Bathenay et Herbin bientôt dans vos salles

16/10 19:15


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Tourné à Tence (Haute-Loire), le film Opération 118 318 Sévices Clients sort le 17 novembre en salles. Quinze ans après son ancien coéquipier stéphanois Dominique Rocheteau (acteur du regretté Pialat dans Le Garçu), Dominique Bathenay fait ses débuts à l'écran dans cette première comédie consacrée aux centres d'appels. Les anciens Verts sont à l'honneur, l'humoriste Booder interprétant un télévendeur qui se prend pour Robert Herbin !

 

Sur le site officiel de ce film réalisé par Julien Baillargeon et produit par Manuel Jacquinet, sept jeux complets d'équipement de l'ASSE sont à gagner : http://www.operation118318.com/jeu-les-pros-du-call/. Si vous (jean-philippe) séchez, vous pouvez appeler Nanard, qui a fait fortune avec son entreprise Call Center Alliance...

 

JMA perd le Nord

16/10 15:32

L'indétrônable prix citron hors catégorie des poteaux d'or a décidément du mal avec nos anciens entraînant dans le Nord ! Après sa passe d'armes de mai dernier avec Philippe Montanier*, JMA s'en est pris avant-hier à Garcia dans Lyon Capitale. Le chef des vilains a affiché à cette occasion d'inquiétantes lacunes en géographie. Viserait-il Jean-Guy en plus de Rudi ?

 

"Je peux vous dire que ce soit Jérôme Seydoux ou moi-même, on a vraiment envie de gagner ce match contre Lille. Ces derniers temps, on a eu l’impression de recevoir des critiques et quelques fois des leçons qui venaient du Pas-de-Calais. On n’a pas du tout apprécié. Pour tout un tas de raisons, il faut l’emporter face à Lille. Je sais que nos joueurs ne vont pas se laisser donner des leçons par les Lillois et particulièrement leur entraîneur qui en fait trop en ce moment."

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B6220100511135721-Montanier-tacle-Aulas.html

Machado glose sur le peuple rose

16/10 15:08

Dans la Pravda du jour, Paulo Machado évoque le peu d'engouement des Toulousains pour le TFC : "Cela n'a rien à voir avec Saint-Etienne. Là-bas, ils aiment trop le foot, tu ne peux même pas sortir dans la rue. (Rire) Ici, c'est un peu gênant, les supporters ne mettent pas le feu. Après nos quatre victoires (lors des quatre premières journées), les gens n'ont pas cru en nous, ils se disaient sûrement : ''Ils vont tomber.''

Pour Perrin, c'est pas le pied !

16/10 14:14

Enfin, si, justement, c'est bien là le problème ! Blessé à la cheville lors d'un entraînement il y a mois, le capitaine stéphanois avait été dispensé du match de coupe de la Ligue contre Nice mais il avait pu tenir sa place lors des deux chocs contre l'OL et l'OM. La douleur s'étant réveillée, il ne fait pas partie des 18 joueurs retenus par Christophe Galtier pour le déplacement au Ray.* Une blessure de plus pour Loïc, qui aura passé pas mal de temps à l'infirmerie depuis quatre ans ! Un triste rappel s'impose :

 

- le 11 mars 2006, au Stade Vélodrome, l'incivil et écervelé Civelli le tacle sauvagement au bout d'un quart d'heure de jeu. Victime d'une entorse du genou gauche, Perrin est indisponible deux mois et ne réapparaît que quelques minutes lors de l'ultime match de la saison à Ajaccio.

- le 15 juillet 2006, lors d'un match de préparation contre Lens, Loïc se rompt les ligaments croisés antérieurs du genou droit. Éloigné des terrains pendant huit mois, il fait son grand retour à domicile contre Troyes le 17 mars 2007 (victoire 3-1)

- le 27 janvier 2008, il se claque aux adducteurs en plein derby à Geoffroy-Guichard et doit céder sa place à Guarin à la 54ème minute alors que les Verts mènent 1-0... Après trois semaines d'indisponibilité, Perrin rejoue contre Nancy et marque le premier but de ce match capital (victoire 4-0)

- le 16 août 2008, il déclare forfait pour le match de la 2ème journée contre Sochaux en raison de problèmes tendineux apparus à l'entraînement. Vite rétabli, il retrouve sa place le week-end suivant au Mans (défaite 1-0).

