Drancy est là ! (2)
14/04 04:25
Deux des quatre U19 de la Jeanne d'Arc Drancy repérés par le très actif scout francilien Ludovic Paradinas ont réussi à transformer leur récent essai au centre de formation : le défenseur central Quentin Vogt et le latéral gauche Fahad Mohamed se sont en effet engagés ce jeudi pour les deux prochaines saisons avec les Verts.
Comme le rapporte le club partenaire de l'ASSE sur son site officiel, le premier a été finaliste de la coupe de Paris U17 et vainqueur du championnat 17 ans DHR lors de la saison précédente. Arrivé en cours de saison à la JAD, le second a été formé par le QSG.
Et Batlles hérita d'une droite...
14/04 03:56
Hérita Ilunga a dédidément un sacré stock d'anecdotes ! Après avoir raconté comment Anto a viré Nanard du vestiaire et sorti son couteau devant Alex, l'ancien latéral gauche stéphanois a expliqué avant-hier sur SFR Sport 1 le jour où il a mis une droite à l'actuel entraîneur de l'équipe réserve de l'ASSE.
"J'ai joué une saison avec Laurent Batlles au TFC, en 2007-2008. Lors d'une petite opposition, Lolo était capitaine d'une équipe et j'étais capitaine de l'autre. On devait comptabiliser les buts. On arrive au même nombre. Lolo dit : "ah, ça va, c'est pas clair votre histoire." Il faut dire que nous, on avait beaucoup de défenseurs. Alain Casanova, entraîneur adjoint d'Elie Baup à l'époque, décide qu'on doit se départager sur un but en or. Il lance la balle en l'air, Lolo met une reprise de volée en peline lucarne. Il vient vers moi et me fait : "Aaah !" Sur le coup de l'énervement, je lui mets une droite. Boum ! Il a eu un cocard. Moi je me suis fait opérer au poignet. Le dimanche, contre Marseille, j'ai dû jouer avec un plâtre. J'ai fait une connerie, d'autant plus que Lolo était un mec extraordinaire. Je me suis bien évidemment excusé car c'est un geste à ne surtout pas faire. moi, aujourd'hui, je ne peux même pas faire de pompe car mon poignet n'est toujours pas remis !"
Selnaes mauvais perdant mais clairvoyant
14/04 03:14
Le trimestriel norvégien Josimar a publié dans son dernier numéro une interview d'Ole Selnaes réalisée au lendemain de la défaite des Verts contre Nice. Extraits.
"J'essaie d'être un patron sur le terrain. J'ai toujours voulu l'être. Je fais ce qui me vient à l'esprit naturellement, et pour moi il est naturel de prendre le jeu à mon compte sur le terrain. Quand tu lis bien le jeu et que tu enchaînes les bonnes prestations, tu inspires le respect dans le groupe. C'est comme ça que ça fonctionne dans un vestiaire.
Ce qui m'arrive est incroyablement cool. C'est absolument fantastique de pouvoir s'imposer rapidement dans cette équipe de Saint-Étienne. Je n'aurais jamais imaginé il y a un an, que je passerais directement de la Tippeligaen à un rôle important dans un bon championnat. Je sais que ne serais jamais allé si loin sans mon tempérament de mauvais perdant. Gagner, c'est ce qui me motive.
J'ai commencé le foot très tôt. Quand j'avais à peine plus de cinq ans, je jouais avec mon grand frère Erik contre des garçons de dix ans. Cela m'a permis de développer très jeune une qualité que j'ai conservée depuis cette époque : la clairvoyance avant de recevoir le ballon. Perception, action. C'est l'un de mes atouts, ça caractérise mon style de jeu.
J'ai cette faculté à analyser le positionnement de mes coéquipiers et de mes adversaires. La chose la plus importante pour moi, c'est de savoir à l'avance ce qu'il faut faire dans le prochain mouvement, mais il faut aussi être capable de changer d'avis très rapidement. Par exemple si sur un centre en retrait j'envisage de tirer en une touche mais que je m'aperçois qu'il y a un milieu de terrain qui ferme la trajectoire, je dois changer rapidement. Ce que je ressens est l'une de mes grandes forces.
