La FFF a communiqué aujourd'hui le calendrier des poules de National 3 (ex-CFA2), dont la poule Auvergne-Rhone-Alpes dans laquelle évoluera la réserve de l'ASSE entraînée par Laurent Battles.

Les protégés de Lolo commençeront la compétition le 19 août par un déplacement à Monluçon, dans l'Allier. Le premier match à domicile sera une semaine plus tard, contre Bourg Perronas. Le championnat finira le 19 mai 2018 par la réception de Monluçon. Le calendrier complet est disponible sur le site de la FFF.

Pour rappel, plusieurs matchs amicaux sont prévus d'ici la reprise du championnat :

Mardi 25 juillet : AS Saint-Priest – ASSE à Chasse/Rhône (18h)
Samedi 29 juillet : ASSE – OM au Pouzin (17h)
Mardi 1er août : ASSE – Servette Genève à Chasse/Rhône (18h)
Samedi 5 août : Clermont-Ferrand – ASSE à Clermont-Ferrand (16h)
Samedi 12 août : ASSE – Gueugnon à L’Étrat (17h)

Bonne chance à nos Verts dans leur quête de montée en National 2.

Selon le site de la Pravda, les Verts ont trouvé un accord avec Caen pour la venue du prometeur Yann Karamoh. Le montant du transfert serait supérieur à 6 millions d'euros. Ce serait la 3ème recrue après Lois Diony et Saydi Sanko.

Dans une interview accordée dimanche à RFI et relayé par le site Foot224.net, Pascal Feindouno lance un énième appel au staff technique de la sélection guinéenne pour revenir jouer car pour lui, pas question d'arrêter sa carrière de footballeur. Extrait :

"Ce n’est pas fini. Le jour où je serais fatigué, je dirais moi-même que c’est le moment. Mais pour l’instant, tout va bien. Je m’entraîne, je fais des petits matchs avec les anciens coéquipiers pour des enfants malades. Je m’entretiens. Je ne peux pas oublier le Syli national parce que c’est mon pays et en plus lors des deux derniers matchs, il y avait mon frère Simon Feindouno qui était en sélection. Ils ont perdu contre l’Algérie en match amical et après ils ont gagné contre la Côte d’Ivoire en match officiel.

Ce n’est jamais fini avec moi parce que j’avais lancé l’appel pour dire que moi je serai toujours disponible pour le syli. Je suis Guinéen donc voilà ! A tout moment, je suis libre et je viendrai avec plaisir même si c’est pour vingt minutes. Même aujourd’hui, si on m’appelle pour me dire ‘’Pasky vient nous aider, vient parler avec les jeunes de maintenant’’, ça sera avec plaisir."

Depuis la résilation de son contrat avec Swansea, Francky n'a toujours pas trouvé de club pour l'accueillir. Un retour à Toulouse ne serait pas pour lui déplaire, comme il l'a confié à La Dépêche.

"Je vais bien, je me prépare actuellement. Nous sommes à Londres avec mon préparateur physique, on travaille en attendant que mon nouveau projet prenne forme. Je bénéficie du même programme que les joueurs en club. Le but, c'est de ne pas prendre de retard pour intégrer un groupe assez rapidement. 

Un retour en France serait bien pour moi, parce que c'est un championnat que je connais, où les observateurs me connaissent aussi. Pour se relancer, c'est toujours mieux. Maintenant, je ne ferme aucune porte, on verra ce qui se présente. Si un club me fait confiance…

Le président Sadran ne m'a pas appelé. Si Toulouse est intéressé, on verra. Je n'exclus pas un retour au Téfécé. Pour le moment, le club n'est pas venu vers moi… L'avantage d'être libre, c'est de pouvoir prendre le temps de faire un choix. Même si, bien évidemment, on espère toujours signer plus rapidement dans une nouvelle équipe. Se fondre dans un groupe prend toujours un peu de temps. Sauf si on connaît bien le club…"

C'était annoncé, c'est désormais officiel. Après 6 ans à porter haut les couleurs et les valeurs Vertes, Fabien Lemoine retourne dans sa Bretagne, en signant pour quatre saisons au FC Lorient (L2). Bonne chance, Papy, et merci pour tout !

