Aubame, il a doublé !
15/02 18:02
Il n'a fallu que 21 minutes cet après-midi à Aubame pour claquer un doublé en Bundesliga face à l'Eintracht Francfort qu'il avait déjà crucifié en coupe il y a quatre jours. Le Borussia Dortmund s'est imposé 4-0 à domicile et PEA est désormais 3ème meilleur buteur du championnat allemand avec 13 pions claqués en 20 matchs.
La vilenie a gagné
15/02 16:38
Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum : les U17 de l'ASSE ont perdu 2-1 contre les vilains sous la pluie cet après-midi sur le terrain synthétique de Chamboeuf.
Portés par les encouragements des Green Angels, de Laurent Batlles et de Jean-Djorkaeff (venu encourager son petits-fils Oan), les petits Verts ont réalisé une bonne entame avant de perdre progressivement la maîtrise du jeu. Les banlieusards en ont profité pour ouvrir le score par Thomas Richard juste avant la mi-temps.
En seconde période, les Stéphanois ont eu plusieurs occasions franches d'égaliser. Après avoir sorti du bout des doigts un tir lointain de Geoffroy Jencel qui prenait la direction de la lucarne (48'), le portier visiteur a été tout heureux de voir une tête smashée de Rayan Souci passer juste au dessus (62'). Il a ensuite eu la chance de voir la tête d'Augustin Bangoura repoussée par la barre transversale (65').
Deux minutes plus tard, sur leur deuxième occase de la rencontre, les vilains ont fait le break par Timothé Cognat suite à débordement côté gauche. Sur un corner à la rémoise joué par Dylan Chambost et Augustin Bangoura, Benjamin Aulagnier a réduit le score à l'entame du dernier quart d'heure. Les Verts ont poussé pour égaliser sans y parvenir malgré une tentative de Victor Dutreive (82') et plusieurs ballons dans la boite dans le temps additionnel.
La compo : Maisonnial - Mendy, Nadrani (cap), Dieng, Pétrot (Bon, 82') - Souici, Bangoura, Jencel - Chambost, Djorkaeff (Dutreive, 55'), Nordin (Aulagnier, 70').
La réaction de Gilles Rodriguez, co-entraîneur avec Lionel Vaillant : "On est très déçu du résultat. Les Lyonnais ont eu une meilleure maîtrise, c'est incontestable. On a poussé mais on jouait plus à l'énergie qu'autre chose. Les Lyonnais avaient plus de métier, ça fait partie du bagage. On avait l'occasion de les détrôner en cas de victoire mais maintenant la première place s'éloigne. On va remobiliser les garçons pour jouer la deuxième place même si ce sera dur. On a fait vingt bonnes premières minutes avant de retomber dans nos travers, il n'y avait plus de jeu. On était en retard sur les duels. On a quand même un peu plus joué qu'à l'aller, surtout en seconde période. Je comprends pourquoi Lyon a la meilelure défense de la poule, c'est très solide derrière. Chez nous, offensivement, des garçons sont passés au travers, il faut le reconnaître. Le résultat est logique. Dès mardi on se remet au boulot, la saison est encore longue."
Foi de Mollo !
15/02 12:30
Dans la dernière édition de la Pravda, Yohan Mollo parle de sa foi.
"Je reste attaché à mes racines gitanes. L'an passé, je suis allé avec toute ma famille aux Saintes-Maries-de-la-Mer effectuer le pélerinage de Sara. J'étais là-bas en claquettes, en short et torse nu, très discret. Mon éducation m'a appris que les gens qui font du bruit n'allaient pas très loin dans la vie. Je suis très croyant, je suis catholique. Je me suis fait tatouer un chapelet qui part du poignet droit et remonte jusqu'au coude, et autour duquel sont inscrits les prénoms Albert, Angel et Maeva. Ce sont ceux de mon père, de ma mère et de ma soeur.
Je ne sollicite pas l'aide de Dieu avant un match car le Seigneur est occupé à des choses bien plus graves. Je comprends que des joueurs prient à ce moment-là. C'est souvent la religion qui leur a donné cette force de se battre tous les jours. Mais le faire, c'est égoïste. Je l'ai été une fois, après avoir raté mon tir au but en demi-finale de la Coupe de la Ligue contre Lille. Je me suis agenouillé sur la pelouse et j'ai demandé au Seigneur de m'aider à ne pas tout gâcher. Je ne regrette pas mon geste car on s'est qualifié !"
Linganzi revient sur ses vertes années
15/02 11:29
Evoluant à Gillingham (D3 anglaise) depuis juin 2013, l'ancien milieu de terrain de l'ASSE Amine Linganzi (24 ans) revient sur ses vertes années dans un intéressant entretien paru sur le blog kick-off.
