule B.

On compte sur les coéquipières d'Elise Legrout pour garder cette infernale cadence. 

Le compteur de Robert n'est pas bloqué

13/10 19:19

Robert Szczepaniak, né le 4 avril 1942 à Cransac, dans le bassin minier de Decazeville (Aveyron) a commencé sa carrière à l'AS Saint-Étienne (1960-1961) avant de la poursuivre au RC Strasbourg, puis au FC Metz et au RCFC Besançon. Victime de graves blessures au genou, sa carrière ne fut pas à la hauteur de son immense talent. Il compte néanmoins 5 sélections en équipe de France.

Il est désormais retiré dans le Tarn et Garonne, à Albias, près de Montauban. La Dépêche du Midi, nous conte, dans son édition d'aujourd'hui, la mésaventure qui vient de lui arriver

"Il y a vingt ans, sa consommation d’eau du robinet plafonnait à moins de 100 m3 pour deux personnes hébergées dans la jolie demeure de 400 m2, nichée dans la vallée de l’Aveyron. De 2008 à 2012, la consommation annuelle va grimper en moyenne à 200 m3, mais le propriétaire ne s’est pas inquiété outre mesure puisque six adultes et deux enfants vivaient désormais sous le même toit.
C’est en 2013 que le compteur s’affole vraiment et atteint un premier sommet avec 527 000 litres affichés pour huit personnes dont trois enfants. Le delta est significatif. Robert se tourne alors vers son opérateur et fait appel à un plombier pour effectuer une détection de prétendues fuites dans le garage au niveau de la vanne d’arrivée. Tout s’avérera en parfait état. Le client n’aura aucune explication à sa surconsommation, ni aide pour en supporter le paiement.
Les années suivantes, de 2014 à 2019, le compteur va lever légèrement le pied, ne facturant « plus que » de 340 000 à 404 000 litres par an. Puis, en 2020 et 2021, c’est l’explosion. Alors que le nombre de personnes hébergées est moindre, la facture remonte en flèche, à 576 m3 en 2020 et à 620 m3 l’an dernier.
Véolia, le fournisseur lui renvoyant toujours qu’il devait avoir une fuite chez lui, l’homme a fait revenir un plombier. Il a changé un chauffe-eau. À partir de septembre 2021, le problème persistant, il décide de réaliser des relevés qui seront certifiés par un huissier."

(...)

"Sous la pression de son client, Véolia acceptera finalement, en avril 2022, de changer le compteur. « Au préalable, ils m’ont dit qu’il fallait effectuer une expertise de l’ancien compteur et que cette expertise serait à ma charge s’il s’avérait que le compteur fonctionnait normalement. Cette expertise coûtait 200 euros. Véolia m’a écrit pour me dire que l’expertise avait conclu que le compteur fonctionnait bien, mais je n’ai jamais eu un document d’expertise qui en atteste. L’huissier qui est intervenu aussi à mes frais dans ce dossier n’a pas eu non plus de preuve écrite des résultats de cette expertise » , souffle Robert."

(...)

N’empêche ! Robert ne veut pas en rester là. Il a saisi le médiateur de l’eau. Il veut réparation. « C’est le mépris avec lequel j’ai été traité, et le manque de respect pour le consommateur que je suis, qui m’incite à vous solliciter », lui a-t-il écrit.

Othman toujours plus haut

13/10 19:00

Photo : site officiel de l'ASSE

Jibril Othman, 18 ans (il est né le 26 avril 2004), après avoir effectué, l'an passé, une belle première saison en U19 Nationaux (23 matchs, 16 buts), est directement passé, cette saison, avec les réservistes de N3 sous la direction de Razik Nedder.
Et ce matin, il a été convié à l'entraînement des pros, ainsi que l'atteste une photo du site officiel de l'ASSE, où on le voit en compagnie de Lenny Pintor et Victor Lobry.
Y a-t-il un lien avec l'absence, samedi contre le Paris FC, de Jean-Philippe Krasso suspendu pour trois matchs et sera-t-il du groupe qui va affronter les Parisiens, samedi à 15 heures ?

Allez Trincamp !

13/10 18:22


La future boutique Trincamp, au 12 rue Pointe Cadet (photo : if-saint-etienne.fr)

Oui, le vintage n'a pas d'âge et revient même en boutique. C'est ce que IF, le media stéphanois qui met les points sur les "if" affirme aujourd'hui :   Trincamp, la brocante spécialisée dans les objets liés au football vintage, ouvrira bientôt une boutique permanente à Saint-Etienne. Pour autant, la vente en ligne reste toujours d’actualité.