Après avoir navigué entre divers clubs brésiliens, Brandao ne sera pas resté longtemps sans club puisqu'à peine après avoir quitté Londrina, il s'apprête à poser ses valises en Grèce pour rejoindre le Levadiakos, ancien club d'Olivier Boumal.

Dans la Pravda du jour, l'entraîneur guingampais Antoine Kombouaré revient sur ses contacts avec l'ASSE.

"A l'intersaison, j'ai été sollicité, notamment par Saint-Etienne. Bien sûr que je me suis interrogé personnellement sur mon avenir. Ça flatte l'ego. On écoute car c'est une forme de respect par rapport aux gens qui vous sollicitent. Il n'y a pas eu que Saint-Etienne. Mais il était important de voir ce que je pouvais montrer lors d'une deuxième saison à Guingamp. J'ai voulu poursuivre l'aventure. J'étais un entraîneur heureux, mais surtout un homme heureux. Quand ces conditions sont réunies, tu prends vite ta décision. C'est moi qui ai choi de venir à Guingamp. J'ai une chance fantastique, et c'est pour ça que je ne peux pas me plaindre ou alors ne m'en prendre qu'à moi-même.

Je n'ai jamais eu d'agent en tant que joueur, jamais depuis que je suis entraîneur. Après, je ne dis pas que si, demain, Arsenal ou Manchester United me sollicitent, je n'irai pas voir le président. Je suis un compétiteur. Tout le monde rêve d'aller voir plus haut. Je ne suis pas carriériste. Je suis, par exemple, allé à Lens, en L2, alors que j'avais plusieurs sollicitations de clubs de L1. Et j'ai été très heureux. Je regarde toujours devant. Je mesure la chance que j'ai aujourd'hui, de travailler. J'ai plein de copains qui sont en difficulté.

L'arrivée massive d'entraîneurs étrangers en Ligue 1 ? Quand ce sont des entraîneurs qui gagnet et qui tirent la L1 vers le haut, comme Ancelotti, Jardim ou Favre, c'est intéressant. Après, dans des plus petites équipes... On a de très bons entraîneurs en France, dont certains sont sur le carreau. J'ai l'impression que c'est un phénomène de mode chez les présidents. Je remarque surtout qu'ils déroulent plus facilement le tapis rouge aux entraîneurs étrangers, en ce qui concerne les staffs et les salaires. Et ils en ont peur. Nous, les Français, nous devons nous battre pour imposer certaines choses, comme un adjoint."

Dans sa dernière édition, Le Progrès confirme qu'Oscar Garcia tient absolument à conserver Jonathan Bamba et Romain Hamouma. "Les deux garçons ont envie de rester" assure le quotidien régional.

Le Progrès du jour confirme que Fabien Lemoine est sur le point de rejoindre Lorient où son arrivée n’a pas encore été officialisée. "Quelques détails administratifs restant à régler" indiquait-on du côté de l’ASSE hier soir. Selon le quotidien régional, l'ASSE et le FC Metz discutent toujours sur le transfert de Nolan Roux; Jérémy Clément et Pierre-Yves Polomat intéressent des clubs de L1 et de L2. Jorginho devrait quant à lui être prêté.

"Leonel Vangioni nous intéresse" déclare Dominique Rocheteau dans la dernière édition du Progrès. Agé de 30 ans, le latéral gauche du Milan AC est également convoité par River Plate et les Tigres de Monterrey d'après la chaîne Fox Sports.

Dans France Football à paraître demain, le président d'Eovi Maurice Ronat se dit ravi d'entamer sa troisième saison de sponsor maillot de l'ASSE.

