Ce Janot, quel talon !

15/04 08:44
Image
 

Il y a trois jours, Jérémie Janot est revenu pour Football Total sur sa passe décisive à la Beaujoire qui avait permis aux Verts d'arracher le nul dans le temps additionnel le 11 novembre 2006.

"En fait, heureusement que ça marche parce que j'ai Ivan Hasek qui m'interdit de monter. Moi je fais semblant de ne pas le regarder. Je me dis "j'espère qu'il va se passer quelque chose et qu'on ne va pas en prendre un troisième, sinon je suis mort !". Il y a un petit cafouillage, je fais une talonnade. Moi je pense avoir perdu le ballon mais il y a Vincent Hognon qui surgit et qui marque. Après dans les interviews je disais "ouais, ouais, je l'ai fait exprès", bien sûr, mais j'avais la goutte qui tombait."

Des joueurs ont peur de reprendre

15/04 00:16
Image
 

Ancien défenseur des Verts et actuel vice-président de l'UNFP, Sylvain Kastendeuch se confie dans la Pravda de ce mercredi.

"Nous recevons chaque jour des témoignages qui traduisent l'inquiétude voire la peur des joueurs. Ils voient dans la presse que des scénarios de reprise se profilent et ils sont très inquiets pour eux et pour leurs familles. Ce mardi matin, l'un d'eux, très énervé, m'a dit qu'il avait peur qu'on les prenne pour des cobayes et qu'on prenne des risques inconsidérés avec eux. Un autre m'a dit qu'il préférait sacrifier sa carrière que mettre en danger sa santé et celle de ses proches. Je les ai rassurés en leur disant que la santé était la priorité des instances dirigeantes. En tant que représentants des joueurs, nous sommes ouverts à tout, mais c'est clair que nous serons intraitables et très exigeants concernant leur sécurité et leur santé."

Nous on joue au football et on n'a pas de frontières

14/04 23:36

Image
 
 
 

Arborant fièrement le logo de l'ASSE sur son sweat et sur la fourgonnette qu'il conduit pour aller bosser en Allemagne, le jeune et sympathique président de la section des associés supporters "Moselle au coeur vert" Guillaume Tritz (26 ans) est passé au 20 heures de TF1 ce mardi soir dans un reportage sur les frontaliers diffusé à la 18e minute du journal.

A l'instar de sa cousine Marie et de son père Jérôme, il avait déjà été mis à l'honneur le juin 2018 dans Le Républicain Lorrain. "Quand j'ai eu mon permis à 18 ans, mon premier souhait était d'aller au stade Geoffroy-Guichard. On l'a fait. L'ambiance est exceptionnelle ! Heining-lès-Bouzonville - Sainté, ça fait 1 110 km aller-retour. En moyenne on faisait sept déplacements dans l'année, maintenant qu'on est abonnés on en fera plus" déclarait à l'époque cet amateur de pêche.

Image
 

Bouanga redoute les huis clos

14/04 20:38
Image
 

Meilleur buteur des Verts cette saison (12 pions en 35 matches), Denis Bouanga redoute de devoir reprendre la compétition sans public, comme l'atteste le tweet qu'il a publié ce soir.

Plein en virtuel, vide en réel ? (2)

14/04 19:20
Image
 

Alors que la finale de Coupe de France risque fort de se jouer à huis clos, la finale virtuelle de l'ASSE contre le Covid-19 a fait déborder le Stade de France ! Le club a en effet annoncé en ce début de soirée avoir récolté plus de 88 000 euros.

A jamais les premiers

14/04 17:59
Image
 

Dans une longue et intéressante interview accordée au potonaute SP42 et publiée sur le très bon site Soccer Populaire, Jean-Marie Lanoë rappelle que l'ASSE est le premier club français à avoir un musée et affirme que c'est le seul. Comme tout le monde et nul ne l'en blâmera, le Grand Reporter à France Football a oublié que les vilains ont également le leur ! On est (soccer) populaire ou on ne l'est pas...

"Le foot n’est pas culturel en France contrairement à l’Angleterre, l’Espagne, l’Italie ou l’Allemagne. En France, le foot est comparable au théâtre, les gens viennent au stade pour voir du beau jeu, mais ne sont pas tant supporter que ça, sauf traditionnellement à Marseille, Lens, à Sainté ou Paris.

Mais il n’y a aucune culture, aucun souvenir. Le passé en France n’a aucune importance et il n’y a qu’un seul musée dédié au foot, à Saint-Etienne. Basile Boli est en train de mettre ça en place à Marseille. Denis Law, Ballon d’Or 1967, quand il se baladait dans les rues en Angleterre, il provoquait un attroupement. En France, Raymond Kopa se baladait dans les années 80 en toute tranquillité.

La France est un peuple et un pays trop cérébral, avec un mauvais rapport au corps. Il n’y a pas de club d’importance culturelle qui ait l’équivalent du Barca, du Real ou du Bayern. Les clubs anglais, je n’en parle même pas. C’est quand même incroyable qu’il y ait autant de clubs londoniens et qu’à Paris tu n’en aies qu’un. C’est la preuve par A+B du manque d’intérêt quelque part pour le football."