« Après avoir fait deux boutiques éphémères, j’avais besoin d’un local permanent, pour gérer le site Internet, faire du retrait de commandes en ligne, du dépôt-vente, et surtout rencontrer les clients », explique Dorian Beaune, fondateur de Trincamp, brocante spécialisée dans les objets liés au football vintage. Ce sera bientôt chose faite puisqu’il ouvrira une boutique permanente mi-novembre, au numéro 12 de la rue Pointe Cadet, en clin d’œil au lancement de la Coupe du monde.

S’il a choisi d’investir ce quartier, ce n’est pas par hasard. « Je voulais être entre les Halles et les Martyrs. J’ai hésité avec la rue Léon Nautin et j’ai vu cette annonce. Ça a été un coup de cœur immédiat, le local est très lumineux ». Il est vrai que c'est un quartier en plein renouveau. « Les gens ne pensent pas encore à tourner dans cette rue, mais je compte faire un gros effort sur la décoration, la vitrine pour ramener du monde ». La boutique s'inscrira pleinement dans l'histoire de la ville avec évidemment une part consacrée au football vintage (50 % ASSE et 50 % football étranger) mais elle n'oubliera pas l’histoire industrielle et commerciale de Saint-Etienne. On y trouvera des pièces en lien avec Manufrance, Casino, mais aussi avec le passé minier de la ville.

Reste à savoir si le blues actuel des supporters des Verts se traduira sur les ventes. Dorian Beaune n'en est pas convaincu : « Cela joue un peu, même si pour les collectionneurs et les nostalgiques c’est autre chose. Et puis, pour la Coupe du monde, il y aura un gros focus sur la période 1998 et sur l’Euro 2000, tout le monde pourra s’y retrouver ». Enfin, Dorian Beaune souhaite également développer une partie plus « branchée » grâce à une gamme de t-shirts neufs à l’aspect vintage, l’idée étant de toucher la clientèle qui s’habille dans le quartier. 

Tack is back

13/10 17:54

Elian Tack a quitté le FC Bourgoin Jallieu (N3) pour revenir à ses racines, à l'USSL, l'Union Sportive Sucs et Lignon, club né de la fusion de deux clubs voisins en mai 2015: l'Entente Saint-Maurice Yssingeaux et l'Association Sportive de Saint-Maurice de Lignon.

L'Entente Saint-Maurice Yssingeaux, c'est justement là où il avait commencé avant de partir dans la région stéphanoise, à l'Olympique de Saint-Etienne puis au Centre de formation de l'ASSE, en 2008. 

"Sans club depuis son départ du FC Bourgoin-Jallieu en National 3, Elian Tack, 29 ans, était à la recherche d'un nouveau projet. Il a bien reçu des propositions de la part de clubs de Régional 1 Rhône-Alpes et en Haute-Loire aussi mais l'Yssingelais de naissance n'a pas donné suite." précise la Commère, Site internet d'informations locales en Haute-Loire et sur l'Yssingelais
Désormais papa, l'attaquant a fait le choix de concilier le foot avec sa vie personnelle. Avec sa compagne, originaire de Retournac, ils rentrent à la maison après dix ans passés sur les routes du foot. "Pour moi, c'est un petit deuil. Je vivais jusque-là du foot. Je vais me reconvertir, c'est encore assez flou, mais j'ai confiance. Le club va m'aider." poursuit la Commère.

Elian Tack, l'altiligérien de 29 ans (il est né le 26 avril 1993 au Puy en Velay) était arrivé à l'ASSE en 2008 et l'avait quittée en 2013.  Il a ensuite évolué : 
- au Puy Foot 43 (N3/N2 : décembre 2013-2017)
- à Thiers (N3 : 2017-2019)
- puis enfin à Bourgoin Jallieu (N3 : 2019-2022) avant donc de revenir dans son premier club

Voici le parcours d'Elian Tack à l'ASSE :  

  • 2008-2009 : U15 avec Gilles Rodriguez
  • 2009-2010 : U17 Nationaux avec Romain Revelli. Les Verts terminent en tête de leur poule et échouent aux portes de la finale nationale.
  • 2010-2011 : U19 avec Abdel Bouhazama. Les Verts terminent 10èmes de leur groupe. Il participe au parcours vers la finale en Coupe Gambardella, perdue contre l'AS Monaco.. 
  • 2011-2012 : U19 : avec Abdel Bouhazama. Les Verts terminent 4èmes de leur groupe. Elian Tack inscrit 6 buts et fait partie de l'équipe finaliste de la Coupe Gambardella, battue par l'OGC Nice.
  • 2012-2013 : CFA avec Jean-Philippe Primard. L'ASSE est reléguée en CFA2

Batlles planer le doute

13/10 14:19

En conférence de presse ce midi, Laurent Batlles a dit qu'il ne parlerait pas d'arbitrage mais n'a pas tenu longtemps...

