Brandao brise Brest

19/01 21:34
Les Verts ont mis fin à une série de 14 matches sans victoire en Bretagne en s'imposant ce soir à Brest malgré le forfait de Loïc Perrin, touché au mollet. Bien servi par Yohan Mollo, Brandao a marqué l'unique but de la rencontre en devançant la sortie d'Alexis Thébeau d'un petit coup de patte croisé du droit. Ultra-dominateurs avant de piocher lors des vingt dernières minutes, les Verts ont préservé ce court mais précieux succès grâce à Stéphane Ruffier, bien aidé par son poteau droit. L'ASSE, qui n'avait plus gagné en championnat depuis le 23 novembre, en profite pour remonter à la 8ème place du classement.

Le résumé vidéo : Brest 0 - ASSE 1

Voilà, c'est pas fini

19/01 14:06
N'en déplaise à Jean-Louis Aubert, voilà, c'est pas fini ! Ce tic de langage était apparu 26 fois dans la bouche de Stéphane Ruffier en 8 minutes 40 d'interview à Téléfoot le 18 mars 2012. Yohan Mollo a égalé ce record hier sur Onzeo en seulement 5 minutes d'entretien. Mais c'est Romain Hamouma qui détient le meilleur ratio : 13 voilà en 1 minute 44 sur la Pravda TV le 3 novembre dernier !

Enfin la gagne en Bretagne ?

19/01 11:25
Comme nous le rappelle Eurosport en relayant une stat d'Opta, l'air de la Bretagne ne réussit guère à Sainté. En effet, l'ASSE n'a remporté aucun de ses 14 derniers déplacements dans la région en championnat : sept nuls et sept défaites ! Le dernier succès stéphanois en L1 chez les Bretons remonte au 18 septembre 2005 (victoire 1-0 à Rennes).


Les très vertes années de Loïc Perrin

19/01 10:56
Comme pour son frère aîné (champion Rhône-Alpes de cross) et pour sa soeur cadette (championne du monde universitaire en triathlon), le sport a bercé Loïc Perrin dès l'enfance. Dans la dernière édition du Progrès, le capitaine de l'ASSE revient sur les vertes années qui ont précédé... ses vertes années !

"J'ai habité boulevard Jules Janin avant de m'installer à Saint-Genest-Lerpt. Nous habitions dans un lotissement situé juste au-dessus du golf. Avec mon frère et ma sœur, on était presque toujours dehors. J’ai vraiment de supers souvenirs d’enfance. Je me souviens très bien de mes vacances passées dans la maison de ma grand-mère à Périgneux. On retrouvait nos cousins du même âge. On allait à la pêche, on construisait des cabanes… C’était vraiment de bons moments. Je ne pense pas avoir changé, je suis très famille et j’ai gardé les mêmes amis que je connais par cœur

J’ai toujours adoré jouer au football, peut-être que c’est génétique, mais je ne me suis jamais dit qu’il fallait que je devienne joueur professionnel. Mes parents d’ailleurs m’ont toujours laissé le libre choix et m’ont expliqué qu’il fallait que j’obtienne mon bac avant d’envisager quoi que ce soit. Enfant, j’allais bien sûr quelques fois à Geoffroy-Guichard mais je n’avais pas réellement de modèles ou d’équipes favorites. J'ai joué d'abord à Périgneux et ensuite à Saint-Charles-la-Vigileante. J’ai pleuré en laissant mes amis avec lesquels j’ai participé à tant de tournois, c’était que du bonheur. L’ASSE c’était une autre dimension. Enfant, je jouais attaquant. Je suis derrière aujourd’hui et, à mon âge, je ne peux plus reculer."

Janot ne perd pas le nord

19/01 09:54
Après avoir gardé sa cage inviolée hier soir lors de la victoire du Mans contre la Berrichonne de Yohan Hautcoeur et Akim Orinel (titulaires tous les deux), Jérémie Janot a réagi pour Ouest-France à la rumeur l'envoyant au LOSC.