- le 1er novembre 2008, Loïc Perrin se blesse dans ce maudit Stade Vélodrome. S'il joue cette fois l'intégralité du match (défaite 3-1), il se blesse (déjà !) aux ischio-jambiers. Indisponible quatre semaines, il entre en jeu à Bruges le 27 novembre (1-1) avant de retrouver sa place de titulaire trois jours pus tard à Nancy (victoire 2-1)

- le 6 décembre 2008, il sort à la mi-temps du match contre Le Havre (victoire 2-0). Souffrant d'une grosse élongation à la cuisse, il lui faut six semaines pour être de nouveau opérationnel et retrouver son brassard de capitaine contre Le Mans (1-1) le 17 janvier. Il devra hélas le rendre une semaine plus tard en quittant prématurément la pelouse du Stade de la Route de Lorient...

- Sorti à la 55ème minute, le 24 janvier 2009, lors du 16ème de finale de coupe de France à Rennes, Loïc Perrin souffre d'une lésion musculaire aux ischio-jambiers. Indisponible plusieurs semaines, il ratera notamment le derby.

- De retour avec la CFA, le 22 mars 2009, il rentre à la mi-temps du match contre Agde en remplacement de Landrin, autre convalescent, inscrit le but égalisateur, et se blesse aussitôt. Verdict : nouvelle lésion, saison 2008-2009 terminée !

- Tout juste revenu de blessure après 90 minutes convaincantes à Monaco (victoire 2-1 le 26 septembre 2009), Loïc se blesse à l'entraînement le 30 septembre 2009. Victime d’une nouvelle blessure musculaire derrière la cuisse, il ne retrouvera pas la compétition avant le 9 janvier 2010 (victoire 4-1 en coupe de France contre Lorient).

- 13 mars 2010, 78ème minute : Loïc Perrin sort du terrain en grimaçant et se tenant la cuisse alors que les Verts mènent 1-0 à Gerland. La minute suivante, les vilains égalisent... Indisponible pendant trois semaines, il participera en fin de saison, notamment lors de la dernière journée... à Nice !

 

* Janot, Moulin - Ebondo, Néry, Monsoreau, Marchal, Bayal, Bocanegra - N'Daw, Sagna, Matuidi, Landrin, Batlles,  Sako, Payet - Rivière, Bergessio, Saadi.

Pastore et à travers (2)

16/10 13:46

En mars dernier, Nanard avait fustigé dans Le Progrès le ratage de Pastore*. Avant-hier, les Spécialistes (Omar Da Fonseca, Carlos Bianchi et Daniel Jeandupeux) ont fait allusion au bref passage de ce talentueux et prometteur attaquant de Palerme. Une séquence de quatre minutes que le potonaute Gusztav nous invite à visionner ici : http://www.megaupload.com/?d=FDY90R0Z. Merci à lui !

 

*http://91.121.210.81/~poteauxc/potin-B0720100309072045-Pastore-et-a-travers.html

Comme un poisson dans l'eau

16/10 11:55

Emmanuel Rivière est décidemment très bavard ces derniers temps. Lors du dernier rassemblement des Espoirs à Clairefontaine, le jeune attaquant stéphanois a livré une petite interview au site Eurosport.fr.

 

Il se confie notamment sur son manque de réalisme actuel :

 "J'ai les occasions, mais la finition manque. Je dois continuer à travailler ça. Devant le but, je dois être plus serein. C'est comme ça que je marquerai plus. Etre efficace et décisif, c'est ce qui me sépare aujourd'hui de Dimitri qui évolue chez les A".

 

Manu ne tarit pas d'éloges sur Christophe Galtier

"Aller à l'entraînement le sourire aux lèvres, ça change tout. Quand on sait qu'on va s'amuser, voir ses amis, que ça ne va pas être strict. Il a amené une certaine joie dans les vestiaires. Quand il faut travailler, on travaille mais ça n'empêche pas de rigoler".

 

Une chose est sûre, il a conscience du chemin parcouru et ne regrette pas d'avoir prolongé à l'ASSE :

 "Je suis issu du centre de formation, je connais le vécu du club, l'engouement du public. J'ai connu les hauts, les bas. On apprend vite à connaitre les valeurs de l'ASSE. Et c'est une fierté, pas un frein".

Bauthéac ne lâche rien

15/10 21:46

Fidèle à la devise de son club*, Eric Bauthéac ne lâche rien. Même quand la Metz est dite. Menée 3-0 à Saint-Symphorien, la bande a Cartoche a sauvé l'honneur ce soir lors de la 10ème journée de L2 d'un joli coup franc des 35 mètres. C'est le trosisième pion mis cette saison par l'ancien réserviste de l'ASSE.