Des Aiglons se sont envolés grâce à Puel

14/04 17:16
Image
 

L'actuel entraîneur des Verts a contribué à l'envol de nombreux Aiglons lors de son passage au Gym (2012-2016), comme l'a rappelé hier Nice-Matin. Extraits.

"Il est plusieurs fois venu voir jouer les U15, les U17, les U19 avant de s'engager" raconte Alain Wathelet, directeur de la préformation à l'époque. "Il appréciait la qualité de jeu, la volonté de repartir de l'arrière". "Il manquait des étages à le fusée" image Puel. Malgré les contats non renouvelés (Sablé, Clerc, Hellebuyck) et les ventes (Mounier à Montpellier), le club est soumis à l'interdiction de recruter à titre onéreux. Puel mise sur des profils techniques libres (Kolodziejczak, Bauthéac) ou prêtés (Eysseric). Pas sur des recrues aguerries aux joutes du maintien. "D'abord parce que vous n'êtes pas sûr de vous maintenir. Et ensuite parce que vous êtes sûr en revanche de ne pas pouvoir faire progresser le club" insiste l'actuel coach des Verts, huit ans plus tard. "Il a remis la maîtrise technique au coeur des séances d'entraînement" rend hommage Alexandre Dellal, le préparateur physique.

Des entraîneurs auraient voulu un nom en attaque pour se rassurer, pas Claude" observe Serge Recordier, alors responsable de la cellule de recrutement. "Il a choisi Cvitanich en visionnant quelques images sous le maillot de Pachuca. Pour sa gestuelle, sa technique des deux pieds. "Visionnaire" selon son ancien adjoint Mengual, "Claude n'est jamais affecté par la blessure d'un titulaire. Il ne cogite pas, mettre un jeune c'est normal." Il ne subit pas, ne réfléchit jamais en fonction du résultat" insiste Julien Fournier. L'été 2015, Jordan Amavi est transféré pour 12 M€ à Aston Villa. "Un ancien attaquant qui n'était même pas titulaire lors du parcours en Gambardella" rappel Alain Wathelet. "Claude participait à toutes les réunions du centre, il connaissait les gamins. Il avait appelé Manu Pirès, le directeur du centre, pour lui proposer de le replacer en latéral gauche."

"Claude m'a fait suivre pendant un mois et demi tous les entraînements des jeunes, des U17 à la N2" détaille Serge Recordier. "Il voulait un rapport sur chaque joueur. Il nous a fait avancer quand on voit le nombre de joueurs formés chez nous qui évoluent aujourd'hui ailleurs. Tout ça n'existait pas à l'OGC Nice." "J'ai lancé 22 jeunes joueurs à l'OGC Nice, seulement deux ont posé problème. Parce qu'il y avait filiation, on parlera toujours de pistonnés. Les autres ont pu progressers ans épée de Damoclès au-dessus de la tête." L'été 2015, le coach a ajouté Vincent Koziello dans son collectif. "Il avait repéré son intelligence, sa faculté à couvrir les deux surfaces" se souvient Wathelet. "Dans un 4-4-2 en losange magnifique, Claude a parfaitement su gérer et utiliser le talent de Ben Arfa" ajoute Guy Mengual.

Peu importe si Jean-Michaël Seri s'affirme en pure révélation dès sa première saison, son coach le recadre devant tout le groupe lorsqu'il évoque son rêve d'évoluer un jour au Barça dans un entretien à L'Equipe. "Il a maintenu son groupe sous pression toute la saison, veillé à ce qu'aucun joueur ne sorte du cadre" avance Franklin Mala, l'agent du milieu ivoirien. "C'est ce qui a permis l'adaptation rapide de Mika et l'épanouissement de tout le collectif."

Khazri ne lâche pas l'affaire pour Cahuzac

14/04 14:35
Image
 

Yannick Cahuzac met l'actuel numéro 10 des Verts dans son "onze parfait" concocté pour France Football. "Quelqu'un qui sort du Sporting club de Bastia. Un joueur qui a fait étape par étape. Il a encore de belles années devant lui. C'est un bosseur, un joueur de talent" explique le miloeu de terrain lensois.

Image
 

Subotic romantique

14/04 11:29
Image
 

Auteur d'une saison très correcte (19 matches, 1 pion) avec le promu Union Berlin (actuellement 11e de Bundesliga), l'ancien défenseur stéphanois Neven Subotic s'est confié la semaine dernière à la chaîne Deutsche Welle. Extraits.

"Malgré la grave crise sanitaire, sociale et économique que nous traversons tous, je suis dans une situation de luxe. Je ne fais pas partie des groupes à risques, je n'ai pas à m'inquiéter des pertes économiques et heureusement j'ai un réfrigérateur plein. J'ai conscience que c'est un luxe parce que ce n'est pas le cas pour des millions de personnes en Allemagne.

