Alors qu'il était encore sous contrat jusqu'en 2027 avec l'Etoile Rouge de Belgrade, Jean-Philippe Krasso, qui fêtera dans 2 semaines ses 27 ans, va selon Mozzart Sport s'engager avec le Paris FC.

Le montant du transfert est estimé à 1,5 M€ par le media serbe, qui tacle l'ancien attaquant stéphanois. "Après des débuts prometteurs, il a eu peu de temps de jeu du fait de sa nonchalance. Son langage corporel sur le terrain n'était pas très bon. En Ligue des Champions, il n'aura joué qu'une centaine de minutes."

Zipé a tout de même claqué 9 pions et délivré 5 passes décisives cette saison sous le maillot rouge et blanc en 36 matches toutes compétitions confondues (15 titularisations). Mais il avait eu quasiment 2 fois plus de temps de jeu la saison précédente sous le maillot vert pour mettre ses 17 pions et 12 passes décisives en 35 matches de L2 (33 titularisations).

Grâce à un penalty (pourtant mal tiré) et une belle frappe enroulée du droit, Robert Beric (33 ans) a marqué avant-hier à la maison les deux derniers buts de l'écrasant succès (5-0) de Changchun Yatai contre la lanterne rouge Qingdao Hainiu.

On aura noté que l'avant-centre visiteur a pour patronyme Boakye. Mais cet Italien d'1m90 et de 29 ans prénommé Martin n'a pas de lien de parenté avec Augustine, prometteur milieu offensif ou ailier ghanéen de Wolfenberger (L1 autrichienne). Le Progrès a confirmé cet après-midi que l'ASSE espère boucler l'arrivée de ce joueur de 23 ans que les médias de son pays ont annoncé hier soir partant pour Saint-Etienne.

A la recherche d'un nouveau projet après s'être fait virer de Villefranche à la toute fin de l'hiver, Romain Revelli, qui fêtera cet été ses 47 ans, s'est confié au site 13 heures foot. Extraits.

"Mon meilleur souvenir sportif, c’est la victoire en Coupe de la Ligue avec Saint-Etienne, parce que les titres, c’est rare. J’ai eu des saisons réussies, bien sûr, des relations avec le vestiaire, parce que c’est ça qui me nourrit, que j’aime par-dessus tout. Mais là, un titre, avec mon club de coeur en plus, comme adjoint numéro 1… Comme je suis un ultra-compétiteur, forcément, c’est important. Je revois la joie au Stade de France, le défilé à Saint-Etienne… On était en haut de la Ligue 1 à l’époque, souvent 4e ou 5e, avec des très grands joueurs, et en même temps, on avait un fonctionnement assez simple, avec les valeurs de l’amateurisme, portées par des joueurs comme Pierre-Emerick Aubameyang, Bayal Sall ou Loïc Perrin. Ce titre a récompensé ces valeurs-là. Et quand tu es un enfant de Saint-Etienne comme moi, ça marque.

Je suis toujours supporter de Saint-Etienne même si, et cela peut paraître paradoxal, j’ai pris beaucoup de recul, même si j’ai un pied à terre à 5 kilomètres du stade ! J’ai quand même fait deux passages à l’ASSE, en jeunes et en seniors, mais le club a beaucoup changé depuis mon dernier passage. Je suis allé les voir jouer, je suis très, très heureux, ça fait du bien aux gens : Saint-Etienne, c’est un club à l’anglaise, où les gens, les commerçants, vivent au rythme des matchs. La montée, ça redynamise la ville. Quand les Verts ne vont pas bien, quand les Verts sont en Ligue 2, ça se ressent partout, c’est incroyable. Les clubs historiques, il faut qu’ils soient en haut. Tu as vu ce stade, cet engouement ? Bon, ben voilà.

C’est fou, j’étais aspirant et stagiaire pro à Saint-Etienne, et j’avais un frère, qui a deux ans de moins que moi, qui était aussi aspirant à l’ASSE ! Donc, à un moment, dans les années 90, on était les deux frères Revelli à Saint-Etienne, et on nous a posés la question 10 000 fois ! Je connais Patrick et Hervé Revelli, notamment Patrick et son fils Arnaud, qui était médecin du sport à Andrézieux. En fait, on me demande souvent « Vous êtes le fils de quel Revelli » ? Je réponds toujours, « Je suis le fils de Serge ! » Serge, c’est mon père ! C’est rigolo. Même si on n’est pas de la même famille, ou alors très éloignée, on vient, du côté de nos grands-parents, du même coin, dans le Piémont, pratiquement du même village, en Italie. Mes grands parents sont venus s’installer dans la vallée du Gier, pour travailler. Il y avait de grosses industries à l’époque. Mais mes parents sont nés en France.