J'ai rejoint le centre de formation de Rosenborg à 14 ans et j'y ai signé mon premier contrat pro avant d'avoir 18 ans. C'était impossible d'imaginer une vie sans football. Je me demande ce que j'aurais fait. Je n'y ai jamais pensé. Mes professeurs ont dit qu'il était possible de ne pas vivre du football, mais je ne les écoutais pas. Mes copains ont commencé à picoler à l'âge de 15 ans et à sortir tous les week-ends. La première fois que j'ai bu l'alcool, j'avais plus de 18 ans. Je n'ai jamais été bourré.
C'est très significatif pour moi d'être bien aimé par les supporters. Quand je suis dans un club, je fais tout ce que je peux pour rendre les fans heureux. J'aime quand les supporters de nos adversaires me haïssent. Je trouve ça cool. Je prends ça comme un compliment. Je l'avoue, j'aime bien les provoquer. C'est amusant de les allumer un peu. Les réactions trop formatées, ce n'est pas ma tasse de thé.
Même si on doit éviter de dire à un arbitre qu'il est mauvais, je trouve que ma suspension internationale est injuste. Je suis désolé de ne pas pouvoir aider l'équipe de Norvège. Je vis très bien les critiques dont j'ai fait l'objet après cet épisode. Je me fous de ce que pensent de moi les gens que je ne connais pas. Ce qui est important moi, c'est que pense les gens qui m'entourent.
Certains journalistes norvégiens ont cherché la merde et importuné ma famille pour faire le buzz. C'est inacceptable et ça m'a mis en colère. J'ai une meilleure réputation en France, ça ne fait aucun doute ! Ils considèrent mon agressivité comme un avantage, comprennent que je suis un leader et que j'ai une mentalité de gagnant.
Le pressing est beaucoup plus agressif en Ligue 1 que dans le championnat norvégien. En France on est beaucoup plus focalisé sur la récupération du ballon. En Norvège, on devait seulement être en bien place, respecter le cadre, être présent dans sa zone. Ici, vous jouez pour gagner la balle presque à chaque fois. La récupération du ballon est plus offensive. En Norvège, on ne me demandait presque jamais d’aller gagner le ballon.
Toute ma vie j'ai rêvé de jouer en Premier League. Ce n'est pas quelque chose qui me traverse l'esprit maintenant. Je pense que je ne pouvais pas être dans un meilleur endroit que dans celui où je suis actuellement. J'espère bien progresser les cinq prochaines années et être en mesure de rejoindre le championnat anglais. Je serais très heureux de rejoindre un club du Top Ten de la Premier League."
Personne dans notre arène contre Rennes ?
14/04 01:28
Ce jeudi soir, la commission de discipline de la Ligue qu'on adule a décidé d'infliger à Sainté "un match à huis clos ferme et total au stade Geoffroy-Guichard" suite aux comportement de supporters stéphanois lors du dernier derby. En cause, "l'usage d’engins pyrotechniques et le jet d’un projectile ayant entraîné la blessure du Stadium Manager de l’AS Saint-Etienne" [ndp2 : Samuel Rustem, photo]. Cette sanction prenant effet le mardi 18 avril, le Sainté-Rennes programmé le dimanche 23 avril à 17h00 devrait donc se disputer dans une arène vide, à moins que le club, qui envisage de faire appel, arrive à faire commuer cette peine.
Les Kévin sont là !
13/04 17:56
Si hélas, on ne voit pas de trace de Pogba sur les photos de l'entrainement de ce jour, et si Dieu n'a semble-t-il qu'enchaîné les tours de terrain, on peut avec satisfaction noter qu'outre KTC, Malcuit et Monnet Paquet ont pris part à l'opposition du jour.
Moralité, Dieu, Pogba et Soderlund devraient être les principaux absents au Vélodrome dimanche.
Anto et Alex à couteaux tirés
13/04 12:53
Lors de l'émission "Le Vestiaire" diffusée hier sur SFR Sport 1, Herita Ilunga a raconté une anecdote mettant aux prises Anto et Alex.
"En 2003-2004, j'arrive à Saint-Etienne, je crois que je suis en test, j'appartiens à l'Espanyol de Barcelone puis je suis prêté un an. Le deuxième jour ou le troisième jour, on est à table. C'était l'époque d'Alex en attaque. Il était encore au club alors qu'Aloisio était déjà parti. On est à table. Le coach, c'était Antonetti. Il y avait une table avec le staff technique et à côté une autre table avec les joueurs. Alex, à table, on a l'impression qu'il téléphone, mais moi d'où je suis, je ne vois pas. On entend le coach dire : "Alex, qu'est ce que tu fais là ?" Il répond : "Rien, je ne fais rien, je suis comme ça" et le mec il avait vraiment le téléphone à l'oreille. Anto l'interpelle à nouveau : "Oh tu m'entends pas, qu'est ce que tu fais ?" Alex : "Je ne fais rien, je téléphone."
