Razik Nedder nous a livré sa réaction après la victoire arrachée par la réserve dans le temps additionnel contre Limonest sous les yeux d'Eirik Horneland.

"Il y a eu deux mi-temps. Une première où on a plutôt maitrisé notre sujet. Je nous ai trouvés bons dans l’intensité, dans la capacité à tenir le jeu. On n’a pas réussi à scorer sur cette mi-temps. J’ai trouvé la deuxième un peu moins bonne quand même, avec des joueurs puissants en face. Je nous ai trouvés beaucoup moins disponibles à l’intérieur du jeu. On est une jeune équipe, ils en croquent une ou deux dans la sortie de balle en début de deuxième. Du coup automatiquement tu te mets un peu plus à trembler. Je nous ai trouvés moins à l’aise dans nos sorties de balle alors que tout roulait. Il faut que nos jeunes joueurs comprennent que ce n’est pas parce qu’on en croque une qu’il faut perdre son football. Il faut qu’on garde cette exigence-là. On bat Bourgoin, on bat Limonest, ça prouve qu’on est une bonne équipe.

On avait deux matches de moins que tout le monde. Le classement faisait un petit peu peur quand même mais on sait que sur les deuxièmes parties de saison souvent on est meilleurs. On gagne aujourd’hui, si on gagne le match en retard à Chamalières le week-end prochain, on va se donner de l’air. On était encore très jeune aujourd’hui avec des 2008, des 2007 titulaires, ce n’est pas anodin. Je trouve qu’on fait un bon match, on a vu une vraie équipe. Même quand c’était moins bien sur la seconde mi-temps, je nous ai trouvés quand même solides, solidaires et bagarreurs à l’image de ce que l’on veut voir aussi.

Issiaka Touré a été performant, c’est ce que l’on demande aux plus vieux. C’est un 2004 qu’on avait un peu secoué à la trêve car j’avais trouvé qu’il n’avait pas été décisif sur certains matchs. Il l’a été aujourd’hui. Issiaka est un gardien qui a du potentiel mais il a encore beaucoup, de boulot. Il faut souligner surtout la prestation des plus jeunes dans un week-end comme ça où il y a beaucoup d’absents, beaucoup de joueurs au repos. Les jeunes ont pris le relais. Je pense à Luan Gadegbeku dans le cœur du jeu, c’est un 2007 qui a fait une très belle prestation.

C’est un 6^e match de championnat consécutif sans défaite, ça fait 8 en tout avec le Challenge Espoirs. Notre dernière défaite, c’est ici contre Clermont il y a plus de deux mois et demi. Mais on voit que la poule est serrée, tous les mal classés ont gagné hier à part Clermont. Et toutes les équipes de haut de tableau ont perdu. Cela montre le chemin qu'il reste à parcourir pour aller chercher le maintien."

Sous Arnaud Nordin (en instance de transfert) mais avec Wahbi Khazri (titulaire), le MHSC a renversé le TFC au Stadium alors qu'il n'avait pas pris le moindre point hors de la Mosson depuis le début de saison...

Les protégés de Jean-Louis Gasset et Ghislain Printant cèdent la lanterne rouge au Havre (défait à domicile par le Stade Brestois de Mahdi Camara), reviennent à 2 points du barragiste rennais et à 3 points de l'ASSE (15e) et Nantes (14e), les Canaris ayant arraché l'égalisation contre les vilains grâce à l'ex-futur buteur stéphanois Mostafa Mohamed.

Après 19 journées, les Verts ont donc l'avant-dernière attaque (18 buts marqués), l'avant-dernière défense (39 pions encaissés) et l'avant-dernière place au classement des équipes à l'extérieur (2 points pris en 10 matches loin de GG).

Seul le Stade Rennais a réussi l'exploit de prendre encore moins de points que Sainté hors de ses bases à ce stade assez avancé de la saison (un seul, à Francis le Blé, en octobre dernier). On compte sur lui pour conforter son statut de plus mauvais voyageur lors de son prochain déplacement programmé à GG le 8 février...

Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur la chaîne youtube de l'ASSE : malmenée par le 3e Limonest et sauvée à plusieurs reprises par un impérial Issiaka Touré, la réserve a arraché la victoire ce dimanche à Aimé-Jacquet grâce à un but marqué par Kenzo Kies sur une superbe ouverture de Kévin Pedro à la 91e minute.

Fort de ce court mais très précieux succès, la réserve dépasse Chassieu-Décines (à la différence de buts) et revient à la hauteur d'Espaly (premier non relégable). Les Verts auront donc l'occasion de quitter la zone rouge dès samedi prochain lors de leur match en retard à Chamalières. En cas de victoire dans le Puy-de-Dôme, ils remonteront même à la 7e place !

La compo : Touré - Pedro, Kinunga, Ndiaye, Makhloufi (Nzuzi, 78') - Gadegbeku (J.Mouton, 85'), Fall, Cateland (Eymard, 57') - Agesilas, Othman, Kies.