Je commence mes journées par du fitness, si je ne bougeais pas il me manquerait quelque chose. Après je m'occupe de ma fondation. Nous avons dû nous adapter à la situation et développer des plans pour les collaborateurs. De plus, nous sommes bien sûr en contact étroit avec nos partenaires en Éthiopie. Il y a actuellement une trentaine de cas officiels de Covid-19 qui ont été confirmés. En conséquence, mes journées sont principalement axées sur du travail sans rapport avec le sport.

Les huis clos ? En tant que footballeur, je suis fondamentalement très motivé et compétiteur, je veux gagner les matchs. Voilà pourquoi je joue au football. Mais je pense que nous verrons très rapidement que le football vit principalement des supporters. Ce qui rend le football spécial, c'est la culture des supporters. Leur regrettable absence aura un impact sur le jeu.

Les clubs sont des entreprises et poursuivent principalement des objectifs financiers. Tout le système est basé là-dessus, je n'en suis pas fan. Je suis un romantique. Il y a tellement d'argent dans le football, beaucoup de gens en profitent. Des mesures vont être prises suite à la crise sanitaire mais ce qui m'inquiète, c'est qu'on reviendra ensuite à la situation où on vendra des joueurs pour des centaines de millions. Le foot est tellement lucratif...

La situation actuelle doit nous encourager à faire preuve de davantage de solidarité. Si un joueur ne voit que son intérêt, refuse toute baisse de salaire et veut toucher le maximum, ce n'est pas solidaire. S'il va voir son employeur et accepte de renoncer à une partie de son salaire, c'est solidaire. Mais les clubs doivent également faire des efforts et être solidaires, ne pas regarder que leurs propres intérêts."

Genghini, plus Bleu que Vert

14/04 09:55
Image
 

Ancien milieu de terrain des Bleus, Bernard Genghini évoque sans s'attarder son unique saison sous le maillot vert (10 pions en 41 matches en 1982-1983) dans la dernière édition de Nice-Matin. Extraits.

"La disparition de Michel Hidalgo m'a bien sûr beaucoup affecté. Il était un peu précurseur, il aimait le football offensif. Il aimait les beaux joueurs, la technique. Il aimait voir du jeu, c'était son plaisir... et le nôtre aussi ! J'ai connu une belle et invraisemblable épopée avec Sochaux. Je me souviens notamment de notre exploit sous la neige contre l'Eintracht Francfort grâce à un doublé de Patrick Revelli. A Saint-Etienne ça ne s'est pas très bien passé mais j'ai retrouvé un football qui correspondait mieux à mes qualités en Principauté. J'étais entouré de gros joueurs et de jeunes comme Amoros, Bellone, Bravo, Puel..."

Youssouf roi du dribble

14/04 09:16
Image
 

Optus Sport a dévoilé aujourd'hui une stat surprenante : Zaydou Youssouf est le meilleur joueur de L1 au pourcentage de dribbles réussis cette saison (85,7%). Dans les cinq grands championnats européens, seul l'attaquant de Sheffield United Billy Sharp fait mieux (86,7%) !

Platoche était dans son (KB) jardin

14/04 08:55
Image
 

Ce mercredi soir à 20h30, la Pravda rediffusera sur sa chaîne (canal 21 de la TNT) le France-Yougoslavie du 19 juin 1984. L'occasion de revoir le magnifique triplé victorieux que Michel Platini avait réalisé ce soir-là pour fêter son retour à Geoffroy-Guichard.

Trauco trop cancre

14/04 08:29
Image

 

Selon la dernière édition de France Football, Miguel Trauco fait partie des cancres de la L1 cette saison (4,35 de moyenne au classement des étoiles). Seuls six joueurs de l'élite sont moins bien notés par l'autoproclamée "bible du football" que le latéral péruvien : les Toulousains Steven Moreira (4), Efthymios Koulouris (4,05), Issiaga Sylla (4,14), le vilain Thiago Mendes (4,24), le Phocéen Valère Germain (4,29), le Grenat Stoppila Sunzu (4,31). On aura noté que Ryad Boudebouz (4,45) et Max Gradel (4,42) font également partie des 20 plus gros flops de la saison de L1 selon l'hebdomadaire.

Dugarry tacle les dirigeants stéphanois

14/04 07:59
Image
 

Comme le rapporte le site Girondins4ever, Christophe Dugarry a encore taclé les dirigeants stéphanois hier sur RMC.