 

* https://www.youtube.com/watch?v=O__cdeeOm3w

Dimitri séduit Revelli... et l'Italie !

15/10 20:19

Meilleur buteur de toute l'histoire de l'ASSE (175 buts), Hervé Revelli (entraîneur à l'US Feurs, CFA2) ne tarit pas d'éloges sur Dimitri Payet dans un entretien accordé à l'AFP publié aujourd'hui sur le site de la FIFA.

 

"Il réalise un début de saison sympathique, pour lui et pour tout le monde à Saint-Etienne, et on lui souhaite de continuer. Il y a deux postes très difficiles : le gardien et le centre-avant. C'est là que l'on fait souvent gagner le championnat. Quand il marque, il est décisif et fait marquer des points à son équipe. Cela a déjà été le cas plusieurs fois cette saison. C'est un joueur complet qui est en confiance. C'est un élément très important qui permet d'oser encore plus. S'il échoue deux ou trois fois, le joueur tentera de nouveau s'il sait qu'il a la confiance de l'entraîneur et du public. C'est le cas aujourd'hui. Il est capable de délivrer des passes décisives, ce que nous appelions des déviations à l'époque.

 

Payet sait également s'engager au centre. C'est un attaquant complet qui peut jouer à droite, à gauche comme au centre. Je crois qu'il peut être avant-centre. A un moment donné, je pense que Christophe Galtier sera tenté de l'essayer dans l'axe. Il va devoir confirmer tout en étant attendu. Le très bon attaquant est celui qui fait la différence sur les grands matches, durant lesquels on a moins d'occasions. Il faudra franchir le mercato d'hiver. Il faut déjà y penser. Ce sera difficile. Les deux ou trois prochains mois seront décisifs, aussi bien pour le joueur que pour l'avenir du club. A mon époque, Roger Rocher avait su faire le nécessaire pour garder ses meilleurs joueurs".

 

Sur ce dernier point, la partie s'annonce en effet difficile. Selon le site Tuttomercatoweb, l'agent de Payet aurait confirmé les contacts avec l'Inter de Milan et aurait transmis au dernier vainqueur de la Ligue des Champions les exigences du joueur...

Le drame de Monsoreau

15/10 11:10

Dans la dernière édition de la Pravda, Sylvain Monsoreau revient sur le drame qu'il a vécu six mois après son arrivée à Sainté.

 

"J'ai perdu la plus belle personne que j'avais rencontrée. Nous étions très proches. Elle avait vingt-sept ans, elle venait me voir, j'ai été le dernier à lui parler au téléphone. Je me suis effondré. Pendant un an, j'étais quelqu'un d'autre. Je venais m'entraîner parce qu'il fallait venir mais j'avais du mal. Je me suis vu pleurer je ne sais combien de fois, en me prenant la tête pour rien, j'étais complètement déphasé. On me disait : "C'est le foot qui va te remettre dedans." Mais sur le terrain je me sentais à part. Avec le temps ça allait un peu mieux à l'entraînement, j'arrivais à faire les efforts, à rire avec les autres. Mais le soir, une fois tout seul, je ne récupérais pas, parce que je n'arrivais pas à manger, j'avais des images qui me revenaient, des questions sans réponse. On mange moins, on dort moins et on se blesse.

 

Je ne me ressemblais pas et ça me faisait peur, il fallait en sortir. Je savais que je n'avais pas perdu mon football, mais je ne savais pas combien de temps ça allait me prendre et si on allait me donner ce temps là. Les dirigeants ont été clairs, ils m'ont dit que le club voulait se séparer de moi, qu'on ne m'emmènerait peut-être pas en stage. C'est une entreprise, ils veulent du rendement et moi, je ne donnais pas de rendement. J'ai passé des vacances de gamin, j'ai oublié un peu le foot et je suis revenu en me disant que je n'avais rien à perdre. J'ai envie de faire des efforts pour le coach, qui m'a aidé. J'ai envie que l'équipe fasse une belle saison. Personnellement, je ne me fixe aucun objectif. Je sais maintenant l'importance qu'il faut donner à chaque moment."

Dim marche sur l'eau, Rivière pêche

15/10 09:41

Le site sports.fr a publié aujourd'hui une interview de Manu Rivière. Extraits.