Le coach monte en pression. Je me dis : "Mais qu'est ce qui se passe ici ?" Le coach se lève avec le couteau et crie : "Oh je te dis de raccrocher ce téléphone". Je me dis : "hou là, ,mais qu'est ce qui se passe ici ?". Il y a le directeur sportif, Christian Villanova, qui arrête le coach. Antonetti continue de crier : "Tu vas dégager, tu vas dégager, je te le dis, tu ne vas pas rester au club." L'autre il a pris aussi le couteau et lui a dit : "Viens, viens, viens !" Un truc surréaliste, c'était mon deuxième jour à Sainté. Je n'avais pas encore signé. Pour la petite histoire, le lendemain Alex n'était plus là. Il est parti. Après, on fait une très belle saison et on monte en Ligue 1. Mais voilà un exemple du tempérament d'Antonetti."
Le Rocher déplacé (2)
13/04 12:10
Bon OK, on a un match en retard à Monaco. Mais quand le jouera-t-on ?
La victoire 3-2, hier, des Tsarévitchs à Dortmund (malgré un Aubameyang remuant) les place en position idéale pour se qualifier en demi finale de C1. Si la bande à Jardim confirme dans son jardin la semaine prochaine, deux autres créneaux possibles sauteront : il ne restera guère plus qu'à organiser ce match entre les deux dernières journées de championnat, c'est-à-dire le mardi 16 ou le mercredi 17 mai.
Les Verts auraient alors le privilège douteux d'enchaîner Bordeaux, Paris et Monaco en dix jours (avant de finir la saison à Nancy, qui jouera peut-être son maintien)... à moins que la LFP ne prenne la décision de repousser ce match en retard après la fin de la saison régulière, ce qui est d'autant peu pausible qu'il faudrait alors tenir compte des éventuelles qualifications de l'ASM en finale des deux coupes qui lui restent à jouer.
Garande à Caen, le départ ?
13/04 11:56
Après quatre saisons de progression constante (depuis la 4è place de L2 à la 7è place de L1) sous la houlette de Patrice Garande, Malherbe patauge cette année, et la mare est de plus en plus boueuse : avec déjà 18 défaites (seul Lorient fait pire), les Normands ne comptent qu'un point d'avance sur le barragiste et trois sur le premier relégable - leur dernière victoire remontant au 26 février...à Geoffroy Guichard.
Sans surprise, la tête de l'ancien stéphanois est réclamée par une part grandissante du public dans le stade, mais aussi dans la Pravda. Lundi, le président du groupe de supporters MNK76 n'y allait pas avec le dos de la cuiller :
« Dans l’intérêt du club, on pense que le coach doit partir et on n’a peut-être pas le luxe d’attendre, même si ce n’est pas dans les habitudes, même si ça représente un coût, même si on sait qu’il est très lié à Xavier Gravelaine et Alain Caveglia (NDP² : respectivement directeurs général et sportif). Mais je pense que ça va rester tel quel et qu’on va dans le mur. »
Ce à quoi à répondu hier sans ambages le président Fortin, dans les colonnes de Ouest France :
« Ce n’est pas ma conception des choses. On me prête une certaine amitié avec Patrice qui existe. Mais que ce soit Garande, Dupont ou Durand, je ne le virerai pas. Le seul moyen que cela arrive, ce serait de changer de président.»
Crise de croissance temporaire ou réelle fin de cycle ? Allez avoue, Patrice : tu regardes un peu trop les Verts sur ton temps libre...
L'ASSE débauche un nouvel ailier gauche
13/04 08:29
Candidat à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon a ouvert son QG de campagne à 20 Minutes. Son chef de cabinet Christophe Marre démontre que le chef de la France insoumise est passé aux Verts.
Il s'agit d'un cadeau offert par Jacques Vendroux. A moins que l'ASSE n'ait souhaité débaucher un nouvel ailier gauche...
Loïc et Florentin ne vont pas bien
13/04 08:12
Selon la dernière édition du Progrès, Loïc Perrin souffre toujours du mollet et ratera l'important déplacement à Marseille. Florentin Pogba sera très probablement forfait pour ce match de clôture de la 33e journée de L1 car il s'est blessé à la cuisse hier à un quart de la fin de la séance d'entraînement.