"Je ne voulais pas que certains Présidents se servent de cette crise pour gommer leurs erreurs. C’est ce qui se passe avec le Président Eyraud. Si le championnat ne reprend pas, ce n’est pas la faute des joueurs. Ils doivent participer à l’effort, d’accord. Mais c’est la faute à ce virus, si le club a des difficultés, c’est la faute des Présidents qui ont donné des salaires trop importants à certains joueurs. Les joueurs peuvent baisser de 50% leur salaire s’ils veulent, par contre ce que je ne veux pas c’est que médiatiquement il ne faut pas faire un procès aux joueurs s’ils ne veulent pas le faire. Comme par hasard, les trois clubs qui marronnent le plus, c’est Bordeaux, Marseille, et Saint-Etienne. Comme par hasard. Et il y a des raisons pour lesquelles ils marronnent, c’est parce qu’ils ont tous mal travaillé, depuis plusieurs mois maintenant. Ils travaillent mal, et ils essayent de se refaire sur le dos des joueurs."

Curko a confiance en Roro et Nanard

14/04 01:10
Image
 

Exceptionnel il y a 44 ans pile-poil lors du match nul et vierge à Eindhoven synonyme de qualification pour la finale de Coupe d'Europe des Clubs Champions, Ivan Curkovic commente la situation de l'ASSE dans la dernière édition de la Pravda. Extraits.

"L'AS Saint-Étienne ne mérite pas ce classement. Après, c'est souvent comme cela, quand les résultats ne suivent pas. Certains problèmes surgissent entre les gens, notamment de communication, et tout se mélange. Or, dans une telle situation, il faut que chacun travaille dans son domaine, sans rentrer dans celui des autres. Il faut voir s'il existe une bonne entente au club, au niveau des dirigeants, des joueurs... Pareil dans l'administration. Saint-Étienne a la capacité de revenir sur le bon chemin. Mais si on le laisse comme ça, il n'y a pas de fin. Le club peut, va, exploser. J'ai déjà connu ça, il y a presque quarante ans. Le président, Roger Rocher, était un homme exceptionnel. Mais à un moment, il est devenu un peu faible dans ses décisions et il a laissé d'autres prendre le pouvoir. Saint-Étienne doit tirer les leçons de certains cafouillages de ces années.

La pyramide existe dans toutes les sociétés. Y compris dans un club de football. Et au sommet, il y a le président. L'homme le plus important, le numéro 1, c'est lui. Celui qui doit prendre les bonnes mesures pour stopper la dégringolade. J'ai confiance en Roland Romeyer. Je le respecte beaucoup et je lui adresse tous mes compliments pour son travail et son dévouement. Il a la capacité de redresser le club. Comme Bernard Caïazzo. Après, il n'intervient pas dans le domaine sportif. Le plus difficile, c'est pour l'entraîneur. C'est lui qui effectue les choix techniques. Ghislain Printant, je le connais peu. Il possédait une certaine expérience, mais il a rencontré un problème : il a eu beaucoup de blessés. Si un entraîneur n'est pas capable de rétablir une situation, il faut en changer. Il faut aussi que Saint-Étienne trouve le problème, en faisant une analyse juste.

Claude Puel a décidé de remplacer Stéphane Ruffier par Jessy Moulin. Cela m'a surpris, car je pensais que Ruffier était blessé. C'est un garçon qui a beaucoup de mérite. Je ne sais pas ce qui se cache derrière cette décision. Ruffier a-t-il abandonné ? A-t-il un problème avec l'entraîneur ? Moulin était-il plus méritant ? Il me semble qu'il s'agit d'un malentendu pas tout à fait lié au terrain. Ce que je vois, c'est que Moulin se montre très solide, également. Saint-Étienne, c'est mon club. Il reste dans mon coeur. Mais ne parlons pas de L2. Malgré cette dégringolade, il y a cette qualification pour la finale de la Coupe de France. C'est très positif. J'ai regardé la demi-finale contre Rennes. Les joueurs ont montré qu'ils peuvent faire mieux qu'en Championnat, où ça ne marche pas. Ils ont beaucoup donné pour la Coupe. Il faut que l'ambition redevienne saine et normale."

Finale(ment) fin juillet ?

14/04 00:51
Image
 

La Pravda de ce mardi évoque la programmation incertaine de la finale de Coupe de France qui opposera les Verts au QSG.

"La Ligue envisageait avant l'allocution présidentielle de la faire jouer le 11 juillet, mais en l'état elle se disputerait alors sans spectateur, Emmanuel Macron ayant déclaré que "les évènements avec du public nombreux ne pourront se tenir au moins avant-mi-juillet". Il est question de trouver une place pour la finale de Coupe de France dans la dernière quinzaine de juillet. Avec du public au Stade de France."

Comme nous l'avions indiqué le 3 avril dernier, la date du 18 juillet a été envisagée mais la dernière édition du quotidien sportif confirme que la Ligue Nationale de Rugby espère organiser la finale du Top 14 ce jour-là.

 

La réserve reléguée ?

13/04 23:53
Image
 

Comme l'avait annoncé Ouest-France hier et comme le confirme la Pravda ce soir, le comité exécutif de la FFF devrait entériner ce jeudi l'arrêt définitif de tous les championnats amateurs cette saison.

Comme la Fédé a écarté le 3 avril dernier l'idée de toute saison blanche, l'équipe réserve de l'ASSE, actuellement avant-dernière de son groupe de National 2, sera sauf miracle reléguée en National 3.