Je suis un « petit » de Roland Romeyer, qui a été mon dirigeant quand j’ai fait mes débuts en équipe réserve de Saint-Etienne, en CFA. Roland voulait que je devienne le directeur du centre de formation. Christophe, qui était alors adjoint d’Alain Perrin, m’avait vu travailler, j’avais des bons résultats avec les 17 ans, et c’est lui qui m’a fait monter d’un coup en équipe première : ça a surpris tout le monde, parce que j’étais jeune, mais il a cru en moi. Et je me suis révélé à ce poste d’adjoint. Avec Christophe, on était des frères : si je partais dans le sud en vacances sans m’arrêter chez lui à Cassis, il était en colère ! Il m’a énormément apporté, j’ai beaucoup appris à ses côtés, J’ai de la reconnaissance pour lui. Il m’a appris sur le management des joueurs, sur les relations avec les dirigeants, l’anticipation, il me faisait confiance pour le côté technique, tactique et méthodologique, ce qui m’allait bien car je suis un puriste du football.

On se complétait bien avec Christophe, on a passé 5 ans ensemble. Après, c’est vrai qu’au bout de 5 ans, c’était la fin de l’histoire, je venais de passer mon BEPF, j’étais un peu usé, l’examen me demandait beaucoup de travail aussi, et on s’est séparé un peu sur des broutilles. On s’est revu, on s’appelle deux ou trois fois par an. Par exemple, quand j’étais à Villefranche, il m’a envoyé un jeune à l’essai. Mais Christophe a pris une telle dimension depuis ! Encore aujourd’hui, des gens me disent, « Mais pourquoi tu ne retravailles pas avec lui ? », or moi, dans ma logique, je suis devenu numéro 1, même en National 2. J’ai entraîné en Ligue 2, en National et en National 2. Surtout en National. Je veux garder ma ligne conductrice. J’aime trop ça. J’ai été formateur, adjoint, j’ai passé mes diplômes, maintenant voilà, avec Christophe, c’était une super histoire, il m’a beaucoup appris, mais c’est de l’histoire ancienne.

Le meilleur joueur entraîné ? Stéphane Diarra. Il n'a pas eu la carrière qu’il aurait dû faire, même s’il a joué en Ligue 1 à Lorient. J’étais allé le voir à un entraînement avec les U19 d’Evian, et j’ai découvert un talent. Une semaine après, je le faisais débuter en Ligue 2. J’ai eu l’impression de découvrir le gros talent ! Il a fait sa carrière après. J’ai entraîné aussi des grands joueurs à Saint-Etienne, un joueur comme Loïc Perrin m’impressionnait, il avait tout. J’ai eu des Aubameyang aussi, quand tu le vois à la vitesse grand V au bord du terrain, waouh ! Quelle intensité, et ses appuis, ses contrôles…"

Habitués à s'affronter en Ligue 2 ces deux dernières saisons, Stéphanois et Grenoblois se retrouveront en amical cet été. L'ASSE a officialisé aujourd'hui ce que Le Dauphiné Libéré avait annoncé le 15 juin dernier : les Verts joueront face à leurs voisins d'Isère le 3 août à 17h au Chambon-sur-Lignon. Pour rappel, les protégés d'Olivier Dall'Oglio seront en stage dans cette commune altiligérienne du 13 au 20 juillet et le GF38 y séjournera du 27 juillet au 3 août.

Sans club depuis qu'il a résilié son contrat avec l'ASSE il y a un an, Jimmy Giraudon (32 ans) devrait s'engager dans les prochaines heures  avec Orléans (National) selon La République du Centre.

Titularisé hier pour la 12e fois de sa carrière (la 4e fois d'affilée à l'Euro), William Saliba a impressionné tout le monde hier soir contre la Belgique. Si l'UEFA a choisi de décerner le trophée d'homme du match à Jules Koundé, le pur produit du centre de formation de l'ASSE a été le meilleur selon Le Parisien, qui lui décerne un 9/10 avec le commentaire suivant :

"Il s’est mis Lukaku dans la poche en réalisant un match énorme ! Sans faute dans la zone dangereuse, le Gunner a fait régner l’ordre avec plusieurs interventions et une lecture du jeu remarquable. Il n’a pas commis beaucoup d’erreurs dans ses sorties de balle, s’est même retrouvé en position de frappe à la sortie d’un corner (74e) et récupère, surtout, le ballon au départ du but tricolore (1-0, 86e)."

Dans un papier intitulé "Saliba, naissance d'un patron", Le Télégramme encense également l'ancien défenseur stéphanois.

"Pour ne laisser aucun espace à Romelu Lukaku, 1,91 m pour 93 kg, il faut se lever de bonne heure. Et avoir du feu dans les jambes pour suivre les courses répétées de l’attaquant de l’AS Rome, l’un des plus puissants au monde. William Saliba a mis dans sa poche le danger numéro un bis des Diables Rouges, littéralement éteint par les qualités du défenseur central d’Arsenal auteur d’une prestation gigantesque qui a marqué les esprits à la Merkur Spiel Arena. Le duel entre les deux hommes n’avait encore jamais eu lieu et il a tenu toutes ses promesses. Le défenseur central l’a gagné haut la main.