Le quotidien régional nous apprend par ailleurs que Robert Beric, Kévin Monnet-Paquet, touché à la cheville, Jordan Veretout, victime d’une béquille face aux Canaris, Benjamin Corgnet et Bryan Dabo, malade, étaient au repos mercredi matin. Mais ils devraient tous être opérationnels, dimanche soir.
Bien dormir et moins sortir pour réussir
13/04 04:26
Dans So Foot Club de mai prochain, Benjamin Corgnet explique comment il a dû s'adapter aux exigences du foot professionnel. Extraits.
"Quand j'ai signé pro, j'avais déjà 23 ans. Le gros changement a été de devoir m’entraîner tous les jours. Il a fallu prendre le rythme. Les préparations d’avant-saison ont également été difficiles, puisque parfois, on se retrouve avec des séances doublées. Je n’étais pas du tout habitué à ça, mon corps a dû s’adapter. J’ai fait pas mal de renforcement du bas, tout ce qui est quadriceps, ischio-jambiers, mollets.
En fait, j’avais besoin de plus de récupération quand je faisais des grosses séances. Ce qui m’a fait beaucoup de bien, c’est d’avoir été suivi par un fasciathérapeuthe. Ça m’a énormément aidé pour digérer plus facilement les grosses charges de travail. J’ai également continué à utiliser certains outils que je connaissais déjà un peu en amateur, comme les bas de contention, les chaussettes de récup… Tout ce qui sert à récupérer, quoi. Et puis il y a des petits détails ultra importants comme les étirements, par exemple. Enfin, ce qui fait la plus grosse différence, c’est bien dormir moins sortir.
Faire des concessions sur la nourriture aussi. Un petit peu, forcément. J’ai toujours fait attention à ce que je mangeais sans me priver forcément. Après, il a fallu tout de même supprimer quelques mauvaises habitudes que j’avais prises lorsque j’étais étudiant comme les kebabs ou le McDo. Globalement, aujourd’hui, je mange sain, et encore plus depuis qu’on a des enfants avec ma femme. On fait attention au maximum. Je mange pas mal de légumes et de fruits. Je ne vais pas manger des pizzas tous les soirs avec mes gosses, faut leur donner une bonne alimentation.
La sieste, c’est aussi super important. Par exemple, je n’y étais pas du tout habitué, donc ma première année à Dijon, je ne faisais jamais la sieste, je n’y arrivais pas. Et puis la venue de mon premier enfant m’a un peu fatigué, donc là, je me suis mis à la faire, mais c’est vrai que c’est un rythme particulier. Avant ça, je n’avais jamais fait la sieste de ma vie. Alors qu’aujourd’hui, si je n’ai pas ma petite sieste d’au moins un quart d’heure, bah je sens que la journée est un peu plus longue et un peu plus difficile.
Il n'y a pas spécialement des aspects de mon jeu que j'ai travaillés en particulier. Après, j’ai essayé de faire attention à ma qualité de passe. J’évolue à un poste où la dernière passe peut être importante, donc il est vital de bien la réussir au moment donné, et pour ça, il faut bien la travailler à l’entraînement. Et puis, à chaque fin de séance, je reste pour travailler devant le but quand il y a des petits exercices. À force de marquer des buts à l’entraînement, tu finis par en inscrire aussi en match. Tu prends plus confiance, donc tu tentes plus, et forcément, ça te réussit plus."
Big Ben victime d'un coup de Grizou
13/04 03:46
Titularisé lors des 4 derniers matches des Foxes en Premier League, Yohan Benalouane a joué ce mercredi soir l'intégralité du quart de finale aller de Ligue des Champions remporté 1-0 par l'Atlético Madrid au stade Vicente Calderon. Auteur d'une bonne prestation, l'ancien défenseur stéphanois n'est pas impliqué sur l'unique but de la victoire des Colchoneros inscrit sur un pénalty obtenu et transformé par Antoine Griezmann. S'il a pris une biscotte pour un tacle en retard sur Fernando Torres en début de seconde période, Big Ben a empêché Grizou de réaliser le doublé à la 84e.
Lagrange n'aura fait que passer à Pouancé
13/04 02:37
Revenu en Anjou l'été dernier pour entraîner Pouancé, l'ancien attaquant stéphanois Christophe Lagrange a décidé de quitter ce club de DHR en fin de saison. L'ex-acolyte de Samba N'Diaye s'en explique sur le site Passion Sports 49.
