Lors de ses voeux prononcés dans les locaux de la Bibliothèque nationale de France, David Douillet a regretté hier que l'Etat participe financièrement à la rénovation des stades en vue de l'Euro 2016. "Au vu des sommes d'argent perçues par la Ligue de football professionnelle, une partie de ces sommes aurait dû être réinvestie dans l'outil de travail, à savoir la rénovation et la création de stades. Je ne trouve pas logique que l'Etat doive payer, même si c'est fait et que l'Etat le fera. Peut-être faudra-t-il en passer par la loi pour obliger les clubs à le faire. certains milieux devraient prendre de la maturité, à commencer par le football qui perçoit notamment des droits TV."

L'ancien champion olympique de judo se fait tacler par Nanard aujourd'hui sur le site de France Football : "C'est une bourde du ministre des Sports. J'ai du mal à comprendre son propos. Cet argent ne va pas aux clubs mais aux collectivités. L'Etat a augmenté de 12% les charges des clubs cette année."

Comme Galette hier en conférence de presse, Roland Romeyer n'a pas apprécié que Saint-Etienne Métropole ait autorisé Bourg-Péronnas à recevoir l'OM dans le Chaudron en coupe de France sans concertation avec l'ASSE. Le Progrès nous apprend en effet que Roro a écrit à Maurice Vincent alias Momo.

"J’ai envoyé une lettre recommandée au maire pour lui fait part de notre mécontentement. Nous avons été mis devant le fait accompli alors que l’ASSE est locataire principal du stade. Nous aurions aimé être consultés. La pelouse a été refaite devant les deux cages. C’est pour cette raison que nous n’avons pas joué en amical contre Grenoble, un de nos partenaires afin de la préserver."

Il avait exprimé ses envies de départ pour bénéficier de plus de temps de jeu. Machado a écopé de la double peine : après la réponse sèche de son président, Casanova a tranché en n'appelant pas notre ex-milieu dans le groupe appelé à affronter Caen ce week end. Machado est convoqué avec la réserve, ce qui pourrait accréditer l'idée d'un départ prochain.

La Ligue (qu'on adule) et la Fédé ont (enfin) officialisé l'absence de tout match pro et amateur le samedi 5 mai prochain en mémoire du drame de Furiani (qui a eu lieu le 5 mai 1992).

Le Sainté-Marseille de la 36ème journée prévu initialement ce jour là sera donc décalé.

Mauro Cetto a signé hier avec le LOSC son contrat de prêt pour pallier la longue absence de Basa. Mais La Voix du Nord confirme ce matin qu'il ne sera pas qualifié pour le match de samedi contre les Verts.

Lille sera donc privé samedi de De Melo et Basa blessés, de Sow, "canné", et de Cetto non qualifié.

Par ailleurs, le capitaine des Dogues, Mavuba blessé au mollet est incertain.

Dans son édition du 21 janvier, Le Nouvelliste avait fait état d'un intérêt du FC Sion pour Boubacar Sanogo. Président de la lanterne rouge du championnat suisse, Christian Constantin dément la rumeur aujourd'hui dans le quotidien valaisan : "Je ne le veux pas. J'ai besoin d'un élément qui soit immédiatement compétitif, il ne répond pas à ce profil."

Les Eléphants de Max Gradel (entré en jeu au poste d'ailier droit à la 65ème minute) ont piétiné les Etalons de Germain Sanou (resté sur le banc) ce soir lors de la deuxième journée du groupe B de la CAN. Battu 2-0, le Burkina Faso est éliminé tandis que la Côte d'Ivoire affrontera la Guinée équatoriale ou la Zambie le samedi 4 février en quart de finale.

Dans sa dernière édition, le quotidien camerounais Le Jour décrit l'Aubamania qui a gagné le Gabon depuis le début de la CAN. Extraits.