Battus à l'aller par les Crocodiles, les U17 ont battu Nîmes 2-1 en début d'après-midi sur le terrain synthétique Georges-Bereta.

Les Verts ont ouvert le score dès le premier quart d'heure sur un centre de Noham Aini repris d'un plat du pied imparable par l'athlétique avant-centre Daniel Epanya. Maël Massé a ensuite arrêté un pénalty concédé par Rayan Aït Amer mais a dû s'incliner au mitan de la premièr mi-temps. Sonnés pendant 5 minutes par cette égalisation, les Stéphanois sont repartis de l'avant en jouant souvent dans le dos des pistons des mistons.

En seconde période, il y a eu un quart d'heure de box to box, avec beaucoup de fautes, beaucoup de jeu hâché, beaucoup de verticalité... Les Verts ont dominé la dernière demi-heure sans se procurer pléthore d'occasions. L'ASSE a inscrit le but victorieux juste avant le dernier quart d'heure sur une action similaire à l'ouverture du score : passe de Noham Aini pour Daniel Epanya. Ce dernier a raté de peu le triplé en fin de match, Ilyès Mansouri ayant aussi manqué une grosse occase dans le temps additionnel.

La compo : Masse - Teillol, Mnemoi, Kasia, Lengue - N.Mouton, Aït Amer, Traoré (Mansouri, 46') - Aini, Epanya, Toty (Nativoha, 66').

Les Verts profitent de ce succès pour consolider leur statut de leaders. Ils comptent désormais 7 points d'avance sur leur plus proche poursuivant (Moanco) et 8 sur le 3e (Nice, battu à La Duchère). Lors de la prochaine journée, Sainté recevra la très faible Jeunesse Sportive Ajaccienne, qui vit un véritable calvaire : 0 point en 17 matches avec une différence de buts de - 76 !

La réaction de David Le Moal : "C'était un match plutôt âpre, avec beaucoup de duels, beaucoup d'engagement. Déjà à l'aller on s'était fait un peu secouer mais cette fois on a mieux répondu à ce défi physique. On n'a pas beaucoup d'équipes comme ça dans le championnat, plutôt matures et agressives. Notre première période a été assez bonne dans les intentions de jeu. Le début de seconde période, ça allait d'un camp à l'autre mais ensuite on a eu davantage de maîtrise, on a retrouvé du jeu combiné."

Ce dimanche, à midi, les Verts, forts de leur victoire le week-end précédent face à Nice, se déplaçaient à Rodez avec la possibilité de se rapprocher du trio de tête (Toulouse, Marseille et Montpellier) face à des Ruthénois avant-derniers avant le match.

Las, comme vous avez pu le vivre en direct sur notre forum grâce au potonaute Stéphanois, les garçons de Fred Dugand se sont inclinés sévèrement 0-3 en Aveyron.

Même s’ils ont eu la possession du ballon, les Verts (très remaniés par rapport au match face à Nice pour cause de convocation de nombreux joueurs avec la réserve), étaient menés 1-0 à la mi-temps et ont encaissé 2 buts supplémentaires en 2^nde période, sanctionnés sur un coup franc et des erreurs individuelles. Les Verts ont fini à 10, l’entrant Meite ayant pris un rouge à un quart d’heure de la fin.

La composition : Houngbo Civier – Achour (Konte 55e), Dodote, Camara, Boukadida, Grillot (Ben Rahem 55^e) - Tatuszka, Depalle, Zerga (Meite 65e)- Cheikh, Mimoun.

La réaction du coach Fred Dugand : « on a fait un match très poussif, ça n’allait pas assez vite dans les enchaînements, on a ronronné. Je ne dis pas que les garçons ont manqué d’envie, mais on n’a pas su emballer le match, on aurait pu jouer toute la journée sans marquer. Rodez mérite sa victoire. Au vu de ce qu’on a produit, on a manqué de supplément d’âme de supplément de talent. Je suis déçu pour les joueurs.

Ce n’était pas du tout la même équipe que contre Nice, beaucoup de joueurs jouent avec la réserve, mais ça fait partie de la formation, l’équipe peut varier du tout au tout d’un match à l’autre mais les joueurs présents doivent remplir les cases. »

Fan de l'ASSE donc lecteur de Poteaux Carrés, le Stéphanois Serge Maida nous informe qu'il vient de se lancer sur Airbnb où il propose un studio cosy "Allez les Verts" situé 13 rue François Albert, proche de la gare de Châteaucreux, à 10 minutes du Chaudron via la ligne T3 du tramway.

Dans la chambre verte, vous l'aurez compris, pas de photo de François Tuffaut, de Nathalie Baye ou de Jean Dasté mais un maillot Manufrance, un poster de la mythique équipe de 1976, le 45 tours de Monty, une couette verte, des chaises vertes, une écharpe de l'ASSE, des bouquins sur les Verts.

