photonik a écrit : ↑03 juil. 2022, 04:11
thesnakke a écrit : ↑03 juil. 2022, 02:19Pas plus d'infos de son côté, il n'est pas au club. La seule chose qu'on m'a dite : Caiazzo en a ras le cul, il veut vendre et se la couler douce a Dubaï, c'est du côté de Romeyer que ça freine des 4 fers, même pas pour une question de pognon, pas pour une question de repreneur pas sérieux ou de projet foireux de reprise, mais juste pour une question de statut.
Sans l'ASSE Romeyer n'est plus rien, du coup il a du mal à lâcher.
Les tergiversations de Romeyer à base de "je prends du recul" "je reviens" "je prend du recul" "et non je reviens encore" montrent clairement qu'il n'a aucune envie de partir. L'ASSE c'est sa vie depuis une éternité et partir ce serait un peu mourir.
Ça fait des années que le club est en vente. Il y a eu plusieurs candidats et certainement plusieurs d'entre eux étaient assez sérieux pour reprendre le club. Donc s'il y avait une vraie volonté de vendre ça fait longtemps que ça serait fait. Après autant d'occasions de vente ratées il n'y a qu'une seule et unique explication qui tienne la route : au moins un des 2 actionnaires ne veut pas vendre. Point. Le reste n'est que fariboles.
Tout ça colle aussi avec l'analyse de Kishizo2 qui prend en compte le fait avéré que Romeyer cherche à racheter les parts de l'Asgrac. Si il était vraiment décidé à partir rapidement, il n'a aucun intérêt à racheter ces parts.
C'est Romeyer qui fait le pas de 2 : il veut vendre, mais il ne veut pas vendre.
Ce sont des choses qui arrivent. J'ai récemment visité une maison que l'agent immobilier lui-même nous a présenté comme invendable. Le proprio l'avait mis trop cher, et il laissait un vieil ami de famille squatter dedans. Si il avait un peu rangé le bien pour les visites et mis le prix au niveau du marché, elle était vendu depuis longtemps.
Romeyer fait pareil avec le club. Il l'a mis sur le marché, mais il s'arrange toujours pour faire capoter les négociations d'une manière ou d'une autre.
Et puis la situation actuelle doit le conforter dans l'idée de rester. Pendant 2 ans, la situation du club était plombée par la masse salariale monstrueuse. Peut être qu'alors Roro aurait accepté une offre "qu'on ne peut pas refuser". Tout ça est apuré,les gros salaires sont partis, l'investissement à faire pour se maintenir en L2 est moins conséquent, on peut recommencer à recruter, et même, la valeur du club ayant baissé, Roro a les moyens d'envisager de racheter tout ou partie des actions des autres actionnaires, de devenir enfin
le seul président : le voilà reparti pour une nouvelle aventure ! Roro not dead !