Clément encense Galette

05/03 14:17

Dans une interview accordée au Figaro pour promouvoir son livre Pour le plaisir à paraître le 10 mars aux éditions Amphora, Jérémy Clément encense à nouveau Christophe Galtier.

"Mes relations avec lui n'ont pas été toujours super bonnes (rires) mais il avait compris comment je fonctionnais. Je raconte dans le livre la fois ou je lui explique que je me suis emmerdé durant sa séance, devant tout le monde, et la manière dont il a réglé le problème. Il aurait pu me sanctionner dès le lendemain pour l'avoir pris à partie devant tout le monde. Or, pas du tout, Il a été très fort en me convoquant pour me dire qu'il comprenait que j'avais voulu m'exprimer pour le groupe. On a réglé ça tous les deux. Christophe Galtier est un entraîneur très fin dans son analyse des joueurs, avec un management exceptionnel. Sa capacité d'analyse de la situation est unique. J'ai eu une relation sincère et honnête avec lui.

Les résultats parlent pour lui, non ? Que ce soit à Saint-Etienne avec nous, Lille, ou Nice, il réussit partout. À Sainté, on avait un budget de milieu de tableau et on était régulièrement européen. Sur le management, j'ai lu quelques livres, notamment sur Carlo Ancelotti, je n'ai pas assez d'éléments de comparaison avec d'autres coaches mais il a une capacité à faire en sorte que les gars sont toujours concernés, à les impacter dans des causeries super fortes, à faire comprendre aux joueurs pourquoi met untel ou untel sur le banc. Il peut être dur, piquer, c'est vrai, mais il sait le faire quand c'est nécessaire, au moment où il faut, en en évaluant le risque de voir le joueur plonger ou au contraire, rebondir."

Quand Anto a vu Geoffroy marquer un but

05/03 11:55

Sourire aux lèvres, Fred Antonetti est revenu sur le but de Damien Bridonneau qui a offert le titre de L2 aux stéphanois en 2003 - 2004

 

Avant de se faire Gastien, Dupraz s'était payé Gourcuff

05/03 10:25

Bien avant de se faire Pascal Gastien, l'actuel entraîneur des Verts s'était payé il y a neuf ans un autre apôtre du beau jeu qui l'avait débiné, comme le raconte aujourd'hui l'ancien attaquant de l'ETG Yannick Sagbo dans Le Républicain Lorrain.

"Pascal Dupraz, c'est un entraîneur avec de la poigne, qui sait faire passer ses messages. J'ai eu des embrouilles avec lui mais c'était pour mon bien. Je me remémore ses discours bien tranchants. Je me souviens de la demi-finale de Coupe France qu'on avait gagné 4-0 avec Evian contre Lorient. Avant le match, Christian Gourcuff avait dit qu'on était une équipe qui balançait, qui ne jouait pas au foot. On a mangé du Gourcuff toute la semaine, Dupraz ne parlait que de lui. Résultat : 3-0 pour nous à la mi-temps. Au final, on a gagné 4-0 et il criait "Et alors, le pofesseur du football ?" On était mort de rire et Gourcuff était dégoûté !"

En marge d'un Rennes-Toulouse, Pascal Dupraz s'était à nouveau payé Christian Gourcuff trois ans et demi plus tard dans un entretien accordé à Eurosport. "Il existe une grande différence entre Gourcuff et Guardiola : Guardiola gagne des trophées. Gourcuff, l’apôtre du beau jeu ? Je savais que le foot était né en Angleterre, je ne savais pas qu’il était né à Lorient..."

Anto aime le peuple vert

05/03 09:32

Privé de cinq joueurs demain après-midi à Geoffroy-Guichard (Fabien Centonze, Matthieu Udol, Habib Maïga, Vincent Pajot et Lenny Lacroix), Frédéric Antonetti s'est exprimé hier en conférence de presse comme le relaye aujourd'hui Le Républicain Lorrain. Extraits.

"Est-ce que ce match est un tournant ? Est-ce que c’est un tournant ? Tous les matches désormais, sont des tournants. Il en reste douze et 36 points en jeu. Si on gagne à Saint-Étienne, c’est très bien, il faut continuer. Si on perd, il faut continue quand même... Il y a un match à jouer avec l’ambition d’être bien organisé, discipliné et de poser des problèmes à notre adversaire. Parce qu’on pose des problèmes à tout le monde ! Mais on n’est pas assez efficace dans le domaine offensif. Être solide est une condition nécessaire pour se maintenir. Il fallait régler ce problème. Maintenant, il faut résoudre un autre souci, plus difficile : se créer un peu plus d’occasions et être plus efficaces. Il faut améliorer nos faiblesses et garder nos atouts. On est toujours dans le coup et on va essayer de se maintenir.