Par ailleurs il a également évoqué la question du système de jeu, pour lequel il semble moins affirmatif que la semaine dernière :

"Je ne parlerai pas de l'arbitrage. D'autres personnes s'en chargeront au club. Comment on explique qu'il n'y a pas de double peine et en Ligue des champions, c'est l'inverse (ndp² : cf le combo pénal-carton infligé hier au joueur du Sporting Lisbonne) ? Je veux bien entendre des choses mais on ne peut pas voir l'inverse sur d'autres terrains. On en a parlé au sein du club. On doit rester serein. J'en ai parlé avec l'arbitre à la fin du match.

De perdre son meilleur buteur, c'est toujours délicat. Il y a eu un rapport de l'arbitre, il est sanctionné. Ça aurait pu être plus. Ce n'est pas normal ce qu'a fait Jipé mais il faut quantifier la chose. Je leur en parle et j'essaye d'être le plus juste possible.

On va peut être changer le système ou les hommes. Ça ne veut pas dire qu'en changeant, ça réussira mais il ne faut pas être borné. Je ne vais pas vous dire ce qu'on va changer pour ne pas donner d'indication à l'adversaire. Je vais me tenir à une ligne de conduite pendant trois ou quatre matches. Il faut que les joueurs aient des repères."

Changement ou pas ce sera sans Pétrot (blessé) et Krasso (suspendu), seules absences prévues pour samedi.

Oscar pas récompensé

13/10 11:19

Dans une semaine folle, la Ligue 1 voit un 4ème coach prendre la porte : 5 ans après avoir quitté Sainté, Oscar Garcia vient d'être mis à pied par le Stade de Reims.

Actuel 15ème du championnat avec 8 points, Reims reste pourtant sur un nul contre le QSG ... sans Garcia, absent pour raisons personnelles. Alors que Garcia était arrivé en juin 2021 et avait conduit Reims à la 12ème place l'an dernier, le club évoque la surprenante raison suivante : au vu des résultats, en deçà des objectifs escomptés et afin de protéger l'intérêt supérieur de l'institution...

A Paris en train sans entrain ?

13/10 07:25

Les Verts, qui ont pris le bus pour aller à Dijon, en feront de même pour aller à Annecy, Nîmes et Grenoble et sont en pourparlers avec la SNCF pour leur déplacement à Paris lors de la 30e journée comme l'indique aujourd'hui Le Progrès, qui cite une source interne à l'ASSE.

"Nous attendons une réponse de la SNCF pour notre match face au Paris FC. L’idée, c’est de prendre un train direct de Châteaucreux jusqu’à la Gare de Lyon.  On ne peut pas mener dans notre coin des discussions avec la SNCF. Il faut que tout le monde y mette du sien. Il y a une réalité sportive à prendre en compte et, quand une équipe joue tous les trois jours, c’est compliqué de prendre le train. Il faudrait certainement alléger les calendriers."

On en déduit que les responsables stéphanois ont prévu de jouer les demi-finales de Coupe de France programmées le 5 avril, 3 jours avant leur déplacement à Charléty...

 

Puel revient sur le cas Ruffier

13/10 06:55

Dans la Pravda du jour, Claude Puel revient sur son différend avec Stéphane Ruffier.

"J'ai eu une altercation avec lui alors que l'on ne se connaissait pas et qu'il n'y avait pas d'a priori. C'était particulier, dès le premier match, de s'entendre dire certaines choses. C'est dommage pour l'équipe dans son ensemble, pour lui aussi. A un moment donné, son niveau n'était pas celui escompté, il y avait une remise en question à avoir, il n'était pas prêt à l'assumer, tout simplement. Il l'a pris comme si on l'attaquait en tant que personne ou si on remettait en cause son niveau de joueur."