"Quand j’étais à Cannes, j’avais plusieurs propositions. Sauf que le club les cachait un peu pour me garder (rires). L’entraîneur est venu un jour me dire les clubs intéressés. On a parlé, il m’a conseillé. J’avais l’occasion de faire un essai à Marseille. Nice était dans le coup aussi, mais il y avait une rivalité avec Cannes. Mes coéquipiers ne les aimaient pas et je les trouvais trop arrogants. Saint-Etienne, je ne connaissais pas trop, mais je voyais les Feindouno, Piquionne, j’aimais bien cette équipe. Je savais aussi que le climat, ce n’était pas ça (rires). J’avais bientôt 17 ans et j’ai signé comme aspirant, en intégrant le centre de formation.
"Je mets toujours beaucoup de temps à m’adapter. J’ai mis bien trois ou quatre mois, mais le club ne m’a pas mis de pression, même au niveau scolaire. Au foot, chaque année ils faisaient un bilan. Moi, c’était du genre : « Amine, ça va, mais tu es un peu nonchalant. » Ma mère me mettait une pression pour l’école. J’ai eu la chance d’avoir des professeurs qui m’aimaient beaucoup. Ils appelaient ma mère pour dire : « Amine fait-ci, fait-ça, etc. » Bon, j’ai arrêté à 18 ans quand ils m’ont proposé un contrat professionnel de trois ans.
Dans ma formation, ils ont vraiment mis l’accent sur la technique. En France, on avait souvent l’image de Patrick Vieira. Moi et Guilavogui, on était assez similaire, donc ils avaient accentué notre progression sur le style de Vieira. Dans le jeu, le ballon devait passer par le milieu et on orientait. C’était parfait, tu ne pouvais que progresser. Sauf qu’à l’époque, j’étais très, très têtu (rires). J’avais déjà mon caractère. Je n’avais peut-être pas le bon exemple, mais vu qu’on était du même coin, j’étais souvent avec Gigliotti. Il m’a pris sous son aile quand j’étais dans le centre, autant dans ma vie d’homme que de footballeur.
Laurent Roussey voulait vraiment me faire progresser au milieu de terrain avec Blaise. A l’époque, les entraîneurs nous parlaient souvent de Blaise pour son activité physique. Mais ça, c’est un don. Quand tu as 19 ans, tu dois réaliser ce dont tu es capable et tu ne peux pas courir comme Blaise ! Tu compenses par autre chose. J’avais quand même un bon petit gabarit, donc je jouais sur ça. Pour l’anecdote, Ilan me disait : « Sers-toi de ton corps ! » J’ai fait quelques apparitions. Malheureusement, avec les blessures et le changement d’entraîneur, ça a été très, très compliqué. Quand Alain Perrin est arrivé… Tu pouvais échanger avec Roussey, il était calme, proche de ses joueurs. Il avait même un rapport paternel avec moi. Avec Perrin, l’ambiance était un peu plus froide. Pour donner un exemple, avec Roussey, j’aimais bien faire des centres à Manu Rivière après les entraînements pour qu’il mette des reprises. Avec Perrin, c’était « Non, vous arrêtez tout, rentrez aux vestiaires. »
Le problème aussi, c’est que j’avais un petit orgueil. C’était peut-être l’insouciance d’un jeune professionnel, mais je croyais que j’allais tout casser. J’ai appris à taire mon orgueil seulement quand je suis arrivé en Angleterre. Qui m’a impressionné ici ? Le problème, c’est que j’ai commencé quand Feindouno est parti. C’est un artiste. Je ne veux pas dire que c’est un talent gâché, mais il aurait pu faire beaucoup mieux. Il avait vraiment des qualités…. Quand il voulait, il était exceptionnel ! Blaise, c’est un mec très, très simple. Il ne se prend pas la tête, jamais un mot plus haut que l’autre. Techniquement, il a progressé, surtout depuis son arrivée à Paris. A Saint-Etienne, il était dans les tâches défensives. Ce ne sont plus les mêmes joueurs si tu compares ! Gomis ? Honnêtement, c’était un exemple. Il a énormément, énormément bossé. S’il en est là aujourd’hui, c’est uniquement grâce à lui. Il a bossé comme un chien. Ça a inspiré Manu Rivière."
Hip hip hip Saoura !
15/02 10:53
Samy Houri (28 ans) a marqué son premier but sous les couleurs du Club Sport Constantinois hier après-midi contre Saoura (entraîné par Alain Michel) lors de la 19ème journée du championnat algérien. Pour rappel, l'ancien milieu de terrain stéphanois avait rejoint l'Algérie en juillet dernier après avoir faux bond à Fréjus. Il évolue depuis le début de l'année sous les ordres de l'ancien Vert Bernard Simondi.