"Pierre-Eymerick Aubameyang est déjà une véritable idole dans son pays. Une star qui enflamme les stades. Depuis le début de la Coupe d’Afrique des Nations, ses effigies sont placardées dans les rues de Libreville, la capitale de son pays le Gabon. Certaines sont accompagnées du message suivant : "Avec Eymerick, dévoile la panthère en toi  !" Sylvia Bongo, l’épouse du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, lui a fait honneur lors du premier match du Gabon. Elle a suivi toute la rencontre vêtue d’un maillot frappé du numéro 9. Le même que Pierre-Eymerick. Des signes qui ne trompent pas, surtout que, à la 30eme mn du match, lorsque Pierre-Eymerick Aubameyang a marqué le premier but pour le Gabon, Sylvia Bongo et tous les Gabonais présents dans le stade se sont levés pour saluer ce « but qui fera date », à en croire Placide Engandzas, le président de la Fédération gabonaise de football (Fégafoot)."

Meilleur joueur stéphanois de tous les temps selon les anciens, Rachid Mekloufi explique aujourd'hui dans Le Courrier de l'Atlas pourquoi il snobe la Coupe d'Afrique des Nations.

"Je ne peux pas vous donner mes impressions sur la CAN, je n'ai regardé aucun match. Je ne supporte pas qu'il faille payer pour regarder les matches à la télévision. Personnellement, je fais partie de la minorité qui pourrait me payer un abonnement à Al-Jazeera, la chaîne qui diffuse les rencontres, mais je ne veux pas soutenir ce système. L'Afrique a besoin de voir sa Coupe d'Afrique, mais la télé à péage prive une bonne partie de la population de ce plaisir. L'argent est en train de tuer le football. La FIFA et la CAF ne devraient pas soutenir ce système. Le football est un sport populaire. Les populations des pays non argentés ont le droit d'avoir accès aux matches. C'est aberrant …

Franchement, je suis devenu allergique à cette coupe d'Afrique ! Désormais, on y retrouve beaucoup de joueurs formés en Europe. Si les clubs européens viennent chercher des joueurs en Algérie, au Maroc, ou en Tunisie, c'est bien que nos joueurs sont talentueux. Je trouve vraiment regrettable que l'Afrique reste un continent exportateur de talents au XXIe siècle. Je n'ai rien contre les joueurs formés en Europe, mais il faudrait au moins faire un mix avec les locaux. Désormais, on a l'impression que dès qu'un sélectionneur apprend qu'un Africain d'origine joue en Europe, il le sélectionne. Ces entraîneurs pourraient pourtant faire bénéficier les locaux de leurs connaissances.

En Algérie, par exemple, c'est une catastrophe. On ne s'est pas qualifié avec une équipe formée avant tout par des joueurs évoluant en Europe, alors qu'ici il y a un réservoir de talents inouï. D'ailleurs, avec la fondation de l'équipe du FLN, nous ouvrons des écoles de football à travers tout le territoire. Ce que nous observons chez les joueurs de dix à quinze ans est un miracle ! Ils jouent un football moderne, alerte. Le problème, c'est qu'il n'existe pas de structures pour les faire progresser après leurs quinze ans. Nos dirigeants sportifs sont complètement à côté de la plaque."

Tout avait été dit, tout est désormais écrit : le huitième de finale de Coupe de France entre le FC Bourg-Peronnas et les Sardines aura bien lieu à Geoffroy-Guichard. 

Cinq titularisations, un seul petit but, Manu Rivière de blessure en blessure aurait sûrement rêvé meilleur scénario pour ses six premiers mois à Toulouse, club dont on ignore encore par quel mystérieux projet sportif il a su faire tourner la (petite) tête de notre ex-espoir.

Enfin remis de ses divers pépins, Manu explique à La Dépêche tous les espoirs qu'il porte pour la suite de sa saison et de sa carrière.