"C’est le club sportif le plus reconnu en France pour ses valeurs sociétales. À Saint-Étienne, on ne parle pas que d’argent. Quand vous fusionnez des entreprises régulièrement, les personnels ont besoin d’avoir quelque chose qui les fédère. Nous avons des places à chaque déplacement. Donc, quand Saint-Étienne va jouer à Toulouse ou à Lille, on peut inviter notre personnel local. Les adhérents de la mutuelle ne sont pas en reste non plus, puisque des tirages au sort sont régulièrement organisés pour leur permettre d’aller voir des matches à Geoffroy-Guichard. Pour aller plus loin, notre mutuelle a décliné le partenariat grâce à des vidéos partagées sur Facebook en avril et mai derniers, mettant en scène des supporters de Saint-Étienne. Une manière abordable de gagner en notoriété. On n’a pas les moyens de faire des publicités à la télévision, mais, là, c’était intéressant parce que ça ne nous a pas coûté trop cher. Cette saison, on va continuer d’associer notre image à l’AS Saint Étienne. Ensuite ? Nous sommes actuellement en phase de réflexion. Une décision sera prise à la rentrée quant à l’avenir du partenariat à partir de 2018-19."

Dans le même évangile de l'autoproclamée "bible du football", le responsable commercial de l'ASSE Nicolas Jacq bénit l'apport du groupe mutualiste.

"Eovi, c’est une marque capable de nous apporter beaucoup en termes de valeurs, forcément, puisque c’est une mutuelle. Ils accompagnent nos équipes de jeunes depuis longtemps, et ont notamment contribué à la création de notre équipe de foot-fauteuil."

Dans France Football à paraître demain, Nanard affiche sa confiance en Lazard.

"Que serait le football français, aujourd’hui, sans ses investisseurs étrangers ? Le football français a repris des couleurs ces dernières années. L’arrivée d’investisseurs étrangers est essentielle pour tous ceux qui voudront exister. J’adorerais avoir un investisseur français, mais c’est dix fois plus difficile d’en trouver un. A l'ASSE, on a mandaté la banque d’affaires Lazard pour pister un actionnaire minoritaire afin de passer un cap. Nous nous situons en moyenne à la quatrième place sur les dernières années, nous avons une histoire avec l’Europe, des supporters partout dans le pays, et nous ne perdons pas d’argent depuis 2010. Nous ne devrions pas avoir de mal à attirer un
investisseur."

Dans L'Est-Eclair, l'ancien défenseur central stéphanois Damien Perquis évoque son nouveau statut de lofteur.

"J’ai été invité à trouver un nouveau club. Mais je suis encore sous contrat avec Nottingham Forest. Personne ne veut lâcher le morceau. De ce fait, nous discutons… Ce n’est pas facile à vivre, d’autant plus que l’on m’a sorti du vestiaire professionnel. Son accès m’est désormais interdit. Je suis prié d’aller m’entraîner avec les jeunes du centre. Depuis la reprise, je suis le programme des U23. C’est la première fois qu’une telle situation m’arrive. On peut dire que je suis dans un loft très jeune. J’ai rajeuni de dix ans ! Je serais bien revenu à l'Estac, les dirigeants troyens se sont renseignés, ont hésité, pour finalement embaucher Vizcarrondo. J’espère trouver une solution rapide pour rebondir. Car à 33 ans, je me dois de jouer. Et de ne pas manquer le dernier virage…"

Foot-National nous apprend que Florian Thalamy quitte Andrézieux pour rejoindre le club de Paulhan-Pézenas qui évoluera la saison prochaine en National 2.

Le nouveau défenseur stéphanois Mickaël Panos s'est confié hier sur le site du CO Les Ulis, son club préformateur. Extraits.

"Châteauroux ne voulant pas me faire signer pro, mes agents ont eu vent que la réserve de Saint-Étienne recherchait un latéral droit. J'ai effectué fin mai une semaine d'essai qui s'est avérée concluante. En arrivant à Sainté,  je savais que le niveau allait être très élevé, on voit que les mecs respirent le football. C'est vraiment très plaisant de jouer avec ce style de joueur. J'ai eu le droit à un bon accueil de la part de tous. C'est une très grande fierté pour moi d'avoir signé à Sainté même si j'ai conscience qu'il me reste beaucoup de chemin à gravir.