En un an et demi, William Saliba a mûri, s’est imposé comme un défenseur central régulier et dur à bouger en Angleterre, ce qui n’est déjà pas une mince affaire. Avec Dayot Upamecano, William Saliba forme désormais une charnière centrale convaincante et performante. Si l’attaque tricolore est balbutiante, la défense est elle éclatante. Formé à Saint-Étienne dans sa jeunesse, Saliba, qui a franchi les étapes avec sérénité, avait été prêté à Nice puis Marseille par Arsenal. À 23 ans, il a marqué de son empreinte un huitième de finale d’Euro, positionné axial gauche, lui qui est droitier. Une prestation de patron. L’avénement d’un futur grand."

Ex-joueur de l'ASSE (d'octobre 1990 à juin 1991) et ancien recruteur stéphanois (de mars à novembre 2011), Thierry Laurey (60 ans), libre depuis son départ du Paris FC il y a un an, va selon la Pravda s'engager avec Martigues, promu en Ligue 2.

Après avoir fait ses premiers pas de footballeur en banlieue, à Ménival FC, avant de rejoindre par la suite le Cascol Oullins pour une saison, le gardien de but Kelyan Ricignuolo (né le 10 avril 2007) est arrivé à l'ASSE en 2015. Il a gravi tous les échelons de la formation jusqu'en juin 2023. Il a pris alors la direction de La Duchère où il a opéré en U17 nationaux, dans la même poule que l'ASSE. 
Auteur d'une belle saison, il a suscité l'intérêt de plusieurs clubs notamment de l'OM où il a fait un essai en mars dernier. C'est finalement au FC Marignane Gignac Côte Bleue qu'il va s'engager. Il devrait évoluer avec les U19 nationaux

Le FC Espaly de Lionel Vaillant, coach des U17 verts champions de France en 2014 (avec Gilles Rodriguez) et des U13 double champions en 2010 et 2011, a réalisé une superbe saison en N3. Alors que beaucoup d'observateurs les voyaient condamnés à la relégation, les Espaviots ont terminé à la 5ème place entre les réserves verte et vilaine. Déjà colorée en Vert avec Hugo Di Piazza et Gabay Allaigre, la formation altiligérienne le sera encore plus la saison prochaine puisque Albion Jetishi et Abderraouf Guechi sont d'ores et déjà annoncés dans la cité voisine du Puy.

Le milieu de terrain défensif Albion Jetishi (né le 6 janvier 2005), après avoir fait toute sa préformation et sa formation à l'ASSE, n'avait pas été conservé, en juin 2023 à l'issue de sa première U19. Après une saison 2023-2024 blanche, il s'est entraîné durant six semaines avec son futur club qui a donc validé son recrutement, conforté dans son choix par Noah Raveyre, un autre ancien de la maison verte.
Quant au milieu de terrain offensif Abderraouf Guechi (né le 17 décembre 2005), il a lui aussi fait toutes ses classes à l'ASSE qui ne l'a pas conservé en juin dernier à l'issue de sa saison en U19 durant laquelle il a inscrit 5 buts. 

Après avoir compté dans ses rangs le besogneux Camerounais Augustine Simo (auteur de 2 buts en 34 matches de D2 la saison 1997-1998), l'ASSE est selon Ghana Soccernet sur le point d'enrôler Augustine Boakye, milieu offensif ghanéen de 23 ans qui évolue depuis 3 ans à Wolfsberger.

Ayant claqué 10 pions et délivré 9 passes décisives en 30 matches toutes compétitions confondues cette dernière saison avec ce club de l'élite autrichienne, ce gaucher est attendu pour passer sa visite médicale ce mercredi d'après ce média, qui évoque un transfert avoisinant 5 M€.

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— Augustine Boakye (@18Boakye) May 25, 2024

Impérial face à Lukaku and co, William Saliba a encore été l'un des meilleurs joueurs des français ce soir lors de la victoire logiquement arrachée contre la Belgique. Vendredi à 21h00, au Volksparkstadion où l'ASSE avait mis une manita au HSV, le jeune patron de la défense bleue formé chez les Verts jouera en quart de finale de l'Euro contre le vainqueur du match qui opposera ce soir le Portugal à la Slovénie.

saliba vs belgium - best cb itw 🇫🇷 pic.twitter.com/GrvaeeFko2

— 🏸 (@m4wiii) July 1, 2024

Un ancien Vert en remplace un autre sur le banc de l'AC Ajaccio, qui a officialisé en fin d'après-midi l'arrivée de Mathieu Chabert. L'ancien gardien du centre de formation de l'ASSE (de 1993 à 1998) succède à l'ex-milieu de terrain stéphanois Olivier Pantaloni (nommé entraîneur du FC Lorient il y a 8 jours).