Il confirme d'abord que pour jouer pleinement son rôle, il lui faut "une condition physique excellente. J'ai un jeu en profondeur, basé sur la vitesse, sur les appels. Donc, mon jeu dépend vraiment de mon physique". Raison pour laquelle il a sacrifié ses vacances en Martinique ("c'est un grand sacrifice") en fin d'année 2011.

Se décrivant comme "mort de faim", il rappelle son objectif toulousain : "je suis venu ici pour m'asseoir en Ligue 1, pour engranger du temps de jeu et de l'expérience, pour progresser".

Pour aller où, pour ressembler à qui ? il avoue un faible pour l'Angleterre ("depuis tout petit c'est un championnat qui me fait rêver, et qui est fait pour mon jeu") et pour Loïc Rémy : "j'aime bien son style de jeu. Et Bafé Gomis, aussi. Je leur ressemble, surtout Loïc Rémy dans ses appels. Je me vois un peu dans lui".

Avant cela il espère se qualifier pour l'Euro espoirs 2013 : "Il n'est pas très loin, et il est dans ma tête, oui. Ce sera ma dernière campagne en Espoirs, et on a vraiment une bonne génération, alors...", avant un jour de goûter à l'équipe A : "je rêve d'atteindre un jour l'équipe de France A, parce que, depuis que je suis en France, j'ai franchi toutes les équipes de jeunes. Donc je voudrais y goûter".

Y aura d'autres sacrifices à faire, Manu, pour y parvenir...

Pierre-Emerick Aubameyang revient aujourd'hui dans Le Parisien sur ses débuts réussis à la CAN.

"Notre victoire contre le Niger, c’était vraiment quelque chose de fort. Un moment que je n’oublierai pas et que j’ai vraiment apprécié. C’était une véritable fête nationale. Les gens ne travaillaient pas et tout le pays était derrière nous. En dehors du stade, c’était aussi la folie. Ce qu’on vit est vraiment incroyable. Le public attend beaucoup de nous, et on n’avait pas eu de bons résultats en matchs amicaux, notamment parce qu’on n’arrivait pas à marquer. Tout le pays attendait cette victoire.

Nous avons vu le président deux jours avant le match et aussi la veille, sur le terrain. Il nous a rassurés, cela nous a fait beaucoup de bien. Il nous a dit qu’il fallait jouer, que cela restait un match de football et qu’il fallait prendre du plaisir. Non, je ne connais pas vraiment la pression. Je vis le moment présent à fond et, comme on dit, je kiffe. C’est un retour aux sources pour moi. Tout un pays nous attend, c’est exceptionnel.

On est dans notre bulle ! Dans notre hôtel, on se croirait en prison. Il y a plein de militaires pour assurer notre tranquillité. Il y a du monde dehors et il y avait beaucoup de pression avant le premier match, mais on fait abstraction. Maintenant, les gens espèrent. On se connaît tous très bien. Cela fait plusieurs années qu’on se côtoie en France ou en équipe nationale. On a un bon groupe, avec de bons joueurs. Il faut continuer comme ça, que tout le monde tire dans le même sens et mette ses qualités au service de l’équipe.

Il faut passer le premier tour, bien sûr. Le record du Gabon en Coupe d’Afrique est un quart de finale, en 1996. J’espère qu’on ira au-delà. Après, on verra pour la suite. Ce serait énorme. Je pense que la victoire finale, c’est le rêve de tous, même si le chemin est long. On va continuer à rêver et bosser pour le réaliser."