Signer mon premier contrat pro à Sainté est quelque chose de magnifique pour moi, ça veut dire énormément à mes yeux car mon grand-père était un fan inconditionnel de Sainté, je sais qu'il aurait été fier de moi. L'ASSE est le plus grand club de France, il y a une telle ferveur autour de ce club, tu es obligé d'avoir envie de te battre pour ses couleurs et pour ses supporters. C’est un rêve qui devient réalité mais attention, signer pro c’est bien, mais le rester et avoir une grande carrière, c'est ça le but du jeu !

À la signature de mon contrat, la première chose que m'a dit le directeur du centre de formation, c'est : "on ne te fait pas signer pro pour renforcer la réserve, tu commences avec eux et après à toi de faire tes preuves pour monter avec les pros." C’est ce que je compte faire ! Tout joueur rêve de jouer au plus haut niveau. Je vais travailler dur pour gagner ma place dans un premier temps en réserve puis avec les pros , je ne me fixe aucune limite !"

De retour sur le Rocher après son prêt à Bastia, Allan Saint Maximin cherche à se faire sa place dans l'effectif monégasque. S'il apparaît clair que la concurrence sera féroce, notre ex-espoir profite des matchs amicaux pour avoir du temps de jeu et marquer des points auprès de Jardim. Passeur lors des deux rencontres précédentes, il a été buteur samedi face à Stoke City (4-2) et est apparu regonflé à bloc dans ses déclarations d'après-match relayées par le site planete-asm.

"Je suis heureux d'avoir marqué ce but et d'être à la conclusion d'une belle action collective. Ce match contre Stoke City m'a plutôt réussi, j'espère que c'est de bon augure pour la suite. » (...) « On s'approche à grands pas des premiers matchs officiels. Nous faisons une bonne préparation, nous montons en puissance avec les matches amicaux. J'espère que l'on va tous les remporter. » (...) « Quand on regarde notre effectif actuel avec des joueurs comme Mbappé, Falcao, Carrillo, Lemar, on se rend compte de la qualité offensive du groupe. Moi, j'essaie d'apporter ce que je sais faire. Petit à petit j'espère le démontrer."

Dans le quotidien espagnol Informacion, le nouvel entraîneur adjoint de l'ASSE Antonio Puche se réjouit d'avoir retrouvé du travail grâce à Oscar Garcia.

"Je fais partie du staff de Saint-Etienne, impliqué dans un grand projet sportif. C'est une étape très importante dans ma carrière après mes expériences en Espagne, au Koweit et à Chypre. Je tiens à remercier Oscar Garcia qui m'a accordé sa confiance dans ce nouveau rôle d'entraîneur adjoint."

Selon la dernière édition du Progrès, le président du directoire de l'ASSE avait prévu d'assister hier à la fin de l'étape du Tour de France entre Laissac-Séverac et Le Puy-en-Velay. Si un rendez-vous de dernière minute lié au mercato des Verts l'a privé de ce plaisir, Roro accro au vélo, comme il l'explique au quotidien régional.

"Quand je suis sur mon vélo, je suis mieux dans ma tête. Cela m’arrive même de solutionner des problèmes. Avant, je parcourais entre 12 000 et 15 000 kilomètres par an à vélo. Maintenant, 4000, c’est le maximum. J’aimerais pouvoir sortir beaucoup plus mais je n’ai pas le temps. Le vélo devient également très dangereux. Cela fait peur parfois. Les automobilistes et les cyclistes, ça ne va pas ensemble. Je déplore que la France soit un pays pauvre en termes de pistes cyclables. Heureusement, j’ai la chance d’avoir des copains qui connaissent des routes en Haute-Loire exceptionnelles qui ne sont pas trop fréquentées. On fait aussi un peu de VTT l’hiver sur les chemins forestiers. Le problème du vélo, c’est que tu n’as pas de carrosserie. Quand tu tombes, ça ne rigole pas.