"Après avoir quitté Le Mans (National), le technicien biterrois de 45 ans retrouvera ainsi un banc de Ligue 2, après avoir notamment dirigé Dunkerque et le SC Bastia entre 2019 et 2021" rappelle Corse-Matin. "Mathieu Chabert avait alors ainsi permis au Sporting de retrouver le monde professionnel, montant successivement en National 1 puis en Ligue 2. Malgré cela, il avait été démis de ses fonctions après 9 journées et à 3 jours du derby face à… l'ACA."

Foot Mercato a confirmé ce lundi midi qu'Aïmen Moueffek est sur le point de jouer la prolongation avec les Verts. "L'ASSE vient de trouver un accord total pour prolonger le joueur autour d’un contrat de quatre saisons, plus une en option. Le milieu a notamment été convaincu par les promesses de Kilmer Sports, le nouvel actionnaire unique du club stéphanois qui compte beaucoup sur lui. Aïmen Moueffek va passer sa visite médicale dans les prochaines heures et retrouver la Ligue 1 avec son club formateur."

C'était dans l'air, c'est officiel, Julien Sablé est nommé directeur du centre de formation de l'OGC Nice.

Formé au club, Juju a joué 10 saisons en pro chez les Verts, endossant la tunique verte à 341 reprises pour 12 buts. L'ancien capitaine stéphanois était revenu au club en 2014 pour y apprendre le métier de formateur et transmettre les valeurs stéphanoises.

Ephémère directeur du centre de formation en 2017, il avait ensuite épaulé Jean-louis Gasset, Ghislain Printant, Claude Puel et Pascal Dupraz sur le banc, avant de quitter à nouveau les Verts après la descente en Ligue 2.

A nouveau dans un staff pro, à Nice depuis 1 an et demi, Julien Sablé revient à la formation.

Dans la dernière édition du Monde, Claude Puel encense encore William Saliba, qui va enchaîner une 4e titularisation à l'Euro ce lundi à 18h00 en 8e de finale contre la Belgique.

"William est un gars très respectueux. Ce n’est pas quelqu’un qui va renverser la table. Par contre, si on lui fait confiance, il peut être énorme. Sous pression, il a réussi à sortir de la densité et a été la rampe de lancement du jeu de l’équipe de France. Sa capacité à être à l’aise techniquement a permis aux Bleus de contrecarrer le pressing des Autrichiens. William est différent de Konaté ou Upamecano, qui interviennent beaucoup en puissance, qui s’imposent surtout physiquement. Lui défend debout, grâce à une très bonne lecture du jeu. Visuellement, c’est peut-être moins fort, mais c’est tout aussi efficace."

Les Verts, qui reprennent l'entraînement lundi prochain, en savent (un tout petit peu) plus sur leur programme de reprise : après l'officialisation du match amical contre Clermont le 20 juillet, le club vient de confirmer la tenue d'un match amical conte le Montpellier de nos ex (Nordin, Khazri, Sackho) le 31 juillet.

Le match aura lieu à Lunel, à 18 heures.

3 autres matchs de préparation face à des adversaires à préciser sont prévus le 27 juillet, le 3 août et le 10 août.

La réserve de Guingamp aime bien se renforcer avec d'anciens joueurs de son homologue stéphanoise ! Après avoir enrôlé les latéraux Dylan Durivaux (en 2020) et Mathis Mezaber (en 2022), elle vient selon Ouest-France de mettre le grappin sur Youssef Njoya Ngapout (20 ans). Non conservé par l'ASSE après avoir été titularisé seulement 5 fois en 19 matches joués cette dernière saison en N3, le milieu de terrain retrouvera probablement Razik Nedder dans un mois à Ploufragan (Côtes d'Armor), l'ASSE et l'EAG participant au prestigieux tournoi européen U21 qui se déroulera au Centre technique Henri-Guérin du 2 au 4 août.

S'il n'aura joué que 533 minutes toutes compétitions confondues lors de sa dernière saison verte, le nouveau milieu de terrain dunkerquois Maxence Rivera (22 ans) ne gardera que de bons souvenirs de sa longue aventure à l'ASSE, comme il l'explique au Progrès. Extraits.

"Au fur et à mesure de la saison, j’ai participé à cette montée. Je démarre 5 matchs et je fais 15 apparitions au total [13 apparitions en réalité dont 4 titularisations, ndp2]. C’est intéressant, même si j’espérais plus. Je n’ai pas de regret sur ce sujet. J’ai eu une discussion avec Olivier Dall’Oglio qui m’a dit qu’ils avaient fait des recrues à ce poste. C’est un coach que je respecte. Quand je ne jouais pas, il avait toujours quelques mots pour m’encourager à ne pas lâcher. Cela n’a pas été compliqué non plus avec Laurent Batlles. Il m’a fait débuter des matchs avant son départ. Ce qui veut dire qu’à l’entraînement, je méritais ma place.