Guirane N'Daw a eu du mal à encaisser l'élimination des Lions de la Teranga comme le rapporte le quotidien sénégalais Walfadjri :

"Hier, après la débâcle, Guirane N'Daw a piqué une crise dans les vestiaires. C’est la débandade. Mayacine Mar, l’un des collaborateurs d’Amara Traoré, court à la recherche du médecin Mor, l’associé du Pr Fallou Cissé dans le staff médical des Lions. "Mais, où est Mor ? Trouvez-le vite. Il y a Guirane N'Daw qui a piqué une crise." Avec ces mots de Mayacine Mar, Samba Fall, le préparateur des gardiens, jette le sac qu’il avait en main pour courir à la recherche de Mor. Il sera suivi par Lamine Diop, membre de la Ligue sénégalaise de football professionnel (Lsfp). Le Pr Fallou Cissé arrive à son tour. Il se dirige directement vers les policiers chargés de la sécurité des Lions. Il demande à ces derniers de faire venir une ambulance le plus vite. Ses interlocuteurs s’exécutent. C’était pour évacuer Guirane N'Daw à l’hôpital. Triste scène. Une scène insoutenable qui fera verser des larmes même à des journalistes."

A l'essai à Niort la semaine dernière, Pierrick Cros ne s'engagera pas avec les Chamois. Selon la dernière édition du Progrès,  le jeune défenseur des Verts a donné satisfaction mais son profil ne correspondait pas exactement au profil recherché par le staff de l'actuel leader du National.

Malgré le but égalisateur du Dogue Moussa Sow à la 89ème minute contre la Guinée Equatoriale, le Sénégal a concédé dans les arrêts de jeu une seconde défaite synonyme d'élimination de la CAN. Alors que Bayal Sall et Pape Diakhaté sont encore restés scotchés sur le banc, Guirane N'Daw a (médiocrement) joué l'intégralité de la rencontre.

Prévue initialement ce mercredi, l'audition de Carlos Henrique et Florent Sinama-Pongolle par la commission fédérale de discipline a été décalée au jeudi 9 février. Nul ne se plaindra de ce report, l'éventuelle sanction infligée à FSP sera en effet partiellement compensée par le retour d'Aubame et Max Gradel (la finale de la CAN étant programmée le dimanche 12 février).

Son départ de Sainté nous avait surpris et agacés. Il nous semblait à l'époque qu'on tenait en Machado une vraie pépite, et voir qu'on la bradait au Sadran Football Club nous avait paru incompréhensible.

Nous étions à l'été 2009. 2 ans 1/2 plus tard, sans qu'il ait réellement affiché autre chose que les promesses déja entrevues chez nous, Paulo Machado pourrait quitter Toulouse selon un article de la Dépêche. 5 mois avant l'Euro c'est en tout cas son souhait, car son statut de titulaire "discutable" et discuté ne lui garantit pas une place dans les 23 Portugais qui iront à l'Euro.

Titulaire à 12 reprises depuis le début de saison (pour 3 buts marqués), il en veut plus et l'a fait savoir, via son agent, à ses dirigeants. Mais, selon Sadran, qui sait se montrer infléxible les prestations du joueur "ne génèrent pas une valeur suffisante".

Selon le site internet Blo Golo, le président aurait néanmoins donné son accord pour un éventuel départ dès cet hiver pour peu qu'un club mette au moins 4M€ sur la table.

Auteur d'une bonne prestation dimanche soir contre le Soudan, Max Gradel attend de pied ferme les étalons de Germain Sanou jeudi à 20h00. Avant cette rencontre capitale du groupe B de la CAN 2012, le numéro 9 des Verts s'est exprimé hier en conférence de presse.

"J’ai été très bien accueilli et je me sens très à l’aise avec mes ainés. C’est pour ces moments là qu’on joue au football. Ils ne sont pas nombreux à vivre ces moments et c’est avec joie que je suis entré sur le terrain. Je travaille toujours pour offrir le meilleur de moi et prouver à l’entraîneur qu’il n’a pas eu tort de me sélectionner. Face au Burkina, ce sera comme un derby. C’est un match qui a un parfum particulier surtout pour eux car ils ont perdu leur premier match contre l’Angola. Ils seront obligés de sortir. Et cela offrira forcément un grand match." 

Ils ont failli se foutre sur la tronche lors d'une réunion houleuse au sujet d'Elie Baup mais leur amour teinté d'humour est plus fort que tout ! Le vieux couple Nanard et Roro s'est dévoilé dans le France Football du 17 janvier. Extraits.