"J’ai déploré la difficulté d’attirer des joueurs, avec l’éloignement d’Angers, même si je le savais en signant au club. Même si on avait un bon noyau de joueurs, c’est compliqué de faire venir de bons joueurs. L’objectif est de bien finir la saison. On est actuellement 5e et on a pratiquement assuré notre maintien. Il faut savoir que l’on partait de loin, car il ne faut pas oublier, qu’en fin de saison dernière, le club s’est fait repêcher en DHR.
Je suis à nouveau sur le marché. Je suis à la recherche d’un club un peu plus ambitieux que celui de Pouancé, que cela soit pour m’occuper de la formation, en tant que responsable technique, ou soit pour reprendre la responsabilité d’une équipe seniors. Je suis ouvert à toutes propositions, du moment que le projet est intéressant, dans un club structuré. Ensuite, on verra suivant le feeling que j’aurai avec le ou les clubs en question."
Stefan et William ont bouffé du Lion
13/04 02:22
Sous les yeux d'un Roger Milla dépité, 'équipe de France U16 a écrasé les Lions indomptables du Cameroun 7-1 ce mercredi après-midi en match d'ouverture du tournoi international de Montaigu. Les U17 stéphanois Stefan Bajic (gardien) et William Saliba (défenseur central) ont joué l'intégralité de la rencontre.
Après Perrin, Florentin comme Romain
12/04 11:24
Interrogé par But!, Florentin Pogba évoque son avenir en Vert :
" Prolonger ici ? Pourquoi pas ! Si le club en a envie, si on compte sur moi, je pourrais très bien rester ici. Je verrais bien si on me propose un nouveau contrat. Il faut l’avoir sous les yeux."
Comme Hamouma (mais plus comme Perrin), Pogba fait en effet partie des très nombreux Verts qui aborderont après l'été leur dernière année de contrat et dont on vous propose de retrouver la liste entière sur le forum. La vague des prolongations (ou des tractations pour des ventes !) s'enclenchera probablement une fois le verdict définitivement tombé à propos de la qualification européenne.
Thauvin veut nous vaincre
12/04 08:36
Florian Thauvin évoque la réception des Verts dans la dernière édition de La Provence. Extraits.
"On reste sur trois nuls, il faut renouer avec le succès dimanche contre les Verts. Cela fait un mois qu'on n'a plus gagné, un mois qu'on n'a plus marqué dans le jeu. Le seul but qu'on ait inscrit lors des trois derniers matches, c'est le coup franc de Dimitri face à Dijon. Ça commence à faire et c'est ma responsabilité. Je suis un joueur offensif, il faut assumer et faire mieux contre Saint-Etienne."
Didier quitte le terrier
12/04 08:05
Entraîneur des Amazones depuis 9 ans, Hervé Didier avait annoncé à France Bleu qu'il avait décidé de jeter l'éponge à la fin de la saison. Il s'en explique aujourd'hui dans Le Progrès. Extraits.
"Je pars, car on ne donne pas les moyens aux féminines de s’entraîner dans de bonnes conditions. On ne veut pas d’argent, simplement un terrain disponible. À L’Étrat on peut s’entraîner sur le Bereta, il n’y a personne à ce créneau horaire, je ne comprends pas. On nous a mis devant le fait accompli, on doit s’entraîner sur le terrain R1 de l'Etivallière cinq fois par semaine en plus de la compétition. Les jardiniers font un super boulot, mais ils ne sont pas magiciens même s’ils pouvaient faire sortir les lapins de leur chapeau. Il y a des terriers, on rentre le bras dans les trous. J’ai dépensé mon énergie à autre chose que du football. Pendant neuf ans j’ai été agent immobilier, assistant sociale, floqueur. Quand en plus il faut gérer ces histoires de terrain ça devient compliqué et usant..."
Malcuit est remis
12/04 07:53
Selon la dernière édition du Progrès, Kévin Malcuit a pris part hier à la séance d’entraînement collective au sein d’un groupe de 14 joueurs. Sorti blessé face à Nantes, Kévin Monnet-Paquet était absent, comme son capitaine Loïc Perrin.
Un été indonésien ?
12/04 04:07
Sur le site FourFourTwo, Arif Putra Wicaksono révèle la possible venue de l'ASSE en Indonésie cet été. Ce PDG du média local Nine Sport évoque un match amical entre les Verts et le Persib Bandung (club de l'ancien vilain ghanéen Michaël Essien).
