
On a eu Mahiddine, on aura Fethiddine
02/07 19:59
Yanis Fethiddine, au centre
Le recrutement du Centre de Formation continue. On apprend en effet l'arrivée de Yanis Fethiddine, joueur de 2003, international U15 du Maroc. Passé par Paris SG, le FC Versailles ce jeune joueur, était depuis 2 ans en préformation au SM Caen avant donc de rejoindre l'ASSE où il devrait intégrer l'équipe U17 Régionaux coachée par Gilles Rodriguez. Le site officiel du club normand dit de lui que "c'est un joueur brillant et avec un grand sens du collectif", des qualités qu'il va donc mettre au service des Verts.
Ronaël Bull ?
02/07 17:00
L'autoproclamée bible du football nous apprend dans un article paru cet après-midi qu'en plus d'être pisté par l'AS Monaco, Ronaël Pierre-Gabriel serait sur les tablettes du RB Leipzig, défait en quarts de finale contre les sardines lors de la dernière édition de l'Europa Ligue.
Bamba, l'ultime camouflet
02/07 13:29
Jo Bamba vient de signer officiellement pour 5 saisons chez le Lille de Galette.
Ironie de l'histoire, notre ex-international Espoirs retrouve donc le coach qui l'avait renvoyé en équipe réserve en 2016. Après avoir refusé toute la saison les propositions de prolongation de son contrat à Sainté, on suppose donc que c'est pour la qualité du projet sportif du dernier 17ème de Ligue 1 que Jo a eu le coup de foudre...
M'Vila est là !
02/07 12:25
Photo à l'appui, le site officiel nous informe que Yann M'Vila était de retour ce matin à l'Etrat.
Cette semaine marquera également la retour de Mathieu Debuchy (mercredi) et d'Ole Selnaes et Robert Beric (vendredi).
Gasset prêt à le relancer ?
02/07 07:24

Le Progrès du jour évoque le cas de Loïs Diony, qui n'a pas claqué le moindre pion la saison dernière en 17 matches joués avec Sainté (12 en tant que tiitulaire) et 7 matches disputés lors de son prêt à Bristol (dont un seul en tant que titulaire).
"Trois options sont envisageables même si la première d’entre elles, une vente, paraît aujourd’hui incongrue si l’on considère son prix d’achat (8 millions d’euros). Sa cote a beaucoup baissé en l’espace d’une saison. Il faudrait le brader. Gasset veut essayer de le relancer durant cette préparation après avoir eu une discussion claire sur ses attentes avec l’intéressé. Soit il parvient à trouver sa place au sein de l’attaque stéphanoise et le chemin du but. Soit un nouveau prêt s’imposera mais on n’en est pas là."
Sur son compte twitter, Serge Freydier a pris la pose hier avec l'ancien Dijonnais, enfin débarrassé de son encombrant ananas. Surnommé "Poulpe Vert", le supporter stéphanois a légendé comme suit la photo. "J'ai vu Diony ce matin. Il m'a confirmé rester en vert. Cette période de doute ne doit pas être facile pour l'attaquant. "Vous voulez une photo, il n'y en a plus beaucoup qui en veulent une" Et si c'était sa saison ?"
Clément Durieu rétrograde
01/07 17:36
Ancien pensionnaire du Centre de Formation de l'ASSE, Clément Durieu, trop pris par ses activités professionnelles, quitte le FC Bourgoin Jallieu (National 3) pour s'engager avec le CS Faramans, un club de D4 de l'Isère.
Clément Durieu était arrivé à l'ASSE en 2012, en provenance de Grenoble F38, après avoir débuté à la Côte St André. Il était resté 3 saisons et demie à l'ASSE.
2012-2013 : U19 (coach : Abdel Bouhazama) : 12 matchs
2013-2014 : U19 (coach : Jean-Philippe Primard) : 17 matchs
2014-2015 : CFA (coachs : Thierry Oleksiak et Laurent Batlles) : 24 matchs, 1 but. Clément Durieu accepte de rester ches les Verts avec le statut amateur, tout comme Arsène Elogo.
2015-2016 : CFA2 (coachs : Bernard David et Julien Sablé) : 4 m. Le 25 janvier 2016, il quitte l'ASSE pour rejoindre Sarre l'Union (CFA).
2016-2017 et 2017-2018 : FC Bourgoin-Jallieu (CFA2).
Vermot, vert pro !
01/07 14:33

Comme annoncé il y a mois et même si le club n'a pas encore officialisé l'information, Théo Vermot (21 ans) a bien signé un premier contrat professionnel d'un an avec l'ASSE. Arrivé au club en 2015 en provenance de l'Etoile Fréjus Saint-Raphaël, le gardien de 21 ans fait d'ailleurs partie du groupe pro qui a repris l'entraînement depuis avant-hier.
Roro en Ardèche (2)
01/07 14:19