Que les instances prennent en compte le classement présent ou uniquement la phase aller, la bande à Razik Nedder est dans la charrette.

Hey, Iglesias !

13/04 21:06
Image
 

Le capitaine clermontois Jonathan Iglesias a évoqué les Verts au détour d'une intervew publiée aujourd'hui sur le site Balon Latino.

"Est-ce que j'ai déjà affronté des stars ? Pas vraiment des stars mais des joueurs connus, oui, contre Saint-Etienne. L'ambiance là-bas est géniale."

Pour rappel, le mileiu de terrain uruguayen n'a pas eu l'occasion d'affronter les Verts dans le Chaudron mais au stade du Viouzou d'Espaly-Saint-Marcel (Haute-Loire) le 13 juillet dernier en match de préparation (1-1).

 

La finale programmée le 11 juillet ?

13/04 17:04
Image
 

Sur son site, la Pravda a divulgué cet après-midi le calendrier que la LFP envisage d'adopter pour finir la saison.

"La LFP prévoit un redémarrage de la Ligue 1 le mercredi 17 juin, avec la 29e journée. Ensuite, les journées s'enchaîneraient tous les trois jours, à un rythme accéléré, pour une fin de saison fixée au samedi 25 juillet. Il resterait alors une semaine pour les barrages avec la L2 qui doivent offrir la dernière place en L1. La finale de la Coupe de la Ligue, entre le PSG et l'OL, est programmée le samedi 27 juin et celle de la Coupe de France, entre Paris et Saint-Étienne, le samedi 11 juillet."

Le quotidien sportif ajoute que la Ligue qu'on adule travaille sur un scénario moins plausible qui ferait redémarrer le championnat dès le 3 juin (la finale de Coupe de France resterait dans ce cas fixée au 11 juillet).

Bocanegra a adoré être détesté

13/04 14:58
Image
 
 
Dans l'émission Le Beau jeu diffusée aujourd'hui et à écouter ici, Carlos Bocanegra a évoqué sa verte saison (2010-2011).

"J'ai vécu une expérience extrordinaire à l'ASSE. Le Chaudron était incroyable. J'avais entendu dire que Saint-Etienne était une grande équipe avec de nombreux supporters dans tout le pays. Les Verts ont gagné plein de titres, Platini et beaucoup d'autres joueurs sont passés par là. Lors des matchs à domicile, le soutien des fans était incroyable. Partout où on se déplaçait, les supporters adverses nous détestaient. Que ce soit à Lyon, à Paris, à Marseille... Je trouvais ça plutôt cool, j'avais la sensation de jouer pour un grand club. J'ai joué avec Blaise Matuidi et Dimitri Payet, des joueurs de classe mondiale. Je garde des souvenirs très forts du derby."

Pour rappel, l'ancien défenseur américain des Verts était titulaire lors de l'inoubliable 100e derby de l'histoire et il avait ouvert le score au match retour.

Non à une reprise prématurée et à huis clos !

13/04 13:32
Image
 

Les Green Angels font partie des 45 groupes de supporters qui ont publié aujourd'hui un communiqué commun contre une reprise prématurée et à huis clos, dénonçant les dérives du foot business et incitant les instances à reverser aux clubs ou aux secteurs qui en ont besoin les 600 000 € d'amendes infligées cette saison pour usage de fumis.

La finale contre le PSG programmée ce samedi soir !

13/04 11:32
Image
 

Le QSG a annoncé aujourd'hui sur son site officiel qu'il rediffusera ce samedi à 21h00 la finale de Coupe de France du 15 mai 1982 sur ses comptes Youtube, Twitter et Facebook

El Gato fait du bateau

13/04 10:43
Image
 

Dans La Provence, Jean Castaneda (63 ans) a évoqué hier ses vertes années avant de parler de ses occupations de retraité. Extraits.

"J'ai joué 360 matches avec les Verts mais j'ai quitté l'ASSE pour l'OM en 1989 car j'étais en délicatesse avec l’entraîneur de l’époque. J’étais en fin de carrière, je ne savais pas trop quoi faire. Gérard Gili m’a appelé, le challenge m’a intéressé. Je me disais qu’un autre club croyait encore en moi.

Marseille c’était le Marseille étoilé, avec des ambitions, un Bernard Tapie virevoltant qui apportait sa pêche et son enthousiasme pour ce sport. C’était une aventure que j’avais envie de vivre. C'est une fierté d'avoir porté les maillots des deux clubs français les plus emblématiques.

Je vis à Istres depuis une dizaine d’années. Depuis quelque temps, j’ai une nouvelle passion, le golf. Je joue, en temps normal, à Miramas, Saint-Martin de Crau, aux Baux de Provence… J’ai un bateau aussi. Je m’occupe, j’ai pas mal de terrain, je jardine, on va dire que je ne m’ennuie pas."