Je vous demande de vous arrêter
14/02 15:01
En conférence de presse, José Anigo a été interviewé sur son homologue, Galette : "Aujourd'hui il fait partie des meilleurs entraîneurs de France, ce qui n'est pas mon cas. C'est la vérité. Je le pense. Je dis ce que je pense. Je ne suis pas quelqu'un qui va raconter des belles histoires. C'est pour ça d'ailleurs que je suis tellement aimé, car je dis souvent ce que je pense ! Pour moi Galtier fait partie des meilleurs entraîneurs français. Moi, j'arrive, je vais prétendre à quoi ?"
A la question de savoir si l'OM pourrait s'intéresser à Galtier, Anigo ne dit pas non : "Et pourquoi pas ? C'est un mec qui a joué ici. Pourquoi pas. C'est quelqu'un qui a beaucoup progressé et qui est devenu un entraîneur de grande qualité."
Si ça gagne pas, ça débarrasse !
14/02 08:45
Rattrapé par la patrouille pour excès de cartons jaunes, le solide milieu de terrain Bastiais Romaric (21 matchs, 4 buts cette saison) sera suspendu pour la réception des Verts samedi 22 février (20h).
Hantz devra par ailleurs se passer de Landreau et Cioni blessés.
Nanard se marre
14/02 07:32
Dans la dernière édition de La Provence, Bernard Caïazzo s'amuse de voir l'OM et le QSG se liguer pour dénoncer l'accord entre la LFP et Monaco, qui garde son siège social sur le Rocher en contrepartie de deux versements de 25 M€.
"Il y a une injustice mais quelle est la solution ? On nous a affirmé que Monaco ne serait jamais exclu. Donc il valait mieux trouver un accord, et même un mauvais plutôt qu'un long procès. La somme n'est pas assez importante ? Mais quand Le Graët a demandé 200 M€, on a dit que c'était du racket ! On a besoin de Monaco pour optimiser nos droits télé, comme on a besoin du PSG et de l'OM. J"aurais plutôt préféré que Monaco s'engage à aligner 9 joueurs français sur les 18 de la feuille de match et à effectuer la moitié de ses achats en France... Je remarque que ce sont les clubs qui sont directement concurrents de Moanco pour la Champions League qui protestent, même si la signature du PSG m'a étonné. Paris qui marche avec l'OM, ce n'est pas toujours le cas !"
Clerc, c'est musculaire
14/02 00:20
Remplacé par Jonathan Brison dès la 32ème minute lors du dernier match des Verts à Toulouse, François Clerc souffre d’une lésion musculaire à la cuisse. Galette a confié au Progrès que le latéral droit sera indisponible trois semaines. Josuha Guilavogui devrait quant à lui reprendre l'entraînement en début de semaine prochaine.
Ghoulam reprendrait bien une coupe
13/02 22:04
Après avoir soulevé la Coupe de la Ligue le 20 avril dernier, Faouzi Ghoulam tentera de remporter la Coupe d'Italie le 3 mai prochain au Stade Olympique de Rome contre la Fiorentina. Le Napoli s'est en effet qualifié hier pour la finale en battant l'AS Roma de Rudi Garcia 3-0. Une nouvelle fois titulaire, l'ancien latéral gauche des Verts a encore réussi un drop comme l'atteste la compilation vidéo de Farid.
Jeu de pied, jeu de convoqué
13/02 22:01
Suite à son tacle sur Benoît Trémoulinas, le Toulousain Uros Spajic sera convoqué le jeudi 6 mars par la commission de discipline de la Ligue qu'on adule.
La goutte d'eau qui a fait déborder le vase
13/02 21:31
Après le match Bordeaux-Sainté du 26 janvier dernier, le rebouchage des trous de la pelouse du stade Chaban-Delmas s'est fait à la main. Selon la dernière édition de Sud-Ouest, l'opération a duré plus de 100 heures ! Directeur de la jeunesse et des sports à la mairie de Bordeaux, Frédéric Gil ne décolère pas.
"On voyait que le terrain était injouable. On l'a démontré aux arbitres, mais ils ont maintenu le match quand même. Le problème, c'est que la Ligue de football ne nous considère pas comme des interlocuteurs. Après ce match, Alain Juppé a dépêché des huissiers au stade Chaban pour faire constater le mauvais état du terrain. Il a ensuite envoyé une lettre de protestation à Frédéric Thiriez, président de la Ligue de football. Deux semaines après, ce dernier n'a toujours pas répondu. Le terrain est déstructuré, rien qu'à pied, on s'y enfonce à mi-chaussures !"