Roland Romeyer aime l'Ardèche. S'il s'y est fracturé la clavicule, l'omoplate et quatre cotes il y a quatre ans, le président du directoire y revient toujours avec plaisir. Un mois après son passage à Saint-Martin de Malamas, Roro a été reçu jeudi à la mairie de Saint-Didier-sous-Aubenas. Accompagné par son ami Alain Martin, maire du Pouzin et membre du conseil de surveillance de l'ASSE, il s'est vu offrir du vin ardéchois.
Comme le rapporte aujourd'hui Le Dauphiné Libéré, il a ensuite assisté à l'assemblée générale des associés supporters sud-ardéchois qui se tenait à Labégude. Roro leur a rappelé qu'il restait le boss car il tient les cordons de la bourse. "On veut former des jeunes et avoir un groupe de professionnels moins important mais davantage qualitatif. Jean-Louis Gasset choisit les joueurs pour le mercato mais je mets mon veto en cas de prix prohibitifs."
Juju fan d'Anto
01/07 09:21

Confirmé dans ses fonctions d'adjoint de Jean-Louis Gasset (il a animé hier un des trois ateliers de l'entraînement matinal des Verts), Julien Sablé ne tarit pas d'éloges sur son ancien entraîneur (nouveau coach des Grenats) Frédéric Antonetti dans la dernière édition du Républicain Lorrain. Extraits.
"Il est protecteur, c’est sûr. C’est quelqu’un qui marche à la franchise. Quand vous avez sa confiance, il vous protégera contre vents et marées. Je l'ai eu à Sainté et à Nice, je le trouve plus détendu aujourd’hui. Il a été consultant sur Canal Plus ces deux dernières années, il a vu l’envers du décor et les rouages de la com avec les médias. Je garde un excellent souvenir de Frédéric Antonetti. C’est quelqu’un qui a changé ma façon de voir le foot. Il a été très important dans ma carrière. J’ai un profond respect pour lui. C'est une grande recrue pour le FC Metz et je ne suis pas surpris de le voir "redescendre” en Ligue 2. C’est un bâtisseur.
Je pense qu’il était peut-être un peu lassé de faire le pompier. Il avait envie de repartir sur un projet comme ça. Il fait progresser les joueurs. Il vous dit les choses car il est passionné et enthousiaste. Il ne va pas contourner les problèmes, il met les pieds dedans. Ça fait parfois des étincelles, mais au moins vous savez où vous allez avec lui. C’est quelqu’un d’entier, avec une pure franchise. C’est un très bon recruteur, il a une grosse expertise et une vraie capacité d’analyse. Il façonne son groupe avec son envie de jouer. Il aime gagner, bien sûr, parce que c’est la priorité, mais il essaye d’avoir une équipe plaisante et pétillante."
Les poteaux étaient carrés
01/07 08:56
Financier quinquagénaire formé à Sciences Po Paris et installé à Londres en tant que "Chief Operating Officer and Chief Client Officer" de la société MSCI, Laurent Seyer (photo) va faire paraître le 23 août prochain son premier roman, Les poteaux étaient carrés, aux éditions Finitude.
Le pitch de l'éditeur :
"12 mai 1976. Ce soir les Verts de Saint-Étienne rencontrent le Bayern Munich à Glasgow en finale de la coupe d’Europe. Nicolas est devant la télé, comme toute sa famille, comme ses copains du collège, comme la France entière. Mais pour lui c’est bien plus qu’un match. Cette équipe de Saint-Étienne est devenue sa vraie famille. Depuis le départ de sa mère, depuis qu’il est le seul fils de divorcés de sa classe, depuis que son père vit avec cette trop séduisante Virginie, il n’en a plus d’autre. Alors il retient son souffle quand les joueurs entrent sur le terrain. C’est sûr, ce soir, ils vont gagner."
Les critiques :
"Ce roman où s’entremêlent habilement le récit d’un match de légende et celui des égarements de son héros est superbe de tendresse navrée, d’amour au fond" (Olivier Mony, Livres Hebdo). "Dans ce premier roman magnifiquement empreint de nostalgie, Laurent Seyer réussit le une-deux poétique, enchaîne avec un passement de jambes émotionnel, se remet face au but d’un dribble en double contact. Le gardien est pris à contre-pied, comme le lecteur, le but est marqué. On referme le livre les yeux mouillés (Librairie St-Christophe, à Lesneven)."