Roro : "En juin 2004, Bernard Caïazzo m'appelle, il savait déjà qui j'étais. C'est quelqu'un de curieux, très intelligent. On a sympathisé. C'est cette différence qui attire les gens. Si on était pareil on ne pourrait pas faire avancer les choses. On s'était disputé avec Bernard car on n'était pas pas d'accord à propos d'Elie Baup. Depuis 2010, on a trouvé notre façon de fonctionner, une vitesse de croisière. Les collaborateurs prenaient beaucoup de place. On dirige désormais le club en équipe. On va bientôt se pacser ! (Rires).

Au stade, Bernard se lève, moi je reste assis car je trouve que c'est ridicule si après on prend des buts. Je suis content à la fin quand je suis sûr du résultat. Bernard est très texto. Bernard parle beaucoup. Moi je suis plus réservé car je n'ai pas son instruction. Je l'écoute beaucoup mais, en même temps, je fais ce que j'ai envie de faire."

Nanard : "Je souhaitais m'appuyer sur quelqu'un de local. Dans mes affaires j'ai toujours été habitué à travailler à deux car il y a un dialogue qui s'instaure et cela permet d'échanger, comme dans un couple. Ce qui m'amuse, c'est que les gens disent "ils ne s'entendent pas". Mais est-ce-que l'on doit toujours avoir le même avis ? J'espère que non car, sinon, il n'y a pas d'échange. Roland est simple, mais c'est une qualité. Je n'ai jamais douté de Roland. J'ai quand même posé la question au juge lyonnais qui a instruit l'affaire Carvalho. Il m'a dit "On se doute bien que Roland Romeyer n'a pas dépassé soixante ans pour devenir malhonnête". J'ai soutenu Roland à 200%. Il m'a dit "Si ça te pose un problème je m'en vais" Et j'ai dit: "Hors de question que tu t'en ailles." Mon dernier enfant est né le 25 août comme Roland Romeyer. C'est un signe extrêmement important, une relation quasi fraternelle et de confiance inébranlable.

En janvier 2010, j'ai demandé à Roland de prendre la direction du club car la gestion de Vincent Tuong Cuong avait été trop dispendieuse. Je lui ai dit : "Il faut un gars pour gérer au quotidien". Il a la réputation d'être pingre, mais mieux vaut un mec pingre qui gère bien le club. Dix-huit mois plus tard, on est revenu à l'équilibre financier. Gérer à deux n'est pas possible si les rôles ne sont pas répartis. J'ai dit à Galtier : "Si un jour Roland te dit blanc et moi bleu, c'est blanc qui compte." On se parle au moins cinq fois par jour. Roland est la personne au club qui répond le plus souvent. Je veux que les collaborateurs aient un seul interlocuteur, sinon ils font comme les gosses avec les parents. Monter à Paris lui donne des boutons, c'est une corvée comme pour Triaud. Il n'a jamais mis les pieds à l'UCPF, encore moins à la ligue. Roland et moi, on se dit que demain, si ça va mal, l'entraîneur, les employés changeront mais que nous, au final, on est sûr de se retrouver toujours au club.

Roland a un côté super économe et parfois pénible. Il a tendance à dire : "Tout le monde prend le train en deuxième classe". Mais on ne peut pas dire à Dominique Rocheteau de voyager en seconde. Roland a la fâcheuse manie de recevoir beaucoup de coups de fil une demi-heure avant les rencontres pour donner des places. On le chambre en lui disant d'aller s'installer aux guichets !"

Lors de sa présentation officielle sous ses "nouvelles" couleurs, Paulao a démenti hier la rumeur d'un problème relationnel avec Galette. "Je savais que vous alliez me poser cette question. J'ai joué dix matches avec Saint-Etienne, ensuite je me suis blessé et après je n'ai pas rejoué. Mais je n'avais pas de problème avec l'entraîneur."