"Aujourd’hui, je ne sais rien. Mon téléphone a sonné toute la journée mais je voulais rester concentré dans le match de ce jour. Si je dois retenir une leçon de ces huit derniers mois c’est qu’il ne faut pas faire de plans sur la comète. Je pensais faire toute ma carrière à Saint-Étienne et j’ai filé en mai à Lorient puis en juillet au Mans. En ayant failli aller en MLS  et à Lens. Steve Elana est un gros gardien. Maintenant, il y a un critère important, je suis Nordiste et c’est Le LOSC. Le LOSC, ça ne se refuse pas. Mais par respect pour Rudi Garcia que je connais bien et pour Denis Zanko, je ne veux pas avancer des choses alors qu’il n’y a rien concret. Aujourd’hui, je le répète, je ne suis au courant de rien." (Ouest-France)

Meaux envie Sainté et son synthé

19/01 08:32
Dans la dernière édition du Parisien, l'entraîneur meldois Samir Salah regrette que la neige empêche son équipe de préparer au mieux la réception de l'ASSE en 16ème de finale de Coupe de France.

"Depuis mardi, c’est vraiment la galère! Hélas ! Nous ne serons pas à 100% physiquement. Nous avions tout prévu, tout anticipé, sauf la… neige! Mercredi, on a dû se contenter d’un entraînement en salle. Pendant ce temps, les professionnels stéphanois pouvaient s’entraîner sur un synthétique couvert. C’est là qu’on voit la différence entre le monde pro et nous. Nous aussi, on a un terrain synthétique, mais il était totalement recouvert de neige. Du coup, la séance de jeudi n’a pu se dérouler que sur une demi-moitié de terrain. La Ligue de Paris a décidé de reporter toutes les rencontres de ce week-end. C’est sûr que ce n’est pas l’idéal. Pendant que Saint-Etienne joue tous les trois jours, nous, on s’est contentés d’un match amical le 9 janvier contre Senlis."

A Duvauchelle, l'arbitre a dû reporter le match de Créteil-Orléans un quart d'heure avant le coup d'envoi hier soir. L’idée de remettre cette rencontre de National à cet après-midi a été écartée, l'entraîneur cristollien Jean-Luc Vasseur n'ayant pas oublié l'ancien Vert qui sommeille en lui. "Il faut penser à nos voisins de Meaux et nos amis de Saint-Etienne, qui joueront ici mercredi prochain en Coupe de France. On ne va pas leur saccager la pelouse."

L'habit vert fait Lemoine

19/01 08:08
La Pravda du jour publie aujourd'hui un long entretien de Fabien Lemoine. Extraits.

"Frédéric Antonetti m'engueulait : "Tu as failli y rester sur le terrain, et tu pètes les plombs parce que je te laisse sur le banc !" C'était plus fort que moi, je n'arrivais plus à relativiser. Cela faisait des mois que je me trouvais pas mal à l'entraînement mais on me rabâchait que je n'arrivais pas à retrouver mon niveau d'avant blessure. Je suis tombé de haut lors d'un entretien avec Antonetti, quand il m'a annoncé que je ne faisais pas partie de ses premiers choix. J'aurais signé quinze ans au Stade Rennais ! Si je ne le revendique pas, j'ai vraiment la fibre bretonne. J'aime ma région et le Stade Rennais. Ça reste mon club.

Ma blessure avait freiné ma progression. Comme je ne jouais plus beaucoup, plus personne n'était prêt à parier sur moi. J'allais donc à Evian pour me relancer. Mais j'y perdais à tous les niveaux. J'ai fait faux bond à Evian, ça n'a pas été très glorieux. Je suis parti à Genève passer la visite médicale un lundi après-midi. Il y avait deux bâtiments : un pour le test d'efforts, l'autre pour le test cardiaque. Entre les deux, je rallume mon portable. Il est 16h30, 17h00 et j'ai cinquante messages de mon agent. Il me dit que Saint-Etienne vient de se manifester et de ne surtout rien signer à Evian. Je termine les tests et le soir je dîne avec les dirigeants savoyards. J'ai ensuite attendu jusqu'à 3h00 du matin pour réussir enfin à joindre Pierre Dréossi en République dominicaine. Je me suis couché à 6h30. Et à 8h30, j'ai pris la direction de Saint-Etienne.