J’ai reçu une superbe formation. Je suis arrivé à Saint-Etienne en U14. Je n’ai pas de regrets, même si je n’ai pas beaucoup joué durant mes années en pro. Je n’ai eu que des bons coachs durant toute ma formation, je n’en garde que des bons souvenirs. Jamais je ne cracherai sur ce club. J'ai pris connaissance des contacts entre Dunkerque et mes agents 2 mois avant la fin de la saison. Je vais là-bas pour gratter un maximum de temps de jeu. Le projet, c’est de jouer dans l’entrejeu, plus en 8 ou en 10. En regardant mes matchs, ils ont vu que j’aimais bien rentrer dans l’axe."

Dans son autobiographie Le monde entre les mains, parue il y a 3 semaines aux éditions Stock, Hugo Lloris revient sur l'inoubliable soirée du 25 septembre 2010.

"En arrivant à Lyon, on m’avait parlé de deux choses : le derby contre l’AS Saint-Etienne, avec la couleur verte à ne jamais porter en se rendant à l’entraînement et à éviter en ville, et la Ligue des Champions (…) Fin septembre 2010, après avoir perdu à Gerland le 100^e derby sur un coup franc incroyable de Dimitri Payet, on avait glissé à la 18e place et vers la crise. Mais cette défaite ne m’a pas atteint de la même manière qu’elle l’aurait fait en temps normal. Trois jours avant ce derby, ma fille Anna-Rose est née à Tassin-la-Demi-Lune, au nord de Lyon, pas très loin de ma maison à Limonest. C’était un évènement immense et un très grand bonheur, qui m’ont aidé à relativiser."

L’actuel coéquipier de Denis Bouanga au Los Angeles FC rappelle que Claude Puel s’est fait virer à l’issue de cette saison-là alors que les banlieusards avaient arraché la 3^e place lors de la dernière journée suite à un succès sur le Rocher synonyme de relégation pour l’AS Monaco, club cher au Castrais.

"Au fil des défaites, le public s’est retourné contre le coach. Ce sera un poids, une énergie négative qui planera au-dessus de nous pendant toute la saison. Claude Puel a tout donné, n’a jamais lâché alors qu’il a vécu des moments pénibles voire douloureux dans une atmosphère violente. J’ai gardé beaucoup d’estime pour lui, je n’ai rien à dire de mal à son sujet. Il croyait en moi, m'a donné mes premiers brassards, a contribué à ma construction. Avec lui, j’ai commencé à me rendre compte de la difficulté du poste d’entraîneur. (…) J’ai respecté sa résistance sous les flèches, les tags personnels sur les murs de la ville, l’hostilité du stade."

L’ancien champion du monde rend par ailleurs un bel hommage à celui qui l’a lancé en pro.

"L’arrivée de Frédéric Antonetti à Nice a redistribué les cartes pour beaucoup de monde. J’ai découvert un entraîneur qui fonctionnait au mérite, faisait confiance aux jeunes mais n’hésitait pas à les titiller (…) Je garde une reconnaissance infinie pour Fred Antonetti, qui a tout de suite vu quelque chose en moi, et qui a su tout à la fois m’intégrer, m’empêcher de brûler les étapes, me tester et me faire confiance. Il reste une personne fondamentale de ma carrière, quelqu’un à qui je dois beaucoup. Il a pris le risque de faire jouer un très jeune gardien, et c’était rare à l’époque. Je l’ai vraiment apprécié, on avait une relation où passait de l’affection."

Vous avez été très nombreux à regarder la rencontre ce dimanche dès 06h00 sur le site de la FIFA :  pressenti pour rejoindre les Verts cet été, l'ailier gauche néo-zélandais Ben Old a battu Vanuatu 3-0 à Port-Vila en finale de Coupe de l'Océanie.

Auteur d'un match correct face à des locaux valeureux mais limités, le numéro 14 des All Whites est impliqué sur le but du break (son centre repoussé de la tête par un adversaire a profité à son coéquipier Jesse Randall). Le joueur de Wellington Phoenix a été remplacé à la 89e, deux minutes avant le dernier pion de cette rencontre.

Pour rappel, la Nouvelle-Zélande va disputer les Jeux Olympiques et fait partie du groupe de la France de Jérémie Janot. Les All Whites affronteront successivement la Guinée de Saidou Sow (le 24 juillet), les Etats-Unis (le 27 juillet) et les Bleuets (le 30 juillet).

En partenariat avec Le Progrès, Jacques Plaine organise un jeu-concours "La rédaction : 10 mots, 15 lignes." Le sujet est : "Dans sa nouvelle émission Bienvenue sur mon nuage, Bernard Pivot invite Georges Bereta pour évoquer la belle saison des Verts." Pour jouer, il suffit de rédiger un texte de 15 lignes maximum utilisant ces 10 mots (au singulier ou au pluriel) : bière - blanc - bleu - jaune - mine - nul - olympique - rouge - sphinx - vert.

Vous avez jusqu’au 30 août 2024 pour faire parvenir votre texte à lire-a-saint-etienne@wanadoo.fr (en indiquant nom, prénom, âge, adresse et numéro de téléphone). Un jury désignera ensuite les 30 gagnants dans trois catégories : adultes, jeunes de 13 à 18 ans et jeunes de moins de 12 ans. De nombreux lots sont à gagner et les prix seront remis à l’occasion de la prochaine édition de la Fête du livre de Saint-Etienne, du 11 au 13 octobre.