Pavard le rend bavard
01/07 07:52
Dans Le Progrès du jour, Le Sphinx sort de son mutisme d'intersaison pour commenter le spectaculaire huitième de finale de Coupe du monde remporté hier par la France aux dépense de l'Argentine. Extraits.
"Lors des matches précédents, la France avait joué un peu à l’économie. Ça ronronnait. Là, on s'est montré percutant. Je n’ai pas eu peur quand l'Argentine est revenue avant la mi-temps et a même pris l'avantage ensuite. A cet instant, les Argentins avaient consenti beaucoup d’efforts, montré beaucoup de détermination. Ils ont payé ces efforts. Pavard un joueur qui dégage une grande maturité. Au niveau du placement, on dirait un trentenaire. Comme Mathieu Debuchy ? C’est cela. Sa demi-volée, quel superbe geste !
Mais les trois buts encaissés montrent qu’il y a des choses à corriger. Mbappé n’a que 19 ans mais il fait preuve à la fois d’efficacité et de générosité. Il est exemplaire dans le domaine technique et a un comportement sain sur le terrain. Il a déboussolé la défense argentine avec sa vitesse. C’était notre Messi à nous."
L'Ange Vert est aux anges bleus
01/07 07:34
Eliminé par l'Argentine lors de la Coupe du Monde 1978, le directeur sportif des Verts Dominique Rocheteau est ravi d'avoir vu les Bleus sortir avec panache l'Albiceleste hier après-midi.
"Je suis content. On a joué avec nos atouts et sur les faiblesses argentines. Mbappé a réussi un grand match, fait de bons appels. Il va à une vitesse incroyable. Un doublé en Coupe du monde, ce n’est pas rien. Ce qui me semble un bon signe, c’est le fait d’avoir été mené au score et d’être revenu" déclare l'Ange Vert dans la dernière édition du Progrès. "Ça montre une force mentale qui peut être utile lors des prochains matches. On sent un gros potentiel pas encore exploité. L’équipe est jeune, elle était en jambes. Kanté comme d’habitude, Pavard m’ont fait impression. Et Hernandez a amené deux buts. On est en quarts, c’était l’objectif de départ."
Mazure reprend du Calva
30/06 22:46

Un mois après avoir quitté son poste d'entraîneur de Courseulles, Sébastien Mazure (39 ans) vient de retrouver un banc dans le Calvados. L'ancien attaquant stéphanois (2 buts claqués en 25 matches dont 7 titularisations lors de la saison 2005-2006) a en effet été nommé aujourd'hui coach du FC Baie de l'Orne (R3), né de la fusion des clubs d’Amfreville et de Ranville.
Larqué n'a pas séché la piscine
30/06 20:59