Entraîneur du FC Lorient, leader de L2 (avec 3 points d'avance sur Metz et le Paris FC) après avoir battu 3-2 hier soir le Clermont Foot de Laurent Batlles malgré la passe décisive de Kader Bamba, l'ancien milieu de terrain stéphanois Olivier Pantaloni s'est confié aux lecteurs du Télégramme avant cette rencontre. Extraits.

"Ajaccio, que j’ai fait monter à deux reprises en L1 (2011 et 2022), était une voiture de rallye, alors que Lorient est presque une Formule 1 aujourd’hui. L’espoir d’y arriver est donc beaucoup plus important. C’est la première fois de ma carrière que je dispose d’un groupe avec autant de talents. À Ajaccio, on avait moins de marge de manœuvre financièrement, donc on était très attaché à l’état d’esprit des joueurs que l’on recrutait. Ici, il y a la qualité en plus, donc je suis très optimiste quant à l’issue de la saison.

C’est un championnat très disputé, qui va se jouer entre 5 ou 6 équipes. Il n’y a pas de match facile en Ligue 2. L’important pour nous est de trouver une régularité dans nos performances et nos résultats. On ne se projette pas très loin quand on fait un métier comme le mien ! L’objectif qu’on m’a fixé est de faire remonter le FC Lorient dès la première année. Si je n’y arrive pas, il y aura logiquement des sanctions. Mais si on y arrive, continuer avec le club serait un énorme plaisir pour moi.

Avec les jeunes pros issus du centre de formation, il y a peut-être un peu plus d’indulgence, mais le niveau d’exigence est le même à l’entraînement. Sinon, cela pourrait nous être reproché par les joueurs plus expérimentés. Rentrer dans un vestiaire professionnel doit rester un privilège. Les mentalités évoluent et les cadres sont un peu plus souples, mais à mon époque les jeunes devaient montrer patte blanche, porter les chaussures et les ballons, ramasser le matériel après la séance. Cela avait du bon ! Aujourd’hui, les jeunes joueurs ont tendance à se croire arrivés quand ils signent leur premier contrat pro et qu’on n’a plus rien à leur apprendre. Il faut souvent les faire redescendre un peu sur terre.

Ce que je pense du fait que de plus en plus de femmes sont abonnées au FC Lorient ? C’est grâce à moi, ça ? (rires). Qu’il y ait de plus en plus de femmes qui viennent au Moustoir et de plus en plus d’abonnés, c’est une bonne chose. En Espagne et Italie, c’est une tradition d’aller en famille au stade. Jusqu’à récemment, en France, le public était exclusivement masculin dans les tribunes. Les choses bougent positivement. Après, je vais être honnête, je ne suis pas un grand fan du foot féminin. Au niveau technique et au niveau du rythme, ça va moins vite. Mais je regarde cela avec un œil de pro, pas celui du public."

Devant moins de 200 spectateurs, les Amazones se sont imposées 2-0 hier sur le terrain du Stade de Reims en 8e de finale de Coupe de France. Dans la dernière édition du canard local (L'Union), l'entraîneur des Champenoises pointe l'arbitrage.

"Sur le but du break, notre gardienne arrive en première au ballon et il y a un contact à la tête. On peut penser que ça peut se siffler, d'autant plus qu'en première période on a un but refusé parce que leur gardienne est gênée pour intervenir. En deuxième mi-temps Julie Swierot et Hawa Sangaré ont été déséquilibrées dans la surface. Il n'y a aucune raison ni pour l'une ni pour l'autre de tomber, parce qu'elles ont pris l'avantage sur leur défenseure. Il y a de la frustration..."

L'ancien défenseur stéphanois Patrick Guillou (54 ans) revient sur le match des Verts à Auxerre dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Dans l’approche comptable, le point du nul permet d’avancer au petit trot. Rencontre insipide, possession stérile, match fade. Un contenu vidé de sa substance. Sans dynamisme, sans génie et sans coup d’éclat. L’esprit de groupe masque le petit rythme et la cadence insuffisante. Le déchet technique ne permet pas des situations de déséquilibre. Face à un groupe auxerrois hyper regroupé dans l’axe, pas d’effet de surprise.

Trop stéréotypé et monocorde. Pas de dépassement de fonction. Trop de retenue dans les situations d’un contre un offensif. Fin 2024, les Verts auraient perdu ce match. Pour le coach norvégien, le bilan après 4 matches correspond aux attentes du Board (5 points/12 ; 4 fois mené au score ; 0 clean sheet). Progression individuelle (pas pour tous) et progression collective (en fonction des situations). Le bond au classement se fera plus tard."