Pour moi, le cyclisme est l’un des sports les plus difficiles. Quand tu n’as plus de jambes, c’est fini. J’ai fait un peu de foot parce qu’il est plus facile de courir derrière un ballon que d’appuyer sur les pédales. Moi, je ne serais pas capable de gérer une équipe cycliste. C’est pour cela que je ne mettrai pas mon nez là-dedans. Je n’en ai pas la capacité. Il a déjà fallu du temps pour que je m’adapte au monde du football. Et pourtant, j’avais dirigé 16 entreprises avant ça. J’ai managé pas mal de monde dans ma vie. Mais le footballeur comme le coureur cycliste, ce sont des hommes différents. Il y a aussi les agents, les médias qui sont présents. Ce n’est pas facile.

J'ai eu comme idole Roger Rivière, un Stéphanois. Il a marqué la région. Je me souviens de sa chute dans la descente du col de Perjuret qui mit un terme à sa carrière. Bardet, je l’ai invité plusieurs fois au stade. Je l’aime beaucoup. Je suis un de ses supporters. Il est de Brioude, juste à côté de chez nous. C’est vraiment un bon mec, très sympa. Il est humble, possède un sacré mental. J’aime ces gars qui sont de gros travailleurs. Romain a su rester simple. Il est même presque timide. Pourquoi il ne gagnerait pas ce Tour de France ? Il a toutes ses chances. On assiste à un joli Tour qui peut réserver des surprises."

La Pravda du jour, qui confirme l'imminence de la signature de Nolan Roux à Metz, nous apprend qu'Oscar Garcia a téléphoné à Jordan Veretout pour le convaincre de revenir à Sainté. Apparu réceptif au discours de l'entraîneur catalan, le milieu de terrain, courtisé par des clubs étrangers (dont le Betis Séville), s'est donné quelques jours pour se déterminer et observe avec attention l'évolution du mercato stéphanois.

Dans un entretien accordé à France Football, Neal Maupay explique pourquoi il a quitté Sainté pour Brentford. Extraits.

"Je sors d'une saison pleine à Brest où j'ai disputé 30 matches. J'ai voulu continuer sur cette lancée, être sur le terrain pour m'épanouir. Je n'avais pas envie de partir dans un projet où mon temps de jeu ne serait pas garanti... même si, bien sûr, on ne peut jamais le garantir. Je voulais jouer. J'aurais pu rester en France dans un rôle de deuxième ou troisième attaquant. J'ai donc préféré aller dans un club peut-être moins huppé, plus petit, mais où je vais pouvoir m'éclater sur le terrain. Je me suis renseigné sur le Championship. Il y a 46 matches dans la saison ! C'est énorme. Plus il y a de matches et plus je suis content. Le Championship est un niveau au-dessus de la Ligue 2. Entre la L2, qui est un peu inférieure, et être remplaçant en L1 en France, j'ai choisi.

J'ai eu une discussion avec Oscar Garcia. Il comptait sur moi... Enfin, il m'a expliqué que, dans la hiérarchie, je ne figurais pas dans ses premiers choix, mais qu'il voulait que je reste de part mon jeune âge et mon profil qu'il appréciait. Il souhaitait me développer. J'avais vraiment envie de jouer. Je ne voulais pas repartir dans une saison où je pouvais être remplaçant voire pas dans le groupe. Je lui ai expliqué ça, il a compris et m'a dit qu'il aurait fait exactement pareil à mon âge. Si j'avais eu 26 ou 27 ans, j'aurais peut-être davantage réfléchi à rester, mais là, j'ai encore tout à prouver. J'ai une énorme marge de progression, et ça passe par du temps de jeu, et par l'enchaînement des matches."

Approché par Valence, l'Inter, l'OM, le LOSC et surtout Nice, "qui aura tenté sa chance jusqu'au bout de manière insistante et acharnée" dixit la Pravda du jour, Kurt Zouma va prolonger de deux ans son contrat avec Chelsea avant d'être prêté dans la foulée à Stoke City. Cet ancien club de Vincent Péricard, Ibrahima Sonko et Amine Linganzi a terminé à la 13e place de la Premier League cette dernière saison.

Pour rappel, cette prolongation devrait apporter 1M euros supplémentaires à l'ASSE.

Dans Le Bien Public, l'entraîneur dijonnais Olivier Dall'Oglio revient sur la déroute de son équipe face aux Verts hier soir à Andrézieux.