L'Obs a publié aujourd'hui une longue interview de Jean-Michel Larqué, qui prendra sa retraite à la fin de la Coupe du monde. Extraits.
"J’avoue m’être reconverti dans le journalisme parce que j’étais en échec au PSG comme entraîneur. Peu de temps après mon départ du club, je tombe sur Raymond Castans, patron de RTL. "Jean-Michel, qu’est-ce que vous allez faire la semaine prochaine ? - Aucune idée – Moi je le sais. Je suis en discussion avec Robert Chapatte, je vais lui dire de vous prendre comme consultant." RTL était le sponsor maillot du PSG. Il faut dire aussi que ça faisait un petit moment que j’entretenais de bons rapports avec la presse. En tant que capitaine de Saint-Etienne, je participais aux conférences de presse des matches importants du championnat de France et de la coupe d’Europe des clubs champions. Saint-Etienne était alors un peu l’équivalent du PSG d’aujourd’hui. On s’est qualifié successivement pour les demi-finales, la finale puis les quarts de finale de coupe d’Europe, tout cela engendrait beaucoup d’expositions médiatiques. Castans a dû voir que je parlais un français correct. Il pensait que ce métier était fait pour moi.
(...)
J'ai aussi écrit très tôt pour la presse. Cette fois, c'est moi qui ai eu l’impulsion, alors que j'étais encore joueur. Une nuit précédant un match de coupe d’Europe des clubs champions, j’étais dans ma chambre d’hôtel d’Andrézieux-Bouthéon, au nord-est de Saint-Etienne, et j’ai écrit un feuillet sur ce que je ressentais, mon état d’esprit du moment, les consignes de l’entraîneur, l’humeur de mes coéquipiers. Mon tout premier article, écrit à la main sur le papier à lettres du Novotel... Je l’ai donné à Gérard Ernault qui était rédacteur en chef à "L’Equipe" ou à "France Football", je ne sais plus. Si j'ai lancé la mode des consultants, je suis quasiment le seul à avoir touché à tous les supports journalistiques. Lizarazu, on lui écrit ses billets dans "L’Equipe" (rires). Je vous confirme qu’à "Onze Mondial" où j'étais rédacteur en chef, personne n'écrivait mes éditos à ma place."
(...)
Sur le terrain, j’étais un numéro 8. Mais niveau état d’esprit en revanche, j’étais bien différent de Rabiot ! Je dois reconnaître avoir eu beaucoup de chance. Vous connaissez Saint-Etienne ? Pour un jeune gars du Béarn, c’est un changement culturel vraiment terrible. J’ai fait mon premier essai là-bas en août 1964, j’avais réussi le concours du jeune footballeur. C’était encore l’époque des machines à vapeur. Et l’hiver était long. Très long ! Surtout le premier (rires) ! Le prestige du club est venu plus tard. Quand j’avais 17 ans, Saint-Etienne n’était qu’un bon club français parmi d’autres. Pour être tout à fait honnête, je ne sais pas exactement pourquoi j’ai choisi ce club. Et si j’avais jeté mon dévolu sur un autre, je n’aurais sans doute pas connu une telle réussite sportive, ni la même après-carrière.
(...)
A Saint-Etienne, on était à la lutte avec le Bayern à l’époque, avec deux affrontements (une demi-finale et une finale) en deux ans. Je me demande si Munich ne m’a pas simplement contacté dans le but de nous déstabiliser. D’ailleurs, le contact en est resté aux petites touches de gardon hein, ce n’était pas la pêche aux gros, quoi (rires) Le Real, en revanche, c’était du sérieux. Mais en 1975, Madrid était dans le creux de la vague. Sportivement, Saint-Etienne était bien au-dessus d’eux. Pour preuve, on ne les a jamais rencontrés en ligue des champions, pour la simple et bonne raison qu’ils n’y participaient pas. Ils m’avaient repéré durant un match amical à Saint-Etienne qu’on avait gagné 4-1. J’avais marqué un but. Je suis resté très longtemps en rapport avec un vieux dirigeant qui tous les ans m’envoyaient ses vœux. Quand même, j’avoue, ça flatte un peu mon ego d’avoir été courtisé par le Real…
(...)
J’ai commencé à avoir des problèmes à un genou, qui m'ont privé de la coupe du monde 1978. Je n’ai pourtant jamais été blessé de ma vie, mais ça a été le début de la fin. C’est à ce moment que j’ai senti que je payais mes quatre années d’études de prof de sport, à Lyon en début de carrière. Je prenais le train à 5h42 en gare de Châteaucreux le matin. Je rentrais tard le soir, sans nécessairement m’entraîner. Certains jours de match le samedi soir, je faisais deux heures de natation à la fac le matin, puis j’arrivais vers 13 heures à Saint Etienne et je mangeais tout seul au stade Geoffroy Guichard. L’équipe se réunissait à 17 heures, je faisais une sieste carabinée jusqu’à 16h45. Pas les conditions idéales pour un athlète... Mais voilà, si j’avais dit au père Larqué "je sèche la natation parce que j’ai match le soir", il m’aurait tiré les oreilles."
Un quart sans Blaise
30/06 20:05

Spectaculaires, les Bleus ont battu l'Albiceleste 4-3 cet après-midi à Kazan (Russie) en huitième de finale de Coupe du Monde. Auteur d'un bon match dans l'entrejeu, Blaise Matuidi a honoré à cette occasion sa 70e sélection en équipe de France. Mais l'ancien milieu de terrain stéphanois sera privé de quart de finale pour avoir mangé une biscotte qu'il a du mal à digérer.
"Je ne parle même pas à l'arbitre, je n'ai pas compris. J'étais en train d'appeler Otamendi et je n'ai pas compris pourquoi il m'avait mis un carton. Je ne sais pas ce qu'il a pensé. Je suis très déçu par rapport à ça, mais ils vont faire le job" a déclaré le milieu de terrain de la Juventus de Turin au micro de TF1 à l'issue de la rencontre.
M'Vila pas encore là
30/06 14:57

"Trente degrés au thermomètre, à peine plus de supporters ! Les Stéphanois, hier matin, ont repris l’entraînement dans un quasi anonymat qui contrastait avec l’affluence qu’avait connue Oscar Garcia la saison dernière lors de sa première apparition" souligne la dernière édition du Dauphiné Libéré.
Les supporters stéphanois étaient encore moins nombreux (14) ce matin pour suivre une séance qui s'est encore déroulée en l'absence de Yann M'Vila mais en notre présence. Le numéro 6 des Verts, dont le retour avait initialement été annoncé ce samedi, est finalement attendu demain voire après-demain. Convalescent, Gabriel Silva s'est entraîné en marge du groupe avec le préparateur physique Sébastien Sangnier et le kiné Hubert Largeron.
Sous les yeux de Jean-Louis Gasset, Dominique Rocheteau et David Wantier, l'entraînement a duré une bonne heure sous un soleil de plomb et s'est déroulé en 3 phases.
1. Echauffement à base d'un petit footing, puis jeu de jongle. En alternant pied droit, pied gauche, puis pied gauche, cuisse gauche, tête, cuisse droite, pied droit. Enfin jeu de conduite de balle dans un petit périmètre.
2. Exercice en 3 ateliers
1er atelier: partir en jonglant, au pied puis de la tête, puis terminé par une frappe sur une planche. Retour en jonglant en slalomant entre des piquets.
2e atelier : conduite de balle, partir en slalomant puis frappe sur la planche, retour en marche arrière avec pour objectif de toujours maîtriser le ballon
3e atelier : alternance de jongle et de jeu à terre.
2 groupes de 8 joueurs et 1 groupe de 7 joueurs. 1 groupe par atelier. 10min/ atelier.
Julien Sablé, Ghislain Printant et Fabrice Grange ont mené chacun un atelier.
3. Exercice de souplesse/étirements
La Brise craint une surprise
30/06 14:25