Sainté, c'est un choix de cœur. J'ai toujours kiffé les ambiances de feu dans les stades et le jeu offensif. C'est pour ça que l'Allemagne me fait rêver et que je suis supporter des Verts. Ado, j'allais déjà les voir jouer en D2, à Laval. Je suis surtout un grand fan de l'époque spectaculaire d'Alex-Aloisio. Lors de ma dernière année au centre de formation à Rennes, je descendais de ma chambre voir leurs matchs tout seul à la télé, avec un maillot et l'écharpe des Verts sur le dos. Un jour, je me suis fait reprendre par Monsieur Rampillon, le directeur du centre. Il m'a dit : "Si tu veux aller à Saint-Etienne, vas-y !" Du coup j'ai arrêté de trop m'afficher en public avec le maillot stéphanois. Aujourd'hui, je ressens une grosse satisfaction en le portant."

Chauvin mais admiratif

19/01 07:41
Dans Le Progrès du jour, l'entraîneur brestois Landry Chauvin évoque la réception de Saint-Etienne (ce soir à 20h00).

"L’euphorie de la qualification, la satisfaction d’avoir redonné beaucoup d’espoir au peuple vert comme ils disent, va largement faire oublier la fatigue supposée. Je ne crois pas que ce sera un élément important. Très honnêtement c’est l’équipe qui m’a fait la plus grosse impression sur le plan offensif lors de la phase aller. A Geoffroy-Guichard, on s’était fait balader, manger. Elle va jouer l’Europe, par le biais des coupes du championnat, je n’en sais rien, mais elle va jouer l’Europe. Ce qui me plaît, c’est la construction de ce groupe depuis deux ou trois saisons, une certaine stabilité. C’est un exemple à suivre."

Cartoche, yes you CAN !

18/01 22:11
Attiré par l'Angleterre et les Etats-Unis, Patrice Carteron se plait au Mali. Avant de disputer sa première CAN avec les Aigles, l'ancien latéral stéphanois se livre dans la dernière édition de France Football. Extraits.

"Ma principale qualité de coach, je crois, c'est ma vitesse d'adaptation. Pour rattraper mon manque d'expérience, j'ai fait le choix de résider à Bamako, afin d'être en prise directe avec les mentalités maliennes. Je me suis également appuyé sur des gens comme Robert Nouzaret. Ma perception des réalités d'ici m'a permis de grandir en tant qu'homme. Ailleurs, on est tellement le nez dans le guidon qu'on ne voit pas au-delà du bout de son nez. Je découvre des choses différentes, sur le plan culturel notamment. Je change et m'ouvre au reste du monde. Etre ici à Bamako, a changé ma vision de la vie. Par rapport aux joueurs africains, les entraîneurs européens devraient plus faire attention à ce que représentent pour eux leur pays et la famille. Tout ça, je l'ai vécu ici.

Il faut respecter les traditions. Respecter pour se faire accepter soi-même. Ça passe par beaucoup d'échanges. Moi, je suis à la Fédé tous les jours, je discute avec le président et le vice-président, afin qu'il n'y ait pas de décalage. L'actualité et le quotidien du pays influent sur mon travail. Il y a l'instabilité politique liée au conflit dans le nord du pays. Récemment, je n'avais pas encore reçu la réponse des autorités par rapport à ma feuille de route pour préparer la CAN. J'ai également assisté à une collecte de fonds à la télévision en faveur des Aigles. Une sorte d'"Aiglethon" compte tenu de la crise. C'est très révélateur de cet amour pour la sélection, de ce patriotisme, alors que les joueurs viennent surtout d'Europe.

Je suis sélectionneur en Afrique par choix, pas par manque de choix. Je voulais entraîner à l'étranger. J'ai reçu plusieurs propositions d'Algérie, de Tunisie, des Emirats et même de Chine. J'ai accepté le Mali, de loin celle qui financièrement était la moins intéressante, parce que vivre une CAN avec le Mali passait devant toutes les offres. Vraiment ! J'aimerais bien que les Aigles fassent au moins aussi bien qu'en 2012, alors qu'on ne les attendait pas. Ça mettrait du baume au cœur. Aujourd'hui, je me sens bien dans ce que je fais. L'idée de rentrer en France me démange-t-elle ? Pas vraiment. J'avais envie de vivre autre chose. Après la CAN, il y aura les éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Après, au-delà de tout ça, l'Europe c'est oui. Bosser en Angleterre me plairait. Les Etats-Unis aussi."