"C'est un bon enseignement, on a pris une grosse claque dans la gueule. La première demi-heure, on était complètement à côté, pourtant on était prévenu. On a vu ce que ça a donné quand on n’est pas présent dans les duels, que l’on joue les uns après les autres… Cette équipe de Saint-Etienne nous a surpassés logiquement parce qu’on n’était pas prêt au combat. Que l’ASSE ait des joueurs supérieurs au niveau technique, je n’en doute pas. Mais il va falloir être plus malin et plus généreux. J'ai senti des joueurs stéphanois tournés vers l’offensive avec un pressing haut sur notre équipe. On l’avait prévu mais il ne suffit pas de dire les choses… Cette équipe stéphanoise a du jus et des intentions offensives qui sont intéressantes."

Incapable d'inquiéter Jessy Moulin, la recrue offensive du DFCO Benjamin Jeannot aurait rêvé de meilleurs débuts sous ses nouvelles couleurs.

"C’est sûr que j’aurais préféré une autre entame puisqu’on prend deux buts au bout de 20 minutes. J’ai fait qu’un entraînement avec mes partenaires, c’est sûr qu’il va falloir trouver des automatismes surtout que Saint-Etienne était en pleine bourre et que nous on a manqué un peu d’agressivité. Il va falloir bosser sur ça durant le stage. Il vaut mieux prendre une gifle comme celle-ci durant les matches amicaux qu’en championnat."

Dans Le Progrès du jour, Oscar Garcia savoure la large victoire de son équipe contre Dijon avant d'évoquer le mercato. Extraits.

"Je suis très content de cette victoire car on a beaucoup travaillé pendant le stage. C’est très important pour les joueurs de voir que le travail paye. On a livré un très bon match en première mi-temps. Je suis très satisfait de mon équipe. La performance a été très bonne. Pour les attaquants, il est très important de marquer des buts. Mais je n’aime pas parler des joueurs de façon individuelle. Je préfère parler de l’équipe. Robert Beric a beaucoup travaillé, les défenseurs centraux qui devaient le marquer étaient très fatigués. Je suis satisfait de tout le monde mais on a encore besoin de quatre ou cinq joueurs supplémentaires. Pour moi, c’est clair. Comme je l’ai dit après le match contre Ajaccio, je voudrais vite les avoir mais ce n’est pas possible. Le club sait quelles sont mes priorités et les postes que je veux renforcer."

Absent hier à Andrézieux lors du carton contre Dijon, Fabien Lemoine va rejoindre les Merlus selon la dernière du Progrès. Le quotidien régional précise que les deux clubs ont trouvé un accord dans la nuit de vendredi à samedi, à 1 heure. Montant de la transaction : un million d’euros.

Selon Le Progrès, l'ASSE serait intéressée par le latéral gauche de l'AC Milan, Leonel Vangioni. Agé de 30 ans, l'Argentin est arrivé  il y a un an en Italie, en tant que joueur libre en provénance de River Plate, où il était resté 3 saisons après les 7 passées dans son club formateur, Newell's Old Boys.

Vous avez pu suivre l'écrasante victoire des Verts contre le DFCO sur notre chaîne youtube.

Sans Ruffier, Lemoine ni Söderlund, en plus des blessés de la veille KMP ou Hamouma, les protégés d’Oscar Garcia ont très vite ouvert le score suite à une récupération haute de Bryan Dabo, un appui sur Robert Beric et une passe en profondeur du Slovène pour Jonathan Bamba, qui n’a pas manqué son face-à-face avec le goal adverse. Une petite dizaine de minutes plus tard, le coup franc d'Oussama Tannane a été repris de la tête par Léo Lacroix, pour son premier but en vert. Les Stéphanois ont étouffé leurs adversaires, qui ont eu du mal à passer la ligne médiane.