Sur France Bleu, l'ancien Vert et actuel Chamois niortais Jonathan Brison pronostique une qualification des Argentins aux dépens de Bleus pourtant donnés favoris par tous les bookmakers et la majorité des observateurs.
"Ce match me fait un peu peur. Ce sont deux équipes qui aiment avoir le ballon, qui ont une grosse force offensive. Pour moi, le point faible des Bleus c'est la défense, même s'ils n'ont pris qu'un but. On est sortis avec sept points, un but encaissé, deux victoires et un nul. Mais je vois victoire de l'Argentine aux tirs au but."
Dans la dernière édition du quotidien belge Le Soir, Jean-Michel Larqué redoute lui aussi une élimination des Bleus.
"L’Albiceleste n’a vraiment pas été à la hauteur depuis le début du tournoi, mais, sur ce que la France a donné à voir d’elle-même en l’espace de trois matchs, je ne pense pas qu’elle soit réellement au-dessus de cette Argentine en crise. Du moins ai-je mes doutes. Dans la France profonde et dans les cercles parisiens du journalisme, on parle beaucoup. II y a énormément de verbiage et notre pays est devenu, en quelque sorte, le champion du monde de la salive. Mais, maintenant, fini d’ouvrir la bouche pour ne rien dire, il faut des actes! L’équipe, son encadrement et la Fédération française doivent commencer à se rendre compte que, si la France clame sans cesse n’avoir peur de personne, personne n’a peur de l’équipe de France non plus. Et la nuance est importante, surtout face à une Argentine qui a peut-être tous les défauts que l’on puisse imaginer, sauf le manque d’expérience. Dans une phase à élimination directe, ce n’est pas là le moindre atout !"
Messi n'est pas Dieu (2)
30/06 08:18

Comme il l'avait fait avant-hier dans Le Parisien, Oswaldo Piazza évoque dans la dernière édition du Monde le huitième de finale qui opposera cet après-midi les Bleus à l'Albiceleste. Extraits.
"L’Argentine reste sur trois finales, en Coupe du monde (2014) et en Copa América (2015, 2016)… Que tu aimes ou pas cette équipe, elle a ce mérite-là. Mais on dépend toujours de Messi. Au Brésil, s’il n’avait pas été là, on serait rentrés à la maison dès le premier tour. Cela dit, on les critique en permanence, on dit qu’ils sont nuls, qu’ils manquent de tempérament, mais si c’était le cas, ils n’auraient jamais atteint ces trois finales consécutives. Sampaoli avait fait du bon travail au Chili, mais le Chili ce n’est pas l’Argentine. Est-ce que son style de jeu convient au football argentin ? Ici, par exemple, nous ne sommes pas habitués à jouer avec une ligne de trois défenseurs comme il aime le faire. Là, on a joué trois matchs de poule avec trois équipes et trois schémas différents.
L’image de notre football reflète celle du pays dans lequel on vit. On a une inflation de 40 %, nos dirigeants politiques ne savent plus quoi faire, ils ont déjà tenté 50 formules différentes, soit beaucoup plus que Sampaoli. Cinq générations vont passer, et ils n’arriveront toujours pas à payer cette dette. L’autre jour, on me disait qu’il y avait 35 000 Argentins dans le stade contre le Nigeria. D’accord, mais c’est quoi par rapport aux 44 millions d’habitants que nous sommes ? Qui, en Argentine peut se payer un voyage en Russie ? La classe moyenne souffre terriblement. Il y a une énorme pauvreté, les gens dorment dehors, remuent les poubelles pour manger. Le football, comme d’habitude, cache un peu tout cela. Pendant la guerre des Malouines, des soldats se faisaient tuer, et on continuait à jouer au foot.
Les militaires voulaient détourner l’attention du public en 1978 avec cette Coupe du monde à la maison pour masquer tous leurs assassinats. Mes coéquipiers de Saint-Etienne peuvent témoigner de la manière dont la France a été éliminée ce jour-là. Marius Trésor tombe, la balle lui tape sur le bras, et avec ce penalty, l’Argentine se qualifie. J’en parlais il y a quelques jours avec Christian Lopez, lui et les autres le vivent encore comme une injustice. Il m’a dit qu’on ne changeait pas, qu’on était toujours dans la merde. A l’étranger, on vendait l’image d’un pays qui progressait.
Après le 0-0 contre le Danemark, Jean-Michel Larqué était très remonté face à la pauvreté du jeu proposé. Ce match était chiant. Les deux équipes étaient qualifiées, les joueurs ne voulaient pas se blesser. La France n’a pas très bien débuté ce Mondial, mais, peu à peu, elle a trouvé un équilibre, une bonne assise défensive qui lui offre une sécurité que n’a pas l’Argentine. Nous, on dépend d’un joueur, que l’on n’arrive pas à accompagner et qui a l’air triste. Il ne brille pas comme il devrait car il porte trop de responsabilités. Maradona l’a toujours protégé. Pour nous, Diego est un dieu. Il nous a fait connaître le monde, et le monde nous connaît en partie grâce à lui. Il a ses défauts, mais on ne peut pas le juger ni le comparer avec Messi, car il est au-dessus de tout.
Heureusement, le football n’a pas de logique. Si on parle du fonctionnement des deux équipes, de ce qu’elles ont démontré jusque-là, la France est clairement supérieure à l’Argentine. Les gens disent qu’avec la qualification pour les huitièmes, tout va changer. Mais qu’est-ce qui peut changer ? Mettons qu’on passe la France. Et après ? On a beau être des fans de foot, on est en Argentine dans une situation tellement critique que personne ne va rien résoudre, même pas notre sélection."
Dieu heureux pour Mathieu
30/06 07:20