Sinama passe à l'Oural
13/02 19:10
Remis de sa grave blessure du 18 mars 2013, Florent Sinama-Pongolle (29 ans) n'a joué que 25 petites minutes en match officiel depuis le début de saison. Avant de reprendre la compétition le 2 mars prochain lors des quarts de finale de la Coupe de Russie, l'ancien attaquant stéphanois s'est illustré avant-hier en réalisant un quadruplé en amical contre Oural Iekaterinbourg.
Zouma parle de Zouma
13/02 18:01
Défenseur central de Sochaux, Lionel Zouma parle de son frère Kurt dans un entretien publié aujourd'hui sur le site Goal. Extraits.
"Je me suis servi de lui comme modèle. On s’appelle beaucoup et il me donne des conseils, c’est lui le premier à avoir débuté en Ligue 1 ! On joue dans le même championnat donc j’ai souvent joué contre des équipes qu’il avait déjà rencontrées. En le voyant joué, être surclassé et devenir international, ça m’a boosté. On s’est même donné un challenge, à l’arrivée je vais même essayer de le dépasser !
Il m'a parfois fait de l'ombre, je ne vais pas le cacher. Mais je pense que c’est normal dans la mesure où il a débuté avant moi alors que je suis l’ainé. Souvent on me chambrait en me disant « Kurt est en Ligue 1 et pas toi, comment ça se fait ? » J’ai toujours répondu qu’il le méritait et qu’il avait de grosses qualités. Ça n’a pas été facile pour moi au début, on n’a pas eu le même parcours, on ne joue pas dans le même club. J’ai fait face à la concurrence et au final, la réussite de Kurt m’a encore plus encouragé.
Avoir un frère qui évolue au plus haut niveau, ça m'a bien plus servi que desservi. Les gens qui ont essayé de me faire croire le contraire, j’ai essayé de ne pas les écouter, même si j’avoue que cela m’a parfois rendu malheureux. Je suis toujours resté sur mes positions, à savoir ne jamais rien lâcher et me servir de Kurt pour devenir plus fort.
Ce qui le différencie de moi dans mon jeu, c'est l'aspect physique... Il est plus costaud que moi. On saute haut tous les deux mais il a un meilleur jeu de tête. Il va plus haut parce qu’il a la chance d’avoir de plus grosses cuisses ! (rires) Il est aussi plus technique donc plus facile à la relance. Moi je suis meilleur dans les duels et dans les un contre un parce que j’y vais plus que lui.
On a la chance de n’avoir qu’un an de différence. Je peux vous dire que nous sommes comme des jumeaux, on rigole tout le temps et nous sommes pareils. Je ne sais même pas ce qui peut nous différencier. On s’appelle tout le temps, on a toujours tout fait ensemble, les mêmes conneries aussi… Mais je n’en dirai pas plus !
On jouait ensemble dans les catégories jeunes. Lors d’un match important pour la montée en 14 ans fédéraux, nous avons tous les deux joué défenseurs centraux. On a tenu la baraque, on n’a pas pris de but et on a gagné 1-0 ! Notre père était venu nous voir. À la fin, on s’est sauté dessus, on criait, on était trop content. Je ne l’oublierai jamais."
Rudi gratta
13/02 14:12
Dans sa biographie, à paraître aujourd'hui en librairie, Rudi Garcia évoque ses souvenirs de carrière. La Pravda profite de l'occasion pour livrer quelques extraits, dont un concerne l'ASSE :
En janvier 2001, lorsque Gérard Soler, alors coordinateur à St-Etienne, lui offrit de co-diriger les Verts avec Jean-Guy Wallemme, l'ex-entraîneur-joueur de l'AS Corbeil (DH puis CFA2) essaya bien de "gratter" un peu plus d'argent mais son interlocuteur repoussa sa "revendication improvisée" : "Rudi, 100 000 francs (Ndlr : 15 000 euros), dis-toi bien que tu ne toucheras plus jamais moins de ta vie !"
Notons que dix ans plus tard, son lointain successeur sur le banc des Verts gagnait déjà environ trois fois plus.
Saint-Etienne, vivier d'anciennes quenelles
13/02 14:10
Dans son édition du jour, la Pravda s'est penchée sur les clubs européens fournissant le plus de joueurs évoluant dans les 5 grands championnats européens.
Si le Barça est sans suprise premier, on retrouve le vilain OL en seconde position avec 31 joueurs, l'occasion pour le quotidien de présenter une infographie de la répartition de ces joueurs.
Et là surprise !
Le club accueillant le plus de joueurs formés chez les vilains n'est autre que... l'ASSE avec 3 repentis: Renaud Cohade, François Clerc et Jérémy Clément.
On peut en déduire qu'à Sainté, on sait pardonner aux gens leurs erreurs de jeunesse...