Les résultats du soir ne sont pas favorables à la réserve. C'est en position d'antépénultième et relégable qu'elle recevra ce dimanche à 15h00 le prétendant à la montée Limonest (3e à 3 petits du leader en ayant avec un match en retard à jouer samedi prochain à domicile). Chassieu-Décines a piqué la 11e place (sur 14 équipes) aux Stéphanois en renversant ce samedi le Thonon-Evian-Genève de Killian Le Roy. Premier non relégable, le FC Espaly de Lionel Vaillant compte lui aussi 3 points d'avance sur les Stéphanois après avoir dominé 2-0 grâce à une passe décisive de Mathis Mezaber le 2e Mâcon malgré les efforts de Jerrold Nyemeck .

Dans cette poule très relévée et décidément impronosticable, Hauts Lyonnais, qui a laissé sa place de lanterne rouge à la faible réserve clermontoise, est revenue à 3 points des protégés de Razik Nedder grâce à sa victoire sur le terrain du leader berjallien ! Si l'ASSE se retrouve dans une situation délicate, n'oublions pas que les jeunes Verts comptent un match en retard ! Le déplacement à Chamalières, initialement programmé le week-end dernier mais reporté à cause de la météo, a été replanifié au samedi 1er février à 18h00.  De quoi espérer voir les Verts s'extirper de la zone rouge ?

L'ASSE est toujours 14e ce soir et le restera demain si les Canaris perdent contre les vilains à la Beaujoire. Les Verts devancent en effet d'un point le Stade Rennais, qui s'est logiquement incliné ce samedi à Monaco sur un score (3-2) qui aurait pu être bien plus lourd.

Alors que les protégés d'Eirik Horneland sont toujours entreprenants dès l'entame malgré leurs lacunes techniques, ceux de Jorge Sampaoli ont attaqué leur match à Louis-II la peur au ventre, comme l'a déploré Seko Fofana à l'issue de la rencontre. "Il va falloir trouver des solutions parce qu'on est dans une situation d'urgence. Il faut réagir. On commet beaucoup d'erreurs, il y a un manque de personnalité. Parfois, la meilleure défense, c'est l'attaque. Il ne faut pas entamer les matches en ayant peur. Certains joueurs manquent de confiance, il faut jouer. Si on veut gagner, à un moment donné, il faut se mettre au niveau..."

Attendus le 8 février dans un Chaudron qui s'annonce chaud bouillant avec le retour des 2 kops, le Stade Rennais tentera d'abord de réagir le week-end prochain au Roazhon Park face au Racing Club de Strasbourg. Pas une mince affaire quand on sait que les Alsaciens ont renversé ce soir le LOSC. Prochains adversaires des Verts (le samedi 1er février au Roazhon Park), les Dogues n'avaient plus perdu en L1 depuis leur défaite à Geoffroy-Guichard, ont cédé ce soir à la Meinau malgré l'entrée en jeu de Rémy Cabella, qui a raté une balle d'égalisation.

Déjà défaits il y a 3 jours à Anfield, les Lillois, trois jours avant d'accueillir Sainté, recevront en Ligue des Champions la très bonne équipe de Feyenoord, au repos ce week-end après avoir battu le Bayen 3-0. Aux Verts de profiter de leurs jours de récupération en plus pour décrocher enfin leur premier succès à l'extérieur de la saison à Pierre-Mauroy !

Habitant désormais près d'Arles et jouant en deuxième division de district sous le maillot de l'Olympique Fourquésien (Gard), Nolan Roux (36 ans) évoque ses vertes années dans la Pravda.

"Le joueur le plus fort avec lequel j'ai joué ? Eden Hazard. De par sa carrière et le talent qu'il avait déjà. J'étais un tout petit peu plus âgé, mais c'était déjà impressionnant. Je signe à Lille et, deux-trois jours après, on joue contre Saint-Étienne (3-0, le 28 janvier 2012) à domicile. Je marque deux buts et il me fait la passe décisive sur le deuxième alors que je pensais qu'il allait finir l'action seul. Il m'a vu et m'a super bien donné le ballon.

L'entraîneur que je ne veux surtout pas revoir ? Ça, c'est le moment un peu plus complexe (rires) ! À la fin de ma 2e saison avec Sainté, on perd 4-0 contre Marseille alors que je ne suis pas dans le groupe et, le lendemain matin, j'ai rendez-vous avec Christophe Galtier et le bras droit du président. On m'annonce que j'ai une demi-heure pour enlever mes affaires du vestiaire et que je n'ai plus le droit de venir au centre d'entraînement. J'ai l'impression de passer devant un tribunal. Ils ont justifié leur décision par le biais d'une réduction d'effectif. Pour un joueur qui n'a jamais fait de mal à personne, sur le moment, ça m'a assez marqué. Ça ne veut pas dire que je n'aimerais pas recroiser la ou les personnes en question, mais je ne m'attendais pas au coup qu'on m'a fait. Et je ne le trouvais pas justifié.