Je pense que notre principal problème, c’est la confiance : on ne se lâche pas. On n’y va pas parce qu’on a peur de se faire contrer. Peut-être que si on était plus haut au classement, on oserait plus, on tenterait plus. C’est de notre faute si on est dans cette situation. Les Verts ont redressé la barre parce qu’ils ont réussi à gagner des matches 1-0 ou à retourner des situations en fin de match. C’est un bon exemple à suivre. On va jouer devant près de 35 000 spectateurs à Geoffroy-Guichard mais on a joué devant 65 000 personnes à Marseille et on a fait un bon match. Personnellement, je suis toujours content de jouer dans des stades pleins. En plus, j’ai de très bons souvenirs de ce public stéphanois même s’il ne nous a pas toujours ménagés. C’est un vrai public de football qui est derrière son équipe."

Nanard fête ses deux ans d'absence

05/03 09:18

La Pravda du jour publie tout un article sur notre inénarrable Nanard. Extraits.

"Bernard Caïazzo fête un curieux anniversaire, ce samedi. Cela fait deux ans jour pour jour, et la demi-finale de la Coupe de France face à Rennes, qu'il n'a plus mis les pieds à l'AS Saint-Étienne. Il en reste pourtant son copropriétaire majoritaire avec Roland Romeyer. Mais s'il garde "une passion intacte pour les Verts et le football depuis soixante ans", il préfère désormais le mot  "actionnaire" à celui de "président".

"Je ne vis plus en France pour des raisons de choix de vie, à 68 ans", confie-t-il. Parti en Thaïlande juste avant le premier confinement, Caïazzo a ensuite séjourné aux Seychelles, au Qatar, avant de s'installer depuis plus d'un an à Dubaï, aux Émirats Arabes Unis. Estimant qu'il lui reste "peut-être dix bonnes années à vivre", il a décidé de s'éviter "tout facteur de stress".

A Saint-Étienne, il est décrété persona non grata. À commencer par Romeyer, avec lequel il ne s'entend plus du tout depuis la nomination de Puel. C'est lui qui l'a choisi pour succéder à Ghislain Printant. Caïazzo, qui oeuvrait pour un retour de Jean-Louis Gasset, a contre-attaqué en offrant à Puel le poste inédit chez les Verts de manager général, secondé dans la coulisse par Xavier Thuilot. Or, Romeyer avait promis le poste de directeur général à Samuel Rustem, stadium manager.

La brouille entre les deux présidents étant actée, chacun gère désormais son pré carré à distance. Bien que toujours président du directoire, Romeyer a délégué la gestion du club à Jean-François Soucasse. Quant à Caïazzo, il préside les conseils de surveillance par visioconférence. Il agit de même lors des réunions du comité de pilotage du directoire (copil) du lundi ou pour les réunions du jeudi. Elles concernent la vente du club, sur laquelle il garde la main.

S'il s'en défend, il aimerait revenir dans son club. Son envie cause d'ailleurs bien des soucis à la préfecture de la Loire. À la moindre annonce (discrète) de son retour, elle met aussitôt un dispositif de sécurité en place. Pour rien. À chaque fois, Caïazzo fait volte-face. Ce qui agace Catherine Séguin, la préfète. À la longue, son absence a eu raison de son influence sur le club. Depuis l'inauguration du "mural" dédié à la mémoire du Sphinx,, on peut lire sur une plaque à l'entrée de l'Étrat : "Fresque dévoilée en hommage à Robert Herbin par Roland Romeyer, Président de l'ASSE, en présence de la famille Verte". Les absents ont toujours tort et à Saint-Étienne, ils n'existent déjà plus.

L'intronisation d'un nouveau triumvirat à la tête de l'ASSE mi-décembre (Jean-François Soucasse, président exécutif, Loïc Perrin, coordinateur sportif, et Samuel Rustem, directeur général adjoint en charge des activités sportives) a accentué sa mise à l'écart. "Cette organisation donne entièrement satisfaction et ma présence n'est pas utile", constate-t-il. Y compris dans la corbeille présidentielle du Parc des Princes, samedi dernier. Tandis que le trio y siégeait, Caïazzo s'est contenté d'une place en loge..."

Biancarelli fana de Dupraz

05/03 08:57

André Biancarelli se réjouit d'avoir retrouvé à Sainté Pascal Dupraz, avec qui il avait déjà collaboré à Toulouse. Dans la dernière édition du Républicain Lorrain, l'entraîneur des gardiens stéphanois ne tarit pas d'éloges sur le coach de l'ASSE. Extraits.