Fouss de colère (2)
13/02 14:03
Impliqué lundi dernier dans une altercation qui s’est déroulée à la sortie des vestiaires après Tours-Nancy, Fousseni Diawara a été suspendu à titre conservatoire et passera devant la commission de discipline ce jeudi soir. Selon La Nouvelle République, l’ancien Vert. Témoin de la scène, Jean-Luc Ettori parle d'une "explication virulente front contre front avec l'un qui tombe et l'autre qui reste debout…" Et le président délégué tourangeau d'expliquer que Louis a passé son match à chambrer et surtout à insulter ses adversaires. "Je n'excuse en rien l'attitude de Fouss', mais il n'a fait que répondre à une provocation."
Roro se rit des Qataris (2)
13/02 07:20
Après avoir évoqué l'approche des Qataris hier matin sur France Bleu, Roro en remet une couche aujourd'hui dans Le Progrès.
"Le rachat par les Qataris, c’est la seule manière de bien fonctionner. Si on veut avoir un budget de 500 millions d’euros la saison prochaine, on est obligé de travailler avec les Qataris... (il coupe). Je vais redevenir sérieux. J'ai reçu hier un courrier d’une personne mandatée par un Qatari pour discuter d’un rachat de parts. Mais ce n’est pas sérieux. On ne croit pas au Père Noël... Un club qui veut un de tes joueurs, il t’appelle directement et ne passe pas par un intermédiaire. Là, c’est la même chose. Dans le football, il y a du fric. Or quand il y a du fric, c’est gangrené et il y a du monde partout. Si des Qataris étaient vraiment intéressés par l’ASSE, ils viendraient nous voir. Pour moi, c’est sans intérêt. Les Qataris ont des fortunes et ils ne vont pas les mettre à Saint-Etienne. S’ils ont repris le PSG, c’est aussi parce qu’ils ont acheté plein d’autres choses dans la capitale. Je ne pense pas un seul instant que des Qataris vont venir ici. Si c’était le cas ? Nous ne sommes pas intéressés pour vendre le club. Ce n’est pas du tout à l’ordre du jour. Le club fonctionne bien. Sans vouloir rouler les mécaniques, on est plutôt le bon élève de la Ligue 1 et on va continuer. Le club n’est pas à vendre."
Rev'là Tavla !
13/02 07:07
Ayant déjà mangé 10 biscottes cette saison en 19 matches de championnat, Stathis Tavlaridis (34 ans) a claqué son premier pion hier en renard des surfaces lors du quart de finale retour de la Coupe de Grèce. Mais l'Olympiakos de Paulo Machado a égalisé, éliminant ainsi Atromitos à la faveur du pion claqué à l'extérieur.
Casanova séduit
12/02 22:54
Les Verts ont séduit l'entraîneur toulousain Alain Casanova, interrogé aujourd'hui dans La Provence. Extraits.
"Saint-Etienne m'a fait forte impression par sa solidité, sa discipline, sa rigueur, sa force mentale et une volonté d'aller très vite vers l'avant. Les Verts posent des problèmes au moment de la transition offensive, à la récupération du ballon. Chez nous, ils sont venus attendre, contrer, avec un bloc très bas, peu de prises de risques, des contre-attaques éclairs, incisives. Ils sont dangereux dès qu'ils récupèrent le ballon, ça va vite vers l'avant avec Hamouma, Tabanou, Corgnet ou Gradel. Saint-Etienne ne nous a pas permis de mettre notre jeu en place, ils ont agi en fonction de nous.
Chez nous, les Verts visaient un point en comptant sur une ouverture pour un mini hold-up. Je les sens bien, ils sont souverains à domicile, avec un fort soutien populaire. L'OM doit retrouver une certaine solidité, ce qui est en cours, plus de constance, de régularité. Je vois Lille dans une spirale négative et Lyon devra faire face à un calendrier très chargé. Dans mon esprit, la troisième place se jouera entre Saint-Etienne et l'OM. Saint-Etienne me paraît le plus en forme sur le plan de la confiance. Mais l'OM, avec le retour d'André Ayew, le bien que procurent sept points sur neuf, aura une bonne dynamique."
C'est un Canari bye !
12/02 22:25
Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2014, Banel Nicolita n'a plus rejoué en L1 depuis son entrée en jeu à GG lors du dernier quart d'heure le 21 décembre dernier. Après avoir rencontré comme prévu les dirigeants des Canaris, l'ancien milieu de terrain stéphanois a annoncé aujourd'hui au site roumain Ring son départ de Nantes à la fin de la saison.
"Je suis libre l'été prochain. Je ne suis pas blessé, je m'entraîne avec l'équipe première mais je ne suis pas utilisé. J'ai discuté avec le président du club mais nous n'avons pas trouvé d'accord sur une prolongation de contrat. C'est la vie ! On m'a proposé un salaire inférieur à celui que je touche actuellement. L'entraîneur ne me fait pas jouer, je n'ai pas d'explication. J'espère retrouver une bonne équipe, en France ou en Angleterre, on verra."