Mon plus gros fou rire ? J'étais bon public et friand de ça, j'en ai donc eu énormément ! On jouait à Old Trafford contre Manchester United et lors de la reconnaissance terrain j'en ai eu un avec Jessy Moulin. J'ai encore les preuves ! On s'est pris en photo devant les tribunes un peu floues, sans voir nos têtes, pour comparer avec les photos d'avant et ça nous a fait exploser de rire. C'est toujours tout bête, mais le moment présent, c'était ça : besoin de décompresser un peu avant un match. Encore aujourd'hui, quand on se renvoie les photos, on est morts de rire !"

Le gardien Léopold Dubanchet a eu fort à faire

Les U15 de Jean-Philippe Primard se déplaçaient cet après-midi chez les voisins de Roannais Foot 42 pour affronter les U16 de ce club partenaire. Le défi était de taille pour les jeunes Stéphanois, à commencer par l'aspect physique, puisque, à cet âge-là, une différence d'un an ça compte énormément. Et cela s'est vu sur le terrain, c'est d'ailleurs sûrement la raison principale de la victoire roannaise sur le score de 3 à 0. Une belle équipe de Roanne qui est en tête de sa poule régionale de promotion régionale et donc en lice pour l'accession en U17 nationaux !

Jean-Philippe Primard avait emmené un groupe restreint, du fait de quelques maladies ou bobos : c'est ainsi que manquaient à l'appel Timothé Ramalho, Djibrill Gacem, Lucas Dagbo, Roman Brouillat, Howard Cuozzi, Naël Dani, Titouan Jacob et Ben Adam Kissoum qui avait intégré les U16 de Kevin De Jesus. Le match s'est déroulé sur le format U16, à savoir 2 fois 45 minutes, alors que les U15 jouent habituellement en 2 fois 40 minutes. 

Le score était  de 1 à 0 au repos, score qui allait être alourdi à deux reprises en seconde période. 

La composition : Dubanchet - Demassieux, Tiambo, Dubien, Combier - Bensalem (Hadj Mebarek, 67ème), Hadj Mebarek (Fayolle, 45ème) , Thibaudat (Reynoudt, 45ème) - El Omari (Rogui, 67ème), Rogui (Bufferne, 45ème), Sercu (El Omari, 83ème).

La réaction de Jean-Philippe Primard : "Nous avons beaucoup souffert dans l'aspect athlétique. Nous avons pati de l'impact physique face à une bonne équipe de Roanne. En première mi-temps, nous avons eu quelques situations, nous avons existé face à un adversaire supérieur physiquement, nous avons réussi à ressortir proprement les ballons. Nous avons souffert après le repos atteint sur le score de 1 à 0. En deuxième mi-temps, je n'ai pas pu faire les rotations vu mon effectif, nous avons eu du mal à faire le jeu. Différence athlétique certes, mais nous avons toutefois manqué de justesse et précision technique pour compenser ce déficit physique. Le point positif, c'est que les jeunes n'ont pas abdiqué. Ils ont beaucoup couru, se sont accrochés, n'ont pas lâché mentalement et ont même mis le gardien adverse à contribution."  

Le buteur Tidiane Vibert

Les U16 de Kevin De Jesus ont rencontré cet après-midi, en match amical, leurs homologues de Clermont Foot, une belle équipe qui vise la montée en fin de saison afin de retrouver les U17 nationaux. Continuant leur belle série d'invincibilité, toutes compétitions confondues depuis le début de saison, les Verts ont concédé le match nul (1-1), résultat identique à la précédente confrontation amicale, le 31 août dernier (3-3) .

Ce sont les Clermontois qui ont ouvert le score à la 33ème minute. Les Stéphanois ont rapidement répliqué, six minutes plus tard, par un but de Tidiane Vibert, sur une passe décisive de Mathéis Piskor. 

La composition : R.Fuleki - Akil, N'Gindu (Assoumani, 84ème), Assoumani (Bagelli, 60ème), Jolivet (Marliac, 60ème) - Thouilleux, Kissoum (Royet, 60ème), Gary (Verhoeven, 60ème) - S.Fuleki (Roche, 60ème), Piskor, Vibert

La réaction de Kevin De Jesus : "Nous n'avons pas fait une bonne première mi-temps, ni un bon match globalement. Honnêtement, Clermont a présenté une belle équipe qui a confirmé le bon match amical du mois d'août et aurait mérité de l'emporter. Nous n'avons pas réussi à mettre les ingrédients individuels et collectifs qui auraient dû nous permettre le match que nous voulions faire. J'attends beaucoup plus de l'équipe pour confirmer pleinement les prestations que nous avons réalisées depuis le début de saison."

En début d'après-midi, les Amazones se sont imposées à Reims (2-0) en 1/8e de finale de la Coupe de France.

Grâce à un but dans chaque période (Bataillard, Caputo), elles ont joliment réagi après 3 défaites consécutives en championnat dont une (0-3) face aux Rémoises, tombeuses des Vilaines au tour précédent.