 

Dans quels domaines devez-vous progresser ?
Je dois surtout me montrer plus serein et plus calme devant le but. Je dois travailler la finition, pour un attaquant, c'est primordial. Et je dois aussi travailler encore dos au but pour garder plus le ballon et permettre au bloc de remonter.

Vous avez été appelé avec les Espoirs la semaine dernière. Dimitri Payet a lui fait ses débuts avec les A. Que vous manque-t-il pour le rejoindre ?
Les buts ! Il n'y a pas de secret. Il faut que j'arrive à être efficace à chaque match. J'ai des occasions mais je pêche encore dans la finition. J'ai encore du travail ! Dimitri lui marche sur l'eau. Tout ce qu'il entreprend, il le réussit. C'est mérité.

Le parcours de votre coéquipier vous donne-t-il des idées ?
Personnellement, je ne veux pas brûler les étapes. C'est vrai que ça fait envie, je me dis: "Pourquoi pas moi ? Mais je dois encore progresser. Le chemin est encore long. Je suis déjà heureux d'être en Espoirs. On verra par la suite...

Jérémie rit au Ray

15/10 09:13

Interrogé par OGC Nice Mag, Jérémie Janot évoque ses relations avec le public niçois. "C'est bizarre. Quelque part, ils doivent m'apprécier... En tout cas, moi, ça me fait bien rire. J'adore venir à Nice. En début de saison, quand tombe le calendrier, je regarde la date des derbys et du match au Ray."

Un taxi pour le (Val de) Marne

15/10 08:50

Selim Kayaci, joueur steph' né en 1995 à Firminy a été séléctionné pour participer avec l'EDF des moins de 16 ans au tournoi du Val de Marne du 24 au 31 Octobre. Le jeune milieu défensif des U17 de l'ASSE affrontera la Norvège, les Pays Bas et le Portugal.

Johnny junky

14/10 21:45

Le site néerlandais Sportgeschiedenis a publié avant-hier un article consacré à la récente biographie de Mick Shots sur Johnny Rep. Batave d'adoption, le potonaute Obi-Wan Kenobi nous propose une traduction de ce papier. Merci à lui !

 

Johnny Rep cherche un travail

 

L'ancien footballeur Johnny Rep a presque 60 ans mais d'après sa biographie, il ne veut pas partir à la retraite. A la fin du livre "Rep, une vie mouvementée de footballeur" de Mik Schots, il est écrit que l'ancien ange blond est actuellement prêt pour occuper ses journées  comme assistant ou recruteur.  Mais au-delà de cette candidature spontanée, il y a bien plus dans cette biographie bien menée.

L'Ange d'or est encore aujourd'hui un demi dieu en Corse. Après sa période à succes à l'Ajax et au club espagnol de Valence, Rep est parti a la fin des années 70 chez les Corses du SC Bastia. Là bas il a atteint la finale de la coupe de l'UEFA. En finale, le PSV était trop fort et Eindhoven a remporté la coupe.


Mafia en corse


En Corse, Rep a eu affaire à la mafia locale. Il a eu une petite amie corse qu'un gangster considérait comme sa fiancée. "Un jour, l'autre a frappé à sa porte avec des amis munis de pistolets. Avec l'aide d'amis armés, Rep a reussi à les chasser." Il est resté longtemps sur ses gardes. "J'avais vraiment peur quand je voyais les phares derrière moi le soir, ils ont l'habitude de se tuer pour beaucoup moins surtout pour l'honneur perdu."

 

Le héros du peuple en France


Rep etait un héros aussi en France, quand il a commencé à jouer au debut des années 80 à Saint-Etienne. Le groupe de pop Mickey 3 D lui a consacré une chanson. En 1980, Rep était lui meme numéro 1 avec "Hey Johnny" dans les “charts”. En France c'était encore un hit mais aux Pays-Bas le disque servait pour poser les bières. Mais en France, Rep ne faisait pas que chanter. Il raconte dans son livre qu'il prenait souvent des pilules lors de ses années de footballeur en France. “Ce n'était pas que les vitamines B qui nous permettaient de passer le tour. Tout le monde en prenait. Dans le football francais, tout le monde en prenait. Nous étions presque devenu junky." En 1983 l'Ange d'or est de retour aux Pays-Bas. Il a joué jusqu'en 1987 en première divison. Depuis 1987, Rep a travaillé comme entraîneur et recruteur dans divers clubs amateurs.