Dans sa dernière édition, le quotidien andalou ABC Sevilla nous apprend que le Betis a jusqu'au 15 mai pour lever une option d'achat inférieure à 400.000 € et portant sur deux années de contrat.

International Espoirs des Merlus, Gilles Sunu s'est rompu le tendon d'Achille gauche ce mardi à l'entraînement. Titulaire huit fois sur les quinze matches qu'il a disputés cette saison en L1, l'attaquant lorientais sera donc forfait pour le déplacement à Geoffroy-Guichard du 4 février.

A l'essai pendant 10 jours à l'ASSE le mois dernier le latéral gauche Markus Conka (21 ans) n'a pas conquis les décideurs stéphanois. L'international Espoirs slovaque s'est engagé en début de semaine avec le Slavia Prague. "Le joueur était vivement intéressé par le club de Saint-Etienne, il était en pourparlers. Mais les négociations avec le Slavia ont été plus productives et plus rapides. D'un commun accord avec Matus et compte tenu de son évolution de carrière, nous avons décidé de donner une suite favorable à la proposition du Slavia" a expliqué hier son agent Marcel Podolak sur le site slovaque Denniksport.

Malgré son cruel manque de réalisme offensif*, Lynel Kitambala continue d'emballer Claude Leroy. Après avoir approché vainement l'attaquant stéphanois l'automne dernier, le sélectionneur des Léopards a une nouvelle fois pré-convoqué le numéro 29 des Verts pour la rencontre du 29 février à Victoria contre les Seychelles, en match aller des éliminatoires de la CAN 2013.

* Cette saison, l'ancien Merlu n'a pas claqué le moindre pion en 17 tentatives. En L1, seul le vilain Kim Kallstrom a fait pire (19 tirs, 0 but) selon les stats d'Opta relayées par France Football dans sa dernière édition.

Viré d'Al Ahli (Emirats Arabes Unis) le 7 novembre dernier, Ivan Hasek (48 ans) ne sera pas resté longtemps au chômage. L'ancien entraîneur des Verts s'est engagé dimanche avec Al Hilal (Arabie Saoudite).

D'une vilaine frappe contrée, Bafé Gomis a claqué avant-hier en Coupe de France contre Luçon (CFA) son 14ème pion de la saison. En huitième de finale, les vilains recevront Bordeaux. Une saison à quatre derbys aurait - hypothétiquement - été possible.

Privés pour plusieurs semaines de leur défenseur central Marko Basa blessé, les Lillois sont à la recherche d'un remplaçant. Selon La Voix du Nord les pistes étudiées sont celles de Mauro Cetto (Palerme), Zebina (Brest) et du croate Corluka (Tottenham).

Compte tenu de la fin très prochaine du mercato (mardi prochain minuit) on peut supposer que les choses se décanteront dans la semaine. Suffisant pour que le petit nouveau soit sur le pré contre les Verts samedi ? A voir... mais on peut comprendre l'empressement Lillois quand on se souvient du nombre de pions claqués par le dernier hôte des Dogues (Lille-Nice 4-4 lors de la 19ème journée).

Roro profitera-t-il de notre déplacement pour glisser à l'oreille de Seydoux que question défenseur central, on a un magnifique spécimen dans le Loft ? 

Sans club depuis sa courte et peu concluante expérience à Boca Junior en 2010, Luiz Alberto (34 ans) s'est engagé en début d'année avec le Boavista Saquarema, modeste club de Rio évoluant en Série D (4ème division brésilienne). L'ancien milieu de terrain de l'ASSE (période John Toshack) a réussi ses débuts sous ses nouvelles couleurs vertes en réalisant un doublé en une minute (!) contre Duque de Caxias lors de la première journée du championnat carioca (victoire 3-1).

Le Gabon de Pierre-Emerick Aubameyang a réalisé une entrée en matière parfaite dans la CAN qu'il organise en l'emportant 2-0 contre le Niger.