Sami a vu rouge

12/10 23:10

Le Ponot, Sami Belkorchia, ancien du centre de formation de l'ASSE s'est fait exclure ce soir, lors de la rencontre comptant pour la 9ème journée du championnat National et opposant Paris 13 Atletico (dont le coach n'est autre que Jean-Guy Wallemme et le gardien Germain Sanou) au Puy Foot 43, où Maxence Rivera était titulaire. Cette rencontre s'est soldée par un match nul (1-1). Sami Belkorchia a écopé d'un carton jaune à la 47ème puis d'un autre à la 62ème, synonyme d'exclusion.

Arrivé à l'ASSE en 2009, en provenance d'Andrézieux, Sami Belkorchia, alors défenseur central ou latéral a joué 17 matchs (1 but) en catégorie U15 (2009-2010), sous la direction de Philippe Guillemet.
En 2010-2011, on le retrouve dans l'équipe  U17 Honneur Ligue  de Gilles Rodriguez (7 rencontres), mais aussi avec les U17 nationaux de Romain Revelli (14 rencontres).
En 2011-2012, il effectue 18 matchs avec les U17 nationaux de Gilles Rodriguez et Lionel Vaillant, et 2 matchs avec les U19 d'Abdel Bouhazama, coach qu'il retrouvera l'année suivante (2012-2013) toujours en U19 (11 matchs) et coach qu'il suivra au SCO Angers pour la saison 2013-2014.
Dans le club angevin, Sami Belkorchia fait des apparitions en U19 et CFA2. Il ne restera qu'une année en Anjou et retrouvera le Forez en 2014-2015, à St Chamond (DHR), puis à Savigneux-Montbrison (DHR) en 2015-2016, club qu'il quittera en janvier 2017 pour Villefranche sur Saône. Il restera jusqu'en 2020 dans le club caladois, passant du CFA2 au National. En 2020, il signe à Quevilly-Rouen et accède à la Ligue 2. Cet été, il a rejoint les rangs du Puy Foot 43

Opoku dur

12/10 22:21

Jean-Philippe Krasso n'est pas le seul joueur à avoir écopé ce soir de 3 matches ferme de suspension. L'athlétique défenseur central amiénois Nicholas Opoku, titularisé 10 fois cette saison, s'est vu infliger cette sanction pour son tacle par derrière sur Mickaël Le Bihan. Le Ghanéen ratera donc le match d'ouverture de la 13e journée de L2 qui opposera les Picards aux Verts le 22 octobre à 15h00 au stade de la Licorne.

Krasso a pris cher

12/10 21:22

La commission de discipline de la Ligue qu'on adule a infligé ce soir 4 matches de suspension dont 1 avec sursis à Jean-Philippe Krasso, expulsé avant-hier à Bonal dans le temps additionnel pour avoir donné un coup de coude à Saad Agouzoul. Une sanction particulièrement sévère pour un joueur sans antécédent. Alors qu'il joue sa 10e saison en senior, il n'avait pris jusque-là qu'un seul carton rouge (à Créteil avec Epinal il y a 4 ans en N2) et 24 cartons jaunes toutes compétitions confondues.

Le meilleur buteur de la L2 (8 pions) ratera donc la réception du Paris FC (ce samedi en match d'ouverture de la 12e journée), le déplacement à Amiens (le 22 octobre à 15h00) et le 7e tour de Coupe de France (le 30 octobre) dont le tirage sera effectué le 19 octobre. L'international ivoirien des Verts fera son retour seulement le 7 novembre contre les Grenats à Saint-Symphorien lors de la 14e journée de L2...

Trauco décisif mais dernier

12/10 21:03

Entré en jeu lors de ses deux premières apparitions sous le maillot des Earthquakes de San José, Miguel Trauco était titulaire le week-end dernier lors de la dernière journée de la saison régulière de MLS. Il a délivré à Seatlle une passe décisive sur le second but égalisateur de son équipe, qui malgré ce nul a fini à la dernière place tandis que Denis Bouanga a été sacré avec le LAFC.

"Mon idée est maintenant de retourner au Pérou, de rester à Lima et de m'entraîner à Videna. Nous avons de très longues vacances - 3 mois - et nous devons continuer à nous entraîner pour rester en forme, sinon tout se complique lorsque le travail d'avant-saison commence. C'est mon plan pour essayer de maintenir le niveau physique" a déclaré l'ex-numéro 13 de l'ASSE à l'issue de la rencontre.

On a retrouvé des anciens Verts

12/10 20:46


Matthéo Haon, désormais à Bourg en Bresse

Ils ont quitté le Centre de Formation en juin dernier. Poteaux Carrés les a retouvés.