Le XI de départ de l'équipe de Laurent Mortel : Templier - Bataillard, Romanelli, Mayi Kith Tapia - Champagnac, Martinez, Cambot - Pierre Louis, Caputo, Lamontagne.

Pour l'instant, le PSG, Le Havre et Lille (D2) sont également qualifiés.

Pas exempt de tout reproche hier soir sur l'ouverture du score d'une équipe auxerroise peu entreprenante et à la peine depuis 2 mois (8 matches consécutifs d'insuccès), Dennis Appiah a livré sa réaction en zone mixte comme le rapporte Le Progrès.

"Ce n’est pas notre meilleur match depuis 2025, on a perdu des ballons qui les ont mis en confiance en transition. On est resté dans le match avec ce but. On est mieux en deuxième, il nous manque la dernière passe. Ils ont bien défendu le hors-jeu. On a des regrets, il y avait moyen de faire autre chose. On s’est battu, ce point va compter."

Comptant 6 points de retard sur les Verts avant de jouer demain à Toulouse le derby de l'Occitanie, le MHSC risque de perdre son joueur formé à l'ASSE selon la dernière édition de Midi Libre.

"Au moment où Akor Adams s'apprête à signer au FC Séville, Arnaud Nordin pourrait quitter Montpellier lors de ce mercato hivernal. L'ancien Stéphanois, suivi cet été par Lille, intéresse plsuieurs clubs allemands. Libre en juin prochain, le meilleur buteur de Montpellier (4 buts), qui a refusé plusieurs offres de prolongation héraultaises, s'inquiète pour son avenir immédiat et veut blinder la suite de sa carrière. "Il y a encore 10 jours d'incertitude pour des rentrants ou des sortants. Je savais quand je suis arrivé, et je l'ai accepté, que le club devait équilibrer les finances et le sportif. C'est un casse-tête chinois parce que c'est de partout dans l'équipe et en 10 jours encore, on peut avoir des surprises ou une offre mirobolante" résume l'entraîneur montpelliérain Jean-Louis Gasset."

Le FC Nantes a officialisé ce matin l'arrivée en prêt sans option d'achat du Strasbourgeois Saïdou Sow. Ayant choisi le numéro 24 en hommage à son ancien modèle Loïc Perrin, l'international guinéen formé à l'ASSE est selon Presse-Océan d'ores et déjà qualifié pour étrenner ses nouvelles couleurs dès demain contre les vilains. D'après ce quotidien régional, les Canaris ont d'abord tenté d'enrôler Maximiliano Caufriez (Valence) et Abakar Sylla (Strasbourg) avant de se rabattre sur le compatriote de Karim Cissé.

Antépénultièmes donc barragistes depuis hier soir suite au nul de Sainté à Auxerre, les Canaris resteront derrière l'ASSE demain s'ils perdent contre les vilains. Avant ce match en banlieue, Antoine Kombouaré est revenu en conférence de presse sur les deux points lâchés par son équipe le week-end dernier à Geoffroy-Guichard.

"On s'est encore fait rattraper. On en a beaucoup discuté cette semaine avec les joueurs. On a beaucoup trop subi en seconde mi-temps. On a beaucoup trop reculé. Pour avoir discuté avec les joueurs, inconsciemment, on s'est dit qu'on se sentait fort défensivement. Anthony Lopes n'a pas fait un arrêt ! Même après la pause, les Verts ont juste eu l'occasion de N'Guessan qui a tiré à côté. Tu te sens fort en défendant mais le problème, c'est que tu ne joues pas. Tu ne remontes pas les ballons, tu ne fais pas courir l'adversaire. Tu te dis que tu vas pouvoir gagner le match en défendant de cette manière-là parce que tu te sens costaud. On a travaillé toute la semaine en ce sens, ils doivent faire beaucoup mieux que ça avec le ballon. Tu défends bien quand t'as le ballon. Quand t'as le ballon, t'as pas besoin de défendre. La meilleure défense, c'est d'avoir le ballon et d'attaquer. C'est ce que l'on s'évertue à faire. A Saint-Etienne on s'est dit "les Verts ont quelques situations mais on n'est pas en danger."

Entraîneur du Hyères FC, leader de son groupe en National 2, Lilian Compan (47 ans) s'est confié à Var-Matin avant son derby programmé ce soir sur le terrain de Fréjus-Saint-Raphaël. Extraits.

"Mon exemple d’avant-centre, c’était Christian Vieri. Il avait tout : la puissance, le jeu de tête, la finesse technique... Il pouvait jouer en pivot ou prendre la profondeur. Mon modèle d’entraîneur ? J’ai eu la chance de côtoyer un panel de grands entraîneurs français assez différents les uns des autres. J’ai essayé de piocher dans chacun d’eux. Frédéric Antonetti pour ses analyses, Rolland Courbis pour sa capacité à motiver avec des causeries incroyables, Guy Lacombe pour la tactique ou Elie Baup pour sa faculté à être proche de son groupe. Sur le management, je suis moins directif qu’à mes débuts tout en ayant des idées bien définies. Avant je voulais tout gérer, aujourd’hui, je délègue plus. Avoir des gens de confiance et compétents à mes côtés aide aussi."