Dans sa dernière édition, The New Zealand Herald a évoqué la probable signature à Sainté du jeune ailier néo-zélandais Ben Old, qui affronte ce dimanche à 06h00 (le Vanuatu en finale de l'OFC Nations Cup). Extraits.

"Le joueur de 21 ans a connu une saison exceptionnelle en A-League [L1 australienne, ndp2]. Il a été l'un des meilleurs joueurs de l'impressionnante campagne 2023-24 de Phoenix et cela a été remarqué. Il est sur le point de conclure un accord avec le club français de Ligue 1 Saint-Etienne et déménagera après les Jeux Olympiques de Paris. Des sources en France proches du club, contactées par le Herald , ont déclaré que l'accord était "presque conclu".

Il y a peut-être quelques derniers papiers à remplir, mais on peut supposer que Old jouera pour Les Verts la saison prochaine. Ce sera un autre grand moment pour le football néo-zélandais, poursuivant l’élan créé par les transferts d’Alex Paulsen (AFC Bournemouth) et Marko Stamenic (Nottingham Forest).

C'est une destination passionnante, quoique inhabituelle. Le seul autre Kiwi à avoir joué pour un club de Ligue 1 était Bill Tuiloma, qui a passé 4 ans à Marseille entre 2013 et 2017. Ce fut un parcours différent puisque Tuiloma a signé à 18 ans, directement issu du football local avec le Birkenhead FC. Il a disputé 22 matchs avec l'équipe réserve mais n'a fait que 2 apparitions pour l'équipe senior.

Old évolue à un stade différent, avec 74 matchs de A-League derrière lui, ainsi que 7 apparitions avec les All Whites. Sa forme la saison dernière – avec 5 buts et 4 passes décisives – ainsi que de nombreuses autres interventions révélatrices ont suscité l'intérêt de nombreux clubs, car ses analyses et ses résultats ne pouvaient être ignorés. Il semblerait qu'il ait été sollicité par des clubs d'Angleterre (Championship et League One), du Danemark, des Pays-Bas et des États-Unis (MLS).

L'AS Saint-Étienne a une histoire riche. Les Verts ont été champions de France à 10 reprises (la dernière fois en 1981) et ont également atteint la finale de la Coupe d'Europe 1976, tandis que Michel Platini fait partie de leurs anciens joueurs. A peine promu en Ligue 1, le club est perçu comme un géant endormi. Ils ont récemment été rachetés par Kilmer Sports Ventures, l'immense conglomérat derrière le Toronto FC, les Toronto Raptors (NBA) et les Toronto Maple Leafs (NHL). Cette décision a installé l'ancien directeur général d'Arsenal et de l'AC Milan, Ivan Gazidis, au poste de président du club, ce qui témoigne de leurs nobles ambitions.7

Des sources en France ont indiqué que Saint-Etienne suivait Old depuis un certain temps, à la recherche d'un ailier avec ses caractéristiques. Même s’il s’agira d’une avancée significative par rapport à la A-League, ils pensent évidemment qu’il peut réussir. Il y aura une période d'installation, mais Old devra obtenir du temps de jeu dès la première saison.

C'est un talent unique, avec son rythme, son contrôle rapproché et sa capacité à battre les joueurs, Michael McGarry étant le seul joueur Kiwi comparable de l'ère moderne. Une adaptation physique, tactique et technique sera nécessaire, mais ce sera également un défi en dehors du terrain, car seuls deux joueurs actuels de Saint-Etienne n'ont pas le français comme langue maternelle, tandis que l'entraîneur et la plupart de son staff sont francophones.

Old ne veut pas discuter des détails d'un éventuel transfert européen, tout en admettant que plusieurs clubs avaient manifesté leur intérêt. Il a déclaré que le facteur critique dans sa décision potentielle était l'opportunité. "Le plus important pour moi, c'est de trouver un endroit où je pourrai jouer", a déclaré Old. "C'est la chose la plus importante. Je dois mettre de côté mon ego et ne pas me contenter de conclure le plus gros et le meilleur contrat si ce n'est pas un endroit où j'aurai l'opportunité de jouer, de me montrer et de me développer".

Lorsqu'on lui a demandé – hypothétiquement – ​​ce qu'il ressentirait à l'idée de jouer en France et de faire face à une barrière linguistique importante, par rapport à l'Angleterre, à l'Europe du Nord ou à la MLS, Old a été sans équivoque. "Ce sera certainement un nouveau défi si c'est la voie que je prends", a déclaré Old. "Mais j'aime vraiment le côté défi, aller dans un endroit où ils ne parlent pas anglais et, avec un peu de chance, pouvoir apprendre une autre langue, j'adorerais faire ça. Et souvent, c’est le football qui parle. Même si ce serait difficile avec le style de vie, si je peux bien jouer avec mon football, tout le reste se mettrait en place."