Hamon n'est pas Haon
12/04 02:05
Benoît Hamon est décidément à la peine en ce moment. De passage à Sainté ce mardi, le candidat PS à la présidentielle a raté tous ses pénos au Musée des Verts.
On suggère à ce fan de Jean-François Larios de se faire coacher par Pierre Haon. Pour rappel, l'actuel entraîneur du SC Grand Croix Lorette avait réussi ses trois tentatives contre Mulhouse, Le Havre et Nantes.
Niang fan de Rudi et Bafé
11/04 12:38
Dans la dernière édition de La Provence, Mamadou Niang soutient l'entraîneur de l'OM et son avant-centre.
"Je préfère attendre avant de juger Frank McCourt. Structurer un club, ça ne se fait pas en un claquement de doigt. On devra être patient avec la nouvelle direction et surtout avec le nouvel entraîneur. Pour moi, c'est LA meilleure recrue de l'OM depuis l'arrivée de l'Américain. J'espère vraiment que Rudi Garcia restera longtemps. Dimitri Payet doit être impérativement épaulé pas des joueurs de caractère. C'est un certes un joueur de qualité, mais il est très réservé sur le terrain. Lui, il parle avec ses pieds, a une technique sublime, sait orienter le jeu et tirer les coups francs à merveille. Il est toutefois trop introverti et a besoin d'avoir un Lassana Diarra à ses côtés.
Bafé Gomis je le connais bien et je l'aime beaucoup. C'est un grand attaquant, il a fait parler son expérience à de nombreuses reprises et maintenu l'OM à flots. Il a connu un coup de mou mais c'est logique dans un club comme l'OM et encore plus quand on est le seul attaquant disponible. Il ne sait pas de quoi est fait son avenir, est seulement prêté. Je sais qu'il a envie de rester, parce qu'il aime cette ville et ce club. Il l'a toujours dit, même quand il était à Saint-Etienne. C'est un enfant de la région, l'OM c'est son club de coeur et ça se sent dans son implication cette saison. Il a souvent été critiqué à tort, mais il a su faire taire les critiques. J'espère vraiment qu'il va rester."
Robin patine, Laurey tempère
11/04 09:34
Si en L2, les joueurs prêtés par l’ASSE vivent des saisons contrastées, il en va de même pour les coaches passés par l’ASSE.
Claude Robin n’arrive pour le moment pas à faire bénéficier le Red Star de l’électrochoc souhaité lors de son arrivée en janvier. Largement défait à domicile 0-3 par le Gazélec d’Ajaccio, l’ancien coach de la réserve stéphanoise confie en conférence de presse (rapportée par maligue2.fr) :
« Dans notre position, il ne faut pas prendre le premier but. En ce moment, c’est encore plus difficile dans les têtes, et dans les jambes. Evidemment, on voit alors nos lacunes. Il faut un déclic, il faut persévérer. Je crois qu’il faut qu’on travaille sur les têtes, et qu’on mette celles qui sont le moins atteintes pour pouvoir jouer. C’est le nœud du problème. On se sent impuissant, mais c’est à nous de ne pas lâcher l’affaire. On va s’accrocher jusqu’au bout, il reste six matchs et on va essayer de tout faire pour enrayer cette machine infernale. Je ne suis pas abattu, il faut certes être réaliste avec ces cinq défaites de suite, mais quand on aura enrayé au moins une fois cette série, on pourra nous juger. »
A l’inverse, Thierry Laurey pourrait conduire Strasbourg en L1, après neuf ans d'absence marqués par un retour à la case amateur et une liquidation judiciaire. Après avoir obtenu un bon nul à Reims, concurrent direct, l’ancien stéphanois élude pourtant la question (encore merci à maligue2.fr pour la transcription) :
« Le podium, ça ne me m’intéresse pas aujourd’hui. On perd la semaine prochaine et une autre équipe nous passera devant. Je ne veux pas qu’on se perde dans le fait de défendre quelque chose, je veux qu’on joue les matchs pour les gagner. Aujourd’hui, c’aurait même été un hold-up de gagner, on ne pouvait pas le faire. Le classement, on le regardera à 2-3 journées de la fin, pour l’instant ce n’est pas l’objectif. »
Pour être complets, citons également Olivier Pantaloni dont l’AC Ajaccio est quasiment maintenu malgré la spectaculaire défaite 3-6 à domicile contre Lens.