Et quand ils l’ont fait, enchaînant plusieurs corners et coups francs autour de la 30^ème, les Verts les ont punis en contre, à la 32^ème Beric lançant en profondeur Vincent Pajot, Bamba a laissé passer son centre en retrait pour la frappe de Dabo et le 3-0. Le rythme de la 2MT a été moins élevé, avec plus de déchets techniques et moins de combinaisons réussies – les changements n’ont pas aidé. Néanmoins, à la 78^ème, après un ballon récupéré haut et un centre de la recrue Saidy Janko, l’autre recrue stéphanoise, Loïs Diony a clôturé le score grâce d’une reprise de tête.

La compo : Moulin – RPG (58‘ Janko), Perrin (KTC, 46'), Lacroix, MBengué – Selnaes, Pajot, Dabo – Tannane (Nordin, 66'), Beric (Diony,66'), Bamba (Rocha Santos, 71')

Après avoir annoncé il y a 3 jours que Nolan Roux n'est pas en tête des priorités de FC Metz, Le Républicain Lorrain annonce aujourd'hui que l'attaquant Stéphanois, à qui reste une année de contrat et qui n'entre pas dans les plans de Garcia, signera avec le club Lorrain en début de semaine prochaine.

Avant de défier Sainté ce soir à Andrézieux, l'entraîneur dijonnais Olivier Dall'Oglio s'est brièvement confié au quotidien Le Bien Public.

"Lors de nos deux premiers matches de préparation, on a affronté des clubs de Ligue 2. Ce week-end on sera opposé à une formation de l’élite, qui brigue une place dans le haut du tableau. Cet été, les Verts ont changé d’entraîneur et semblent adopter une nouvelle philosophie. On va se confronter à un niveau supérieur et peut-être voir des prémices de leur tactique. A priori, ce sera plutôt offensif chez eux. Je vais allonger les temps de jeu pour les titulaires de ce match. Ils ne feront pas juste une mi-temps, mais au moins 75 minutes."

Dans la Pravda du jour, Bernard Caïazzo s'émeut de voir plusieurs joueurs (Jordi Gaspar, Jordan Tell, Fodé Ballo-Touré) signer leur premier contrat pro dans un autre club français que celui qui les a formés.

"Plusieurs clubs se sont plaints. Le sujet a été mis sur la table au sein de Première Ligue ou à la Ligue. Jusqu'ici, les clubs français faisaient l'objet d'attaques de clubs étrangers, anglais notamment, qui, contre des indemnités de formation ridicules, recrutaient des talents en devenir de premier plan. Mais ils ne se piquaient jamais les jeunes de leur centre de formation. En brisant ce gentleman's agreement, on est en train d'ouvrir la boite de Pandore. C'est extrêmement dangereux.

Ça va devenir la jungle. Je dis à mes collègues : "Attention : dans la jungle, à la fin, c'est toujours le plus puissant qui gagne. Et il n'est pas sûr que vous ne vous fassiez pas manger, vous aussi !" Par ailleurs, s'ils ne peuvent plus s'appuyer pendant quelques saisons sur les joueurs qu'ils forment, certains clubs vont se demander quel est leur intérêt à entretenir un centre de formation. C'est tout un système qui serait alors en grand danger.

Les clubs qui fondent leur développement sur l'achat et la vente des joueurs sont inévitablement attirés par cette orientation. La saison passée, la moitié des clubs a vendu des joueurs pour au minimum 15 millions d'euros. Les transferts sont devenus tellement importants dans les ressources des clubs que certains en arrivent à s'asseoir un peu, parfois, sur des pratiques morales.

Des discussions ont été engagées, notamment avec les syndicats des joueurs et des entraîneurs, pour revoir la charte. Et passer par exemple la durée du premier contrat pro de trois à cinq ans. Mais ça nécessite de changer la loi sur le sport."

Alors que Sainté tente toujours de le faire revenir, Jordan Veretout pourrait porter un autre maillot vert et blanc que celui de l'ASSE la saison prochaine. Selon la dernière édition de la Pravda, le milieu de terrain actuellement sous contrat avec Aston Villa jusqu'en 2020 fait désormais l'objet d'un intérêt poussé de la part du Betis Séville. Ses représentants devraient recontrer ce week-end les dirigeants du club andalou où ont évolué Damien Perquis, Paulao et Ricky Van Wolfswinkel.