Willy a les boules

18/01 20:24
Le tirage au sort des 32èmes de finale de la Coupe Gambardella sera effectué par Willy Sagnol le jeudi 24 janvier 2013 à partir de 13h00 au siège du Crédit Agricole à Montrouge.

Pour rappel, les Verts ont réussi leur entrée en lice dans cette compétition en s'imposant 2-0 à Arles dimanche dernier grâce à un doublé de Romain Spano.

A 19 dans le 29

18/01 18:12
Galette a retenu 19 joueurs (dont Andreas Laudrup) pour le match de la 21ème journée dont le coup d'envoi sera donné à Brest demain soir à 20h00.

Ruffier, Moulin -  Brison, Clerc, Mignot, Perrin, Polomat, Sall, Zouma - Clément, Cohade, Guilavogui, Lemoine, Sagna - Aubameyang, Brandao, Mayi, Mollo, Laudrup.

Ben reprendra du jambon ?

18/01 13:37

C'est en tout cas ce que croit savoir la Pravda qui explique cette semaine, que le très intermittent du spectacle Yohan Benalouane devrait s'engager définitivement avec Parme.

Actuellement prêté par Cesena au club Parmesan, il pourrait être cédé pour 1,5M€. Même s'il n'est pas titulaire indiscutable, il a néanmoins joué 9 matchs de série A cette saison (8 titularisations) ce qui représente son temps de jeu sur l'ensemble de la dernière saison avec Cesena. Selon la Pravda, la signature pourrait intervenir très vite, car notre maître-es amorties de la poitrine serait également courtisé par Dortmund (ndp² : la pravda, ils gobent vraiment tout ce que les agents leur servent).

Ferradj se remet au vert (2)

18/01 10:38
Retenu dans le groupe brestois qui recevra Sainté demain soir à 20h00 lors de la 21ème journée, Brahim Ferradj se confie aujourd'hui dans Le Télégramme.

"Saint-Etienne, ça me parle ! Je suis né là-bas, ma famille et ma fiancée y habitent. Mais je n'ai jamais joué à l'ASSE, seulement à l'Olympique Saint-Etienne, le club rival chez les jeunes. Avant de choisir, à 12 ans, de rejoindre l'AJ Auxerre, ce que je n'ai jamais regretté. Jouer un jour à l'ASSE? Cela me ferait énormément plaisir. Mais ce n'est pas mon objectif du moment. Je peux continuer à vivre de mon métier à Brest, où il me reste un an et demi de contrat, ou ailleurs."

Débuts réussis pour Faouzi !

18/01 05:55
Faouzi Ghoulam a réussi ses débuts en sélection algérienne en battant 4-1 le club sud-africain Platinum Stars hier en match de préparation de la Coupe d'Afrique des Nations. Titulaire, le défenseur stéphanois a plu à Vahid Halilhodzic : "C’est un bon joueur, il commence à s’adapter avec le groupe et j’estime qu’il a fait un bon match. C’est un jeune joueur qui a un bel avenir devant lui. Sachez que si je n’avais pas besoin de lui, je n'aurais pas fait appel à lui."

Le numéro 13 de l'ASSE a livré ses impressions au Buteur à l'issue de la rencontre.

"Globalement, je suis satisfait de mon rendement. J’ai essayé de me placer plus haut pour pouvoir apporter du soutien à l’attaque et la rentrée de Lacen, en seconde période, m’a permis d’avoir plus d’opportunités dans le jeu. Il y a eu une bonne entente entre nous, il m’a beaucoup aidé sur le couloir gauche, tout comme Soudani qui a évolué sur le même côté. Les joueurs m’ont facilité la tâche, il y a une bonne ambiance, je me suis senti tout de suite comme étant un membre de la famille de l'équipe nationale. A l’approche du match contre la Tunisie, il est normal qu’on ressente un peu de pression, il s’agit quand même d’un match très important et d’un derby en plus. C’est le premier match, il est important de bien l’aborder. Mon objectif personnel en rejoignant la sélection nationale ? Au départ, c’était de jouer mon premier match en tant que titulaire. Maintenant, c’est de réussir cette CAN avec tout le groupe."