Dans la dernière édition du Progrès, Loïc Perrin se réjouit que Mathieu Debuchy ait prolongé son aventure en vert.
"Il y a eu pas mal de départs. Mais, bon, c’est chaque saison la même chose. Des joueurs vont arriver, l’effectif n’est pas encore constitué. L’idéal est qu’il le soit en grande partie le plus rapidement possible mais on sait que le mercato se termine le 31 août. La plupart du temps, on n’est pas au complet lors de la première journée du championnat. Il y a beaucoup de nouveaux visages, de jeunes joueurs. J’espère que parmi eux certains vont éclater cette saison.
Mathieu Debuchy a prolongé son contrat. Ce que ça m'inspire ? Déjà, cela me fait plaisir car humainement c’est quelqu’un de très bien. Et conserver Mathieu cela montre l’ambition du club. J’espère que cela permettra à certains joueurs de rester, à d’autres de venir. C’est un vrai premier renfort. La première ambition est de monter une équipe. Plusieurs recrues vont sans doute nous rejoindre. Il est donc trop tôt pour discuter de nos ambitions."
Khazri, c'est pas fini ! (4)
30/06 03:16

"Rémy Cabella, c'est très difficile, voire infaisable. Quant à Wahbi Khazri, c'est une invention des journalistes" a lâché Roro ce vendredi matin à des supporters présents à la reprise de l'entraînement qui s'est effectué sans Yann M'Vila (excusé et attendu demain), Mathieu Debuchy (attendu le 4 juillet), Robert Beric et Ole Selnaes (qui reprendront le 6 juillet).
La Pravda de ce samedi indique pourtant que "Whabi Khazri pourrait rejoindre les Verts puisqu'un accord aurait été trouvé entre Rennes et l'ASSE." Le quotidien sportif semble avoir oublié que le capitaine de l'équipe de Tunisie éliminée de la Coupe du Monde en Russie n'appartient pas au Stade Rennais mais à Sunderland, avec lequel il est sous contrat jusqu'en 2020.
Sebaihi rebondit en Turquie
29/06 22:19
Billal Sebaihi (26 ans), ancien pensionnaire du centre de Formation de l'ASSE, vient de changer de club en Turquie : il quitte en effet Manisaspor, relégué en 3ème division en fin de saison passée, pour s'engager avec Boluspor, club de 2ème division.
Le natif de la vilaine cité était arrivé à l'ASSE en 2009, à l'âge de 17 ans, en provenance de l'AS Saint-Priest. En 2009-2010, sous les ordres d'Abdel Bouhazama, il joua 24 matchs en U19, inscrivant 10 buts.
L'année suivante, 2010-2011, il joua 2 rencontres en U19 et 4 en CFA.
En 2011-2012, sous les ordres de Jean-Philippe Primard, il effectua 21 matchs et inscrivit 2 buts.
A l'issue de cette saison 2011-2012, il ne fut pas conservé à l'ASSE et passa 6 mois sans club. Le 15 janvier 2013, il partit en Algérie et signa au CS Constantine et fut aussitôt prêté à l'USM El Harrach. Il prit ensuite la direction du Portugal, d'Anadia plus exactement. On le retrouve pour la saison 2014-2015, toujours au Portugal, à Beira-Mar, puis à Estoril jusqu'en janvier 2016, date à laquelle il est prêté pour 6 mois au club de Tondela. Il retourne à Estoril et est transféré le 17 janvier 2017 au club turc de Maniaspor, avant donc de filer vers Boluspor.
Un match au sommet le 14 juillet (3)
29/06 18:36
Ou peut-être bien le 13. Le match amical contre l'OM initialement programmé le 14 juillet à 19h aura, en effet, finalement lieu la veille, 13 juillet, à la même heure, vient d'annoncer le site officiel. Pas de changement sur le lieu, la rencontre se déroulera bien à Clermont, au stade Gabriel-Montpied.
Pour rappel, la campagne de matchs amicaux débutera le 7 juillet à Andrézieux contre le club local.
Le nouveau coq est vert
29/06 14:18