Les Verts ont lessivé Ariel
12/02 21:25
Ayant perdu récemment à Marseille puis à Sainté, l'entraîneur valenciennois Ariel Jacobs donne son avis sur l'OM et l'ASSE dans la dernière édition de La Provence. Extraits.
"Les Verts ont ouvert le score, malheureusement pour nous, à la 45ème minute. A Saint-Etienne, en deuxième mi-temps, on avait un rouleau compresseur en face. L'ASSE baignait dans la confiance, ça se ressentait sur le terrain et au niveau du public. La situation était donc complètement différente de celle que nous avions vécue au stade Vélodrome. Il y avait plus de fraîcheur mentale dans la tête des Stéphanois. A l'ASSE, il y a de la rigueur et de la discipline. Lorsqu'on parle de l'OM, on pense d'abord à son compartiment offensif. C'est moins le cas à Saint-Etienne. En revanche, j'ai été marqué par le soutien inconditionnel des supporters à Geoffroy-Guichard. Ce sont des valeurs importantes à l'heure actuelle. Le fait d'ouvrir la marque contre eux ne va pas les perturber dans leur organisation et dans leur système. Ils respirent la confiance.
Pour autant que je puisse me prononcer, il y a moins d'attente autour de la troisième place du côté stéphanois qu'à Marseille. Il ne faut pas oublier que les Olympiens étaient en Ligue des champions et avaient un devoir d'être compétitif pour l'Europe. Les Verts, eux, sont arrivés là où ils en sont sans pression. Alors qu'à Marseille, elle est interne et externe. Sur les cinq derniers matches dans le Chaudron, les Verts n'ont pas encaissé le moindre but et ils en ont marqué une douzaine. J'ai senti un public qui restait de façon inconditionnelle derrière son équipe. On sent que ça vibre et que tout le monde y croit. L'OM est sujet à des critiques, plus rapidement que n'importe quel autre concurrent pour la troisième place. Ça se ressent et ça se retourne toujours, tôt ou tard, contre les performances de l'équipe. Au Vélodrome, il y avait pas mal d'espaces. Les approximations défensives marseillaises étaient réelles les semaines précédentes."
Le grand Kurt sur BeIN Sport
12/02 20:38
Kurt Zouma était aujourd'hui l'invité de l'émission Le Club sur BeIN Sport. S'il est ravi d'avoir signé chez les Blues, le numéro 4 de l'ASSE a conscience qu'il a une saison à (bien) finir à Sainté.
"Il y a eu un appel de Monsieur Mourinho. J’avais été prévenu. Il m’a parlé français, j’ai tout compris. Il m’a clairement dit qu’il me voulait. J’ai tout de suite sauté sur cette occasion. Les deux clubs se sont contactés, ils se sont mis d’accord dans les derniers instants du mercato. Tout le monde est content, ce n’est que du bonheur. Monsieur Mourinho m a parlé de Raphaël Varane au téléphone, il me l’a cité en exemple. Je l’ai eu dans un coin de ma tête. José Mourinho c’est l’un des plus grands entraîneurs du monde. Et puis, je suis fan de Chelsea depuis tout petit. C’est vrai que depuis que je suis pro, j’ai toujours eu un pépin, des blessures ou ma suspension. Il me manque peut-être une saison complète, un peu d’expérience. Mais en partant à Chelsea, je vais apprendre, je suis prêt et je vais m’épanouir là-bas. J’ai mon entourage, mes parents, mon agent, mes coéquipiers, mon coach qui me rappellent que je suis à Sainté. Je suis concentré sur ça. Je pense à m’épanouir ici, je suis très bien ici. Je ne pense pas encore à l’avenir. Christophe Galtier m’a dit que j’avais fait un bon choix. Il m’a toujours fait confiance. Je lui dois beaucoup. Je le remercie beaucoup. C’est lui qui m’a lancé. C’est une personne très importante pour moi."
Loïc Perrin parle de son jeune alter ego de la charnière centrale dans le reportage vidéo "Le grand Kurt". On y apprend notamment que le champion du monde U20 a remporté cette saison 72% de ses duels et a réussi 86% de ses tacles.
Roro se rit des Greens et des Qataris
12/02 10:52
Interviewé ce matin par France Bleu Saint-Etienne, Roland Romeyer s'est exprimé sur sa vision de l'avenir de l'ASSE à court et moyen terme.
Roro a répété entre autres viser la 3e place et à nouveau faire de bons parcours en Coupe lors de la saison prochaine, afin de ne pas entamer les finances du club pour retrouver la scène européenne. Il est également prêt à gérer la pelouse de Geoffroy-Guichard à condition qu'elle soit rénovée et chauffée aux frais de la municipalité.