La fête


En lisant cette biographie, on comprend que Rep aimait beaucoup faire la fête et boire. Beaucoup parce que Rep avoue dans son livre avoir séjourné dans une clinique de désintoxication dans le Veluwe (region aux Pays-Bas). Maintenant il a remis sa vie en ordre et il prêt pour un nouveau travail. Ce qui est remarquable dans sa biographie, c'est que Rep dévoile beaucoup d'évènements de sa vie mais on apprend peu sur sa vie interieure. Oui il est un bon vivant, il aime le foot, la fete, les femmes mais c'est tout. Il ne révèle rien sur sa vraie personnalité .Qui est le vrai Johnny Rep ? Après la lecture de "Rep, une vie mouvementée de footballeur" cela reste hélas un mystère.

La revanche de Freddy

14/10 08:40

Un-deux... Freddy est heureux. Débarqué du coté du FC Porto en 2008, l'ancien milieu stéphanois Freddy Guarin se sent bien au Portugal et va prochainement prolonger son bail avec le club portugais « Le FC Porto m'a tout donné. J'y ai acquis de la confiance, de la tranquillité et j'ai appris à surmonter les moments difficiles. Tout sera réglé dans les prochaines heures. C'est un orgueil pour moi de pouvoir dire que je vais pouvoir rester encore quelques années ici. J'ai déjà joué en Argentine, en France et en Colombie, le FC Porto est le meilleur club dans lequel j'ai évolué»

Selon la presse portugaise le joueur va s'engager jusqu'en 2014. Sa clause libératoire avoisinera les 30 millions d'euros.

Il n'y a qu'un seul Chaudron !

14/10 04:55

Dans sa dernière édition, La Voix du Nord évoque la visite du chantier du nouveau stade Nungesser qui s'est déroulée hier.

 

« Chaudron. » Réunis autour de Valérie Létard, secrétaire d'État mais également présidente de Valenciennes métropole, les élus n'avaient que ce mot-là à la bouche, hier, lorsque le stade, neuf et chaud, leur a sauté à la figure, à mi-hauteur entre les deux étages, au détour d'une future friterie (intégrée s'il vous plaît). « Extraordinaire ! » « Ça va être quelque chose ! » « Un vrai chaudron... » : les cris du coeur ont fusé. Au risque de jouer le rabat-joie, la marque « chaudron » étant déposée chez les Verts de Saint-Étienne, VA devra trouver une autre image pour faire bouillir sa marmite.

The businessman who pulls the strings

13/10 21:15

Lors d'une récente sortie à la Jean-Claude Duss, Bernard Caïazzo a tenté d'expliquer pourquoi le fonds américain n'a pas investi à Sainté : "On était proche de conclure quand est tombée l'histoire des Bleus, leur refus de s'entraîner. Quand le New York Times titre «Honte à la France» il y a forcément une défiance. C'est ce que nous ont formulé les dirigeants du fonds d'investissement." (Le Progrès)

Et si la défiance venait plutôt d'un management longtemps défaillant à l'ASSE ? Dans un entretien publié le 3 octobre dernier, Sports Illustrated a pointé du doigt les effets néfastes de la dyarchie au sommet de l'Etrat. "Making a simple decision was never easy at Saint-Etienne, which until this summer, had two co-presidents, an overly-influential finance director and a sports director responsible for recruitment. The root of the problem was that the top men had different ideas about the club: Bernard Caïazzo, the businessman who pulls the strings, liked big-name players and enjoyed the attention he got from running the club, while Roland Romeyer preferred hardworking players, spoke like a supporter, and was happier in the background."

 

Magazine sportif le plus et le plus influent de la planète, Sports Illustrated est réputé pour sa qualité journalistique... et ses hors série maillots de bain. L'occasion était trop belle pour notre expert en détournement d'images Asse of Spades :

 

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Serisay s'est refait la cerise ! (2)

13/10 20:04

Auteur d'un doublé vendredi contre Gap*, Serisay Barthélémy a claqué ce soir les deux premiers pions de la victoire de Bastia (4-1 à Gueugnon). Et dire que le club corse avait placé l'ancien réserviste de l'ASSE sur la liste des transferts à l'intersaison...

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B3620101009091955-Serisay-s'est-refait-la-cerise.html

La Divette fête Payet

13/10 19:00

Grosse ambiance à la Divette (Montmartre) lors du derby... Magnéto Serge !

https://www.youtube.com/watch?v=C335gby0AWA&feature=player_embedded#

Tous ensemble, tous ensemble, ouais !