"Il a un optimisme de folie. Il ne se met pas en avant, il privilégie l'unité, l'esprit du groupe. Il manage avec le coeur. Quand il commence à percevoir des attitudes qui ne sont pas dignes de notre métier, ça peut l'irriter. Il a sa manière d'être, toujours juste. Au TFC, il a marqué son monde par une causerie devenue légendaire, avant un match décisif pour le maintien à Angers. Je me souviens de l'émotion que j'ai pu ressentir et je pense que les joueurs ont ressenti la même. Un moment donné, il dit à Michaël Debève : "J ene sais pas pourquoi, je sens un pied gauche. Va me me chercher Bodiger !" Et c'est ce joueur qui nous a délivrés en marquant du pied gauche."

Le travail paie trop pour Pétrot

05/03 08:36

S'ils s'imposent demain après-midi contre les Grenats, les Verts repasseront devant les Merlus, mangés 4-1 par les vilains en match d'ouverture de la 27e journée malgré les efforts de l'ancien défenseur stéphanois Léo Pétrot. Titularisé pour la 13e fois de la saison en L1, celui qui fêtera dans un mois ses 25 ans s'est confié à Ouest-France avant la rencontre. Extraits.

"Avant mon match à Lens à la fin de l'été, je n'avais jamais joué en pro.  Depuis six mois, j’apprends. Il y a une belle évolution, notamment dans l’approche des matches, même si j’ai encore beaucoup de choses à travailler pour progresser. Comme dans les sorties de balle, les uns contre uns ou dans la capacité à faire ressortir le bloc plus rapidement. Il faut toujours croire en soi, le travail paye toujours. Après ma signature à Lorient, je suis rapidement monté avec le groupe pro. J’ai vite été dans le bain. Je n’ai donc pas eu le temps de me poser des questions. J’ai essayé de m’adapter, de tout donner parce que tout va très vite dans le foot.

Mais il faut rester les pieds sur terre. C’est un grand changement, il y a beaucoup d’attentes, de médiatisation, de supporters, même si l’approche reste la même qu’en National 2. En passant de deux saisons tronquées en N2 à la Ligue 1, je n'ai pas eu peur de ne pas être au niveau parce que même si c’était compliqué avec l’arrêt des championnats, on a toujours très bien travaillé avec Andrézieux. On avait une bonne base de travail. Mais c’est sûr qu’entre le N2 et la L1, au début, c’est compliqué. Les crampes arrivent assez tôt dans le match. Il faut s’accrocher. Le corps prend le rythme petit à petit, et ça va mieux.

Je ne pensais pas que ça irait aussi vite, que j’allais franchir des caps aussi rapidement. Tant mieux, parce que j’ai encore d’autres objectifs. Le maintien, tout d’abord, et continuer de jouer en Ligue 1. Je connais mes qualités, mes objectifs et le travail que je fais au quotidien pour y parvenir. Avec Saint-Etienne et Andrézieux, j’avais tout le temps l’habitude de jouer, même d’être capitaine. J’ai toujours été un leader naturel, sans forcer les choses, même si je suis quelqu’un de très calme, posé, humble. Néanmoins, sur le terrain, c’est autre chose ! On est là pour se battre et tout donner.

Je n'ai pris aucun carton jaune. C’est assez rare pour un défenseur ?  J’aurais pu en prendre un pour ma main et le penalty contre Brest, à l’aller. C’est un choix de l’arbitre. Mais j’ai toujours eu l’habitude de ne pas faire beaucoup de fautes. Est-ce que c’est bien ou pas ? On sait qu’il faut parfois faire des fautes « intelligentes »… J’essaye en tout cas de défendre proprement, c’est ce qui me caractérise.  En tant que Stéphanois, est-ce toujours particulier d’affronter l’Olympique Lyonnais, forcément, surtout quand on a joué des derbies étant jeune. Lyon est une grande équipe de Ligue 1. Mais désormais, je suis Lorientais, le derby, c’était la semaine dernière contre Brest."

 

Hognon est chez lui à Nancy

04/03 22:16

Entraîneur du GF38 (19e de L2), Vincent Hognon s'est confié à L'Est Républicain avant de défier la lanterne rouge nancéienne demain soir lors de la 27e journée de L2.

"Ce retour à Marcel-Picot sera particulier pour moi. J'ai commencé ma carrière de joueur à l'ASNL et je suis revenu ici pour entamer mon parcours d'entraîneur. C'est chez moi ! Franchement, ça me fait bizarre de ne plus habiter à Nancy. Je sais que je risque de recevoir un accueil hostile de part des ultras nancéiens qui me reprochent mon passage à Metz. Il n'y a qu'une minorité de supporters qui raisonnent de cette manière mais c'est cette minorité qu'on entend. C'est comme ça, je ne peux rien y faire. Je ne suis pas parti comme un voleur. Je n'ai pas choisi de quitter l'ASNL, je me suis fait virer ! J'aurais aimé rester sur le banc de l'ASNL et m'inscrire dans la durée comme Pablo a su si bien le faire mais ça n'a pas été possible puisqu'on m'a limogé. J'avais le besoin et l'envie de continuer ma carrière d'entraîneur. Il y a eu cette opportunité d'aller à Metz et je l'ai saisie. Je pense que la majorité du public à Picot le comprend bien. Je n'ai jamais craché sur l'ASNL et je ne le ferai jamais."