Matthéo Haon (2004) était arrivé au Centre en 2020 en provenance du vilain voisin. Il a effectué deux saisons chez les Verts, 2020-2021 en U17 et 2021-2022 en U19. Il opére désormais avec les U19 de Bourg en Bresse, dans la même équipe qu'un autre ancien Vert, Alex Hospital. Ce dernier, de la même génération était arrivé à l'ASSE en 2017, en provenance de l'Olympique de Saint-Etienne. Après deux années en U14 et U15, il avait quitté l'ASSE en 2019.
Quant à Thym Gory Makengo (2006), formé à l'école de foot de l'ASSE, il porte depuis cet été les couleurs des U17 nationaux de l'Olympique de Valence. Il a été titulaire à tous les matchs depuis le début de saison. 

Bouanga titré !

12/10 13:16

Denis Bouanga, qui avait été sacré champion de National avec Strasbourg en 2016, a remporté le week-end dernier le premier titre de sa carrière professionnelle. Malgré sa défaite à domicile contre Nashville, le Los Angeles FC a fini la saison régulière de MLS avec le plus de points et a donc remporté le Supporter's Shield.

Ayant claqué un pion et délivré aucune passe décisive en 7 matches joués en black and gold dont 6 en tant que titulaire, l'ancien attaquant stéphanois aura peu contribué au sacre de son équipe, qui a eu de moins bons résultats avec lui (3 victoires, 1 nul et 3 défaites) que sans lui (18 victoires, 3 nuls, 6 défaites).

Mahdi à bout de souffle ?

12/10 12:51

S'il a joué cette saison davantage de matches avec Brest (5) qu'avec Sainté (4), Mahdi Camara est loin d'avoir retrouvé dans le Finistère le temps de jeu qu'il avait avec les Verts. Alors qu'il avait joué l'intégralité des rencontres sous les ordres de Laurent Batlles avant de quitter le Forez pour la Bretagne, le milieu défensif n'a joué que 244 minutes sous les ordres d'un Michel Der Zakarian mis à pied en début de semaine suite à son début de saison catastrophique (6 points en 10 matches). Les trois fois où l'ancien numéro 8 des Verts a été titularisé par MDZ, il a été remplacé (dès la 54e minute contre Ajaccio et peu après l'heure de jeu contre Paris et Lorient). Reste à savoir si l'ex-capitaine de l'ASSE arrivera à faire un match plein sous la houlette du futur coach de l'actuelle lanterne rouge de l'élite...

Saint-Etienne n'est pas du tout à sa place

12/10 10:37

Dans la dernière émission de Ligue 2, le debrief (podcast de RMC), le capitaine sochalien Gaëtan Weissbeck a tenu à rendre hommage aux Verts.

"Je pense qu’on a fait le match qu’il fallait. On a su rester sereins, même quand on a pris le but du 2-1. Par contre, je pense que Saint-Étienne n’est pas du tout à sa place, quand on voit la qualité du jeu, les joueurs qu’ils ont… ils ne sont vraiment pas à leur place. C’est une équipe qui va sans doute revenir dans le championnat parce qu’ils nous ont vraiment mis en difficulté."

 

Paris voyage mieux que Sainté

12/10 08:43

"On va continuer de travailler. On manque un peu de cohésion. Le fait d'avoir pas mal de blessés nous oblige à faire pas mal de choses différentes. On aimerait pouvoir travailler avec un effectif un peu plus stable mais ça fait partie du jeu, on ne va pas se plaindre. Aujourd'hui on est un peu dans le dur, il faut l'admettre" a déclaré Thierry Laurey en conférence de presse après sa défaite à domicile de samedi dernier contre le VAFC de Mathieu Debuchy. "Mais l'attitude des garçons est bonne donc j'espère que ça nous permettra de rebondir. On va quand même à Saint-Etienne samedi prochain donc ça s'annonce compliqué... Mais pour l'instant à l'extérieur ça se passe pas trop mal."

Si le Paris FC a perdu ses trois derniers matches disputés à Charléty, il a en remporté ses deux derniers matches hors de ses bases et contrairement à Sainté a su prendre un point au Roudourou et à Bonal (ainsi qu'à La Licorne). L'équipe de Morgan Guilavogui a donc pris 9 points à l'extérieur cette saison, seuls Le Havre, Bordeaux et Guingamp en ont pris davantage (10). Les hommes de Laurent Batlles n'ont glané que 3 petits points en 6 matches disputés loin du Chaudron, seul Nîmes fait pire... Les Crocodiles n'ont pris qu'un seul point à l'extérieur, c'était à Geoffroy-Guichard !