13/10 14:12

Pour cause de manifs prévues samedi, la préfécture des Alpes Maritimes a décidé de reporter à dimanche, 17h notre virée conquérante au Ray, initialement prévue samedi à 19h.

Manu rentre chez lui

13/10 12:57

Mais sans larme dans sa bière. Car hier il a participé à la 2ème victoire des Bleuets en trois jours. L'EDF Espoirs s'est imposée 3-1 au Danemark.

Ménagé par Erik Mombaerts, Manu Rivière n'est rentré qu'à la 63è minute d'un match plié par les Bleuets dès la mi-temps (1-3). La seconde période a été soporifique, en dehors d'une frappe de notre Manu national.

Postigooooal !

12/10 21:59

Six minutes après son entrée en jeu, Helder Postiga a profité d'une énorme cagade du gardien adverse pour marquer le troisième but de la victoire (3-1) du Portugal ce soir en Islande : http://videos.sapo.pt/1dRtswuNzOrUTfi1q61Z. Dans les tribunes vendredi lors du match contre le Danemark, Paulo Machado était sur le banc à Reykjavík mais il n'est pas entré en jeu.

Payet, remplaçant de luxe en (pleine) bourre !

12/10 21:05

La France a battu le Luxembourg 2-0 ce soir à Saint-Symphorien. Entré en jeu à la 63ème minute, Dimitri Payet a adressé sa seconde passe décisive à Yoann Gourcuff en trois jours !

http://www.goal4replay.net/VideoWatchF.asp?ID=44288&Ln=En

Gelson le gong

12/10 20:41

Après avoir perdu ses deux premiers matches des éliminatoires de l'Euro 2012 contre l'Angleterre et le Monténégro, la Suisse a battu le Pays de Galle 4-1. Gelson est entré en jeu à la 91ème minute.

Le retour de la fièvre verte (2)

12/10 19:16

Comme nous vous l'avions indiqué hier, France Football a consacré sa une et tout un dossier au "retour de la fièvre verte" que Galette résume d'une jolie formule : "Marseille plaît aux Français. Mais Saint-Etienne ça leur parle. On sent de l'amour." Morceaux choisis.

 

Roland Romeyer, le pur président : "Saint-Etienne et toute la France aiment les Verts. Quand tu es joueur ici, il faut te souvenir de ce que ce maillot reflète : le travail, l'abnégation. Dans les années 70, sans grands noms, on se battait comme des chiffonniers contre de grosses équipes. C'est comme ça que la France en est venue à aimer les Verts. On est l'un des seuls clubs à être appelés par la couleur du maillot : "Allez les Verts !" Nos Ultras, quand on change la couleur de la tunique, ils ne sont pas contents. Notre maillot bleu à bandes or de cette année est beau comme tout, mais on ne le portera jamais. On va y mettre Janot, numéro 16, et c'est tout.  Les anciens n'ont pas perdu dans le Chaudron pendant quatre ans et demi, OK. Mais aujourd'hui, les supporters ne sont pas déçus quand on a tout donné. Nos footballeurs ont la chance d'offrir du bonheur à ceux qui les soutiennent, aux smicards, à ceux qui viennent ici pour se ressourcer, pour avoir des éclats de joie dans les yeux après un but ou un autographe. Il faut que nos gamins, au club, soient heureux et polis. Le club avait oublié ces valeurs, et, depuis l'an passé, j'ai voulu qu'il les retrouve. Je dis juste aux joueurs qu'ils ont cette responsabilité et qu'il leur faut l'honorer."

 

Dominique Rocheteau, l'ange actif : "Etre vert ? Un mot me vient à l'esprit : la fidélité. Une image ? Je n'ai me pas trop revenir sur le passé, mais que nos joueurs soeint allés en début de saison visiter le musée de la Mine, c'est très important. Même si la mine n'existe plus, les valeurs sont là, bien  ancrées. Je suis arrivé ici à seize ans, j'étais très respectueux de ce maillot, de sa culuture et de son histoire. Dès la première fois où je l'ai porté, en Gambardella, c'était une fierté. Aujourd'hui je veux être de plus en plus actif. C'est surtout une volonté politique. Il faut qu'on ait un super centre de formation. Il l'est mais on peut toujours l'améliorer. Que le groupe soit moins étoffé a permis aux jeunes de se préparer avec l'effectif pro et d'y rentrer au fur et à mesure. Les jeunes supporters regardent le présent et l'avenir : ils s'identifieront plus facilement à cette équipe si on a des jeunes formés ici. Notre image en Europe est moins importante. Maintenant il faut qu'on ait des ambitions, toucher l'Europe. On n'a pas l'aura de beaucoup de grands clubs. Pour cela, il faudrait revenir au plus haut niveau.