Par contre, il n'est pas favorable à l'entrée de capitaux étrangers, spécifiquement venant du Golfe, au sein de l'ASSE: "J'ai encore eu hier une proposition de Qataris. Ils nous proposent de prendre une part dans notre capital. Ce n'est pas notre façon de voir".
On notera également une pique du président envers les Green Angels, avec qui la rupture semble de plus en plus consommée: "Les Magic Fans font un très gros travail d'animation. Les Greens sont devenus des supporters lambdas, ils n'existent plus"
Un nouveau Papy à l'ASSE
12/02 10:25
Jordan Galtier, le fils de notre bien-aimé entraîneur, est un heureux papa ! L'actuel joueur de Lège Cap-Ferret (CFA2), passé par Bordeaux, Fréjus et Arles-Avignon, a annoncé hier soir sur son compte Twitter, la naissance de sa fille Lily-Rose aux alentours de 23H.
Son grand-père, Christophe, est donc grand-père pour la première fois. C'est le deuxième Papy de l'ASSE, le premier étant bien évidemment Fabien Lemoine, surnommé ainsi dans le vestiaire par Galette.
Landreau pause
12/02 08:34
S'étant blessé lors de la défaite de Bastia à Marseille, Mickaël Landreau souffre d'une lésion musculaire à un mollet qui le tiendra éloigné des terrains pendant cinq semaines selon l'AFP. L'international sera donc forfait pour la réception des Verts (le samedi 22 février à 20h00) et des Pays-Bas (le samedi 5 mars à 21h00). A Stéphane Ruffier d'en profiter !
Guillou le supporter parle des supporters
12/02 00:04
Joueur réputé proche des tribunes, Patrick Guillou devenu consultant pour le championnat teuton livre à panenka-mag.fr son ressenti sur les tribunes Allemandes en proie aux mêmes problèmatiques qu'en France.
"Le tournant a sans doute été la coupe du monde 2006, où il y’a eu une véritable métamorphose des groupes de supporters. La volonté a alors été d’écarter les groupes les plus radicaux et violents, afin d’avoir à nouveau un public familial et qui consomme. Le changement a eu lieu dans beaucoup de stades, avec des publics devenant spectateurs plus que supporters. Malgré tout, certains bastions sont restés forts, comme à Schalke ou Dortmund, où la fibre identitaire à un groupe, une communauté ou à un club est restée présente.(...)« FanProjekt » a vu le jour pour ça, avec les renseignements généraux infiltrés au sein de la plupart des groupes de supporters afin de désigner les leaders et appréhender le problème en amont. Beaucoup de tables rondes ont également été faites entre les différentes parties prenantes. Mais depuis quelques mois, notamment à Dortmund, des groupes de supporters violents et racistes sont réapparus. (...) Des mesures sont prises, comme l’interdiction de déplacement de 400 ultras de Dortmund, ou encore Schalke qui interdit aux supporters de Dortmund l’accès à la Veltins-Arena pour les prochains derbies suite à des incidents. Le mal est pris à la racine et tout est fait pour l’éradiquer.
Pour tout ce qui concerne les engins pyrotechniques et la violence, il y’a tolérance zéro en Allemagne. Dès que les fauteurs de troubles sont appréhendés, c’est interdictions de stades et condamnations, on ne rigole pas avec ça.(...) C’est clair, la volonté des dirigeants est d’avoir des spectateurs consommateurs. Donc forcément, il y’a une sélection par l’argent, on élève le prix des places car on se rend compte sociologiquement que les plus violents sont souvent, voire très souvent, des gens qui ont un pouvoir d’achat faible et un mal-être. (...)
Au début des années 90, j’étais déjà proche des groupes de supporters à Bochum, le hooliganisme était poussé à l’extrême. Ils faisaient des fights et le match était vraiment le prétexte pour se mettre sur la courge. On les voyait arriver le dimanche ou le lundi matin quand on mangeait au restaurant, et un mec te racontait qu’il s’était fait fracasser la pommette, avait fracassé un nez, qu’il avait un bras cassé, il te racontait tout ça. Mais dans ces bagarres, même si ce sont des ultra-violents et qu’il n’y a pas de nom pour définir tout ça, il y’a quand même des codes, comme par exemple l’interdiction d’utiliser des armes blanches (...)
Ensuite, Saint-Etienne est une exception, avec son histoire, ses groupes de supporters qui se sont créés au début des années 90 et sa forte identité. Ca ressemble un peu à l’Allemagne ou à l’Angleterre, que ce soit au niveau du stade ou des comportements. Un des deux groupes ultras à Saint-Etienne a un modèle semblable à l’Italie, avec un capo, des tambours et tout ce que ça comporte. D’ailleurs les Magic Fans sont jumelés avec Brescia. Après, les membres fondateurs ont une quarantaine d’années et sont pères de famille, ce n’est plus cette génération qui est aux affaires. (...)