Roro est un pousse-aux-primes !

17/01 21:04
Comme l'a révélé aujourd'hui Le Parisien, les joueurs stéphanois n’auraient touché aucune prime en Coupe de la Ligue en cas d'élimination avant les demi-finales. Pour les tours suivants, il a été convenu que le club et l’effectif se partageraient à part égale la dotation versée par la LFP. L’accession à la finale assure donc 30 000 € à chaque Stéphanois. Cette somme grimpera autour de 45 000 € en cas de victoire !

La FFF préserve la réserve

17/01 20:41
En raison des mauvaises conditions météorologiques, la Fédération Française de Football a décidé de reporter le match de CFA qui devait opposer l'ASSE à Martigues ce dimanche à l'Etrat.

"Si j'avais la certitude d'y aller ce week-end et de prendre les quatre points je dirais que c'est une mauvaise nouvelle, mais je pense que ça peut-être une bonne nouvelle"
a réagi le coach martégal Jean-Luc Vannuchi sur Radio Maritima.

Guarin en froid avec Sainté...

17/01 19:31
... mais pas avec les Verts ! En pleine bourre actuellement avec l'Inter de Milan, celui qui a relégué  Wesley Sneijder sur le banc revient sur ses vertes années aujourd'hui dans la Pravda.

"Je me rappelle surtout du froid ! Il n’y avait rien à faire dans la ville. Cela s’est bien passé avec Ivan Hasek puis Laurent Roussey est arrivé et je n’ai plus joué. C’est ça qui m’a plombé. Mais je n’ai aucun regret car je regarde toujours le bon côté des choses. Cela m’a permis de découvrir l’Europe, de forger mon caractère. Je remercie le club pour cela. Les fans étaient géniaux ! Je m’entendais très bien avec Loïc Perrin et j’aimerais d’ailleurs prendre de ses nouvelles. J’ai vu que l’ASSE jouerait la finale de la Coupe de la Ligue. C’est super !"

Elle recherche des potos, Karé !

17/01 18:44
Avis aux très nombreux potonautes franciliens ! La société Karé Productions produit en ce moment le film "Des Lendemains qui chantent", réalisé par Nicolas Castro, avec dans les rôles principaux, Pio Marmaï (formé au Conservatoire de Sainté), Laëtitia Casta et Gaspard Proust.

Pour une séquence du film dans laquelle a lieu (entre autres) un match de Saint-Étienne en mai 1981, le producteur cherche de vrais supporters des Verts, avec des maillots, écharpes, etc...

Le tournage aura lieu à Paris les mardi 5 et mercredi 6 février. Pour le 5 février, il s'agit d'un décor de plus de 100 personnes, soit 75,22 € brut. Le 6 février, la rémunération est de 96,22 € brut pour la journée.

Si cette annonce vous intéresse, merci de contacter le 06 34 25 51 03 ou d'adresser un courriel à l'adresse suivante : generationmcasting@gmail.com.

Pivot toujours vert !

17/01 12:32
Devenu aussi accro à twitter que Janot et Oswaldolepoto réunis, Bernard Pivot (77 ans) a laissé éclater sa joie sur son compte : "Vraiment heureux que les Verts de Saint-Etienne viennent jouer la finale de la Coupe de la Ligue au Stade de France! Impression de rajeunir."

Sainté (audi)mate Rennes !

17/01 12:03
Retransmise hier sur France 2, la deuxième demi-finale de la Coupe de la Ligue Rennes-Montpellier a attiré 2,427 millions de téléspectateurs pour 10% de parts d’audience. Un score moins élevé que celui enregistré la veille par France 3 : la rencontre Sainté/Lille a captivé 2,784 millions personnes, soit 12.2% de parts d'audience.

Costil hostile

17/01 11:05
Adversaire des Verts le 20 avril prochain au Stade de France, le gardien rennais Benoît Costil évoque la finale de la coupe de la Ligue dans un entretien paru aujourd'hui sur le site du Figaro.