 

Eric Fages, super sourire au mégastore : "Pour une fois, les médias ne sont pas trop allés chercher les vieilles gloires, style retour vers le passé. Les reportages qu'on a vus dernièrement montrent nos jeunes supporters. Et ce sont eux qui sont dans les travées du stade. Ils ont entre dix-huit et vingt-cinq ans. On ne s'ennuie pas aux matches, les tribunes sont pleines ! On peut être de l'Est, de l'Ouest, marseillais ou même lyonnais, tout le monde peut s'approprier les valeurs d'ici : on n'est pas une capitale mais une ville travailleuse, avec une équipe de panache."

 

Philippe Gastal, l'historien ultra : "Les Stéphanois ne se sont pas tout de suite reconnus dans cette équipe voulue par la société Casino d'abord pour le bien-être de ses employés. D'abord parce que ce fut un match de rugby qui inaugura le stade. Ensuite, parce qu'au milieu des années 30, pour monter en D1, les dirigeant firent appel à des footballeurs "étrangers" dont Jean Snella, venu du Nord et d'origine polonaise. On l'appelait alors le "club des millionnaires". Assez vite pourtant les mineurs et les ouvriers, pour beaucoup issus de la passementerie, constituèrent un public passionné. Aujourd'hui le club compte plusieurs centaines de collectionneurs entassant les reliques dans des pièces ou des garages. Il y en a jusqu'aux Etats-Unis, en Australie. Que ce soit en Russie, en Turquie, en Espagne ou en Ecosse, on me dit avec tous les accents possibles : "Allez les Verts !"

 

Patrick Revelli, le Vert du maire : "La fièvre, c'est comme la température : ça monte et ça descend. On veut voir nos valeurs, je dis oui. Mais sur onze joueurs, il n'y en a que trois du cru : Janot, Perrin et Rivière. Le jour où on inversera la tendance, on aura retrouvé ces valeurs. On est sur le bon chemin, mais que je suis arrivé à dix-sept ans, il n'y avait que Piazza et Curkovic comme éléments extérieurs, point. Les jeunes qui remplissent le Chaudron, ce qu'ils veulent, c'est être champions pour dire "Enfin !", eux qui n'ont connu que les années galères. Mon fils, à trente-six ans, me lance : "Je n'ai jamais vu de titre !"

 

Georges Bereta, l'homme mémoire : "La fièvre verte n'avait jamais disparu. Même quand on est remonté de D2, il y avait cette ferveur. Notre public a été patient. Maintenant nos gars peuvent construire de l'arrière sans jouer plus vite que la musique et sans se faire contrer. Cet été, ça jouait plus vite, plus solidaire. Le supporters, aujourd'hui, ont voulu remercier Galtier de nous avoir sortis de la relégation. Etre vert, c'est une façon de se donner sur le terrain. Quel que soit le résultat, le public pardonne si les gars sont allés au bout. Notre public prend du plaisir et nous le rend bien dans les applaudissements. A Saint-Etienne, vous tirez au but la première fois à côté, le public ne dit rien. Du coup la deuxième fois vous cadrez. A Marseille, vous vous faites siffler dès la première frappe non cadrée et vous dites au copain : "Tiens, essaye, toi !" La différence est là."

La B.A. de Bayal

12/10 16:52

Si notre géant vert n'a pas participé à la large victoire des Lions de la Teranga contre l'Ile Maurice ce week-end*, il a profité de son passage au Sénégal pour remettre un chèque de 500.000 F à l'US Gorée, son club formateur. Bayal a expliqué sa B.A. au quotidien Walf Fadjri : "Ce chèque est une modeste contribution de ma part pour que l’équipe prépare bien sa finale de la coupe du Sénégal que j’aimerais qu’elle remporte, samedi prochain. Je prie aussi pour que les joueurs qui sont là, suivent mes traces pour devenir des joueurs professionnels."

 

L'initiative du défenseur central stéphanois a été saluée par le président de la Fédération Sénégalaise de Football : "Ce geste de Bayal est une marque de reconnaissance. Bayal est un fils de Gorée. C’est sur ce terrain de Gorée qu’il a appris à taper au ballon. Il est parti d’ici pour devenir ce qu’il est aujourd’hui. Par conséquent, en faisant ce geste symbolique, c’est une marque de reconnaissance de sa part. On l’en remercie."