 

Aucun progrès dans la coordination défensive

12/10 07:47

Patrick Guillou commente aujourd'hui dans Le Progrès les deux buts pris par les Verts avant-hier au stade Auguste-Bonal.

"Sur le premier corner concédé, d'abord la passe « casse-croûte » de Palencia pour Lobry et la perte de balle qui mène au premier centre. Manque de communication Green-Briançon. Mauvaise prise d’information au départ de l’action. Le défenseur central stéphanois « panique » et dégage en catastrophe en corner. Un seul ordre aurait permis de gérer la situation différemment. Ouverture du score concédée et perte immédiate de confiance. Le langage corporel est signifiant. Têtes basses et manque de caractère.

(...)

L'ASSE n’arrive toujours pas sortir la tête de l’eau. Submergée. Comme sur le second but. Dans la construction sochalienne. Une passe adverse de 40 mètres pour trouver l’attaquant qui décroche et qui se remet en mouvement. 5 joueurs éliminés sur la première passe. Mauvaise gestion de l’attaquant du début à la fin de l’action. Déresponsabilisation et alignement catastrophique. Bakayoko et Maçon sont même derrière Briançon et Giraudon dans la continuité de l’action. Aucun progrès dans la coordination défensive. L’implication laisse cruellement à désirer."

Aubame a encore enfoncé le Milan AC

11/10 23:23

Sans pitié pour son premier club pro réduit à dix dès la 18e minute suite à l'expulsion de l'international anglais Fikayo Tomori, Pierre-Emerick Aubameyang a comme la semaine dernière marqué ce soir le but du break de Chelsea contre le Milan AC.

 

Les Blues prennent la tête du très vert groupe E de Ligue des Champions, le Red Bull Salzbourg de Lucas Gourna-Douath (titulaire et non remplacé) ayant été tenu en échec 1-1 en Croatie par le Dinamo Zagreb de Kévin Théophile-Catherine (resté sur le banc).

Le choc des pseudo-favoris

11/10 22:09

"Saint-Etienne et le Paris FC font office de favoris et sauf catastrophe, devraient certainement  jouer les premiers rôles" pouvait-on lire dans Corse-Matin le 27 juillet dernier. "Mon prono pour la saison de L2 2022-2023 ? 1. Paris FC, 2. ASSE" avait écrit l'avant-veille le visionnaire Mohamed Toubache-Ter. Les deux clubs risquent d'avoir du mal à donner raison au quotidien régional et à l'hyperactif twitto passé très furtivement au SCO.

Le match d'ouverture de la 12e journée opposera en effet ce samedi dans le Chaudron deux clubs de la seconde moitié de tableau. Antépénultièmes à égalité de points avec les deux derniers (les inoffensifs Crocodiles et Chamois), les Verts sont à 15 longueurs du duo de leaders. Les hommes de Thierry Laurey, relégués à la 11e place suite à leur nouvelle défaite à domicile contre Valenciennes, comptent 10 unités de moins que Bordeaux et Amiens.

Kolo au charbon dans une nouvelle ville minière

11/10 16:46

Comme l'ASSE, le Schalke 04 est antépénultième de son championnat (la Bundesliga) et a réussi l'exploit d'encaisser autant de buts que les Verts (21) en ayant joué deux matches de moins (9 contre 11) ! Le club basé à Gelsenkirchen (cité minière de la Ruhr) est tellement mal en point défensivement qu'il a décidé de mettre à l'essai depuis aujourd'hui Timothée Kolodziejczak. Actuellement sans contrat, celui qui a fêté ses 31 ans il y a 10 jours a joué son dernier match en vert le 23 avril lors d'une défaite à Geoffroy contre Monaco marqué par un csc aussi beau que celui qu'il avait mis 20 jours plus tôt pour l'OM dans le même stade.

APN, double peine ?

11/10 12:20

Alexandre Perreau Niel a été désigné pour arbitrer le match qui opposera l'ASSE au Paris FC ce samedi à 15h00 à Geoffroy-Guichard. Pour rappel, c'est lui qui avait expulsé à tort Mickaël Nadé à Robert-Diochon il y a deux mois. C'est aussi lui qui a permis aux hommes de David Guion de s'imposer à Francis-Le Basser il y a 8 jours : après avoir invalidé à tort un but lavallois pour un hors jeu inexistant, le Bourguignon avait oublié de siffler un péno pour les Tango dans le temps additionnel...

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