Il a également été inspiré par les récents transferts de son coéquipier et ami proche de Phoenix, Paulsen, ainsi que de Stamenic, son coéquipier des All Whites. "Cela montre que les voies sont là", a déclaré Old. "Ils regardent vers la A-League et si vous travaillez dur et que vous performez bien, alors tout est possible. C'est très, très motivant car dans le passé, on avait évidemment l'impression d'être très loin de tout le monde en Nouvelle-Zélande. Contacté par le Herald , le club de Phoenix a publié la déclaration suivante : "Nous ne commentons pas les spéculations sur les transferts, mais il y a eu un intérêt significatif pour Ben Old en raison de ses performances la saison dernière."

Pour rappel, la Nouvelle-Zélande est dans le même groupe que la France aux Jeux Olympiques. Les All Whites affronteront successivement la Guinée de Saidou Sow (à Nice le 24 juillet), les Etats-Unis (à Marseille le 27 juillet) et les Bleuets (à Marseille le 30 juillet).

Sa magnifique victoire aujourd'hui à Rimini lors de la haletante première étape de son dernier Tour de France nous a quasiment autant ravis que le pion égalisateur d'Ibrahima Wadji il y a 4 semaines à Saint-Symphorien. Pour la première fois de sa carrière, le supporter de l'ASSE Romain Bardet (33 ans) a endossé le maillot jaune !

Il lui va aussi bien que la non moins mythique tunique verte qu'il arborait fièrement dans le Chaudron au moment de donner le coup d'envoi fictif de l'inoubliable derby du 30 novembre 2014. Ce soir-là, les hommes de Christophe Galtier avaient corrigé les vilains 3-0 grâce à des buts de Moustapha Bayal Sall, Ricky Van Wolfswinkel et Renaud Cohade.

La Pravda confirme en ce début d'après-midi que Yunis Abdelhamid va s'engager ce lundi avec l'ASSE pour un an plus une année en option. Une très bonne pioche pour les Verts comme nous l'a détaillé son ancien entraîneur rémois David Guion.

Faisant partie des plus grands quotidiens nationaux allemands, le Frankfurter Rundschau fait le bilan de la saison de Niels Nkounkou, qui n'aura joué qu'un match avec les Verts l'été dernier (lors de la 3e journée contre QRM) avant de remporter son bras de fer et fuir l'ASSE pour l'Eintracht. Extraits.

"Actuellement en vacances sur la Côte d'Azur, il ferait bien de consulter de temps en temps un guide tactique. Peut-être que le Français de 23 ans d'origine congolaise pourrait découvrir des aspects intéressants voire nouveaux. Par exemple qu'il est plus logique de jouer en une touche plutôt que de se lancer dans des dribbles audacieux contre deux ou trois adversaires. Ou simplement qu'il ne faut pas tirer un adversaire par le maillot pour le mettre au sol, surtout quand on est dans sa propre surface de réparation. Ou encore pour avoir une idée du moment où il convient de se projeter rapidement et du moment où il est préférable de conserver le ballon.

Autant de choses que Niels Nkounkou n'a parfois pas su faire lors de sa première saison en Bundesliga. "Je suis encore un jeune joueur, je dois encore m'améliorer" a admis le natif de Pontoise, à une heure de Paris. S'il a fait des débuts rêvés en marquant dès sa première apparition, Niels Nkounkou n'a pas réussi à s'assurer une place régulière de titulaire, malgré 29 matchs de Bundesliga et 8 apparitions en Conference League. Il est bien trop instable pour cela, il manque de continuité et son jeu est soumis à de nombreuses fluctuations. On ne peut jamais savoir à quoi s'en tenir avec lui.

Parfois il joue très bien, par exemple contre Mönchengladbach, où il a préparé les deux buts gagnants en tant que joker, ou à Leipzig, où il a également délivré la passe décisive pour la victoire 1-0. Mais parfois, il est incroyablement naïf et imparfait. Il prend trop rapidement des cartons jaunes et oblige son entraîneur à le faire sortir avant que l'arbitre ne s'en charge. Lors du match retour perdu 2-0 à Cologne, il a vu rouge à la 65e alors le score était de 0-0. Son entraîneur Dino Toppmöller a qualifié son expulsion de stupide. Ayant déjà joué très jeune dans six clubs et dans quatre pays, Nkounkou a du mal à rester calme et cool.

Il doit agir plus sérieusement et apprendre de ses erreurs. Une semaine après une remise en jeu scandaleuse qui a immédiatement abouti à un but, il a commis exactement la même bévue lors du match contre Augsbourg, cette fois sans conséquence. Contre Leverkusen, il a renversé Nathan Tella, qui sortait déjà de la surface de réparation, ce qui était totalement inutile, il y a eu un penalty et le match a été perdu. Par contre ses courses sur l'aile gauche sont parfois spectaculaires. Il est rapide, difficile à arrêter, il a marqué trois buts jusqu'à présent, il a fait autant de passes décisives. Il a un bon tir, il est courageux, prend des risques.