 

Avant de prendre son vol pour la France dimanche soir, "Mouss" a aussi remis des lots d’équipements (maillots, shorts, chaussettes, chaussures) à Coumba Castel, son ancienne équipe de navétanes.

 

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B0020101009211431-Les-Dodos-victimes-de-N'Daw.html

Euro qui comme Zouma

12/10 14:32

va faire un beau voyage à Chypre. Kurt Zouma fait en effet partie des 18 heureux élus qui participeront au 1er tour de l'Euro des moins de 17 ans à Chypre du 24 octobre au 2 novembre.

Zouma et ses amis affronteront la Slovénie, Chypre et l'Italie.

Super Télé !

12/10 14:24

Non non, après Fruité, on ne ressort pas de la naphtaline un vieux sponsor pour arrondir nos fins de mois.

Simplement (comme dirait le gnome blond qui interroge des footeux transpirants sur Canal), profitant de cette trève internationale, nous vous proposons un petit bilan des diffusions Télé après 8 journées. Sans surprise, le PSG, Marseille et Bordeaux mènent la danse cathodique avec 4 diffusions. L'ASSE et Lens suivent avec 3 diffusions (les 3 sur Orange pour les Verts). On notera que Lyon n'a été diffusé que 2 fois en 8 journées, sans, ô surprise, qu'Aulas ne s'en émeuve...

Qu'il se rassure cependant, le programme des prochaines diffusions lui permettra de repasser, au moins à ce classement là, devant nous, car aucun de nos prochains matches jusqu'à la 12ème journée n'est diffusé.

Payet contre Payal

12/10 05:57

Si Dimitri Payet joue ce soir contre le Luxembourg, il devra se méfier de Ben Payal. Avec ses 160 centimètres et ses 64 kilos, le jeune milieu de terrain en impose moins que Bayal mais il adore mettre des taquets, comme l'atteste sa récente interview dans So Foot : "Sur le terrain, on peut dire que je suis une petite pute. Quand je tacle, je prends le ballon, mais c’est aussi important de faire tomber le mec qui est en face de moi. Psychologiquement, ça me permet de me faire respecter d’entrée. Mais attention, je ne vais jamais au contact pour faire mal. Peut-être qu’avec dix centimètres de plus, je serais déjà pro. En attendant, à Dudelange, on m’appelle le ’’petit Makelele’’. Jamais quelqu’un ne m’a fait tomber dans un duel. Je suis petit et maigre mais j’ai les épaules de Hulk. Je suis gentil et aime m’amuser avec les gens que je connais, c’est-à-dire plein de monde. Mais sur le terrain, je ne sais pas qui est en face de moi et n’ai pas envie de faire connaissance avec qui que ce soit." 

Albin et Sylvain dans les 36

12/10 05:44

Albin Ebondo et Sylvain Monsoreau sont les seuls Stéphanois ayant disputé l'intégralité des huit premières journées de championnat. Comme le souligne le site footlille, seuls 36 joueurs de champ sont dans ce cas en L1.

 

Pedretti, Coulibaly, Hengbart, N’Dinga (Auxerre), Diarra, Trémoulinas (Bordeaux), Ewolo, Kantari (Brest), Sorbon (Caen), Yahia, Hermach, Demont (Lens), Rami (LOSC), Ecuele-Manga, Romao, Amalfitano (Lorient), Toulalan (Lyon), Taiwo (Marseille), Park (Monaco), Yangambiwa (Montpellier), Fae, Gace, Civelli (Nice), Sakho (PSG), Mangane, Dalmat, Theophile Catherine, Danze (Rennes), Monsoreau, Ebondo (Saint-Etienne), Bréchet, Sauget, Anin (Sochaux), Congré, Gunino (Toulouse), Cohade (Valenciennes).

Euro qui comme Idriss

12/10 05:32

Le beau voyage autrichien de Saadi se poursuit. Buteur vendredi contre Saint-Marin, l'avant-centre de l'équipe réserve de l'ASSE a joué dimanche les dix dernières minutes du match contre le Monténégro. Victorieux 2-0, les Bleus se sont qualifiés pour le Tour Elite de l'Euro 2011. La France joue son dernier match du premier tour demain contre l'Autriche.

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