 

Un Savoisien tacle les consultants

04/03 21:25

Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, Pascal Dupraz glisse un tacle aux consultants.

"Je suis extrêmement légaliste. Il y a une histoire pour nous et un traité d’annexion qui n’a pas été respecté. Je suis Français bien sûr, mais je suis Savoisien, surtout. Nous sommes le dernier pays colonisé par la France. Mais on peut être attaché à ses terres et ne pas être vindicatif, belliqueux, dangereux, fou ou xénophobe. Je suis tout sauf ça. Je suis juste amoureux de mes terres et fier d’être né sur ce sol-là.

Ce qui me gêne c’est le consultant. Sous prétexte qu’ils ont été d’illustres joueurs, ce qui reste à prouver, ils font leur talk-show. Bien souvent, ils ne voient pas tous les matches, ce n’est pas possible. Ça me gêne. Ces mecs-là n’ont jamais mis un survêtement pour s’occuper d’une équipe, ne serait-ce que des gamins. Si vous saviez le temps que j’ai passé sur un terrain de foot… Se faire donner la leçon par des consultants qui n’arrivent bien souvent pas à aligner deux mots l’un derrière l’autre. Quelle tristesse…"

So long Maryan !

04/03 15:52

Nous avons appris aujourd’hui le décès de l’ancien vert et international français Maryan Wisniewski (à gauche sur la photo). Arrivé l’été 1964 à Sainté juste après le 2ème titre, il en partira après deux saisons, juste avant le 3ème titre (1967).

Demi-finaliste de la Coupe du monde 1958 avec les Bleus, il a effectué la plus grande partie de sa carrière à Lens.

En 48 matchs de championnat pour Sainté, l’ailier droit a marqué 12 buts (dont 10 lors de la seule saison 1965-66).

Bouanga du Hamouma en lui !

04/03 14:26

C'est l'étonnante déclaration faite par Pascal Dupraz en conférence de presse aujourd'hui. Il a ainsi décrit l'auteur du but vert (et d'une partie remarquable) au Parc samedi dernier : "Denis doit être le futur Romain Hamouma de l'ASSE. Il a des qualités incroyables. Des qualités Champions League, mais j'avais l'impression qu'il ne les exploitait pas."

Le coach a également évoqué le profil et la progression de Lucas Gourna : "Le mot qui lui sied le mieux c'est la maturité. Il est mature sur le terrain et il percute. Il reste des améliorations à faire sur des appuis encore lents." Succédant à Dupraz sur l'estrade quelques minutes plus tard, Gourna a donné son point de vue : "Je pense que je suis dans les temps. Je ne pense pas être en avance. j'ai encore une marge de progression. Le coach veut que je fluidifie mon jeu. Je prends exemple sur nos grands joueurs Wahbi et Kolo."

 

Galtier s'est excusé auprès de Payet

04/03 14:08

Après les incidents à Nice lors de la réception de l'OM, Dimitri Payet - touché par des projectiles venus des tribunes - a reçu des excuses de la part de son ancien entraîneur à Saint-Etienne comme il l'a confié à la Pravda :

"La deuxième fois, non seulement j'ai été touché par la bouteille, plus brutalement que la première, mais, mentalement, ça a été encore plus difficile. Parce que c'est une deuxième fois, parce que j'avais l'impression d'être coupable d'avoir arrêté le match et qu'on banalisait quelque chose qui n'était pas banal. Pendant plusieurs semaines, il y avait chaque week-end des arrêts de match à cause de violences ou de jets de projectiles. Je me suis dit : si les décideurs ne prennent pas leurs responsabilités, c'est à nous, joueurs, de les prendre. Ces images-là, je ne veux plus les voir. J'ai eu du soutien, malheureusement pas assez à mon goût. Les seules excuses sincères que j'ai reçues sont venues du coach Galtier avec qui j'ai des relations particulières... (Il a été son entraîneur à Saint-Étienne.) Aucun joueur de Nice n'est venu me voir, ni le président. À Lyon, pareil. Au contraire, ils incitaient à venir rejouer le match ! On a essayé de parler à nos supporters pour que cela n'arrive plus, notamment avant un Clasico, et je trouve que le dernier s'est très bien passé, hormis le mec qui est entré sur le terrain. (Il sourit.) Je préfère ça à des jets de projectile. On doit montrer l'exemple et prendre des décisions pour laisser ça derrière nous. C'est un combat qui me tient à coeur."