Il a également amélioré son comportement défensif, du moins dans une certaine mesure... Il le montre juste trop rarement. C'est aussi pour cela que Toppmöller n'est pas vraiment satisfait de ses joueurs sur l'aile gauche. Niels Nkounkou est trop volatile et insconstant, son concurrent Philipp Max est trop brave, le jeune Nathaniel Brown (21 ans), qui arrive en provenance du FC Nuremberg, en 2e division, est encore une inconnue. Cela pourrait être une bataille à trois passionnante, dont l’issue est incertaine."

N'ayant joué qu'un match de N3 et deux matches de Coupe de France cette saison avec Feurs, l'ancien gardien stéphanois Axel Kacou (28 ans) s'est confié à Foot Amateur. Extraits.

"Je m’entraîne avec un préparateur physique d’abord avec Babah Bamba puis Faris Oukala, à Saint-Etienne depuis mi-mai. Je connais très bien la ville, ma femme est d’ici. J’ai mes marques. je souhaite retrouver un projet, de Ligue 2 comme troisième gardien, de National ou de National 2. Le terrain me manque énormément. Depuis 13 ans, je suis dedans donc forcément ça me manque.

Je ne retiens que de bons souvenirs de ma période à l'ASSE ! Ma formation est un moment très fort de ma carrière. C’est là où j’ai pris le plus plaisir, je jouais avec les amis. On est encore loin du monde professionnel, de requins. Je pense qu’il y a de très bons coachs de gardiens là-bas comme Mickael Dumas [passé depuis à Guingamp et formant désormais les jeunes gardiens rennais, ndp2]. Les recruteurs ont l’œil pour voir les bons gardiens. Et on est très bien entouré là-bas.

J’ai des regrets. J’ai eu la chance de connaître l’équipe de France en jeunes avec des grands joueurs. J’ai joué avec la sélection ivoirienne lorsque j’étais en L2 à Tours. J’ai une part de responsabilité. Ça serait trop facile de jeter la pierre sur les autres. Peut-être que mentalement, j’ai flanché pour diverses raisons. Lorsque je vois mon potentiel plus jeune, je pense que j’aurais pu faire mieux.

Mais ce n’est pas fini, je vais tout faire pour remonter la pente ! Aujourd’hui, j’espère retrouver un projet. Je suis bien affûté, j’ai la dalle. Et avec un peu de confiance, je peux apporter mon expérience et des services à une nouvelle équipe. je peux jouer encore jusqu’à 38 ans. J’ai dix ans devant moi. J’ai quand même un vécu en National, en Ligue 2, avec des sélections."

Non conservé par l'ASSE après 10 ans passés sous le maillot vert, Noan Gallo (à droite sur la photo ci-dessus) a annoncé hier sur son compte instagram sa signature au Stade de Reims. N'ayant jamais été appelé en équipe réserve, ce défenseur de 18 ans n'a joué que 10 matches cette saison avec les U19 nationaux.

Le Dauphiné Libéré évoque l'avenir incertain de l'ancien attaquant stéphanois Zakaria Bengueddoudj.

"Depuis plus de 10 mois, il doit signer son premier contrat professionnel avec le FC Annecy. Cela finira-t-il par se réaliser ? Il a démarré cette dernière saison titulair contre Guingamp et c'est là que les contours d’un contrat professionnel ont commencé à se dessiner. Il était alors convenu entre les parties de se revoir début septembre, pour laisser passer l’urgence d’un mercato à effectuer en trois semaines après un repêchage en L2 le 3 août. Un rendez-vous reporté à octobre puis à la trêve hivernale où il lui a finalement été demandé de finir la saison à Châteauroux (N) contre la promesse de ce contrat professionnel… à son retour.

Mais 6 mois, 9 matchs et 2 passes décisives dans le Berry plus tard, son cas ne fait plus l’unanimité au FCA malgré cette promesse. Le club annécien souhaiterait finalement s’éviter cette signature pour un élément sur lequel il ne compte plus vraiment. Le joueur l’entend mais ne veut pas se retrouver sans contrat alors que l’heure de la reprise de l’entraînement approche Le FCA aurait assuré de tenir ses engagements mais, à ce jour, c’est bien une porte de sortie qui est recherchée.

Bengueddoudj, capable d’évoluer également comme milieu relayeur, aurait été proposé à Bourg-en-Bresse, promu en National. Lausanne-Ouchy, relégué en L2 Suisse, regarderait aussi son profil, tout comme un club du Qatar mais, à seulement 24 ans, l’ancien pensionnaire du centre de formation de Saint-Etienne, préfèrerait poursuivre sa carrière en Europe. Si rien n’aboutit d’ici au 1er juillet, Bengueddoudj pourrait avoir la possibilité de reprendre l’entraînement avec le FCA."