Maupay a blessé Puel

13/04 09:39
Image
 

Selon la dernière édition de Nice Matin, l'obstination de Claude Puel à vouloir faire jouer ses fils aura conduit à sa perte chez les Aiglons. Extraits.

"Son fils Grégoire, ailier replacé au poste de latéral, suscite les crispations. "Un garçon adorable, mais ses lacunes et les compositions tactiques destinées à le protéger l'ont pénalisé" soupire un ex-coéquipier. "On en parlait beaucoup entre nous mais personne n'osait le faire avec le coach" avoue un autre joueur. Puel ne comprend pas les critiques, ne les accepte pas et en veut à tous ceux qui osent mettre en doute son honnêteté. Au club, personne ne comprend son obstination mais personne n'osera lui dire qu'il fait fausse route. Manu Pirès sera écarté de l'équipe réserve en raison d'un différend avec Puel au sujet de Paulin. Maupay, qui avait fracturé le tibia de son coach suite à une frappe contrée, s'accroche physiquement avec Grégoire. La vente du buteur prometteur à Saint-Etienne incarne l'inflexibilité de Puel.

A l'Allianz, la famille Puel essuie des sifflets. A Charles-Ehrmann, le père est agressé avec un énorme godemichet en plastique après le 5-0 subi à Saint-Etienne. Le président Rivère craque et affirme qu'il en a marre d'avaler des couleuvres. Les langues se délient et Julien Fournier prend ses responsabilités. Il se rend dans le bureau de Puel pour lui annoncer la résiliation du contrat de Grégoire. La mâchoire crispée, Puel brise le crayon qu'il tenait dans ses mains, de rage. Fournier craint l'affrontement physique mais la colère du coach reste froide. Ses rapports avec les dirigeants seront alors "virils mais corrects" dixit Fournier. "Il aime la castagne mais résumer son passage à Nice à cette histoire serait beaucoup trop réducteur" poursuit JF.

Le DG assure avoir tranché en faveur de Lucien Favre en s'opposant à l'intégration du second fils de Paulin dans l'effectif pro. Puel tombe alors de haut. Encore aujourd'hui, il affirme le contraire et jure plutôt avoir refusé une prolongation d'un an après une concertation en famille. Un ultime désaccord qui résume les coulisses de ce mandat qui aurait pu durer bien  plus que quatre ans. "Puel aurait dû avoir une statue à Nice. A cause de ses fils, il a eu le goudron et les plumes" estime un ancien proche."

Caïazzo et l'effet ciseau

13/04 08:49
Image
 

Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, Nanard s'inquiète à nouveau des répercussions économiques du Covid-19 sur les clubs de l'élite. 

"Les clubs phares de la Ligue 1 sont confrontés à un effet ciseau. Il est provoqué par des droits télé sur la notoriété en attente et une masse salariale XXL, pouvant représenter jusqu'à 60 % des charges. Pour eux, les mesures de chômage partiel n'ont pas amorti le choc, laissant un reste à charge colossal après la participation de l'État (5 400 € net). "On n'entend pas se plaindre, mais nous sommes plus impactés que les autres secteurs, c'est un fait", affirme Bernard Caïazzo, le président de Saint-Étienne. C'est vrai, mais il faut nuancer. Car le régime de l'indemnisation chômage n'engendre pas la même imposition, offrant aussi des exonérations de charges non négligeables."

Jessy l'a amusé, Allan l'a agacé

13/04 07:46
Image
 

Retourné vivre à Auxerre où il est conseiller en solutions digitales, Jean-Pascal Mignot évoque ses vertes années (2011-2014) dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Le plus grand regret de ma carrière est de ne pas avoir assez longtemps réussi à Sainté. Je me serais vu plus dans ce club. On était bien en famille. On avait un groupe extra, c’est d’ailleurs ça qui nous a permis de gagner la Coupe de la Ligue. Avec du recul, je me dis que j’aurais peut-être pu mieux gérer ma fin dans le Forez.

Jessy Moulin est un boute-en-train. Il était toujours très concentré sur le terrain mais avait cette distance pour amuser, quoi qu’il arrive, la galerie. Quand j’ai perdu ma place à l’ASSE, on était remplaçants tous les deux. On a passé des matchs entiers à être mort de rire sur le banc de touche, jusque sous la douche.

Alllan Saint-Maximin avait un talent incroyable mais était irrespectueux. Je n’admettais pas que l’on manque de respect sur le terrain. Il se foutait des gens. Il était toujours dans la provocation. Comme on a un peu un devoir d’éducation quand on est un joueur confirmé, je lui ai mené la vie dure à l’entraînement."

 

 

 

Dieu futur DS ? (3)

12/04 19:30
Image
 

"Avec Loïc, on a beaucoup évoqué ensemble le sujet de la reconversion. A priori, ça devrait être plutôt hors du terrain parce qu’il a cette posture un peu différente, cette sagesse, cette hauteur qu’il dégage. Il fait ce que j’ai fait, le DUGOS avec l’UNFP. C’est le Diplôme Universitaire de Gestion des Organisations Sportives" a rappelé Jérémy Clément dans une interview mise en ligne aujourd'hui par Dessous de Verts.