Des absents mais de l'espoir avant Metz

04/03 13:55

Pascal Dupraz a donné un aperçu des forces en présence pour le choc de bas de tableau contre Metz dimanche. Romain Hamouma (poignet), Saïdou Sow (cheville), Yvann Maçon (genou) et Enzo Crivelli (adducteurs) sont forfaits. En revanche, Bakary Sako et Wahbi Khazri devraient pouvoir être remis pour la rencontre. 

Concernant Yvann Maçon, le coach a précisé que l'arthroscopie du genou s'était bien passée et qu'il espérait pouvoir le revoir sur les terrains avant la fin de saison.

 

Aujourd'hui porté aux nues, il changeait les chiottes à l'ONU

04/03 08:27

Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, Pascal Dupraz nous rappelle qu'il a bossé pour l'ONU. Extraits.

"Un jour, on me propose de jouer pour le club de Gaillard. Je voulais m’amuser alors j’ai dit oui. Le président travaillait à l’ONU et me dit : “Tu viens jouer pour mon club et je te fais entrer aux Nations Unis.” Je suis venu jouer à Gaillard et je suis entré aux Nations Unis, au Haut-commissariat pour les réfugiés. Je changeais les cuvettes des toilettes et les ampoules. Je savais que je pouvais me former et évoluer. Je suis rentré en septembre 1991. J’y suis resté 20 ans. J’avais l’impression de servir à quelque chose et j’ai rencontré des personnes incroyables. En 2011, j’ai arrêté ma collaboration avec les Nations unis, pour m’exprimer pleinement dans mon métier d’entraîneur."

De Préville veut se lâcher à GG

04/03 07:49

Remis de sa blessure au mollet, entré en jeu lors du dernier match des Grenats (contre Nantes) et pressenti pour être titularisé ce dimanche à GG, Nicolas De Préville se confie aujourd'hui dans Le Républicain Lorrain. Extraits.

"A l'heure de se rendre dans le Chaudron, on doit évacuer cette crainte qui s'est répandue. C'est le classement qui fait ça, il y a cette peur de prendre un contre et de se faire punir. C'est vrai qu'on a du mal à se lâcher. Contre Nantes, il aurait fallu une victoire même à l'arrache ! Elle aurait donné un peu de confiance à l'équipe. On n'a pas pris de but, on a pris un point mais on n'avance pas assez vite. On avait la possibilité de recoller aux équipes devant nous, on n'en a pas profité. On est costaud défensivement mais offensivement, ce n'est pas assez. On est encore dans le coup, on s'accroche. On a retrouvé cette solidité défensive qui avait fait la force de l'équipe la saison dernière. Il faut continuer dans cette voie mais aussi penser à se lâcher offensivement. Physiquement, contre Nantes, ça s'est bien passé pour moi. Il me manque encore un peu d egaz mais ça va venir."

33 500 spectateurs espérés contre les Grenats

04/03 07:31

Responsable de la communication de l'ASSE, Thomas Granger rappelle dans Le Progrès que l'affluence sera très forte après-demain dans le Chaudron.

"On espère 33 500 personnes.  Lors des deux derniers matches, les supporters ont été un atout énorme. On a renversé Montpellier et fait jeu égal avec Strasbourg. Depuis quelques matches, on a su séduire le public sportivement et il a bien compris que les rendez-vous contre Metz puis Troyes sont très, très importants.  L’équipe billetterie travaille à la mise en place d’un pass pour les trois derniers matches (Brest, Monaco, Reims) de la saison."

 

Les Jaunards kiffent Geoffroy-Guichard (2)

04/03 07:17

La Pravda du jour rappelle que le Chaudron réussit à l'AS Montferrand. Extraits.

"Geoffroy-Guichard a d'abord intéressé Bourgoin-Jallieu. Demi-finaliste des deux dernières éditions du Top 16, en 2004 et 2005, le CSBJ voulait voir plus grand que Pierre-Rajon, moins de 10 000 places alors, pour l'avènement du Top 14. Son président, Pierre Martinet, tâta le terrain à Gerland, sur les terres de l'OL, puis n'hésita pas à programmer deux matches chez l'ennemi de ces hôtes, à Saint-Étienne, en 2006.

Il y avait bien un mauvais souvenir, une défaite sur la même pelouse contre le Stade Français, en 1999. Cette fois, Bourgoin, dans une bonne dynamique sportive, devait pouvoir s'installer chez les Verts. Las ! Malgré plus de 22 000 spectateurs, la première, en mars 2006, déboucha sur une courte défaite contre Perpignan (15-18). Quant à la seconde, à peine six mois plus tard... elle changea l'allégeance du stade. Car le CSBJ avait décidé d'y accueillir Montferrand.