Après avoir claqué 11 pions en 42 matches joués l'an dernier sous le maillot des Newell's Old Boys, Ignacio Ramirez, qui fêtera dans une semaine ses 28 ans, a été prêté hier par le club argentin jusqu'au 31 décembre 2027 à Everton. Pas le club anglais basé à Liverpool of course mais le club chilien situé à Vina del Mar !

Lanterne rouge au coup d'envoi, Modern a décroché avant-hier son premier succès (1-0) de la saison de L1 égyptienne lors de la 9e journée aux dépens du Zamalek de Mahmoud Bentayg, qui n'a disputé que la dernière demi-heure de cette rencontre.

Prêté avec option d'achat par l'ASSE aux Chevaliers Blancs, le latéral gauche marocain de 25 ans a joué 13 matches toutes compétitions confondues (9 en tant que titulaire) depuis qu'il a quitté le Forez pour l'Egypte.

Dans L'Yonne Républicaine, le capitaine de l'AJA Jubal revient sur la piètre rencontre qui s'est déroulée hier à Auxerre.

"C'est dommage qu'on ait concédé l'égalisation juste avant la mi-temps car l'équipe était bien. On prend un point, on va avancer. On pense déjà au prochain match à Monaco [qui jouera 3 jours plus tôt contre l'Inter à Milan en Ligue des champions, ndp2]. On manque de justesse dans le dernier quart du terrain. Si on était plus propres techniquement, on pourrait avoir plus d'occasions. Mais on s'est bien battu contre une équipe de Saint-Etienne qui était sur une bonne dynamique. C'est dommage, on voulait la victoire. A la fin, on était un peu décu mais il faut garder ce que l'on a fait de bien. Il faudrait plus de maîtrise. On a déjà montré qu'on peut faire mal à toutes les équipes mais c'est vrai qu'en ce moment on est moins bien. On en a conscience, il faut travailler. C'est notre 8e match consécutif sans victoire, ça joue un peu dans les têtes."

Comme l'attestent les clichés de Furania Photos, beaucoup de fumis ont été craqués par les ultras stéphanois hier soir dans le parcage bien garni (862 supporters) de l'Abbé-Deschamps.

#AJAASSE pic.twitter.com/XHdGKhJa5Y

— Furania-Photos (@FuraniaPhotos) January 25, 2025

Le Progrès a recueilli les propos tenus hier soir à Auxerre par Florian Tardieu, entré en jeu dès la 59e minute à la place d'un laborieux Lamine Fomba.

"On mérite ce point du nul, on savait que ça allait être dur. Je crois que les Auxerrois n'ont perdu qu’un match à domicile [0-3 contre Monaco le 14 septembre dernier, ndp2]. Je suis content de notre réaction. On sait qu’avec le coach, tout est relancé, même si on avait moins de temps de jeu avec Lamine et Mathis. On essaie d’amener ce qu’on peut avec notre temps de jeu. On a joué un bloc bas, il va falloir le travailler. Aujourd’hui, il nous a manqué un peu de folie dans les derniers gestes."

Entraîneur d'une équipe auxerroise qui n'a plus gagné depuis 2 mois (soit 8 matches consécutifs d'insuccès), Christophe Pélissier a commenté en conférence de presse le médiocre match d'ouverture de la 19e journée qui s'est déroulé hier à l'Abbé-Deschamps.

"Il y a de la frustration. Je n'ai pas vu mon gardien faire un seul arrêt du match donc c'est frustrant de prendre ce but juste avant la mi-temps. On n'est pas attentif sur le second ballon, il y avait la place d'être devant à la mi-temps. La frustration vient aussi de notre déchet technique. On a été trop moyen. Il manque la petite étincelle, la réussite aussi avec le poteau de Sinayoko. Mais on sait que dans les moments où ça tourne moins bien, on n'a pas ce brin de réussite. On a au moins la volonté de faire les choses ensemble.

La justesse technique nous a fait défaut pour prendre les Verts à revers. On a eu pourtant de  bonnes situations mais on se crispe un peu avec le ballon, on est moins calme, moins lucide, ça amène du déchet. On gère moins bien le tempo du match. Il faut réussir à y remédier. On sait qu'on est programmé pour jouer le maintien. Il va falloir batailler jusqu'à la fin pour accrocher des points. On a donc la frustration de ne pas gagner, mais on se dit aussi qu'on continue d'avancer et qu'on laisse Saint-Étienne à 5 points de nous."