Je suis toujours surpris qu’aucune table ronde avec toutes les parties prenantes n’aient été organisées afin de discuter et essayer de trouver un terrain d’entente pour que le stade soit un sacro-saint avec ses émotions, ses joies, ses déceptions, un lieu de partage. Voilà ce que c’est un stade de foot pour moi. (...)
Il y’a eu des tensions au cours des derniers mois entre les dirigeants et les supporters, mais quand les kops ne chantent pas, ce ne sont pas les latérales qui offrent une ambiance mirobolante au stade. Mais après quel football veut-on ? Est-ce que l’on garde une ambiance chaude dans le bon sens du terme, ou est-ce que l’on aseptise le stade avec des spectateurs consommateurs occasionnels ? Nous sommes à une période charnière, et je ne suis pas sûr que tout le monde soit gagnant avec un public aseptisé, car même les médias s’en servent pour leur scénarisation, faisant des gros plans sur les supporters et les ambiances.
Aubame trop fort pour Francfort
11/02 22:34
Aubame a une nouvelle fois fait parler de lui ce soir en Coupe d'Allemagne sur le terrain de l'Eintracht Francfort. Titulaire sur le coté droit, il a marqué le seul but de la rencontre, sur corner, pour qualifier Dortmund pour les demi-finales. C'est son 14ème but marqué cette saison avec le Borussia toutes compétitions confondues.
Yes they Cannes !
11/02 21:13
Montpellier ne voulait pas nous laisser seuls. Ce soir, comme Sainté, les Poubelle Boys se sont inclinés à Cannes en 1/8ème de finale de la Coupe de France 0-1 au bout de la prolongation.
Caïazzo parle de caillasse
11/02 19:53
Selon la dernière édition de France Football, l'ASSE est le meilleur vendeur de la saison de L1 sur les deux derniers mercatos (été-hiver). Ayant amassé 44 M€ en indemnités plus 3 M€ de bonus, les Verts devancent le LOSC (42 M€ hors bonus) et le TFC (35 M€). Bernard Caïazzo ne cache pas sa satisfaction dans l'autoproclamée bible du football.
"Le départ de Kurt n'était pas prévu pour cette saison, mais nous avons profité de la forte concurrence de clubs comme Manchester City, Monaco, les deux Milan et Chelsea pour faire monter les enchères. L'intérêt de le vendre à Chelsea était aussi de pouvoir le récupérer en prêt. C'est un bon acte de gestion. Grâce à ce mercato hivernal, nous avons sécurisé financièrement le club pour deux ans en rentrant plus de 20 M€. Nous sommes tranquilles jusqu'à la prochaine renégociation des droits télé en 2016. Je crois que d'autres clubs, avec l'augmentation perpétuelle des taxes d'Etat ou encore celle de 75%, ne peuvent pas en dire autant.Il ne faut pas prendre tous ces chiffres de manière brute. Ces transferts nous permettent déjà de combler un déficit structurel de l'ordre de 7 M€. Pour 2012-2013, nous avons eu 50 Me de dépenses pour 43 M€ de recettes. Cette année, il y a en plus cette taxe à 75%. [qui coûtera selon France Football 1,5 M€ à l'ASSE pour une dizaine de contrats supérieurs à 1M€ par an] Avant d'acheter, on est donc obligés de rentrer cette somme pour être à l'équilibre. Là, on a pris un peu d'avance."
Dans le même hebdomadaire, l'agent de Josuha Guilavogui, Michael Manuello salue la bonne gestion financière des dirigeants stéphanois.
"Depuis trois ou quatre ans, ils sont dans le vrai. Hormis Aubameyang, qui est un coup de génie, ils ont su bonifier et vendre les joueurs sortis de leur centre de formation. Ceux-ci partent souvent vers des grands clubs européens, ce qui valorise le travail de l'ASSE tout en développant sa notoriété. Romeyer et Caïazzo n'ont pas des puits de pétrole. Ils sont obligés de gérér au cordeau et ils le font bien, grâce aussi à Galtier, qui a adhéré à la politique du club. La force des Stéphanois, aujourd'hui, est de savoir qui ils sont. Ils se donnent une identité qui se rapproche du modèle des clubs allemands. Ils ne sont plus sous pression pour vendre et ils savent acheter au juste prix, notamment sur le marché français. A côté des gros comme le PSG et Monaco, ils créent leur propre modèle économique. Après, ils ne devront pas craquer en cas de qualification en Ligue des Champions."