"Je suis super content. Parce que Rennes est un club qui se fait souvent taper dessus. Mais, quand on est à l'intérieur, je peux vous dire qu'il mérite d'être récompensé, qu'il bosse très, très bien. Aujourd'hui, on ne fera pas taire certaines langues, mais en tout cas on est content pour nous, pour les gens qui travaillent au club, les gens qui aiment le Stade Rennais, voilà l'essentiel.  Je n'ai pas été surpris par l'envahissement du terrain.  Je crois que Saint-Etienne avait ouvert la voie la veille. Nos supporters se sont un peu fait engrainer, mais tant mieux : on avait le sentiment d'être champions de France !

J'ai connu le Stade de France en 2008, avec Vannes mais sur le banc…  Ce stade représente beaucoup de choses, mais c'est tellement loin. Quevilly ? il faut arrêter d'en parler. Ça en devient lassant… Les gens qui disent que le Stade Rennais ne réussit jamais nous cassent les pieds. A la fin, on en entend tellement parler qu'on n'y prête même plus attention. Donc je vous le dis : cette Coupe de la Ligue, on ne l'a pas gagnée encore. Quoiqu'il arrive, ce sont deux clubs, Rennes et Saint-Etienne, qui méritent le succès."

Trop de pénalties, larmes à St Denis ?

17/01 10:59
La qualification pour la finale de la Coupe de la Ligue aura été accrochée, c’est le moins que l’on puisse dire. Avec des séances de tirs au but en 1/16è, 1/4, et 1/2, Sainté est en train de devenir la reine du suspense. Et pourtant, d’autres clubs ont déjà vécu cette passe de trois en Coupe Moustache !

En 96/97, Bordeaux s’incline aux pénos en finale contre Strasbourg, après avoir écarté Montpellier en demi et Caen en quart de cette façon. Deux victoires pour une défaite : la pire.
En 97/98, les Girondins remettent ça : nouvelle défaite en finale à la loterie contre le PSG, après avoir sorti l’AJA en demi et le Stade Poitevin en quart au bout de la nuit.
En 2003/04, c’est au tour de Nantes d’être roi des nuls en coupe. Après avoir sorti Le Mans en quart et l’AJA en demi, les tireurs nantais se ratent en finale contre Sochaux.

Enfin, en 08/09, Vannes sort aux pénalties Valenciennes en seizièmes, Metz en quart et Nice en demi – même parcours que l’ASSE. La finale sera d’un autre acabit : après 12 minutes, les Bordelais (très présents, décidément) mènent déjà 3-0 ; l’addition finale sera encore alourdie d’un but.

En revanche, personne n’a joué 4 séances de tirs au but dans la même édition.

Si l’on résume : grâce au poteau de Balmont et au pigeon qui s’est sacrifié sur le tir de Gueye, les Verts deviennent les cinquièmes à jouer trois victoires en Coupe Moustache aux pénos, mais seulement les seconds à toutes les gagner. Attention toutefois : aucun de nos prédécesseurs n’a ramené la coupe de Saint-Denis…

A Meaux ouverts (2)

17/01 10:17
Ouverte avant-hier, la billetterie pour la rencontre de Coupe de France Meaux-Sainté (mercredi 23 janvier à 19 heures à Créteil) fermera sans doute aujourd’hui.

Selon la dernière édition du Parisien, il ne reste plus qu’une poignée de tickets à vendre. "Beaucoup de gens ont acheté des places par dizaines" explique la secrétaire du club meldois Catherine Doolaeghe. "Un monsieur m’en a même demandé vingt-quatre d’un coup, un autre quarante-deux. C’est pour leur club et les offrir aux gamins. A ce rythme-là, forcément, ça part vite."

Parmi les demandeurs, évidemment des Verts, comme un prénommé Guillaume : "Je viens voir Meaux car je suis meldois. Mais je viens surtout supporter Saint-Etienne parce que c’est mon club favori."