Après avoir concédé son 2e match nul consécutif, à nouveau contre un très moyen concurrent au maintien, Eirik Horneland s'est exprimé en conférence de presse.

"Je suis heureux de ce point. On aurait pu être meilleurs, on a eu du mal à maîtriser le rythme de ce match. On a dû changer des choses, notamment au milieu de terrain, avec des joueurs qui manquaient de temps de jeu. On a donc manqué de lien et de mobilité dans cet entre-jeu. On a essayé de trouver des relations, mais il a été difficile de se projeter dans le dernier tiers du terrain. Il a manqué quelque chose pour perturber la défense d’Auxerre. On a eu des moments forts où on aurait pu faire mieux, mais techniquement, on a manqué certains gestes. Mais on prend ce point, il est important pour nous. 

Dès le début, j’ai senti que nous n’étions pas très frais. Avec l’arrivée d'un nouveau coach, les joueurs doivent encaisser une nouvelle méthode, des séances différentes, d’autres demandes physiques et aussi mentales. Au fil des semaines, ils prendront la mesure physique et on sera de plus en plus frais à chaque rencontre. C’est frustrant de concéder ce premier but à chaque fois, mais la mentalité et l’état d’esprit de l’équipe sont au rendez-vous. Ces quatre derniers matches, le bilan reste bon. On a eu de bonnes phases de jeu, mais on manque de constance. Ça nous empêche d’aller chercher mieux. Il faut qu’on soit mieux organisés."

Dans la dernière édition de la Pravda, Zuriko Davitashvili parle de son ami néo-parisien Khvitcha Kvaratskhelia, qu'il défiera dans 2 gros mois dans le Chaudron lors de la 27e journée de L1 juste après la trêve internationale qu'ils passeront ensemble pour une double confrontation contre l'Arménie les 20 et 23 mars en Ligue des Nations. Extraits.

"J’avais 10 ans quand j'ai connu Khvitcha Kvaratskhelia. On a joué dans beaucoup de clubs ensemble. La première fois, c’était à l’académie du Dinamo Tbilissi. Par la suite, on s’est séparés, avant de se retrouver au Rubin Kazan, puis au Dinamo Batoumi et en sélection, maintenant. Nous sommes très proches. Nos familles aussi. Khvitcha est le parrain de mon fils. C’est comme un frère pour moi.

À mon avis, c’est l’un des meilleurs ailiers gauches au monde. Quand nous avons un moment de vacances, on en profite pour beaucoup jouer, notamment à la PlayStation 4, à FIFA. Je le prends comme joueur et je gagne tout le temps ! Mais bon, il apprend à jouer à ce jeu vidéo et parfois il gagne. On choisit Real-Barça, ou Liverpool, ou Manchester City, on a déjà joué aussi avec le Paris-SG. Mais le plus souvent, c’est moi qui gagne.

J'ai  hâte de l’affronter en Ligue 1 le week-end du 29-30 mars. Je vais tout faire pour le battre. Nous avons beau être très proches dans la vie, une fois sur un terrain, on laisse ça de côté. Chacun joue pour son équipe. Nous avons déjà vécu cette expérience une seule fois, en Russie. Je l’avais reçu avec Arsenal Toula, quand il évoluait au Rubin Kazan. Maintenant, on va pouvoir voir ce que cela va donner l’un contre l’autre en France."

Au terme d'un match de piètre qualité, Auxerrois et Stéphanois se sont séparés sur un match nul 1 but partout ce soir à l'Abbé-Deschamps en ouverture de la 19e journée de L1.

Eirik Horneland avait choisi d'aligner un milieu de terrain Ekwah - Amougou - Fomba en l'absence de Mouton et Bouchouari. Devant, Boakye était récompensé de son but contre Nantes par une titularisation aux côtés de Stassin et Davitashvili.

Malgré la possession de balle, les Verts (en doré affreux) se faisaient surprendre par les contres auxerrois. Une première fois, Larsonneur était sauvé par son poteau avant que Traoré ne se joue d'Appiah pour enrouler sa frappe dans le soupirail du gardien vert (1-0, 24e)

Les Verts ne parvenaient pas à réagir autrement que sur CPA. Sur un bon coup franc obtenu avant la mi temps, Davitashvili trouvait les gants de Léon qui relâchait sur Boakye. La frappe de la recrue estivale était déviée par le gardien auxerrois sur son défenseur. Le ballon rebondissait sur Léon avant d'arriver sur la tête de Stassin, seul à 2 mètres du but vide et qui égalisait (1-1, 45e).

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— Vids ASSE (@asse_vids) January 24, 2025

 En 2e mi-temps, les Verts étaient gênés par le pressing haut des Auxerrois et ne parvenaient pas à trouver des opportunités. Les deux équipes se quittèrent finalement sur ce score nul qui arrange un peu tout le monde.

Les Verts remontent temporairement à la 14e place. L'AJA est 11e et garde 5 points d'avance sur l'ASSE.