Il y a quelques minutes le nouveau maillot domicile a été dévoilé par le Coq Sportif, ainsi que sur le site de la boutique des Verts (où il est déjà en vente).
Pas de surprise, comme nous l'avions supputé, il est ... vert.
D'un ton assez foncé proche de celui de la saison 2017-2018, il arbore un col polo ainsi que le nouveau sponsor : le groupe de mutuelles Aesio.
Ruff, proche de Galette, loin de Lille !
29/06 10:59
A l'occasion de la reprise de Lille, Galette s'est exprimé sur le mercato des caniches et sur celui qu'il considère comme le meilleur gardien français :
"Je ne pense pas que Mike Maignan soit sur le départ. Mais on ne peut pas être satisfait des performances des gardiens la saison dernière même s’ils ont été confrontés à de grandes largesses défensives. Pour faire une bonne saison, il faut une assise défensive solide. Maignan est conscient de la saison qui a été éprouvante. Je souhaiterais qu’il ait à côté de lui un joueur avec beaucoup plus d’expérience pour le faire grandir (...) Je n’ai eu aucun échange avec Stéphane et je ne le solliciterai pas. Même si je suis très proche de lui, Ruffier ne sera pas le gardien du Losc."
Khazri, c'est pas fini ! (3)
29/06 07:42

Estimant que les rumeurs Ben Arfa, Nasri et Valbuena "prêtent à rire plus qu'à autre chose", Le Progrès du jour juge plus crédible la piste évoquée par la Pravda menant à Wahbi Khazri, passeur puis buteur hier soir lors de la victoire pour du beur(re) de la Tunisie contre Panama.
"Les chances de conserver Jonathan Bamba sont proches du néant. De sources italiennes, ses représentants auraient proposé leur protégé à plusieurs clubs de la Péninsule contre un salaire annuel d’1 million d’euros net assorti d’un premier à la signature entre et 3 et 4 millions d’euros. L’ASSE travaille sur son remplacement. Le nom de Wahbi Khazri revient avec insistance. Prêté par Sunderland à Rennes la saison dernière, l’international tunisien a dans les mains une offre du club breton, pour un contrat de trois ans, qui ne lui convient pas.
Lorsque nos confrères de Ouest-France lui ont demandé s’il serait encore rennais la saison prochaine, il est resté évasif : "Je ne sais pas encore, je n’ai pas eu mes agents au téléphone, là je me consacre à 100 % à la Coupe du monde." Est-ce une manière de mettre la pression sur les dirigeants bretons ? Peut-être mais les contacts avec l’ASSE sont réels. Pour libérer Khazri, Sunderland, qui a rétrogradé en troisième division anglaise, réclame 5 millions d’euros comme le stipule la clause libératoire dont dispose l’international tunisien en cas de relégation."
Vengez Lopez !
28/06 21:33
Titulaire aux côtés de Patrick Battiston, Michel Platini, Dominique Bathenay et Dominique Rocheteau la dernière fois que la France a affronté l'Argentine en Coupe du Monde, Christian Lopez espère sur TF1 que les Bleus prendront leur revanche après-demain.
"On avait débarqué en Argentine un peu en touristes. Quand on est arrivé là-bas, l’essentiel, c’était d’abord de savourer le fait de participer à la Coupe du monde. On ne se disait pas qu’on allait aller le plus loin possible. J’ai encore le souvenir de ce penalty que l’arbitre siffle. Je revois Marius Trésor tacler, le ballon lui passe entre les jambes et lui touche le bras qui était en appui. L’arbitre siffle penalty, on s’est lamentablement fait voler.
S’il y avait eu la VAR en 1978 en Argentine, dans le contexte de la dictature militaire, à mon avis, l’arbitre aurait quand même sifflé penalty. J’espère qu’on va prendre notre revanche samedi. Si on les élimine, on aura un petit peu vengé ce qu’on a vécu en Argentine en 1978."
Benalouane est un Aigle (5)
28/06 20:46