Un autre Nanard ému par Rocheteau

17/01 08:43
"C'est la première fois de ma vie que pleure à cause d'un match. Ça doit être l'âge, je deviens sénile" déclare Dominique Rocheteau dans la Pravda du jour. Comme Caïazzo, un autre Bernard a commenté hier l'émotion de l'Ange vert. Alors qu'il a souvent cassé du Stéphanois sur son blog, l'écrivain niçois Morlino en vient même à souhaiter une victoire des Verts le 20 avril prochain !

"ll a fallu attendre les tirs au but pour voir Lille craquer et laisser la place de finalistes aux Verts, au terme d’un 0-0 à la fin des prolongations. A ce moment-là, on a vu la foule envahir le terrain. Nous sommes à Saint-Etienne, les autorités fermeront les yeux. Si cette scène avait eu lieu à Nice, mon club prendrait 4 matchs à huis clos ! Passons… Nous devons retenir les larmes de Dominique Rocheteau, à l’endroit même où il devint une icône du football, suite à sa classe internationale. Oui, Rocheteau pleurait et cela faisait office de catharsis. Il pleurait comme jadis pleuraient Michel Hidalgo, Tigana, Pelé, Maradona, Gascoigne et Boli. Aujourd’hui, les joueurs ne pleurent plus. La robotique est passée par là. Rocheteau incarne un football romantique. Attention, cela ne veut pas dire trop gentil.

Il aimait la musique, la littérature, le cinéma, la politique et le football. Il les aime toujours d’ailleurs. Il porte en lui une part d’ombre que les médias n’ont jamais réussi à percer. J’ai l’honneur d’être son ami. Je témoigne ici de sa très grande intelligence associée à une immense sensibilité. C’est un homme qui ne trahit pas. Il a renoncé à sa carrière d’agent car il hait les coups bas. Il est si loin des bas du plafond qui étaient dans le bus des Bleus en Afsud. Voir pleurer Dominique Rochetau fut un grand moment. Non pas de télévision, mais un grand moment au plan humain. Rien que pour lui, j’espère que l’ASSE va remporter la Coupe de la Ligue 2013. Les joueurs actuels doivent soulever le trophée pour le donner à Rocheteau. Dominique Rocheteau est l’homme le plus lucide que je connaisse. Une lucidité effrayante."

Fabulous Fab

17/01 06:29
Dans la dernière édition du Progrès, Fabien Lemoine revient sur la qualification des Verts en finale de la Coupe de la Ligue. Extraits.

"C'est fabuleux, fabuleux ! On n’a pas eu des tirages faciles pour arriver jusque-là. Après avoir sorti Paris, on élimine encore un très « gros » du championnat. Avec le jeu qu’on a produit, tous les efforts qu’on a faits, on mérite d’être en finale. Maintenant il ne faut pas s’arrêter là. La finale n’est belle que lorsqu’on la gagne. Cette qualification fait d’autant plus plaisir qu’on a un groupe exceptionnel. On s’entend tous très bien, c’est familial, sain. Tout le monde discute avec tout le monde. On se bat les uns pour les autres. Il y a une grosse solidarité, beaucoup de courage, des valeurs que l’on retrouve ici. Aller à Paris avec cette équipe-là, ça va être énorme. L’émotion du Stade de France, c’est de superbes joies. Je pense qu’on va vivre quelque chose de grand. J’aurais du mal à supporter une défaite face au Stade Rennais, si jamais il devait y avoir défaite le 20 avril. On verra. Nous, on y est, c’est le principal. Maintenant, une finale, ça se joue, ça se gagne. Il y a toujours une équipe triste et une heureuse. J’espère qu’on fera partie des heureux.

Ma plus  grande joie de footballeur ? Il y avait déjà eu cette demi-finale de Coupe de France remportée à Grenoble avec Rennes. C’est similaire. Quand je suis revenu de ma blessure, c’était aussi exceptionnel. Mais ici il y a un truc en plus, c’est particulier, on ne peut pas le cacher. L’ambiance du Chaudron et ce qui se fait ailleurs, c’est complètement différent. Les supporters sont toujours derrière nous. Quand c’est compliqué, ils poussent, ils poussent. On a deux groupes de supporters qui font énormément de bruit. Malheureusement, ces derniers mois, il y en a toujours un qui est défavorisé avec un petit emplacement. La saison dernière c’était les Magic. Aujourd’hui, ce sont les Green. La saison prochaine, avec les deux tribunes, on aura un Chaudron bouillant. En tout cas, nous les joueurs, on fait le maximum pour avoir de grandes soirées à Geoffroy-Guichard."