Galette fan d'Aubame
11/04 07:22
Dans la Pravda du jour, Christophe Galtier ne tarit pas d'éloges sur son ancien atatquant Pierre-Emerick Aubameyang qui défie ce soir son ancien club Monaco en quart de finale de Ligue des Champions. Extraits.
"Lors de sa première opposition, je l’ai vu faire une accélération de 70 mètres avant de se présenter devant le gardien. J’ai alors dit à Alain Blachon : “C’est la première fois de ma vie que je vois ça. Il possède un gros point fort. ”Après cinq premiers mois chaotiques, on ne savait pas s’il devait continuer chez nous ou pas. Mais il a montré de réelles volontés de rester, en passant, par exemple, toutes ses vacances à Saint-Étienne. Il voulait faire une année complète dans un club. J’ai beaucoup parlé avec son papa et j’ai suivi les conseils de mes présidents en lui redonnant sa chance. Et, à partir du premier jour où il a remis les pieds à l’entraînement, ce n’était plus le même homme. Il est devenu une machine de guerre. Donc, sa réussite ne m’appartient pas.
Quand je fais venir Brandao, Aubame est notre meilleur buteur. Ma réflexion a été celle-ci : comment vais-je les associer dans un 4-3-3 ? Car avec Clément, Lemoine, Cohade et Guilavogui, il était dommage de se priver d’un milieu de qualité. Je me suis souvenu que Brandao avait joué avec Niang excentré à sa gauche et cela n’avait pas empêché ce dernier de finir meilleur buteur de L1. Pareil à Lyon, où Benzema s’était décalé à la gauche de Fred. Karim avait mis 20 buts en se servant du Brésilien comme point d’appui. Aubame a donc glissé à la gauche de Brandao, qui l’a pris sous son aile et l’a aidé à adhérer à ce projet. Et ça a marché. Cette association, c’est ma réussite. En cela, Aubame me fait penser à Cavani. Dans l’intérêt du collectif du PSG, Cavani avait accepté de jouer sur un c ôté pour permettre à Ibra d’évoluer dans l’axe. Comme lui, Aubame travaille pour l’équipe. Ils sont secs, et à ce que je crois savoir, tous deux ont une hygiène et un équilibre de vie.
La plus grande force d'Aubame, c’est le mental. Il ne cogite pas. Après l’avoir vu rater le tir au but qui a éliminé le Gabon de sa CAN, je craignais de le récupérer en morce aux. Mais c’est lui qui nous marque le but de la victoire à Toulouse, sept jours après. Sa deuxième plus grande force, c’est qu’il aime passionnément le football. Au point de l’avoir vu en larmes quand je lui ai annonc é dans sa chambre qu’il ne débuterait pas au Parc alors qu’il avait acheté 40 places pour ses proches. Avec l’aide de son père, il a compris ma décision. Et quand il est entré en jeu, il a réussi 40 minutes de folie et marqué le but de la victoire.
Pierre-Emerick voue un grand respect au football, à ses partenaires et au club. Cela tient sans doute à son éducation. Un jour, deux ans après son départ, je traverse une avenue parisienne avec ma femme et mon fils quand soudain, une voiture nous klaxonne et s’arrête en plein milieu de la chaussée. Je vois Aubame en descendre pour venir nous embrasser. C’est ça, Aubame. A Saint-Etienne, il est arrivé au bon endroit, au bon moment, dans un bon groupe et dans un club sur une pente ascendante. Il a ensuite eu l'intelligence de partir à Dortmund, dans un championnat ouvert et dans un club où il n’y avait pas de stars, donc, où il pourrait exister. J’ose espérer qu’il n’est pas au sommet et qu’il va aller chercher les plus grands trophées. Il est haut mais il possède encore une marge."
L'ASSE le lasse
11/04 06:47
Lassé par la nouvelle prestation en demi-teinte des Verts, Robert Herbin revient sur le match nul contre Nantes dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Je ne crois pas que cette trêve de trois semaines ait été la bienvenue si j’en juge par la lassitude qu’ont montré les Verts. Ils donnent l’impression d’être au bout du rouleau. C’est devenu une habitude de débuter les matches en ronronnant. On n’agit pas, on se contente de réagir trop souvent. En première période, je nous ai trouvés un peu dépassés. Je n’ai pas perçu de volonté, de détermination alors qu’il n’y a plus qu’une compétition à jouer.