« Avant ce match, on était sceptiques, se souvient Julien Pierre, alors berjallien. On se disait qu'il y aurait peut-être plus de supporters de l'ASM. Et ça s'est vérifié ! » Lla tribune Jean-Snella, celle du kop des Verts, était colonisée par les supporters de Clermont, bien plus présents. Prémonition confirmée par le terrain : les hommes de Vern Cotter, dont c'était la première saison, l'emportèrent, bien plus tranchants (20-14).

Ce fut le début d'une passion des Clermontois pour Geoffroy-Guichard qui dut attendre 2010 pour reprendre son cours, mais pour connaître deux moments de gloire plus importants encore. La bataille contre Toulon, pour la demi-finale du Top 14, fut chaude de bout en bout (35-29 a.p.).  « Incroyable ! exceptionnel ! clame Lhermet. Je crois que le match avait eu alors la meilleure note de l'histoire sur Canal, autour de 18 ! »

Cette demie entra au panthéon auvergnat, d'autant plus qu'elle annonça leur premier Brennus. Mais le retour à Geoffroy-Guichard, cinq ans plus tard, pour une autre demi-finale, européenne cette fois-ci, fut à la hauteur. Car le stade avait grandi, rénové, et offrit contre les Saracens son premier record d'affluence, avec plus de 41 000 spectateurs. « Ce public presque assis sur le terrain, cette acoustique qui donne l'impression qu'il y a deux fois plus de monde... C'est le cliché, mais on était dans le Chaudron ! C'était écrasant », jubile McIlroy. « L'avant-match avait même rendu les joueurs timorés, estime Lhermet, l'atmosphère les avait surpris. »

« Je n'ai jamais vu ça ! À l'échauffement, on avait presque envie de leur dire de baisser le son, on ne s'entendait pas ! » Lhermet se souvient que les joueurs improvisèrent un double tour d'honneur, Aurélien Rougerie prit un micro pour communier avec la Yellow Army. « Au retour, j'étais assis à l'avant du car et j'avais fait une vidéo que j'ai revue récemment, replonge McIlroy. Parce qu'après le péage, quand tu quittes Saint-Étienne, il y avait des bouchons de plusieurs kilomètres, à cause des spectateurs. Les motards nous faisaient passer sur la bande d'arrêt d'urgence. Mais tous les supporters sont sortis de leur voiture pour agiter leurs drapeaux à notre passage ! » À Sainté, l'âme ovale était définitivement sanctifiée en jaune et bleu."

Dieu va rejouer avec Batlles

03/03 22:57

Selon la dernière édition du Dauphiné Libéré, Loïc Perrin va rechausser les crampons pour jouer en présence de Michel Platini et aux côtés de Laurent Batlles et Laurent Paganelli un match du Variétés Club de France contre les sapeurs pompiers de Drôme-Ardèche à Aubenas le lundi 18 avril à 15h00.

Féfé le fêtard

03/03 22:29

Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, Pascal Feindouno évoque son côté fêtard.

"Je faisais tout le temps la fête après les matches. Bon, après une défaite, je la faisais à la maison. Mais quand on gagnait, je sortais, c’est normal, il faut bien célébrer la victoire. À l’époque, on pouvait davantage se le permettre. Aujourd’hui, les gens parlent beaucoup, il y a les médias, les photos, les réseaux sociaux. Avant, il n’y avait pas tout ça. Désormais, c’est plus difficile, on hésite avant de sortir. Donc on fait attention, même si j’ai terminé ma carrière."

Wahbi et Baky incertains

03/03 22:15

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La Pravda a fait ce soir un état des troupes stéphanoises avant le match qui opposera les Verts aux Grenats ce dimanche à 13h00. Extraits.

"Victime d'une entorse interne de la cheville droite lors de la venue du RC Strasbourg, Wahbi Khazri a profité de l'entraînement de jeudi pour reprendre la course. Il convient désormais d'attendre vendredi pour voir comment sa cheville a réagi à l'effort et donc, s'il peut rejouer contre le FC Metz.

Un match pour lequel Bakary Sako demeure également incertain. Victime d'un traumatisme à un pied lors d'un choc direct à l'entraînement, il avait le pied gonflé, jeudi. Tout dépendra de la douleur et de sa capacité à la supporter. Les défenseurs Yvan Maçon et Saïdou Sow, blessés, ainsi que l'attaquant Renato Crivelli, en reprise, sont, eux, d'ores et déjà indisponibles."