"Loïc est quelqu’un de réfléchi, il prépare son avenir. Je ne me fais pas trop de souci pour lui car c’est une icône à l’ASSE donc forcément on trouvera quelque chose pour lui. C’est une personne compétente, qui connaît des choses, qui s’intéresse. Il est intelligent, il s’exprime bien, il connaît bien le haut niveau" ajoute l'actuel milieu de terrain berjallien au sujet de son ancien coéquipier stéphanois.

Pour rappel, le capitaine des Verts a une clause de reconversion dans son contrat avec l'ASSE. Il se verrait bien directeur sportif, comme il l'avait confié à France Bleu en avril 2018 puis au Progrès en février 2019.

Piat dit chiche à Nanard !

12/04 19:13
Image
 

Président de l'UNFP (syndicat des footballeurs professionnels), Philippe Piat fait une alllusion à notre inénarrable Nanard dans une interview à paraître demain dans Le Monde. Extraits.

"Si certains joueurs ont des salaires importants, ce n’est pas forcément parce que les clubs veulent les faire jouer, mais parce qu’ils veulent constituer des actifs financiers. C’est le péril numéro 1 du foot. Ces contrats de travail alimentent le trading joueurs, qui devient un élément essentiel et déséquilibre les budgets des clubs. Comme maintenant les budgets des clubs sont basés de manière anormale là-dessus, cette vente entraîne aussi une inflation des salaires. Pour pouvoir réaliser une plus-value miraculeuse dans la vente d’un joueur, les clubs sont obligés d’augmenter de manière substantielle les salaires des joueurs pour que ces derniers acceptent de prolonger leur contrat et ainsi d’être sous contrat au moment de la transaction.

Les chaînes Canal+ et BeIN Sports ne souhaitent pas pour l’instant verser les sommes qu’elles devraient verser, ce qui constitue donc un problème de trésorerie important pour les clubs dans les mois à venir. Ce premier élément entraîne un deuxième élément sous-jacent, que les clubs ne veulent pas trop mettre en avant, par crainte des réactions : si les joueurs ne jouent pas en mai, juin ou juillet, les clubs auront des difficultés à vendre les joueurs aux prix auxquels ils aimeraient les vendre. Le coronavirus met en avant deux choses : l’importance de la masse salariale et celle du trading joueurs. ll ne faut pas s’occuper de l’un sans s’occuper de l’autre.

Le président d'Amiens Bernard Joannin souhaite l'instauration d'un plafond salarial ? Je dis chiche ! Comme avec son ami le président de Saint-Etienne, ils veulent aller sur ce terrain-là en faisant une comparaison avec des sports aux Etats-Unis, où c’est comme cela que cela se passe. Ils oublient juste un tout petit truc : aux Etats-Unis, on ne vend pas les joueurs. Donc pourquoi pas mettre un salary cap dans le football français, mais dans ce cas, les clubs ne pourront plus vendre leurs joueurs (…). Des clubs de Ligue 1 déclarent déjà leur crainte de se retrouver au bord du dépôt de bilan. Or, pour certains leurs finances se trouvaient déjà dans un état désastreux avant que le virus n’apparaisse..."

C'était jouissif pour Jérémy !

12/04 18:46
Image
 

Dans le dernier numéro de Dessous de Verts à écouter intégralement ici, le milieu de terrain et formateur berjallien Jérémy Clément a replongé dans ses vertes années. Extraits.

"Christophe Galtier et Stéphane Tessier [ancien DG de l'ASSE, ndp2] m’ont convaincu de venir à Sainté en 2011. Le projet était sympa, les joueurs aussi et ça me rapprochait de Grenoble. Le courant est bien passé avec Christophe, je connaissais Loïc. Il prenait des roustes quand j’étais à l’OL ! (rires) On s’était affronté quand on était jeune et on a le même agent [ndp2 : David Venditelli]. C’est Christophe qui a façonné son groupe à partir de cet été-là. Il voulait des joueurs qui avaient connu la L1, des joueurs d’expérience, des mecs avec un certain été d’esprit. Il a pris des joueurs qui avaient cette même culture de gagne.

Christophe Galtier est un bon meneur d’homme, un bon manager. Il a été capable pendant plusieurs années de se réinventer. Avec un groupe pour certains qu’il avait depuis longtemps, ce n’était pas facile. Mais sa force, c’est qu’il est capable de s’adapter, d’évoluer. C’était vraiment agréable de travailler à ses côtés. C’était un plaisir. On s’est revu cet été à un mariage, on a le même agent. C’était sympa de se revoir, d’échanger, de ne plus avoir ce côté joueur / entraîneur.  