Il n’y a pas un soliste au milieu qui donne le tempo. Corgnet l’a fait lorsqu’il est entré. Mais il n’en demeure pas moins qu'il nous manque des joueurs déterminants, qui poussent les autres à se surpasser. Il y a encore une possibilité de réagir. Le match contre l’OM dimanche prochain sera un match test. Si nous parvenons à obtenir un résultat, nous pourrons continuer à être ambitieux. Dans le cas contraire, la fin de saison sera monotone."
Millot, aime !
11/04 04:11
Benoît Millot sera au sifflet dimanche soir au Vélodrome lors du Marseille-Sainté qui clôturera la 33e journée de L1. L'occasion de rappeler que cet arbitre de 36 ans porte souvent chance aux Verts.
C'est en sa présence que l'ASSE avait lancé au Moustoir son parcours triomphal en Coupe de la Ligue lors de la saison 2012-2013. Et en L1, c'est de Millot en mieux ! Les Verts ont enchaîné les succès à Toulouse (1-0) le 12 février 2012, contre Bordeaux (2-1) le 13 septembre 2013, et face à Sochaux (3-1) le 23 mars 2014.
La saison suivante, il a officié quand les Verts ont volé dans les plumes des Canaris le 20 septembre 2015 (2-0), gagné 1-0 à Rennes le 4 février 2016 et sur le même score à Bastia le 16 avril 2016. Bon, O.K., c'est lui qui avait logiquement expulsé Kévin Malcuit et Franck Tabanou lors de la défaite de l'avant-dernière journée.
Mais cette saison, les Verts ont remporté les deux matches où ils ont recroisé la route du natif de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) : le 25 septembre 2016 lors de la 7e journée (victoire 3-1 contre le LOSC) et le 12 février dernier lors de la 25e journée (victoire 4-0 contre Lorient).
Putain, 38 ans !
11/04 03:41
Alors que quasiment toutes les équipes de France et de Navarre se sont imposées à Marseille depuis, cela fait 38 ans que l'ASSE n'a plus gagné au Vélodrome ! Et si les protégés de Galette succédaient dimanche à ceux de Robby, qui s'étaient imposés 5-3 le 10 août 1979 grâce à un doublé de Zigzag et des pions de Platoche, Rep et de l'Ange Vert ?
Bafé et Dim attendent les Verts
11/04 01:41
Dans La Provence, les deux anciens joueurs stéphanois de l'OM évoquent la réception des Verts programmée ce dimanche à 21h00 en match de clôture de la 33e journée. Extraits.
Bafé Gomis : "A nous de bien recevoir Saint-Etienne. Ce match ne s'apparente pas à une finale de Coupe. La qualification pour l'Europa League va se jouer jusqu'à la dernière journée. On doit essayer de remporter ce match très important à domicile contre un concurrent direct. Mais après cette rencontre, il restera encore beaucoup de points à prendre."
Dimitri Payet : "Au terme de cette 32e journée, nous avons perdu une place mais cela ne m'inquiète pas. Il n'y a pas urgence mais il faut faire attention. Dimanche, contre Saint-Etienne, ça comptera double !"
Joyeux anniversaire Blaise !
10/04 12:17
Le jour des ses 30 ans, Blaise Matuidi a marqué hier le 4e et dernier but de la victoire du QSG contre Guingamp en match de clôture de la 32e journée.
Veretout aurait aimé duper Dupé
10/04 12:11
Dans la dernière édition de Presse-Océan, Jordan Veretout revient sur le match nul entre les Verts et les Canaris.
"Jouer contre des amis, c'est toujours différent et particulier. On essaye de passer outre. J'aurais bien aimé mettre un petit but à Max Dupé. Le FC Nantes a bien défendu et nous a mis en danger. On va se contenter du nul. L'Europe, on sait que ce sera difficile mais on y croit. Il va falloir faire un gros match à Marseille."
RPG récompensé (2)
10/04 08:31
Déjà récompensé par le quotidien sportif le mois dernier pour sa bonne presta à Bastia, Ronaël Pierre-Gabriel est dans l'équipe type de la 32e journée concoctée par la Pravda. Très actif (75 ballons, 3 tacles, 3 interceptions), le latéral droit des Verts récolte une note de 7/10.
L'équipe type : Lecomte - Pierre-Gabriel, Cabaco, Chrétien, Contento - Vada, Seri, Marveaux, Dia - Cavani, Moukandjo.