Dupraz préfère être pompier que pyromane

03/03 22:00

Dans sa dernière édition, Le Dauphiné Libéré a publié une interview de Pascal Dupraz. Extraits.

"Mon père admirait Jean Snella. Il a joué avec le Servette de Genève sous ses ordres en 1962. Je me souviens de moments épiques de mon père devant les matches de l’ASSE. Il jouait le match avec l’équipe, faisait les gestes. Avec ma sœur, on se marrait. C’était une période creuse du foot français et faste pour l’ASSE. Avant les matches de Coupe d’Europe, on ne parlait que de ça.

C’est un honneur d’entraîner l’ASSE. Je suis un chanceux. C’est un cadeau du ciel. Il y a une telle ferveur ici. Le foot c’est ma passion. Dans les tribunes, tu retrouves l’ouvrier, le patron, le fonctionnaire, un étudiant, un retraité… À Saint-Étienne, j’ai croisé des mamies avec le masque ASSE m’implorant de laisser les Verts en Ligue 1. C’est ça le foot.

Je suis surcoté. Pour entraîner Saint-Étienne, il faut avoir la cote. Le fait de cataloguer a quand même du bon. Comme on me décrit comme un pompier, ça me donne du travail tout le temps. Je préfère être pompier que pyromane. Aujourd'hui, je suis tout de même à la place de Jean Snella ? Putain... C’est exceptionnel ça. Merci pour cette onde extraordinairement positive. Pour le coup c’était un pionnier, un précurseur. Quelle chance. Définitivement.

La location de ma maison s’arrête fin mai. Trop souvent on fait l’erreur de se projeter. J’ai envie de vivre intensément le moment présent. Il y a un peuple qui est derrière nous. Plus de 30 000 supporters doivent venir contre Metz. Les efforts des joueurs sur le terrain ne trahissent personne. Au feu, des personnes se sont arrêtées pour venir me remercier. De quoi ? Rien n’est fait. Tout ce que je souhaite, c’est que l’on remercie les joueurs, fin mai."

Cabella bientôt sans contrat

03/03 21:03

L'ancien Vert Rémy Cabella a vu son contrat suspendu à quelques semaines de son terme (prévu en juin) par son club russe de Krasnodar. Le conflit entre la Russie et l'Ukraine est à l'origine de cette suspension qui touche également plusieurs de ses coéquipiers.

Cabella, qui sera à Geoffroy-Guichard dimanche pour le match contre Metz, ne peut toutefois pas s'engager librement pour un club français. Tout d'abord, il n'est pas encore libre stricto sensu et ensuite, à la lecture de l'art 213 du règlement de la LFP, il ne pourrait obtenir un contrat homologué avec un club de L1 pour la fin de saison.

La tuile pour Maçon

03/03 18:36

Blessé depuis plusieurs semaines, Yvann Maçon doit mettre un terme à sa saison comme le révèle Le Progrès :

"Le Guadeloupéen (23 ans), de nouveau gêné au genou - il ne s’agit pas d’une rechute - a subi un acte chirurgical, jeudi dernier, synonyme de fin de saison. De retour cet été après sa grave blessure au genou, Yvann Maçon a disputé 18 matches de Ligue 1 et trois de Coupe de France avec les Verts."

Le chaudron va bouillir !

03/03 14:38

A trois jours du choc de la zone rouge entre Sainté et Metz (dimanche, 13h), le chaudron continue de se remplir, comme rarement cette saison.

Selon le club, 30 000 places ont déjà été vendues. La tribune Henri Point et le Kop Nord sont pleins, et la tribune Charles Paret supérieure est déja remplie aux deux tiers. Rappelons que le club a eu la belle idée de mettre toutes les places à 10€, et le record d’affluence de la saison (les 33 643 contre les Vilains) pourrait bien tomber.

 

Pas dare-dare à Krasnodar !

03/03 13:45

Alors que, blessé, Remy Cabella était rentré à Ajaccio pour se soigner, il était prévu qu'il rentre dimanche en Russie. Il a pour l'instant décidé de rester en France et assistera à Geoffoy au match contre Metz (dimanche 13h). Il a précisé  qu'il attendait « de voir la situation avant d'y retourner » . Son club, Krasnodar, étant proche de la frontière ukrainienne, a vu sa dernière rencontre reportée.

A  bientôt 32 ans, Cabella termine son contrat à la fin de cette saison, sa 3ème en Russie où il a claqué 17 buts en 59 matchs, toutes compétitions.

Nice-Sainté décalé

03/03 07:41

Comme l'a remarqué notre fidèle potonaute Dissident, le match de l'antépénultième journée de L1 Nice-Sainté programmé initialement le 8 mai sera décalé car les Aiglons affronteront ce jour-là les Canaris en finale de Coupe de France. Après avoir remporté la Coupe de la Ligue avec les Verts et le championnat avec les Dogues, Galette tentera à cette occasion de remporter un 3e titre !