L’aspect humain fait partie des éléments de la réussite qu'on a connue. Il y avait des joueurs intéressants, des joueurs qui ont éclos : je pense à Aubame la première année, à Max la deuxième. L’esprit de groupe qu’on avait à ce moment-là était forcément une grande force. On était des joueurs compétiteurs, on s’entendait bien. Mais ce n’était pas facile de nous avoir quand même. Si vous demandez à Christophe, il vous dira que ce n’était pas facile de nous entraîner (rires) mais on a fait de bonnes saisons.

Je retiens du positif de mon expérience à Sainté. C’était de belles années. J’ai rencontré de belles personnes à tous les niveaux, que ce soit les joueurs, l’entraineur, les supporters, le staff médical, même ma grave blessure au final. Je pense aussi à mon chirurgien. C’est tout ce monde que j’ai côtoyé pendant six ans qui me fait dire que c’était une belle aventure humaine. Pour moi c’est toujours un plaisir à Sainté, forcément d’aller au stade, de revoir les gens, les amis que j’ai là-bas, de passer pas loin de là où j’habitais. Je suis assez nostalgique de cette période-là.

Est-ce que j’étais au sommet quand je me suis blessé ? C’est vrai que c’était l’année où je me sentais le mieux. Plusieurs personnes, des coéquipiers qui m’en ont reparlé après, m’ont dit que c’était dommage que je me sois blessé à ce moment-là. J’avais 29 ans, on dit souvent que c’est la force de l’âge. Je n’ai toujours pas revu les images de ma blessure. J’avais déjà gagné une finale de Coupe de la Ligue avec Paris. Si ça n’avait pas été le cas, j’aurais vraiment eu une grosse déception de ne pas pouvoir la jouer avec Sainté. Mais là je l’ai bien vécu, c’était super pour tout le club.

J’ai fait de gros efforts pour revenir de blessure mais je ne pense pas être revenu à mon meilleur niveau. Je suis revenu à un niveau convenable qui m’a permis de rejouer quand même un petit peu. J’avais besoin de me fixer une échéance pour revenir, c’était essentiel pour mon mental. Mon objectif était d’être là pour la première journée de championnat, c’était le deal qu’on avait convenu avec Christophe. Un protocole a été mis en place pour que je sois là à la reprise. On a tenu nos engagements.

Mon histoire à Sainté ne s’est pas très bien finie, c’est comme ça. Je préfère garder les bons souvenirs. A la fin ça s’est mal passé mais on ne va pas refaire le passé. De toute façon, c’était la fin d’une aventure. Christophe et moi, c’était la fin. Au club il fallait des nouvelles personnes, de nouveaux joueurs, des nouveaux visages. J’avais refusé de partir avant, ça a été compliqué. Après je pense que chacun a ses torts, peut-être que moi j’en ai. Le club en a. C’est dommage que ce soit fini comme ça mais je ne suis pas quelqu’un de rancunier. Je n’en veux pas aux personnes, les histoires d’amour ont parfois des hauts et des bas. Il y avait l’aspect économique, chacun a défendu son bifteck. Cela n’enlève rien à l’affection que j’ai pour ce club.

J’ai du mal à retenir une seule image marquante de mes six années en vert, j’en ai pas mal en tête. Notamment les deux matches qu’on a gagnés aux tirs au but contre Paris et Lille. Sortir une équipe aux pénos, ça met toujours un peu plus d’émotions. Je me souviens aussi du match gagné contre Montpellier sur la neige. J’ai aussi le souvenir de matches où j’avais l’impression que rien ne pouvait nous arriver. C’était incroyable ! On en reparlé récemment avec Fabien Lemoine : on entrait sur le terrain et on savait qu’on allait gagner. Quand t’arrives à avoir cette assurance, c’est jouissif !

La finale de Coupe de France entre les Verts et le PSG sera sympa à regarder. J’ai joué dans les deux clubs mais j’ai une préférence pour Sainté. Les Parisiens ont tellement gagné de coupes qu’ils ne m’en voudront pas que mon cœur penche pour Sainté. Les Verts, c’est un club qui marque et qui ne laisse pas indifférent. Quand t’as joué à l’ASSE, forcément après t’as un œil bienveillant sur ce club. Le plus important, c’est de ne pas faire le match avant. Une finale, ça reste un match de foot. Sainté sera outsider, n’aura rien à perdre. Il faudra jouer à fond, tout donner pour ne pas avoir de regrets. Ils ne peuvent que rentrer dans l’histoire.

On a Kouyaté, on aura Konaté ?

12/04 14:09
Image
 

Comptant cette saison dans ses rangs le très moyen Ivoirien Aboubacar Sidiki Kouyaté (14 matches disputés avec la réserve de Razik Nedder avant-dernière de N2), l'ASSE s'intéresse selon le site Planète Sports Mali à un autre défenseur central : le Malien Mohamed Konaté (1m88, 17 ans), qui n'a aucun lien de parenté avec l'attaquant sénégalais d'Amiens naguère convoité par Sainté Moussa Konaté. Bordeaux, Toulouse, Benfica, Porto et Guimarães seraient également sur le coup.

 

Partager