A bientôt Anto !

16/01 21:49
Vainqueur 2-0 ce soir contre Montpellier, le Stade Rennais sera l'adversaire de l'ASSE le 20 avril prochain au Stade de France. "Les Verts seront là, ce sera une belle finale" a déclaré Frédéric Antonetti à l'issue de la rencontre.

La vérité, Nanard !

16/01 20:15
La vérité, Nanard s'est pris pour Gad Edmaleh aujourd'hui sur  RMC !

"Comme dit le film, on peut dire que si la brigade du kiff débarque à Saint-Etienne, on prend tous pour perpète ! En ce moment, c'est une grande joie partout en France. Ça nous a fait quelque chose de voire Dominique touché comme ça. Ce n'est pas quelqu'un de très expansif, tout est à l'intérieur. Pendant trente ans, le ventre de Dominique ne remue pas bien, parce que pour lui les Verts ne tournaient pas comme il voulait que ça tourne. Aujourd'hui, il sent quelque chose qui lui rappelle des souvenirs d'enfance. Son émotion ressort. C'était très beau cette scène, comme le bisou de Roland sur Ruffier. J'ai plus confiance en Roland qu'en moi-même. Je sais qu'il défend les intérêts du club mieux que je ne le ferais. C'est quelqu'un qui est plus rigoureux, plus attentif. Roland sait que je suis plus dans un projet de réflexion, il faut bien que quelqu'un réfléchisse à ce qui va se passer quand le stade va arriver, comment on va le remplir, qu'est ce qui se passe dans les autres pays, que font les autres clubs européens. Les Sanogo, les Bergessio, les N'Daw, c'est fini ! Les 300.000 € de salaire mensuel qu'on avait donné à Gomis, c'est fini !"

PEA, à Brest pour le réveil ?

16/01 16:00
Revenons un peu sur terre : le Stade de France, c'est dans trois mois. En attendant, va falloir se réveiller en championnat.

En parlant de réveil, s'il y en a bien un qu'on aimerait voir tomber du lit, c'est Aubame. Le meilleur buteur stéphanois est muet depuis le 10 novembre. 895 minutes de jeu sans marquer. Ca fait tache.

Ca tombe bien, notre Gabonais préféré aime bien le stade Brestois. La saison passée, il marque en effet deux fois à Francis Le Blé (score final 2-2) et donne la passe décisive du but de la victoire à Sako au retour (victoire 2-1). Cette saison,  il réalise à l'aller un doublé à Geoffroy Guichard pour une large victoire 4-0.

C'était d'ailleurs ses deux premiers buts de la saison. Bis repetita ?

Un Eléphant sans défense

16/01 12:16
Vainqueur des Pharaons avec les Eléphants avant-hier à Abou Dabi, Max Gradel s'est confié à l'AFP.

"J'ai saisi une très belle opportunité en signant avec l'ASSE dans les derniers jours du mercato en août 2011. C'était aussi un rêve pour moi de jouer en L1 avec une partie de ma famille vivant en France. Je me suis très bien adapté dans un championnat français qui est l'un des plus durs au monde. Je ne demande qu'à progresser encore.

En sélection, on me demande moins de défendre qu'à Saint-Etienne. Je veux tout donner pour mon pays. Nous n'avons pas à nous cacher. Nous venons pour gagner et nous avons toutes les qualités pour l'emporter. Nous assumons notre étiquette de favoris. Il manque très peu de choses si ce n'est de la chance, parfois, dans certaines grandes compétitions pour figurer parmi les nations majeures du football mondial. Le travail accompli dans le passé a déjà permis de réaliser de gros progrès."

Fredy en demi

16/01 10:37
Fredy Guarin a été hier l'un des principaux artisans de la qualification de l'Inter de Milan en demi-finale de la Coupe d'Italie. Après avoir ouvert le score d'une frappe somptueuse en pleine lucarne, l'ancien milieu de terrain stéphanois a délivré sur corner une passe décisive à la 120ème minute de la rencontre.

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