Attention les chevilles !

03/03 07:31

Comme le souligne la dernière édition du Républicain Lorrain, les Verts vont recevoir ce dimanche des Grenats derniers au classement du fair-play (63 cartons jaunes et 5 cartons rouges).

"Le FC Metz déplore cinq exclusions cette saison : Pajot pour son tacle sur Marcus Coco dimanche dernier, mais aussi Kouyaté lors de la première journée contre Lille, Bronn contre Paris, Jemerson à Marseille et Boualaya face à Bordeaux. Si les cas de Bronn et Boulaya sont liés à un geste d'antijeu ou d'agacement, ceux des trois autres relèvent d'un excès d'engagement ou s'apparentent à de la maladresse. Moins maîtres du jeu, les Messins courent beaucoup après le ballon cette saison. Des efforts qu'ils peuvent payer par un certain manque de lucidité physique ou mentale au fil des minutes. Avec une confiance en berne, les Lorrains cherchent gélement à se rassurer à travers un engagement plus rigoureux. Ce qui peut impliquer une agressivité en hausse dans les duels, sanctionnée par les arbitres."

Khazri et Crivelli bientôt remis

03/03 07:15

"Forfait samedi dernier à Paris, Wahbi Khazri espère être apte, dimanche (13 heures) pour affronter le FC Metz. Toujours ménagé, il n’était pas à l’entraînement, mercredi matin" rapporte Le Progrès du jour. Le quotidien régional donne également des nouvelles d'Enzo Crivelli. "Il n’a toujours pas pu montrer ses qualités à cause d’une blessure aux adducteurs. Il semble aller mieux comme en témoignent les exercices spécifiques avec ballon auxquels il a pris part, en marge du groupe."

Pajot a pris cher

02/03 21:35

La commission de discipline de la Ligue qu'on adule a confirmé ce soir la suspension d'Eliaquim Mangala pour le match que les Verts joueront chez les Dogues en match d'ouverture de la 28e journée le vendredi 11 mars à 21h00.  Manquant cruellement de vivacité, le défenseur central stéphanois a déjà mangé trois biscottes (contre Montpellier, Strasbourg et Paris) en quatre matches disputés sous le maillot vert.

De son côté, Vincent Pajot a écopé de cinq matches de suspension dont un avec sursis pour avoir blessé le Canari Marcus Coco à la cheville sur un tacle mal maîtrisé. Le vice-capitaine des Grenats sera donc non seulement privé de retour dans le Chaudron ce dimanche mais aussi des matches que les hommes de Frédéric Antonetti joueront contre Lens, à Rennes et contre Monaco.

Pour Delaine, ça sera coton jusqu'au bout

02/03 14:40

Exilé sur l'aile droite de la défense de Metz depuis que le titulaire du poste (Centonze) est  blessé, le latéral gauche messin Thomas Delaine est revenu en début de semaine pour le Républicain Lorrain sur la forme de son équipe et le choc de dimanche à Geoffroy :

"C’est vrai qu’on a retrouvé notre solidité défensive : ça fait maintenant plusieurs matches qu’on ne prend plus beaucoup de buts. Je dirais même que nos adversaires n’ont pas beaucoup de situations face à nous. C’est très positif. Mais, d’un autre côté, l’animation offensive nous fait un peu défaut. Il va falloir travailler dans ce sens (...) Il va falloir se serrer les coudes jusqu’à la fin de la saison parce qu’à mon avis, ça va se jouer à pas grand-chose. Je pense qu’il nous faudra trois points d’avance sur le premier relégable avant la dernière journée pour se maintenir. Parce qu’on termine par un déplacement à Paris et que ça sera compliqué. Ce n’est pas impossible, ça a déjà été fait, mais bon… Il nous reste onze matches pour le faire ! C'est dommage qu'on n'ait pas su gagner contre Nantes, d’autant qu’on voit qu’autour de nous, ça n’avance pas très vite non plus. Il va y avoir des confrontations directes qui vont arriver et qui vont être déterminantes (...) On sait qu’il va y avoir une ambiance archi-hostile contre nous. C’est un public mythique. Je le répète : je trouve ça très bien qu’on ait retrouvé notre solidité défensive à ce moment-là de la saison parce qu’il va falloir être costaud à Saint-Étienne. Les Stéphanois sont sur une bonne dynamique depuis que le coach Dupraz est arrivé. Ils ont de bonnes individualités, raison pour laquelle, notamment, il va falloir qu’on soit très bien en place. Tout en pensant à améliorer des choses dans nos relations et dans nos projections sur le plan offensif."

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