Le 15 octobre 2008, Yohan Benalouane avait joué son seul match en équipe de France Espoirs aux côtés de Blaise Matuidi et Anthony Mounier (défaite 0-1 contre l'Allemagne à Saint-Symphorien). L'ancien défenseur central stéphanois aura donc attendu près de 10 ans pour jouer avec une sélection A. Entré en jeu il y a cinq jours lors de la lourde défaite de la Tunisie contre la Belgique, le natif de Bagnols-sur-Cèze (Gard) explique comment il est devenu un Aigle de Carthage sur le site de So Foot. Extraits.
"Bertrand Marchand, à l'époque sélectionneur des Aigles, m'avait convoqué en août 2010 pour un match au Tchad qualificatif pour la CAN 2012. J’avais dû renoncer à cause d’un problème de vaccin. Les délais étaient trop courts. J’avais lu et entendu des choses. Je n’avais jamais dit que je ne voulais pas venir en sélection. Juste que ce n’était pas le moment. Les contacts avec la Fédération tunisienne ont toujours existé. Mais j’avais des raisons personnelles : j’avais eu un enfant et je voulais passer le plus de temps possible avec lui. Il était ma priorité. Quand on joue en club, on se déplace souvent, il y a les matchs, les entraînements, les mises au vert. Et quand il y a les matchs internationaux, il faut en plus partir pendant une dizaine de jours... Mon arrivée chez les Aigles a pris pris un certain temps. On a discuté, il y a même eu une rencontre. Le coach Nabil Maâloul m’a exposé son projet, il m’a parlé de l’équipe, de jeu, etc. J’ai donné mon accord et j’ai donc été appelé pour les matchs de mars. C’était l’occasion de connaître les autres internationaux."
LAURA a dévoilé les poules des jeunes !
28/06 19:40
La Ligue Auvergne Rhône-Alpes vient de dévoiler la composition des poules des championnats régionaux.
Les U17, coachés par Gilles Rodriguez, opéreront en Régional 2 (poule B) en compagnie de : Côte Saint-André FC, Echirolles FC, L'Etrat La Tour, Miserieux Trevoux AS, Olympique de Saint-Etienne, Olympique Saint-Genis Laval, Oullins CASCOL 2, Rhône Crussol 07, Viriat CS, AS de Montchat Lyon, Valserine FC.
Les U15, coachés par Jean-Philippe Primard, opéreront eux, en Régional 1 (poule B) en compagnie de : Annecy FC, Bourgoin Jallieu, F Bourg-en-Bresse Peronnas 01, FC Lyon, Olympique Valence, Olympique vilain, St Priest AS, Thonon Evian Savoie FC, Vénissieux FC, Chambéry Savoie Foot, Grenoble Foot 38.
Dovydas Virksas quitte le FK Atlantas
28/06 12:30
Dovydas Virksas, qui fêtera ses 21 ans le 1er juillet prochain, quitte le FK Atlantas Klaipéda, club lituanien de 1ère division pour rejoindre le FK Trakaï, tout jeune club lituanien, puisque créé en 2005, qualifié pour l'Europa League. Il va affronter, lors du 1er tour, le club gallois de Welsh Cefn Druids.
Le milieu offensif était pensionnaire du Centre de Formation de l'ASSE de 2015 à 2017. En 2015-2016, il avait joué 18 matchs en U19 et inscrit 6 buts. Victime d'une rupture des ligaments croisés, il n'avait pas joué une seule rencontre de la saison 2016-2017 et il était revenu au pays, dans son club d'origine, le FK Atlantas.
Matsui n'a pas compris
28/06 09:13

Evoluant depuis le début de l'année à Yokohama (D2 japonaise), Daisuke Matsui (37 ans) évoque son unique et peu concluante saison stéphanoise (1 but et 1 passe décisive en 27 matches, 16 en tant que titulaire en 2008-2009) dans la dernière édition du quotidien sportif polonais Przeglad Sportowy.
"J'ai préféré aller au Mans plutôt qu'à la Lazio car j'avais plus de chance de devenir l'un des joueurs clés de l'équipe. Dans mon club suivant, Saint-Etienne, il y avait un joueur à mon poste qui était un ami de l'entraîneur. Ils passaient du temps ensemble, ils s'entendaient bien. Ce joueur avait beau faire moins bien que moi, c'est lui qui était titulaire. Je ne l'ai pas compris, je ne pouvais pas me satisfaire de cette situation."